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1, 2playing with fire ~ malia
Noh Eunbi
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Pseudo : little liars (audrey).
Célébrité : kwon nayeon. (nana, wooah)
Crédits : moonaetics (ava)
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Re: playing with fire ~ malia | Dim 22 Juil 2018 - 14:58
tenue ✻✻✻ gênée de te trouver dans ce genre de situation, tu te sentais stupide d'avoir laissé ces hommes avoir le dessus sur toi. tu avais l'habitude de pouvoir mener tes clients par le bout du nez, eux ayant trop peur de voir de si précieux documents dans les mains de la police, tu savais quoi faire pour te tenir hors de dangers. mais pas ce soir apparemment, et tu étais soulagée d'avoir croisé la route de malia, elle avait été super en te protégeant et en entrant dans ton jeu. qui sait ce qui aurait pu arriver sinon ? alors que les hommes partent finalement après la menace de faire appeler l'un des gardes de sécurité de l'endroit, que tu ne savais toujours pas vraiment comment définir d'ailleurs – c'était un bar, une boîte de nuit ou autre chose encore ? tu connaissais pas vraiment ce type de lieux – tu te laisses glisser par terre, tes nerfs lâchant sous la pression de ce qui aurait pu arriver. jamais tu n'avais été aussi proche que quelque chose se passe mal, et pourtant dieu sait les types de clients que tu avais eu avant mais eux, ils n'auraient pas hésiter à faire en sorte que tu te taises. c'était quelque chose qui te faisait réfléchir, ce que tu faisais tu savais que c'était mal, que ça pourrait t'attirer de nombreux ennuis, mais jusqu'à présent tu semblais ne pas avoir compris tous les dangers que ça pouvait t'apporter. heureusement que malia avait été là ce soir, qu'elle était venue à ton secours. sa douceur envers toi qui te fait te demander comment elle a pu se retrouver dans un endroit pareil, alors qu'elle s'assure que tu vas bien, te demander si tu souhaitais quelque chose à boire, attendant patiemment que tu te calmes. sa remarque à tes mots qui te font sourire, ne serait-ce qu'un peu alors qu'une nouvelle vague de soulagement vient te traverser. tu acceptes le verre qu'elle te tend, l'attrapant dans tes mains tremblant encore légèrement, tu étais plus secouée que tu aimais bien te l'avouer. ça c'était joué de peu ce soir, tu le savais bien. « merci malia, » tu murmures une fois de plus, pour le verre mais encore pour ce qu'elle avait fait pour toi sans même te connaître. tu prends une gorgée, tes yeux parcourant la pièce avec plus d'attention cette fois, tu n'avais plus la peur d'être trouvée, tu pouvais observer tout à ton aise. tu ne comprends pas ce qu'une fille aussi douce que ta sauveuse pouvait faire dans un endroit aussi décadent, enfin c'est ce que ton père aurait dit, bien que tu doutais que ton père n'ait jamais fréquenté un tel lieu. tu hoches la tête en silence à ses mots, ne trouvant pas quoi dire après tout elle avait raison tu étais plus en sécurité ici même si ça te gênait de profiter de sa gentillesse. « je suis venue en métro, çe me gêne pas, à deux c'est mieux... » tu marmonnes au bout de quelques secondes, rougissant de plus belle, elle était bien trop gentille, tu n'étais pas certaine de le mériter. alors que malia tourne les talons, tu ne peux t'empêcher de l'interpeller. « bon courage pour ton travail, » tu ne savais pas de quoi il en retournait, pas c'était ta façon de montrer ta gratitude. et puis tu pourrais aller jeter un coup d'oeil, malgré ta peur que ces hommes reviennent, tu étais curieuse d'en apprendre plus sur celle qui t'était venue en aide.
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tenue ✻✻✻ gênée de te trouver dans ce genre de situation, tu te sentais stupide d'avoir laissé ces hommes avoir le dessus sur toi. tu avais l'habitude de pouvoir mener tes clients par le bout du nez, eux ayant trop peur de voir de si précieux documents dans les mains de la police, tu savais quoi faire pour te tenir hors de dangers. mais pas ce soir apparemment, et tu étais soulagée d'avoir croisé la route de malia, elle avait été super en te protégeant et en entrant dans ton jeu. qui sait ce qui aurait pu arriver sinon ? alors que les hommes partent finalement après la menace de faire appeler l'un des gardes de sécurité de l'endroit, que tu ne savais toujours pas vraiment comment définir d'ailleurs – c'était un bar, une boîte de nuit ou autre chose encore ? tu connaissais pas vraiment ce type de lieux – tu te laisses glisser par terre, tes nerfs lâchant sous la pression de ce qui aurait pu arriver. jamais tu n'avais été aussi proche que quelque chose se passe mal, et pourtant dieu sait les types de clients que tu avais eu avant mais eux, ils n'auraient pas hésiter à faire en sorte que tu te taises. c'était quelque chose qui te faisait réfléchir, ce que tu faisais tu savais que c'était mal, que ça pourrait t'attirer de nombreux ennuis, mais jusqu'à présent tu semblais ne pas avoir compris tous les dangers que ça pouvait t'apporter. heureusement que malia avait été là ce soir, qu'elle était venue à ton secours. sa douceur envers toi qui te fait te demander comment elle a pu se retrouver dans un endroit pareil, alors qu'elle s'assure que tu vas bien, te demander si tu souhaitais quelque chose à boire, attendant patiemment que tu te calmes. sa remarque à tes mots qui te font sourire, ne serait-ce qu'un peu alors qu'une nouvelle vague de soulagement vient te traverser. tu acceptes le verre qu'elle te tend, l'attrapant dans tes mains tremblant encore légèrement, tu étais plus secouée que tu aimais bien te l'avouer. ça c'était joué de peu ce soir, tu le savais bien. « merci malia, » tu murmures une fois de plus, pour le verre mais encore pour ce qu'elle avait fait pour toi sans même te connaître. tu prends une gorgée, tes yeux parcourant la pièce avec plus d'attention cette fois, tu n'avais plus la peur d'être trouvée, tu pouvais observer tout à ton aise. tu ne comprends pas ce qu'une fille aussi douce que ta sauveuse pouvait faire dans un endroit aussi décadent, enfin c'est ce que ton père aurait dit, bien que tu doutais que ton père n'ait jamais fréquenté un tel lieu. tu hoches la tête en silence à ses mots, ne trouvant pas quoi dire après tout elle avait raison tu étais plus en sécurité ici même si ça te gênait de profiter de sa gentillesse. « je suis venue en métro, çe me gêne pas, à deux c'est mieux... » tu marmonnes au bout de quelques secondes, rougissant de plus belle, elle était bien trop gentille, tu n'étais pas certaine de le mériter. alors que malia tourne les talons, tu ne peux t'empêcher de l'interpeller. « bon courage pour ton travail, » tu ne savais pas de quoi il en retournait, pas c'était ta façon de montrer ta gratitude. et puis tu pourrais aller jeter un coup d'oeil, malgré ta peur que ces hommes reviennent, tu étais curieuse d'en apprendre plus sur celle qui t'était venue en aide. © LOYALS.
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Re: playing with fire ~ malia | Mer 15 Aoû 2018 - 1:14
bien-sûr que non, ça ne te dérange pas qu’elle reste ici. au contraire, tu souhaitais qu’elle accepte, la laisser partir t’aurait grandement inquiété… après avoir passé une année à la rue, tu sais qu’il y a certaines personnes dangereuses, et ces types en font sûrement partie. tu n’oses même pas imaginer ce qu’ils auraient pu faire à cette pauvre femme si elle n’avait pas atterrie ici. et toi, tu restes une lin. altruiste, t’inquiétant pour les autres même si tu ne les connais pas si bien que ça. les autres avant toi, c’est dans votre nature chez vous. alors tu t’empresses de lui donner quelque chose à boire, tu veux qu’elle se sente bien surtout après tout ce qu’il vient de se passer.. elle a dû avoir une peur bleue, mais c’est terminé maintenant. tu lui dis même que tu préviendras tes collègues afin qu’elles ne soient pas surprises de la trouver ici, et puis, si elle te cherche, elle pourra toujours demander au barman de venir te chercher. elle te remercie et toi, tu lui réponds à travers ce tendre sourire. elle n’a pas à te remercier, c’est normal pour toi de faire tout ça… et puis après ça, tu finis par lui demander si elle possède une voiture. tu préfères la prévenir, toi, tu n’as pas de voiture. tu devrais investir pour t’en acheter une mais tu n’as pas encore eu l’occasion de t’y pencher sérieusement. tu devrais, seulement, tu as pris l’habitude des transports en commun désormais. alors lorsqu’elle te répond être venue en métro, tu hoches doucement la tête. « d’accord, on prendra le métro toutes les deux alors. » lui dis-tu, d’un ton rassurant. tu ne vas pas la laisser seule, tu préfères rentrer avec elle. rapidement, tu passes tes mains sur ta tenue, te rhabillant correctement alors qu’elle te souhaite un bon courage pour ton travail. « merci bona. » une courte pause, le temps pour toi de lui adresser un nouveau tendre sourire. « j’vais y aller, n’oublie pas.. si tu me cherches, tu peux aller me réclamer au barman. » tu lui répètes au cas où. est-ce que ça se voit que tu t’inquiètes un peu trop pour elle ? sans doute, mais encore une fois, c’est dans ta nature. « ou même si tu as envie de quelque chose à boire, dis-lui de mettre ça sur mon compte. » un dernier sourire et tu quittes finalement les lieux, espérant que tout se passe bien pour elle. mais elle est avec vous maintenant, il n’y a plus de quoi s’en faire.
sonne enfin l’heure pour toi de repartir. tu as fini ton travail, tu t’empresses de revenir dans la salle où se trouve bona. tu pousses la porte, un peu trop précipitamment il est vrai, mais tu ne voulais pas la faire attendre plus longtemps. même si, fort heureusement, tu n'avais plus qu'une petite heure à travailler. « me revoilà. » tu te diriges vers tes affaires, attrapant ton gros sac pour le poser sur le bras du canapé de la salle de pause. « ç’a été ? » tu doutes qu’elle soit resté ici, quitte à t’attendre, tu espères quand même qu’elle soit allé faire un tour dans le bar, histoire de passer le temps. tu passes une mèche de tes cheveux derrière ton oreille, avant de reprendre. « je vais me changer et on peut y aller. »
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bien-sûr que non, ça ne te dérange pas qu’elle reste ici. au contraire, tu souhaitais qu’elle accepte, la laisser partir t’aurait grandement inquiété… après avoir passé une année à la rue, tu sais qu’il y a certaines personnes dangereuses, et ces types en font sûrement partie. tu n’oses même pas imaginer ce qu’ils auraient pu faire à cette pauvre femme si elle n’avait pas atterrie ici. et toi, tu restes une lin. altruiste, t’inquiétant pour les autres même si tu ne les connais pas si bien que ça. les autres avant toi, c’est dans votre nature chez vous. alors tu t’empresses de lui donner quelque chose à boire, tu veux qu’elle se sente bien surtout après tout ce qu’il vient de se passer.. elle a dû avoir une peur bleue, mais c’est terminé maintenant. tu lui dis même que tu préviendras tes collègues afin qu’elles ne soient pas surprises de la trouver ici, et puis, si elle te cherche, elle pourra toujours demander au barman de venir te chercher. elle te remercie et toi, tu lui réponds à travers ce tendre sourire. elle n’a pas à te remercier, c’est normal pour toi de faire tout ça… et puis après ça, tu finis par lui demander si elle possède une voiture. tu préfères la prévenir, toi, tu n’as pas de voiture. tu devrais investir pour t’en acheter une mais tu n’as pas encore eu l’occasion de t’y pencher sérieusement. tu devrais, seulement, tu as pris l’habitude des transports en commun désormais. alors lorsqu’elle te répond être venue en métro, tu hoches doucement la tête. « d’accord, on prendra le métro toutes les deux alors. » lui dis-tu, d’un ton rassurant. tu ne vas pas la laisser seule, tu préfères rentrer avec elle. rapidement, tu passes tes mains sur ta tenue, te rhabillant correctement alors qu’elle te souhaite un bon courage pour ton travail. « merci bona. » une courte pause, le temps pour toi de lui adresser un nouveau tendre sourire. « j’vais y aller, n’oublie pas.. si tu me cherches, tu peux aller me réclamer au barman. » tu lui répètes au cas où. est-ce que ça se voit que tu t’inquiètes un peu trop pour elle ? sans doute, mais encore une fois, c’est dans ta nature. « ou même si tu as envie de quelque chose à boire, dis-lui de mettre ça sur mon compte. » un dernier sourire et tu quittes finalement les lieux, espérant que tout se passe bien pour elle. mais elle est avec vous maintenant, il n’y a plus de quoi s’en faire.sonne enfin l’heure pour toi de repartir. tu as fini ton travail, tu t’empresses de revenir dans la salle où se trouve bona. tu pousses la porte, un peu trop précipitamment il est vrai, mais tu ne voulais pas la faire attendre plus longtemps. même si, fort heureusement, tu n'avais plus qu'une petite heure à travailler. « me revoilà. » tu te diriges vers tes affaires, attrapant ton gros sac pour le poser sur le bras du canapé de la salle de pause. « ç’a été ? » tu doutes qu’elle soit resté ici, quitte à t’attendre, tu espères quand même qu’elle soit allé faire un tour dans le bar, histoire de passer le temps. tu passes une mèche de tes cheveux derrière ton oreille, avant de reprendre. « je vais me changer et on peut y aller. »
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Re: playing with fire ~ malia | Dim 9 Sep 2018 - 19:13
tenue ✻✻✻ l'impression de te sentir perdue, inutile alors que tu avais laissé la peur prendre le dessus sur tout le reste, ce n'était tellement pas toi, bo na. non toi tu étais calme, tu calculais tout avant de prendre une décision, tu restais maîtresse de tes émotions. mais ce soir, tu avais eu peur. vraiment. tu ne t'étais pas attendue à un tel retournement de situation, et tu étais soulagée d'être tombée sur quelqu'un comme malia. d'autres n'auraient pas hésiter à te jeter dans la gueule du loup, peu soucieux de ce qui aurait pu t'arriver par la suite. tu aurais peut-être fait la une de la catégorie faits divers d'un journal. « le corps d'une jeune femme a été retrouvée dans un des sombres quartiers de la ville », avec un peu de chance ton nom sera parvenu au bureau des journalistes et ils n'auraient pas tardé à venir s'acharner sur ta famille. tu secoues la tête, chassant ses pensées morbides de ton esprit, ça n'arriverait pas, ils étaient partis et tu les espérais loin maintenant. tu avais toujours les documents dans ton sac, tu hésitais encore à ce que tu allais en faire. probablement les envoyer anonymement chez les flics, ou un appel quelque chose du genre. pas question qu'ils remontent jusqu'à toi c'était clair. tu lances un léger sourire à la jeune femme, hochant la tête en silence à ses mots avant de la regarder se préparer à nouveau. l'espace d'un instant t'es curieuse, tu hésites à sortir de la salle pour aller voir ce qu'elle faisait. tu ne doutais pas quel type d'endroit c'était ici, ou du moins tu en avais une grande idée, faut dire les vêtements sont assez explicites sur l'endroit. tu la regardes s'en aller sans rajouter un mot, profitant de son absence pour observer la salle, tes pas te conduisant un peu ici et là, sans avoir vraiment un but précis. tes doigts qui glissent sur les différents tissus, tu hausses parfois un sourcil curieux, parfois c'est une grimace qui vient déformer tes traits. ton père trouverait cet endroit d'une décadence, pourtant le petit diable sur tes épaules te dirait sûrement qu'il devait connaître ce type de lieu. tu finis par venir prendre place sur un des fauteuils de la salle, croisant les jambes sous toi avant de sortir ton téléphone, tu ne savais pas trop ce que tu pouvais faire, en vrai ton cœur battait encore un peu trop vite à ton goût mais tu lances un de tes jeux, un que tu savais pour t'emporter pour plusieurs heures si tu te laissais avoir. il fallait que tu te calmes, que tu oublies ce qu'il s'était passé plus tôt.
tu ne sais pas combien de temps se passe avant que la porte ne s'ouvre à nouveau, que la silhouette de malia te rejoigne dans la pièce. tu sens ce même léger sourire qu'avant se glisser sur tes lèvres, alors que tu la regardes s'affairer à prendre ce qui étais à elle. « oui, je n'ai pas osé sortir, j'aurais fait un peu tâche dans le tableau, j'ai joué sur mon téléphone. » tu réponds, baissant la tête, tu ne voulais pas qu'elle le prenne mal, non c'était juste que tu n'étais pas quelqu'un qu'on appellerait pour sortir. hochant à nouveau la tête, tu attrapes ton sac à ton tour, le mettant en place sur ton épaule alors que tu laisses malia aller se changer. « ça fait longtemps que tu bosses ici ? » tu lui demandes, haussant la voix pour qu'elle t'entende de là où elle était, ta curiosité qui revient.
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tenue ✻✻✻ l'impression de te sentir perdue, inutile alors que tu avais laissé la peur prendre le dessus sur tout le reste, ce n'était tellement pas toi, bo na. non toi tu étais calme, tu calculais tout avant de prendre une décision, tu restais maîtresse de tes émotions. mais ce soir, tu avais eu peur. vraiment. tu ne t'étais pas attendue à un tel retournement de situation, et tu étais soulagée d'être tombée sur quelqu'un comme malia. d'autres n'auraient pas hésiter à te jeter dans la gueule du loup, peu soucieux de ce qui aurait pu t'arriver par la suite. tu aurais peut-être fait la une de la catégorie faits divers d'un journal. « le corps d'une jeune femme a été retrouvée dans un des sombres quartiers de la ville », avec un peu de chance ton nom sera parvenu au bureau des journalistes et ils n'auraient pas tardé à venir s'acharner sur ta famille. tu secoues la tête, chassant ses pensées morbides de ton esprit, ça n'arriverait pas, ils étaient partis et tu les espérais loin maintenant. tu avais toujours les documents dans ton sac, tu hésitais encore à ce que tu allais en faire. probablement les envoyer anonymement chez les flics, ou un appel quelque chose du genre. pas question qu'ils remontent jusqu'à toi c'était clair. tu lances un léger sourire à la jeune femme, hochant la tête en silence à ses mots avant de la regarder se préparer à nouveau. l'espace d'un instant t'es curieuse, tu hésites à sortir de la salle pour aller voir ce qu'elle faisait. tu ne doutais pas quel type d'endroit c'était ici, ou du moins tu en avais une grande idée, faut dire les vêtements sont assez explicites sur l'endroit. tu la regardes s'en aller sans rajouter un mot, profitant de son absence pour observer la salle, tes pas te conduisant un peu ici et là, sans avoir vraiment un but précis. tes doigts qui glissent sur les différents tissus, tu hausses parfois un sourcil curieux, parfois c'est une grimace qui vient déformer tes traits. ton père trouverait cet endroit d'une décadence, pourtant le petit diable sur tes épaules te dirait sûrement qu'il devait connaître ce type de lieu. tu finis par venir prendre place sur un des fauteuils de la salle, croisant les jambes sous toi avant de sortir ton téléphone, tu ne savais pas trop ce que tu pouvais faire, en vrai ton cœur battait encore un peu trop vite à ton goût mais tu lances un de tes jeux, un que tu savais pour t'emporter pour plusieurs heures si tu te laissais avoir. il fallait que tu te calmes, que tu oublies ce qu'il s'était passé plus tôt. tu ne sais pas combien de temps se passe avant que la porte ne s'ouvre à nouveau, que la silhouette de malia te rejoigne dans la pièce. tu sens ce même léger sourire qu'avant se glisser sur tes lèvres, alors que tu la regardes s'affairer à prendre ce qui étais à elle. « oui, je n'ai pas osé sortir, j'aurais fait un peu tâche dans le tableau, j'ai joué sur mon téléphone. » tu réponds, baissant la tête, tu ne voulais pas qu'elle le prenne mal, non c'était juste que tu n'étais pas quelqu'un qu'on appellerait pour sortir. hochant à nouveau la tête, tu attrapes ton sac à ton tour, le mettant en place sur ton épaule alors que tu laisses malia aller se changer. « ça fait longtemps que tu bosses ici ? » tu lui demandes, haussant la voix pour qu'elle t'entende de là où elle était, ta curiosité qui revient.
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Re: playing with fire ~ malia | Lun 5 Nov 2018 - 17:53
une fois son travail terminé, malia se dépêcha de revenir dans la pièce. elle ne voulait pas faire attendre bona plus longtemps, et puis, elle lui avait promis de la raccompagner chez elle. ça ne la dérangeait pas, bien au contraire, malia était toujours celle sur qui on pouvait compter, rendre service et prendre soin des autres, même d'inconnu(e)s, elle ne faisait que ça. elle ne pouvait pas agir autrement, c'était dans sa nature, bien plus fort qu'elle. alors à la réponse de la jeune femme, lili afficha un tendre sourire. elle aurait pu le prendre mal, mais c'est loin d'être le cas. non seulement parce qu'elle n'est pas susceptible mais surtout parce qu'elle a raison... cet endroit... n'est clairement pas fait pour elle. ça se sent bien, elle n'est pas dans son élément, lili le voyait bien, parce que ce regard, elle avait le même il y a quelques mois en arrivant ici. malheureusement, elle n'avait pas eu le choix, il fallait qu'elle s'en sorte, peu importe le moyen. elle attrapa ses affaires dans le sac qu'elle tenait précédemment, se dirigeant vers la petite cabine pour se changer, ôtant enfin cette tenue dégradante, du moins, pour la soirée. mais la voix de la jeune femme se fit entendre, à sa question, lili plissa les lèvres. c'est normal, qu'elle se montrait si curieuse, et ça ne le dérangeait pas. après tout, elle avait bien le droit de se poser des questions, et puis... elle ne la connaissait pas, elle ignorait ce par quoi elle était passé, elle ignorait qu'elle n'avait simplement pas eu le choix, cependant, certaines de ses collègues se plaisaient ici. bona pourrait croire que c'était aussi le cas de lili. alors tout en continuant de se changer, elle reprit la parole, parlant assez fort pour que la jeune femme puisse l'entendre: « ça fait.. quelques mois maintenant. » seulement ? ça ne faisait que si peu de temps, et pourtant, elle avait cette impression de bosser ici depuis des années. c'est normal, le temps est long, elle ne se plaisait pas ici. après quelques minutes, elle tira le rideau, étant enfin vêtue de ses vêtements habituels avant de venir ranger sa tenue de travail dans son plastique. « pour tout te dire, ce n'est pas vraiment un plaisir de bosser ici. » reprend t-elle, lançant un regard vers bona, gardant toujours ce mince sourire sur les lèvres. elle comprendra sûrement qu'on ne lui avait pas vraiment laissé le choix. « tu ne dois pas te sentir à ton aise ici... » elle regarda tout autour d'elle, avant de regarder à nouveau son interlocutrice. « les premiers temps, j'me sentais vraiment mal. » elle gardait ce sourire, même s'il devint rapidement triste. oui.. les premiers temps, non pas qu'elle ait pris goût, loin de là, simplement, l'habitude. puis, elle n'avait pas réellement le choix.. alors c'était une bonne chose, de prendre cette habitude qu'elle aurait préféré ne jamais avoir. malia enfila rapidement son manteau, attrapant ses affaires ainsi que son sac avant de s'avancer vers bona. « on peut y aller. » lui annonça t-elle, un sourire des plus adorables sur les lèvres. rapidement, elle se dirigea vers la sortie.
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une fois son travail terminé, malia se dépêcha de revenir dans la pièce. elle ne voulait pas faire attendre bona plus longtemps, et puis, elle lui avait promis de la raccompagner chez elle. ça ne la dérangeait pas, bien au contraire, malia était toujours celle sur qui on pouvait compter, rendre service et prendre soin des autres, même d'inconnu(e)s, elle ne faisait que ça. elle ne pouvait pas agir autrement, c'était dans sa nature, bien plus fort qu'elle. alors à la réponse de la jeune femme, lili afficha un tendre sourire. elle aurait pu le prendre mal, mais c'est loin d'être le cas. non seulement parce qu'elle n'est pas susceptible mais surtout parce qu'elle a raison... cet endroit... n'est clairement pas fait pour elle. ça se sent bien, elle n'est pas dans son élément, lili le voyait bien, parce que ce regard, elle avait le même il y a quelques mois en arrivant ici. malheureusement, elle n'avait pas eu le choix, il fallait qu'elle s'en sorte, peu importe le moyen. elle attrapa ses affaires dans le sac qu'elle tenait précédemment, se dirigeant vers la petite cabine pour se changer, ôtant enfin cette tenue dégradante, du moins, pour la soirée. mais la voix de la jeune femme se fit entendre, à sa question, lili plissa les lèvres. c'est normal, qu'elle se montrait si curieuse, et ça ne le dérangeait pas. après tout, elle avait bien le droit de se poser des questions, et puis... elle ne la connaissait pas, elle ignorait ce par quoi elle était passé, elle ignorait qu'elle n'avait simplement pas eu le choix, cependant, certaines de ses collègues se plaisaient ici. bona pourrait croire que c'était aussi le cas de lili. alors tout en continuant de se changer, elle reprit la parole, parlant assez fort pour que la jeune femme puisse l'entendre: « ça fait.. quelques mois maintenant. » seulement ? ça ne faisait que si peu de temps, et pourtant, elle avait cette impression de bosser ici depuis des années. c'est normal, le temps est long, elle ne se plaisait pas ici. après quelques minutes, elle tira le rideau, étant enfin vêtue de ses vêtements habituels avant de venir ranger sa tenue de travail dans son plastique. « pour tout te dire, ce n'est pas vraiment un plaisir de bosser ici. » reprend t-elle, lançant un regard vers bona, gardant toujours ce mince sourire sur les lèvres. elle comprendra sûrement qu'on ne lui avait pas vraiment laissé le choix. « tu ne dois pas te sentir à ton aise ici... » elle regarda tout autour d'elle, avant de regarder à nouveau son interlocutrice. « les premiers temps, j'me sentais vraiment mal. » elle gardait ce sourire, même s'il devint rapidement triste. oui.. les premiers temps, non pas qu'elle ait pris goût, loin de là, simplement, l'habitude. puis, elle n'avait pas réellement le choix.. alors c'était une bonne chose, de prendre cette habitude qu'elle aurait préféré ne jamais avoir. malia enfila rapidement son manteau, attrapant ses affaires ainsi que son sac avant de s'avancer vers bona. « on peut y aller. » lui annonça t-elle, un sourire des plus adorables sur les lèvres. rapidement, elle se dirigea vers la sortie.© LOYALS.
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Re: playing with fire ~ malia | Jeu 10 Jan 2019 - 0:43
tenue ✻✻✻ t'avais des tas de questions en tête, et pourtant t'oses pas les formuler, parce que tu sais pas comment elle réagirait malia. tu ne pouvais pas te le permettre alors que vous veniez de vous rencontrer, après ce qu'elle venait de faire pour toi alors qu'elle aurait très bien pu te jeter en pâture aux lions. certaines personnes n'auraient pas hésité une seule seconde pour le faire. tu l'avais attendu patiemment à l'intérieur de la salle, tu n'avais pas osé quitté cette pièce, tu voulais éviter de lui attirer des ennuis, ou d'attirer l'attention sur toi. qui sait quelles personnes tu pouvais rencontrer ici, peut-être des clients qui t'auraient engagé comme pirate informatique ? qui sait vraiment. tu voulais éviter d'avoir à faire à tes activités illégales, malgré le lieu que c'était et les personnes qui pouvaient le fréquenter. tu te demandais ce qui avait conduit la jeune femme à finir dans un tel endroit comme travail, tu dois avoir l'air perdu, pas à ta place ici. est-ce que malia avait ressenti la même chose au début ? malgré tes doutes, tu ne peux t'empêcher de poser une question, une qui avait son importance peut-être, t'en savais trop rien, mais la curiosité était un vilain défaut, et elle était trop grande pour que tu la contiennes. tu n'arrives pas à observer les expression qui se dessinent sur le visage de malia, la jeune femme s'étant tournée pour se changer, cachant ses traits derrière un rideau tu te mords la lèvre quand un silence accueille ta question, peut-être qu'elle ne voulait pas en parler, peut-être que tu avais fait une erreur en te montrant si curieuse. l'inquiétude qui gonfle dans ton cœur, jusqu'à ce que la voix de malia brise le silence de la pièce, tu la laisses parler, écoutant soigneusement ses réponses à ta question, tes yeux ne quittant pas le rideau qui cachait malia à ta vue. tu reste silencieuse bo na, tu sais pas trop combien de temps, plusieurs minutes peut-être quand malia sort de la cabine pour te rejoindre à nouveau, complètement changée et ressemblant plus à une fille de votre âge. tu sens un léger sourire se former sur ton visage tandis que la blonde reprend la parole, tu hoches la tête, oui tu pouvais aisément imaginer que ça avait dû être bizarre, tu ne connaissais pas son passé mais qui sait ce qui avait pu arriver dans sa vie pour qu'elle travaille ici. au vu de ses aveux, elle n'était pas là parce qu'elle aimait l'ambiance. « c'est un type d'endroit que je fréquente pas d'ordinaire. » tu réponds à ton tour, avant de rougir, tu ne voulais pas passer pour une snob et sous-entendre que tu n'étais pas dans la même classe que malia. « en vérité, j'suis pas du genre à sortir souvent, j'ai tendance plutôt à passer mes soirées derrière l'ordi. » t'étais pas quelqu'un de sociable, t'avais pas des tonnes d'amies, t'étais pas la fille populaire du lycée. « ça fait un peu pathétique dis comme ça. » tu lâches un rire pour cacher ta gêne, le rouge qui colore encore tes joues, tu avais honte parfois de ce que tu étais. et l'animosité de ton père à ton égard n'aidait pas à ce que tu ais confiance en toi. te levant à la suite de malia, tu trottines derrière elle alors que vous sortez du bâtiment la fraîcheur de la nuit qui qui enveloppe soudainement. « eh bien, il fait pas bien chaud. » tu murmures en t'enveloppant un peu plus dans ta veste. les mots quittant maladroitement ta bouche,, tu voulais faire la conversation pour une fois, parce que tu avais peur qu'un malaise s'installe entre vous.
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tenue ✻✻✻ t'avais des tas de questions en tête, et pourtant t'oses pas les formuler, parce que tu sais pas comment elle réagirait malia. tu ne pouvais pas te le permettre alors que vous veniez de vous rencontrer, après ce qu'elle venait de faire pour toi alors qu'elle aurait très bien pu te jeter en pâture aux lions. certaines personnes n'auraient pas hésité une seule seconde pour le faire. tu l'avais attendu patiemment à l'intérieur de la salle, tu n'avais pas osé quitté cette pièce, tu voulais éviter de lui attirer des ennuis, ou d'attirer l'attention sur toi. qui sait quelles personnes tu pouvais rencontrer ici, peut-être des clients qui t'auraient engagé comme pirate informatique ? qui sait vraiment. tu voulais éviter d'avoir à faire à tes activités illégales, malgré le lieu que c'était et les personnes qui pouvaient le fréquenter. tu te demandais ce qui avait conduit la jeune femme à finir dans un tel endroit comme travail, tu dois avoir l'air perdu, pas à ta place ici. est-ce que malia avait ressenti la même chose au début ? malgré tes doutes, tu ne peux t'empêcher de poser une question, une qui avait son importance peut-être, t'en savais trop rien, mais la curiosité était un vilain défaut, et elle était trop grande pour que tu la contiennes. tu n'arrives pas à observer les expression qui se dessinent sur le visage de malia, la jeune femme s'étant tournée pour se changer, cachant ses traits derrière un rideau tu te mords la lèvre quand un silence accueille ta question, peut-être qu'elle ne voulait pas en parler, peut-être que tu avais fait une erreur en te montrant si curieuse. l'inquiétude qui gonfle dans ton cœur, jusqu'à ce que la voix de malia brise le silence de la pièce, tu la laisses parler, écoutant soigneusement ses réponses à ta question, tes yeux ne quittant pas le rideau qui cachait malia à ta vue. tu reste silencieuse bo na, tu sais pas trop combien de temps, plusieurs minutes peut-être quand malia sort de la cabine pour te rejoindre à nouveau, complètement changée et ressemblant plus à une fille de votre âge. tu sens un léger sourire se former sur ton visage tandis que la blonde reprend la parole, tu hoches la tête, oui tu pouvais aisément imaginer que ça avait dû être bizarre, tu ne connaissais pas son passé mais qui sait ce qui avait pu arriver dans sa vie pour qu'elle travaille ici. au vu de ses aveux, elle n'était pas là parce qu'elle aimait l'ambiance. « c'est un type d'endroit que je fréquente pas d'ordinaire. » tu réponds à ton tour, avant de rougir, tu ne voulais pas passer pour une snob et sous-entendre que tu n'étais pas dans la même classe que malia. « en vérité, j'suis pas du genre à sortir souvent, j'ai tendance plutôt à passer mes soirées derrière l'ordi. » t'étais pas quelqu'un de sociable, t'avais pas des tonnes d'amies, t'étais pas la fille populaire du lycée. « ça fait un peu pathétique dis comme ça. » tu lâches un rire pour cacher ta gêne, le rouge qui colore encore tes joues, tu avais honte parfois de ce que tu étais. et l'animosité de ton père à ton égard n'aidait pas à ce que tu ais confiance en toi. te levant à la suite de malia, tu trottines derrière elle alors que vous sortez du bâtiment la fraîcheur de la nuit qui qui enveloppe soudainement. « eh bien, il fait pas bien chaud. » tu murmures en t'enveloppant un peu plus dans ta veste. les mots quittant maladroitement ta bouche,, tu voulais faire la conversation pour une fois, parce que tu avais peur qu'un malaise s'installe entre vous.© LOYALS.
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Re: playing with fire ~ malia | Mar 12 Fév 2019 - 17:33
elle tente de faire vite, elle se change en vitesse même si elle continue de lui parler à travers la porte. malia lui avoue tout de même que ce n'est pas un plaisir de travailler aussi, en fait, elle n'a simplement pas le choix. elle n'entre pas dans les détails, non pas par souci de confiance, mais parce que malia n'est pas habitué à parler d'elle, surtout que ça reviendrait à parler de ses problèmes, et elle ne veut pas casser l'ambiance. après s'être changé, lili sort finalement, retrouvant son fin sourire, elle attrape rapidement ses affaires, prête à partir, tandis que son interlocutrice reprend la parole. elle ne prend pas mal sa réflexion, justement, le contraire l'aurait étonné. malia n'aurait pas été du genre à fréquenter ce genre d'endroits non plus... si seulement elle avait eu le choix, mais ça n'avait pas été le cas. « ah non? » demande t-elle, lorsque la jeune femme lui confie ne pas être du genre à sortir très souvent, mais plutôt à passer du temps devant l'ordinateur. cela dit, lili ne peut s'empêcher de la rassurer, prenant la route pour sortir du club, elle s'assure que bona la suit. « ce n'est pas pathétique du tout... qu'est-ce que je devrais dire, moi ? » elle affiche un sourire amusé, bien que ça soit la vérité. elle est tout de même la plus pathétique, à se déshabiller pour quelques billets, pour survivre. et puis, elle est sincère, elle ne trouve pas bona pathétique, loin de là. « et... qu'est-ce que tu fais, sur l'ordinateur ? » demande t-elle, plus curieuse cette fois-ci, avant d'ajouter: « tu sais, des fois ce n'est pas plus mal de rester chez nous... avec les fous qu'il y a dehors. » c n'est pas toujours le cas, mais malia sait de quoi elle parle. entre son séjour à la rue et son travail ici, elle a eu affaire à de sacrés cas. très vite, les deux jeunes femmes empruntent la sortie du club. malia détourne le regard vers la jeune femme face à sa réflexion, maman poule, beaucoup trop habitué à prendre soin des autres ─ et même des personnes qu'elle ne connaît à peine, elle ne peut s'empêcher, de reprendre: « tu veux que je te prête ma veste? elle tient vraiment très chaud. » si ça pouvait la maintenir au chaud le temps du trajet, elle serait ravie de le faire. après avoir passé une longue année dans la rue, malia est habitué au froid, beaucoup plus que bona doit l'être, suppose t-elle. elle se dirige vers le métro au côté de la jeune femme, avant de reprendre: « tu as assez d'argent pour le métro? » sans quoi, ça n'allait pas être un souci, malia a une tonne de tickets dans son sac à main... le souci de ne pas encore avoir de voiture, malia prend très souvent les transports au commun. au moins, si bona n'a pas assez d’argent, malia, elle, a tout ce qu'il faut dans son sac.
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elle tente de faire vite, elle se change en vitesse même si elle continue de lui parler à travers la porte. malia lui avoue tout de même que ce n'est pas un plaisir de travailler aussi, en fait, elle n'a simplement pas le choix. elle n'entre pas dans les détails, non pas par souci de confiance, mais parce que malia n'est pas habitué à parler d'elle, surtout que ça reviendrait à parler de ses problèmes, et elle ne veut pas casser l'ambiance. après s'être changé, lili sort finalement, retrouvant son fin sourire, elle attrape rapidement ses affaires, prête à partir, tandis que son interlocutrice reprend la parole. elle ne prend pas mal sa réflexion, justement, le contraire l'aurait étonné. malia n'aurait pas été du genre à fréquenter ce genre d'endroits non plus... si seulement elle avait eu le choix, mais ça n'avait pas été le cas. « ah non? » demande t-elle, lorsque la jeune femme lui confie ne pas être du genre à sortir très souvent, mais plutôt à passer du temps devant l'ordinateur. cela dit, lili ne peut s'empêcher de la rassurer, prenant la route pour sortir du club, elle s'assure que bona la suit. « ce n'est pas pathétique du tout... qu'est-ce que je devrais dire, moi ? » elle affiche un sourire amusé, bien que ça soit la vérité. elle est tout de même la plus pathétique, à se déshabiller pour quelques billets, pour survivre. et puis, elle est sincère, elle ne trouve pas bona pathétique, loin de là. « et... qu'est-ce que tu fais, sur l'ordinateur ? » demande t-elle, plus curieuse cette fois-ci, avant d'ajouter: « tu sais, des fois ce n'est pas plus mal de rester chez nous... avec les fous qu'il y a dehors. » c n'est pas toujours le cas, mais malia sait de quoi elle parle. entre son séjour à la rue et son travail ici, elle a eu affaire à de sacrés cas. très vite, les deux jeunes femmes empruntent la sortie du club. malia détourne le regard vers la jeune femme face à sa réflexion, maman poule, beaucoup trop habitué à prendre soin des autres ─ et même des personnes qu'elle ne connaît à peine, elle ne peut s'empêcher, de reprendre: « tu veux que je te prête ma veste? elle tient vraiment très chaud. » si ça pouvait la maintenir au chaud le temps du trajet, elle serait ravie de le faire. après avoir passé une longue année dans la rue, malia est habitué au froid, beaucoup plus que bona doit l'être, suppose t-elle. elle se dirige vers le métro au côté de la jeune femme, avant de reprendre: « tu as assez d'argent pour le métro? » sans quoi, ça n'allait pas être un souci, malia a une tonne de tickets dans son sac à main... le souci de ne pas encore avoir de voiture, malia prend très souvent les transports au commun. au moins, si bona n'a pas assez d’argent, malia, elle, a tout ce qu'il faut dans son sac.© LOYALS.
Noh Eunbi
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Re: playing with fire ~ malia | Mar 2 Avr 2019 - 14:39
tenue ✻✻✻ t'as pas envie que malia se presse pour toi, tu voulais pas qu'elle change ses habitudes juste pour toi après tout c'était un peu par hasard si vous vous étiez rencontrées ce soir. on peut pas dire que tu avais prévu de tomber sur un client qui aurait envoyé ses armoires à glace plutôt que de venir de lui-même et que tu sois obligée de venir te réfugier dans cet endroit pour leur échapper. mais au final, c'était une bonne chose malgré les aspects négatifs qui entouraient cette fameuse rencontre, parce que malia était une belle âme de ce que tu voyais, de ce que tu avais pu observer. votre conversation qui continue alors que malia se change derrière, tes yeux bruns qui observent la pièce comme à ton habitude même si tu avais eu tout le loisir de le faire alors que tu l'attendais tandis qu'elle finissait son travail. tu admirais sa force pour réussir à bosser dans un lieu comme celui-ci, tu ne connaissais pas son histoire et ainsi tu ne pouvais pas imaginer ce qui l'avait fait venir ici pour commencer, si ça se trouve elle le faisait parce qu'elle aimait ça, il n'y avait pas de honte après tout ! tu respectais les avis et les vies de chacun, tu n'allais pas commencer à juger la sienne. c'est pour ça que tu te sens un peu pathétique quand tu lui avoues que toi, t'es pas de ces filles qui sortent en boîte, qui ont un tas d'amis, non toi t'es la louve solitaire qui sait pas quoi faire de sa vie encore. les mots de malia qui ont le mérite de te faire sourire légèrement, c'est un peu crispé mais il est bien là. « mais toi tu vois du monde on va dire. » bon c'était peut-être pas le monde que malia espérait, tu ne serais pas à l'aise toi au vu des clients qui pouvaient venir, mais elle avait ses collègues, tu imaginais qu'elles étaient assez soudées ? peut-être que non au final. « des programmes, des devoirs, je m'intéresse à l'informatique depuis longtemps. » tu marmonnes, n'osant pas dire que tu piratais également des dossiers qui comme ce soir pouvaient t'attirer des ennuis. pourtant tu lui avais bien dit tout à l'heure que tu avais récupéré des documents importants et compromettants pour eux ? « oui, je veux bien le croire. mais quand je vois les filles de mon âge parler de leurs sorties, de leurs histoires, je me sens naze. » tu révèles à malia, elle devait être la première à qui tu pouvais parler comme ça, tu n'avais pas le souvenir d'avoir réussi à le faire en dehors de ton entourage proche, qui on pouvait le dire se compter sur les doigts d'une main. quand vous êtes dehors, tu sens la brise refroidir l'ambiance, ta veste est pas forcément la plus chaude, et tu jettes un regard en coin à malia quand elle te propose la sienne mais tu secoues la tête, t'allais pas la priver de chaleur, tu allais faire avec. « non, non garde là pour toi, ça va aller. » tu lui réponds avec un sourire doux, avant de faire un geste de la main pour lui dire que oui tu avais ce qu'il fallait, tu ne venais jamais sans rien, même si tu ne prenais pas ce que tu pouvais avoir habituellement. t'allais pas te promener avec une pancarte « fille de riche » au dessus de la tête par ici. « tu vis loin toi ? » tu demandes à la place, tu ne voulais pas qu'elle fasse un détour immense pour toi.
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tenue ✻✻✻ t'as pas envie que malia se presse pour toi, tu voulais pas qu'elle change ses habitudes juste pour toi après tout c'était un peu par hasard si vous vous étiez rencontrées ce soir. on peut pas dire que tu avais prévu de tomber sur un client qui aurait envoyé ses armoires à glace plutôt que de venir de lui-même et que tu sois obligée de venir te réfugier dans cet endroit pour leur échapper. mais au final, c'était une bonne chose malgré les aspects négatifs qui entouraient cette fameuse rencontre, parce que malia était une belle âme de ce que tu voyais, de ce que tu avais pu observer. votre conversation qui continue alors que malia se change derrière, tes yeux bruns qui observent la pièce comme à ton habitude même si tu avais eu tout le loisir de le faire alors que tu l'attendais tandis qu'elle finissait son travail. tu admirais sa force pour réussir à bosser dans un lieu comme celui-ci, tu ne connaissais pas son histoire et ainsi tu ne pouvais pas imaginer ce qui l'avait fait venir ici pour commencer, si ça se trouve elle le faisait parce qu'elle aimait ça, il n'y avait pas de honte après tout ! tu respectais les avis et les vies de chacun, tu n'allais pas commencer à juger la sienne. c'est pour ça que tu te sens un peu pathétique quand tu lui avoues que toi, t'es pas de ces filles qui sortent en boîte, qui ont un tas d'amis, non toi t'es la louve solitaire qui sait pas quoi faire de sa vie encore. les mots de malia qui ont le mérite de te faire sourire légèrement, c'est un peu crispé mais il est bien là. « mais toi tu vois du monde on va dire. » bon c'était peut-être pas le monde que malia espérait, tu ne serais pas à l'aise toi au vu des clients qui pouvaient venir, mais elle avait ses collègues, tu imaginais qu'elles étaient assez soudées ? peut-être que non au final. « des programmes, des devoirs, je m'intéresse à l'informatique depuis longtemps. » tu marmonnes, n'osant pas dire que tu piratais également des dossiers qui comme ce soir pouvaient t'attirer des ennuis. pourtant tu lui avais bien dit tout à l'heure que tu avais récupéré des documents importants et compromettants pour eux ? « oui, je veux bien le croire. mais quand je vois les filles de mon âge parler de leurs sorties, de leurs histoires, je me sens naze. » tu révèles à malia, elle devait être la première à qui tu pouvais parler comme ça, tu n'avais pas le souvenir d'avoir réussi à le faire en dehors de ton entourage proche, qui on pouvait le dire se compter sur les doigts d'une main. quand vous êtes dehors, tu sens la brise refroidir l'ambiance, ta veste est pas forcément la plus chaude, et tu jettes un regard en coin à malia quand elle te propose la sienne mais tu secoues la tête, t'allais pas la priver de chaleur, tu allais faire avec. « non, non garde là pour toi, ça va aller. » tu lui réponds avec un sourire doux, avant de faire un geste de la main pour lui dire que oui tu avais ce qu'il fallait, tu ne venais jamais sans rien, même si tu ne prenais pas ce que tu pouvais avoir habituellement. t'allais pas te promener avec une pancarte « fille de riche » au dessus de la tête par ici. « tu vis loin toi ? » tu demandes à la place, tu ne voulais pas qu'elle fasse un détour immense pour toi.© LOYALS.
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Re: playing with fire ~ malia | Mar 18 Juin 2019 - 0:58
malia hoche doucement la tête sur le côté. sur le principe, bona n'a pas tort. malia voit du monde, même... beaucoup trop de monde. seulement c'est quelque chose dont elle se passerait bien, elle est sociable lili, et n'a aucun problème à vivre avec les autres, en communauté... mais pas dans ce genre d'endroit, pas en exerçant ce métier. la jeune femme continue de marcher en direction du métro, écoutant toujours bona de son oreille attentive, cette dernière qui lui avoue ce qu'elle fait sur l'ordinateur. malia jette un regard dans sa direction, les sourcils quelque peu haussés. « vraiment ? » s'intéresse t-elle aussitôt, ajoutant: « je ne comprend rien en informatique... ça m'a l'air assez compliquée, pour être honnête. » avoue t-elle finalement, toujours ce même sourire sur les lèvres, sans pour autant préciser la raison. parce que non, lili n'a pas réellement grandi avec la technologie, quand les jeunes de son âge possédait leurs premiers téléphones portables, lili avait déjà la vie d'une vraie femme. sans compter qu'elle n'a pas l'argent pour s'acheter un ordinateur, et que cet univers lui est totalement inconnu. serait-ce de cette manière que bona aurait récupéré ces fameux documents qui auraient mis ces types hors d’eux ? très probablement. cela paraît même logique, elle aurait pu lui poser la question, mais lili préfère se taire. ça serait remettre ce sujet de conversation sur le tapis, et elle n’est pas certaine que bona le souhaite, et puis, ça ne la regarde pas, au final. ou peut-être que si, étant donné qu’elle lui avait sauvé la mise, mais ce n’est pas la façon de penser que malia a adopté. elle ne se mêlera pas de ce qu’il se passe, mais avoir pris la défense de bona était tout bonnement naturel, chez elle. quand la jeune femme reprend la parole, malia fronce quelque peu les sourcils. serait-elle malheureuse à l'idée de ne pas être comme les autres ? pour malia, ce n'est pas un mal, d'être différente, bien au contraire. « tu n'as pas à te sentir naze. » la rassure t-elle aussitôt. « d'ailleurs, tu n'es pas obligé de faire comme elles, si tu n'en as pas envie. » elle hausse rapidement les épaules, la regardant, une nouvelle fois. c'est vrai, ça, si sa vie lui convient telle qu'elle est, c'est le plus important. après ça, malia finit même par lui proposer sa veste. elle ne veut pas qu'elle attrape froid. quant à elle ? elle avait vécu pire, par le passé. le froid ne lui fait plus peur depuis bien longtemps. pourtant, elle n'insiste pas lorsque cette dernière lui refuse son aide, elle ne veut pas la mettre mal à l'aise ni paraître impolie. elle continue alors de marcher, descendant finalement les marches du métro tandis que bona reprend la parole pour lui poser une question. « non non, je ne vis pas si loin que ça. et puis, ça ne me dérange absolument pas. j'ai l'habitude des transports en commun. » avoue t-elle, un léger sourire sur les lèvres. « j'ai mon permis... mais je n'ai pas encore assez d'argent pour acheter une voiture. donc je dois faire avec, depuis pas mal de temps. » lui avoue t-elle finalement.
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malia & bo na
malia hoche doucement la tête sur le côté. sur le principe, bona n'a pas tort. malia voit du monde, même... beaucoup trop de monde. seulement c'est quelque chose dont elle se passerait bien, elle est sociable lili, et n'a aucun problème à vivre avec les autres, en communauté... mais pas dans ce genre d'endroit, pas en exerçant ce métier. la jeune femme continue de marcher en direction du métro, écoutant toujours bona de son oreille attentive, cette dernière qui lui avoue ce qu'elle fait sur l'ordinateur. malia jette un regard dans sa direction, les sourcils quelque peu haussés. « vraiment ? » s'intéresse t-elle aussitôt, ajoutant: « je ne comprend rien en informatique... ça m'a l'air assez compliquée, pour être honnête. » avoue t-elle finalement, toujours ce même sourire sur les lèvres, sans pour autant préciser la raison. parce que non, lili n'a pas réellement grandi avec la technologie, quand les jeunes de son âge possédait leurs premiers téléphones portables, lili avait déjà la vie d'une vraie femme. sans compter qu'elle n'a pas l'argent pour s'acheter un ordinateur, et que cet univers lui est totalement inconnu. serait-ce de cette manière que bona aurait récupéré ces fameux documents qui auraient mis ces types hors d’eux ? très probablement. cela paraît même logique, elle aurait pu lui poser la question, mais lili préfère se taire. ça serait remettre ce sujet de conversation sur le tapis, et elle n’est pas certaine que bona le souhaite, et puis, ça ne la regarde pas, au final. ou peut-être que si, étant donné qu’elle lui avait sauvé la mise, mais ce n’est pas la façon de penser que malia a adopté. elle ne se mêlera pas de ce qu’il se passe, mais avoir pris la défense de bona était tout bonnement naturel, chez elle. quand la jeune femme reprend la parole, malia fronce quelque peu les sourcils. serait-elle malheureuse à l'idée de ne pas être comme les autres ? pour malia, ce n'est pas un mal, d'être différente, bien au contraire. « tu n'as pas à te sentir naze. » la rassure t-elle aussitôt. « d'ailleurs, tu n'es pas obligé de faire comme elles, si tu n'en as pas envie. » elle hausse rapidement les épaules, la regardant, une nouvelle fois. c'est vrai, ça, si sa vie lui convient telle qu'elle est, c'est le plus important. après ça, malia finit même par lui proposer sa veste. elle ne veut pas qu'elle attrape froid. quant à elle ? elle avait vécu pire, par le passé. le froid ne lui fait plus peur depuis bien longtemps. pourtant, elle n'insiste pas lorsque cette dernière lui refuse son aide, elle ne veut pas la mettre mal à l'aise ni paraître impolie. elle continue alors de marcher, descendant finalement les marches du métro tandis que bona reprend la parole pour lui poser une question. « non non, je ne vis pas si loin que ça. et puis, ça ne me dérange absolument pas. j'ai l'habitude des transports en commun. » avoue t-elle, un léger sourire sur les lèvres. « j'ai mon permis... mais je n'ai pas encore assez d'argent pour acheter une voiture. donc je dois faire avec, depuis pas mal de temps. » lui avoue t-elle finalement.© LOYALS.
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