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Brekke Hvitserk // High for this
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Brekke Hvitserk // High for this | Dim 22 Oct - 20:45 Citer EditerSupprimer
nom : Brekke, nom bien assez répandu dans son pays d'origine dont la dernière lettre est muette prénom : Un prénom dont la mélodie n'est pas inconnue à certains adeptes de séries historiques, Hvitserk descendant directement de l'imprononçable nordique Hvítserkr âge : 21 ans, la majorité internationale atteinte comme un pallier de la liberté date et lieu de naissance : Le 12 janvier, un jour de nuit polaire où le soleil laisse à peine apparaître ses rayons quelques rares heures à Tromsø, en Norvège origines : Fier représentant de ses origines nordiques qui sculptent chaque traits de son visage typique des habitants des fjords norvégiens nationalité : Arrivée trop récente au pays du matin calme et désir trop faible de s'intégrer, il reste aux yeux de tous comme sur les papiers un norvégien cursus universitaire : Il n'est pas fait pour les études trop strictes, pas fait pour les beaux discours, les costumes bien taillés, préfère son survêtement d'étudiant en staps aux cravates que certains doivent porter métier : Les compétences et l'assiduité lui font trop défaut pour lui permettre de trouver un emploi, alors il se contente de servir les clients au café familial, et s'amuse parfois à hacker orientation sexuelle : En éternel conflit avec les choix, Hvitserk décide de ne pas en faire et de supprimer toute distinction entre les sexes, affirmant fièrement sa bisexualité classe sociale : Il n'a jamais connu la misère et les difficultés qu'elle engendre, lui qui a grandi toujours entouré d'une myriade de jouets, sa montre signe de richesse toujours à son poignet code du règlement : Ok par iMked tu veux t'investir ? PYO.
Brekke Hvitserk
you wanna be high for this
MÂLIN (★★★★✰) | MENTEUR (★★★✰✰) | DÉVOUÉ (★★✰✰✰) | ARROGANT (★★★★★) | INTELLIGENT (★★★✰✰) |
FOURBE (★★★★✰) | DÉTERMINÉ (★★★✰✰) | FLEMMARD (★★★★✰) | CURIEUX (★★★✰✰) | IMMATURE (★★✰✰✰) |
Rumour has it... Son prénom est son atout préféré, source des plus grandes difficultés de prononciation lorsqu'un courageux coréen tente de le lire à voix haute Survole l'avatar, petit coquin. | My character Tête sous l'eau. C'est dans ces moments là qu'il est concentré Hvitserk, la peau humide de perles d'efforts mêlées à celles de l'eau chlorée, le regard sérieux, rivé sur l'étendue aqueuse qui lui fait face. Le souffle court, les muscles mis à l'effort. Il laisse son corps s'animer, aller au-delà de ses limites pour nager plus vite, plus fort, plus loin. Parce qu'il est passionné le gosse, qu'il se sent vivant lorsqu'il est dans une piscine, qu'il peut passer des heures dans l'eau qui plisse sa peau et pique ses yeux, savourant pourtant chaque minute qui brûle ses poumons. Il est jeune et con c'est vrai, mais il sait s'impliquer, se donner à fond. Dépasser ses limites. Doigts sur le clavier. Assis en tailleur sur son matelas, le dos courbé pour rapprocher son visage de l'écran et vérifier que tout soit bon. Il ne laisse jamais rien au hasard, Hvitserk. Un sourire étire ses lippes pressées entre elles pour y maintenir le cylindre de nicotine pendant que ses mains s'affairent à braver les interdits. Il aime le risque, fait ce qu'il lui plait sans même se demander s'il y est autorisé. Les lois, le gamin il n'y fait pas attention, son monde, sa vie, ses limites, et personne d'autre ne peut lui en imposer. Quelques clics et il accède à un site protégé, vingts secondes plus tard il contrôle les caméras d'une bijouterie, les radios de la police et il mène le jeu du bout de ses phalanges écorchées. Lunettes remontées sur le nez. Sa tête négligemment appuyée sur son poing par l'intermédiaire de sa joue, il fixe le tableau face à lui. Malgré son attitude désinvolte, il est attentif, écoute le flot incessant de paroles de son professeur, classe tout dans un coin de sa tête. Ramener de bonnes notes pour s'assurer la tranquillité vis-à-vis de ses parents. Pas vraiment pour son avenir. Il se moque bien du futur Hvitserk, il est trop occupé à vivre le présent, et si on le questionne à ce sujet, il répondra simplement que plus tard, il verra bien. Capuche sur les cheveux. Elle est souvent échouée là, lorsqu'il est dehors. Autrefois pour se cacher du regard des autres, aujourd'hui par simple habitude. Il pense que la vie est un jeu qui se joue au hasard, qu'il faut préserver le mystère et agir selon l'immédiat. Hvitserk il n'anticipe pas, et il ne veut pas qu'on l'anticipe, qu'on devine tout de lui. Alors il ne se dévoile pas, se camoufle aussi sans doute des hommes en uniforme, mais ne se gêne pourtant pas pour enchaîner les délits parce qu'il en a envie, et qu'il a besoin d'adrénaline, des les fuir aussi. Mains qui courent. Hvitserk il associe beaucoup trop la vie à un jeu. Et Hvitserk déteste perdre. Alors il tente tout, passe souvent ses soirées dans des bars, les continue parfois dans quelques boites. Et il profite, boit sans compter, s'accroche aux hanches inconnues et qu'importe si elles appartiennent à un homme ou une femme. Ses lèvres pétillantes d'alcool se perdent contre la peau du cou, grimpent jusqu'au lobe pour y souffler des promesses pour les heures à venir. Tablier autour des hanches. Accoudé derrière le comptoir, il observe les clients attablés avec un sourire qui illumine rarement son visage dans d'autres circonstances. Un de ceux qui sont sincères, qui sont simples, de ceux qu'un enfant de son âge devrait avoir. L'odeur des grains chatouille ses narines, et ses mains agissent presque automatiquement, avec habileté pour remplir les tasses de café chaud, toujours la bonne dose, juste assez de lait, une crème qui tient sans être trop épaisse. Perfectionniste habile. Palet gourmand. |
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citation de ton choix
Dis, t'y crois toi, au destin ?
Pas moi.
Moi j'ai pas envie d'y croire, j'ai pas envie que ça existe. Tout ça c'est des foutaises tu sais, c'est rien d'plus que ce que se disent les gens qui ont aucun contrôle sur leur vie, et qui préfèrent se protéger derrière cette raison minable parce que c'est plus simple, c'est bien plus facile de dire que quoi qu'on fasse ça changera rien, que tout est écrit. Mais c'est pas vrai, j'veux pas que ce soit vrai parce que ça ferait de nous des pions d'un jeu sur lequel on a aucun pouvoir. Puis il serait où, le but de nos vies dans ce cas ? Vivre pour survire, puis vivre pour mourir ? N'importe quoi.
Non vraiment la vie c'est pas ça. Ta vie tu dois la contrôler, elle t'appartient, pas l'inverse. Alors ça sert à rien de réfléchir, d'hésiter, de pas oser. Ça sert à rien parce que ça apporte que des regrets. Faut agir, se planter, merder. On s'en branle parce que la vie continue. Et même quand elle te fout les pires obstacles, faut faire plus que les surpasser : faut les exploser. T'as pas le droit d'abandonner tu vois ? Faut pas baisser les bras, jamais. Alors ouais parfois t'auras l'impression d'être au bord du gouffre, peut-être même qu'un jour tu tomberas, mais t'as pas le droit d'abandonner.
Moi tu vois j'ai pas une vie de protagoniste de film, pas de quoi écrite une biographie qui me rendra riche en trois mois. Non moi au lieu de ça j'ai simplement grandi normalement en Norvège, j'étais comme tous les gosses là bas tu sais, le parfait petit nordique, le blond aux yeux clairs qui trouve que 10°C c'est doux, qui est poli, qui mange les légumes dans son assiette. Parce que tu vois mes parents c'est des gens modèles, qui m'ont élevé correctement. Ils ont tout fait pour qu'un jour je devienne comme eux, quelqu'un qui rentre dans les rangs, un parfait exemple de réussite dans la société.
Mais moi je veux pas de ça, et oh te méprends pas, je les aime mes parents, je les aime comme ils sont, et ils sont pas comme moi. Moi j'veux pas avoir un boulot normal, une vie stable, j'veux pas tout faire dans les règles. C'est leur conception du bonheur, pas la mienne. Dans mon idéal à moi y'a la liberté de pouvoir faire ce qui me plait, et de tendre mon majeur aux lois qui me disent non. Y'a l'adrénaline qui fait palpiter le coeur si fort que t'as l'impression qu'il va t'exploser la cage thoracique, et puis y'a le jeu. Parce que tu vois, après la vie on sait pas ce qu'il y a alors moi j'veux en profiter. J'veux m'amuser sans me prendre la tête avec les risques et les interdictions qui existent que pour proliférer le malheur comme une pandémie. Tu sais dans le monde y'a 300 millions de dépressifs, moi j'veux pas rentrer dans ces stats là. Je me rappelle d'Emma au lycée. Elle tu vois, c'était la fille parfaite si on prend la définition de la société. Si bonne élève, si sage, polie, altruiste. Mais Emma les seules fois où j'l'ai vue sourire, c'est quand elle recevait une bonne note. T'as envie de ça toi ? Que ton bonheur se limite à un chiffre sur un bout de papier ? Pas moi.
Je m'en voulais un peu au début tu sais, quand je voyais mes parents s'inquiéter pour l'avenir de leur seul gosse qui rentrait déjà bourré avant même d'être majeur. J'aurais aimé les rendre fiers, mais j'veux pas que ma vie dépende des autres. J'fais des efforts pourtant, un peu, j'essaye de pas trop les faire flipper, quand j'suis avec eux j'essaye d'avoir l'air plus calme et évidemment ils savent rien ce que je fais. Mes notes sont pas trop mauvaises, j'suis dans l'équipe nationale de natation et j'ai encore jamais fini au poste alors ça va à peu près.
Et puis y'a eu ce moment, ce jour où j'ai vraiment eu aucun contrôle sur ma vie. J'pensais pas que ça m'arriverait un jour ça, j'étais pas préparé et j'ai rien pu faire. Mon père travaille pour une boite coréenne, et il était obligé d'aller sur place plusieurs fois par an, c'était chiant mais on y était habitués avec maman, j'pensais qu'on pourrait tenir comme ça. Puis y'a eu cette discussion qu'ils ont entamé quand on était à table un soir un peu avant noël, ça donnait quelque chose comme "Hvitserk, dans deux mois on déménage à Seoul". J'me suis marré au début, j'y croyais pas (t'y aurais cru, toi ?) Puis les cartons ont commencé à s'entasser dans la maison. Et j'ai rien pu faire. Tromsø c'était mon royaume et on me l'a arraché. Et tu sais, à ce moment je les ai un peu compris, ces gens tristes, ces gens qui ont l'impression de ne rien contrôler.
J'étais tellement en colère, tu sais j'suis pas un mauvais gars, pas du genre à piquer des crises tous les jours, mais là j'avais trop de haine, celle qui est là juste pour cacher le fait que j'avais peur. Peur parce que c'est pas qu'une question de déménagement, c'est d'aller à l'autre bout du monde, dans un pays que je connais pas, avec une langue et une culture totalement différentes de chez moi. J'voulais pas devenir un pion sans contrôle.
J'voulais pas être le 300 000 001ème dépressif.
Alors j'vais pas te mentir les premiers mois c'était l'horreur. J'arrivais pas à m'adapter -non, j'voulais pas m'adapter. J'aimais pas ces gens qui avaient l'air encore plus sages et modèles que les norvégiens, avec leurs attitudes de coincés qui se prennent tous pour le personnage principal d'un de leurs dramas. J'voulais pas apprendre leur langue, manger leur nourriture, me mélanger à eux. Maman a ouvert un café alors j'ai travaillé là bas, et j'y passais la majorité de mon temps libre aussi. Et si la vie est un jeu, là c'était clairement mis sur pause.
Et ça en a pris du temps tu sais, pour qu'enfin je me décide à sortir de cette boucle, de cette bulle aussi. J'redeviens petit à petit le merdeux que j'étais avant, celui qui s'amuse et qui se fout des règles, celui qui a des sourires trop grands, qui parle fort, embrasse n'importe qui. Je me fous de leurs avis, ils pourront pas me changer, jamais. Je m'adapte doucement, sans trop faire d'efforts parce que c'est chiant. Et peu importe si je parle mal leur langue, si ça leur plait pas que je mange encore des plats de chez moi et que je préfère la compagnie d'étrangers à la leur. C'est moi le roi de ma vie et j'ferai de Seoul mon royaume.
Pas moi.
Moi j'ai pas envie d'y croire, j'ai pas envie que ça existe. Tout ça c'est des foutaises tu sais, c'est rien d'plus que ce que se disent les gens qui ont aucun contrôle sur leur vie, et qui préfèrent se protéger derrière cette raison minable parce que c'est plus simple, c'est bien plus facile de dire que quoi qu'on fasse ça changera rien, que tout est écrit. Mais c'est pas vrai, j'veux pas que ce soit vrai parce que ça ferait de nous des pions d'un jeu sur lequel on a aucun pouvoir. Puis il serait où, le but de nos vies dans ce cas ? Vivre pour survire, puis vivre pour mourir ? N'importe quoi.
Non vraiment la vie c'est pas ça. Ta vie tu dois la contrôler, elle t'appartient, pas l'inverse. Alors ça sert à rien de réfléchir, d'hésiter, de pas oser. Ça sert à rien parce que ça apporte que des regrets. Faut agir, se planter, merder. On s'en branle parce que la vie continue. Et même quand elle te fout les pires obstacles, faut faire plus que les surpasser : faut les exploser. T'as pas le droit d'abandonner tu vois ? Faut pas baisser les bras, jamais. Alors ouais parfois t'auras l'impression d'être au bord du gouffre, peut-être même qu'un jour tu tomberas, mais t'as pas le droit d'abandonner.
Moi tu vois j'ai pas une vie de protagoniste de film, pas de quoi écrite une biographie qui me rendra riche en trois mois. Non moi au lieu de ça j'ai simplement grandi normalement en Norvège, j'étais comme tous les gosses là bas tu sais, le parfait petit nordique, le blond aux yeux clairs qui trouve que 10°C c'est doux, qui est poli, qui mange les légumes dans son assiette. Parce que tu vois mes parents c'est des gens modèles, qui m'ont élevé correctement. Ils ont tout fait pour qu'un jour je devienne comme eux, quelqu'un qui rentre dans les rangs, un parfait exemple de réussite dans la société.
Mais moi je veux pas de ça, et oh te méprends pas, je les aime mes parents, je les aime comme ils sont, et ils sont pas comme moi. Moi j'veux pas avoir un boulot normal, une vie stable, j'veux pas tout faire dans les règles. C'est leur conception du bonheur, pas la mienne. Dans mon idéal à moi y'a la liberté de pouvoir faire ce qui me plait, et de tendre mon majeur aux lois qui me disent non. Y'a l'adrénaline qui fait palpiter le coeur si fort que t'as l'impression qu'il va t'exploser la cage thoracique, et puis y'a le jeu. Parce que tu vois, après la vie on sait pas ce qu'il y a alors moi j'veux en profiter. J'veux m'amuser sans me prendre la tête avec les risques et les interdictions qui existent que pour proliférer le malheur comme une pandémie. Tu sais dans le monde y'a 300 millions de dépressifs, moi j'veux pas rentrer dans ces stats là. Je me rappelle d'Emma au lycée. Elle tu vois, c'était la fille parfaite si on prend la définition de la société. Si bonne élève, si sage, polie, altruiste. Mais Emma les seules fois où j'l'ai vue sourire, c'est quand elle recevait une bonne note. T'as envie de ça toi ? Que ton bonheur se limite à un chiffre sur un bout de papier ? Pas moi.
Je m'en voulais un peu au début tu sais, quand je voyais mes parents s'inquiéter pour l'avenir de leur seul gosse qui rentrait déjà bourré avant même d'être majeur. J'aurais aimé les rendre fiers, mais j'veux pas que ma vie dépende des autres. J'fais des efforts pourtant, un peu, j'essaye de pas trop les faire flipper, quand j'suis avec eux j'essaye d'avoir l'air plus calme et évidemment ils savent rien ce que je fais. Mes notes sont pas trop mauvaises, j'suis dans l'équipe nationale de natation et j'ai encore jamais fini au poste alors ça va à peu près.
Et puis y'a eu ce moment, ce jour où j'ai vraiment eu aucun contrôle sur ma vie. J'pensais pas que ça m'arriverait un jour ça, j'étais pas préparé et j'ai rien pu faire. Mon père travaille pour une boite coréenne, et il était obligé d'aller sur place plusieurs fois par an, c'était chiant mais on y était habitués avec maman, j'pensais qu'on pourrait tenir comme ça. Puis y'a eu cette discussion qu'ils ont entamé quand on était à table un soir un peu avant noël, ça donnait quelque chose comme "Hvitserk, dans deux mois on déménage à Seoul". J'me suis marré au début, j'y croyais pas (t'y aurais cru, toi ?) Puis les cartons ont commencé à s'entasser dans la maison. Et j'ai rien pu faire. Tromsø c'était mon royaume et on me l'a arraché. Et tu sais, à ce moment je les ai un peu compris, ces gens tristes, ces gens qui ont l'impression de ne rien contrôler.
J'étais tellement en colère, tu sais j'suis pas un mauvais gars, pas du genre à piquer des crises tous les jours, mais là j'avais trop de haine, celle qui est là juste pour cacher le fait que j'avais peur. Peur parce que c'est pas qu'une question de déménagement, c'est d'aller à l'autre bout du monde, dans un pays que je connais pas, avec une langue et une culture totalement différentes de chez moi. J'voulais pas devenir un pion sans contrôle.
J'voulais pas être le 300 000 001ème dépressif.
Alors j'vais pas te mentir les premiers mois c'était l'horreur. J'arrivais pas à m'adapter -non, j'voulais pas m'adapter. J'aimais pas ces gens qui avaient l'air encore plus sages et modèles que les norvégiens, avec leurs attitudes de coincés qui se prennent tous pour le personnage principal d'un de leurs dramas. J'voulais pas apprendre leur langue, manger leur nourriture, me mélanger à eux. Maman a ouvert un café alors j'ai travaillé là bas, et j'y passais la majorité de mon temps libre aussi. Et si la vie est un jeu, là c'était clairement mis sur pause.
Et ça en a pris du temps tu sais, pour qu'enfin je me décide à sortir de cette boucle, de cette bulle aussi. J'redeviens petit à petit le merdeux que j'étais avant, celui qui s'amuse et qui se fout des règles, celui qui a des sourires trop grands, qui parle fort, embrasse n'importe qui. Je me fous de leurs avis, ils pourront pas me changer, jamais. Je m'adapte doucement, sans trop faire d'efforts parce que c'est chiant. Et peu importe si je parle mal leur langue, si ça leur plait pas que je mange encore des plats de chez moi et que je préfère la compagnie d'étrangers à la leur. C'est moi le roi de ma vie et j'ferai de Seoul mon royaume.
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Re: Brekke Hvitserk // High for this | Dim 22 Oct - 20:45 Citer EditerSupprimer
!!!!!!!!!!!!! YOU ARE SO WEAK BABY I LOVE YOU
JE SUIS TROP FOLLE JPP MON PTIT CŒUR VA S’ARRÊTER
ET TIENS DANS TA FACE
jtm trop. je. j'ai pas les mots
on va faire des trucs de dinguéééééé :fransouag: :fransouag:
JE SUIS TROP FOLLE JPP MON PTIT CŒUR VA S’ARRÊTER
ET TIENS DANS TA FACE
jtm trop. je. j'ai pas les mots
on va faire des trucs de dinguéééééé :fransouag: :fransouag:
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Re: Brekke Hvitserk // High for this | Dim 22 Oct - 20:51 Citer EditerSupprimer
bon le prénom et le nom niveau difficulté tu pouvais pas faire plus .
bon reboot .
bon reboot .
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Re: Brekke Hvitserk // High for this | Lun 23 Oct - 20:34 Citer EditerSupprimer
MY BABYYYYYYYYYYYY C'EST TA FAUTE SI JE SUIS FAIBLE ET FRAGILE MAIS NO REGRETS TBH TFVUBJHIOHUYGY ON VA FAIRE DES CHOSES MERVEILLEUSES TMTC CAN'T WAIT ILY
Et slt bg conne-or
Eeet merci Joo bb, tmtc maintenant tu sais le prononcer
Et slt bg conne-or
Eeet merci Joo bb, tmtc maintenant tu sais le prononcer
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Re: Brekke Hvitserk // High for this | Lun 23 Oct - 20:45 Citer EditerSupprimer
ALALA ON VA ATTAQUER VENER VA Y AVOIR UN FLOT DE FEELS LES GENS VONT RIEN COMPRENDRE MDRRRR
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Re: Brekke Hvitserk // High for this | Lun 23 Oct - 21:50 Citer EditerSupprimer
le super choix d'avatar et le pseudo tout à fait imprononçable
bon reboot
bon reboot
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