oh jang mi ♡ peek-a-boo i see you
PETILLANTE (★★★★✰) | ARROGANTE (★★★✰✰) | GENEREUSE (★★★★✰) | SECRETE (★★★★★) | SOURIANTE (★★★★★) |
ENVIEUSE (★★★★✰) | RESPECTUEUSE (★★★★✰) | COMPLEXEE (★★★★✰) | PERFECTIONNISTE (★★★★✰) | REVEUSE (★★★★★) |
Rumour has it... On raconte qu’elle aurait été à l’origine du harcèlement scolaire de plusieurs de ses camarades au collège. Survole l'avatar, petit coquin. | My character SHE WAS LIKE THE MOON - A PART OF HER WAS ALWAYS HIDDEN AWAY douce ♡ pétillante ♡ arrogante ♡ exigeante ♡ travailleuse ♡ joueuse ♡ manipulatrice ♡ maligne ♡ perspicace ♡ dépensière ♡ superficielle ♡ bornée ♡ idéaliste ♡ absolument non-diplomate ♡ généreuse ♡ active ♡ menteuse ♡ secrète ♡ volontaire ♡ envieuse ♡ adorable ♡ souriante ♡ respectueuse ♡ pleine de bonnes intentions ♡ bombe à retardement ♡ sportive ♡ complexée ♡ craintive ♡ perfectionniste ♡ rêveuse ♡ empathique ♡ etc BROKEN CRAYONS STILL COLOR elle a grandi à incheon ♡ son écriture appliquée fait penser à des cahiers de calligraphie ♡ elle est claustrophobe ♡ elle n'a pas la main verte et crèverait même un cactus ♡ elle adore l'hiver et la neige ♡ elle met toujours l'accent sur son teint de poupée et sur ses lèvres ♡ elle est allergique aux poils de chat ♡ elle dort avec une veilleuse ♡ elle dessine sur le givre des voitures et la buée des vitrines ♡ elle adore l'eau, une vraie sirène ♡ elle commande toujours un caramel macchiato ♡ elle stream des dessins animés dans le bus ♡ elle ne livre jamais beaucoup d'informations sur son passé ♡ derrière ses grands airs, elle est toujours là pour aider les autres ♡ elle poste souvent sur les réseaux sociaux ♡ elle préfère cuisiner que manger ♡ elle a une jolie voix qu'elle ne laisse entendre que sous la douche ou lorsqu'elle chante distraitement ♡ ivre, elle a tenté d'acheter le bar avec des aegyos ♡ elle a une chance insolente aux jeux de hasard ♡ etc. |
04.02.1997 Placement en foyer d'accueil
08.01.1998 Jugement définitif de retrait des droits parentaux
13.08.1998 Adoption de Ra Yoo Ah
15.08.1998 Ordonnance du juge d'état civil, devient Oh Jang Mi
16.05.2001 Fermeture définitive du foyer d'accueil
Tu ne menais pas la grande vie et pourtant, ce que t’avais ne te dérangeait pas. T’étais heureuse rien qu’à t’amuser dans le petit parc derrière la maison. Tu trouvais ça marrant de noyer les plans de tomates du jardin avec l’arrosoir de tes parents. Et tu jouais sans relâche avec les choses les plus simples de la vie parce que ton imagination a toujours été ton meilleur allié.
Alors tu ne comprenais pas ce qu’il se passait au collège. Pourquoi les gens ne voyaient pas ces qualités que tout le monde te trouvait. T’étais douce et gentille, marrante, pleine de vie et de bonnes intentions. Tu te fichais pas mal que ton père ne soit « que » chauffeur de taxi et que ta mère s’occupe d’autres enfants pour t’acheter de jolis vêtements. C’est grâce à eux que t’avais une vie aussi facile et insouciante. Ton père avait même l’occasion de transporter de grandes personnalités à l’arrière de son taxi et toi, ça te rendait fière, tu te présentais sans filtre à ces gens qui ne faisaient pourtant pas partie du même monde que toi, tu leur racontais les blagues que t’avais entendu à l’école et pendant ce temps-là, ton père s’excusait parce qu’il t’a toujours dit que tu parlais trop… Tu ne te rendais pas compte qu’entre eux et vous, qu’entre ces gens et ta famille à toi il y avait un gouffre incommensurable.
T’es arrivée dans ce collège un peu comme un cheveu dans la soupe. Ils étaient tous issus de grandes familles et toi, tu n’étais rien d’autre que la gamine à qui on avait accordé une bourse parce que son père avait quelques contacts et que ces hommes-là avaient accepté que tu puisses bénéficier d’une « éducation supérieure. »
En fait, t’étais un peu la mauvaise graine de l’école et personne ne se cachait pour te le faire sentir. On te prenait souvent à partie. On te rappelait que tu n'avais rien à faire ici. On t'insultait. On renversait ton sac. On te poussait et on crachait à tes pieds. Les professeurs trouvaient que t'étais une très bonne élève mais une moins que rien comme toi, à défendre, ne leur aurait jamais mieux rapporté que des ennuis.
T'avais passé les pires années de ta vie, t'étais incapable d'imaginer que le pire restait à venir. Ce jour-là, t'as bien cru que t'allais y rester dans ce local aussi grand qu'un placard à balai. C'est là qu'ils t'ont enfermé après le cours de sport et personne ne s'est rendu compte de ton absence. L'homme de la maintenance est passé et il t'a trouvée là, recroquevillée et tes larmes avaient tellement coulé qu'elles avaient creuser des sillons sur tes joues rougies. T'as refusé de retourner à l'école. Tes parents t'ont transféré de lycée.
Et tu t'es promis que plus jamais on ne te traiterait comme une moins que rien, une pauvre à qui on donnerait la pièce, une gamine adoptée, indésirée et qu'on a abandonné.
T'as fait croire aux gens que ta famille était riche. Bons investissements, placements astucieux et postes à hauts salaires. Ton mensonge s'est étayé au fil des années, tellement que parfois même, tu te prends à y croire... et tu t'es pris les pieds dans ce cercle vicieux. Mentant à tes proches. A tes amis. Et reniant les valeurs que ta famille t'as donné sans jamais pouvoir en sortir.
Jusqu'ici, t'avais toujours refusé de parler de ton adoption. T'étais une gamine, tu voulais t'intégrer et être comme les autres... les autres ils avaient deux parents et toi, t'y comprenais rien au concept abstrait de l'adoption.
Et puis t'as grandi. T'as commencé à te poser des questions mais tu refusais de blesser tes parents adoptifs. T'avais peur d'apprendre des choses qui ne collaient pas avec la vision idéale que tu te faisais de tes origines. T'avais surtout peur d'approcher ces gens qui t'avaient rejeté, t'avaient abandonné et t'avaient peut-être même oubliée.
Puis tu t'es retrouvée seule avec toi-même à l'université et t'as décidé de faire le premier pas. T'as réclamé à tes parents les informations qu'ils avaient... ce n'était pas grand chose, on ne leur avait rien dit. Quand tu t'es rendue au foyer où ils t'ont récupérée, t'as appris qu'il avait fermé il y a quatorze ans, soit trois ans après que t'aies été adoptée, et que tu ne retrouverais probablement jamais les informations que tu cherchais.
T'as continué, en vain. Des carnets de notes, de numéros sans réponse, ton prénom écrit à l'encre de toute les couleurs comme une incantation. Ra Yoo Ah. T'en es venu à la conclusion que si t'avait abandonnée, il devait y avoir une raison. Que si personne ne s'était manifesté, alors personne ne se manifesterait jamais.
Tu ne cherchais plus mais inconsciemment tu te livrais à certaines réflexions que tu regrettais aussitôt : "qu'est-ce qu'ils font... à quoi ils ressemblent... est-ce que je leur ressemble ?" Peut-être bien que t'avais des frères et soeurs. Mais peut-être bien que tes parents ne sont plus de ce monde.
Et derrière tes grands airs, t'es juste une gamine qui cherche à ce qu'on l'aime en prétendant à ce qu'elle n'est pas. T'es rien d'autre qu'une gamine qui cherche à savoir d'où elle vient mais qui ne sait pas où elle va.
- Code:
[url=http://URL DU PROFIL][b]▲[/b][/url]▼ <taken><upper>PARK SOO YOUNG (JOY,
RED VELVET)</upper></taken> ✎ <lower>oh jang mi</lower>
(attention vous ne verrez jamais Ji Hwan utiliser autant de coeurs dans son post : )
Edit : Ma femmeeeeeee :moule²: :moule²: :moule²: :moule²: :moule²:
FAIBLE (mais on est qui pour te juger? )
rebienvenue beautééééé
Je me pose la question aussi.Krykry a écrit:je sais pas comment tu vas faire pour supporter jihwan
je suis tellement contente que tu sois là, i'm gonna shower you with love, darling.
et pour toi, RIEN QUE POUR TOI : le super dribble du love.
sinon anti t'es vraiment faible mais c'est vraiment trop bien quand t'es faible de cette façon là. du love sur toi xoxo
- ce qu'on est cute:
tu es très jolie
JE REVIENS (OU PAS) :nabilla: :nabilla: