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Cha Myung Shin__Mademoiselle.
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Cha Myung Shin__Mademoiselle. | Dim 5 Nov - 22:55 Citer EditerSupprimer
nom : Cha. prénom : Myung Shin Alexandra. âge : 23 ans. date et lieu de naissance : 28/10/94. origines : Coréennes. nationalité : Coréenne. cursus universitaire : Médecine chirurgicale, 6e année. métier : stagiaire orientation sexuelle : Hétérosexuelle. classe sociale : Le fric, c'est chic. code du règlement : Ok par iMked. tu veux t'investir ? Students ;(
Cha Myung Shin
Il est toujours préférable d’être un peu sous-habillé.
ESPIÈGLE (★★★✰✰) | CAPRICIEUSE (★★★✰✰) | PASSIONNÉE (★★★✰✰) | TÊTE BRÛLÉE (★★★✰✰) | DÉTERMINÉE (★★★✰✰) |
DRAMAQUEEN (★★★★✰) | MALINE (★★★✰✰) | MOQUEUSE (★★★✰✰) | AMICALE (★★★✰✰) | VICIEUSE (★★★✰✰) |
Rumour has it... C'est une castratrice qui se prend pour Beyoncé, de toute façon. (f. elle possède un caractère affirmé, un certain amour-propre et ne fait pas semblant d'aimer les gens, ni de passer par quatre chemins pour dire quelque chose. Cette personnalité sûre d'elle la rend parfois intimidante.) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Myungshin le matin Kidnappe le partenaire à ses côtés pour passer sous les draps encore une vingtaine de minutes ou se lève pour chauffer l'eau du thé. Fait le salut au soleil en aérant la chambre. Passe se doucher, mange en parcourant les dernières nouvelles des artistes et amis qu'elle suit sur instagram, se maquille et s'habille, avant de sortir. Myungshin à midi Mange ce qu'on lui a préparé ou se pose au resto. Ne mange presque jamais sur le pouce. Prend le temps de se re-maquiller. Myungshin le soir Se change, regarde un épisode de téléréalité pour se détendre et le commente en live avec Nora au bout du téléphone, fait le repas si son copain rentre tard, révise ses livres de médecine, déballe sa journée pendant une demi-heure, se re-change après avoir mangé et démaquillé son visage, puis se couche. Eteint toujours le wifi avant de dormir. Trop fatiguée 1 fois sur 3 pour faire l'amour à son partenaire. Myungshin et les cours Assiste à tous les cours, pose des questions, explore les sujets abordés en les approfondissant en dehors des leçons, veut faire mieux que les autres de sa classe. Possède un petit classeur de notes mises au propre et un bullet journal très fancy. Se fait des cartes de révision. Lit des articles scientifiques pour le plaisir. Myungshin et les garçons Peut s'attacher rapidement et sembler en demander beaucoup pour donner finalement peu en retour (d'après son premier copain, lui-même très égocentrique). Peine à se sortir une personne de la tête, lorsqu'elle l'a dans la peau et peut se montrer faible de volonté si la personne en question refait surface, ne serait-ce qu'en sms. Culpabilise facilement. S'attribue systématiquement les fautes dans les relations. Se montre passionnée et met l'accent sur son couple, lorsqu'elle aime vraiment. Aime afficher 'comme elle est bien avec son mec et pas toi, pauvre petite chose'. Peut faire preuve d'agressivité très facilement lorsqu'on s'attaque à son compagnon. Peu rancunière, mais ne revient pas sur ces décisions, une fois qu'un trait est tiré. Myungshin et les amis Pareil qu'en amour, la loyauté et la générosité sont de mise. Se montre très protectrice envers ses amis et peut soulever des montages (ou des corps, à coups de talons aiguille), en cas d'état d'urgence. Apprend encore à équilibrer l'attention apportée à ses amis avec celle accordée à son partenaire du moment. Se confie facilement, mais à tendance à rester sur la réserve et à choisir à qui elle va dire quoi, lorsqu'elle sent que X ou Y ne va pas être suffisamment apte à entendre certaines choses. Peut se montrer très directe dans les conseils qu'elle donne et parfois bousculer la personne en face. Myungshin et les gens en général Souriante et amicale. Peut facilement rentrer dans le tas lorsqu'on la provoque et retourne chaque pique verbale à son envoyeur. Un peu sur la défensive face aux garçons. Aime savoir qu'elle est l'une des mieux apprêtées dans un groupe. S'adapte très facilement à divers types de personnalité, sauf aux filles trop mignonnes et innocentes qui peuvent la faire rouler des yeux rapidement : pour elle, les 'nunuches' jouent juste un jeu de faux semblants. Raison : elle a toujours été au contact d'individus aux personnalités bien marquées. Aime se savoir désirable, mais inaccessible et en profiter pour rappeler qu'elle est en couple. Myungshin au volant Change de conduite en fonction de la musique qui passe. Roule vite et maîtrise les parcages latéraux comme personne. Insulte facilement, surtout les 'blondasses en 4x4', les 'connards en bmw' et les 'sales vieux' et klaxonne facilement. Parfois un peu inattentive. Aime aller chercher des gens pour rendre service. Lave sa voiture et la range toujours impeccablement. Joue de ses charmes auprès des garagistes pour obtenir des rabais, tout en veillant à ne pas se faire arnaquer. Myungshin au sport N'aime PAS aller en salle pour utiliser des machines, ni même courir. Pratique néanmoins des sports de combat et le Yoga. Ancienne cavalière, mais à cessé après de lonnnnngs débats sur la question de l'utilisation des chevaux pour son plaisir personnel. Myungshin et les enfants Les apprécie, mais ne pourrait pas s'en occuper durant toute une journée. À envie de fracasser les gamins qui crient dans les centre commerciaux et que les parents ne reprennent pas en main. Ne prévoit pas d'être parent avant un long moment (ni même de l'être tout court, pour l'instant). Myungshin et sa famille S'entend bien avec sa mère, mais ne parle presque pas à son père qui la renie plus ou moins. Communique peu avec le reste de sa famille en raison de tensions et considère plutôt ses amis comme des frères et soeurs, raison pour laquelle elle se montre si présente pour eux. Myungshin et son corps Longtemps en conflit avec son apparence d'homme n'allant pas avec son identité féminine, elle s'est haïe jusqu'à récemment et possède encore des cicatrices de mutilation sur les cuisses. Depuis ses opérations et son changement de sexe, une sorte de magie à néanmoins opéré et malgré certains regards mauvais de l'extérieur, son entourage lui a permis de prendre confiance en elle. Le fait qu'elle porte si naturellement son nouveau visage et soit parvenue à s'aimer, peu importe les commentaires, fait que les critiques ne l'atteignent plus tellement et que pas mal de gens se son habitués, ont accepté la situation. Cependant, une partie de la haine non-justifiée l'affecte malgré tout. |
This is my story
be quiet, tiffany !
Si je devais résumer ma vie à un gif, ce serait peut-être celui-là. Entre le moment de ma naissance et le début de l'année 2017, j'ai l'impression que les choses n'ont été qu'une série d'événements qui me dépassaient un peu trop pour que je comprenne exactement ce qui se passait, pourquoi ça se passait et surtout : comment y réagir. En somme : un bordel total.
Bien que j'aie vu le jour en Corée, mes parents ont très vite déménagé en Angleterre, où j'ai passé presque toute mon enfance et mon adolescence. On pourra donc dire que ma mentalité se rapproche de celle d'une Londonienne plus que d'une Séoulite, mais ce n'est pas tout. Mon père et ma mère venant de familles aisées, je vous laisse un peu imaginer ce à quoi ressemblait le quotidien, à la maison, tout comme aux fêtes. Codifié, strict, les bonnes manières mises en avant... disons que j'avais toutes les cartes en mains dès le départ pour être éduquée comme une petite princesse bien sage... mais c'était sans compter sur un problème et pas des moindres, dans toute l'histoire : les princesses sont des filles, or, moi, je suis né garçon.
Voila. Voila, déjà là, on partait bien.
Fils unique, grandes attentes paternelles, puis, grandes déceptions. C'est dès l'âge de cinq ans, je crois, lorsqu'on commence à se rendre compte que les filles et les garçons, c'est traité différemment, que mon intérêt pour certains jeux, certaines activités, a commencé à mettre la puce à l'oreille de mes parents qui l'ont, évidemment, mal vécu et comme tout mauvais exemple qui se mérite, j'ai rapidement été placé en écoles privées pour 'mâles', histoire de bien enfoncer le bouchon et commencer un processus de déni plus ou moins inefficace à long terme. Intérioriser, repousser les envies profondes, rentrer dans le moule. Pour se faire accepter et se faire aimer, au moins un peu, lorsqu'on est enfant, il n'y a pas vraiment d'autre moyen de survie. Alors on se répète : je suis homme, jusqu'à y croire. Plus ou moins.
À un certain moment, j'ai finis par être convaincue de mes propres mensonge. La programmation semblait réussie, on était parvenu à me rentrer dans la tête que j'étais ce que mon corps avait déterminé... et puis, il y a eu ce jour où un type d'une autre classe, plus âgé, Ryan, m'a pris à part pour me parler, soi-disant. Une excuse comme une autre, soldée par ses lèvres sur les miennes. En même temps qu'être salvateur pour l'adolescent mal dans sa peau que j'étais à l'époque, ce geste a surtout ravivé énormément de questions, donc la plus grande : mais alors, je suis gay ? Au fond de moi, la réponse était non. Non... mais oui. Oui, c'était mieux ainsi. Oui, il valait mieux être homosexuel qu'un monstre. Sur l'échelle de la catastrophe, c'était peut-être le moins problématique et puis, au moins, c'était simple à cacher. Alors voila... ça a duré. Duré jusqu'à mes vingt ans, à peu près. Dès que mes parents n'étaient plus là, je devenais un cliché passionné de choses folles, puis, à leur retour, leur fils les attendait, parfaitement... parfait ? Sage ? Bon élève ? Sauf que tout ceci commençait à devenir lourd.
Yonsei. Yonsei, ça a tout changé. Une fois loin de la maison familiale, j'ai pu m'exprimer un peu plus facilement et petit à petit, l'envie d'être comme les autres filles s'est transformé en besoin. Littéralement. Besoin crucial, urgent. Changer de peau, changer de voix, changer de tout. Devenir Moi, vraiment moi. Je sais que mes amis ont mis du temps à comprendre qu'abandonner une identité masculine était vraiment ce que je voulais au plus profond de moi et qu'il ne s'agissait pas juste de la lubie passagère d'une 'folle', mais en 2016, les choses ont pris un tournant bien plus sérieux, lorsque les prises hormonales ont commencé et qu'ensuite, ce fut le tour de la chirurgie. Si je devais donner un déclencheur à toute cette cascade d'événements récents, je crois que la rencontre de Nora serait la première chose qui me viendrait à l'esprit. Avoir une amie mannequin aussi féminine qu'elle, m'en rapprocher, ça m'a fait cogiter. De la jalousie à l'envie, en passant par un peu de colère, aussi, j'ai finis par me rappeler qu'il y a longtemps, ce que je voulais, c'était être comme elle. M'habiller comme elle, marcher comme elle, m'amuser comme elle. Or, avec les moyen à disposition dans la médecine de nos jours, mon rêve était enfin à portée de main... il fallait juste un peu de courage.
Et ce rêve, je l'ai réalisé. Cela fait maintenant presque un an, maintenant, que ma carte d'identité à été changée. Que je suis mort. Que je suis née. Il faut croire que le temps passe vite...
En ce qui concerne mes relations... disons qu'à cause d'une personne qui m'a brisé le coeur il y a de ça deux ans, en se barrant avec une pouffiasse plus culottée qu'une prostituée, j'ai eu du mal à me reprendre, du mal à accepter que c'était fini, à me détacher. Quand on se lie si fort, c'est difficile de ne pas vivre avec l'ombre de celui qui vous a blessé sur le dos. Ca vous pousse ensuite à en blesser d'autres, des gars qui n'ont rien demandé, juste de vous aimer, mais que vous, vous n'arrivez pas à aimer en retour. Pas complètement, tout du moins... pas comme ça. Je vis avec le remord d'avoir fait du mal autour du moi, tout autant qu'avec le regret d'avoir été mise à terre... mais ça, finalement, c'est la vie, n'est-ce pas ? L'important, c'est de se relever et de rajuster ses chaussures, avant de repartir sur l'avenue. L'important, c'est d'être fort et de se répéter que ça ira, parce qu'avec le temps, tout peut aller mieux. C'est comme ça que récemment, après être partie de Corée pour vivre à nouveau sur Londres quelques mois, j'ai pu renouer avec quelqu'un en particulier. Elijah. Cousins, nous appelait-on sur les papiers. Meilleurs amis, c'était pourtant le coeur de notre relation. Après un temps d'acceptation et de remises en question, j'ai finalement réussi à retrouver le vrai goût de l'amour auprès de lui... sans le dire autour de moi. Comment faire accepter aux gens quelque chose de socialement inacceptable ? Tout simplement, en apprenant que notre lien de parenté était en fait, excusez-moi du terme, du bullshit profond. Longue histoire, mais pour faire court, dites vous juste que tout va bien dans le meilleur des mondes, en ce moment. Si je reviens à Séoul aujourd'hui, c'est parce qu'on a proposé un bon contrat de travail à Eli et aussi parce que je l'ai grannnndement encouragé à l'accepter. Avoir l'occasion de retrouver mes amis et mes marques, je n'allais pas cracher dessus, après tout, si ? Héh.
Bien que j'aie vu le jour en Corée, mes parents ont très vite déménagé en Angleterre, où j'ai passé presque toute mon enfance et mon adolescence. On pourra donc dire que ma mentalité se rapproche de celle d'une Londonienne plus que d'une Séoulite, mais ce n'est pas tout. Mon père et ma mère venant de familles aisées, je vous laisse un peu imaginer ce à quoi ressemblait le quotidien, à la maison, tout comme aux fêtes. Codifié, strict, les bonnes manières mises en avant... disons que j'avais toutes les cartes en mains dès le départ pour être éduquée comme une petite princesse bien sage... mais c'était sans compter sur un problème et pas des moindres, dans toute l'histoire : les princesses sont des filles, or, moi, je suis né garçon.
Voila. Voila, déjà là, on partait bien.
Fils unique, grandes attentes paternelles, puis, grandes déceptions. C'est dès l'âge de cinq ans, je crois, lorsqu'on commence à se rendre compte que les filles et les garçons, c'est traité différemment, que mon intérêt pour certains jeux, certaines activités, a commencé à mettre la puce à l'oreille de mes parents qui l'ont, évidemment, mal vécu et comme tout mauvais exemple qui se mérite, j'ai rapidement été placé en écoles privées pour 'mâles', histoire de bien enfoncer le bouchon et commencer un processus de déni plus ou moins inefficace à long terme. Intérioriser, repousser les envies profondes, rentrer dans le moule. Pour se faire accepter et se faire aimer, au moins un peu, lorsqu'on est enfant, il n'y a pas vraiment d'autre moyen de survie. Alors on se répète : je suis homme, jusqu'à y croire. Plus ou moins.
À un certain moment, j'ai finis par être convaincue de mes propres mensonge. La programmation semblait réussie, on était parvenu à me rentrer dans la tête que j'étais ce que mon corps avait déterminé... et puis, il y a eu ce jour où un type d'une autre classe, plus âgé, Ryan, m'a pris à part pour me parler, soi-disant. Une excuse comme une autre, soldée par ses lèvres sur les miennes. En même temps qu'être salvateur pour l'adolescent mal dans sa peau que j'étais à l'époque, ce geste a surtout ravivé énormément de questions, donc la plus grande : mais alors, je suis gay ? Au fond de moi, la réponse était non. Non... mais oui. Oui, c'était mieux ainsi. Oui, il valait mieux être homosexuel qu'un monstre. Sur l'échelle de la catastrophe, c'était peut-être le moins problématique et puis, au moins, c'était simple à cacher. Alors voila... ça a duré. Duré jusqu'à mes vingt ans, à peu près. Dès que mes parents n'étaient plus là, je devenais un cliché passionné de choses folles, puis, à leur retour, leur fils les attendait, parfaitement... parfait ? Sage ? Bon élève ? Sauf que tout ceci commençait à devenir lourd.
Yonsei. Yonsei, ça a tout changé. Une fois loin de la maison familiale, j'ai pu m'exprimer un peu plus facilement et petit à petit, l'envie d'être comme les autres filles s'est transformé en besoin. Littéralement. Besoin crucial, urgent. Changer de peau, changer de voix, changer de tout. Devenir Moi, vraiment moi. Je sais que mes amis ont mis du temps à comprendre qu'abandonner une identité masculine était vraiment ce que je voulais au plus profond de moi et qu'il ne s'agissait pas juste de la lubie passagère d'une 'folle', mais en 2016, les choses ont pris un tournant bien plus sérieux, lorsque les prises hormonales ont commencé et qu'ensuite, ce fut le tour de la chirurgie. Si je devais donner un déclencheur à toute cette cascade d'événements récents, je crois que la rencontre de Nora serait la première chose qui me viendrait à l'esprit. Avoir une amie mannequin aussi féminine qu'elle, m'en rapprocher, ça m'a fait cogiter. De la jalousie à l'envie, en passant par un peu de colère, aussi, j'ai finis par me rappeler qu'il y a longtemps, ce que je voulais, c'était être comme elle. M'habiller comme elle, marcher comme elle, m'amuser comme elle. Or, avec les moyen à disposition dans la médecine de nos jours, mon rêve était enfin à portée de main... il fallait juste un peu de courage.
Et ce rêve, je l'ai réalisé. Cela fait maintenant presque un an, maintenant, que ma carte d'identité à été changée. Que je suis mort. Que je suis née. Il faut croire que le temps passe vite...
En ce qui concerne mes relations... disons qu'à cause d'une personne qui m'a brisé le coeur il y a de ça deux ans, en se barrant avec une pouffiasse plus culottée qu'une prostituée, j'ai eu du mal à me reprendre, du mal à accepter que c'était fini, à me détacher. Quand on se lie si fort, c'est difficile de ne pas vivre avec l'ombre de celui qui vous a blessé sur le dos. Ca vous pousse ensuite à en blesser d'autres, des gars qui n'ont rien demandé, juste de vous aimer, mais que vous, vous n'arrivez pas à aimer en retour. Pas complètement, tout du moins... pas comme ça. Je vis avec le remord d'avoir fait du mal autour du moi, tout autant qu'avec le regret d'avoir été mise à terre... mais ça, finalement, c'est la vie, n'est-ce pas ? L'important, c'est de se relever et de rajuster ses chaussures, avant de repartir sur l'avenue. L'important, c'est d'être fort et de se répéter que ça ira, parce qu'avec le temps, tout peut aller mieux. C'est comme ça que récemment, après être partie de Corée pour vivre à nouveau sur Londres quelques mois, j'ai pu renouer avec quelqu'un en particulier. Elijah. Cousins, nous appelait-on sur les papiers. Meilleurs amis, c'était pourtant le coeur de notre relation. Après un temps d'acceptation et de remises en question, j'ai finalement réussi à retrouver le vrai goût de l'amour auprès de lui... sans le dire autour de moi. Comment faire accepter aux gens quelque chose de socialement inacceptable ? Tout simplement, en apprenant que notre lien de parenté était en fait, excusez-moi du terme, du bullshit profond. Longue histoire, mais pour faire court, dites vous juste que tout va bien dans le meilleur des mondes, en ce moment. Si je reviens à Séoul aujourd'hui, c'est parce qu'on a proposé un bon contrat de travail à Eli et aussi parce que je l'ai grannnndement encouragé à l'accepter. Avoir l'occasion de retrouver mes amis et mes marques, je n'allais pas cracher dessus, après tout, si ? Héh.
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Re: Cha Myung Shin__Mademoiselle. | Dim 5 Nov - 22:56 Citer EditerSupprimer
PREUMS ah mais en plus t'es student ? pourquoi je te parle en fait ?
PTAIN JAI LE SEUM
j'allais te crier que je t'aime et tout et la je vois QUOI JE VOIS STUDENT tu me fous le mords
rebienvenue
et dire que j'avais rangé ma chambre exprès car je pensais qu'on allait pu faire coloc ensemble ! DAns une chambre de 2 chez les pyo !
mais tu préfères être student ok . je le vis bien tant pis.
PTAIN JAI LE SEUM
j'allais te crier que je t'aime et tout et la je vois QUOI JE VOIS STUDENT tu me fous le mords
rebienvenue
et dire que j'avais rangé ma chambre exprès car je pensais qu'on allait pu faire coloc ensemble ! DAns une chambre de 2 chez les pyo !
mais tu préfères être student ok . je le vis bien tant pis.
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Re: Cha Myung Shin__Mademoiselle. | Dim 5 Nov - 23:01 Citer EditerSupprimer
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH JE T'AIME.
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Re: Cha Myung Shin__Mademoiselle. | Dim 5 Nov - 23:03 Citer EditerSupprimer
jpp je pleure elle est student la meuf
t'es capricieuse tête brulée et student
t'es capricieuse tête brulée et student
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Re: Cha Myung Shin__Mademoiselle. | Dim 5 Nov - 23:08 Citer EditerSupprimer
OUAIS MAIS ELLE EST DE RETOUR ET ÇA C'EST LA VIE.
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Re: Cha Myung Shin__Mademoiselle. | Dim 5 Nov - 23:09 Citer EditerSupprimer
toi aussi tu as des boules de geisha ? :DDDD
mademoiselle
toi aussi tu as des boules de geisha ? :DDDD
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Re: Cha Myung Shin__Mademoiselle. | Dim 5 Nov - 23:11 Citer EditerSupprimer
OF COURSE C'EST LA VIE MAIS J'AVAIS NETTOYE MA CHAMBRE PUTAIN T_T J'AVAIS FAIT LE LIT ! J'AVAIS MEME ACHETE LES CROQUETTES POUR LOKI
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Re: Cha Myung Shin__Mademoiselle. | Dim 5 Nov - 23:13 Citer EditerSupprimer
LA FAMEUSE .
j'en ai entendu parlé de celle-là par meg quand on s'est vu en juillet .
re .
j'en ai entendu parlé de celle-là par meg quand on s'est vu en juillet .
re .
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Re: Cha Myung Shin__Mademoiselle. | Lun 6 Nov - 0:28 Citer EditerSupprimer
gaaaah elle est beaucoup trop belle T_T bon courage pour cette fiche
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