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dusk till dawn.
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dusk till dawn. | Ven 6 Oct - 22:33
La photo qui apparaît sur mon écran me pousse finalement à sourire après ces longues minutes à m'énerver en lisant les conneries que Jihye peut parfois sortir. Elle est vraiment dehors à se les geler, car elles sont loin, les jolies et douces nuits d'été, maintenant. Je prends tout de même le temps de m'étirer puis quitte mon lit en quête d'un truc chaud à lui prêter. C'est tellement cliché que je n'assume pas vraiment mais j'ai bien envie de la voir porter une de mes fringues. Et puis, elle me sera redevable, ça peut être utile. Ce sweat qui fait deux fois sa taille, par exemple, sera parfait pour elle et son poids plume. Finalement, je ferme la porte de ma chambre aussi silencieusement que possible, parce que les gens adorent se plaindre des portes qui claquent à minuit, et longe le couloir qui donne sur le hall des dortoirs Sango. Fut un temps où elle avait le droit de rentrer sans problème, fut un temps où elle aussi, elle était des nôtres. J'appuie sur le petit bouton tout en tirant sur la porte afin que celle-ci s'ouvre enfin. « Allez, amène-toi. », je lui lance en haussant un sourcil, frissonnant presque au froid soudain qui envahit mon corps alors que j'ouvre grand pour la laisser passer.
dusk till dawn.
jihye & jaesoo
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La photo qui apparaît sur mon écran me pousse finalement à sourire après ces longues minutes à m'énerver en lisant les conneries que Jihye peut parfois sortir. Elle est vraiment dehors à se les geler, car elles sont loin, les jolies et douces nuits d'été, maintenant. Je prends tout de même le temps de m'étirer puis quitte mon lit en quête d'un truc chaud à lui prêter. C'est tellement cliché que je n'assume pas vraiment mais j'ai bien envie de la voir porter une de mes fringues. Et puis, elle me sera redevable, ça peut être utile. Ce sweat qui fait deux fois sa taille, par exemple, sera parfait pour elle et son poids plume. Finalement, je ferme la porte de ma chambre aussi silencieusement que possible, parce que les gens adorent se plaindre des portes qui claquent à minuit, et longe le couloir qui donne sur le hall des dortoirs Sango. Fut un temps où elle avait le droit de rentrer sans problème, fut un temps où elle aussi, elle était des nôtres. J'appuie sur le petit bouton tout en tirant sur la porte afin que celle-ci s'ouvre enfin. « Allez, amène-toi. », je lui lance en haussant un sourcil, frissonnant presque au froid soudain qui envahit mon corps alors que j'ouvre grand pour la laisser passer.Invité
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Re: dusk till dawn. | Ven 6 Oct - 23:11
Et voilà, ça recommence. Je sens qu’il va encore m’ignorer et m’envoyer voir ailleurs si j’y suis. En fait, non, il l’a déjà fait ! La mort dans l’âme, je soupire. D’un côté ça m’amuse, mais d’un autre, c’est à se demander si une conversation calme est possible entre nous… Tant pis. J’irais combler mon ennui ailleurs. Je frotte mes mains l’une contre l’autre avant de les poser à plat sur mon ventre, à l’abri sous mon pull. Très bonne idée que j’ai eu de sortir en short. Ji Hye la lumière, une institution. Je sursaute pourtant lorsque j’entends une voix s’élever derrière moi. Seigneur Jae Soo m’a en fait fait l’honneur de sa présence, eh beh. Malgré mes pensées houleuses, je lui adresse un sourire et me précipite vers lui pour glisser mes doigts glacés entre les siens. « Non, toi, amène-toi. » Je l’attire vers l’extérieur sans plus de cérémonie et l’emmène avec moi vers le banc sur lequel je trônais fièrement. Mes mains se posent sur ses épaules avec délicatesse pour le pousser à s’asseoir, avant que je ne me plante à côté de lui. « J’ai envie qu’on reste dehors. Ca te dérange pas, n’est-ce pas ? Non ? Super ! »
dusk till dawn.
jihye & jaesoo
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Et voilà, ça recommence. Je sens qu’il va encore m’ignorer et m’envoyer voir ailleurs si j’y suis. En fait, non, il l’a déjà fait ! La mort dans l’âme, je soupire. D’un côté ça m’amuse, mais d’un autre, c’est à se demander si une conversation calme est possible entre nous… Tant pis. J’irais combler mon ennui ailleurs. Je frotte mes mains l’une contre l’autre avant de les poser à plat sur mon ventre, à l’abri sous mon pull. Très bonne idée que j’ai eu de sortir en short. Ji Hye la lumière, une institution. Je sursaute pourtant lorsque j’entends une voix s’élever derrière moi. Seigneur Jae Soo m’a en fait fait l’honneur de sa présence, eh beh. Malgré mes pensées houleuses, je lui adresse un sourire et me précipite vers lui pour glisser mes doigts glacés entre les siens. « Non, toi, amène-toi. » Je l’attire vers l’extérieur sans plus de cérémonie et l’emmène avec moi vers le banc sur lequel je trônais fièrement. Mes mains se posent sur ses épaules avec délicatesse pour le pousser à s’asseoir, avant que je ne me plante à côté de lui. « J’ai envie qu’on reste dehors. Ca te dérange pas, n’est-ce pas ? Non ? Super ! » Invité
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Re: dusk till dawn. | Ven 6 Oct - 23:26
A peine arrive-t-elle à ma hauteur qu'elle me colle déjà en prenant mes mains. Les siennes sont glacées et ça me fait un peu culpabiliser de l'avoir laissée dehors comme ça. Ce sentiment ne dure qu'une minute, cela dit, puisqu'elle m'attire très vite vers l'enfer quasi hivernal qu'est le dehors. Jihye n'en a visiblement rien à faire que je me les pèle, moi. Trop sympa. Et il est censé faire doux, en automne, merde. Pas si froid. « Ouais, non. » Je tente de lui faire comprendre que je ne mettrais pas un pied plus loin. Mais comment lutter quand elle fait sa loi ? Alors, comme râler ne change rien, je m'accroche à ses mains pour tout de même lui tenir chaud jusqu'à ce qu'elle me force à m'asseoir sur le banc d'en face. Enfin "me force", c'est bien parce que je la laisse faire. « T'abuses, bordel. Je suis en short ! Toi aussi d'ailleurs, t'es maso ou quoi ? » Elle veut simplement me rendre fou, ce soir. J'imagine que c'est son plan. Je lève donc les yeux au ciel et frotte un peu ses doigts gelés avant de lui tendre le sweat que j'ai pris soin d'apporter. « Mets ça, au moins... » Je m'éclaircis la gorge dans l'espoir que ça cache ma gêne et regarde aux alentours, comme si je m'intéressais aux arbres qui bordent les dortoirs verts.
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A peine arrive-t-elle à ma hauteur qu'elle me colle déjà en prenant mes mains. Les siennes sont glacées et ça me fait un peu culpabiliser de l'avoir laissée dehors comme ça. Ce sentiment ne dure qu'une minute, cela dit, puisqu'elle m'attire très vite vers l'enfer quasi hivernal qu'est le dehors. Jihye n'en a visiblement rien à faire que je me les pèle, moi. Trop sympa. Et il est censé faire doux, en automne, merde. Pas si froid. « Ouais, non. » Je tente de lui faire comprendre que je ne mettrais pas un pied plus loin. Mais comment lutter quand elle fait sa loi ? Alors, comme râler ne change rien, je m'accroche à ses mains pour tout de même lui tenir chaud jusqu'à ce qu'elle me force à m'asseoir sur le banc d'en face. Enfin "me force", c'est bien parce que je la laisse faire. « T'abuses, bordel. Je suis en short ! Toi aussi d'ailleurs, t'es maso ou quoi ? » Elle veut simplement me rendre fou, ce soir. J'imagine que c'est son plan. Je lève donc les yeux au ciel et frotte un peu ses doigts gelés avant de lui tendre le sweat que j'ai pris soin d'apporter. « Mets ça, au moins... » Je m'éclaircis la gorge dans l'espoir que ça cache ma gêne et regarde aux alentours, comme si je m'intéressais aux arbres qui bordent les dortoirs verts.Invité
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Re: dusk till dawn. | Sam 7 Oct - 10:14
Je sais bien que j’ai des côtés chiants qui me rendent parfois difficile à supporter. J’ai pensé pendant un temps que c’est ce qui justifiait le comportement de Jae Soo a mon égard. Mais alors que je recommence à trainer lentement mais sûrement avec le phénomène, force est de constater qu’il s’agit bien là d’une partie méconnue de son caractère, ce cynisme mordant dont il ne se défait pas. Alors voilà, j’ai voulu penser qu’il est tout simplement devenu con. Les années changent les gens après tout. Peut-être qu’il l’est un peu d’ailleurs, mais il y a ce genre d’attentions qu’il peut avoir, comme ces doigts qui réchauffent les miens ou ce sweat qu’il me tend, qui trahissent l’homme tapi sous sa carapace. Serait-ce alors de la maladresse ? Qu’en sais-je… Je lui souris, avant de déposer un baiser sur le sommet de son crâne. « Merci. » J’attrape le sweat et noue ses manches autour de nos deux cous, ce qui nous donne sans doute une dégaine étrange d’un point de vue extérieur. « T’as l’air de te les peler avec ton mini-short, je partage. » Bah quoi, c’est bien lui qui vient de me faire remarquer qu’il est en short non ? Message subliminal pour me dire qu’il est frileux ? Pauvre garçon. J’attrape sa main entre les miennes et la frotte vigoureusement, jusqu’à ce que de la chaleur émane à nouveau. « Allez, un peu de folie voyons ! Reste. »
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Je sais bien que j’ai des côtés chiants qui me rendent parfois difficile à supporter. J’ai pensé pendant un temps que c’est ce qui justifiait le comportement de Jae Soo a mon égard. Mais alors que je recommence à trainer lentement mais sûrement avec le phénomène, force est de constater qu’il s’agit bien là d’une partie méconnue de son caractère, ce cynisme mordant dont il ne se défait pas. Alors voilà, j’ai voulu penser qu’il est tout simplement devenu con. Les années changent les gens après tout. Peut-être qu’il l’est un peu d’ailleurs, mais il y a ce genre d’attentions qu’il peut avoir, comme ces doigts qui réchauffent les miens ou ce sweat qu’il me tend, qui trahissent l’homme tapi sous sa carapace. Serait-ce alors de la maladresse ? Qu’en sais-je… Je lui souris, avant de déposer un baiser sur le sommet de son crâne. « Merci. » J’attrape le sweat et noue ses manches autour de nos deux cous, ce qui nous donne sans doute une dégaine étrange d’un point de vue extérieur. « T’as l’air de te les peler avec ton mini-short, je partage. » Bah quoi, c’est bien lui qui vient de me faire remarquer qu’il est en short non ? Message subliminal pour me dire qu’il est frileux ? Pauvre garçon. J’attrape sa main entre les miennes et la frotte vigoureusement, jusqu’à ce que de la chaleur émane à nouveau. « Allez, un peu de folie voyons ! Reste. » Invité
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Re: dusk till dawn. | Sam 7 Oct - 11:32
Mon but était qu'elle enfile ledit sweat pour être bien au chaud mais elle en décide évidemment autrement. Je me retrouve à me coller tout contre elle dans une position assez peu confortable afin de ne pas m'étrangler avec les manches nouées du pull. J'en retire pourtant une certaine satisfaction : un petit baiser. Elle est vraiment tactile, il faut encore que je m'habitue. Ou plutôt, que je me réhabitue, parce qu'on était comme ça, il y a bien longtemps. Je daigne finalement tourner la tête vers elle alors que ma langue tique à sa remarque. « C'est pas un mini-short, contrairement au tien. Je me pèle rien du tout. » J'ai un honneur à sauver. Mais la tâche s'avère compliquée puisqu'elle tente de réchauffer mes mains comme je l'ai fait pour elle quelques secondes auparavant et je me sens presque con. Je hausse donc les épaules dont l'une d'elles cogne contre celle de Jihye à cause de cette proximité étrange, et me retiens de râler. « Tu vas tomber malade. » Finalement, je m'étale de tout mon long, les jambes nues étendues au plus loin devant nous. Il suffit de se dire qu'on a chaud pour ne pas avoir froid. Donc j'essaie. « Et pas sûr que j'aie envie de te soigner quand ça arrive. » Je lui pince légèrement le bras en guise de provocation.
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jihye & jaesoo
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Mon but était qu'elle enfile ledit sweat pour être bien au chaud mais elle en décide évidemment autrement. Je me retrouve à me coller tout contre elle dans une position assez peu confortable afin de ne pas m'étrangler avec les manches nouées du pull. J'en retire pourtant une certaine satisfaction : un petit baiser. Elle est vraiment tactile, il faut encore que je m'habitue. Ou plutôt, que je me réhabitue, parce qu'on était comme ça, il y a bien longtemps. Je daigne finalement tourner la tête vers elle alors que ma langue tique à sa remarque. « C'est pas un mini-short, contrairement au tien. Je me pèle rien du tout. » J'ai un honneur à sauver. Mais la tâche s'avère compliquée puisqu'elle tente de réchauffer mes mains comme je l'ai fait pour elle quelques secondes auparavant et je me sens presque con. Je hausse donc les épaules dont l'une d'elles cogne contre celle de Jihye à cause de cette proximité étrange, et me retiens de râler. « Tu vas tomber malade. » Finalement, je m'étale de tout mon long, les jambes nues étendues au plus loin devant nous. Il suffit de se dire qu'on a chaud pour ne pas avoir froid. Donc j'essaie. « Et pas sûr que j'aie envie de te soigner quand ça arrive. » Je lui pince légèrement le bras en guise de provocation.Invité
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Re: dusk till dawn. | Dim 29 Oct - 23:09
Bon, en fait, nouer le pull de cette façon était peut-être une pas très bonne idée…. Mais en même temps il a froid, je me devais bien de partager non ? Je fais la moue, plus pour moi-même que pour lui. Je ne me vois pas le laisser avoir froid alors qu’il m’a si gentiment ramené de quoi me réchauffer… Parce que bien sûr, il peut me sortir tout son cinéma de bonhomme qui craint pas le froid, il va pas m’avoir comme ça. « Oui bien sûr, je vois ton zgeg qui se rétracte essaie pas de me mytho. » Je lève les yeux au ciel. Evidemment que je n’ai rien regardé, c’est juste pour l’embêter, comme d’habitude. Ce n’est pas non plus comme s’il ne me le rend pas bien et que j’étais seule dans mon délire… « Ah ouais, t’os- hé ! Ca fait mal ! » Bon, je pense qu’il y a pire niveau douleur mais qu’y puis-je, l’exagération est mon alliée. « T’as peur parce que tu sais que tu ferais pas le poids. Malade je te ferais encore plus chier, t’es pas prêt pour ça encore, tu dois level up. » J’associe mes paroles au dénouement des manches du pull, que je tire vers moi alors que je me mets un instant debout. Le froid m’envahit à nouveau, alors que je l’enfile. Partageons autrement parce que là, on s’étrangle à moitié. Alors je me rasseois en ramenant mes jambes contre moi, avant que ce ne soit le haut de mon coeur qui ne se colle à Jae Soo. Mon bras se glisse sous le sien, mes mains s’emparent de la sienne alors que je les laisse retomber sur sa cuisse. Je le serre fort pour pas qu’il n’ait froid, même si je doute que mon corps glacé ne fasse grand effet. « C’est mieux comme ça, non ? »
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Bon, en fait, nouer le pull de cette façon était peut-être une pas très bonne idée…. Mais en même temps il a froid, je me devais bien de partager non ? Je fais la moue, plus pour moi-même que pour lui. Je ne me vois pas le laisser avoir froid alors qu’il m’a si gentiment ramené de quoi me réchauffer… Parce que bien sûr, il peut me sortir tout son cinéma de bonhomme qui craint pas le froid, il va pas m’avoir comme ça. « Oui bien sûr, je vois ton zgeg qui se rétracte essaie pas de me mytho. » Je lève les yeux au ciel. Evidemment que je n’ai rien regardé, c’est juste pour l’embêter, comme d’habitude. Ce n’est pas non plus comme s’il ne me le rend pas bien et que j’étais seule dans mon délire… « Ah ouais, t’os- hé ! Ca fait mal ! » Bon, je pense qu’il y a pire niveau douleur mais qu’y puis-je, l’exagération est mon alliée. « T’as peur parce que tu sais que tu ferais pas le poids. Malade je te ferais encore plus chier, t’es pas prêt pour ça encore, tu dois level up. » J’associe mes paroles au dénouement des manches du pull, que je tire vers moi alors que je me mets un instant debout. Le froid m’envahit à nouveau, alors que je l’enfile. Partageons autrement parce que là, on s’étrangle à moitié. Alors je me rasseois en ramenant mes jambes contre moi, avant que ce ne soit le haut de mon coeur qui ne se colle à Jae Soo. Mon bras se glisse sous le sien, mes mains s’emparent de la sienne alors que je les laisse retomber sur sa cuisse. Je le serre fort pour pas qu’il n’ait froid, même si je doute que mon corps glacé ne fasse grand effet. « C’est mieux comme ça, non ? »Invité
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Re: dusk till dawn. | Dim 5 Nov - 1:28
J'ai envie de facepalm à sa remarque. Mon zgeg s'en sort très bien, c'est un guerrier de première classe. Mais comme je sens rapidement qu'elle veut juste m'emmerder autant qu'elle le faisait quelques minutes auparavant par messages, je ne dis rien et me contente de sourire lorsqu'elle chouine. Quelle chochotte. Une chochotte qui marque un point, pourtant, puisque des souvenirs d'une Jihye malade me reviennent soudain à l'esprit et je me remémore alors la chiantise extrême dont elle pouvait faire preuve. D'après ses dires, les années n'ont pas changé ça chez elle. En ce temps-là je l'aimais tellement que je trouvais ça mignon. Maintenant... c'est toujours mignon, peut-être, mais calmons-nous. « T'aimerais bien pouvoir me faire chier encore plus, hein ? J'vais surtout t'ignorer un maximum. » Avec toute l'hypocrisie du monde, je lui sors un sourire révélateur de mes véritables pensées. Je sais d'ailleurs pertinemment qu'elle les connait. Doucement, on ré-apprend à se connaitre, pourtant c'est comme si nous ne nous étions jamais quitté, pour certaines choses.
Finalement, elle se lève et j'ai enfin le plaisir de la voir porter ce gros hoodie. C'est tellement cliché, mais putain ce qu'elle est belle là-dedans. Stop, Jaesoo, reprends-toi. Je me reprends donc comme je peux quand elle vient se coller à moi, toute recroquevillée comme un petit escargot dans sa coquille. Je tente de la maintenir aussi près que possible. « T'es morte de froid... » J'aimerais bien que mon inquiétude ne se fasse pas entendre, et pourtant, tout en moi me crie de faire quelque chose pour elle. Sans plus attendre, je la tourne légèrement dos à moi pour passer mes bras autour de sa taille et la tirer contre mon torse, entre mes jambes. Là, il fait bien chaud. Là, je peux la couvrir et la protéger. Mon menton contre son épaule, je râle tout de même un peu. « Maintenant, c'est mieux. Mais mon lit serait encore mieux, tu vois. »
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J'ai envie de facepalm à sa remarque. Mon zgeg s'en sort très bien, c'est un guerrier de première classe. Mais comme je sens rapidement qu'elle veut juste m'emmerder autant qu'elle le faisait quelques minutes auparavant par messages, je ne dis rien et me contente de sourire lorsqu'elle chouine. Quelle chochotte. Une chochotte qui marque un point, pourtant, puisque des souvenirs d'une Jihye malade me reviennent soudain à l'esprit et je me remémore alors la chiantise extrême dont elle pouvait faire preuve. D'après ses dires, les années n'ont pas changé ça chez elle. En ce temps-là je l'aimais tellement que je trouvais ça mignon. Maintenant... c'est toujours mignon, peut-être, mais calmons-nous. « T'aimerais bien pouvoir me faire chier encore plus, hein ? J'vais surtout t'ignorer un maximum. » Avec toute l'hypocrisie du monde, je lui sors un sourire révélateur de mes véritables pensées. Je sais d'ailleurs pertinemment qu'elle les connait. Doucement, on ré-apprend à se connaitre, pourtant c'est comme si nous ne nous étions jamais quitté, pour certaines choses. Finalement, elle se lève et j'ai enfin le plaisir de la voir porter ce gros hoodie. C'est tellement cliché, mais putain ce qu'elle est belle là-dedans. Stop, Jaesoo, reprends-toi. Je me reprends donc comme je peux quand elle vient se coller à moi, toute recroquevillée comme un petit escargot dans sa coquille. Je tente de la maintenir aussi près que possible. « T'es morte de froid... » J'aimerais bien que mon inquiétude ne se fasse pas entendre, et pourtant, tout en moi me crie de faire quelque chose pour elle. Sans plus attendre, je la tourne légèrement dos à moi pour passer mes bras autour de sa taille et la tirer contre mon torse, entre mes jambes. Là, il fait bien chaud. Là, je peux la couvrir et la protéger. Mon menton contre son épaule, je râle tout de même un peu. « Maintenant, c'est mieux. Mais mon lit serait encore mieux, tu vois. »
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Re: dusk till dawn. | Dim 5 Nov - 2:43
Le sourire de Jae Soo me frustre. Pourquoi sourire ? Ma situation n’a rien de drôle, je n’aime pas ça ! Et puis même, c’est moi qui suis supposée l’embêter, donc un sourire n’est pas le résultat escompté suite au mal que je me donne. Bon, j’exagère quand même un peu, c’est mieux de le voir sourire… Il sourit moins qu’avant, j’ai remarqué. Devrais-je lui faire part de mon constat ? Je ne sais pas… Quand on se parle comme ça, j’ai l’impression que rien n’a changé, mais je ne dois pas me leurrer. Lui et moi ne sommes plus les amis que nous avons un jour été. Je ne suis pas du genre à avoir peur de dire le fond de ma pensée mais étrangement, j’ai encore plus peur qu’il ne se braque. Alors je décide de réfléchir encore un peu. Je n’ai pas envie de gâcher ce petit moment. Alors à la place, je lui donne mon plus beau roulement d’yeux avant de lui taper le bras. « Tu pourrais pas m’ignorer même si tu le voulais ! Je t’en empêcherais. Donc m’ignorer un maximum se résume à m’ignorer… Pas du tout, en fait. » Mon sourire forcé fait écho au sien. On peut être deux à jouer le jeu de l’hypocrisie mon cher monsieur, vous ne me faites pas peur avec vos petits airs de nianiania.
Mais cela ne m’empêche pas pour autant de me coller à lui histoire qu’il ne meure pas congelé. Je ne comprends donc pas ce qui me vaut toute cette inquiétude, il est le plus à plaindre dans l’histoire ! « Moi ? Morte de froid ? Pfff, n’importe- quoi. » Ma phrase est interrompue dans son cours par ce charmant jeune homme qui décide de me retourner - ouh - sans vraiment me laisser la chance de m’éloigner. Cette position a quelque chose de très intime, et je ne sais pas pourquoi, je n’ai même pas envie de le pousser. Sans doute parce que ce n’est pas n’importe qui, j’imagine… Je gigote légèrement, histoire de me terrer encore plus entre ses bras - je ne sais pas vraiment si cela est physiquement possible, mais ça ne coûte rien d’essayer -. « Roh, mais ton lit tu le vois tous les soirs. Moi, non. » Mon regard se lève alors vers le ciel sombre. « Ca ne te rappelle rien, tout ça ? » Je lève la main pour poker sa joue avec mon index, avant de pointer le ciel du doigt. « Quand on était en primaire, je t’avais offert un planétarium en projecteur de ouuuuf ! Je saoulais mes parents juste pour venir dormir chez toi et allumer ce truc. J’me suis toujours dit que j’utilisais sans doute plus ce cadeau que toi-même. » Un rire m’échappa à la pensée que j’aie pu encore saouler Jae Soo avec mes histoires. Toujours est-il qu’après ces heures à harceler mes parents, j’arrivais toujours chez Jae Soo toute sage et tout sourire, car l’image est toujours très importante mes chers, l’image. Je me demande s’il avait un jour compris la supercherie, mais toujours est-il que ce ciel artificiel, que nous voyions du fond de son lit, avait pour l'enfant que j'étais des goûts de paradis.
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Le sourire de Jae Soo me frustre. Pourquoi sourire ? Ma situation n’a rien de drôle, je n’aime pas ça ! Et puis même, c’est moi qui suis supposée l’embêter, donc un sourire n’est pas le résultat escompté suite au mal que je me donne. Bon, j’exagère quand même un peu, c’est mieux de le voir sourire… Il sourit moins qu’avant, j’ai remarqué. Devrais-je lui faire part de mon constat ? Je ne sais pas… Quand on se parle comme ça, j’ai l’impression que rien n’a changé, mais je ne dois pas me leurrer. Lui et moi ne sommes plus les amis que nous avons un jour été. Je ne suis pas du genre à avoir peur de dire le fond de ma pensée mais étrangement, j’ai encore plus peur qu’il ne se braque. Alors je décide de réfléchir encore un peu. Je n’ai pas envie de gâcher ce petit moment. Alors à la place, je lui donne mon plus beau roulement d’yeux avant de lui taper le bras. « Tu pourrais pas m’ignorer même si tu le voulais ! Je t’en empêcherais. Donc m’ignorer un maximum se résume à m’ignorer… Pas du tout, en fait. » Mon sourire forcé fait écho au sien. On peut être deux à jouer le jeu de l’hypocrisie mon cher monsieur, vous ne me faites pas peur avec vos petits airs de nianiania. Mais cela ne m’empêche pas pour autant de me coller à lui histoire qu’il ne meure pas congelé. Je ne comprends donc pas ce qui me vaut toute cette inquiétude, il est le plus à plaindre dans l’histoire ! « Moi ? Morte de froid ? Pfff, n’importe- quoi. » Ma phrase est interrompue dans son cours par ce charmant jeune homme qui décide de me retourner - ouh - sans vraiment me laisser la chance de m’éloigner. Cette position a quelque chose de très intime, et je ne sais pas pourquoi, je n’ai même pas envie de le pousser. Sans doute parce que ce n’est pas n’importe qui, j’imagine… Je gigote légèrement, histoire de me terrer encore plus entre ses bras - je ne sais pas vraiment si cela est physiquement possible, mais ça ne coûte rien d’essayer -. « Roh, mais ton lit tu le vois tous les soirs. Moi, non. » Mon regard se lève alors vers le ciel sombre. « Ca ne te rappelle rien, tout ça ? » Je lève la main pour poker sa joue avec mon index, avant de pointer le ciel du doigt. « Quand on était en primaire, je t’avais offert un planétarium en projecteur de ouuuuf ! Je saoulais mes parents juste pour venir dormir chez toi et allumer ce truc. J’me suis toujours dit que j’utilisais sans doute plus ce cadeau que toi-même. » Un rire m’échappa à la pensée que j’aie pu encore saouler Jae Soo avec mes histoires. Toujours est-il qu’après ces heures à harceler mes parents, j’arrivais toujours chez Jae Soo toute sage et tout sourire, car l’image est toujours très importante mes chers, l’image. Je me demande s’il avait un jour compris la supercherie, mais toujours est-il que ce ciel artificiel, que nous voyions du fond de son lit, avait pour l'enfant que j'étais des goûts de paradis.
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Re: dusk till dawn. | Jeu 23 Nov - 21:33
Je suis si confortablement installé, là, tout contre elle, que je préfère la laisser blablater, persuadé que si je continue à lui répondre, on sera encore en train de se disputer sur la capacité de chacun à ignorer l'autre dans deux heures. Autant couper court et lui faire croire qu'elle a raison, à la limite. Et elle a possiblement raison, en vérité... Parce que l'ignorer n'a jamais été mon fort même si ces dernières années m'ont laissé un peu de pratique en la matière. Bref, n'en parlons pas. Pas ce soir. Parce que ça fait réellement des siècles que nous n'avons pas été si proches, je ne voudrais pas tout gâcher. La dernière fois, ça devait être quand j'avais quatorze ans et que j'avais réussi à me faufiler dans son lit pour dormir avec elle au lieu de rester sur le matelas au sol.
Sans m'en rendre compte, je me perds dans mes souvenirs, la nostalgie couvrant déjà mon cœur d'une épaisse couche de ressentiment. Par chance, son petit poke me sort de mon absence et je suis alors son mouvement pour observer le ciel. C'est ce bleu, si profond qu'il parait noir de jais, avec deux-trois étoiles qui parviennent à se montrer ci et là. Mais aucune chance de pouvoir admirer la voie lactée ici, vu la dose de pollution qu'on se tape dans cette ville. Au moins, avec le planétarium, je pouvais. Alors je ne peux que sourire en me remémorant cette nuit d'anniversaire que l'on avait passé à inventer des constellations en mangeant du popcorn et les restes de gâteau. On n'est plus très loin de revenir à ce temps révolu, ce soir, si ? J'acquiesce vaguement contre son épaule. « Mh. J'ai dû l'allumer trois ou quatre fois. » Je suis un menteur né parce que je sais bien que ce truc était allumé toutes les nuits pendant deux semaines après ce fameux anniversaire. C'était cool de pouvoir dormir à la belle étoile à même ma chambre et, en plus, c'était les étoiles que Jihye m'avait offertes. Je m'endormais en pensant à des histoires à la Star Wars, j'étais Anakin, elle était Padmé. Ce que j'étais con.
« Je pense que je l'ai encore d'ailleurs, si jamais tu veux que je te le donne. » Je me doute bien qu'elle s'en fout, mais elle l'adorait tellement, à l'époque. « Tu pourras revoir Tyxeï26. 'Fin, je crois que c'était comme ça que t'avais nommé les étoiles en forme de chapeau. » Je me recule un peu pour lui lancer un sourire moqueur puis lui assène une pichenette contre la tempe. Violence gratuite pour l'emmerder.
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Je suis si confortablement installé, là, tout contre elle, que je préfère la laisser blablater, persuadé que si je continue à lui répondre, on sera encore en train de se disputer sur la capacité de chacun à ignorer l'autre dans deux heures. Autant couper court et lui faire croire qu'elle a raison, à la limite. Et elle a possiblement raison, en vérité... Parce que l'ignorer n'a jamais été mon fort même si ces dernières années m'ont laissé un peu de pratique en la matière. Bref, n'en parlons pas. Pas ce soir. Parce que ça fait réellement des siècles que nous n'avons pas été si proches, je ne voudrais pas tout gâcher. La dernière fois, ça devait être quand j'avais quatorze ans et que j'avais réussi à me faufiler dans son lit pour dormir avec elle au lieu de rester sur le matelas au sol. Sans m'en rendre compte, je me perds dans mes souvenirs, la nostalgie couvrant déjà mon cœur d'une épaisse couche de ressentiment. Par chance, son petit poke me sort de mon absence et je suis alors son mouvement pour observer le ciel. C'est ce bleu, si profond qu'il parait noir de jais, avec deux-trois étoiles qui parviennent à se montrer ci et là. Mais aucune chance de pouvoir admirer la voie lactée ici, vu la dose de pollution qu'on se tape dans cette ville. Au moins, avec le planétarium, je pouvais. Alors je ne peux que sourire en me remémorant cette nuit d'anniversaire que l'on avait passé à inventer des constellations en mangeant du popcorn et les restes de gâteau. On n'est plus très loin de revenir à ce temps révolu, ce soir, si ? J'acquiesce vaguement contre son épaule. « Mh. J'ai dû l'allumer trois ou quatre fois. » Je suis un menteur né parce que je sais bien que ce truc était allumé toutes les nuits pendant deux semaines après ce fameux anniversaire. C'était cool de pouvoir dormir à la belle étoile à même ma chambre et, en plus, c'était les étoiles que Jihye m'avait offertes. Je m'endormais en pensant à des histoires à la Star Wars, j'étais Anakin, elle était Padmé. Ce que j'étais con.
« Je pense que je l'ai encore d'ailleurs, si jamais tu veux que je te le donne. » Je me doute bien qu'elle s'en fout, mais elle l'adorait tellement, à l'époque. « Tu pourras revoir Tyxeï26. 'Fin, je crois que c'était comme ça que t'avais nommé les étoiles en forme de chapeau. » Je me recule un peu pour lui lancer un sourire moqueur puis lui assène une pichenette contre la tempe. Violence gratuite pour l'emmerder.
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Re: dusk till dawn. | Ven 15 Déc - 14:19
Je tourne la tête pour essayer de le regarder du coin de l’oeil. « Quoi ?! » La soudaineté dont j’ai fait preuve a sans doute fait rebondir son menton, mais tant pis pour lui. Il n’avait qu’à prendre mieux soin de ce cadeau si cher à mon coeur. Je ne peux pas réprimer une moue réprobatrice, surtout face à la tronche qu’il me tire (ou peut-être encore plus simplement à cause des paroles non appropriées qui sortent de sa bouche. Il ne se tait jamais quand il faut, lui). « Non mais tu mens, c’est pas possible que t’aies laissé ce cadeau dans un coin tout pourri ! Déjà il venait de moi donc cimer l’amitié hein, mais même ! Il était trop bien ! J’suis choquée. » Je croise les bras pour exprimer ma désapprobation, mais peut-être qu’au fond je garde l’espoir qu’il est en train de me baratiner. C’est nul que tant d’années se soient écoulées. J’ai besoin de me réentraîner pour lire à travers ses petits mensonges. « Tu devrais peut-être me le donner oui, au moins je l’aimerais pour deux. Je me sens insultée que tu penses à me le rendre ! » Oui, bien sûr que je blague, bien sûr.. A moitié seulement peut-être. Rah, jusqu'à quand réagirais-je en enfant à cause de lui ? Et me voilà éberluée à cause de la pichenette qu’il assène à ma pauvre tempe qui n’a rien demandé (comme moi d’ailleurs), mais qui se fait maltraiter quand même. « Tu te moques, mais tu t’en souviens alors c’est que t’as du kiffer le délire quand même, méchant. » je lui donne un mini coup de poing dans l’avant-bras (c’est sûr qu’il finira handicapé avec ça), pour répondre à son sourire suffisant. « Voilà j’suis gentille, je te réchauffe et tout, et c’est comme ça que je suis remerciée ! Je vais appeler un numéro vert pour me plaindre de violences conjugales. »
dusk till dawn.
jihye & jaesoo
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Je tourne la tête pour essayer de le regarder du coin de l’oeil. « Quoi ?! » La soudaineté dont j’ai fait preuve a sans doute fait rebondir son menton, mais tant pis pour lui. Il n’avait qu’à prendre mieux soin de ce cadeau si cher à mon coeur. Je ne peux pas réprimer une moue réprobatrice, surtout face à la tronche qu’il me tire (ou peut-être encore plus simplement à cause des paroles non appropriées qui sortent de sa bouche. Il ne se tait jamais quand il faut, lui). « Non mais tu mens, c’est pas possible que t’aies laissé ce cadeau dans un coin tout pourri ! Déjà il venait de moi donc cimer l’amitié hein, mais même ! Il était trop bien ! J’suis choquée. » Je croise les bras pour exprimer ma désapprobation, mais peut-être qu’au fond je garde l’espoir qu’il est en train de me baratiner. C’est nul que tant d’années se soient écoulées. J’ai besoin de me réentraîner pour lire à travers ses petits mensonges. « Tu devrais peut-être me le donner oui, au moins je l’aimerais pour deux. Je me sens insultée que tu penses à me le rendre ! » Oui, bien sûr que je blague, bien sûr.. A moitié seulement peut-être. Rah, jusqu'à quand réagirais-je en enfant à cause de lui ? Et me voilà éberluée à cause de la pichenette qu’il assène à ma pauvre tempe qui n’a rien demandé (comme moi d’ailleurs), mais qui se fait maltraiter quand même. « Tu te moques, mais tu t’en souviens alors c’est que t’as du kiffer le délire quand même, méchant. » je lui donne un mini coup de poing dans l’avant-bras (c’est sûr qu’il finira handicapé avec ça), pour répondre à son sourire suffisant. « Voilà j’suis gentille, je te réchauffe et tout, et c’est comme ça que je suis remerciée ! Je vais appeler un numéro vert pour me plaindre de violences conjugales. »Contenu sponsorisé
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