Kiss & Kill [Damon & Jordan]
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Kiss & Kill [Damon & Jordan] | Lun 13 Nov - 15:44 Citer EditerSupprimer
En venant vivre ici, je pensais être définitivement débarrassé de lui et de son air de gamin pourri gâtée. Il vivait dans la villa d’à côté et nos parents nous imaginaient déjà marié. Ils n’avaient jamais compris qu’on ne se supportait pas. Il se prenait pour ce qu’il n’était pas et il pensait qu’il était meilleur que moi. On avait toujours été en compétition, que ce soit à l’école, en sport, et même à la maison. J’avais échappé à ce mariage et voilà qu’il avait débarqué dans la même université, dans la même fraternité. Je devais avouer que même si je ne pouvais pas le voir, sa présence m’avait ramené un peu des Etats Unis. On passait notre temps à s’engueuler. Rien n’avait changé. Il était resté le même gamin capricieux qui se croyait tout permis parce qu’il avait de l’argent. Malheureusement pour lui, j’en avais aussi et nous étions au même niveau. Je n’avais jamais eu peur de lui tenir tête parce que je savais qu’il avait un bon fond, il était simplement enfouit très profondément.
Il était sous cette douche depuis longtemps, beaucoup trop longtemps et il le faisait exprès, pour que je me retrouve sans eau chaude. Je le connaissais par cœur cet idiot. Ce ne serait pas la première mauvaise blague qu’il me ferait, ni la dernière. On s’était enfermé dans un cercle vicieux. Je tambourinais à la porte de la salle de bain. « DAMON ! je pense que t’es assez propre ! Sors de la !» Il ne répondait pas bien évidemment. J’avais pris sur moi jusque-là mais il était en train de me pousser à bout. J’appuyais sur la poignée pour essayer d’ouvrir la porte. Il ne la verrouillait jamais. La pièce était remplie de buée et mes envies de meurtres devenaient un peu plus intenses. Je tirais le rideau sans aucune hésitation. Je me fichais de le voir complètement nu, ça n’avait jamais été le genre d’homme qui m’attirait. Trop superficiel. « Sors de la ! ». Je rentrais dans la douche en gardant ma robe, mes cheveux déjà trempés. Je posais mes mains sur son torse en essayant de le faire sortir. « Arrête de jouer les gamins, tu saoules !»
Kiss and Kill
En venant vivre ici, je pensais être définitivement débarrassé de lui et de son air de gamin pourri gâtée. Il vivait dans la villa d’à côté et nos parents nous imaginaient déjà marié. Ils n’avaient jamais compris qu’on ne se supportait pas. Il se prenait pour ce qu’il n’était pas et il pensait qu’il était meilleur que moi. On avait toujours été en compétition, que ce soit à l’école, en sport, et même à la maison. J’avais échappé à ce mariage et voilà qu’il avait débarqué dans la même université, dans la même fraternité. Je devais avouer que même si je ne pouvais pas le voir, sa présence m’avait ramené un peu des Etats Unis. On passait notre temps à s’engueuler. Rien n’avait changé. Il était resté le même gamin capricieux qui se croyait tout permis parce qu’il avait de l’argent. Malheureusement pour lui, j’en avais aussi et nous étions au même niveau. Je n’avais jamais eu peur de lui tenir tête parce que je savais qu’il avait un bon fond, il était simplement enfouit très profondément.
Il était sous cette douche depuis longtemps, beaucoup trop longtemps et il le faisait exprès, pour que je me retrouve sans eau chaude. Je le connaissais par cœur cet idiot. Ce ne serait pas la première mauvaise blague qu’il me ferait, ni la dernière. On s’était enfermé dans un cercle vicieux. Je tambourinais à la porte de la salle de bain. « DAMON ! je pense que t’es assez propre ! Sors de la !» Il ne répondait pas bien évidemment. J’avais pris sur moi jusque-là mais il était en train de me pousser à bout. J’appuyais sur la poignée pour essayer d’ouvrir la porte. Il ne la verrouillait jamais. La pièce était remplie de buée et mes envies de meurtres devenaient un peu plus intenses. Je tirais le rideau sans aucune hésitation. Je me fichais de le voir complètement nu, ça n’avait jamais été le genre d’homme qui m’attirait. Trop superficiel. « Sors de la ! ». Je rentrais dans la douche en gardant ma robe, mes cheveux déjà trempés. Je posais mes mains sur son torse en essayant de le faire sortir. « Arrête de jouer les gamins, tu saoules !»