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Dawson Eli - Us
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Dawson Eli - Us | Mar 7 Nov - 22:20
nom : Dawson, comme Papa qui est un anglais pure souche. Dans le langage HP, on pourrait dire que Eli est un half/half. prénom : James Elijah Jun-Ho. âge : 25. date et lieu de naissance : Bristol, le 31 Octobre. origines : Anglais et Coréen. nationalité : Anglais. cursus universitaire : Il prend des cours en extra le week-end en psycho. métier : Avocat spécialisé dans les violences conjugales et domestiques. orientation sexuelle : Bi-Curious. classe sociale : Aisée. code du règlement : Ok par iMked. tu veux t'investir ? les citizens 
Dawson Eli
Elle est à ma vie, ce que mes rêves sont à ma nuit. Essentielle
SOURIANT (★★★✰✰) | JOUEUR (★★★✰✰) | ANGELIQUE (★★★✰✰) | FAUX (★★★✰✰) | OBSERVATEUR (★★★✰✰) |
MALAISANT (★★★★✰) | INTELLIGENT (★★★✰✰) | MENTEUR (★★★✰✰) | SOCIAL (★★★✰✰) | POSSESSIF (★★★✰✰) |
Rumour has it... On dit que tu viens d'une famille noble (V) • On dit que ton père est Pasteur (Faux, il est architecte mais construit des églises) • On dit que ta mère est liée à des anciens hommes politiques coréens (F) • On dit que tu as du sang royal (Vrai, sa grand-mère paternelle fait partie de la famille royale anglaise) • On dit que tu n'aimes pas les femmes (Faux, il les déguste avec volupté) • On dit que tu as fait de la chirurgie esthétique (Vrai et Faux, ce n'était pas de la chirurgie esthétique, mais réparatrice pour son nez après avoir reçu une balle violente lors d'un match de baseball) • On dit que tu aimes le sexe (V) • On dit que tu connais la bible par coeur (Vrai, il est passé par tous les stades religieux à cause de ses parents très croyants et il était enfant de choeurs) • On dit que tu as une tâche de naissance (Vrai, elle est en forme de plume sur le haut de sa fesse gauche, il aime dire qu'il a totalement été touché par une grâce angélique) • On dit que tu ne bois jamais d'alcool ou de café (Vrai, c'est mauvais pour la santé et l'esprit) • On te dit végétalien (Vrai aussi, il ne mange aucun produit en rapport aux animaux, ce qui est dur dans un pays pareil) • On dit que tu aimes les fleurs (Faux, il déteste qu'on lui en offre ou qu'on lui en demande) • Il paraît que tu détestes le chocolat (Vrai, ces parents n'ont jamais voulu qu'il en mange, alors il n'a jamais su apprécier le goût) • On dit de toi que tu sais danser la valse (Vrai, ainsi que toutes les danses de salon) • On dit que tu as une relation incestueuse (Faux, nous sommes de la même famille, pas du même sang. Sa mère ne l’a même pas portée dans son ventre.) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Tu viens d'une famille anglaise, tu es né à Bristol • Ton premier prénom est : James, Eli ne vient qu'en seconde, mais ici, tu n'utilises que celui-là • Tu n'es pas un enfant unique, non, tu avais un frère aîné, David • Il est mort lorsque tu avais 6 ans, une bête noyade, un bête accident • Personne ne sait qu'en réalité, c'est toi qui l'a poussé à l'eau parce qu'il t'embêtait encore et que tu n'en pouvais plus, tu t'es enfuis en voyant qu'il ne remontait pas à la surface, enlisé dans les algues du lac • Pendant 6 ans après cet épisode, tu n'as plus ouvert la bouche, tout le monde pensait que c'était dû au choc, mais tu ne sais pas vraiment ce qui est arrivé dans ta tête • Durant cette période, tu as appris à observer les gens, leurs comportements et tout ce qui en découlait • Tes parents t'ont fait apprendre le piano, la harpe et le violoncelle pour t'occuper, t'aider à t'exprimer, mais tu n'es pas un artiste, juste un bon petit apprenti qui savait reproduire ce qu'on lui enseignait • Durant ta scolarité, tu as appris à parler 3 autres langues en plus de l'anglais et du coréen : La français, l'espagnol et l'hébreu • Tu as appris la japonais seul par la suite • Tu n'es pas intelligent, ton QI est dans la norme, mais ta mémoire a une grande capacité de rétention, contrairement à d'autres, ce qui te facilite la tâche, mais tu ne l'utilises que pour ce qui te fait envie, les Maths passent à la trappe, comme l'histoire ou la géographie • Tu étudies à la YONSEI depuis tes 18 ans, parce que tu avais demandé à tes parents de partir à l'étranger et ils te l'ont accordé après un parcours académique sans fautes • Tu as le vertige depuis toujours et ne supporte que peu les voyages en avion, les manèges en hauteur ou même de monter sur un cheval, le sol ferme te va très bien • Tu es un accro aux tisanes et aux crèmes qui rendent ta peau douce et parfumées • Tu aimes prendre soin de toi et passe une bonne heure dans la salle de bain, exaspérant tout le monde • Tu es allergique aux chats et chiens, mais tu adore les lézards et serpents. Malgré tout, tu supportes ceux de ta copine. Hors de question de les abandonner • Tu es végétalien et prône le véganisme • Tu aimes ton boulot et te passionnes pour ça • Tu es maniaque, ordonné et minutieux mais tu l’assumes complètement. |
This is my story
citation de ton choix
Poupée de chiffon au corps faussement désarticulé, tu avances dans la nuit noir comme un félin, sans bruit, sans souci. Tu regardes autour de toi et un sourire de diablotin se pose alors sur ton visage pourtant si angélique. D'une main, tu remets tes cheveux en place alors que tes pas te portent jusqu'à un lieu bien connu. Tu pourrais y accéder les yeux fermés, tant tu le connais. Ta main tient fermement celle d'un homme plus âgé et un peu éméché qui est sans doute à moitié conscient de ce que tu vas faire avec lui. L'ascenseur vous amène à un couloir de velours bordeaux et au parquet flottant légèrement grinçant. Un rire t'échappe lorsque la bouche du bellâtre quitte la tienne et tu le tiens fermement pour l'emmener dans une chambre dont la clé réside dans ta poche. Tu la connais, elle a ton odeur, ton essence. Les vêtements volent, tu goûtes à sa peau, tu lui offres la tienne. Les sons, les murmures, les gémissements, accompagnent le lit qui se cogne contre le mur au fur et à mesure que vos corps dansent ensemble dans les draps de soie. Au petit matin, il se réveille, te caresse ton dos, dévore ta peau dorée de mille baisers ardents, voulant remettre ça. Dans un sourire d'enfant, tu montes sur lui, te frottant à son corps avant de déposer un doigt sur sa bouche, parlant d'argent tout en te mordant la lèvre. Le prix est élevé, mais il est déjà accro au petit polisson que tu es, et de toute façon, ça ne sera qu'un trou éphémère dans son compte en banque. Alors il reprend possession de toi, et toi, tu attrapes les billets dans un sourire innocent, le quittant, une fois le délice accompli, nu comme un ver sur le lit.
Tu rentres à la confrérie au petit matin. C'est un samedi, tout le monde dort encore, ce dont des paresseux chez les Gumis. Tu attrapes un saladier et commence à tout préparer pour faire des scônes en bon anglais que tu es. Souriant, tu te lèches souvent les lèvres, ou le pouce lorsqu'un ingrédient tombe dessus malencontreusement. Tu joues et t'amuses, tu prépares ça bien. Le four chauffe et tu y déposes la première fournée avant de te poser sur un plan de travail propre, la chemise légèrement ouverte. Tu attrapes une poire juteuse et croque dedans, riant un peu lorsqu'un lève-tôt arrive, les cheveux en pagaille et te pointe du doigt, voulant indiquer que tu as du jus sur le menton. Tu désignes alors la coupable dans un sourire malicieux avant de sortir les biscuits du four et d'en remettre. Bien sûr, tu dois lui taper la main pour qu'il n'y touche pas. C'est chaud, et puis crotte, c'est toi qui a bossé, c'est à toi de déguster les premiers.
Une fois ton estomac de contenté, tu avances dans ta chambre, retrouvant tes colocataires à qui tu as ramené des biscuits, sachant pertinemment que ceux du bas vont être fini trop vite. Tu déposes les bols de lait et la confiture avant de venir les secouer. Tu t'enfonces dans ta couchette spacieuse et t'étires avant de te coucher, posant un bandeau sur tes yeux, les priant de pas faire trop de bruit parce que tu rentres seulement toi. Comme toujours, ils n'écoutent pas vraiment, mais tu as pensé aux boules quies dans tes oreilles et ta nuit peut enfin commencer.
Tu te lèves vers midi et la douche t'appelle. Tu t'empresses alors de rejoindre ses bras, ses gouttes chaudes et réconfortantes qui coulent sur ta peau. Tu souris et profites du moment pour te détendre avant de retourner dans la chambre vêtu d'une simple serviette bleu, les cheveux humides, la brosse à dents dans ta bouche. Tu te poses à ton bureau et consulte ton téléphone, lisant le sms de Lei consciencieusement qui te parle d'un gros contrat ce soir. Tu lui réponds, pose ton précieux, continue ton hygiène buccale avant de soupirer lourdement. Un mail de tire de ta rêverie, et tu lis les mots de ta mère dans un petit sourire. Elle serait sans doute déçue de savoir ce que tu fais, mais tu t'en fiches. Tu ne dépends plus d'eux, et tu es heureux comme ça. Tu regardes les petites traces de morsures que l'homme a laissé sur ta peau cette nuit et tu esquisse un rictus avant d'aller t'habiller sagement. Une fois propre et présentable, tu rejoins les autres et mange avec eux, remontant ensuite à ta chambre pour te poser sur ton matelas et réviser tes cours de droit jusqu'au soir, la musique dans les oreilles.
La nuit arrive, ton amante de toujours et tu sors de ton antre pour te déshabiller afin de passer des vêtements qui iront pour le rendez-vous de ce soir. Une fois n'est pas coutume, lorsque vous arrivez, c'est une femme un peu âgée qui se tient devant toi. Une petite quarantaine, une belle présentation, des cheveux en chignon, aucune bague de mariage. Elle doit se sentir seule. Tu lui souris, tu joues, tu minaudes, tu te tais lorsque ça parle business, tu connais ta place, tu sais quoi faire. Et lorsque tu sens la main de la Femelle s'aventurer sur ta cuisse, tu fais alors un signe à Lei qui se retire un peu plus tard, vous laissant seuls, lorsque l'accord est conclu. Comme une récompense, tu te laisses alors conduire où elle le désire et lui fait oublier pour une nuit, qu'elle n'est qu'une pompe à fric.
Mais il y a un an, toute ta vie a changé. Il y a un an, tu as compris tes sentiments pour une personne interdite. Ce mot te rebutait. Inceste. Une cousine. Vos mères sont sœurs… Quelle folie ! Quelle hérésie ! Ignoble amour ! D’ailleurs, comment et pourquoi parler d’amour ?? Vous n’êtes que des monstres. Oh pourtant, tu l’aimais ton doux papillon. Tu l’aimais plus que de raison. T’as quitté ton boulot racoleur pour elle, tu ‘es assagit, Et puis… Et puis tu t’es insurgé à la faculté. Tu t’es mis à pester, montrer l’administration du doigt, les gens, les actes barbares. Tu t’es mis à t’exprimer, mais dans un pays pareil, ce n’est pas bien vu. Puis un soir, en sortant de ton stage, tu n’as pas vu cette voiture, elle n’avait pas de phares allumés, il faisait tard. Ils ont dit que plus jamais, tu n’allais te tenir debout. Tes parents étaient là, ils ont pris la décision de te ramener là-bas, en Angleterre, tu ne voulais pas, mais il a ajouté : « Si tu ne viens pas, je la ferai enfermer, avec votre petit secret dégueulasse, ça ne sera pas bien compliqué. » Alors tu es parti, non pas pour toi, mais pour la sauver elle. La menace était réelle.
Et puis en Mars, elle a débarqué d’un coup. Comme un oiseau qui arrive à ta fenêtre. Tu lui en as voulu d’être là. Vivre sans elle, c’était l’enfer. Tu l’aimes, cousine ou pas. Alors l’avoir là après des mois sans elle, c’était violent. Mais l’amour vous a emporté encore. Pas moyen de se quitter. Non plus jamais. Tu voulais lutter, mais comment ?
Et puis plusieurs mois après, vers juin, sa mère vous a avoué. Tu n’es pas un enfant légitime. Un Dawson oui, mais pas un Yang et tout s’éclaire. Mais tu as compris la manipulation que tu as subi. Tu l’as trop bien comprise et tu en veux à ta famille, alors tu as attaqué avec ton talent et des armes légales. Tu as attaqué pour ne plus jamais craindre et pour enfin, l’aimer comme elle devait être aimée.
Et là, en Octobre, ton ancien patron t’a proposé un poste. Non, tu ne seras pas assistant. Tu es diplômé et tu ne seras pas un bleu non plus. Tu seras avocat. Tu auras le poste que tu voulais, celui pour les victimes de violences conjugales et domestiques. Hommes, femmes, enfants et même animaux. Vous serez deux dans le cabinet pour ça. Ton ancien mentor et toi. Elle t’a poussé à dire oui. Tu sais que sa Nora lui manquait trop et ses amis. Alors tu as dit oui, mais tu sais que tu n’es pas un homme fait pour Séoul, alors tu t’es mis en ambition d’adapter Séoul à toi. De devenir un Roi.
Tu rentres à la confrérie au petit matin. C'est un samedi, tout le monde dort encore, ce dont des paresseux chez les Gumis. Tu attrapes un saladier et commence à tout préparer pour faire des scônes en bon anglais que tu es. Souriant, tu te lèches souvent les lèvres, ou le pouce lorsqu'un ingrédient tombe dessus malencontreusement. Tu joues et t'amuses, tu prépares ça bien. Le four chauffe et tu y déposes la première fournée avant de te poser sur un plan de travail propre, la chemise légèrement ouverte. Tu attrapes une poire juteuse et croque dedans, riant un peu lorsqu'un lève-tôt arrive, les cheveux en pagaille et te pointe du doigt, voulant indiquer que tu as du jus sur le menton. Tu désignes alors la coupable dans un sourire malicieux avant de sortir les biscuits du four et d'en remettre. Bien sûr, tu dois lui taper la main pour qu'il n'y touche pas. C'est chaud, et puis crotte, c'est toi qui a bossé, c'est à toi de déguster les premiers.
Une fois ton estomac de contenté, tu avances dans ta chambre, retrouvant tes colocataires à qui tu as ramené des biscuits, sachant pertinemment que ceux du bas vont être fini trop vite. Tu déposes les bols de lait et la confiture avant de venir les secouer. Tu t'enfonces dans ta couchette spacieuse et t'étires avant de te coucher, posant un bandeau sur tes yeux, les priant de pas faire trop de bruit parce que tu rentres seulement toi. Comme toujours, ils n'écoutent pas vraiment, mais tu as pensé aux boules quies dans tes oreilles et ta nuit peut enfin commencer.
Tu te lèves vers midi et la douche t'appelle. Tu t'empresses alors de rejoindre ses bras, ses gouttes chaudes et réconfortantes qui coulent sur ta peau. Tu souris et profites du moment pour te détendre avant de retourner dans la chambre vêtu d'une simple serviette bleu, les cheveux humides, la brosse à dents dans ta bouche. Tu te poses à ton bureau et consulte ton téléphone, lisant le sms de Lei consciencieusement qui te parle d'un gros contrat ce soir. Tu lui réponds, pose ton précieux, continue ton hygiène buccale avant de soupirer lourdement. Un mail de tire de ta rêverie, et tu lis les mots de ta mère dans un petit sourire. Elle serait sans doute déçue de savoir ce que tu fais, mais tu t'en fiches. Tu ne dépends plus d'eux, et tu es heureux comme ça. Tu regardes les petites traces de morsures que l'homme a laissé sur ta peau cette nuit et tu esquisse un rictus avant d'aller t'habiller sagement. Une fois propre et présentable, tu rejoins les autres et mange avec eux, remontant ensuite à ta chambre pour te poser sur ton matelas et réviser tes cours de droit jusqu'au soir, la musique dans les oreilles.
La nuit arrive, ton amante de toujours et tu sors de ton antre pour te déshabiller afin de passer des vêtements qui iront pour le rendez-vous de ce soir. Une fois n'est pas coutume, lorsque vous arrivez, c'est une femme un peu âgée qui se tient devant toi. Une petite quarantaine, une belle présentation, des cheveux en chignon, aucune bague de mariage. Elle doit se sentir seule. Tu lui souris, tu joues, tu minaudes, tu te tais lorsque ça parle business, tu connais ta place, tu sais quoi faire. Et lorsque tu sens la main de la Femelle s'aventurer sur ta cuisse, tu fais alors un signe à Lei qui se retire un peu plus tard, vous laissant seuls, lorsque l'accord est conclu. Comme une récompense, tu te laisses alors conduire où elle le désire et lui fait oublier pour une nuit, qu'elle n'est qu'une pompe à fric.
Mais il y a un an, toute ta vie a changé. Il y a un an, tu as compris tes sentiments pour une personne interdite. Ce mot te rebutait. Inceste. Une cousine. Vos mères sont sœurs… Quelle folie ! Quelle hérésie ! Ignoble amour ! D’ailleurs, comment et pourquoi parler d’amour ?? Vous n’êtes que des monstres. Oh pourtant, tu l’aimais ton doux papillon. Tu l’aimais plus que de raison. T’as quitté ton boulot racoleur pour elle, tu ‘es assagit, Et puis… Et puis tu t’es insurgé à la faculté. Tu t’es mis à pester, montrer l’administration du doigt, les gens, les actes barbares. Tu t’es mis à t’exprimer, mais dans un pays pareil, ce n’est pas bien vu. Puis un soir, en sortant de ton stage, tu n’as pas vu cette voiture, elle n’avait pas de phares allumés, il faisait tard. Ils ont dit que plus jamais, tu n’allais te tenir debout. Tes parents étaient là, ils ont pris la décision de te ramener là-bas, en Angleterre, tu ne voulais pas, mais il a ajouté : « Si tu ne viens pas, je la ferai enfermer, avec votre petit secret dégueulasse, ça ne sera pas bien compliqué. » Alors tu es parti, non pas pour toi, mais pour la sauver elle. La menace était réelle.
Et puis en Mars, elle a débarqué d’un coup. Comme un oiseau qui arrive à ta fenêtre. Tu lui en as voulu d’être là. Vivre sans elle, c’était l’enfer. Tu l’aimes, cousine ou pas. Alors l’avoir là après des mois sans elle, c’était violent. Mais l’amour vous a emporté encore. Pas moyen de se quitter. Non plus jamais. Tu voulais lutter, mais comment ?
Et puis plusieurs mois après, vers juin, sa mère vous a avoué. Tu n’es pas un enfant légitime. Un Dawson oui, mais pas un Yang et tout s’éclaire. Mais tu as compris la manipulation que tu as subi. Tu l’as trop bien comprise et tu en veux à ta famille, alors tu as attaqué avec ton talent et des armes légales. Tu as attaqué pour ne plus jamais craindre et pour enfin, l’aimer comme elle devait être aimée.
Et là, en Octobre, ton ancien patron t’a proposé un poste. Non, tu ne seras pas assistant. Tu es diplômé et tu ne seras pas un bleu non plus. Tu seras avocat. Tu auras le poste que tu voulais, celui pour les victimes de violences conjugales et domestiques. Hommes, femmes, enfants et même animaux. Vous serez deux dans le cabinet pour ça. Ton ancien mentor et toi. Elle t’a poussé à dire oui. Tu sais que sa Nora lui manquait trop et ses amis. Alors tu as dit oui, mais tu sais que tu n’es pas un homme fait pour Séoul, alors tu t’es mis en ambition d’adapter Séoul à toi. De devenir un Roi.
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Ton Pseudo
Cette fois c'est au drôle de loustic caché derrière l'avatar qu'on s'intéresse. Fais tomber le mystère, déballe ton bail. Quoi, t'as du mal ? Allez, quelques idées d'infos pour te débloquer : t'as quel âge ? Tu viens d'où ? Comment t'as connu STW ? Et t'en dis quoi ? Btw tu t'es lavé sous les bras ?
Célébrité prise
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u1363][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>SEO YEONG HO (JOHNNY, NCT)</upper></taken> ✎ <lower>dawson elijah</lower>
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[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://URLDELAFICHEPV]▼[/url] <taken><upper>NOM PRENOM ( PSEUDO, GROUPE)</upper></taken> ✎ <lower>pseudo membre</lower>
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Re: Dawson Eli - Us | Mar 7 Nov - 22:43 
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Re: Dawson Eli - Us | Mar 7 Nov - 22:49
Wonderland is straight right
Ta fiche est validée !
Tu l'as fait ! Tu as réussi ! Bravo
Coucou ! Si tu lis ce message de love c'est que ta fiche m'a fait tourner dans le vide :04:
Bienvenue surTa première mission, si tu l'acceptes, c'est de POSTER TON ACTIVITÉ RP pour qu'on puisse bien s'assurer que tu bootyshakes avec nous suffisamment régulièrement pour pas qu'on se sente trop paro sans toi... Ensuite t'auras le droit d'aller te chercher quelques potos ICI mais n'attends pas que les gens viennent te proposer de faire boum boum boum. Si tu viens à eux c'est encore mieux ! Et parce qu'on a tous besoin d'argent viens ouvrir TON COMPTE EN BANQUE minot ! T'as 200 STWF d'offert à l'ouverture ! Vaut mieux que tu passes PAR LÀ aussi, c'est pour ton bien ! Et tu peux aussi nous montrer ta vie sur ton GNS avec les photos que t'as prises sur ton TÉLÉPHONE trop stylé. Et si t'es trop timide pour demander le numéro du canon qui était juste en face de toi en cours, tu peux le faire anonymement sur TWITTER ! Maintenant que t'es en règle, tu peux aller FLOODER comme le fifou que tu es.SHAKE THE WORLD et plus précisément chez lescitizens !
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