Lost boys Ft Galadriel
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Lost boys Ft Galadriel | Jeu 23 Nov 2017 - 21:26 Citer EditerSupprimer
Lost boys
Ji Hyun & Galadriel
CPROJECT FOR STW.
Lost boys
Ji Hyun & Galadriel
Ootd Habituelle ? Non, évidemment que ça ne l’était pas, cette main qui vient se perdre avec violence sur ton visage, est ce que tu l'avais mérite ? Sûrement pas, ou du moins pas d'après toi. Tu y avais répondu, toi t'es pas de ses gens qui baissent les yeux, tu ne te laisses pas faire, tu fonces dans le tas comme un abrutis et tu admires les dégâts ensuite.
Mais là, ça avait été trop loin,les coups fusaient d'un côté comme de l'autre, vos deux corps se mêlant dans un bataille presque animal, bousculant les meubles, déchirant vos vêtements à force de trop tirer dessus pour ne pas laisser l'autre s’enfuir. Lui, il était dans un état second, toi, tu t’étais juste trop rebellé.
Tu sais qu'il ne va pas te lâcher, il t'a déjà menacé de te tuer, mais il était hors de questions que tu le laisses faire. Ou même que tu restes, tu le pousses, un coup de plus, il tombe, et d'un mouvement presque trop précipité, tu t'en vas, tu ne fuis pas vraiment, tu te rends juste compte qu'aucun de vous ne laisserais tomber tant que l'autre ne serait pas à terre, et autant rester lucide, tu avais beaucoup plus de chance de ne pas te relever que lui.
Courant dans la rue, tu n'avais même pas pris la peine de prendre une veste, il était tard et tu entendais ton nom qu'il criait quelques mètres derrière toi.
Tu continues de courir, tu le sèmes, il est trop défoncé que pour réussir à te poursuivre.
Tu te caches dans une ruelle, derrière une sorte de grosse poubelle. Tu sais qu'il ne te suis pas, mais avec lui, tu sais que tu dois te méfier, faire attention.
Tu ne sais pas quoi faire, tu as froid, ton visage te fait mal, ta lèvre saigne.
Dans une sorte de petit moment de panique, tu sors ton portable de ta poche, fouillant ton répertoire tellement limité. Oui ... Lui c’était ton ami !
La voix légèrement tremblante essoufflée même, tu l'appelles.
Patientant évidemment un certain moment avant qu'il ne parvienne à décrocher, tu savais que tout comme toi, il avait du mal à se servir correctement de son smartphone.
« Galadriel ? T'es où ? Je peux te rejoindre ? Je ne veux pas te déranger, mais j'ai un problème, je crois, je t'explique plus tard, tu veux bien ? »
Pourquoi est ce qu'à lui, tu lui faisais confiance ? Peut-être parce qu'il t'avait déjà aidé ? Et que jamais il n'avait semblé te juger ou même te vouloir tu mal ? Tu n’étais pas forcement à l'aise, car tu n'as pas énormément d'amis, mais tu avais l'intime sensation de pouvoir compter sur lui, et c’était agréable.
Évidemment, sa réponse fut affirmative, quelle chance.
Tu savais ou tu rendre, tu foulais souvent cette ville formée autour de cette université, il y a pas mal d’étudiant qui profite de ton commerce de manière régulière.
Et tu étais au courant de ces histoires de fraternité même si tu n'y prêtais pas attention. En apprenant à le connaître tu avais appris qu'il résidait le plus souvent dans l'un de leur grand dortoir.
Et c'est donc là-bas que tu te dirigeais désormais. Le froid fouettant ta peau découverte.
Une fois arrivé dans sa chambre, tu regardes l'endroit, tu n’étais jamais rentré ici. Tu ne te sentais pas tellement à l'aise. Tu te sentais comme de trop, mais tu te sentais toujours de trop.
Tu passes ta main sur ta bouche pour essuyer les traces de lute.
« Je ... Je ne voulais pas te déranger »
Tu ne bouges pas, tu ne t'assois pas, tu ne touches même à rien.
« Je vais bien, tu sais ? »
T'es toujours très loin d'aller vraiment bien, mais tu répètes toujours ça de manière automatique.
« Je peux utiliser la salle de bain ? »
Tu n’étais pas du genre à demander d'habitude, mais tu avais besoin de te laver ne serait-ce que les mains et le visage.
Même si tu le considérais comme un ami, tu avais toujours cette impression de ne pas être assez bien, assez intéressant, tu te sentais toujours moins que rien. Il ne te jugeait pourtant pas, du moins c'est l'impression qu'il te donnait. Il était juste très gentil avec toi, une gentillesse dont tu te méfiais au début, puis qui avait commencé à te sembler sincère. Il y avait quelque chose qui émanait de lui que te semblait rassurant. Peut-être le fait que dans un sens, il avait parfois l'air aussi perdu que toi ?
Mais là, ça avait été trop loin,les coups fusaient d'un côté comme de l'autre, vos deux corps se mêlant dans un bataille presque animal, bousculant les meubles, déchirant vos vêtements à force de trop tirer dessus pour ne pas laisser l'autre s’enfuir. Lui, il était dans un état second, toi, tu t’étais juste trop rebellé.
Tu sais qu'il ne va pas te lâcher, il t'a déjà menacé de te tuer, mais il était hors de questions que tu le laisses faire. Ou même que tu restes, tu le pousses, un coup de plus, il tombe, et d'un mouvement presque trop précipité, tu t'en vas, tu ne fuis pas vraiment, tu te rends juste compte qu'aucun de vous ne laisserais tomber tant que l'autre ne serait pas à terre, et autant rester lucide, tu avais beaucoup plus de chance de ne pas te relever que lui.
Courant dans la rue, tu n'avais même pas pris la peine de prendre une veste, il était tard et tu entendais ton nom qu'il criait quelques mètres derrière toi.
Tu continues de courir, tu le sèmes, il est trop défoncé que pour réussir à te poursuivre.
Tu te caches dans une ruelle, derrière une sorte de grosse poubelle. Tu sais qu'il ne te suis pas, mais avec lui, tu sais que tu dois te méfier, faire attention.
Tu ne sais pas quoi faire, tu as froid, ton visage te fait mal, ta lèvre saigne.
Dans une sorte de petit moment de panique, tu sors ton portable de ta poche, fouillant ton répertoire tellement limité. Oui ... Lui c’était ton ami !
La voix légèrement tremblante essoufflée même, tu l'appelles.
Patientant évidemment un certain moment avant qu'il ne parvienne à décrocher, tu savais que tout comme toi, il avait du mal à se servir correctement de son smartphone.
« Galadriel ? T'es où ? Je peux te rejoindre ? Je ne veux pas te déranger, mais j'ai un problème, je crois, je t'explique plus tard, tu veux bien ? »
Pourquoi est ce qu'à lui, tu lui faisais confiance ? Peut-être parce qu'il t'avait déjà aidé ? Et que jamais il n'avait semblé te juger ou même te vouloir tu mal ? Tu n’étais pas forcement à l'aise, car tu n'as pas énormément d'amis, mais tu avais l'intime sensation de pouvoir compter sur lui, et c’était agréable.
Évidemment, sa réponse fut affirmative, quelle chance.
Tu savais ou tu rendre, tu foulais souvent cette ville formée autour de cette université, il y a pas mal d’étudiant qui profite de ton commerce de manière régulière.
Et tu étais au courant de ces histoires de fraternité même si tu n'y prêtais pas attention. En apprenant à le connaître tu avais appris qu'il résidait le plus souvent dans l'un de leur grand dortoir.
Et c'est donc là-bas que tu te dirigeais désormais. Le froid fouettant ta peau découverte.
Une fois arrivé dans sa chambre, tu regardes l'endroit, tu n’étais jamais rentré ici. Tu ne te sentais pas tellement à l'aise. Tu te sentais comme de trop, mais tu te sentais toujours de trop.
Tu passes ta main sur ta bouche pour essuyer les traces de lute.
« Je ... Je ne voulais pas te déranger »
Tu ne bouges pas, tu ne t'assois pas, tu ne touches même à rien.
« Je vais bien, tu sais ? »
T'es toujours très loin d'aller vraiment bien, mais tu répètes toujours ça de manière automatique.
« Je peux utiliser la salle de bain ? »
Tu n’étais pas du genre à demander d'habitude, mais tu avais besoin de te laver ne serait-ce que les mains et le visage.
Même si tu le considérais comme un ami, tu avais toujours cette impression de ne pas être assez bien, assez intéressant, tu te sentais toujours moins que rien. Il ne te jugeait pourtant pas, du moins c'est l'impression qu'il te donnait. Il était juste très gentil avec toi, une gentillesse dont tu te méfiais au début, puis qui avait commencé à te sembler sincère. Il y avait quelque chose qui émanait de lui que te semblait rassurant. Peut-être le fait que dans un sens, il avait parfois l'air aussi perdu que toi ?
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Re: Lost boys Ft Galadriel | Jeu 23 Nov 2017 - 23:26 Citer EditerSupprimer
Lost boys
Ji Hyun & Galadriel
CUTE Je me sentais un peu seul ce soir, il n’y avait personne dans la chambre et même si c’était plus calme qu’en temps normal, le silence était assourdissant. J’avais essayé de regarder des vidéos sur mon téléphone portable mais je m’étais encore retrouver sur des pages qui n’avaient absolument rien à voir. Je savais que je devais avancer sur mon devoir de sociologie, mais je n’avais pas le courage d’ouvrir un livre. Si je voulais réussir j’allais devoir me motiver, mais je me sentais épuisé ces derniers jours. Je me couchais tard, j’essayais de combler mes lacunes, de rattraper tout le retard que j’avais accumulé, mais mon cerveau n’était pas prêt à recevoir autant d’informations d’un seul coup. Je pouvais aller chez mon frère, il avait une chambre pour moi, mais il devait sûrement être occupé et je ne pouvais pas le prévenir au dernier moment. Alors je restais là, assis sur mon lit, comme un idiot.
Les autres étaient sortis, mais je n’étais pas du genre fêtard. Il y avait toujours trop de monde, trop de bruit, trop de tentations. J’avais essayé de m’ouvrir à cette façon de vivre, mais je ne pouvais pas les imiter. Si j’allais trop loin, je finirais par me retrouver devant les portes de l’Enfer. Je me laissais tomber en arrière pour fixer le plafond. Je n’avais plus qu’à enfiler une tenue plus confortable et m’endormir. J’avais du mal à savoir où en était vraiment ma vie. J’avais réussi à me détacher de mon passé, mais parfois il me revenait en pleine figure et à toute vitesse. J’avais toujours l’impression de mal faire les choses, d’être un peu trop à part, de ne pas comprendre assez vite. Je n’avais étudié que la bible durant mes quinze premières années, je ne pouvais pas être au même niveau que les autres élèves.
Je sentais mon téléphone vibrer et me redressais d’un seul coup pour l’attraper. J’appuyais sur l’écran mais comme à chaque fois que j’essayais de décrocher, il ne se passait rien. Je le secouais violemment avant de recommencer.
« Mais…. Pourquoi ça fait toujours ça ? j’appuie pourtant !!! Allo ? »
C’était la voix de Ji Hyun et il ne semblait pas très en forme non plus. Je commençais à m’inquiéter légèrement. Je ne savais pas comment définir notre relation, mais j’aimais croire qu’on était amis. Je n’avais pas beaucoup d’amis.
« Je suis dans ma chambre à l’université. Viens, je t’attends. »
Je n’allais pas lui dire non. Je m’étais occupé de lui alors que je ne le connaissais pas, maintenant que je m’étais attaché à lui, il n’y avait aucune raison que je le laisse tomber. Je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose. Il avait un caractère très différent du mien, mais j’avais l’impression de me sentir en sécurité près de lui. Je regardais si la chambre n’était pas en désordre et pliait les quelques vêtements qui trainaient sur ma chaise. Je tirais nerveusement sur les manches de mon pull, déjà trop longue. C’était la première fois que quelqu’un venait dans la chambre. Pour me voir moi. J’attendais devant la porte jusqu’à ce que je l’entende frapper et ouvrait sans perdre une seconde.
« Tu… tu ne me déranges pas. Tu peux venir quand tu veux tu sais. »
C’était moi le poids dans l’histoire, le boulet qu’on doit se trainer. Ce n’était pas lui. Ji Hyun semblait en mauvais état, mais je n’osais pas lui demander ce qui s’était passé. La curiosité était un vilain défaut, et j’avais souvent été puni pour ça. Il avait beau dire qu’il allait bien, je continuais de le regarder, les sourcils froncés. On m’avait déjà frappé quand j’avais désobéi et ça n’avait rien d’agréable. Je ne voulais pas le toucher de peur de lui faire mal alors malgré mon envie, je gardais mes distances.
« Non, ça ne va pas. »
Je finis par attraper sa main pour l’emmener jusque dans la salle de bain. Je ne savais pas vraiment comment on avait pu se rapprocher, mais Ji Hyun s’apparentait à mon ami le plus proche. Il ne m’avait jamais dit qu’il me trouvait étrange et j’avais apprécié. Je savais que j’étais différent, et même si c’était la vérité, c’était souvent blessant de l’entendre aussi souvent.
« Tu veux que je t’aide ? Tu veux prendre une douche ? Changer tes vêtements ? »
Je sentais mon cœur s’accélérer et cogner violemment contre ma poitrine. Qu’est-ce qu’il avait bien pu faire pour se retrouver dans cet état ? La brutalité, je la connaissais trop bien, je l’avais longtemps côtoyé, mes cicatrices pouvaient en témoigner et je ne voulais pas qu’il soit blessé. Je voulais faire de mon mieux pour prendre soin de lui parce que Ji Hyun me permettait de me sentir normal.
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Ji Hyun & Galadriel
CUTE Je me sentais un peu seul ce soir, il n’y avait personne dans la chambre et même si c’était plus calme qu’en temps normal, le silence était assourdissant. J’avais essayé de regarder des vidéos sur mon téléphone portable mais je m’étais encore retrouver sur des pages qui n’avaient absolument rien à voir. Je savais que je devais avancer sur mon devoir de sociologie, mais je n’avais pas le courage d’ouvrir un livre. Si je voulais réussir j’allais devoir me motiver, mais je me sentais épuisé ces derniers jours. Je me couchais tard, j’essayais de combler mes lacunes, de rattraper tout le retard que j’avais accumulé, mais mon cerveau n’était pas prêt à recevoir autant d’informations d’un seul coup. Je pouvais aller chez mon frère, il avait une chambre pour moi, mais il devait sûrement être occupé et je ne pouvais pas le prévenir au dernier moment. Alors je restais là, assis sur mon lit, comme un idiot.
Les autres étaient sortis, mais je n’étais pas du genre fêtard. Il y avait toujours trop de monde, trop de bruit, trop de tentations. J’avais essayé de m’ouvrir à cette façon de vivre, mais je ne pouvais pas les imiter. Si j’allais trop loin, je finirais par me retrouver devant les portes de l’Enfer. Je me laissais tomber en arrière pour fixer le plafond. Je n’avais plus qu’à enfiler une tenue plus confortable et m’endormir. J’avais du mal à savoir où en était vraiment ma vie. J’avais réussi à me détacher de mon passé, mais parfois il me revenait en pleine figure et à toute vitesse. J’avais toujours l’impression de mal faire les choses, d’être un peu trop à part, de ne pas comprendre assez vite. Je n’avais étudié que la bible durant mes quinze premières années, je ne pouvais pas être au même niveau que les autres élèves.
Je sentais mon téléphone vibrer et me redressais d’un seul coup pour l’attraper. J’appuyais sur l’écran mais comme à chaque fois que j’essayais de décrocher, il ne se passait rien. Je le secouais violemment avant de recommencer.
« Mais…. Pourquoi ça fait toujours ça ? j’appuie pourtant !!! Allo ? »
C’était la voix de Ji Hyun et il ne semblait pas très en forme non plus. Je commençais à m’inquiéter légèrement. Je ne savais pas comment définir notre relation, mais j’aimais croire qu’on était amis. Je n’avais pas beaucoup d’amis.
« Je suis dans ma chambre à l’université. Viens, je t’attends. »
Je n’allais pas lui dire non. Je m’étais occupé de lui alors que je ne le connaissais pas, maintenant que je m’étais attaché à lui, il n’y avait aucune raison que je le laisse tomber. Je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose. Il avait un caractère très différent du mien, mais j’avais l’impression de me sentir en sécurité près de lui. Je regardais si la chambre n’était pas en désordre et pliait les quelques vêtements qui trainaient sur ma chaise. Je tirais nerveusement sur les manches de mon pull, déjà trop longue. C’était la première fois que quelqu’un venait dans la chambre. Pour me voir moi. J’attendais devant la porte jusqu’à ce que je l’entende frapper et ouvrait sans perdre une seconde.
« Tu… tu ne me déranges pas. Tu peux venir quand tu veux tu sais. »
C’était moi le poids dans l’histoire, le boulet qu’on doit se trainer. Ce n’était pas lui. Ji Hyun semblait en mauvais état, mais je n’osais pas lui demander ce qui s’était passé. La curiosité était un vilain défaut, et j’avais souvent été puni pour ça. Il avait beau dire qu’il allait bien, je continuais de le regarder, les sourcils froncés. On m’avait déjà frappé quand j’avais désobéi et ça n’avait rien d’agréable. Je ne voulais pas le toucher de peur de lui faire mal alors malgré mon envie, je gardais mes distances.
« Non, ça ne va pas. »
Je finis par attraper sa main pour l’emmener jusque dans la salle de bain. Je ne savais pas vraiment comment on avait pu se rapprocher, mais Ji Hyun s’apparentait à mon ami le plus proche. Il ne m’avait jamais dit qu’il me trouvait étrange et j’avais apprécié. Je savais que j’étais différent, et même si c’était la vérité, c’était souvent blessant de l’entendre aussi souvent.
« Tu veux que je t’aide ? Tu veux prendre une douche ? Changer tes vêtements ? »
Je sentais mon cœur s’accélérer et cogner violemment contre ma poitrine. Qu’est-ce qu’il avait bien pu faire pour se retrouver dans cet état ? La brutalité, je la connaissais trop bien, je l’avais longtemps côtoyé, mes cicatrices pouvaient en témoigner et je ne voulais pas qu’il soit blessé. Je voulais faire de mon mieux pour prendre soin de lui parce que Ji Hyun me permettait de me sentir normal.
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Re: Lost boys Ft Galadriel | Ven 24 Nov 2017 - 1:10 Citer EditerSupprimer
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Ji Hyun & Galadriel
Ootd Est ce que tu le trouvais bizarre ? Étrange ? Pas vraiment. Tu étais évidemment conscient que ça façon d’être pouvait parfois paraître un peu inhabituelle, comme lorsqu'il t'envoyait des sms en langages charabia, mais à aucun moment cela ne t'avais interpellé plus que ça. Tu n'es pas du tout à l'aise avec les relations humaines, toi aussi, tu te sens étrange, pas à ta place, toujours à douter de tout et surtout de toi.
Alors non, tu ne le trouvais pas étrange, ou alors vous étiez étrange à deux. Il semblait plus calme que toi, plus doux aussi, peut être un peu plus naïf. Et cela te procurait une sensation de fraîcheur, loin de l'odeur de weed incrusté dans des canapés moites, loin de la sensation de ces mains de femme ou d'homme qui parcouraient avidement ton corps sans retenue. Loin de ces choses que tu n’appréciais pas forcement, mais dont tu avais fini par t'habituer.
Il était en quelque sorte un moyen d’évasion.
Tu peux venir quand tu veux ? Il est tellement serviable, la gentillesse, tu avais une fâcheuse tendance à la repousser, a ne pas en vouloir, car tu ne voulais pas être redevable. Mais venant de lui, tu avais envie d'y croire, de croire en l'existence d'une gentillesse gratuite
« Merci »
Une esquisse de sourire s’étire sur tes lèvres, imperceptibles, comme une poussière poussée par le vent , furtif, un sourie sincère, mais de courte duré.
Ce qu'il te dit ensuite semble tellement évident, il le dit avec tellement de persuasion. Non ça ne va pas ... Mais ça va jamais avec toi, tu fronces les sourcils toi aussi, jetant un coup d’œil à tes poings qui portaient encore des trace de bagare, tu voulais lui raconter, mais comment ?
Tu le regardais dans les yeux, avec la gueule que tu tirais, il n’était pas impossible de deviner qu’évidemment, il s’était passé quelque chose... Mais ce quelque chose ce n’était rien de grave.
Tu n'as pas le temps de lui répondre, tu t’étais paumé dans tes pensées, dans une sorte de débat intérieur, que tu sens qu'il te tire par la main, le contact n’était pas quelque chose de bizarre en soit, après tout lors de votre première rencontre, tu avais fini par t'endormir, la tête posée sur lui ... Où peut être t’étais tu évanouis un instant ? Personne ne le saura jamais, mais lorsque tu t’étais réveillé, il était encore là.
Mais tu n'as tellement pas l'habitude de ce genre de simple contact qui ne signifie rien, que cela te laissais une étrange sensation.
Dans cette salle de bain, tout était propre, rien à voir avec les douches communes de l’orphelinat, ou même la salle de bain un peu crado et humide qu'il y avait chez toi, ici tout semblait clean.
Tu ouvris grand les yeux lorsqu'il te proposa son aide, le fait de te proposer de l'aide puis de directement poursuivre avec le fait de prendre une douche te donnais directement des idées un peu déplacée, et tu te sentais extrêmement mal à l'aise ... Évidemment, cela ne venait que de toi, tu faisais ce genre de liaison malgré toi, tout seul.
« eeeuuuh non ça va , je peux me laver tout seul. »
Tu passes ta main dans.
«Mais , je n'ai pas de vêtement, et remettre ceux-là, ce serait un peu bête »
Ils sentaient le tabac froid. Tu t'avances cela dit vers le miroir, observant ton reflet ... Aah l'enfoiré, il va te le payer , sans toi avec sa vieille face de cul il se ferait pas autant de fric ... Tu ne comprends pas toujours très bien pourquoi tu fais tout ça pour lui alors qu'il te traite comme une merde ... Parce que c'est ton ami ? Ouais, c'est ça ...
Tu grimaçais en constatant le fait que ta lèvre du bas était fendue. Tu passes ta langue dessus, grimaçant un peu plus sous la douleur.
« C'est rien de grave, tu sais ? »
Tu avais envie de croire qu'il s’inquiétait pour toi, tu voulais y croire plus que tout.
« Je me suis un peu pris la tête avec .... Avec mon patron »
Quelle façon anodine de parler de celui qui t'utilise, mais bon, il ne te force pas non plus.
« Je n'étais pas d'accord avec lui donc on s'est un peu disputé... »
Tu lui dis tout à demi-mot, sans trop en dire, mais tu voulais en parler quand même.
« Et comme je vis chez lui, je ne compte pas rentrer cette nuit »
Tu te tournes vers lui, lui faisant face
«Ça te dérange si je reste ici ? Je peux dormir sur le sol si tu veux.»
Après tout, tu avais vécu dans la rue, donc le sol froid et dur ne te dérangeais pas plus que ça, ce n’était certes, pas du tout confortable, mais c’était bien mieux que de rentrer chez ton camé de sois disant associer pour te prendre la tête encore une fois.
Alors non, tu ne le trouvais pas étrange, ou alors vous étiez étrange à deux. Il semblait plus calme que toi, plus doux aussi, peut être un peu plus naïf. Et cela te procurait une sensation de fraîcheur, loin de l'odeur de weed incrusté dans des canapés moites, loin de la sensation de ces mains de femme ou d'homme qui parcouraient avidement ton corps sans retenue. Loin de ces choses que tu n’appréciais pas forcement, mais dont tu avais fini par t'habituer.
Il était en quelque sorte un moyen d’évasion.
Tu peux venir quand tu veux ? Il est tellement serviable, la gentillesse, tu avais une fâcheuse tendance à la repousser, a ne pas en vouloir, car tu ne voulais pas être redevable. Mais venant de lui, tu avais envie d'y croire, de croire en l'existence d'une gentillesse gratuite
« Merci »
Une esquisse de sourire s’étire sur tes lèvres, imperceptibles, comme une poussière poussée par le vent , furtif, un sourie sincère, mais de courte duré.
Ce qu'il te dit ensuite semble tellement évident, il le dit avec tellement de persuasion. Non ça ne va pas ... Mais ça va jamais avec toi, tu fronces les sourcils toi aussi, jetant un coup d’œil à tes poings qui portaient encore des trace de bagare, tu voulais lui raconter, mais comment ?
Tu le regardais dans les yeux, avec la gueule que tu tirais, il n’était pas impossible de deviner qu’évidemment, il s’était passé quelque chose... Mais ce quelque chose ce n’était rien de grave.
Tu n'as pas le temps de lui répondre, tu t’étais paumé dans tes pensées, dans une sorte de débat intérieur, que tu sens qu'il te tire par la main, le contact n’était pas quelque chose de bizarre en soit, après tout lors de votre première rencontre, tu avais fini par t'endormir, la tête posée sur lui ... Où peut être t’étais tu évanouis un instant ? Personne ne le saura jamais, mais lorsque tu t’étais réveillé, il était encore là.
Mais tu n'as tellement pas l'habitude de ce genre de simple contact qui ne signifie rien, que cela te laissais une étrange sensation.
Dans cette salle de bain, tout était propre, rien à voir avec les douches communes de l’orphelinat, ou même la salle de bain un peu crado et humide qu'il y avait chez toi, ici tout semblait clean.
Tu ouvris grand les yeux lorsqu'il te proposa son aide, le fait de te proposer de l'aide puis de directement poursuivre avec le fait de prendre une douche te donnais directement des idées un peu déplacée, et tu te sentais extrêmement mal à l'aise ... Évidemment, cela ne venait que de toi, tu faisais ce genre de liaison malgré toi, tout seul.
« eeeuuuh non ça va , je peux me laver tout seul. »
Tu passes ta main dans.
«Mais , je n'ai pas de vêtement, et remettre ceux-là, ce serait un peu bête »
Ils sentaient le tabac froid. Tu t'avances cela dit vers le miroir, observant ton reflet ... Aah l'enfoiré, il va te le payer , sans toi avec sa vieille face de cul il se ferait pas autant de fric ... Tu ne comprends pas toujours très bien pourquoi tu fais tout ça pour lui alors qu'il te traite comme une merde ... Parce que c'est ton ami ? Ouais, c'est ça ...
Tu grimaçais en constatant le fait que ta lèvre du bas était fendue. Tu passes ta langue dessus, grimaçant un peu plus sous la douleur.
« C'est rien de grave, tu sais ? »
Tu avais envie de croire qu'il s’inquiétait pour toi, tu voulais y croire plus que tout.
« Je me suis un peu pris la tête avec .... Avec mon patron »
Quelle façon anodine de parler de celui qui t'utilise, mais bon, il ne te force pas non plus.
« Je n'étais pas d'accord avec lui donc on s'est un peu disputé... »
Tu lui dis tout à demi-mot, sans trop en dire, mais tu voulais en parler quand même.
« Et comme je vis chez lui, je ne compte pas rentrer cette nuit »
Tu te tournes vers lui, lui faisant face
«Ça te dérange si je reste ici ? Je peux dormir sur le sol si tu veux.»
Après tout, tu avais vécu dans la rue, donc le sol froid et dur ne te dérangeais pas plus que ça, ce n’était certes, pas du tout confortable, mais c’était bien mieux que de rentrer chez ton camé de sois disant associer pour te prendre la tête encore une fois.
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Re: Lost boys Ft Galadriel | Ven 24 Nov 2017 - 21:56 Citer EditerSupprimer
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Ji Hyun & Galadriel
CUTE Je n’avais jamais vraiment eu la chance d’avoir des amis, mais mon frère m’avait toujours dit de prendre soin de ceux que j’appréciais. J’avais l’impression que Ji Hyun ne me jugeait pas, qu’il acceptait qui j’étais, sans concession, sans me demander de changer. Je pouvais être moi-même sans aucune honte et c’était agréable de ne pas avoir à se cacher. Il serait toujours le bienvenu dans ma chambre et n’importe où, où je me trouvais. Je n’avais pas l’habitude de m’occuper des autres et je me sentais un peu utile. J’avais une vision du monde un peu décalée et on me prenait pour un idiot, alors on ne me demandait jamais rien.
Je voulais l’aider, mais j’avais peur d’en faire trop, qu’il se sente étouffé et qu’il décide de repartir. Je ne savais pas vraiment doser mes émotions, je me faisais souvent submergé et elles sortaient comme elles pouvaient. J’étais content qu’il soit là même si ce n’était pas au mieux de sa forme. Je me sentais rougir en l’entendant et baissais la tête pour essayer de me dissimuler derrière mes cheveux.
« Je… ah oui, c’était pas… je… je sais que tu peux te laver tout seul. Pardon. »
Je n’aurais de toute façon jamais osé poser mes mains sur son corps. Ce n’était pas correct. Des vêtements ? ça je pouvais faire quelque chose. Je me dépêchais de fouiller dans mon armoire pour les trouver des vêtements amples et confortables. Je les déposais près de l’évier. Je n’avais pas beaucoup d’habits, mon frère m’en achetait de temps en temps, mais je ne pouvais pas me permettre de m’en offrir avec mon petit salaire. J’avais du mal à compter et je me trompais souvent quand je devais rendre l’argent aux clients. Mon patron prenait ce qui manquait dans la caisse sur mon salaire.
« J’espère que ça ira, si tu as besoin de quelque chose d’autres dis le moi surtout !! »
Je voulais qu’il se sente à l’aise, qu’il puisse me parler s’il en avait envie même si je n’étais pas de très bon conseil, je savais écouter. Je regardais son reflet dans le miroir, j’avais mal pour lui.
« La violence c’est toujours grave Ji Hyun. Ne prend pas ça à la légère. Je…j’ai de quoi désinfecter si tu veux. »
J’avais l’impression qu’il réglait ses problèmes comme on réglait les nôtres quand j’étais plus jeune. Mais je n’avais jamais raison alors j’étais celui qui prenait.
« Tu aurais pu essayer de discuter non ? Je… J’aime pas te voir comme ça… je m’inquiète pour toi… »
S’il avait tendance à se battre un peu trop, j’avais peur qu’il lui arrive quelque chose de grave. J’attrapais doucement une de ses mains pour regarder si elle n’était pas trop abimée. Je la caressais du bout des doigts. Sa peau était douce et chaude, c’était agréable.
« Ne dis pas n’importe quoi, tu dormirais dans mon lit, ça sera plus confortable… vu ton état. »
J’avais dormi dans la rue avec mon frère et ce ne serait pas la première fois que je n’aurais pas de matelas. Au moins il faisait chaud dans ma chambre. Il était presque évident que je lui laisse la place, il était mon hôte. J’avais envie de l’aider mais il pouvait se débrouiller tout seul. Ji Hyun était beaucoup plus courageux et beaucoup plus autonome que moi.
« Je… je te laisse tranquille. Appelle-moi si besoin, je suis juste à côté. »
Je lui souriais et fermais la porte derrière moi. Je sentais mon cœur battre un peu trop vite, sûrement à cause de l’inquiétude. Quoi d’autre ?
Je m’asseyais sur mon lit en l’attendant. J’espère qu’il n’avait pas trop mal et surtout qu’il n’allait pas recommencer de sitôt.
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Ji Hyun & Galadriel
CUTE Je n’avais jamais vraiment eu la chance d’avoir des amis, mais mon frère m’avait toujours dit de prendre soin de ceux que j’appréciais. J’avais l’impression que Ji Hyun ne me jugeait pas, qu’il acceptait qui j’étais, sans concession, sans me demander de changer. Je pouvais être moi-même sans aucune honte et c’était agréable de ne pas avoir à se cacher. Il serait toujours le bienvenu dans ma chambre et n’importe où, où je me trouvais. Je n’avais pas l’habitude de m’occuper des autres et je me sentais un peu utile. J’avais une vision du monde un peu décalée et on me prenait pour un idiot, alors on ne me demandait jamais rien.
Je voulais l’aider, mais j’avais peur d’en faire trop, qu’il se sente étouffé et qu’il décide de repartir. Je ne savais pas vraiment doser mes émotions, je me faisais souvent submergé et elles sortaient comme elles pouvaient. J’étais content qu’il soit là même si ce n’était pas au mieux de sa forme. Je me sentais rougir en l’entendant et baissais la tête pour essayer de me dissimuler derrière mes cheveux.
« Je… ah oui, c’était pas… je… je sais que tu peux te laver tout seul. Pardon. »
Je n’aurais de toute façon jamais osé poser mes mains sur son corps. Ce n’était pas correct. Des vêtements ? ça je pouvais faire quelque chose. Je me dépêchais de fouiller dans mon armoire pour les trouver des vêtements amples et confortables. Je les déposais près de l’évier. Je n’avais pas beaucoup d’habits, mon frère m’en achetait de temps en temps, mais je ne pouvais pas me permettre de m’en offrir avec mon petit salaire. J’avais du mal à compter et je me trompais souvent quand je devais rendre l’argent aux clients. Mon patron prenait ce qui manquait dans la caisse sur mon salaire.
« J’espère que ça ira, si tu as besoin de quelque chose d’autres dis le moi surtout !! »
Je voulais qu’il se sente à l’aise, qu’il puisse me parler s’il en avait envie même si je n’étais pas de très bon conseil, je savais écouter. Je regardais son reflet dans le miroir, j’avais mal pour lui.
« La violence c’est toujours grave Ji Hyun. Ne prend pas ça à la légère. Je…j’ai de quoi désinfecter si tu veux. »
J’avais l’impression qu’il réglait ses problèmes comme on réglait les nôtres quand j’étais plus jeune. Mais je n’avais jamais raison alors j’étais celui qui prenait.
« Tu aurais pu essayer de discuter non ? Je… J’aime pas te voir comme ça… je m’inquiète pour toi… »
S’il avait tendance à se battre un peu trop, j’avais peur qu’il lui arrive quelque chose de grave. J’attrapais doucement une de ses mains pour regarder si elle n’était pas trop abimée. Je la caressais du bout des doigts. Sa peau était douce et chaude, c’était agréable.
« Ne dis pas n’importe quoi, tu dormirais dans mon lit, ça sera plus confortable… vu ton état. »
J’avais dormi dans la rue avec mon frère et ce ne serait pas la première fois que je n’aurais pas de matelas. Au moins il faisait chaud dans ma chambre. Il était presque évident que je lui laisse la place, il était mon hôte. J’avais envie de l’aider mais il pouvait se débrouiller tout seul. Ji Hyun était beaucoup plus courageux et beaucoup plus autonome que moi.
« Je… je te laisse tranquille. Appelle-moi si besoin, je suis juste à côté. »
Je lui souriais et fermais la porte derrière moi. Je sentais mon cœur battre un peu trop vite, sûrement à cause de l’inquiétude. Quoi d’autre ?
Je m’asseyais sur mon lit en l’attendant. J’espère qu’il n’avait pas trop mal et surtout qu’il n’allait pas recommencer de sitôt.
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Re: Lost boys Ft Galadriel | Dim 3 Déc 2017 - 1:43 Citer EditerSupprimer
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OotdTu trouves sa réaction très adorable, tu t’étais senti mal à l'aise mais à la seconde où tu l'avais vu se renfrogner légèrement, rentrant la tête comme un escargot tu avais compris qu'il n'y avait aucuns sous-entendu. Évidemment qu'il ne pensait pas mal, c'est toi qui avais mal interprété et par réflexe, par habitude aussi, et peut être aussi par auto défense, tu avais refusé une offre qu'il ne t'avais même pas faites.
Tu voulais lui dire de ne pas se sentir désolé, mais tu ne dis rien, tu te contentes de hocher la tête pour signaler que tu comprends.
Tu le regardes chercher après des vêtements, tu vas porter ses vêtements ? Tu fronces légèrement les sourcils. En vérité, tu n'as aucune idée d'à quel point vous êtes proches, est ce que cela pourrait même être quelque chose qui se mesure ? Tu te sens proche de lui dans le sens ou, quand tu le vois, tu ne ressens pas cette envie de fuir, cette envie maladive de le repousser, de le jeter avant que lui ne te jette. Est ce que tu te permettais enfin de t'attacher a quelqu'un ? Pas vraiment ... Peut-être un peu. Tu gardais toujours cette distance, cette barrière de sécurité, tu lui parlais de toi sans jamais trop en dire, votre amitié était toute nouvelle.
« Merci, c'est parfait »
Cette douche, tout à coup tu semblais en rêver, la chaleur, l'impatience d'enfiler des vêtements qui, a première vue, avaient l'air très confortable. Tu ne voulais être redevable de rien du tout, mais tu te sentais étrangement d’accord avec l'idée de profiter un peu.
Ses paroles suivantes, elles te firent froncer les sourcils de manière sévère ... T'es susceptible parfois. Qui est-il pour se permettre de juger ? Ou même de s’inquiéter ? Au fond, alors que tu cherchais toujours désespérément a ce que l'on te porte de l'attention, a ce que l'on s'inquiète pour toi, tu avais aussi toujours cette fâcheuse habitude a rejeter tout ça en bloque, alors le fait qu'il le dise a voix haute te gênais.
« Je le prends à la légère, car c'est rien de grave, on s'est un peu énervé, ça a dégénéré , ce sont des choses qui arrivent , je vais pas en faire une affaire d’état , il ne faut pas croire, moi aussi, je l'ai frappé. »
est ce que tu avais semblé te plaindre ? Où faire la victime ? Tu ne penses pas.
« Tu n'as pas besoin de t’inquiéter pour moi, je gère »
Ta voix semblait plus froide, plus distante.
« Et discuter parfois, ça ne sers à rien... »
D'un coup, tu semblais de nouveau démontrer cette sorte de distance que tu mettais entre toi et les autres, tu ne voulais pas qu'il admette qu'il s'inquiète, mais en même temps l'idée qu'il puisse s'inquiéter te faisais plaisir, étrange sensation contradictoire. Comme toujours.
Il attrape ta main, tu le laisses faire malgré cette soudaine légère agressivité, ses doigts caressaient doucement la surface encore indemne de ta peau. Tu le regardes sans rien dire, il est tellement doux, tu sais que tu ne devrais pas rester dans ta position de rejet, mais t'aime pas du tout la sensation d'avoir l'impression de vouloir t'accrocher à lui. Ça te fais peur. Pourtant, tu t'ais tourné vers lui de manière automatique.
Tout se mélange. T'es trop compliqué comme gars.
« T'en fais pas , j'ai un peu l'habitude, tu sais ? »
D’être dans cet état ou même de dormir dans des endroits pas confortables. Depuis quand n'avais-tu plus dormis dans un lit ? C’était le canapé qui était devenu ton lit chez toi. Et tu t’étais un peu imposé ici donc tu n'en attendais pas autant de lui, il en faisait déjà bien assez pour toi.
« Je fais vite »
une fois la porte fermée, tu soupires une nouvelle fois, regardant ton reflet dans le miroir, tu te trouves tellement pathétique à chercher à profiter de cette douceur qu'il t'offre, ça te ressemble pas mais c'est plus fort que toi, tu jettes un coup d’œil sur la main qu'il venait de caresser ... Ce gars te réchauffe le cœur.
Tu retires tes vêtements, et glisse sous l'eau chaude , et même si tu avais dit que tu te depécherais , tu profites , tes muscles se détendent sous la chaleur , l'eau qui coule sur ton visage te lave de toute cette violence, tu prends un produit au hasard, est-ce le siens ? Et tu t'en sers pour tout ton corps, tu te sens bien là, comme enveloppé dans un confort éphémère.
Une fois sortis, tu remarques qu'il n'y a pas de serviette, tu commences à chercher un peu, mais tu ne veux pas fouiller. Tu soupires et tu entrouvre la porte, le corps trempé , tu passes ta tête par l’entrebâillement de la porte alors que tu es complètement nu. Tu n'es pas forcement pudique, mais pas forcement exhibitionniste non plus. Puis tu ne trouves pas que ton corps soit vraiment agréable à voir.
« Euh .... Tu aurais une serviette ? Je ne les trouve pas ? »
S'il doit rentrer pour te la donner, vous allez avoir l'air bête un peu.
Une fois qu'il aura réglé ton « problème » tu t'habilleras pour le rejoindre.
Tu voulais lui dire de ne pas se sentir désolé, mais tu ne dis rien, tu te contentes de hocher la tête pour signaler que tu comprends.
Tu le regardes chercher après des vêtements, tu vas porter ses vêtements ? Tu fronces légèrement les sourcils. En vérité, tu n'as aucune idée d'à quel point vous êtes proches, est ce que cela pourrait même être quelque chose qui se mesure ? Tu te sens proche de lui dans le sens ou, quand tu le vois, tu ne ressens pas cette envie de fuir, cette envie maladive de le repousser, de le jeter avant que lui ne te jette. Est ce que tu te permettais enfin de t'attacher a quelqu'un ? Pas vraiment ... Peut-être un peu. Tu gardais toujours cette distance, cette barrière de sécurité, tu lui parlais de toi sans jamais trop en dire, votre amitié était toute nouvelle.
« Merci, c'est parfait »
Cette douche, tout à coup tu semblais en rêver, la chaleur, l'impatience d'enfiler des vêtements qui, a première vue, avaient l'air très confortable. Tu ne voulais être redevable de rien du tout, mais tu te sentais étrangement d’accord avec l'idée de profiter un peu.
Ses paroles suivantes, elles te firent froncer les sourcils de manière sévère ... T'es susceptible parfois. Qui est-il pour se permettre de juger ? Ou même de s’inquiéter ? Au fond, alors que tu cherchais toujours désespérément a ce que l'on te porte de l'attention, a ce que l'on s'inquiète pour toi, tu avais aussi toujours cette fâcheuse habitude a rejeter tout ça en bloque, alors le fait qu'il le dise a voix haute te gênais.
« Je le prends à la légère, car c'est rien de grave, on s'est un peu énervé, ça a dégénéré , ce sont des choses qui arrivent , je vais pas en faire une affaire d’état , il ne faut pas croire, moi aussi, je l'ai frappé. »
est ce que tu avais semblé te plaindre ? Où faire la victime ? Tu ne penses pas.
« Tu n'as pas besoin de t’inquiéter pour moi, je gère »
Ta voix semblait plus froide, plus distante.
« Et discuter parfois, ça ne sers à rien... »
D'un coup, tu semblais de nouveau démontrer cette sorte de distance que tu mettais entre toi et les autres, tu ne voulais pas qu'il admette qu'il s'inquiète, mais en même temps l'idée qu'il puisse s'inquiéter te faisais plaisir, étrange sensation contradictoire. Comme toujours.
Il attrape ta main, tu le laisses faire malgré cette soudaine légère agressivité, ses doigts caressaient doucement la surface encore indemne de ta peau. Tu le regardes sans rien dire, il est tellement doux, tu sais que tu ne devrais pas rester dans ta position de rejet, mais t'aime pas du tout la sensation d'avoir l'impression de vouloir t'accrocher à lui. Ça te fais peur. Pourtant, tu t'ais tourné vers lui de manière automatique.
Tout se mélange. T'es trop compliqué comme gars.
« T'en fais pas , j'ai un peu l'habitude, tu sais ? »
D’être dans cet état ou même de dormir dans des endroits pas confortables. Depuis quand n'avais-tu plus dormis dans un lit ? C’était le canapé qui était devenu ton lit chez toi. Et tu t’étais un peu imposé ici donc tu n'en attendais pas autant de lui, il en faisait déjà bien assez pour toi.
« Je fais vite »
une fois la porte fermée, tu soupires une nouvelle fois, regardant ton reflet dans le miroir, tu te trouves tellement pathétique à chercher à profiter de cette douceur qu'il t'offre, ça te ressemble pas mais c'est plus fort que toi, tu jettes un coup d’œil sur la main qu'il venait de caresser ... Ce gars te réchauffe le cœur.
Tu retires tes vêtements, et glisse sous l'eau chaude , et même si tu avais dit que tu te depécherais , tu profites , tes muscles se détendent sous la chaleur , l'eau qui coule sur ton visage te lave de toute cette violence, tu prends un produit au hasard, est-ce le siens ? Et tu t'en sers pour tout ton corps, tu te sens bien là, comme enveloppé dans un confort éphémère.
Une fois sortis, tu remarques qu'il n'y a pas de serviette, tu commences à chercher un peu, mais tu ne veux pas fouiller. Tu soupires et tu entrouvre la porte, le corps trempé , tu passes ta tête par l’entrebâillement de la porte alors que tu es complètement nu. Tu n'es pas forcement pudique, mais pas forcement exhibitionniste non plus. Puis tu ne trouves pas que ton corps soit vraiment agréable à voir.
« Euh .... Tu aurais une serviette ? Je ne les trouve pas ? »
S'il doit rentrer pour te la donner, vous allez avoir l'air bête un peu.
Une fois qu'il aura réglé ton « problème » tu t'habilleras pour le rejoindre.
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Re: Lost boys Ft Galadriel | Lun 4 Déc 2017 - 15:52 Citer EditerSupprimer
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CUTE Il m’avait toujours impressionné. Il était fort et courageux, tout ce que je n’étais pas. C’était surement la raison pour laquelle je me sentais bien près de lui, comme si rien ne pouvait m’arriver. J’avais toujours été sincère, je ne savais pas mentir et je savais que cette franchise pouvait parois le mettre mal à l’aise ou bien le braquer. Je n’étais pas doué avec les gens. J’appréciais Ji Hyun, mais je ne savais pas comment le lui dire. Il me semblait normal de m’inquiéter pour lui, mais peut être que je me trompais encore, que j’étais à côté de la plaque. Il avait l’air tellement sûr de lui que je me sentais idiot face à lui.
Je me demandais ce qu’il entendait par le mot : dégénérer. Je pensais à mes cicatrices, le long de mon dos, aux coups de fouets que j’avais reçus quand je n’étais pas assez obéissant. Est-ce que c’était ça, dégénérer ? Est-ce ce que c’était hurler de douleur en sentant le cuir chaud déchirer ma peau ? Est-ce que moi aussi je pouvais dire que ça avait dégénéré ? J’avais du mal à comprendre le degré de gravité de la situation. Je ne doutais pas qu’il se soit défendu, je ne l’avais pas traité comme quelqu’un de faible, mais comme quelqu’un à qui je tenais et à qui je ne voulais pas qu’il arrive du mal.
Son ton était devenu plus froid qu’à son arrivé et plus glacial que lors de son coup de téléphone. J’avais dû faire quelque chose de mal ou dire quelque chose qu’il ne fallait pour qu’il se mette en colère contre moi. Je le regardais, un peu perturbé par son attitude distante.
« P…pardon. Je… je m’inquièterais plus. Je… je vais essayer en tout cas »
C’était faux, mais je ferais de mon mieux pour que ça n’arrive plus. Je préférais me concentrer sur ses mains légèrement meurtries. Je sentais mon cœur se serrer en l’entendant dire qu’il avait l’habitude. C’était une phrase que je prononçais beaucoup quand je me faisais un peu maltraiter par les autres, une phrase que mon frère avait banni de mon vocabulaire. Il avait dit que la violence ne devait jamais faire partie des habitudes.
« Tu ne devrais pas être habitué…Je… j’ai rien dit, pardon. »
Je ne voulais pas qu’il se fâche encore une fois. Je n’avais pas à lui dire ce qu’il devait faire ou non, il me l’avait bien fait comprendre. Je préférais sortir de la salle de bain pour lui laisser une certaine intimité. J’étais pudique et j’imaginais que les autres étaient comme moi. Je sursautais en entendant sa voix. En effet, il avait fait vite. Je me sentais rougir suite à sa question. Il y en avait rangé dans la salle de bain mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je n’avais pas l’habitude d’avoir des hommes nus dans ma salle de bain. Je fouillais rapidement dans mon armoire pour en sortir une et m’approchais de la porte en fermant les yeux. Je me cognais dans celle-ci, laissant échapper un petit gémissement de douleur. Je tendais toujours le bras pour qu’il l’attrape sans savoir où je me trouvais vraiment.
« Je garde les yeux fermés promis ! »
J’avais simplement pu apercevoir les goûtes glisser le long de son épaule dénuée et j’avais senti mon cœur rater un battement. Je ne savais pas ce que c’était, cette sensation, cette chaleur au niveau de mes reins. Je restais comme un idiot sans bouger devant la porte qu’il avait dû refermer. Je l’avais trouvé vraiment beau. De toute façon Ji Hyun, je l’avais toujours trouvé beau. Ce n’était pas nouveau.
« Je…tu… tu me dis quand c’est bon ? »
J’espérais qu’il n’était plus fâché contre moi et que la douche lui avait fait du bien.
« Je t’ai préparé le lit et j’ai augmenté un peu le chauffage. »
J’essayais de prendre soin de lui, comme je le pouvais.
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CUTE Il m’avait toujours impressionné. Il était fort et courageux, tout ce que je n’étais pas. C’était surement la raison pour laquelle je me sentais bien près de lui, comme si rien ne pouvait m’arriver. J’avais toujours été sincère, je ne savais pas mentir et je savais que cette franchise pouvait parois le mettre mal à l’aise ou bien le braquer. Je n’étais pas doué avec les gens. J’appréciais Ji Hyun, mais je ne savais pas comment le lui dire. Il me semblait normal de m’inquiéter pour lui, mais peut être que je me trompais encore, que j’étais à côté de la plaque. Il avait l’air tellement sûr de lui que je me sentais idiot face à lui.
Je me demandais ce qu’il entendait par le mot : dégénérer. Je pensais à mes cicatrices, le long de mon dos, aux coups de fouets que j’avais reçus quand je n’étais pas assez obéissant. Est-ce que c’était ça, dégénérer ? Est-ce ce que c’était hurler de douleur en sentant le cuir chaud déchirer ma peau ? Est-ce que moi aussi je pouvais dire que ça avait dégénéré ? J’avais du mal à comprendre le degré de gravité de la situation. Je ne doutais pas qu’il se soit défendu, je ne l’avais pas traité comme quelqu’un de faible, mais comme quelqu’un à qui je tenais et à qui je ne voulais pas qu’il arrive du mal.
Son ton était devenu plus froid qu’à son arrivé et plus glacial que lors de son coup de téléphone. J’avais dû faire quelque chose de mal ou dire quelque chose qu’il ne fallait pour qu’il se mette en colère contre moi. Je le regardais, un peu perturbé par son attitude distante.
« P…pardon. Je… je m’inquièterais plus. Je… je vais essayer en tout cas »
C’était faux, mais je ferais de mon mieux pour que ça n’arrive plus. Je préférais me concentrer sur ses mains légèrement meurtries. Je sentais mon cœur se serrer en l’entendant dire qu’il avait l’habitude. C’était une phrase que je prononçais beaucoup quand je me faisais un peu maltraiter par les autres, une phrase que mon frère avait banni de mon vocabulaire. Il avait dit que la violence ne devait jamais faire partie des habitudes.
« Tu ne devrais pas être habitué…Je… j’ai rien dit, pardon. »
Je ne voulais pas qu’il se fâche encore une fois. Je n’avais pas à lui dire ce qu’il devait faire ou non, il me l’avait bien fait comprendre. Je préférais sortir de la salle de bain pour lui laisser une certaine intimité. J’étais pudique et j’imaginais que les autres étaient comme moi. Je sursautais en entendant sa voix. En effet, il avait fait vite. Je me sentais rougir suite à sa question. Il y en avait rangé dans la salle de bain mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je n’avais pas l’habitude d’avoir des hommes nus dans ma salle de bain. Je fouillais rapidement dans mon armoire pour en sortir une et m’approchais de la porte en fermant les yeux. Je me cognais dans celle-ci, laissant échapper un petit gémissement de douleur. Je tendais toujours le bras pour qu’il l’attrape sans savoir où je me trouvais vraiment.
« Je garde les yeux fermés promis ! »
J’avais simplement pu apercevoir les goûtes glisser le long de son épaule dénuée et j’avais senti mon cœur rater un battement. Je ne savais pas ce que c’était, cette sensation, cette chaleur au niveau de mes reins. Je restais comme un idiot sans bouger devant la porte qu’il avait dû refermer. Je l’avais trouvé vraiment beau. De toute façon Ji Hyun, je l’avais toujours trouvé beau. Ce n’était pas nouveau.
« Je…tu… tu me dis quand c’est bon ? »
J’espérais qu’il n’était plus fâché contre moi et que la douche lui avait fait du bien.
« Je t’ai préparé le lit et j’ai augmenté un peu le chauffage. »
J’essayais de prendre soin de lui, comme je le pouvais.
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Re: Lost boys Ft Galadriel | Jeu 7 Déc 2017 - 17:46 Citer EditerSupprimer
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OotdTu n'avais pas la moindre idée de ce qu'il avait bien pu vivre, tu connaissais son nom, là ou il vivait et aussi ce qu'il faisait. Sans plus de détail, ni son âge, ni ce qu'il étudie, ni quoi que ce soit d'autre. Est ce que tu avais envie d'en apprendre plus ? Dans un certain sens, oui, mais tu avais cette sensation toujours persistante que si tu te rapprochais un peu plus de lui, tu allais finir par le regretter, par le perdre. Toute ta vie, tu t’étais sentis abandonné, moins que rien, incompris. Et tu avais cette envie d’être aimé, que l'on t’apprécie, et lui était là ... Et toi, tu le rejetais dans un sens. Quand allais-tu enfin accepter de te faire de vrai amis ? Était-ce le moment de faire un effort ? Mais tu te mets si vite en colère, tu te braques de manière tellement impulsive. Comment réussir à gérer tes réactions ?
Tu soupires à ses paroles, on dirait que c'est toi le méchant. Peut-être l'es-tu un peu ? De toute façon, tu avais toujours préféré que l'on te voie comme le méchant, mais ... Tu ne voulais pas que lui penses que tu l’étais, car dans le fond même toi, tu le savais que tu ne l’étais pas vraiment. Même si tu avais parfois un doute.
« Ce n'est pas grave »
Tu ne savais pas quoi lui dire de plus.
Il s'excuse de nouveau alors qu'il inspecte ta main. Tu respires profondément, décidément, on dirait que ni l'un ni l'autre ne savez vraiment comment agir.
« Je sais ... Mais se plaindre ça ne sers à rien non plus »
Tu répondais tout de même, plus calmement.
Une fois seule, tu allais prendre ta douche, une fois celle-ci terminé, c'est un autre problème qui s'offrait a toi.
À ta demande, tu le vois mal a l'aise, évidemment ... Qui ne le serait pas n'est ce pas ? Ça te changeais tellement des regard trop sale posé sur toi, ça te changeait de ces gens obsédé qui ne semblait pas considéré ton intimité. Il se cogne, tu arques un sourcil. Un léger rictus affine tes lèvres ... Un peu moqueur. Tu attrapes la serviette alors que tu sentais un courant d'air froids glisser sur ta peau, tu frissonnes.
« Merci »
Tu fermes la porte, te sèches rapidement, enfiles ses vêtements, mettant les tiens en boule sous ton bras. Tu te sentais bien a présent, un regain d’énergie, d'apaisement, de sécurité
Tu entendais sa voix derrière la porte, tu l'ouvres, lui adressant un léger sourire, t'es cheveux encore mouillés retombaient sur ton visage, tu avais l'air moins pitoyable.
« C'est bon, j'ai fini »
Préparer, le lit ? Tu gardais tes affaires en boule dans tes mains, tu ne sais pas ou les mettre.
« Mais, tu sais ça ne me dérange pas de dormir à terre, je ne vais pas de voler ton lit ... Tu vas dormir ou toi ? »
Évidemment, l'idée de dormir avec lui ne te venait même pas. Quoi que ? Vous êtes amis, pourquoi pas ?
« Tu faisais quoi avant que je débarque ? T'es sûr que je ne te dérange pas ? »
Oui, il était encore temps d'y penser, tu ne voulais pas le déranger.
« je peux poser ça là ? »
tu désignais un coin, là ou il n'y avait rien pour un poser tes affaires. Tu ne devais plus du tout avoir la même allure dans des vêtement trop grand et dans des couleur beaucoup plus douce que ce que tu portais habituellement. En générale, tu avais une vraie allure de voyou, oreille percée, les ceintures en cuire parfois saillante, les haut très large, les pantalons troués.
Ses vêtements à lui devaient très certainement t'apporter une certaine douceur , toujours trop grand , mais plus simple , plus propre aussi.
Tu soupires à ses paroles, on dirait que c'est toi le méchant. Peut-être l'es-tu un peu ? De toute façon, tu avais toujours préféré que l'on te voie comme le méchant, mais ... Tu ne voulais pas que lui penses que tu l’étais, car dans le fond même toi, tu le savais que tu ne l’étais pas vraiment. Même si tu avais parfois un doute.
« Ce n'est pas grave »
Tu ne savais pas quoi lui dire de plus.
Il s'excuse de nouveau alors qu'il inspecte ta main. Tu respires profondément, décidément, on dirait que ni l'un ni l'autre ne savez vraiment comment agir.
« Je sais ... Mais se plaindre ça ne sers à rien non plus »
Tu répondais tout de même, plus calmement.
Une fois seule, tu allais prendre ta douche, une fois celle-ci terminé, c'est un autre problème qui s'offrait a toi.
À ta demande, tu le vois mal a l'aise, évidemment ... Qui ne le serait pas n'est ce pas ? Ça te changeais tellement des regard trop sale posé sur toi, ça te changeait de ces gens obsédé qui ne semblait pas considéré ton intimité. Il se cogne, tu arques un sourcil. Un léger rictus affine tes lèvres ... Un peu moqueur. Tu attrapes la serviette alors que tu sentais un courant d'air froids glisser sur ta peau, tu frissonnes.
« Merci »
Tu fermes la porte, te sèches rapidement, enfiles ses vêtements, mettant les tiens en boule sous ton bras. Tu te sentais bien a présent, un regain d’énergie, d'apaisement, de sécurité
Tu entendais sa voix derrière la porte, tu l'ouvres, lui adressant un léger sourire, t'es cheveux encore mouillés retombaient sur ton visage, tu avais l'air moins pitoyable.
« C'est bon, j'ai fini »
Préparer, le lit ? Tu gardais tes affaires en boule dans tes mains, tu ne sais pas ou les mettre.
« Mais, tu sais ça ne me dérange pas de dormir à terre, je ne vais pas de voler ton lit ... Tu vas dormir ou toi ? »
Évidemment, l'idée de dormir avec lui ne te venait même pas. Quoi que ? Vous êtes amis, pourquoi pas ?
« Tu faisais quoi avant que je débarque ? T'es sûr que je ne te dérange pas ? »
Oui, il était encore temps d'y penser, tu ne voulais pas le déranger.
« je peux poser ça là ? »
tu désignais un coin, là ou il n'y avait rien pour un poser tes affaires. Tu ne devais plus du tout avoir la même allure dans des vêtement trop grand et dans des couleur beaucoup plus douce que ce que tu portais habituellement. En générale, tu avais une vraie allure de voyou, oreille percée, les ceintures en cuire parfois saillante, les haut très large, les pantalons troués.
Ses vêtements à lui devaient très certainement t'apporter une certaine douceur , toujours trop grand , mais plus simple , plus propre aussi.
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Re: Lost boys Ft Galadriel | Dim 10 Déc 2017 - 22:35 Citer EditerSupprimer
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CUTE Je ne savais pas toujours comment agir avec Ji Hyun, je n’étais pas vraiment aux faits des normes sociales et j’avais souvent été maladroit, je ne m’en rendais simplement pas compte. Je l’avais peut-être blessé sans le faire exprès. C’était sûrement pour cette raison qu’il s’était un peu fâché après moi. J’étais content qu’il soit là, avec moi, même si ce n’était pas dans un très bon état. Je n’avais pas envie qu’il s’en aille. J’avais appris à apprécier sa présence et malgré tout, il me rassurait. J’avais préféré le laisser seul pour qu’il puisse se détendre. Je savais que je pouvais être énervant. On m’avait déjà dit que j’étais trop naïf, et un peu trop bête mais je faisais vraiment de mon mieux pour essayer de m’en sortir.
J’ouvrais les yeux en entendant le son de sa voix, sa beauté me faisant l’effet d’un coup de fusil en pleine poitrine. Avec ses cheveux mouillés, il était encore plus beau que d’habitude. Je restais figé quelques secondes, sans pouvoir détacher mon regard de son visage. C’était la première fois que je me retrouvais paralysé devant quelqu’un et je ne comprenais pas ce qui était en train de m’arriver. Je me reprenais rapidement et secouais la tête. Il était hors de question qu’il dorme sur le sol.
« Non tu prends mon lit. Je dormais dehors avant, alors tu sais, j’ai l’habitude. Je vais mettre une couverture par terre. Et tu ne me voles pas mon lit puisque c’est moi qui te le propose. »
Même à la ferme nous n’avions pas de vrais lits, on dormait le plus souvent les uns contre les autres sur des vieilles couvertures et de la paille.
« Non, je suis content que tu sois là. »
Je lui souriais et hochais la tête pour lui dire qu’il pouvait déposer ses affaires. Je pourrais lui laver et les lui rendre propre. C’était un peu étrange de le voir dans mes vêtements, mais ça me plaisait assez, comme un sentiment de possessivité qui s’emparait de moi. Ce n’était pas quelque chose de bon. On m’avait toujours appris à partager, mais bizarrement, je n’avais pas envie de partager Ji Hyun.
« Je… je dors avec une veilleuse sinon je fais des cauchemars, j’espère que ça ne te dérange pas ? »
Je m’asseyais sur le lit pour me baisser et la brancher. Je n’avais pas envie de le réveiller en pleine nuit avec mes hurlements. Malgré les années passées je n’arrivais pas à me détacher de tout ce qui m’était arrivé. Je le regardais en souriant, les jours rouges, un peu gêné d’agir comment un enfant. Je ne savais pas grand-chose de lui, de sa vie privée. Je ne savais même pas ce qu’on était l’un pour l’autre.
« Dis… on est amis tu crois ? »
Je n’avais jamais vraiment eu d’amis, alors je ne savais pas quoi ce mot correspondait exactement. Je passais une main dans mes cheveux, un peu trop longs, pour les remettre en place. J’y tenais à mes cheveux.
« Et surtout dis-moi si tu as besoin de quelque chose ! Si tu as faim je peux aller te chercher à manger »
J’essayais de faire comme mon frère m’avait appris pour accueillir quelqu’un. Je voulais qu’il se sente à l’aise dans ma chambre. Je n’osais d’ailleurs plus lui reparler de ses blessures de peur qu’il se remette en colère. Je tapais sur le matelas pour qu’il vienne s’assoir à côté de moi.
« Je..J’aimerais bien te connaître un peu plus tu sais ? Mais tu dois sûrement être épuisé, on pourra discuter plus tard … »
Je me massais la nuque, un peu gêné. Il ne voulait peut-être pas me parler de sa vie et il ne voulait peut être rien savoir de la mienne, même si je n’avais pas grand-chose à raconter.
CPROJECT FOR STW.
Lost boys
Ji Hyun & Galadriel
CUTE Je ne savais pas toujours comment agir avec Ji Hyun, je n’étais pas vraiment aux faits des normes sociales et j’avais souvent été maladroit, je ne m’en rendais simplement pas compte. Je l’avais peut-être blessé sans le faire exprès. C’était sûrement pour cette raison qu’il s’était un peu fâché après moi. J’étais content qu’il soit là, avec moi, même si ce n’était pas dans un très bon état. Je n’avais pas envie qu’il s’en aille. J’avais appris à apprécier sa présence et malgré tout, il me rassurait. J’avais préféré le laisser seul pour qu’il puisse se détendre. Je savais que je pouvais être énervant. On m’avait déjà dit que j’étais trop naïf, et un peu trop bête mais je faisais vraiment de mon mieux pour essayer de m’en sortir.
J’ouvrais les yeux en entendant le son de sa voix, sa beauté me faisant l’effet d’un coup de fusil en pleine poitrine. Avec ses cheveux mouillés, il était encore plus beau que d’habitude. Je restais figé quelques secondes, sans pouvoir détacher mon regard de son visage. C’était la première fois que je me retrouvais paralysé devant quelqu’un et je ne comprenais pas ce qui était en train de m’arriver. Je me reprenais rapidement et secouais la tête. Il était hors de question qu’il dorme sur le sol.
« Non tu prends mon lit. Je dormais dehors avant, alors tu sais, j’ai l’habitude. Je vais mettre une couverture par terre. Et tu ne me voles pas mon lit puisque c’est moi qui te le propose. »
Même à la ferme nous n’avions pas de vrais lits, on dormait le plus souvent les uns contre les autres sur des vieilles couvertures et de la paille.
« Non, je suis content que tu sois là. »
Je lui souriais et hochais la tête pour lui dire qu’il pouvait déposer ses affaires. Je pourrais lui laver et les lui rendre propre. C’était un peu étrange de le voir dans mes vêtements, mais ça me plaisait assez, comme un sentiment de possessivité qui s’emparait de moi. Ce n’était pas quelque chose de bon. On m’avait toujours appris à partager, mais bizarrement, je n’avais pas envie de partager Ji Hyun.
« Je… je dors avec une veilleuse sinon je fais des cauchemars, j’espère que ça ne te dérange pas ? »
Je m’asseyais sur le lit pour me baisser et la brancher. Je n’avais pas envie de le réveiller en pleine nuit avec mes hurlements. Malgré les années passées je n’arrivais pas à me détacher de tout ce qui m’était arrivé. Je le regardais en souriant, les jours rouges, un peu gêné d’agir comment un enfant. Je ne savais pas grand-chose de lui, de sa vie privée. Je ne savais même pas ce qu’on était l’un pour l’autre.
« Dis… on est amis tu crois ? »
Je n’avais jamais vraiment eu d’amis, alors je ne savais pas quoi ce mot correspondait exactement. Je passais une main dans mes cheveux, un peu trop longs, pour les remettre en place. J’y tenais à mes cheveux.
« Et surtout dis-moi si tu as besoin de quelque chose ! Si tu as faim je peux aller te chercher à manger »
J’essayais de faire comme mon frère m’avait appris pour accueillir quelqu’un. Je voulais qu’il se sente à l’aise dans ma chambre. Je n’osais d’ailleurs plus lui reparler de ses blessures de peur qu’il se remette en colère. Je tapais sur le matelas pour qu’il vienne s’assoir à côté de moi.
« Je..J’aimerais bien te connaître un peu plus tu sais ? Mais tu dois sûrement être épuisé, on pourra discuter plus tard … »
Je me massais la nuque, un peu gêné. Il ne voulait peut-être pas me parler de sa vie et il ne voulait peut être rien savoir de la mienne, même si je n’avais pas grand-chose à raconter.
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