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ruud sander + alt er love.
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ruud sander + alt er love. | Dim 8 Oct - 0:08 Citer EditerSupprimer
nom : ruud. prénom : sander. âge : 21 ans. date et lieu de naissance : oslo le 6 avril. origines : norvégiennes. nationalité : norvégien, il ne peut et ne veut pas encore demander une possible nationalité. cursus universitaire : juriste investi dans le droit international, c’est aussi la raison pour laquelle il est ici. métier : il n’en a pas, il est déjà assez craintif de sortir juste pour les cours. orientation sexuelle : homosexuel et il ne l’assume pas du tout, alors il essaie d’aller vers les filles, il se sent cool quand il sent qu’il a la tchatche. classe sociale : sa famille a eu des difficultés financières, mais maintenant ça commence à aller mieux. code du règlement : Ok par iMked tu veux t'investir ? pas pour l'instant merci
Ruud Sander
what happens after i saved you ?
INVESTI (★★★✰✰) | RENFERME (★★★✰✰) | DISCRET (★★★✰✰) | CRAINTIF (★★★✰✰) | DOUX (★★★✰✰) |
CAPRICIEUX (★★★★✰) | CHARISMATIQUE (★★★✰✰) | PESSIMISTE (★★★✰✰) | SERVIABLE (★★★✰✰) | SILENCIEUX (★★★✰✰) |
Rumour has it... on dit qu’il serait complètement homophobe et intolérant, il a peur des gens différents, et on ne sait même pas ce qu’il fait là. Survole l'avatar, petit coquin. | My character « - i wanna be immortal ; like a god in the sky. i wanna be a silk flower ; like i’m never gonna die. » Ce n’est pas un mauvais bougre. Il est juste apeuré de tout c’est comme ça. Il ne l’a pas choisi. Mais libérez-vous d’une phobie et après on en reparlera. Il n’a jamais vécu pleinement. Il se contente du minimum syndical et encore, quand on le voit, on se dit qu’il ne fait simplement pas d’efforts pour s’intégrer. Il bute sur les mots. Il a un accent difficile. Il veut apprendre la langue. Mais il n’y arrive pas. il ne peut pas tout faire, alors il ne fait rien. Ce n’est pas facile d’être thanatophobe, vous avez peur de sortir parce que la pollution entre dans vos poumons, parce que les voitures roulent vite, vous avez peur d’aller en cours, parce que tous ces gens qui fument ça vous effraie, vous avez peur de manger certaines choses, parce qu’elles peuvent affaiblir votre santé, vous avez peur des relations sexuelles, parce que des maladies sont transmissibles, vous avez peur des jours parce qu’ils vous rapprochent du moment fatidique de la mort. Vous avez peur de regarder les autres parce que vous les enviez, vous avez peur de tomber amoureux ou de vous faire détester parce que ça fait trop mal. Voilà le quotidien de sander. Sander qui s’efforce de se rendre en cours, sander qui s’efforce de bien se nourrir, sander à l’hygiène irréprochable, sander qui essaie de mener l’existence d’un jeune de son âge. Sander qui va parfois dans les soirées mais qui n’y reste jamais longtemps. Sander qui fait se poser milles questions aux autres. Et pourtant, quand on l’approche, l’on n’est jamais déçus très longtemps. Parce que c’est un nordique, et parce que les nordiques sont d’apparence froids, mais au fond ils ne demandent que ça : se faire des amis. Sander, naturellement, amuse la galerie, mais ça, il ne le fait que quand il estime que ça en vaut la peine. Sander, il cherche un peu la compagnie des filles, parce qu’il y a tout de même des coréennes qui sont jolies. Sander, il regarde secrètement les garçons, et leur naturel charmeur et spontané. Mais sander, n’avouera jamais, que tout ça, ça lui plait. Il est investi. Dans ses études, pour sa famille, pour ses vrais amis car il n’en a pas beaucoup et parce qu’il sait qu’avec eux, il peut parfois se montrer capricieux et renfermé. Il est fidèle, parfois furieux, parfois jaloux, parfois excessif mais surtout silencieux ; il ne connait que le mutisme pour manifester sa peine, sa colère ou sa déception. Il ne connait que l’ignorance pour tenter d’extérioriser, mais parfois c’est plus douloureux. Il sourit beaucoup cependant, parce qu’il a envie que les personnes se disent que dans le fond, c’est quelqu’un de sympathique. Et peut-être viendra-t-on vers lui, peut-être penserons nous qu’il se sent seul et qu’il a besoin d’être épaulé dans ce nouvel univers. Parce que la Norvège et la Corée c’est différent. Sander n’est pas beau. Il n’est pas musclé, ni botoxé, ni sportif. Mais il est grand, il est mince, et il parle bien. Il est naturellement drôle et naturellement obsessionnel. On a envie de venir vers lui, on a envie de le consommer, on a envie de le détester ou de l’aimer, on a envie de jouer sur les deux extrêmes avec lui. parce qu’il est mystérieux, parce qu’il est spécial, parce que sa vision des choses est totalement inédite et perchée. C’est intéressant. Intéressant de creuser sous une carapace en verre. |
This is my story
keep me alive
« - i’m forever chasing after time, but everybody dies. »
Comment on en est arrivé là ? comment on en est arrivé à compter les jours ? les heures ? les minutes ? les secondes ? tout devient plus difficile. Tout devient plus flou. Surtout quand on découvre que les souvenirs sont les seuls survivants d’une vie. mais quelle vie ? et quels souvenirs ? la seule chose dont sander se souvient c’est que ses parents l’ont entrainé ici en prétextant que ça lui serait utile pour ses études. Un garçon déjà fragile qu’on envoie à l’autre bout du monde, dans un autre univers. Et oslo ? et ses amis qui le connaissaient si bien ? plus que de simples pensées. Il trouvait ça injuste. Pourquoi lui aussi, devait-il suivre ses parents ? pourquoi était-il puni ? pourquoi l’arrachait-on à ses racines ? alors qu’il commençait à peine à sortir de la fleur de l’âge ? il sera étranger à ce pays, et aucun élément que ce soit physique ou mental ne le rattachait à la corée. Il n’était ni asiatique, ni suicidaire dans le travail. Il aimait le chocolat et les pâtisseries, mais là-bas tout ça n’avait pas la même valeur.
Il a eu le mal du pays, et après être resté complètement éteint de la société, n’étant et continuant de n’être que l’ombre de soi-même, sander s’est enfin dit qu’il n’arriverait à rien s’il maintenait cet état d’esprit. De toute façon il était déjà trop tard. Les préjugés étaient installés car tout s’était joué dans les premiers jours de son apparition. Mais il n’est jamais trop tard pour se faire une place n’est-ce pas ? ça dépendait.
Sander ne fut pas toujours thanatophobe. Autrefois c’était un enfant qui se roulait dans l’herbe, qui jouait à la guerre et qui restait des heures dehors à lire ou à dormir. Le premier à sortir dans le centre-ville à chiller comme il le disait si bien, avec ses copains, à fumer en cachette ses premières cigarettes mentholées. C’était même le boute-en-train de la bande, et les filles le trouvaient mignon, s’étaient mises d’accord sur le fait qu’il parlait bien et qu’il arrivait toujours à faire succomber ses crushs. Tout prédisait une existence plutôt tranquille. rien de grave pour attiser la crainte de ses parents hormis ses petits ronds de fumée quotidiens et ses sorties dans les lacs alentours.
« - sander, assied toi s’il te plait. » le blond pressent quelque chose de mauvais et d’une certaine gravité, mais il souffle, en pleine crise d’ado. L’envie lui prend soudain de grimper dans sa chambre pour trainer sur son portable. Mais sa mère a la mine grave et son père a les poings serrés derrière ses genoux. Alors le gosse s’assoit, regarde sa montre : demain il a 15 ans. un sourire arrache son visage alors que sa mère attrape sa main, pressée. « - je viens d’avoir la maman de Herman au téléphone, il était absent à l’école aujourd’hui n’est-ce pas ? » un hochement de tête indifférent. « - ouais. Il doit avoir attrapé la grippe, l’épidémie de fin d’hiver continue. » ; « - chéri. Herman n’a pas attrapé la grippe il. » elle s’arrête, le visage boursoufflé par l’inquiétude. « - il est mort chéri. » sander ne comprend pas vraiment sur le moment. il ne sait pas ce que c’est lui, la mort. Il a 14 ans, son corps fonctionne bien, son esprit est tranquille. à 14 ans la mort, ça n’existe pas non. ça c’est pour les vieux, ceux qui ont 80 ans au moins. « - il était là hier à l’école maman. Ce n’est pas possible. » oui, hier il était là et il allait bien, il courait avec les copains, il s’est même fait renvoyer de l’étude parce qu’il foutait le bordel comme d’habitude, mais au fond les profs et les pions l’aiment bien. Et puis comment pouvait-il être mort ? il avait promis qu’il viendrait chercher sander demain en lui apportant un cadeau.
Seulement tout ça était vrai. Tout ça était fondé. Il s’était suicidé. Dans son garage, en pleine nuit, et c’est sa maman, le lendemain matin qui a découvert le corps. L’enfant ne met pas plus longtemps que ça à réaliser que tout est réel. Il reste immobile, déglutissant continuellement pour s’empêcher de pleurer, mais quand il aperçoit sa mère en sanglots, il craque. Il ne la rejette pas, elle qui s’empresse de le prendre dans ses bras.
C’est à partir de là que la vie de sander s’est arrêtée. Le lendemain, à l’école, tous étaient silencieux, convoqués dans une grande salle pour avoir une explication. Son frère était mort en quelques minutes. Quelques minutes à côté des 10 ans qu’ils avaient passé ensemble. les professeurs pleuraient, des gens inconnus pleuraient, et le norvégien ne comprenait pas, toujours dans un certain déni. C’était irréel, c’était affolant de passer une journée à ne rien faire à part se consoler les uns avec les autres. Sander était assis désormais tout seul à sa place. Son voisin avait décidé de ne plus jamais venir en cours.
Il eut définitivement peur de tout, le jour où il rendit visite à madame Holm ; la mère de Herman. Elle avait convié sander et un autre copain, Marc à venir pour prendre un chocolat chaud. Herman était là, allongé dans son lit et ils sont montés pour le voir. Il était blanc, ses cheveux roux tombaient sur son front, frisés, décoiffés. Sa peau, toute sa peau était lisse comme un linge. Il dormait. Mais il y avait ces marques dans son cou, qui avaient fait tiquer sander, des griffures, comme s’il avait essayé de se libérer de ses chaines mais que tout était trop tard. Le gosse ferme les yeux et sort de la pièce. Il ne pouvait plus supporter ça.
« - Comme toutes les phobies, la thanatophobie peut être déclenchée par un événement traumatisant comme la vision d'un cadavre ou le décès d'un proche, surtout dans l'enfance. Elle peut aussi être transmise par les parents. Il n'existe pas toujours de cause évidente, c'est alors simplement l'excès d'anxiété qui se traduit de cette façon. On trouve aussi des thanatophobes parmi les hypocondriaques.
La thanatophobie empêche la personne atteinte de vivre, du fait de cette peur exagérée de la mort. Le thanatophobe a du mal à se projeter dans l'avenir. Il développe des comportements et des idées obsédantes autour de cette échéance, pour lui et pour les autres. Il angoisse à l'idée de ne pas pouvoir contrôler les choses, ne pense qu'à la mort subite et à ce qui se passe après la mort. »
Le médecin l’a donc diagnostiqué le 23 août de l’année fatidique. Et quand il fut seul avec les parents du concerné, il leur expliqua tout.
Il déménagea à séoul le 3 juillet 2017 pour entamer sa troisième année de droit, spécialisé dans l’international. Il y a du travail en asie, et ses parents le savaient. La vie à oslo était d’ailleurs devenue beaucoup trop chère. Au moins la corée, c’est un beau pays qui est prometteur au niveau de l’expansion et de la possibilité de se reconstruire.
Se reconstruire. On ne se remet jamais totalement de la perte de quelqu’un qu’on aime. Et encore moins d’un mal quotidien qui nous ronge en permanence. Sander essaie d’honorer la mémoire de Herman par des petits gestes sans importance au premier regard : se rendre en cours, et parfois faire la fête, parfois rencontrer des gens et parfois aller beaucoup plus loin.
« - when you love somebody, they always leave to soon. But a memory can make a flower bloom. »
Comment on en est arrivé là ? comment on en est arrivé à compter les jours ? les heures ? les minutes ? les secondes ? tout devient plus difficile. Tout devient plus flou. Surtout quand on découvre que les souvenirs sont les seuls survivants d’une vie. mais quelle vie ? et quels souvenirs ? la seule chose dont sander se souvient c’est que ses parents l’ont entrainé ici en prétextant que ça lui serait utile pour ses études. Un garçon déjà fragile qu’on envoie à l’autre bout du monde, dans un autre univers. Et oslo ? et ses amis qui le connaissaient si bien ? plus que de simples pensées. Il trouvait ça injuste. Pourquoi lui aussi, devait-il suivre ses parents ? pourquoi était-il puni ? pourquoi l’arrachait-on à ses racines ? alors qu’il commençait à peine à sortir de la fleur de l’âge ? il sera étranger à ce pays, et aucun élément que ce soit physique ou mental ne le rattachait à la corée. Il n’était ni asiatique, ni suicidaire dans le travail. Il aimait le chocolat et les pâtisseries, mais là-bas tout ça n’avait pas la même valeur.
Il a eu le mal du pays, et après être resté complètement éteint de la société, n’étant et continuant de n’être que l’ombre de soi-même, sander s’est enfin dit qu’il n’arriverait à rien s’il maintenait cet état d’esprit. De toute façon il était déjà trop tard. Les préjugés étaient installés car tout s’était joué dans les premiers jours de son apparition. Mais il n’est jamais trop tard pour se faire une place n’est-ce pas ? ça dépendait.
Sander ne fut pas toujours thanatophobe. Autrefois c’était un enfant qui se roulait dans l’herbe, qui jouait à la guerre et qui restait des heures dehors à lire ou à dormir. Le premier à sortir dans le centre-ville à chiller comme il le disait si bien, avec ses copains, à fumer en cachette ses premières cigarettes mentholées. C’était même le boute-en-train de la bande, et les filles le trouvaient mignon, s’étaient mises d’accord sur le fait qu’il parlait bien et qu’il arrivait toujours à faire succomber ses crushs. Tout prédisait une existence plutôt tranquille. rien de grave pour attiser la crainte de ses parents hormis ses petits ronds de fumée quotidiens et ses sorties dans les lacs alentours.
« - sander, assied toi s’il te plait. » le blond pressent quelque chose de mauvais et d’une certaine gravité, mais il souffle, en pleine crise d’ado. L’envie lui prend soudain de grimper dans sa chambre pour trainer sur son portable. Mais sa mère a la mine grave et son père a les poings serrés derrière ses genoux. Alors le gosse s’assoit, regarde sa montre : demain il a 15 ans. un sourire arrache son visage alors que sa mère attrape sa main, pressée. « - je viens d’avoir la maman de Herman au téléphone, il était absent à l’école aujourd’hui n’est-ce pas ? » un hochement de tête indifférent. « - ouais. Il doit avoir attrapé la grippe, l’épidémie de fin d’hiver continue. » ; « - chéri. Herman n’a pas attrapé la grippe il. » elle s’arrête, le visage boursoufflé par l’inquiétude. « - il est mort chéri. » sander ne comprend pas vraiment sur le moment. il ne sait pas ce que c’est lui, la mort. Il a 14 ans, son corps fonctionne bien, son esprit est tranquille. à 14 ans la mort, ça n’existe pas non. ça c’est pour les vieux, ceux qui ont 80 ans au moins. « - il était là hier à l’école maman. Ce n’est pas possible. » oui, hier il était là et il allait bien, il courait avec les copains, il s’est même fait renvoyer de l’étude parce qu’il foutait le bordel comme d’habitude, mais au fond les profs et les pions l’aiment bien. Et puis comment pouvait-il être mort ? il avait promis qu’il viendrait chercher sander demain en lui apportant un cadeau.
Seulement tout ça était vrai. Tout ça était fondé. Il s’était suicidé. Dans son garage, en pleine nuit, et c’est sa maman, le lendemain matin qui a découvert le corps. L’enfant ne met pas plus longtemps que ça à réaliser que tout est réel. Il reste immobile, déglutissant continuellement pour s’empêcher de pleurer, mais quand il aperçoit sa mère en sanglots, il craque. Il ne la rejette pas, elle qui s’empresse de le prendre dans ses bras.
C’est à partir de là que la vie de sander s’est arrêtée. Le lendemain, à l’école, tous étaient silencieux, convoqués dans une grande salle pour avoir une explication. Son frère était mort en quelques minutes. Quelques minutes à côté des 10 ans qu’ils avaient passé ensemble. les professeurs pleuraient, des gens inconnus pleuraient, et le norvégien ne comprenait pas, toujours dans un certain déni. C’était irréel, c’était affolant de passer une journée à ne rien faire à part se consoler les uns avec les autres. Sander était assis désormais tout seul à sa place. Son voisin avait décidé de ne plus jamais venir en cours.
Il eut définitivement peur de tout, le jour où il rendit visite à madame Holm ; la mère de Herman. Elle avait convié sander et un autre copain, Marc à venir pour prendre un chocolat chaud. Herman était là, allongé dans son lit et ils sont montés pour le voir. Il était blanc, ses cheveux roux tombaient sur son front, frisés, décoiffés. Sa peau, toute sa peau était lisse comme un linge. Il dormait. Mais il y avait ces marques dans son cou, qui avaient fait tiquer sander, des griffures, comme s’il avait essayé de se libérer de ses chaines mais que tout était trop tard. Le gosse ferme les yeux et sort de la pièce. Il ne pouvait plus supporter ça.
« - Comme toutes les phobies, la thanatophobie peut être déclenchée par un événement traumatisant comme la vision d'un cadavre ou le décès d'un proche, surtout dans l'enfance. Elle peut aussi être transmise par les parents. Il n'existe pas toujours de cause évidente, c'est alors simplement l'excès d'anxiété qui se traduit de cette façon. On trouve aussi des thanatophobes parmi les hypocondriaques.
La thanatophobie empêche la personne atteinte de vivre, du fait de cette peur exagérée de la mort. Le thanatophobe a du mal à se projeter dans l'avenir. Il développe des comportements et des idées obsédantes autour de cette échéance, pour lui et pour les autres. Il angoisse à l'idée de ne pas pouvoir contrôler les choses, ne pense qu'à la mort subite et à ce qui se passe après la mort. »
Le médecin l’a donc diagnostiqué le 23 août de l’année fatidique. Et quand il fut seul avec les parents du concerné, il leur expliqua tout.
Il déménagea à séoul le 3 juillet 2017 pour entamer sa troisième année de droit, spécialisé dans l’international. Il y a du travail en asie, et ses parents le savaient. La vie à oslo était d’ailleurs devenue beaucoup trop chère. Au moins la corée, c’est un beau pays qui est prometteur au niveau de l’expansion et de la possibilité de se reconstruire.
Se reconstruire. On ne se remet jamais totalement de la perte de quelqu’un qu’on aime. Et encore moins d’un mal quotidien qui nous ronge en permanence. Sander essaie d’honorer la mémoire de Herman par des petits gestes sans importance au premier regard : se rendre en cours, et parfois faire la fête, parfois rencontrer des gens et parfois aller beaucoup plus loin.
« - when you love somebody, they always leave to soon. But a memory can make a flower bloom. »
About me
Je suis...
sprouts
alors voilà, je sacrifie hojoo pour refaire un petit bijou j’ai une idée dans la tête qui ne cesse d’émerger chaque jour et puis le choix d’avatar est un coup de cœur de plusieurs mois maintenant, et il correspond parfaitement à ce que je veux faire de ce perso (pleins de choses) et bien sûr j’espère qu’il vous plaira autant qu’il me plait à moi cœur sur vous. ALT ER LOVE
tarjei sandvik moe
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u947][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>tarjei sandvik moe</upper></taken> ✎ <lower>ruud sander</lower>
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Re: ruud sander + alt er love. | Dim 8 Oct - 0:10 Citer EditerSupprimer
ooooooh mais il est la le petit chenapan RIP a Hojoo et bienvenue a ce nouveau bb en esperant que tu le maltraites pas trop le pauvre il merite bcp d'amour
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Re: ruud sander + alt er love. | Dim 8 Oct - 0:30 Citer EditerSupprimer
jtm adé de moi
bon courage pour ton reboot, amuse-toi avec lui
bon courage pour ton reboot, amuse-toi avec lui
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Re: ruud sander + alt er love. | Dim 8 Oct - 10:31 Citer EditerSupprimer
TU SAIS CE QUE J'EN PENSE
TU SAIS À QUEL POINT JE SUIS FRAGILE RN
MÊME SI ÇA FAIT DES MOIS QUE TU M'EN PARLES ET QUE T'ESSAYES DE ME FAIRE CRAQUER AUSSI VILE MÉCRÉANTE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
moi qui te présente au monde like
TU SAIS À QUEL POINT JE SUIS FRAGILE RN
MÊME SI ÇA FAIT DES MOIS QUE TU M'EN PARLES ET QUE T'ESSAYES DE ME FAIRE CRAQUER AUSSI VILE MÉCRÉANTE
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
moi qui te présente au monde like
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Re: ruud sander + alt er love. | Dim 8 Oct - 11:05 Citer EditerSupprimer
BON REBOOT
hojoo va me manquer quand même
hojoo va me manquer quand même
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Re: ruud sander + alt er love. | Dim 8 Oct - 13:38 Citer EditerSupprimer
merci à tous vous êtes des amours
SOO MDR JPP JE TE JURE JE CONTINUERAI JUSQU’À CE QUE JE LE VOIS SUR LE FORUM MDR TU VAS CRAQUER JE LE SAIS TEMA MON AMOUR
FIRST MET
ET LA SUITE C'EST A NOUS DE L'ECRIRE TU VOIS
SOO MDR JPP JE TE JURE JE CONTINUERAI JUSQU’À CE QUE JE LE VOIS SUR LE FORUM MDR TU VAS CRAQUER JE LE SAIS TEMA MON AMOUR
FIRST MET
ET LA SUITE C'EST A NOUS DE L'ECRIRE TU VOIS
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Re: ruud sander + alt er love. | Dim 8 Oct - 13:45 Citer EditerSupprimer
slt re bjr holà hallo konnichiwa
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