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i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong
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i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Ven 22 Sep 2017 - 15:19 Citer EditerSupprimer
I've learned so much from my mistakes, I'm thinking about making a few more
Je n’ai pas vu le temps qui passe. Un crayon posé au coin des lèvres, j’écoute le professeur en prenant les notes de la classe d’aujourd’hui. D’habitude les cours sont plus pratiques. Retourner à la théorie des quatre premières années me fait vite lâcher sur les quelques exercices de révision qui nous sont proposés. Je me change les idées en regardant à travers la fenêtre. En comptant les heures avant le weekend. En me disant que le périple mégalomane de mon célèbre de frère s’achève enfin. Et que j’aurais tout un weekend de créativité à rattraper pour rentabiliser tout le mois dernier où je n’ai pas pu l’embêter avec mes bêtises de petite sœur.
Bon sang ! je pourrais l’achever en une fois si je n’avais pas fait promettre à ma mère de garder le secret de ma relation inexistante avec notre locataire. C’est difficile de contenter les envies de chacun. Ma mère voudrait que je trouve un garçon bien et que je me marie rapidement. Mon frère préfèrerait que je me fasse nonne et que je reste à l’âge innocent où les caleçons des garçons sont seulement ces trucs qui dépassent du pantalon et qu’on peut tirer pour les embêter.
Manque de chance, et pour l’un et pour l’autre, je ne suis ni bonne à marier, ni un modèle de vertu.
Alors pour mon propre bien, je vais éviter de raconter à Seyong ce qu’il se passe entre moi et le garçon qu’il loge dans la dépendance. Parce que si je lui disais que je sortais avec lui, pire que de nous tuer tous les deux, il le foutrait à la porte et moi, il m’enfermerait dans une tour qu’il aura construit dans la nuit. Et que si je lui disais que c’était pour de faux, déjà il ne comprendrait pas pourquoi je fais ça et en plus, il irait s’imaginer un milliard de choses qui le rendraient sceptique et je pourrais dire adieu à tout un pan sacré de ma vie privée.
Ha, les grands frères !
J’y pense dès l’instant où je reçois un message. Les soirées nouilles devant la télévision m’avaient manqué ! C’est pas pareil avec des amis… c’est pas pareil quand on est seule aussi. Il me faut un Seyong pour être heureuse. Je l’ai bassiné les trois derniers jours pour savoir quand est-ce qu’il rentrait précisément. Je suis enfin heureuse qu’il soit de retour à Séoul. Ses fans, ses fans… oui, oui ! Bah bientôt je vais devoir me déguiser en fan, m’acheter des tickets VIP et faire la queue à chacune de ses dédicaces pour lui demander ce qu’il veut manger ce soir !
J’avoue qu’à la première lecture, j’ai pas saisi ce qu’il voulait dire. Je lui réponds quelque chose d’un peu stupide, à l’image de sa question. Et puis ça fait tilte dans ma tête.
OUPS.
Je blinde le dossier. S’il faut que je meure aujourd’hui, je dois absolument laisser des traces de mon innocence qui permettront à ma mère de laver mon honneur une fois que j’aurais quitté ce monde. J’explique brièvement la situation à Seyong. Je lui répète un milliard de fois que,
Et il finit par se pointer au pied de mon bâtiment universitaire. Je suis encore plutôt sereine à ce moment-là. Je range les affaires de mon dernier cours et cherche directement une bonne excuse voire même un virage qui me permettrait de changer de sujet et lui faire oublier que j’ai dû demander au serrurier de péter les serrures de la maison parce que la porte voulait plus s’ouvrir.
Un grand moment… je l’aperçois devant l’université et passe en mode filature. J’arrive dans son dos, je grimpe sur la pointe de la pointe de mes pieds (c’est pas normal qu’en partageant les mêmes gênes, il soit si grand et moi si petite) et glisse mes mains devant ses yeux.
Je prends une voix faussement modifiée, comme si j’étais le Père Noël, d’un ton grave qui en vrai, ne trompe personne. « DEVINE QUI C’EST ? » Bonjour, je m’appelle Seah et j’ai toujours cinq ans.
Bon sang ! je pourrais l’achever en une fois si je n’avais pas fait promettre à ma mère de garder le secret de ma relation inexistante avec notre locataire. C’est difficile de contenter les envies de chacun. Ma mère voudrait que je trouve un garçon bien et que je me marie rapidement. Mon frère préfèrerait que je me fasse nonne et que je reste à l’âge innocent où les caleçons des garçons sont seulement ces trucs qui dépassent du pantalon et qu’on peut tirer pour les embêter.
Manque de chance, et pour l’un et pour l’autre, je ne suis ni bonne à marier, ni un modèle de vertu.
Alors pour mon propre bien, je vais éviter de raconter à Seyong ce qu’il se passe entre moi et le garçon qu’il loge dans la dépendance. Parce que si je lui disais que je sortais avec lui, pire que de nous tuer tous les deux, il le foutrait à la porte et moi, il m’enfermerait dans une tour qu’il aura construit dans la nuit. Et que si je lui disais que c’était pour de faux, déjà il ne comprendrait pas pourquoi je fais ça et en plus, il irait s’imaginer un milliard de choses qui le rendraient sceptique et je pourrais dire adieu à tout un pan sacré de ma vie privée.
Ha, les grands frères !
J’y pense dès l’instant où je reçois un message. Les soirées nouilles devant la télévision m’avaient manqué ! C’est pas pareil avec des amis… c’est pas pareil quand on est seule aussi. Il me faut un Seyong pour être heureuse. Je l’ai bassiné les trois derniers jours pour savoir quand est-ce qu’il rentrait précisément. Je suis enfin heureuse qu’il soit de retour à Séoul. Ses fans, ses fans… oui, oui ! Bah bientôt je vais devoir me déguiser en fan, m’acheter des tickets VIP et faire la queue à chacune de ses dédicaces pour lui demander ce qu’il veut manger ce soir !
Oppa a écrit:Pourquoi je sais pas ouvrir la porte ?
J’avoue qu’à la première lecture, j’ai pas saisi ce qu’il voulait dire. Je lui réponds quelque chose d’un peu stupide, à l’image de sa question. Et puis ça fait tilte dans ma tête.
Oppa a écrit:(…) CAR MA CLEF NE FONCTIONNE PAS !
TU AS ENCORE FAIT QUOI COMME CONNERIE ????
OUPS.
Je blinde le dossier. S’il faut que je meure aujourd’hui, je dois absolument laisser des traces de mon innocence qui permettront à ma mère de laver mon honneur une fois que j’aurais quitté ce monde. J’explique brièvement la situation à Seyong. Je lui répète un milliard de fois que,
Seah a écrit:(…) C’EST PAS MA FAUTE (…)
Et il finit par se pointer au pied de mon bâtiment universitaire. Je suis encore plutôt sereine à ce moment-là. Je range les affaires de mon dernier cours et cherche directement une bonne excuse voire même un virage qui me permettrait de changer de sujet et lui faire oublier que j’ai dû demander au serrurier de péter les serrures de la maison parce que la porte voulait plus s’ouvrir.
Un grand moment… je l’aperçois devant l’université et passe en mode filature. J’arrive dans son dos, je grimpe sur la pointe de la pointe de mes pieds (c’est pas normal qu’en partageant les mêmes gênes, il soit si grand et moi si petite) et glisse mes mains devant ses yeux.
Je prends une voix faussement modifiée, comme si j’étais le Père Noël, d’un ton grave qui en vrai, ne trompe personne. « DEVINE QUI C’EST ? » Bonjour, je m’appelle Seah et j’ai toujours cinq ans.
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Re: i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Dim 24 Sep 2017 - 12:01 Citer EditerSupprimer
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Rien ne prévoyait que je reprenne le taxi pour retraverser la ville en moins de dix minutes. Non, absolument rien. Sauf la clef qui ne rentre pas dans la serrure de la porte d'entrée, ni dans celle qui donne sur la cuisine. Je suis crevé, je rêve de mon lit depuis que je suis descendu de l'avion et la porte refuse de s'ouvrir. Au début, je lui lance mon regard, celui qui fait peur. Si ça se peut, les portes ont juste décidés de me faire comprendre que je leur avais manqué. Oui, ça va bien dans ma tête. Je suis juste encore dans l'écriture de mon prochain livre et y a une histoire de porte vivante, c'est rien. Mais rien n'y fait. Donc, je me décide à envoyer un message à ma sœur. Nous discutons, je me retiens de soupirer de sa stupidité. Car ma sœur est stupide quand elle s'y met. Et là, elle m'avoue la vérité. Donc il me faut une clef. J'aurai pu prendre la voiture mais je suis trop claqué. Donc retour en taxi en laissant ma valise dans le jardin, ou plutôt dans le poulailler, surveiller par papillon. Le meilleur poussin de garde du pays.
Me voilà devant son bâtiment. Parfois, je peux avoir des idées géniaux, comme recopier son emploi du temps enfin sa grille de cours. Comme ça, j'ai plus facile pour la retrouver et réclamer ce qu'elle me pique. Je reconnais dans la foule de ceux qui sortent, quelques personnes de sa classe, après tout. Je les ai déjà eu chez moi pour l'une de leur soirée en cinq ans. Il est logique que je les reconnaisse. Et je tourne le dos au bâtiment, pour chercher ma peste de sœur. Si ça se peut, elle se cache pour que je ne lui mette pas la main dessus. Merde! C'est moi le proprio de la maison, elle aurait pu me prévenir. Je suis sur que c'était rien en plus.
Des mains me bouchent la vue, une voix que je reconnaîtrais se fait entendre derrière moi. Je me retourne et l'attrape. Tu vas mourir, No Seah. Je dis ça mais jamais je lui ferai du mal, et elle le sait. Faut que je ferme les yeux avant qu'elle me lance son regard qui la rend si adorable. On pourrait croire qu'avec le temps, je suis premuni, la bonne blague. Je la lâche avant de lui tendre la main La clef, je te prie sinon... Je me penche vers elle pour planter mon regard dans le sien, tout en lui prenant son sac de cours, je suis un grand frère assez protecteur et génial aussi. Pas de nouille. mais aussi cruel.
Me voilà devant son bâtiment. Parfois, je peux avoir des idées géniaux, comme recopier son emploi du temps enfin sa grille de cours. Comme ça, j'ai plus facile pour la retrouver et réclamer ce qu'elle me pique. Je reconnais dans la foule de ceux qui sortent, quelques personnes de sa classe, après tout. Je les ai déjà eu chez moi pour l'une de leur soirée en cinq ans. Il est logique que je les reconnaisse. Et je tourne le dos au bâtiment, pour chercher ma peste de sœur. Si ça se peut, elle se cache pour que je ne lui mette pas la main dessus. Merde! C'est moi le proprio de la maison, elle aurait pu me prévenir. Je suis sur que c'était rien en plus.
Des mains me bouchent la vue, une voix que je reconnaîtrais se fait entendre derrière moi. Je me retourne et l'attrape. Tu vas mourir, No Seah. Je dis ça mais jamais je lui ferai du mal, et elle le sait. Faut que je ferme les yeux avant qu'elle me lance son regard qui la rend si adorable. On pourrait croire qu'avec le temps, je suis premuni, la bonne blague. Je la lâche avant de lui tendre la main La clef, je te prie sinon... Je me penche vers elle pour planter mon regard dans le sien, tout en lui prenant son sac de cours, je suis un grand frère assez protecteur et génial aussi. Pas de nouille. mais aussi cruel.
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Re: i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Mar 26 Sep 2017 - 12:51 Citer EditerSupprimer
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Je n’ai rien fait pour mériter de mourir si jeune. Seyong il a des super-pouvoirs. Une super-force et il sait directement que c’est moi quand il se retourne pour m’attraper. Je me mets en position de défense, je suis prête à me battre, mes petits poings refermés sous son menton alors même que je serais incapable de m’en servir. Plus que toute autre technique de d’attaque, de défense ou de combat qui marche avec mon grand frère, c’est la technique des yeux doux qui marche et c’est exactement ce que j’ai pour lui en réserve.
Je me suis entraînée toute la moitié du cours à trouver l’expression parfaite qui fera chavirer son petit cœur. Et lui fera oublier que j’ai dû demander au serrurier de péter la porte dans l’entrée pour qu’elle s’ouvre à nouveau… et qu’un changement en entraînant un autre, les deux portes de l’entrée et de la cuisine n’avaient plus la même serrure alors évidemment, il a fallu défoncer une seconde serrure.
C’est vrai qu’en y repensant, je me demande comment j’ai réussi à survivre vingt-deux ans en vivant une vie aussi dangereuse que celle-ci, à casser des portes et laisser mon frère toute une après-midi à la rue.
« Ya ! Ouvre les yeux… oppa !! » Je chouine sous son nez parce que ça sert à rien que je lui offre le fruit de mon dur labeur en expressions faciales de l’ultime mignonance s’il n’ouvre même pas les yeux pour en témoigner. Du coup j’ai pas le choix. Je dois jouer les petites sœurs chiantes et ça tombe bien parce que c’est l’un des métiers dans lequel j’exerce le mieux. Je pose mes index à sa paupière et mes pouces juste sous son œil pour l’obliger à ouvrir les yeux et à me regarder.
Sauf qu’il préfère me menacer. Pas de nouilles. PAS DE NOUILLES ? Comment ça pas de nouilles. Mon visage de poupée perd de sa superbe et je me mets à ronchonner. « Tu me menaces ? C’est du chantage. De l’abus de pouvoir ! Si j’avais fait des études de droit je pourrais te citer tous les articles de la constitution pour te faire condamner sur le champ ! » Moi, me priver de nouilles ! Affamer sa petite sœur ! « Je vais te la donner la clef je… » cherche dans mon sac mais je ne la trouve pas.
Pas la sienne, forcément j’y ai pas pensé elle est restée dans la petite boîte sur le meuble dans l’entrée. Mais les miennes… elles sont où les miennes, de clefs ? Je relève la tête et lui sourit comme si de rien n’était, faisant mine de continuer à chercher dans les décombres de mon sac.
Je reconstruis rapidement le schéma de mes deux derniers jours. Normalement je ne passe jamais aussi fréquemment que ça à la maison. Mais vu que Seyong n’est pas là et qu’il faut quelqu’un pour s’occuper de Papillon, ça ne me dérange pas de faire des allers et retour entre le campus et Séoul. Cette nuit j’ai même décampé du dortoir parce qu’hier soir on a mangé des pizzas avec le voisin et que j’étais tellement full-remplie que ni lui, ni moi on a trouvé la foi de prendre le dernier bus pour retourner à la Digital.
Je me racle innocemment la gorge en faisant face au triste destin (et funeste) qu’est le mien. J’ouvre de grands yeux tout mignons et bat des cils très, très vite en tentant une nouvelle technique : la distraction. « Oppa… tu as fait bon voyage ? On devrait aller manger des nouilles dans ce petit restaurant pas loin de l’université… tu me raconteras comment c’était, hm ? »
Je me suis entraînée toute la moitié du cours à trouver l’expression parfaite qui fera chavirer son petit cœur. Et lui fera oublier que j’ai dû demander au serrurier de péter la porte dans l’entrée pour qu’elle s’ouvre à nouveau… et qu’un changement en entraînant un autre, les deux portes de l’entrée et de la cuisine n’avaient plus la même serrure alors évidemment, il a fallu défoncer une seconde serrure.
C’est vrai qu’en y repensant, je me demande comment j’ai réussi à survivre vingt-deux ans en vivant une vie aussi dangereuse que celle-ci, à casser des portes et laisser mon frère toute une après-midi à la rue.
« Ya ! Ouvre les yeux… oppa !! » Je chouine sous son nez parce que ça sert à rien que je lui offre le fruit de mon dur labeur en expressions faciales de l’ultime mignonance s’il n’ouvre même pas les yeux pour en témoigner. Du coup j’ai pas le choix. Je dois jouer les petites sœurs chiantes et ça tombe bien parce que c’est l’un des métiers dans lequel j’exerce le mieux. Je pose mes index à sa paupière et mes pouces juste sous son œil pour l’obliger à ouvrir les yeux et à me regarder.
Sauf qu’il préfère me menacer. Pas de nouilles. PAS DE NOUILLES ? Comment ça pas de nouilles. Mon visage de poupée perd de sa superbe et je me mets à ronchonner. « Tu me menaces ? C’est du chantage. De l’abus de pouvoir ! Si j’avais fait des études de droit je pourrais te citer tous les articles de la constitution pour te faire condamner sur le champ ! » Moi, me priver de nouilles ! Affamer sa petite sœur ! « Je vais te la donner la clef je… » cherche dans mon sac mais je ne la trouve pas.
Pas la sienne, forcément j’y ai pas pensé elle est restée dans la petite boîte sur le meuble dans l’entrée. Mais les miennes… elles sont où les miennes, de clefs ? Je relève la tête et lui sourit comme si de rien n’était, faisant mine de continuer à chercher dans les décombres de mon sac.
Je reconstruis rapidement le schéma de mes deux derniers jours. Normalement je ne passe jamais aussi fréquemment que ça à la maison. Mais vu que Seyong n’est pas là et qu’il faut quelqu’un pour s’occuper de Papillon, ça ne me dérange pas de faire des allers et retour entre le campus et Séoul. Cette nuit j’ai même décampé du dortoir parce qu’hier soir on a mangé des pizzas avec le voisin et que j’étais tellement full-remplie que ni lui, ni moi on a trouvé la foi de prendre le dernier bus pour retourner à la Digital.
Je me racle innocemment la gorge en faisant face au triste destin (et funeste) qu’est le mien. J’ouvre de grands yeux tout mignons et bat des cils très, très vite en tentant une nouvelle technique : la distraction. « Oppa… tu as fait bon voyage ? On devrait aller manger des nouilles dans ce petit restaurant pas loin de l’université… tu me raconteras comment c’était, hm ? »
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Re: i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Lun 2 Oct 2017 - 17:21 Citer EditerSupprimer
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Le truc avec Seah, c'est qu'elle n'a pas encore comprit que je la reconnaitrai n'importe où. Son comportement, me rassure. Elle est remplit de vie, pétillante, curieuse. Je n'ai rien raté dans l'éducation que je lui ai inculqué après le drame. Après tout,
elle est ma raison de vivre et même mon gagne pain. Alors quand deux mains se posent sur mes yeux et qu'elle modifie même pas sa voix. Je me retiens de rire car je suis fâché, en colère même. Oui, oui, très en colère. C'est pour ça que je ferme les yeux pour éviter qu'elle m'amadoue avec son regard. Je suis sur qu'elle s'est entraînée durant son cours quand elle a comprit que j'arrivais chercher la clef. Merde! Je suis fatigué et j'ai grave envie d'un bon bain bien relaxant. Ses doigts se posent au-dessus et en-dessous de mes yeux chose qu'elle a toujours fait. Je rigole, on doit être prit pour des fous ainsi devant le bâtiment de sa fac. Mais je m'en moque. Ma sœur m'a manqué, son comportement ma manqué. Je la laisse essayer d'ouvrir les yeux, utilisant mon super pouvoir pour qu'elle ne reussisse pas. Puis quand elle commence à trop forcer, je les ouvre en grand. Ce qui fait qu'elle me lâche. C'est là qu'il faut aller vite sous peine de tomber sous son regard qui me fera oublier la colère. Main tendue devant son nez, je la menace et qu'elle meilleure menace que de la priver de nouille. Oui, je te menace. ma main est toujours tendue vers elle durant sa tirade. Un sourire au coin amusé sur les lèvres. Heureusement que tu fais véto alors. Puis, franchement tu devrais payer pour avoir des clients. Il me semble qu'elle a voulut être avocate une période. Ça a duré dix minutes, jusqu'à ce que je lui dise que son poussin allait mourir étouffer sous les couvertures.
Après, commencé son numéro. La recherche de la clef.
Dois-je lui dire qu'elle est dans la poche avant de sa veste? Non. C'est drôle de la voir chercher. Au plus elle cherche au plus elle devient blanche. Halala. Qui m'a fait une tête de linotte pareil ? Et qui m'a fait sadique ainsi. Son sourire faussement perdu. Elle se demande où elle est. Puis, elle change de numéro. Maintenant, elle s'inquiète pour moi. Ses clignements de ses yeux me ramène à ses bêtises quand elle essayait d'être innocente. Allez viens là morveuse. Et je la tire contre moi. Avant de récupérer la clef dans la poche. Elle est pour moi celle-ci. Je la mets dans la poche arrière de mon jeans. Avant d'attraper son sac et de l'attraper pour la porter comme un sac de pomme de terre. On va où cette fois-ci. Dis-moi, tu as grossie, tu es encore plus lourde que la dernière fois.
elle est ma raison de vivre et même mon gagne pain. Alors quand deux mains se posent sur mes yeux et qu'elle modifie même pas sa voix. Je me retiens de rire car je suis fâché, en colère même. Oui, oui, très en colère. C'est pour ça que je ferme les yeux pour éviter qu'elle m'amadoue avec son regard. Je suis sur qu'elle s'est entraînée durant son cours quand elle a comprit que j'arrivais chercher la clef. Merde! Je suis fatigué et j'ai grave envie d'un bon bain bien relaxant. Ses doigts se posent au-dessus et en-dessous de mes yeux chose qu'elle a toujours fait. Je rigole, on doit être prit pour des fous ainsi devant le bâtiment de sa fac. Mais je m'en moque. Ma sœur m'a manqué, son comportement ma manqué. Je la laisse essayer d'ouvrir les yeux, utilisant mon super pouvoir pour qu'elle ne reussisse pas. Puis quand elle commence à trop forcer, je les ouvre en grand. Ce qui fait qu'elle me lâche. C'est là qu'il faut aller vite sous peine de tomber sous son regard qui me fera oublier la colère. Main tendue devant son nez, je la menace et qu'elle meilleure menace que de la priver de nouille. Oui, je te menace. ma main est toujours tendue vers elle durant sa tirade. Un sourire au coin amusé sur les lèvres. Heureusement que tu fais véto alors. Puis, franchement tu devrais payer pour avoir des clients. Il me semble qu'elle a voulut être avocate une période. Ça a duré dix minutes, jusqu'à ce que je lui dise que son poussin allait mourir étouffer sous les couvertures.
Après, commencé son numéro. La recherche de la clef.
Dois-je lui dire qu'elle est dans la poche avant de sa veste? Non. C'est drôle de la voir chercher. Au plus elle cherche au plus elle devient blanche. Halala. Qui m'a fait une tête de linotte pareil ? Et qui m'a fait sadique ainsi. Son sourire faussement perdu. Elle se demande où elle est. Puis, elle change de numéro. Maintenant, elle s'inquiète pour moi. Ses clignements de ses yeux me ramène à ses bêtises quand elle essayait d'être innocente. Allez viens là morveuse. Et je la tire contre moi. Avant de récupérer la clef dans la poche. Elle est pour moi celle-ci. Je la mets dans la poche arrière de mon jeans. Avant d'attraper son sac et de l'attraper pour la porter comme un sac de pomme de terre. On va où cette fois-ci. Dis-moi, tu as grossie, tu es encore plus lourde que la dernière fois.
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Re: i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Mer 4 Oct 2017 - 18:11 Citer EditerSupprimer
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Je reste plantée là avec la bouche grande ouverte et les yeux qui clignotent comme des alarmes de voiture. « C’est pas très gentil ça ! Je suis sûre que les gens me feraient confiance pour défendre leurs intérêts. Et puis toi, tu seras mon premier client, hm ? Le jour où t’as des ennuis avec la justice tu viens me voir ! Je vais me faire une carte de visite… paraît que c’est bien d’avoir une célébrité dans ses contacts. » Je raconte vraiment n’importe quoi, j’ai même jamais ouvert un code civil de ma vie. Je secoue brièvement la tête pour sortir toutes ces idées tordues de la tête. Et vu que maintenant j’ai réussi à capter son attention, je lève le menton vers lui avec une mine boudeuse à la limite de l’imploration « nourris-moi ! » Y’a que ça qui marche avec les grands frères. En tout cas avec le mien, prétendre que j’ai encore quatre ans c’est le truc qui marche à tous les coups pour me sortir des ennuis dans lesquels je me suis encore fourrée.
Et c’est deux fois pire quand je ne trouve pas mes clefs. Elles étaient dans mon sac ! Elles étaient là, sur moi, quelque part, elles étaient là ! J’ai survécu une fois mais, mes chers amis, je ne suis pas sûre de parvenir à m’en tirer une seconde fois… c’était presque trop beau ! Je n’atteindrai jamais les vingt-trois ans et « oh ? » il tire un jeu de clefs de ma poche et mon cœur part en chute libre à cette liberté retrouvée. J’VAIS PAS MOURIR AUJOURD’HUI. Même si j’abuse parce que je sais que jamais Seyong il toucherait à un seul de mes cheveux ! Enfin il le faisait quand j’étais petite. Il est doué dans plein de trucs, vraiment tout plein de trucs ! mais la coiffure c’est pas pour lui. Et comme maman elle avait pas la tête à s’occuper de moi parce qu’elle travaillait beaucoup, je laissais oppa me faire des tresses qui ressemblaient à rien, des queues de cheval qui n’étaient pas droites et des chignons qui ressemblaient à des beignets aux pommes. Mais c’était mes petites coiffures rien qu’à moi et quand j’étais gamine, tout ce qu’il faisait de toute façon j’adorais !
Je tape du pied contre le sol en croisant les bras. « J’suis pas une morveuse. » Je le laisse prendre mon sac de cours dans une main mais j’aurais dû me douter que j’allais y passer aussi. « OPPA ! LÂCHE-MOI, ANI, A-AAANI… » J’ai plus huit ans, je suis à l’université et il y a des gens que je connais ici ! C’est ultra gênant. J’essaye de me débattre au début et puis je lâche l’affaire parce que je sais très bien ce qu’il essaye de faire. Du coup, je suis résignée. J’attrape le bas de sa veste dans son dos et je me cache la tête avec en espérant que ça passe vite. « Tu pouvais me crier dessus plutôt que de m’humilier comme ça, » que je gémis en essayant encore une fois de taper sur son postérieur (parce que c’est mon frère ok, la première fille qui fait ça je la traîne en justice.) « C’EST PAS VRAI ! j’ai même mangé tout plein de légumes quand t’étais pas là. » Non c’est pas vrai. « De toute façon c’est pas moi qui ai grossi. C’est juste toi qui est devenu tout faible. » Et toc. « Là où on est allés la première fois que je t’aies fait visiter le campus ! Leurs jjajangmyeon sont daeeebak ! Mais oppa » je prends une petite voix toute fébrile au bord de l’évanouissement « j’ai le sang qui me monte à la tête, je le sens, je vais bientôt mourir si tu m'reposes pas. »
Et c’est deux fois pire quand je ne trouve pas mes clefs. Elles étaient dans mon sac ! Elles étaient là, sur moi, quelque part, elles étaient là ! J’ai survécu une fois mais, mes chers amis, je ne suis pas sûre de parvenir à m’en tirer une seconde fois… c’était presque trop beau ! Je n’atteindrai jamais les vingt-trois ans et « oh ? » il tire un jeu de clefs de ma poche et mon cœur part en chute libre à cette liberté retrouvée. J’VAIS PAS MOURIR AUJOURD’HUI. Même si j’abuse parce que je sais que jamais Seyong il toucherait à un seul de mes cheveux ! Enfin il le faisait quand j’étais petite. Il est doué dans plein de trucs, vraiment tout plein de trucs ! mais la coiffure c’est pas pour lui. Et comme maman elle avait pas la tête à s’occuper de moi parce qu’elle travaillait beaucoup, je laissais oppa me faire des tresses qui ressemblaient à rien, des queues de cheval qui n’étaient pas droites et des chignons qui ressemblaient à des beignets aux pommes. Mais c’était mes petites coiffures rien qu’à moi et quand j’étais gamine, tout ce qu’il faisait de toute façon j’adorais !
Je tape du pied contre le sol en croisant les bras. « J’suis pas une morveuse. » Je le laisse prendre mon sac de cours dans une main mais j’aurais dû me douter que j’allais y passer aussi. « OPPA ! LÂCHE-MOI, ANI, A-AAANI… » J’ai plus huit ans, je suis à l’université et il y a des gens que je connais ici ! C’est ultra gênant. J’essaye de me débattre au début et puis je lâche l’affaire parce que je sais très bien ce qu’il essaye de faire. Du coup, je suis résignée. J’attrape le bas de sa veste dans son dos et je me cache la tête avec en espérant que ça passe vite. « Tu pouvais me crier dessus plutôt que de m’humilier comme ça, » que je gémis en essayant encore une fois de taper sur son postérieur (parce que c’est mon frère ok, la première fille qui fait ça je la traîne en justice.) « C’EST PAS VRAI ! j’ai même mangé tout plein de légumes quand t’étais pas là. » Non c’est pas vrai. « De toute façon c’est pas moi qui ai grossi. C’est juste toi qui est devenu tout faible. » Et toc. « Là où on est allés la première fois que je t’aies fait visiter le campus ! Leurs jjajangmyeon sont daeeebak ! Mais oppa » je prends une petite voix toute fébrile au bord de l’évanouissement « j’ai le sang qui me monte à la tête, je le sens, je vais bientôt mourir si tu m'reposes pas. »
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Re: i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Jeu 5 Oct 2017 - 12:26 Citer EditerSupprimer
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Main tendu vers elle,
j'attends. Même si je sais qu'elle va prendre tout son temps. Nos conversations sont toujours les mêmes. Elle qui essaye de m'amadouer et moi, qui lui dit oui à tout. Mais là, j'ai besoin des clefs pour rentrer chez. Merde! J'ai le droit de pouvoir prendre une douche et m'allonger dans le lit après trois semaines éreintante. Et donc je la menace, de la pire des menaces. Pas de nouille. Les nouilles pour nous deux c'est sacré, c'est le seul plat que je savais faire seul pour la nourriture aussi, et on ne dirait pas ainsi en la regardant, mais cette gosse mange autant de bol que moi. Moi? Ton premier client? Seulement si je souhaite perdre alors. Et là, je prouve que je suis son grand frère, je lui fais un sourire qui se veut mignon tout en lui faisant un clin d'œil. Ha ! Je savais que tu me collais comme un escargot à sa coquille car j'étais célèbre. Ma main s'est fermé, je la pointe du doigt, avant de rigoler. Rigoler encore plus en l'entendant me dire de la nourrire. Là, j'ai l'image d'une enfant de quatre ans, installée à la table de la cuisine qui crie que je dois la nourrire. Je pince l'arrete du nez, ferme les yeux et soupir. Cette chose est ma sœur... Oui oui. Ma soeur. Pourquoi j'ai pas eu la plaquette de chocolat à la place? La clef avant !
Allez, je lui dis qu'elle est dans la poche de sa veste ou je la laisse chercher. Voyons voir, vu la connerie enormisime qu'elle a fait, je vais la laisser chercher. Mon regard sur elle, j'ai un sourire en coin à force de la voir chercher et blanchir. Je la laisse encore chercher un instant avant de la tirer vers moi pour faire un câlin et surtout sortir le trousseau de sa poche. J'oubliais, tu es une princesse.
Princesse qui se retrouve posé sur mon épaule, la tête dans le vide. Je fais signe à ceux qui passent à côté de nous, alors qu'elle essaye que je la lâche. Tu te donnes en spectacle là. Je sens bien qu'elle cache sa tête dans le bas de ma veste. Dommage que Jun ne soit pas là, j'aurai bien discuté avec lui, juste pour savoir si il a besoin de quoi que ce soit pour son chez lui, puis il a l'habitude de voir ma sœur avec la tête en bas. Tu as toujours adoré que je te porte ainsi Je tourne la tête pour essayer de l'apercevoir C'est mon rôle de t'humilier. On a déjà eu cette conversation plusieurs fois. Elle donne des coups sur mon postérieur, et je fais la même chose de mon côté. C'est ma sœur, je suis le seul à pouvoir faire ça, le premier qui ose, je le tue (gniark gniark) et je continue à l'embêter Hey ! Tu as grossi que je te dis. Est-ce que je t'ai déjà mentit? Attention, elle va me ressortir l'histoire du père Noël. Car bien entendu, c'est moi le menteur dans l'histoire. Ou bien, la mort de papa. Non ! Elle se souvient pas de ça. Faut pas que je pense à des trucs ainsi. Seah a bien grandie, Seah n'a aucun traumatisme. Seah est une bonne comédienne. J'arrête de marcher, et la remet sur le sol. Tu fais de la fièvre? Je pose la question en touchant son front. Rien, absolument rien et pourtant... Aie... Tu es brûlante. Je la serre dans mes bras, posant sa tête contre mon torse, l'obligeant à rester ainsi. Oppa va te conduire aux urgences. Oppa, va te tenir la main pendant qu'ils te feront des examens. Oppa mangera tout ce que tu ne peux pas manger. Je te le promets... Crevette.
j'attends. Même si je sais qu'elle va prendre tout son temps. Nos conversations sont toujours les mêmes. Elle qui essaye de m'amadouer et moi, qui lui dit oui à tout. Mais là, j'ai besoin des clefs pour rentrer chez. Merde! J'ai le droit de pouvoir prendre une douche et m'allonger dans le lit après trois semaines éreintante. Et donc je la menace, de la pire des menaces. Pas de nouille. Les nouilles pour nous deux c'est sacré, c'est le seul plat que je savais faire seul pour la nourriture aussi, et on ne dirait pas ainsi en la regardant, mais cette gosse mange autant de bol que moi. Moi? Ton premier client? Seulement si je souhaite perdre alors. Et là, je prouve que je suis son grand frère, je lui fais un sourire qui se veut mignon tout en lui faisant un clin d'œil. Ha ! Je savais que tu me collais comme un escargot à sa coquille car j'étais célèbre. Ma main s'est fermé, je la pointe du doigt, avant de rigoler. Rigoler encore plus en l'entendant me dire de la nourrire. Là, j'ai l'image d'une enfant de quatre ans, installée à la table de la cuisine qui crie que je dois la nourrire. Je pince l'arrete du nez, ferme les yeux et soupir. Cette chose est ma sœur... Oui oui. Ma soeur. Pourquoi j'ai pas eu la plaquette de chocolat à la place? La clef avant !
Allez, je lui dis qu'elle est dans la poche de sa veste ou je la laisse chercher. Voyons voir, vu la connerie enormisime qu'elle a fait, je vais la laisser chercher. Mon regard sur elle, j'ai un sourire en coin à force de la voir chercher et blanchir. Je la laisse encore chercher un instant avant de la tirer vers moi pour faire un câlin et surtout sortir le trousseau de sa poche. J'oubliais, tu es une princesse.
Princesse qui se retrouve posé sur mon épaule, la tête dans le vide. Je fais signe à ceux qui passent à côté de nous, alors qu'elle essaye que je la lâche. Tu te donnes en spectacle là. Je sens bien qu'elle cache sa tête dans le bas de ma veste. Dommage que Jun ne soit pas là, j'aurai bien discuté avec lui, juste pour savoir si il a besoin de quoi que ce soit pour son chez lui, puis il a l'habitude de voir ma sœur avec la tête en bas. Tu as toujours adoré que je te porte ainsi Je tourne la tête pour essayer de l'apercevoir C'est mon rôle de t'humilier. On a déjà eu cette conversation plusieurs fois. Elle donne des coups sur mon postérieur, et je fais la même chose de mon côté. C'est ma sœur, je suis le seul à pouvoir faire ça, le premier qui ose, je le tue (gniark gniark) et je continue à l'embêter Hey ! Tu as grossi que je te dis. Est-ce que je t'ai déjà mentit? Attention, elle va me ressortir l'histoire du père Noël. Car bien entendu, c'est moi le menteur dans l'histoire. Ou bien, la mort de papa. Non ! Elle se souvient pas de ça. Faut pas que je pense à des trucs ainsi. Seah a bien grandie, Seah n'a aucun traumatisme. Seah est une bonne comédienne. J'arrête de marcher, et la remet sur le sol. Tu fais de la fièvre? Je pose la question en touchant son front. Rien, absolument rien et pourtant... Aie... Tu es brûlante. Je la serre dans mes bras, posant sa tête contre mon torse, l'obligeant à rester ainsi. Oppa va te conduire aux urgences. Oppa, va te tenir la main pendant qu'ils te feront des examens. Oppa mangera tout ce que tu ne peux pas manger. Je te le promets... Crevette.
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Re: i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Mar 10 Oct 2017 - 22:27 Citer EditerSupprimer
I've learned so much from my mistakes, I'm thinking about making a few more
Je ne suis pas contente et je sais très bien le montrer en fronçant les sourcils et croisant les bras contre ma poitrine. « T’es mon grand frère. Tu devrais croire en moi. Si tu crois pas en moi, alors qui va croire en moi ? Si ça se trouve je deviendrais avocate pour les animaux. T’en sais rien ! Et tu te retrouveras bien bête quand je gagnerai le procès que Papillon il aura engagé contre toi pour toutes les fois où t’as menacé de le passer à la casserole ! » Je sais bien que c’est stupide. Mais je dois avoir le dernier mot et parfois, avoir le dernier mot nécessite de raconter n’importe quoi.
Il me tend son index d’un air accusateur. Et alors qu’il me traite sans scrupule de profiteuse, je réplique en essayant de mordre son doigt. Une chance qu’il ait anticipé le mouvement et qu’il l’ait retiré à temps. Je suis un requin ! avec mes trois rangées de dents acérées, je fais des dégâts. « C’est même pas vrai. Je te colle pas parce que t’es célèbre d’abord, je te colle parce que t’es riche ! » Héhé. Je suis vraiment drôle moi parfois.
Tellement drôle qu’il décide de me donner une bonne leçon à force de faire trop de bêtises. C’est grave la honte de se retrouver tête en bas à se cacher sous la veste de son frangin en lui tapant dans le dos pour le supplier de me relâcher. Je prie vraiment pour que personne ne me reconnaisse. « Je vais le dire à maman de toute façon. Elle a dit que tu devais pas faire ça ! Parce qu’après ma tête elle allait être toute gonflée et toute rouge et peut-être même que le peux mourir. » Bien sûr que non, ce n’est pas mon genre d’en faire trop. Mais c’est vrai que maman le grondait toujours quand il me tenait par les pieds pour me secouer comme une piñata. Ou qu’il me portait comme un vulgaire sac à patates quand je ne voulais pas faire quelque chose. Mais en vrai, il lui disait de me reposer en riant. Je ne suis vraiment rien qu’un souffre-douleur ! Une incomprise dans cette famille ! Très bien, j’arrête sur l’aspect dramatique.
Il me remet en place et rien que le temps de me remettre les idées en place, je surjoue un peu de ma pauvre condition de petite sœur maltraitée. « Je me sens pas très bien… j’ai la tête qui tourne. » C’est un peu vrai. Mais ce n’est pas aussi terrible que ça. Par contre, m’envoyer à l’hôpital, jamais ! Bizarrement je retrouve ma pêche habituelle. « NON ! ÇA VA ! JE VAIS BIEN ! Regarde. Je tiens même en équilibre sur une jambe ! Et… j’ai pas de fièvre. En fait, ta main est peut-être froide ? Faudra que tu fasses attention à pas choper une hypothermie de la main… je t’achèterai des gants, ok ? » Il essaye de me priver de ma nourriture. Mais non ! il vient de rentrer d’un voyage de trois semaines et moi, j’ai le droit à mon bol de nouilles des retrouvailles ! « Je peux marcher et je peux même manger ! » J’acquiesce en prenant mon air le plus mignon. Et puis je lève deux doigts en accentuant bien les battements de mes cils. « Deux bols, même. J’ai très, très faim aujourd’hui ! » Bah quoi. Je suis peut-être petite mais mon estomac il fait toujours sa poussée de croissance. Alors il faut le contenter ! Je digère très vite même. J’en ai de la chance. Seyong, un peu moins.
« Allez, viens ! » Je le tire par le bras pour éviter qu’il ne change d’avis. Ou alors qu’il ne trouve une autre idée pour nous ralentir et m’humilier en public. « Je te ferai un thé bien chaud quand on rentrera à la maison, d’accord ? »
Il me tend son index d’un air accusateur. Et alors qu’il me traite sans scrupule de profiteuse, je réplique en essayant de mordre son doigt. Une chance qu’il ait anticipé le mouvement et qu’il l’ait retiré à temps. Je suis un requin ! avec mes trois rangées de dents acérées, je fais des dégâts. « C’est même pas vrai. Je te colle pas parce que t’es célèbre d’abord, je te colle parce que t’es riche ! » Héhé. Je suis vraiment drôle moi parfois.
Tellement drôle qu’il décide de me donner une bonne leçon à force de faire trop de bêtises. C’est grave la honte de se retrouver tête en bas à se cacher sous la veste de son frangin en lui tapant dans le dos pour le supplier de me relâcher. Je prie vraiment pour que personne ne me reconnaisse. « Je vais le dire à maman de toute façon. Elle a dit que tu devais pas faire ça ! Parce qu’après ma tête elle allait être toute gonflée et toute rouge et peut-être même que le peux mourir. » Bien sûr que non, ce n’est pas mon genre d’en faire trop. Mais c’est vrai que maman le grondait toujours quand il me tenait par les pieds pour me secouer comme une piñata. Ou qu’il me portait comme un vulgaire sac à patates quand je ne voulais pas faire quelque chose. Mais en vrai, il lui disait de me reposer en riant. Je ne suis vraiment rien qu’un souffre-douleur ! Une incomprise dans cette famille ! Très bien, j’arrête sur l’aspect dramatique.
Il me remet en place et rien que le temps de me remettre les idées en place, je surjoue un peu de ma pauvre condition de petite sœur maltraitée. « Je me sens pas très bien… j’ai la tête qui tourne. » C’est un peu vrai. Mais ce n’est pas aussi terrible que ça. Par contre, m’envoyer à l’hôpital, jamais ! Bizarrement je retrouve ma pêche habituelle. « NON ! ÇA VA ! JE VAIS BIEN ! Regarde. Je tiens même en équilibre sur une jambe ! Et… j’ai pas de fièvre. En fait, ta main est peut-être froide ? Faudra que tu fasses attention à pas choper une hypothermie de la main… je t’achèterai des gants, ok ? » Il essaye de me priver de ma nourriture. Mais non ! il vient de rentrer d’un voyage de trois semaines et moi, j’ai le droit à mon bol de nouilles des retrouvailles ! « Je peux marcher et je peux même manger ! » J’acquiesce en prenant mon air le plus mignon. Et puis je lève deux doigts en accentuant bien les battements de mes cils. « Deux bols, même. J’ai très, très faim aujourd’hui ! » Bah quoi. Je suis peut-être petite mais mon estomac il fait toujours sa poussée de croissance. Alors il faut le contenter ! Je digère très vite même. J’en ai de la chance. Seyong, un peu moins.
« Allez, viens ! » Je le tire par le bras pour éviter qu’il ne change d’avis. Ou alors qu’il ne trouve une autre idée pour nous ralentir et m’humilier en public. « Je te ferai un thé bien chaud quand on rentrera à la maison, d’accord ? »
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Re: i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Ven 3 Nov 2017 - 17:15 Citer EditerSupprimer
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Bingo ! Elle n'est pas contente. Et moi, je souris fièrement de moi. Tu sais que je suis toujours derrière toi. Mais en avocate, je te vois mal. Encore moins pour animaux. Laisse Papillon loin de ça. Lui au moins sait que mes menaces sont des preuves d'amour. halala les imbécilité de ma sœur me font parfois regretter la tablette de chocolat que j'avais demandé à sa place.
L'index tendu vers elle, j'attends le dernier moment avant de l'enlever. Pire, je pose mes mains sur le torse prenant un air théâtrale. Je le savais que tu m'aimais que pour mon argent. Et bah tu n'auras plus aucun centime. Nous savons tout les deux que dès qu'elle va me demander je vais ouvrir le portefeuille. Parfois je me demande si nous sommes vraiment frère et sœur. Puis quand je la porte, ses pieds devant et sa tête en arrière caché dans ma veste, je ne peux nier notre ressemblance. Le pire c'est que je fais signe à des personnes qui la connaissent. Je m'amuse à l'humilier, juste car trois semaines sans la voir c'est énorme à mes yeux. Et là, elle sort la menace. Dire à maman. Combien de fois a-t-elle utilisée cette menace quand je ne faisais pas ce qu'elle voulait. Ma préférée était quand même je vais le dire à Oppa. Cette menace elle l'utilisait encore plus que maman sauf vers moi. Ok on ! Je te dépose mais téléphone pas à maman. Sinon je lui dis que c'est fini avec ton copain. Alors Seah est célibataire, Seah n'a le droit d'avoir qu'un seul Oppa, moi. C'est tout.
Faut bien entendu qu'elle en rajoute une couche. Après la menace, elle va mourir. Va-t-elle un jour trouver le juste milieu ? Alors je joue le jeu. Lui invente des symptômes tout en lui promettant que je serai là pour la soutenir et même manger devant elle, en bon grand frère quoi. Miracle! Tu es guérie ! on serait à la maison, je ferai une danse de la joie. Quoi qu'elle serait allongée avec la couverture jusqu'au dessus de la tête aussi. Une hypothermie des mains? Je regarde de mes mains en me demandant si ça existe vraiment ce genre de maladie. Ok quoi que je vais me les acheter en disant que tu me les a offert pour aucune raison particulière. Comme je fais si souvent. Le nombre de chose que Seah m'a offert est énorme. Si si... Un pull que j'aime bien, une tasse où il est écrit meilleur oppa. C'est pratique d'etre la banque de sa cadette (et de sa mère aussi, elle aussi m'offre plein de cadeaux).
Deux bols, rien que ça. Elle m'attrape la main pour me tirer vers le restaurant. Je réussis dans mal à lui faire lâcher prise pour passer mon bras autour de ses épaules. J'en ai ramené de mon voyage. Après les nouilles, le thé est un de nos mets apprécier, c'est tout.
Je pousse la porte et l'a fait rentrer avant moi. La suit à une table de deux. On s'installe l'un en face de l'autre. Je te laisse choisir la sauce petit scarabée. Baguette en main, j'imite un ninja en les faisant tourner. La dernière fois, j'avais la cravate autour de la tête, ça donnait plus l'impression d'un vrai ninja. Tu vas perdre. J'ai plus d'expérience que toi. Froncement des yeux que je plante dans les siens. Deux bols, c'est vite parti. Tu n'es qu'une petite joueuse, petit scarabée. je m'echauffe là. Je la cherche. C'est ainsi entre nous. Un concours. Je propose que le gagnant voue un culte à l'autre durant une semaine. La dernière fois, c'est le chien qu'elle avait ramené à la maison qui fut le grand gagnant. On m'appelle Seyong le mangeur de nouille. Je la montre de la pointe de la baguette avant de vouloir lui dire qu'elle va mourir. Sauf que j'eclate de rire. Oublié ce que je viens de dire. On recommence ! J'ai dis qu'on recommence. Non mais franchement, j'arrive encore à me choquer, tu t'imagines ça? Je m'auto choc.
L'index tendu vers elle, j'attends le dernier moment avant de l'enlever. Pire, je pose mes mains sur le torse prenant un air théâtrale. Je le savais que tu m'aimais que pour mon argent. Et bah tu n'auras plus aucun centime. Nous savons tout les deux que dès qu'elle va me demander je vais ouvrir le portefeuille. Parfois je me demande si nous sommes vraiment frère et sœur. Puis quand je la porte, ses pieds devant et sa tête en arrière caché dans ma veste, je ne peux nier notre ressemblance. Le pire c'est que je fais signe à des personnes qui la connaissent. Je m'amuse à l'humilier, juste car trois semaines sans la voir c'est énorme à mes yeux. Et là, elle sort la menace. Dire à maman. Combien de fois a-t-elle utilisée cette menace quand je ne faisais pas ce qu'elle voulait. Ma préférée était quand même je vais le dire à Oppa. Cette menace elle l'utilisait encore plus que maman sauf vers moi. Ok on ! Je te dépose mais téléphone pas à maman. Sinon je lui dis que c'est fini avec ton copain. Alors Seah est célibataire, Seah n'a le droit d'avoir qu'un seul Oppa, moi. C'est tout.
Faut bien entendu qu'elle en rajoute une couche. Après la menace, elle va mourir. Va-t-elle un jour trouver le juste milieu ? Alors je joue le jeu. Lui invente des symptômes tout en lui promettant que je serai là pour la soutenir et même manger devant elle, en bon grand frère quoi. Miracle! Tu es guérie ! on serait à la maison, je ferai une danse de la joie. Quoi qu'elle serait allongée avec la couverture jusqu'au dessus de la tête aussi. Une hypothermie des mains? Je regarde de mes mains en me demandant si ça existe vraiment ce genre de maladie. Ok quoi que je vais me les acheter en disant que tu me les a offert pour aucune raison particulière. Comme je fais si souvent. Le nombre de chose que Seah m'a offert est énorme. Si si... Un pull que j'aime bien, une tasse où il est écrit meilleur oppa. C'est pratique d'etre la banque de sa cadette (et de sa mère aussi, elle aussi m'offre plein de cadeaux).
Deux bols, rien que ça. Elle m'attrape la main pour me tirer vers le restaurant. Je réussis dans mal à lui faire lâcher prise pour passer mon bras autour de ses épaules. J'en ai ramené de mon voyage. Après les nouilles, le thé est un de nos mets apprécier, c'est tout.
Je pousse la porte et l'a fait rentrer avant moi. La suit à une table de deux. On s'installe l'un en face de l'autre. Je te laisse choisir la sauce petit scarabée. Baguette en main, j'imite un ninja en les faisant tourner. La dernière fois, j'avais la cravate autour de la tête, ça donnait plus l'impression d'un vrai ninja. Tu vas perdre. J'ai plus d'expérience que toi. Froncement des yeux que je plante dans les siens. Deux bols, c'est vite parti. Tu n'es qu'une petite joueuse, petit scarabée. je m'echauffe là. Je la cherche. C'est ainsi entre nous. Un concours. Je propose que le gagnant voue un culte à l'autre durant une semaine. La dernière fois, c'est le chien qu'elle avait ramené à la maison qui fut le grand gagnant. On m'appelle Seyong le mangeur de nouille. Je la montre de la pointe de la baguette avant de vouloir lui dire qu'elle va mourir. Sauf que j'eclate de rire. Oublié ce que je viens de dire. On recommence ! J'ai dis qu'on recommence. Non mais franchement, j'arrive encore à me choquer, tu t'imagines ça? Je m'auto choc.
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Re: i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Mer 8 Nov 2017 - 22:58 Citer EditerSupprimer
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Transformer des menaces en preuve d’amour c’est trop facile. Je reste sceptique, plisse les yeux et le jauge de mon regard de petite sœur redoutable à la négociation. Je marche dans son jeu, comme une gamine qui saute à pieds joints dans une flaque d’eau quand il pleut. Je suis vraiment fière de mon frère. Depuis là où il est parti, parce qu’il n’a jamais démérité dans son rôle de grand frère. Jusque là où il est arrivé, et maintenant que le succès lui permet de vivre correctement, sans qu’il n’ait besoin de se priver pour moi ou pour ma mère. « Je veux pas de centimes de toute façon. J’accepte que les grosses coupures ! » Je souris largement avant de me faire embarquer comme un vulgaire sac à patates. C’est gênant, laissez-moi mourir en paix svp…
Je promets de ne rien dire à maman s’il me repose. « Je gagne de l’argent moi aussi ! Je te l’offrirai à Noël ta paire de moufles, tu verras ! Elle sera chaude. Et ultra jolie. Tout le monde sera jaloux ET ! je t’obligerai à les mettre. Comment veux-tu écrire si tes doigts sont tous froids ? IMAGINE QU’ILS TOMBENT ? Oppa. Oppa ! je te sauverai, promis. » J’acquiesce vivement avant de le tirer jusqu’au restaurant.
Je m’installe en face de lui et m’amuse déjà à jouer avec les baguettes en même temps que je jette un œil à la carte. « Quatre bols de jajjangmyeon, s’il vous plait ! » Quelle commande de gloutons… la serveuse repart avec des yeux ronds comme des pogs. « Il est hors de question que je me fasse battre par un vieux croûton, tu m’entends ? Ton heure de gloire est révolue, pourquoi tu t’accroches à ton titre ? La nouvelle génération, c’est moi. » Je prends l’air d’une concurrence détestable et redoutable, rejetant mes cheveux derrière mon épaule – et bugue à sa dernière phrase. Il doit bien s’en rendre compte puisqu’il se reprend, « Seyong le mangeur de nouille » et mon visage se déforme en une expression de dégoût pur et simple. Du genre, la petite sœur qui n’a pas du touuuuut envie d’imaginer ce genre de choses. « EEEEEEEWWWW ! OPPAAA ! T'espères me couper l’appétit ? C’est vraiment pas du jeu… » On oublie, s’il vous plait, on oublie !
Je ronchonne en défiant la baguette qu’il tend vers moi, prenant ma propre baguette en métal pour le désarmer comme s’il s’agissait d’une épée. « Arrière, gros scarabée. J’espère que tu as déjà les bannières et les tee-shirts à mon effigie. Quand on sortira de ce restaurant, t’auras toute une semaine pour me primer d’éloges ! » C’est dire que je ne compte pas perdre.
Les bols arrivent. Je prends mes baguettes, chacun de mes deux bols bien en face de moi et je le regarde avec un sourire complice.
Je promets de ne rien dire à maman s’il me repose. « Je gagne de l’argent moi aussi ! Je te l’offrirai à Noël ta paire de moufles, tu verras ! Elle sera chaude. Et ultra jolie. Tout le monde sera jaloux ET ! je t’obligerai à les mettre. Comment veux-tu écrire si tes doigts sont tous froids ? IMAGINE QU’ILS TOMBENT ? Oppa. Oppa ! je te sauverai, promis. » J’acquiesce vivement avant de le tirer jusqu’au restaurant.
Je m’installe en face de lui et m’amuse déjà à jouer avec les baguettes en même temps que je jette un œil à la carte. « Quatre bols de jajjangmyeon, s’il vous plait ! » Quelle commande de gloutons… la serveuse repart avec des yeux ronds comme des pogs. « Il est hors de question que je me fasse battre par un vieux croûton, tu m’entends ? Ton heure de gloire est révolue, pourquoi tu t’accroches à ton titre ? La nouvelle génération, c’est moi. » Je prends l’air d’une concurrence détestable et redoutable, rejetant mes cheveux derrière mon épaule – et bugue à sa dernière phrase. Il doit bien s’en rendre compte puisqu’il se reprend, « Seyong le mangeur de nouille » et mon visage se déforme en une expression de dégoût pur et simple. Du genre, la petite sœur qui n’a pas du touuuuut envie d’imaginer ce genre de choses. « EEEEEEEWWWW ! OPPAAA ! T'espères me couper l’appétit ? C’est vraiment pas du jeu… » On oublie, s’il vous plait, on oublie !
Je ronchonne en défiant la baguette qu’il tend vers moi, prenant ma propre baguette en métal pour le désarmer comme s’il s’agissait d’une épée. « Arrière, gros scarabée. J’espère que tu as déjà les bannières et les tee-shirts à mon effigie. Quand on sortira de ce restaurant, t’auras toute une semaine pour me primer d’éloges ! » C’est dire que je ne compte pas perdre.
Les bols arrivent. Je prends mes baguettes, chacun de mes deux bols bien en face de moi et je le regarde avec un sourire complice.
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Re: i've learned so much from my mistakes ☾ ft. no seyong | Jeu 9 Nov 2017 - 11:52 Citer EditerSupprimer
Réussi : oppa est un dieu (en signature pour toi)
Perdu : tu choisis la phrase
I've learned so much from my mistakes, I'm thinking about making a few more
Et si je lui dis que je préfère les cadeaux qu'elle fait de ses mains? Son premier cadeau, un porte clef en maternelle. Papa n'étais plus là, et elle ne voulait pas bricoler (mettre en peinture) le bout de bois. Son institutrice était inquiète. Qu'est-ce que je pouvais dire à dix ans à part de remplacer le appa par oppa. Et le jour de la fête des pères, j'ai attendu qu'elle m'offre mon cadeau avant de lui raconter une histoire. Le porte clef est toujours utilisé et à vue dans mon bureau. Tu dis ça, mais je t'entends déjà râler. J'eclairci ma voix, mets mes mains sous mon menton et plie une jambe en arrière. "Oppaaaa ! Tu me coutes cher. Je sais même pas pourquoi je t'ai offert des moufles. Mais elles sont si jolie regarde" Clignement des yeux, clignement des yeux. "C'est beau le rose avec plein de petit cœur." Les gens passent à côté de nous, nous dévisageant. J'aime la voir rouge de gêne, essayer de chercher un moyen pour que j'arrête de l'embrasserait. Et la voilà qui parle de nécrose. Pourquoi elle a pas fait musique? Mais laisse mes doigts tranquille ! Le soucis entre nous deux, c'est qu'on ne sait pas vraiment quand s'arrêter... Sauf quand elle reçoit son carnet de note. Là, je deviens un peu trop sévère à son goût.
Dans le restaurant, nous passons à un autre jeu. L'intimidation. Des ninja, des samouraï et des... Nouvelle génération? Les gènes sont parfois étranges. Tu es une hajima. Après tout, j'ai la chance de la voir habillé de façon peu glamour et des bigoudis dans les cheveux assez souvent. Je grimace en me rappelant la peur que j'ai eu avant que je parte. Mademoiselle se faisait un masque noir en me laissant des regards meurtriers. J'hausse les épaules à sa réponse reprenant notre jeu quand ma langue fourche. Son expression de dégoût sur son visage de poupée et mes paroles qui résonnent dans la tête me font vite lui dire d'oublier l'image. Ça à fonctionner? Aaah, j'ai une image mentale affreuse là.
On change de tactique un combat de baguette en attendant nos bols. L'apprentie ne dépassera jamais le maître, petit scarabée. Quoi qu'elle vient de me traité de gros. Je pose mon épée/baguette sur la table pour faire craquer mes mains. Elle va voir à la maison si je suis gros. Tu as de la chance, tu as déjà tout ce qu'il faut pour me vouer un culte. dis-je en rapprochant le premier bol de moi. Puis, comme à mon habitude, j'enleve l'oeuf de mon bol pour le poser dans le sien. Habitude qui date de l'enfance, je lui souris. Prête? Un petit craquage de la nuque. Bon appétit. Et c'est le carnage. En peu de temps, mon bol est vide. Je lui souris avec des nouilles qui dépasse de ma bouche.
Dans le restaurant, nous passons à un autre jeu. L'intimidation. Des ninja, des samouraï et des... Nouvelle génération? Les gènes sont parfois étranges. Tu es une hajima. Après tout, j'ai la chance de la voir habillé de façon peu glamour et des bigoudis dans les cheveux assez souvent. Je grimace en me rappelant la peur que j'ai eu avant que je parte. Mademoiselle se faisait un masque noir en me laissant des regards meurtriers. J'hausse les épaules à sa réponse reprenant notre jeu quand ma langue fourche. Son expression de dégoût sur son visage de poupée et mes paroles qui résonnent dans la tête me font vite lui dire d'oublier l'image. Ça à fonctionner? Aaah, j'ai une image mentale affreuse là.
On change de tactique un combat de baguette en attendant nos bols. L'apprentie ne dépassera jamais le maître, petit scarabée. Quoi qu'elle vient de me traité de gros. Je pose mon épée/baguette sur la table pour faire craquer mes mains. Elle va voir à la maison si je suis gros. Tu as de la chance, tu as déjà tout ce qu'il faut pour me vouer un culte. dis-je en rapprochant le premier bol de moi. Puis, comme à mon habitude, j'enleve l'oeuf de mon bol pour le poser dans le sien. Habitude qui date de l'enfance, je lui souris. Prête? Un petit craquage de la nuque. Bon appétit. Et c'est le carnage. En peu de temps, mon bol est vide. Je lui souris avec des nouilles qui dépasse de ma bouche.
Réussi : oppa est un dieu (en signature pour toi)
Perdu : tu choisis la phrase
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