Accueil
sickness means sex, right ? ~ ha jun
Invité
Invité
sickness means sex, right ? ~ ha jun | Lun 18 Sep - 11:56
contrairement à ce qu’on pourrait penser, tu es curieuse quand il s’agit de ta maladie. tu ne veux pas forcément la soigner, parce que ça te convient de ne pas ressentir la douleur physique, mais tu veux comprendre d’où ça vient et voir pourquoi pas après, la soigner. quand on te voit, on ne penserait absolument pas que tu t’intéresses à cette maladie qui te touche. mais c’est le cas. tu n’es pas aussi désintéressée que tu ne le laisses paraître. alors, tu vas aux rendez-vous prévus pour en apprendre toujours plus sur ce que tu as. et aujourd’hui c’est un jour avec pleins d’examens. tu t’y rends avec le sourire aux lèvres comme d’ordinaire. on t’assigne une chambre pour que tu puisses te changer et mettre leur tenue d’hôpital. t’as aussi le droit de prendre des vêtements de sport pour ton test d’aptitude physique. tu passes ensuite dans toutes sortes de machines. les premières fois, t’étais pas vraiment rassurée, mais maintenant que tu as l’habitude, tu t’en fais plus. tu restes donc immobile comme on te l’indique et tu passes dans une autre salle où on te prend ton sang. l’aiguille transperce ta peau sans que tu ne ressentes aucune douleur. l’infirmière rate même la veine et tu ne cries pas de douleur. tu te demandes souvent ce que ça fait d’avoir mal, parce que toi à part la douleur mentale, tu ne connais pas grand-chose. tu souris à la jeune femme qui s’excuse. « c’est rien. c’est pas comme si je pouvais sentir que vous me faites mal. » t’en ris malgré son air gêné et mal à l’aise. tu fais souvent cet effet quand tu prends ton insensibilité congénitale à la douleur à la rigolade. c’est pour ça cette raison que peu de personnes pensent que tu la prends au sérieux, cette maladie. tu finis par faire un test d’effort physique pour voir s’il y a quelque chose d’anormal avec ton cœur et puis lorsque l’on te donne la permission tu quittes la salle d’examen pour te rendre dans la chambre qu’on t’a donné. t’enlèves ton bas de jogging ainsi que ton haut quand tu entends frapper à la porte. « entrez. » que tu dis sans te soucier d’être en sous-vêtement. après tout, ils ont l’habitude de voir des hommes et femmes nus, ça ne changera pas. tu te retournes pour faire face à la personne qui est entrée et tu souris encore un peu plus. c’est ha jun, il t’a déjà vu nue, c’est pas très grave s’il te voit en sous-vêtement. « t’arrives pile à temps pour la douche. » que tu dis malicieusement avec un clin d’œil, parce que c’est le cas. tu te déshabillais pour prendre ta douche après cet effort physique.
sickness means sex, right ?
hajun & mihee
contrairement à ce qu’on pourrait penser, tu es curieuse quand il s’agit de ta maladie. tu ne veux pas forcément la soigner, parce que ça te convient de ne pas ressentir la douleur physique, mais tu veux comprendre d’où ça vient et voir pourquoi pas après, la soigner. quand on te voit, on ne penserait absolument pas que tu t’intéresses à cette maladie qui te touche. mais c’est le cas. tu n’es pas aussi désintéressée que tu ne le laisses paraître. alors, tu vas aux rendez-vous prévus pour en apprendre toujours plus sur ce que tu as. et aujourd’hui c’est un jour avec pleins d’examens. tu t’y rends avec le sourire aux lèvres comme d’ordinaire. on t’assigne une chambre pour que tu puisses te changer et mettre leur tenue d’hôpital. t’as aussi le droit de prendre des vêtements de sport pour ton test d’aptitude physique. tu passes ensuite dans toutes sortes de machines. les premières fois, t’étais pas vraiment rassurée, mais maintenant que tu as l’habitude, tu t’en fais plus. tu restes donc immobile comme on te l’indique et tu passes dans une autre salle où on te prend ton sang. l’aiguille transperce ta peau sans que tu ne ressentes aucune douleur. l’infirmière rate même la veine et tu ne cries pas de douleur. tu te demandes souvent ce que ça fait d’avoir mal, parce que toi à part la douleur mentale, tu ne connais pas grand-chose. tu souris à la jeune femme qui s’excuse. « c’est rien. c’est pas comme si je pouvais sentir que vous me faites mal. » t’en ris malgré son air gêné et mal à l’aise. tu fais souvent cet effet quand tu prends ton insensibilité congénitale à la douleur à la rigolade. c’est pour ça cette raison que peu de personnes pensent que tu la prends au sérieux, cette maladie. tu finis par faire un test d’effort physique pour voir s’il y a quelque chose d’anormal avec ton cœur et puis lorsque l’on te donne la permission tu quittes la salle d’examen pour te rendre dans la chambre qu’on t’a donné. t’enlèves ton bas de jogging ainsi que ton haut quand tu entends frapper à la porte. « entrez. » que tu dis sans te soucier d’être en sous-vêtement. après tout, ils ont l’habitude de voir des hommes et femmes nus, ça ne changera pas. tu te retournes pour faire face à la personne qui est entrée et tu souris encore un peu plus. c’est ha jun, il t’a déjà vu nue, c’est pas très grave s’il te voit en sous-vêtement. « t’arrives pile à temps pour la douche. » que tu dis malicieusement avec un clin d’œil, parce que c’est le cas. tu te déshabillais pour prendre ta douche après cet effort physique.#kerushirei
Invité
Invité
Re: sickness means sex, right ? ~ ha jun | Jeu 5 Oct - 18:40
Je me cogne brutalement la tête, me permettant ainsi de me réveiller et de reprendre le cours de mon esprit. Je regarde autour de moi, vérifiant que personne n’ait vu la scène et me redresse pour prendre de l’ampleur et puiser de l’énergie dans ce corps fatigué. Il faut dire que depuis quelques temps je ne cesse d’enchaîner les nuits, ne trouvant pas un seul moment de répit, ne trouvant même pas le temps pour sortir et vider ma pauvre libido qui ne fait que ressentir un certain manque. En tant qu’interne les nuits sont parfois longues et les journées tout autant. Je n’ai pas choisi les meilleures études au monde et sûrement pas les plus faciles. Mais malgré toutes ces contraintes et ce manque cruel de sommeil, j’apprécie ce que je fais et surtout je tiens bon, pour ma sœur, et pour moi-même. Inspirant profondément je me ressaisis et pars me chercher un café avant de reprendre le dur labeur. D’ordinaire je n’en bois pas beaucoup mais il est vrai que depuis que je suis interne ma consommation a tendance à augmenter malgré moi. Pourtant je sais pertinemment que ce n’est qu’un effet placébo et que le café ne fait pas autant d’effet que ça mais pour le moment mon cerveau associe café avec énergie et cela fonctionne plutôt bien alors autant ne pas s’en priver surtout lorsque j’ai besoin de retrouver de la vivacité. Mais avant que je ne puiss atteindre la salle de repos pour retrouver mon énergie, mon référent m’interpelle me précisant que je dois me rendre de suite à telle chambre, la patiente étant déjà arrivée. Je ne montre aucune frustration et me rends simplement dans ladite chambre, lisant le dossier sur le chemin. Un sourire s’échappe malgré moi de mes lèvres lorsque j’aperçois le nom et prénom de ma patiente, retrouvant alors une certaine fougue. « Je crois que je ne vais pas avoir besoin de café aujourd’hui » dis-je à moi-même, refermant rapidement le dossier, sachant d’avance comment retrouver mon énergie perdue et surtout comment combler tous mes manques.
A peine ai-je ouvert la porte qu’elle m’offre déjà un spectacle digne de ce nom, annonçant déjà la couleur. « Oh mais que vois-je ! Une splendide jeune femme ou du moins . . . une succube » dis-je d’un ton amusé. « Je crois que c’est la première fois que tu te déshabilles aussi vite en ma présence. Est-ce un appel à l’aide ? ». J’esquisse un sourire malicieux, déposant le dossier sur la petite table, avançant tel un prédateur en chasse. En quelques secondes je franchis la distance entre nos deux corps, me penchant légèrement en avant, mes lèvres s’en allant jusqu’à son oreille pour lui susurrer quelques mots, « devrai-je prendre soin de ma patiente et jouer au bon docteur ? ».
Sickness means sex, right ?
Feat Mi Hee
Je me cogne brutalement la tête, me permettant ainsi de me réveiller et de reprendre le cours de mon esprit. Je regarde autour de moi, vérifiant que personne n’ait vu la scène et me redresse pour prendre de l’ampleur et puiser de l’énergie dans ce corps fatigué. Il faut dire que depuis quelques temps je ne cesse d’enchaîner les nuits, ne trouvant pas un seul moment de répit, ne trouvant même pas le temps pour sortir et vider ma pauvre libido qui ne fait que ressentir un certain manque. En tant qu’interne les nuits sont parfois longues et les journées tout autant. Je n’ai pas choisi les meilleures études au monde et sûrement pas les plus faciles. Mais malgré toutes ces contraintes et ce manque cruel de sommeil, j’apprécie ce que je fais et surtout je tiens bon, pour ma sœur, et pour moi-même. Inspirant profondément je me ressaisis et pars me chercher un café avant de reprendre le dur labeur. D’ordinaire je n’en bois pas beaucoup mais il est vrai que depuis que je suis interne ma consommation a tendance à augmenter malgré moi. Pourtant je sais pertinemment que ce n’est qu’un effet placébo et que le café ne fait pas autant d’effet que ça mais pour le moment mon cerveau associe café avec énergie et cela fonctionne plutôt bien alors autant ne pas s’en priver surtout lorsque j’ai besoin de retrouver de la vivacité. Mais avant que je ne puiss atteindre la salle de repos pour retrouver mon énergie, mon référent m’interpelle me précisant que je dois me rendre de suite à telle chambre, la patiente étant déjà arrivée. Je ne montre aucune frustration et me rends simplement dans ladite chambre, lisant le dossier sur le chemin. Un sourire s’échappe malgré moi de mes lèvres lorsque j’aperçois le nom et prénom de ma patiente, retrouvant alors une certaine fougue. « Je crois que je ne vais pas avoir besoin de café aujourd’hui » dis-je à moi-même, refermant rapidement le dossier, sachant d’avance comment retrouver mon énergie perdue et surtout comment combler tous mes manques. A peine ai-je ouvert la porte qu’elle m’offre déjà un spectacle digne de ce nom, annonçant déjà la couleur. « Oh mais que vois-je ! Une splendide jeune femme ou du moins . . . une succube » dis-je d’un ton amusé. « Je crois que c’est la première fois que tu te déshabilles aussi vite en ma présence. Est-ce un appel à l’aide ? ». J’esquisse un sourire malicieux, déposant le dossier sur la petite table, avançant tel un prédateur en chasse. En quelques secondes je franchis la distance entre nos deux corps, me penchant légèrement en avant, mes lèvres s’en allant jusqu’à son oreille pour lui susurrer quelques mots, « devrai-je prendre soin de ma patiente et jouer au bon docteur ? ».
Invité
Invité
Re: sickness means sex, right ? ~ ha jun | Dim 22 Oct - 20:26
tu passes souvent des après-midi à l’hôpital pour ta maladie. avec le temps tu as appris à faire avec et malgré ton air désinvolte quand on te parle de ça, tu as quand même de l’intérêt pour ta maladie. tu sais que tu n’en guériras jamais, les médecins ont été formels. mais ça t’intéresse d’en connaitre la cause surtout que t’es la seule de ta famille comme ça. enfin pour le moment t’as juste des examens pour vérifier que tout va bien dans ton corps et t’as plus qu’à attendre les résultats. tu te rends donc dans la chambre qui t’es attitrée et tu retires tes vêtements après l’examen d’effort physique quand tu entends qu’on frappe à la porte. tu laisses la personne entrer alors que tu es en sous-vêtements. t’as pas honte de ton corps et puis au pire, qu’est-ce qui peut se passer ? tu tomberas sur un ou une infirmière prude et t’auras juste à te rhabiller. mais t’as de la chance, c’est ha jun qui se présente à toi et un sourire vient prendre place sur tes lèvres alors que tu lui lances qu’il arrive pile au bon moment. t’allais prendre ta douche et tu ne refuses jamais de la compagnie. tu ris légèrement quand il t’appelle succube. t’avoues que ça te va plutôt bien ce surnom. « j’étais déjà presque nue quand tu es entré. mais je veux bien de l’aide pour le reste. » tu répliques en désignant tes sous-vêtements. s’il peut t’aider à les enlever tu ne diras pas non. tu observes les gestes de ha jun et tu sens ton corps se tendre quand il s’approche de toi, sous l’envie que tu ressens pour lui. il se penche vers toi et se dirige directement vers ton oreille. il murmure quelques mots et tu sens ton corps réagir instantanément. ta chaleur corporelle augmente et tu relèves les yeux vers lui. « je t’avouerai que j’ai peur de perdre connaissance dans la douche à cause de mon examen. » ton regard se déplace de ses yeux à sa bouche et tu te mords la lèvre sans t’en rendre compte. « ce serait peu judicieux de me laisser y aller seule non ? » et tu papillonnes en remontant ton regard vers le sien, un sourire sur tes lèvres. lentement tu viens poser ta main sur son torse avant de la glisser sur sa nuque pour l’attirer à toi. ton souffle se mêle au sien alors que tes yeux sont concentrés sur cette bouche qui t’appelle. « et puis je vais avoir besoin de traitements supplémentaires. il y a quelques zones qui n’ont pas été examinés aujourd’hui. » et tu réduis la distance en déposant tes lèvres sur les siennes, rapprochant instinctivement ton corps du sien.
sickness means sex, right ?
hajun & mihee
tu passes souvent des après-midi à l’hôpital pour ta maladie. avec le temps tu as appris à faire avec et malgré ton air désinvolte quand on te parle de ça, tu as quand même de l’intérêt pour ta maladie. tu sais que tu n’en guériras jamais, les médecins ont été formels. mais ça t’intéresse d’en connaitre la cause surtout que t’es la seule de ta famille comme ça. enfin pour le moment t’as juste des examens pour vérifier que tout va bien dans ton corps et t’as plus qu’à attendre les résultats. tu te rends donc dans la chambre qui t’es attitrée et tu retires tes vêtements après l’examen d’effort physique quand tu entends qu’on frappe à la porte. tu laisses la personne entrer alors que tu es en sous-vêtements. t’as pas honte de ton corps et puis au pire, qu’est-ce qui peut se passer ? tu tomberas sur un ou une infirmière prude et t’auras juste à te rhabiller. mais t’as de la chance, c’est ha jun qui se présente à toi et un sourire vient prendre place sur tes lèvres alors que tu lui lances qu’il arrive pile au bon moment. t’allais prendre ta douche et tu ne refuses jamais de la compagnie. tu ris légèrement quand il t’appelle succube. t’avoues que ça te va plutôt bien ce surnom. « j’étais déjà presque nue quand tu es entré. mais je veux bien de l’aide pour le reste. » tu répliques en désignant tes sous-vêtements. s’il peut t’aider à les enlever tu ne diras pas non. tu observes les gestes de ha jun et tu sens ton corps se tendre quand il s’approche de toi, sous l’envie que tu ressens pour lui. il se penche vers toi et se dirige directement vers ton oreille. il murmure quelques mots et tu sens ton corps réagir instantanément. ta chaleur corporelle augmente et tu relèves les yeux vers lui. « je t’avouerai que j’ai peur de perdre connaissance dans la douche à cause de mon examen. » ton regard se déplace de ses yeux à sa bouche et tu te mords la lèvre sans t’en rendre compte. « ce serait peu judicieux de me laisser y aller seule non ? » et tu papillonnes en remontant ton regard vers le sien, un sourire sur tes lèvres. lentement tu viens poser ta main sur son torse avant de la glisser sur sa nuque pour l’attirer à toi. ton souffle se mêle au sien alors que tes yeux sont concentrés sur cette bouche qui t’appelle. « et puis je vais avoir besoin de traitements supplémentaires. il y a quelques zones qui n’ont pas été examinés aujourd’hui. » et tu réduis la distance en déposant tes lèvres sur les siennes, rapprochant instinctivement ton corps du sien. #kerushirei
Invité
Invité
Re: sickness means sex, right ? ~ ha jun | Jeu 2 Nov - 19:25
Mes lèvres s’agrandissent dans un rictus malsain, profitant sans aucune gêne de la vue que m’offre la nature humaine. « Alors si tu as besoin d’aide, je ne peux me refuser à répondre à cette demande » dis-je sur le ton de la plaisanterie, tout en avançant pas à pas, tel un prédateur partant à la chasse. Dès lors que mon corps frôle le sien, je sens une certaine tension musculaire et une envie bestiale qui me met progressivement dans un état d’excitation. J’arque légèrement mon sourcil, mon regard s’imprégnant du sien alors qu’elle répond à mes avances, insinuant son envie de partager sa douche avec moi, « je te retiendrai si tu glisses ». Je vois bien dans le reflet de ses yeux qu’elle en a envie, et je pense qu’elle doit constater la même chose dans les miens. Il faut dire qu’à force de partager mes besoins primitifs avec cette femme je parviens facilement à détecter l’expression de son désir. J’en viens même à me demander si je l’ai déjà rencontré, seul, sans finir par partager quelques minutes d’étourdissement. Je me laisse alors faire lorsqu’elle passe de mon torse à ma nuque, de manière provocante, réveillant progressivement le loup qui sommeille en moi. Je sais pertinemment à quoi mes minutes de libre vont servir. Je retiens quelques secondes ma respiration, inhalant la sienne, partageant dès à présent nos souffles. « Si les choses n’ont pas été bien faites alors je vais tout de suite m’en occuper et les examiner en . . . profondeur ». Je n’ai pas le temps d’en dire plus qu’elle dépose déjà ses lèvres contre les miennes, unissant les deux amies pour un langoureux moment. Ma langue se fraye un chemin jusqu’à la sienne, les laissant s’amuser et se nouer, avec douce ardeur. Commence alors un jeu malsain, érotique, défendu, mais tellement plaisant. Goût subtil et épicé, mes lèvres se détachent des siennes pour s’attaquer progressivement à son cou, y laissant une marque rouge, signifiant mon passage sur son corps. Mes mains en profitent pour explorer sa chair presque totalement dénudée, la caressant avec une certaine douceur. « Le docteur prendra bien soin de sa patiente » dis-je avant de m’attaquer à ses bretelles, les faisant délicatement tomber avec mes dents. Je rapproche alors nos deux corps légèrement réchauffés et l’attrape par le fessier, plaçant ses jambes autour de mon bassin, pour la transporter jusqu’à la fameuse douche qui nous attend. Je reprends par la même occasion ses lèvres entre les miennes, m’amusant à les mordiller juste un peu, mes deux mains placées sur son fessier, tirant malicieusement sur l’élastique de son sous-vêtement.
Sickness means sex, right ?
Feat Mi Hee
Mes lèvres s’agrandissent dans un rictus malsain, profitant sans aucune gêne de la vue que m’offre la nature humaine. « Alors si tu as besoin d’aide, je ne peux me refuser à répondre à cette demande » dis-je sur le ton de la plaisanterie, tout en avançant pas à pas, tel un prédateur partant à la chasse. Dès lors que mon corps frôle le sien, je sens une certaine tension musculaire et une envie bestiale qui me met progressivement dans un état d’excitation. J’arque légèrement mon sourcil, mon regard s’imprégnant du sien alors qu’elle répond à mes avances, insinuant son envie de partager sa douche avec moi, « je te retiendrai si tu glisses ». Je vois bien dans le reflet de ses yeux qu’elle en a envie, et je pense qu’elle doit constater la même chose dans les miens. Il faut dire qu’à force de partager mes besoins primitifs avec cette femme je parviens facilement à détecter l’expression de son désir. J’en viens même à me demander si je l’ai déjà rencontré, seul, sans finir par partager quelques minutes d’étourdissement. Je me laisse alors faire lorsqu’elle passe de mon torse à ma nuque, de manière provocante, réveillant progressivement le loup qui sommeille en moi. Je sais pertinemment à quoi mes minutes de libre vont servir. Je retiens quelques secondes ma respiration, inhalant la sienne, partageant dès à présent nos souffles. « Si les choses n’ont pas été bien faites alors je vais tout de suite m’en occuper et les examiner en . . . profondeur ». Je n’ai pas le temps d’en dire plus qu’elle dépose déjà ses lèvres contre les miennes, unissant les deux amies pour un langoureux moment. Ma langue se fraye un chemin jusqu’à la sienne, les laissant s’amuser et se nouer, avec douce ardeur. Commence alors un jeu malsain, érotique, défendu, mais tellement plaisant. Goût subtil et épicé, mes lèvres se détachent des siennes pour s’attaquer progressivement à son cou, y laissant une marque rouge, signifiant mon passage sur son corps. Mes mains en profitent pour explorer sa chair presque totalement dénudée, la caressant avec une certaine douceur. « Le docteur prendra bien soin de sa patiente » dis-je avant de m’attaquer à ses bretelles, les faisant délicatement tomber avec mes dents. Je rapproche alors nos deux corps légèrement réchauffés et l’attrape par le fessier, plaçant ses jambes autour de mon bassin, pour la transporter jusqu’à la fameuse douche qui nous attend. Je reprends par la même occasion ses lèvres entre les miennes, m’amusant à les mordiller juste un peu, mes deux mains placées sur son fessier, tirant malicieusement sur l’élastique de son sous-vêtement. Invité
Invité
Re: sickness means sex, right ? ~ ha jun | Sam 11 Nov - 13:20
tu joues avec le jeune homme parce que même si tu sais qu’il te donnera ce que vous souhaitez tous les deux, ça t’amuse de le séduire un peu. tu n’aimes pas forcément quand tout est si facile. alors, tu le provoques et quand il répond, t’as un frisson qui te parcoure le corps. il va t’aider qu’il a dit. parfait alors. tu laisses un sourire s’afficher sur tes lèvres alors qu’il te promet de te retenir si tu glisses. tu sais qu’il le fera. mais toi tu ne glisseras pas à cause de l’examen. tu le feras parce qu’il te donnera du plaisir. rien que cette idée embrase ton corps un peu plus alors que tu te rapproches de lui, emprisonnant de tes mains sa nuque. ta bouche n’est qu’à quelques centimètres de la sienne alors que tu lui fais comprendre que tu as besoin de lui pour un examen plus approfondi. il y a des zones de ton corps qui n’ont pas été inspecté et c’est son devoir en tant que médecin de le faire. tu souris un peu plus prédatrice quand il te répond. ta chaleur corporelle augmente encore un peu et tu ne le laisses pas en dire plus. tu plaques tes lèvres sur les siennes, cherchant sa jumelle avec envie et passion. tu laisses ha jun prendre les rennes de votre baiser quand il uni sa langue à la tienne. elles jouent ensemble, se cherchent et essaient de prendre le dessus l’une sur l’autre. mais aucun de vous ne veut céder du terrain. c’est ce qui rend votre relation aussi spéciale. tu aimes le fait qu’il puisse te tenir tête. un gémissement s’échappe de ta bouche alors qu’il la délaisse pour s’occuper de ton cou. ta peau brûle là où ses lèvres se sont déposées. tu sens son contact mais rien de plus. il pourrait mordre ton épaule, que tu n’en aurais même pas conscience. par contre, tu sens ses mains sur ton corps l’explorant. il en connait les moindres recoins et sait exactement quelles parties toucher pour que ton désir continue de monter en flèche. « j’y compte bien… sinon je serai obligée d’aller voir un autre docteur. » que tu réponds pour le provoquer un petit peu, même si ça cache un fond de vérité. depuis le temps que tu connais ha jun, tu sais qu’il te satisfera, mais tu sais aussi que si ce n’est pas le cas, tu ne reviendrais plus vers lui. ton sourire ne te quitte plus alors qu’il te soulève du sol. tu obéis sagement, enroulant tes jambes autour de son bassin et tu le laisses te porter jusqu’à la douche, alors qu’il reprend possession de tes lèvres, jouant avant ton sous-vêtement. tu souris contre ses lèvres alors que tu commences à onduler sur lui, son désir contre toi. tu peux le sentir et ça rassure sur tes capacités a toujours arrivé à réveiller ses pulsions. tu délaisses sa bouche pour venir déposer tes lèvres contre son cou. t’as aussi envie de le marquer pour laisser une trace de ton passage. ta main vient alors se glisser entre vos deux corps, puis dans son pantalon, caressant son membre avec envie en-dessous du tissu de son sous-vêtement. tu relèves alors la tête plantant ton regard dans le sien. tu as envie de voir quel effet tu lui fais alors que tes doigts accélèrent la cadence ou en allant lentement, très lentement.
sickness means sex, right ?
hajun & mihee
tu joues avec le jeune homme parce que même si tu sais qu’il te donnera ce que vous souhaitez tous les deux, ça t’amuse de le séduire un peu. tu n’aimes pas forcément quand tout est si facile. alors, tu le provoques et quand il répond, t’as un frisson qui te parcoure le corps. il va t’aider qu’il a dit. parfait alors. tu laisses un sourire s’afficher sur tes lèvres alors qu’il te promet de te retenir si tu glisses. tu sais qu’il le fera. mais toi tu ne glisseras pas à cause de l’examen. tu le feras parce qu’il te donnera du plaisir. rien que cette idée embrase ton corps un peu plus alors que tu te rapproches de lui, emprisonnant de tes mains sa nuque. ta bouche n’est qu’à quelques centimètres de la sienne alors que tu lui fais comprendre que tu as besoin de lui pour un examen plus approfondi. il y a des zones de ton corps qui n’ont pas été inspecté et c’est son devoir en tant que médecin de le faire. tu souris un peu plus prédatrice quand il te répond. ta chaleur corporelle augmente encore un peu et tu ne le laisses pas en dire plus. tu plaques tes lèvres sur les siennes, cherchant sa jumelle avec envie et passion. tu laisses ha jun prendre les rennes de votre baiser quand il uni sa langue à la tienne. elles jouent ensemble, se cherchent et essaient de prendre le dessus l’une sur l’autre. mais aucun de vous ne veut céder du terrain. c’est ce qui rend votre relation aussi spéciale. tu aimes le fait qu’il puisse te tenir tête. un gémissement s’échappe de ta bouche alors qu’il la délaisse pour s’occuper de ton cou. ta peau brûle là où ses lèvres se sont déposées. tu sens son contact mais rien de plus. il pourrait mordre ton épaule, que tu n’en aurais même pas conscience. par contre, tu sens ses mains sur ton corps l’explorant. il en connait les moindres recoins et sait exactement quelles parties toucher pour que ton désir continue de monter en flèche. « j’y compte bien… sinon je serai obligée d’aller voir un autre docteur. » que tu réponds pour le provoquer un petit peu, même si ça cache un fond de vérité. depuis le temps que tu connais ha jun, tu sais qu’il te satisfera, mais tu sais aussi que si ce n’est pas le cas, tu ne reviendrais plus vers lui. ton sourire ne te quitte plus alors qu’il te soulève du sol. tu obéis sagement, enroulant tes jambes autour de son bassin et tu le laisses te porter jusqu’à la douche, alors qu’il reprend possession de tes lèvres, jouant avant ton sous-vêtement. tu souris contre ses lèvres alors que tu commences à onduler sur lui, son désir contre toi. tu peux le sentir et ça rassure sur tes capacités a toujours arrivé à réveiller ses pulsions. tu délaisses sa bouche pour venir déposer tes lèvres contre son cou. t’as aussi envie de le marquer pour laisser une trace de ton passage. ta main vient alors se glisser entre vos deux corps, puis dans son pantalon, caressant son membre avec envie en-dessous du tissu de son sous-vêtement. tu relèves alors la tête plantant ton regard dans le sien. tu as envie de voir quel effet tu lui fais alors que tes doigts accélèrent la cadence ou en allant lentement, très lentement.#kerushirei
Invité
Invité
Invité
Invité
Invité
Invité
Invité
Invité