it is a question of self-control // ilhi
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it is a question of self-control // ilhi | Jeu 14 Sep - 23:20 Citer EditerSupprimer
Un dernier signe à Taehyun qui est heureux de passer sa journée avec sa maraine, et me voilà partie pour mon premier jour. C'est étrange comme sentiment. Je suis anxieuse mais en même temps aussi heureuse. Si je conviens lors de la formation, j'aurai un emploi. Puis la distance entre le lieu de travail et mon futur domicile n'est que de cent mètres, entre, il y a le jardin d'enfant. Je n'ai pas encore exploré le quartier vu que je souhaite passer les examens à l'Université mais d'ici un mois, je vais en avoir le temps. Descendant du bus, je tire légèrement sur le bas de ma robe, vérifie dans la vitre de la porte d'entrée de l'immeuble que je n'ai pas de tâche et que mes vêtements ne font pas trop etudiante. Dans l'ascenseur, je remets du gloss sur mes lèvre, et me voilà dans mon lieu de travail. Il est exactement 9h57. Et c'est là que je constate un truc. Il m'attend où ? Dans son bureau ou dans l'une des autres pièces? Puis y a quoi derrière toutes les portes? Mon anxiétée grandie, alors que je suis complètement perdue. Je pense à enlever ma veste pour la pendre au porte manteau derrière le bureau qui sera le mien dans moins d'un mois. Je me tourne vers la porte du patron, respirant un bon coup. Mes mains lissent les cheveux que j'ai laissé libre ce matin, car Tae Hyun m'a dit qu'il me trouvait plus jolie comme ça. Il est 9h59. Je ferme les yeux tout en levant ma main et frappe à la porte. Et j'attends, tirant une nouvelle fois sur ma robe. Et là, devant cette porte, je revois Il Hoon qui me fait un baise-main. Mes joues reprennent une teinte rosée, d'un coup je me sens gauche. J'ai peur qu'il remarque que je ne sois pas fait pour le boulot. Je pourrai encore partir, faire demi-tour, mentir en disant que j'ai trouvé un boulot de traductrice, même si c'est un mensonge. Puis je me rappelle qu'il n'a rien dit quand il a su pour ma situation, il m'a même aidé en m'indiquant qu'il y avait des appartement dans le quartier à louer. Une garderie pour mon fils. Mes mains devant ma bouche, je rigole en le revoyant me dire que je dois finir mes etudes en cours du soir, et qu'il me les payera. Je suis totalement perdue dans mes pensées que je n'entends pas ascenseur s'ouvrir, ni ses pas s'approcher de moi au début. C'est juste en sentant un regard dans mon dos, que je me recule de la porte avant de me retourner pour tomber nez à nez avec Il Hoon. Je le regarde avant de baisser la tête, les mains jointes devant moi, comme prise en faute. Bonjour, monsieur. dis-je dans un murmure.
☆☆☆ Beerus
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Un dernier signe à Taehyun qui est heureux de passer sa journée avec sa maraine, et me voilà partie pour mon premier jour. C'est étrange comme sentiment. Je suis anxieuse mais en même temps aussi heureuse. Si je conviens lors de la formation, j'aurai un emploi. Puis la distance entre le lieu de travail et mon futur domicile n'est que de cent mètres, entre, il y a le jardin d'enfant. Je n'ai pas encore exploré le quartier vu que je souhaite passer les examens à l'Université mais d'ici un mois, je vais en avoir le temps. Descendant du bus, je tire légèrement sur le bas de ma robe, vérifie dans la vitre de la porte d'entrée de l'immeuble que je n'ai pas de tâche et que mes vêtements ne font pas trop etudiante. Dans l'ascenseur, je remets du gloss sur mes lèvre, et me voilà dans mon lieu de travail. Il est exactement 9h57. Et c'est là que je constate un truc. Il m'attend où ? Dans son bureau ou dans l'une des autres pièces? Puis y a quoi derrière toutes les portes? Mon anxiétée grandie, alors que je suis complètement perdue. Je pense à enlever ma veste pour la pendre au porte manteau derrière le bureau qui sera le mien dans moins d'un mois. Je me tourne vers la porte du patron, respirant un bon coup. Mes mains lissent les cheveux que j'ai laissé libre ce matin, car Tae Hyun m'a dit qu'il me trouvait plus jolie comme ça. Il est 9h59. Je ferme les yeux tout en levant ma main et frappe à la porte. Et j'attends, tirant une nouvelle fois sur ma robe. Et là, devant cette porte, je revois Il Hoon qui me fait un baise-main. Mes joues reprennent une teinte rosée, d'un coup je me sens gauche. J'ai peur qu'il remarque que je ne sois pas fait pour le boulot. Je pourrai encore partir, faire demi-tour, mentir en disant que j'ai trouvé un boulot de traductrice, même si c'est un mensonge. Puis je me rappelle qu'il n'a rien dit quand il a su pour ma situation, il m'a même aidé en m'indiquant qu'il y avait des appartement dans le quartier à louer. Une garderie pour mon fils. Mes mains devant ma bouche, je rigole en le revoyant me dire que je dois finir mes etudes en cours du soir, et qu'il me les payera. Je suis totalement perdue dans mes pensées que je n'entends pas ascenseur s'ouvrir, ni ses pas s'approcher de moi au début. C'est juste en sentant un regard dans mon dos, que je me recule de la porte avant de me retourner pour tomber nez à nez avec Il Hoon. Je le regarde avant de baisser la tête, les mains jointes devant moi, comme prise en faute. Bonjour, monsieur. dis-je dans un murmure.
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Re: it is a question of self-control // ilhi | Dim 24 Sep - 22:02 Citer EditerSupprimer
Ecouteurs sur les oreilles, chien accroché avec sa laisse à ma taille, je vais vers le studio à petites foulées, tranquillement. Ça fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de courir ainsi, en me sentant totalement libre dans mes mouvements, dans ma tête. Presque guéri, officiellement bientôt guéri, officieusement déjà. Je ne saurai dire le soulagement que c’est en moi. Un kilo de repris aussi, c’est une bonne chose, je dois bien l’avouer. Prendre du poids n’a jamais été aussi satisfaisant de ma vie, et maintenant, je ne regarde plus ma balance avec la hantise de me sentir trop gros, mais celle de maigrir à nouveau. Chaque jour, un autre combat. Arrivé devant l’immeuble, je lève la tête et observe l’ensemble dans un petit sourire avant de rentrer dedans. Ascenseur ? Escaliers ? Reprendre le sport, c’est bien, mais comme l’a dit mon médecin, il ne faut pas que ce soit trop, alors, un peu à contrecoeur, j’appelle l’ascenseur, ce qui semble surprendre Hachiko. Caressant la tête du chien, j’avance avec lui en le détachant enfin avant de ranger sa laisse dans mon sac à dos puis d’appuyer sur l’étage désiré, en baillant un peu malgré tout. Une nouvelle soirée mondaine la veille a eu raison de moi. Redevenir social, ça demande de l’énergie. Arrivé au bon étage, je sors de là et la regarde rire avant de hausser un sourcil alors qu’elle se tourne vers moi pour devenir toute sage, toute minuscule. « Bonjour, monsieur. » « Ilhoon, s’il te plaît. » Avançant, j’ouvre la porte du studio et la laisse passer en première avant de la suivre et refermer l’entrée derrière nous. Elle a un beau rire, mais j’ai l’impression que les gens ne peuvent pas l’entendre souvent. Une fois dans son futur bureau, j’allume l’ordinateur et pars chercher une seconde chaise avec une sorte de journal de bord que j’avais fait que Hyorin a étoffé. « Ce n’est pas si compliqué, tu verras. Je m’occupe de tout ce qui est relatif à la comptabilité, du coup, ça tu n’as pas à gérer ça. » Souriant, je me pose devant l’ordinateur. « Tu vas bien ? Taehyun aussi ? »
☆☆☆ Beerus
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Ecouteurs sur les oreilles, chien accroché avec sa laisse à ma taille, je vais vers le studio à petites foulées, tranquillement. Ça fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de courir ainsi, en me sentant totalement libre dans mes mouvements, dans ma tête. Presque guéri, officiellement bientôt guéri, officieusement déjà. Je ne saurai dire le soulagement que c’est en moi. Un kilo de repris aussi, c’est une bonne chose, je dois bien l’avouer. Prendre du poids n’a jamais été aussi satisfaisant de ma vie, et maintenant, je ne regarde plus ma balance avec la hantise de me sentir trop gros, mais celle de maigrir à nouveau. Chaque jour, un autre combat. Arrivé devant l’immeuble, je lève la tête et observe l’ensemble dans un petit sourire avant de rentrer dedans. Ascenseur ? Escaliers ? Reprendre le sport, c’est bien, mais comme l’a dit mon médecin, il ne faut pas que ce soit trop, alors, un peu à contrecoeur, j’appelle l’ascenseur, ce qui semble surprendre Hachiko. Caressant la tête du chien, j’avance avec lui en le détachant enfin avant de ranger sa laisse dans mon sac à dos puis d’appuyer sur l’étage désiré, en baillant un peu malgré tout. Une nouvelle soirée mondaine la veille a eu raison de moi. Redevenir social, ça demande de l’énergie. Arrivé au bon étage, je sors de là et la regarde rire avant de hausser un sourcil alors qu’elle se tourne vers moi pour devenir toute sage, toute minuscule. « Bonjour, monsieur. » « Ilhoon, s’il te plaît. » Avançant, j’ouvre la porte du studio et la laisse passer en première avant de la suivre et refermer l’entrée derrière nous. Elle a un beau rire, mais j’ai l’impression que les gens ne peuvent pas l’entendre souvent. Une fois dans son futur bureau, j’allume l’ordinateur et pars chercher une seconde chaise avec une sorte de journal de bord que j’avais fait que Hyorin a étoffé. « Ce n’est pas si compliqué, tu verras. Je m’occupe de tout ce qui est relatif à la comptabilité, du coup, ça tu n’as pas à gérer ça. » Souriant, je me pose devant l’ordinateur. « Tu vas bien ? Taehyun aussi ? »
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Re: it is a question of self-control // ilhi | Lun 25 Sep - 10:46 Citer EditerSupprimer
Je ris en me rappelant mon entretien tout en regardant la porte devant moi. Un rire doux, un rire qui me paraît étrange à mes oreilles tellement il n'a plus renoncé ainsi depuis si longtemps. Mon stress me quitte doucement à force de rire et j'imagine ma nouvelle vie loin des tumultes de la vie étudiante. Jusqu'à ce que je sente un regard dans mon dos et que je me calme, préférant me retourner pour saluer mon patron. Ma timidité refait surface, pourtant j'ai eu le temps de le regarder et de rougir avant de baisser la tête comme prise en faute. Quand sa voix résonne auprès de moi, c'est pour me demander de l'appeler par son prénom. Étonnée, je le regarde tout en me mordant les lèvres et j'acquiesce en inclinant ma tête de haut en bas plusieurs fois avant de me mettre sur le côté en le voyant sortir un trousseau de clefs. Je profite de ce moment pour récupérer ma veste que j'ai posé sur une chaise ainsi que mon sac. Son regard sur moi, me fait comprendre qu'il attend que je passe la première dans les locaux, mais je préfère attendre que le chien passe devant moi. Et là, monsieur Cha ne peut pas voir le sourire que je donne à son chien qui me regarde intrigué.
Nul besoin de m'indiquer où se trouve mon bureau pour les prochaines années qui vont découler, j'ai étudié les lieux lors de mon entretien et c'est d'un pas gêné que je m'avance, me retenant de me retourner vers lui pour voir si je fais une erreur, si ça se trouve, il a décidé que je devais me trouver autre part. Mais non. Dans le bureau, alors que je tourne sur moi pour juger du lieu, lançant un œil critique sur la plante dans la pièce qui mériterait beaucoup de tendresse et surtout de l'eau pour qu'elle puisse boire. Il allume l'ordinateur et s'absente un moment pour revenir avec une chaisse. Je prends ma veste au porte manteau derrière moi avant de m'installer sur la chaisse libre. Et de rougir en le voyant me regarder. Je... j'attrape le cahier pour me mettre à le lire. Et ce que je dois faire n'est pas très compliqué. Après tout, je suis de cette génération qui a grandit avec l'ordinateur et l'Internet. Je relève la tête à sa question. Oui, il a hâte de déménager. c'est murmuré, j'ouvre les yeux en grands avant de soupirer mentalement. Il va falloir que j'arrête de me comporter ainsi. Il ne va jamais vouloir me garder si je ne parle pas clairement. Prenant sur moi, je fixe son regard tout en me sentant rougir. Merci d'avoir appeler l'agence immobilière pour moi, monsieur. Moi qui pensait qu'il faudrait du temps avant de trouver un endroit convenable où habiter. J'étais la future locatrice d'un appartement trop grand pour deux personnes avec assez de place pour qu'un enfant de cinq ans puisse jouer comme il le souhaite.
Puis, j'écoute les instructions avant de fouiller dans mon sac à main pour chercher après mes lunettes de vue. Je ne suis pas obligée de les porter juste que je ne souhaite pas fatiguer mes yeux en travaillant sur un écran. Je refais plusieurs fois ce qu'il me montre, réussissant assez vite sans m'en mêler les pinceaux. Et là, je ne me rends pas compte que je lui souris à chaque fois que je réussis l'une de ses demandes. Mon regard devient même pétillant, tellement je suis fière de moi. Jusqu'à ce moment où debout versant de l'eau à la plante, le téléphone sonne. Il n'a pas besoin de me demander de décrocher, vu que c'est l'une de mes tâches. Je m'approche du bureau, prends le combiné en main, me prend les pieds dans la lanière de mon sac, atterrit sur lui et studio INK(+)VIBES, Nam Hi a votre service, que puis-je faire pour vous? Déjà je rougis car je suis sur ses genoux et que tout en parlant je ne l'ai pas quitté des yeux. Sauf que personne ne répond à l'autre bout de la ligne. J'hausse un sourcil avant de murmurer sur un ton de confidence Le téléphone ne fonctionne pas.
☆☆☆ Beerus
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Je ris en me rappelant mon entretien tout en regardant la porte devant moi. Un rire doux, un rire qui me paraît étrange à mes oreilles tellement il n'a plus renoncé ainsi depuis si longtemps. Mon stress me quitte doucement à force de rire et j'imagine ma nouvelle vie loin des tumultes de la vie étudiante. Jusqu'à ce que je sente un regard dans mon dos et que je me calme, préférant me retourner pour saluer mon patron. Ma timidité refait surface, pourtant j'ai eu le temps de le regarder et de rougir avant de baisser la tête comme prise en faute. Quand sa voix résonne auprès de moi, c'est pour me demander de l'appeler par son prénom. Étonnée, je le regarde tout en me mordant les lèvres et j'acquiesce en inclinant ma tête de haut en bas plusieurs fois avant de me mettre sur le côté en le voyant sortir un trousseau de clefs. Je profite de ce moment pour récupérer ma veste que j'ai posé sur une chaise ainsi que mon sac. Son regard sur moi, me fait comprendre qu'il attend que je passe la première dans les locaux, mais je préfère attendre que le chien passe devant moi. Et là, monsieur Cha ne peut pas voir le sourire que je donne à son chien qui me regarde intrigué.
Nul besoin de m'indiquer où se trouve mon bureau pour les prochaines années qui vont découler, j'ai étudié les lieux lors de mon entretien et c'est d'un pas gêné que je m'avance, me retenant de me retourner vers lui pour voir si je fais une erreur, si ça se trouve, il a décidé que je devais me trouver autre part. Mais non. Dans le bureau, alors que je tourne sur moi pour juger du lieu, lançant un œil critique sur la plante dans la pièce qui mériterait beaucoup de tendresse et surtout de l'eau pour qu'elle puisse boire. Il allume l'ordinateur et s'absente un moment pour revenir avec une chaisse. Je prends ma veste au porte manteau derrière moi avant de m'installer sur la chaisse libre. Et de rougir en le voyant me regarder. Je... j'attrape le cahier pour me mettre à le lire. Et ce que je dois faire n'est pas très compliqué. Après tout, je suis de cette génération qui a grandit avec l'ordinateur et l'Internet. Je relève la tête à sa question. Oui, il a hâte de déménager. c'est murmuré, j'ouvre les yeux en grands avant de soupirer mentalement. Il va falloir que j'arrête de me comporter ainsi. Il ne va jamais vouloir me garder si je ne parle pas clairement. Prenant sur moi, je fixe son regard tout en me sentant rougir. Merci d'avoir appeler l'agence immobilière pour moi, monsieur. Moi qui pensait qu'il faudrait du temps avant de trouver un endroit convenable où habiter. J'étais la future locatrice d'un appartement trop grand pour deux personnes avec assez de place pour qu'un enfant de cinq ans puisse jouer comme il le souhaite.
Puis, j'écoute les instructions avant de fouiller dans mon sac à main pour chercher après mes lunettes de vue. Je ne suis pas obligée de les porter juste que je ne souhaite pas fatiguer mes yeux en travaillant sur un écran. Je refais plusieurs fois ce qu'il me montre, réussissant assez vite sans m'en mêler les pinceaux. Et là, je ne me rends pas compte que je lui souris à chaque fois que je réussis l'une de ses demandes. Mon regard devient même pétillant, tellement je suis fière de moi. Jusqu'à ce moment où debout versant de l'eau à la plante, le téléphone sonne. Il n'a pas besoin de me demander de décrocher, vu que c'est l'une de mes tâches. Je m'approche du bureau, prends le combiné en main, me prend les pieds dans la lanière de mon sac, atterrit sur lui et studio INK(+)VIBES, Nam Hi a votre service, que puis-je faire pour vous? Déjà je rougis car je suis sur ses genoux et que tout en parlant je ne l'ai pas quitté des yeux. Sauf que personne ne répond à l'autre bout de la ligne. J'hausse un sourcil avant de murmurer sur un ton de confidence Le téléphone ne fonctionne pas.
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Re: it is a question of self-control // ilhi | Lun 25 Sep - 21:45 Citer EditerSupprimer
Oui, il a hâte de déménager. « J’imagine. » Il faut dire que les appartements dans le coin ont quand même un bon standing. Je suis sûr que c’est plus grand, plus spacieux, et neuf comparé à ce qu’elle devait avoir jusqu’à présent, et en même temps, je n’ai pas vraiment le droit de juger ça hein ? Merci d'avoir appeler l'agence immobilière pour moi, monsieur. Hochant simplement la tête, je souris un peu avant de lui dire que ce n’était pas grand-chose. Et puis, elle allait avoir besoin de quelqu’un comme garant. Tant qu’à faire, autant remplir le rôle aussi. Ils savent que l’agence fait le plein de profits. C’est rassurant. Alors je me contente de sourire et de commencer à lui expliquer les choses, honnêtement, en deux journées, ça sera relativement facile pour elle. J’aime ses sourires, elle a vraiment des beaux sourires. C’est agréable en fait. Lorsque le téléphone sonne, j’allais avoir le réflexe de décrocher, après tout, c’est dimanche… Mais elle le fait relativement vite en se redressant sur sa chaise afin de l’attraper, puisque je l’avais poussé un peu plus loin pour nous faire de la place. Et là, lorsqu’elle chute au ralenti, je l’attrape dans mes bras et la fixe en haussant un peu les sourcils, surpris de ce moment, mais sans la lâcher pour autant. studio INK(+)VIBES, Nam Hi a votre service, que puis-je faire pour vous? Elle rougit, ça m’amuse de voir ça, je ne peux pas dire le contraire, elle a vraiment le rougissement facile. J’avoue que j’ai bien envie de m’amuser d’avantage à voir ses joues rougir plus que de raison. Voir quand ça arrive plus facilement, et tout ça. Le téléphone ne fonctionne pas. Un faible rire m’échappe et j’attrape le téléphone pour lui tourner dans le bon sens et lui remettre contre l’oreille, lui faisant signe de reprendre la conversation, jusqu’à ce qu’elle ne me la passe parce qu’on me demande. La gardant sur mes genoux, mon pousse caresse doucement sa taille alors que je discute avec mon ami producteur. « Hn, ara ! On déjeune ensemble demain à 13h. Hn… Hn. Ja’. » Raccrochant, je fixe NamHi. « La prochaine fois, range peut-être ton sac à main ? Hyorin le mettait dans le dernier tiroir, elle le laisse vide exprès. » Je dis ça pour elle, après tout, mes genoux ne seront pas toujours là pour la rattraper...
☆☆☆ Beerus
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Oui, il a hâte de déménager. « J’imagine. » Il faut dire que les appartements dans le coin ont quand même un bon standing. Je suis sûr que c’est plus grand, plus spacieux, et neuf comparé à ce qu’elle devait avoir jusqu’à présent, et en même temps, je n’ai pas vraiment le droit de juger ça hein ? Merci d'avoir appeler l'agence immobilière pour moi, monsieur. Hochant simplement la tête, je souris un peu avant de lui dire que ce n’était pas grand-chose. Et puis, elle allait avoir besoin de quelqu’un comme garant. Tant qu’à faire, autant remplir le rôle aussi. Ils savent que l’agence fait le plein de profits. C’est rassurant. Alors je me contente de sourire et de commencer à lui expliquer les choses, honnêtement, en deux journées, ça sera relativement facile pour elle. J’aime ses sourires, elle a vraiment des beaux sourires. C’est agréable en fait. Lorsque le téléphone sonne, j’allais avoir le réflexe de décrocher, après tout, c’est dimanche… Mais elle le fait relativement vite en se redressant sur sa chaise afin de l’attraper, puisque je l’avais poussé un peu plus loin pour nous faire de la place. Et là, lorsqu’elle chute au ralenti, je l’attrape dans mes bras et la fixe en haussant un peu les sourcils, surpris de ce moment, mais sans la lâcher pour autant. studio INK(+)VIBES, Nam Hi a votre service, que puis-je faire pour vous? Elle rougit, ça m’amuse de voir ça, je ne peux pas dire le contraire, elle a vraiment le rougissement facile. J’avoue que j’ai bien envie de m’amuser d’avantage à voir ses joues rougir plus que de raison. Voir quand ça arrive plus facilement, et tout ça. Le téléphone ne fonctionne pas. Un faible rire m’échappe et j’attrape le téléphone pour lui tourner dans le bon sens et lui remettre contre l’oreille, lui faisant signe de reprendre la conversation, jusqu’à ce qu’elle ne me la passe parce qu’on me demande. La gardant sur mes genoux, mon pousse caresse doucement sa taille alors que je discute avec mon ami producteur. « Hn, ara ! On déjeune ensemble demain à 13h. Hn… Hn. Ja’. » Raccrochant, je fixe NamHi. « La prochaine fois, range peut-être ton sac à main ? Hyorin le mettait dans le dernier tiroir, elle le laisse vide exprès. » Je dis ça pour elle, après tout, mes genoux ne seront pas toujours là pour la rattraper...
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Re: it is a question of self-control // ilhi | Lun 25 Sep - 22:12 Citer EditerSupprimer
Rouge, c'est ainsi que mon visage doit être quand il me rattrape dans ses bras. Gênée, c'est logique. Mon premier jour et je me fais déjà remarqué. C'est une caresse que je sens à ma taille. Non, juste mon esprit qui me joue des tours. Et je ne suis absolument pas perturbée. Non, ce n'est pas mon cœur que j'entends à la place d'une voix dans le combiné. Absolument pas. Je regarde le téléphone en main avant de murmurer qu'il doit être cassé. Il rigole en le retournant. Non, je n'ai absolument pas envie de me terrer dans un trou de souris là. Je rentre la tête dans les épaules, baisse les yeux sur le bureau et je n'ai pas encore quitté ses genoux. C'est ses mains sur ma taille qui me retiennent, pourquoi ai-je l'impression qu'il est écrit menteuse sur mon front là ? Bon, l'interlocuteur rigole aussi quand je m'excuse. Il me dit qu'il veut parler à mon patron, c'est bien, je ne dois pas jouer avec le cadran là pour le prévenir, il me suffit de lui tendre le combiné. Je vais pour me lever sauf qu'il parle tout haut et je comprends assez vite qu'il faut que je prenne note. J'attrape un post it et un bic vu que le programme sur lequel nous étions n'est pas son agenda et le marque. Puis quand il raccroche, il me fixe. J'ai l'impression qu'il se retient de rire et quand je l'entends me parler de mon sac, là je me lève et lui tourne le dos, juste pour faire une moue boudeuse sans qu'il le voit avant de me remettre à ma place pour faire ce qu'il vient de dire. Maintenant, il va falloir que je garde le regard sur l'écran et ne pas me retourner vers lui quand il me fixe. Et surtout que mon cœur arrête d'essayer de s'entraîner pour le marathon là. Le pire c'est que je dois encore rougir car je me sens intimider à ses côtés. Merde ! Y a que moi pour me retrouver assise sur les genoux de mon patron.
Et si j'appuie là, vous recevez le dossier ? C'est un peu comme un mail non? J'ai arrêté de murmurer après quelques heures mais ce n'est pas encore ça. Je me sens moins timide sauf quand il me fixe comme maintenant. Là, j'apprends à lui transférer un dossier en passant par un serveur. Mais ça n'irait pas plus vite si j'imprime le dossier pour que vous le lisez ? Ce n'est pas parce que j'ai grandie dans le siècle de la communication que j'aime vraiment utiliser l'informatique. Je tourne la tête en évitant de le regarder sinon je vais encore rougir quand mon estomac rappelle l'heure qu'il est. Bingo, je rougis encore et détourne la tête. Oh je n'avais pas encore vu ce coin là du mur. C'est pas une arai.. je me recule et cache mon visage dans ce qui peut me protéger de cette affreuse bestiole, l'épaule de Il Hoon
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Rouge, c'est ainsi que mon visage doit être quand il me rattrape dans ses bras. Gênée, c'est logique. Mon premier jour et je me fais déjà remarqué. C'est une caresse que je sens à ma taille. Non, juste mon esprit qui me joue des tours. Et je ne suis absolument pas perturbée. Non, ce n'est pas mon cœur que j'entends à la place d'une voix dans le combiné. Absolument pas. Je regarde le téléphone en main avant de murmurer qu'il doit être cassé. Il rigole en le retournant. Non, je n'ai absolument pas envie de me terrer dans un trou de souris là. Je rentre la tête dans les épaules, baisse les yeux sur le bureau et je n'ai pas encore quitté ses genoux. C'est ses mains sur ma taille qui me retiennent, pourquoi ai-je l'impression qu'il est écrit menteuse sur mon front là ? Bon, l'interlocuteur rigole aussi quand je m'excuse. Il me dit qu'il veut parler à mon patron, c'est bien, je ne dois pas jouer avec le cadran là pour le prévenir, il me suffit de lui tendre le combiné. Je vais pour me lever sauf qu'il parle tout haut et je comprends assez vite qu'il faut que je prenne note. J'attrape un post it et un bic vu que le programme sur lequel nous étions n'est pas son agenda et le marque. Puis quand il raccroche, il me fixe. J'ai l'impression qu'il se retient de rire et quand je l'entends me parler de mon sac, là je me lève et lui tourne le dos, juste pour faire une moue boudeuse sans qu'il le voit avant de me remettre à ma place pour faire ce qu'il vient de dire. Maintenant, il va falloir que je garde le regard sur l'écran et ne pas me retourner vers lui quand il me fixe. Et surtout que mon cœur arrête d'essayer de s'entraîner pour le marathon là. Le pire c'est que je dois encore rougir car je me sens intimider à ses côtés. Merde ! Y a que moi pour me retrouver assise sur les genoux de mon patron.
Et si j'appuie là, vous recevez le dossier ? C'est un peu comme un mail non? J'ai arrêté de murmurer après quelques heures mais ce n'est pas encore ça. Je me sens moins timide sauf quand il me fixe comme maintenant. Là, j'apprends à lui transférer un dossier en passant par un serveur. Mais ça n'irait pas plus vite si j'imprime le dossier pour que vous le lisez ? Ce n'est pas parce que j'ai grandie dans le siècle de la communication que j'aime vraiment utiliser l'informatique. Je tourne la tête en évitant de le regarder sinon je vais encore rougir quand mon estomac rappelle l'heure qu'il est. Bingo, je rougis encore et détourne la tête. Oh je n'avais pas encore vu ce coin là du mur. C'est pas une arai.. je me recule et cache mon visage dans ce qui peut me protéger de cette affreuse bestiole, l'épaule de Il Hoon
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Re: it is a question of self-control // ilhi | Mar 26 Sep - 17:08 Citer EditerSupprimer
Et si j'appuie là, vous recevez le dossier ? C'est un peu comme un mail non? Après l’épisode assez mignon du téléphone, et surtout, de son côté boudeur qui m’avait fait dos pendant plusieurs secondes avant de se reprendre, on s’était lancés dans deux bonnes heures bien chargées en travail, mais au moins, c’était fait. Je pense vraiment qu’au bout de deux dimanches, ça irait bien pour elle. Mais ça n'irait pas plus vite si j'imprime le dossier pour que vous le lisez ? « Fondamentalement, si mais j’essaie de devenir éco-friendly. J’ai fait venir un ami qui se bataille un peu pour ça et qui a revu beaucoup de choses dans l’agence, et du coup, pour les impressions, tant que ce n’est pas nécessaire, alors autant ne pas le faire. » Son ventre qui gronde me fait regarder ma montre. Oh oui, quasiment 13h ! Déjà ? Assez étonné, j’allais lui dire d’aller prendre simplement son manteau mais sa tête se niche sur mon épaule et je hausse un sourcil, un peu insécure, comme un concombre idiot, à me demander ce qu’il se passe. Massant ma nuque, un peu déstabilisé, je lui demande pourquoi elle semble terrorisée et sa petite main se lève pour pointer le mur. Surpris, je fronce les sourcils avant de… « Oh. » Souriant un peu, je me redresse et pars vers le monstre afin de l’attraper dans ma main et d’aller la relâcher par la fenêtre de mon bureau, un tour aux toilettes afin de laver mes paumes, puis je reviens vers elle et lui tends la main. « Elle n’est plus là, on va au restaurant, il est temps de prendre une pause. » Et je l'entraîne avec moi rapidement, allant dans la rue dans un bon restaurant, demandant une table pour deux avant de nous installer l'un face à l'autre, lui disant de prendre ce qu'elle veut, tant que ça lui fait plaisir.
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Et si j'appuie là, vous recevez le dossier ? C'est un peu comme un mail non? Après l’épisode assez mignon du téléphone, et surtout, de son côté boudeur qui m’avait fait dos pendant plusieurs secondes avant de se reprendre, on s’était lancés dans deux bonnes heures bien chargées en travail, mais au moins, c’était fait. Je pense vraiment qu’au bout de deux dimanches, ça irait bien pour elle. Mais ça n'irait pas plus vite si j'imprime le dossier pour que vous le lisez ? « Fondamentalement, si mais j’essaie de devenir éco-friendly. J’ai fait venir un ami qui se bataille un peu pour ça et qui a revu beaucoup de choses dans l’agence, et du coup, pour les impressions, tant que ce n’est pas nécessaire, alors autant ne pas le faire. » Son ventre qui gronde me fait regarder ma montre. Oh oui, quasiment 13h ! Déjà ? Assez étonné, j’allais lui dire d’aller prendre simplement son manteau mais sa tête se niche sur mon épaule et je hausse un sourcil, un peu insécure, comme un concombre idiot, à me demander ce qu’il se passe. Massant ma nuque, un peu déstabilisé, je lui demande pourquoi elle semble terrorisée et sa petite main se lève pour pointer le mur. Surpris, je fronce les sourcils avant de… « Oh. » Souriant un peu, je me redresse et pars vers le monstre afin de l’attraper dans ma main et d’aller la relâcher par la fenêtre de mon bureau, un tour aux toilettes afin de laver mes paumes, puis je reviens vers elle et lui tends la main. « Elle n’est plus là, on va au restaurant, il est temps de prendre une pause. » Et je l'entraîne avec moi rapidement, allant dans la rue dans un bon restaurant, demandant une table pour deux avant de nous installer l'un face à l'autre, lui disant de prendre ce qu'elle veut, tant que ça lui fait plaisir.
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Re: it is a question of self-control // ilhi | Mer 27 Sep - 10:40 Citer EditerSupprimer
Le petit carnet de note est remplie des explications. Dès que je dois essayer et que je reussis, je ne peux m'empêcher de sourire à mon patron. C'est assez facile au faite même si je risque de m'embrouiller au début comme pour le programme qui passe par un serveur pour qu'il puisse lire ce que j'ai écrit ou les correction. Et là, j'ai besoin de m'exprimer, plus en murmurant, après trois heures je me suis habituée à sa présence même si je rougis encore quand il me regarde un peu trop longtemps. Ma voix est claire et douce. Son explication me fait encore plus sourire, donc la société est écolo, c'est merveilleux. J'ai cru que je devrai me battre pour qu'on accepte mes idées. En bonne Pyoboem, l'écologie est important pour moi, j'ai été à toutes les manifestations les quatre dernières années pour sauver la planète. Puis soudainement, mon estomac décide de se faire entendre dans un gargouillement. Et le concours du rougissement reprend. Y a vraiment qu'à moi que ce genre de chose arrive. Le petit déjeuner date d'il y a plus de cinq heures et mon corps réclame son énergie pour survivre pour l'après midi, gênée, je détourne la tête, pour regarder un pan de mur que je n'avais pas encore inspecter quand je la vis, cette chose qui .... Mon visage caché contre l'épaule de Il Hoon, je réponds à sa question en pointant de ma main la direction de l'araignée. Surpris, il se lève. Je ne regarde pas mais l'entend s'approcher du mur avant de disparaître dans son bureau. Et là, je suis pétrifiée en rejouant la scène dans la tête. Après ses genoux, je me cache contre son épaule. Il doit me prendre pourauoi? Une idiote? Certainement.
PS le temps de m'infliger un pincement aux bras pour mon comportement enfantin, qu'il s'approche de moi, me tendant la main. Une nouvelle fois, le rouge me prend aux joues, Il Hoon est galant pas comme ceux de mon âge. J'hoche la tête en posant ma main dans la sienne pour qu'il m'aide à me relever, attrapé ma veste et le suit. Dans l'ascenseur, je lui tourne le dos pour voir si j'ai un message ou une explication de la journée maraine bébé. Mais rien. Dans la rue, je le suis à distance, tout en envoyant un message à Miah juste pour savoir si tout se passe bien et lui rappeler qu'il a assez de jouet, surtout que de la semaine, mon fils va avoir droit à une arrivé de caisse de petites voitures par la "famille".
Au restaurant, je me sens déplacer, c'est l'un de ceux que le prix est un peu plus élevée que la moyenne. Pas comme les familiaux auxquels je vais. Il Hoon me tire la chaise pour que je m'installe avant de s'asseoir en face de moi. Je rougis en prenant le menu que le serveur me tend et profite pour jeter un œil discret aux autres tables, que des couples. C'est la voix de mon patron qui le ramène sur terre, en m'invitant à prendre ce que je veux, j'hoche la tête pour lui montrer que j'ai entendu avant de chercher le menu végétarien, après tout Tae Hyun mange ce qu'il veut mais moi, je suis devenue végétarienne vers mes quatorze ans suite à une émission culinaire. Je soupire en voyant qu'ils ont peu de plat. Un Bon Bun végétarien et un verre d'eau dis-je plus pour moi-même avant de me sentir obliger de justifier mon choix. Je ne fais pas attention à ma ligne. Le plus souvent les gens pensent que ceux qui se rabattent sur des plats de légumes, crustacés ou poisson font un régime. Sauf que c'est archi faux, certains plats sont très gras. Je ne mange plus de viande depuis longtemps. Et au dortoir, c'est même devenue une habitude pour tous.
☆☆☆ Beerus
it is a question of self-control
Le petit carnet de note est remplie des explications. Dès que je dois essayer et que je reussis, je ne peux m'empêcher de sourire à mon patron. C'est assez facile au faite même si je risque de m'embrouiller au début comme pour le programme qui passe par un serveur pour qu'il puisse lire ce que j'ai écrit ou les correction. Et là, j'ai besoin de m'exprimer, plus en murmurant, après trois heures je me suis habituée à sa présence même si je rougis encore quand il me regarde un peu trop longtemps. Ma voix est claire et douce. Son explication me fait encore plus sourire, donc la société est écolo, c'est merveilleux. J'ai cru que je devrai me battre pour qu'on accepte mes idées. En bonne Pyoboem, l'écologie est important pour moi, j'ai été à toutes les manifestations les quatre dernières années pour sauver la planète. Puis soudainement, mon estomac décide de se faire entendre dans un gargouillement. Et le concours du rougissement reprend. Y a vraiment qu'à moi que ce genre de chose arrive. Le petit déjeuner date d'il y a plus de cinq heures et mon corps réclame son énergie pour survivre pour l'après midi, gênée, je détourne la tête, pour regarder un pan de mur que je n'avais pas encore inspecter quand je la vis, cette chose qui .... Mon visage caché contre l'épaule de Il Hoon, je réponds à sa question en pointant de ma main la direction de l'araignée. Surpris, il se lève. Je ne regarde pas mais l'entend s'approcher du mur avant de disparaître dans son bureau. Et là, je suis pétrifiée en rejouant la scène dans la tête. Après ses genoux, je me cache contre son épaule. Il doit me prendre pourauoi? Une idiote? Certainement.
PS le temps de m'infliger un pincement aux bras pour mon comportement enfantin, qu'il s'approche de moi, me tendant la main. Une nouvelle fois, le rouge me prend aux joues, Il Hoon est galant pas comme ceux de mon âge. J'hoche la tête en posant ma main dans la sienne pour qu'il m'aide à me relever, attrapé ma veste et le suit. Dans l'ascenseur, je lui tourne le dos pour voir si j'ai un message ou une explication de la journée maraine bébé. Mais rien. Dans la rue, je le suis à distance, tout en envoyant un message à Miah juste pour savoir si tout se passe bien et lui rappeler qu'il a assez de jouet, surtout que de la semaine, mon fils va avoir droit à une arrivé de caisse de petites voitures par la "famille".
Au restaurant, je me sens déplacer, c'est l'un de ceux que le prix est un peu plus élevée que la moyenne. Pas comme les familiaux auxquels je vais. Il Hoon me tire la chaise pour que je m'installe avant de s'asseoir en face de moi. Je rougis en prenant le menu que le serveur me tend et profite pour jeter un œil discret aux autres tables, que des couples. C'est la voix de mon patron qui le ramène sur terre, en m'invitant à prendre ce que je veux, j'hoche la tête pour lui montrer que j'ai entendu avant de chercher le menu végétarien, après tout Tae Hyun mange ce qu'il veut mais moi, je suis devenue végétarienne vers mes quatorze ans suite à une émission culinaire. Je soupire en voyant qu'ils ont peu de plat. Un Bon Bun végétarien et un verre d'eau dis-je plus pour moi-même avant de me sentir obliger de justifier mon choix. Je ne fais pas attention à ma ligne. Le plus souvent les gens pensent que ceux qui se rabattent sur des plats de légumes, crustacés ou poisson font un régime. Sauf que c'est archi faux, certains plats sont très gras. Je ne mange plus de viande depuis longtemps. Et au dortoir, c'est même devenue une habitude pour tous.
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Re: it is a question of self-control // ilhi | Sam 30 Sep - 21:14 Citer EditerSupprimer
Un Bon Bun végétarien et un verre d'eau Surpris, je hausse un sourcil en la regardant. Il faut dire que d’ordinaire, je n’ai pas l’habitude de croiser quelqu’un mangeant végétarien. Même Myung ne faisait pas vraiment d’efforts avec Elijah ou Jaehwan, alors avec moi, encore moins. Mais là, avant même que je n’ouvre la bouche, elle parle de ça, et mon regard s’illumine un peu, pris d’un désir sincère d’en savoir plus. Pourquoi commander ça ?. Je ne fais pas attention à ma ligne. J’allais répliquer, mais à la place, je souris tendrement, comprenant aisément où elle souhaite en venir et cet aspect d’elle me plaît vraiment. Je veux dire, partager quelque chose d’aussi compliqué avec une autre personne dans une ville pareille, c’est comme de trouver une oasis en plein désert je pense. Je ne mange plus de viande depuis longtemps. Hochant doucement la tête, je souris encore et referme le menu avant de voir le serveur venir vers nous. « Deux bun végétarien et des raviolis vapeurs aux légumes en plus pour moi. Une carafe d’eau pour nous deux et un jus de fruits pour moi. Merci. » Lui rendant les menus, je croise mes bras sur le bord de la table avant de la regarder. « Je suis végétarien aussi, mais c’est très récent, un an à peine. C’est le meilleur ami de mon ex qui m’a fait réfléchir. Il avait les animaux en passion, ça lui allait bien, j’espère qu’il va bien. » Passant une main dans mes cheveux, je remercie le serveur qui amène rapidement nos boissons et sers alors Nam Hi pour qu’elle puisse boire. « C’est agréable en fait, de trouver quelqu’un qui partage ça, surtout dans un pays de viandards. » Même Inha s’est un peu foutu de ma gueule de façon détournée après tout…
☆☆☆ Beerus
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Un Bon Bun végétarien et un verre d'eau Surpris, je hausse un sourcil en la regardant. Il faut dire que d’ordinaire, je n’ai pas l’habitude de croiser quelqu’un mangeant végétarien. Même Myung ne faisait pas vraiment d’efforts avec Elijah ou Jaehwan, alors avec moi, encore moins. Mais là, avant même que je n’ouvre la bouche, elle parle de ça, et mon regard s’illumine un peu, pris d’un désir sincère d’en savoir plus. Pourquoi commander ça ?. Je ne fais pas attention à ma ligne. J’allais répliquer, mais à la place, je souris tendrement, comprenant aisément où elle souhaite en venir et cet aspect d’elle me plaît vraiment. Je veux dire, partager quelque chose d’aussi compliqué avec une autre personne dans une ville pareille, c’est comme de trouver une oasis en plein désert je pense. Je ne mange plus de viande depuis longtemps. Hochant doucement la tête, je souris encore et referme le menu avant de voir le serveur venir vers nous. « Deux bun végétarien et des raviolis vapeurs aux légumes en plus pour moi. Une carafe d’eau pour nous deux et un jus de fruits pour moi. Merci. » Lui rendant les menus, je croise mes bras sur le bord de la table avant de la regarder. « Je suis végétarien aussi, mais c’est très récent, un an à peine. C’est le meilleur ami de mon ex qui m’a fait réfléchir. Il avait les animaux en passion, ça lui allait bien, j’espère qu’il va bien. » Passant une main dans mes cheveux, je remercie le serveur qui amène rapidement nos boissons et sers alors Nam Hi pour qu’elle puisse boire. « C’est agréable en fait, de trouver quelqu’un qui partage ça, surtout dans un pays de viandards. » Même Inha s’est un peu foutu de ma gueule de façon détournée après tout…
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Re: it is a question of self-control // ilhi | Sam 30 Sep - 22:00 Citer EditerSupprimer
Comme à chaque fois, je me sens obliger de me justifier. Surtout auprès d'un homme. Dans ce pays où l'apparence compte, surtout qu'il sait que j'ai un enfant. Il doit penser que je ne mange que des légumes pour un régime et ça, non. Impossible ! Alors après lui avoir dit d'une manière base, je me justifie. Juste cette phrase, le fait sourire et quel sourire. De nouveau, le sang monte aux joues et je détourne la tête, préférant fixer mon regard derrière lui, sur le mur. Du coin de l'oeil, je l'observe, souriante timidement en l'entendant passer commande. Avant de tourner la tête vers lui, tout en le fixant avec de gros yeux, étonnée. Je fronce les sourcils, prête à lui dire qu'il n'a pas besoin de se priver de viande pour moi. Sauf qu'il m'explique. Depuis un an, c'est rare pour un homme. Je cherche ce que je peux dire, plaçant une mèche folle derrière mon oreille avant de passer mes mains à plat sur la table. oui C'est moi où je souris beaucoup pour le moment ? Et mes joues, sont chaudes. Et voilà, je me sens encore nulle car je ne sais pas quoi dire. Ma main attrape le verre d'eau que je porte à mes lèvres pour essayer de garder contenances. Le silence s'installe entre nous me mettant mal à l'aise. C'est énervant, étrange. Mon regard se ballade dans la salle constatant assez vite que beaucoup de table sont prises par des couples. Et voilà que je rougis encore plus. Faut que je trouve quelque chose à dire sinon il risque de me prendre pour une idiote. Mais je peux dire quoi ? Et qu'il arrête de me fixer comme ça. Est-ce que j'ai un bouton sur le nez? Faisant semblant de rien, je pose un doigt sur la pointe de mon nez pour faire semblant de le gratter, non rien, pas de bouton. Vous venez souvent ici? Voilà, j'ai dit quelque chose, d'idiot certe mais je viens de casser le silence qui me mettait mal à l'aise. Le serveur arrive, posant les plats sur la table. Bon appétit. J'espère qu'il ne va pas me regarder pendant qu'on mange.
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Comme à chaque fois, je me sens obliger de me justifier. Surtout auprès d'un homme. Dans ce pays où l'apparence compte, surtout qu'il sait que j'ai un enfant. Il doit penser que je ne mange que des légumes pour un régime et ça, non. Impossible ! Alors après lui avoir dit d'une manière base, je me justifie. Juste cette phrase, le fait sourire et quel sourire. De nouveau, le sang monte aux joues et je détourne la tête, préférant fixer mon regard derrière lui, sur le mur. Du coin de l'oeil, je l'observe, souriante timidement en l'entendant passer commande. Avant de tourner la tête vers lui, tout en le fixant avec de gros yeux, étonnée. Je fronce les sourcils, prête à lui dire qu'il n'a pas besoin de se priver de viande pour moi. Sauf qu'il m'explique. Depuis un an, c'est rare pour un homme. Je cherche ce que je peux dire, plaçant une mèche folle derrière mon oreille avant de passer mes mains à plat sur la table. oui C'est moi où je souris beaucoup pour le moment ? Et mes joues, sont chaudes. Et voilà, je me sens encore nulle car je ne sais pas quoi dire. Ma main attrape le verre d'eau que je porte à mes lèvres pour essayer de garder contenances. Le silence s'installe entre nous me mettant mal à l'aise. C'est énervant, étrange. Mon regard se ballade dans la salle constatant assez vite que beaucoup de table sont prises par des couples. Et voilà que je rougis encore plus. Faut que je trouve quelque chose à dire sinon il risque de me prendre pour une idiote. Mais je peux dire quoi ? Et qu'il arrête de me fixer comme ça. Est-ce que j'ai un bouton sur le nez? Faisant semblant de rien, je pose un doigt sur la pointe de mon nez pour faire semblant de le gratter, non rien, pas de bouton. Vous venez souvent ici? Voilà, j'ai dit quelque chose, d'idiot certe mais je viens de casser le silence qui me mettait mal à l'aise. Le serveur arrive, posant les plats sur la table. Bon appétit. J'espère qu'il ne va pas me regarder pendant qu'on mange.
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