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[REBOOT] RAY BO RAM (+) she's a riot
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[REBOOT] RAY BO RAM (+) she's a riot | Jeu 14 Déc - 8:11 Citer EditerSupprimer
nom : Ray, comme John (Jonathan) Ray?! qu'on lui demande à chaque fois. Ben oui, comme John Ray, un acteur connu aux USA. Son père adoptif, quoi. prénom : Bo Ram. âge : 20 ans. date et lieu de naissance : 8 Juin 1997 à Séoul. origines : Coréenne. nationalité : Américano-coréenne. cursus universitaire : 2ème année en chimie. métier : Vendeuse dans une boutique Lush. orientation sexuelle : Hétérosexuelle. classe sociale : Aisée. code du règlement : OK par Mogo. tu veux t'investir ? gumiho
Ray Bo Ram
I'll find that space where only you remain with me
AFFIRMÉE (★★★✰✰) | HAUTAINE (★★★✰✰) | DYNAMIQUE (★★★✰✰) | ÉGOÏSTE/ÉGOCENTRIQUE (★★★✰✰) | SYMPATHIQUE (★★★✰✰) |
MANIPULATRICE (★★★★✰) | OPTIMISTE (★★★✰✰) | DÉVERGONDÉE (★★★✰✰) | EXTRAVERTIE (★★★✰✰) | COMPLIQUÉE (★★★✰✰) |
Rumour has it... Elle a été adoptée par un mafieux à ses 10 ans (F, elle a été adoptée par un acteur très connu aux USA) Survole l'avatar, petit coquin. | My character Que peut-on attendre d’une gamine qui est passée de l’ombre à la lumière? Qui a passé 10 ans dans un centre social à voir ses potentiels parents (aussi nombreux étaient-ils) défiler? Forcément un caractère bien trempé qui vous ferait tourner les talons immédiatement. Pourtant, Bo Ram n’a rien qui vous ferait fuir si vite. C’est pire encore. Ses yeux qui inspirent l’innocence et son sourire chaleureux vous feront aller vers elle dès les premiers moments tant elle dégage cette aura positive et attrayante. On la voit, on la veut, c'est immédiat, elle est souvent au centre de l'attention et si au début on se dit que c'est exagéré, on comprend ensuite pourquoi. Vue comme ça, elle est parfaite, elle n'a pas un défaut mais à moins d'être un ange, ça, ça n'existe pas. Alors pour l'instant on va parler du positif, se ses bras maigrelets qui s’ouvrent à vous pour vous consoler et vous rassurer, son rire contagieux qui raisonne comme une belle mélodie pour certains, comme le pire des châtiments pour les jalouses. C’est vrai qu’elle respire la joie de vivre quand on la voit comme ça, et on l’envie souvent parce qu’elle peut s’intégrer partout où elle va, se faire des amis en un claquement de doigt tant elle rayonne par sa positivité. Normal, Bo Ram a tout pour être heureuse, elle nage en plein bonheur et tout lui réussit. Oh oui, elle attise la jalousie des plus timides ou des bons à rien. Bons à rien, oui, parce que tout ce qu’elle entreprend, elle le réussit. Parfois facilement, parfois difficilement mais au moins, on lui reconnaît une qualité, c’est qu’elle ne baisse jamais les bras. Elle se bat jusqu’au bout pour s’en sortir. Cette rage de vaincre, Bo Ram l'a acquise le jour où on lui a expliqué qu’elle partait avec un handicap des plus importants: elle vit avec un rein. Alors elle se donne à fond, elle se donne la peine de réussir parce qu’elle se dit que la vie l’a assez handicapé comme ça, elle ne lui donnera pas l’occasion de renchérir. Et ce n’est certainement pas parce que ses parents adoptifs sont riches qu’elle a décidé d’arrêter de se battre. Au contraire, leur richesse n’achètera pas tout pour elle et parce qu’elle le refuse aussi d’un côté. La Yonsei, c’était l’idée de son père. « Pourquoi t’irais pas étudier là-bas? » qu’il lui avait demandé. Pour lui c’était facile, un billet glissé sous le bureau du directeur et Bo Ram était admise, mais la demoiselle a voulu la jouer réglo, comme les autres, et elle a réussi haut la main après avoir passé deux mois à bûcher sur son examen d’entrée. Et puis elle est du genre à vouloir transmettre sa positivité à ses proches, à leur faire croire en leurs rêves pour les pousser à se surpasser aussi. Elle aime inspirer les gens, elle aime transmettre de son audace, rien de mieux ne lui fait plaisir. Perturbée, confrontée à la lâcheté des adultes trop tôt, mais choyée, pourrie gâtée ensuite et depuis ses 10 ans. Ce changement de situation, ces faits ont mené aux défauts les plus remarquables chez Bo Ram. Une jeune fille qui fuit le sérieux, qui ne pense qu’à s’amuser et qui angoisse à l’idée de devenir une adulte. Elle hait les adultes (sauf ses parents) et refuse de devenir comme eux. Peter Pan, en sommes. Alors quand on heu parler de sujets sérieux avec elle, c’est s’aventurer sur un terrain glissant. Elle peut se montrer fuyarde ou bien agressive, vous envoyer chier pour vous faire comprendre qu’elle veut la paix. Se révèle alors une autre partie de sa personnalité qu’elle cache derrière cette façon qu’elle a de rayonner en public. Le revers de la médaille vous refroidira. Elle n’est pas toujours cette poupée au sourire rassurant et chaleureux. Non, elle es même plus souvent comme ça. Exigeante, impitoyable, expéditive, une princesse qui revient de loin. Mais une princesse des beaux quartiers, fille adoptive de deux acteurs jeunes et beaux à qui tout réussit aussi. Et le problème vient d’eux aussi. Ils l’ont trop gâté, beaucoup trop pour une petite qui n’avait rien connu de tout ça avant. Elle était devenue la chouchou des familles maternelles et paternelles. A l’école, tout le monde trainait avec elle. Elle a pris goût à toute cette attention et ainsi, elle n’a plus jamais réussi à s’en passer. Quand quelqu’un ne la regarde pas ou commence à la laisser tomber, Bo Ram panique tellement qu’elle en vient à faire n’importe quoi pour exister à nouveau aux yeux de la personne. Un comportement puéril qui va bien avec son côté Peter Pan au final, mais qui la rend détestable. Qui l’empêche de voir plus loin que le bout de son nez. Capricieuse, elle craint qu’on lui résiste. Il lui faut tout, tout de suite, et quand quelqu’un vient contrer ses plans ou simplement la contrarier, alors elle va se fermer et ne plus adresser la parole à qui que ce soit. Faire la gueule de son côté dans le meilleur des cas, vous envoyer chier dans le pire. Mais surtout, méfiez vous de son côté chaleureux presque hypocrite. Elle est tout sauf facile à vivre. |
This is my story
citation de ton choix
Le 8 Juin 1997 naît une petite fille qui semble avoir un avenir bien sombre tout tracé. Sa mère, si on peut l’appeler ainsi, une mégère ou bien une femme égoïste, s’apprête à donner les plus grands efforts de sa vie pour mettre au monde ce petit être. Né d’un amour qui n’a jamais existé et qui n’existera jamais. Le père, inconnu. Un beau blond aux yeux bleus de ce qu’on dit, un britannique venu s’installer à Séoul pour son boulot. Un carriériste qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez, alors quand son coup d’un soir lui a dit qu’elle était enceinte, c’est tout naturellement qu’il l’a envoyé se faire voir. Mais elle l’a bien vécu, ça l’a conforté dans sa décision: elle va avorter. Or, elle s’y est prise trop tard, elle va être obligée de mettre au monde ce sale gosse qu’elle n’a jamais voulu. Et elle l’a fait, mais elle n’a rien fait de plus. « Allez, hors de ma vue! » a-t-elle ordonné aux sages femmes et au gynéco qui l’avaient assisté pour cet accouchement. « Vous ne voulez pas tenir votre bébé? » « Quel bébé? C’est un accouchement sous X, on ne vous l’a pas dit? » Le gynéco est resté sans voix, ses poils se sont hérissé: c’était le genre de situation qu’il craignait. Voir des bébés qui ne quittent pas la maternité aux bras de leurs parents mais bien aux bras des services sociaux. Et encore une. Une petite fille aux beaux yeux clairs et les yeux en amande, une belle métisse qui va en faire tourner des têtes, il en était certain. Et puisque sa mère n’a jamais voulu en entendre parler, il a choisi lui même le prénom: Bo Ram, le prénom de sa propre fille, disparue quelques années plus tôt, emportée par une leucémie.
« Elle est atteinte d’une malformation rénale. » déclare le pédiatre travaillant au centre hospitalier. « Personne ne te l’a dit? » demande-t-il à son ami gynécologue. « Non, cette femme n’a pas effectué son suivi ici. Je pensais pas que la petite avait une malformation! » « Elle n’a qu’un rein… » Et le silence a envahi la pièce. Le gynécologue a glissé son index dans la petite main de Bo Ram, qu’elle a serré immédiatement. Décidément, il gardera bien un oeil sur cette fille, comme si c’était la sienne.
Comme prévu, Bo Ram a donc été placée dans un centre social en attendant de trouver une famille d’adoption. Pour une si jolie fille, toutes les employées du centre ont pensé qu’elle ne durerait pas longtemps ici. Et pourtant… Elle y a passé 10 ans. Elle était devenue une habituée de ces couloirs, elle vivait à ce centre et à force, elle a fini par s’y faire. Elle a dû affronter bon nombre de promesses d’adoption qui n’ont jamais abouti, elle a cessé de les compter parce que ça lui brisait le coeur. Les gens avaient tous les mêmes raisons. « Ah…Malformation rénale vous dîtes? … Hm… Elle va nous revenir cher en frais médicaux. On va annuler la procédure. » un jour, elle a surpris un couple dire ça et ça l’a brisé, mais ça l’a métamorphosé. C’est à cet instant précis qu’elle a compris qu’elle n’aurait rien des autres, que tout ce qu’elle obtiendra dans la vie ce sera grâce à elle même. Ainsi est née la Bo Ram téméraire et solitaire. Pendant un moment, elle se plongea dans un mutisme profond, adopta le comportement digne d’une enfant sauvage qui a grandi loin de la civilisation. Elle ne faisait plus confiance aux adultes, pas même aux bénévoles qui travaillaient dans ce centre social et qu’elle considérait alors comme des grandes soeurs ou des mamans.
Et puis, il y a eu ce couple, Claire et Jonathan Ray, qui sont venus à Séoul et qui a suscité une vague d’excitation dans les médias. Un couple d’acteurs américains connu, venu acheter un appartement secondaire pour compléter leur fortune. Mais ce couple qui faisait tourner les têtes de tout le monde manquait de quelque chose de vital: un enfant. Non, Madame n’était pas stérile, lui non plus, mais ils avaient toujours rêvé d’adopter un enfant dans le besoin. Alors ils se sont rendus dans ce centre social, ils ont fait la connaissance de tous les enfants, mais de tous ceux là, ce sont bien les yeux marrons clairs de Bo Ram qui leur ont plus. « Ah, Bo Ram… Ça va faire bientôt 10 ans qu’elle est avec nous. » Claire, cette belle jeune femme de 29 ans, s’était indignée. « Quoi?! 10 ans?! C’est pas possible, comment peut-on ne pas vouloir de cette si jolie frimousse? » « Hé bien… Elle est malade. Elle est née avec un rein, les gens ont tendance à fuir les enfants atteints de malformation. » Un silence a envahi la pièce. Claire n’en revenait pas, John non plus. « Tant mieux, elle fera notre bonheur. » avait-il déclaré, ferme.
Bo Ram a longtemps mis du temps à y croire, pourtant c’était bien réel. Elle allait faire sa valise et quitter la Corée du Sud pour s’installer aux Etats Unis dans le magnifique état de Californie, plus précisément à Laguna Beach. Si au centre social, Bo Ram dormait sur un petit lit au matelas dur comme de la pierre, là, à Laguna, dans cette magnifique villa en bord de mer, elle avait le choix entre 4 chambres, toutes dotées de lit queen size. Un changement brutal qui lui a un peu fait perdre pied, et ce n’est rien comparé à l’effet des flash des paparazzis sur elle quand elle est descendue de l’avion pour poser pour la première fois le pied sur le sol américain. Depuis ce jour, ça a toujours été ainsi. Dès que les Ray sortaient en famille, ils se faisaient bombarder de photos, surtout Bo Ram, qui avait fait la une de la presse people à l’époque. Alors pour la popularité, elle n’a jamais eu de problèmes non plus. Les enfants l’aimaient beaucoup, elle se faisait des amis en un claquement de doits et s’était retrouvée au centre de l’attention. Et elle y a pris goût. Si l’on mettait de côté ces fichus paparazzis qui la bombardaient de photos, Bo Ram avait une vie de rêve. Des parents adoptifs aimants, et jeunes, compréhensifs avec la moindre de ses lubies et qui lui ont donc donné de mauvaises habitudes, c’est vrai, mais en contrepartie, elle les a toujours aimé du plus profond de son être. Le fait qu’ils n’aient que 19 ans d’écart a beaucoup joué aussi, Bo Ram s’est toujours sentie à l’aise avec ses parents et ce qu’importe les situations. La vie de château, avec des parents trop cools. De quoi faire des jaloux…
En tout cas, Bo Ram a toujours été une jeune fille libre de faire ses choix. Ses parents lui font une confiance aveugle et c’est pour ça qu’elle est une jeune femme affirmée et qui n’a peur de rien. La Yonsei, c’est une idée de son père à la base, parce qu’il savait que son pays natal lui manquait, alors elle a relevé le défi. Pas de triche, que du mérite. Elle s’est mise à bosser durement sur son examen d’entrée et c’est ainsi qu’elle a obtenu son examen d’entrée à cette prestigieuse école. Après 8 ans passés loin de ses terres, l’asiatique allait retrouver ces rusent ces buildings qui l’ont bercé pendant toute son enfance. Retrouver aussi ses amis d’enfance, s’ils se souviennent encore d’elle… Bref, renouer avec son pays, et qui sait peut-être y finir dans la police scientifique, comme elle l’a toujours voulu.
« Elle est atteinte d’une malformation rénale. » déclare le pédiatre travaillant au centre hospitalier. « Personne ne te l’a dit? » demande-t-il à son ami gynécologue. « Non, cette femme n’a pas effectué son suivi ici. Je pensais pas que la petite avait une malformation! » « Elle n’a qu’un rein… » Et le silence a envahi la pièce. Le gynécologue a glissé son index dans la petite main de Bo Ram, qu’elle a serré immédiatement. Décidément, il gardera bien un oeil sur cette fille, comme si c’était la sienne.
Du centre social à Laguna Beach
Comme prévu, Bo Ram a donc été placée dans un centre social en attendant de trouver une famille d’adoption. Pour une si jolie fille, toutes les employées du centre ont pensé qu’elle ne durerait pas longtemps ici. Et pourtant… Elle y a passé 10 ans. Elle était devenue une habituée de ces couloirs, elle vivait à ce centre et à force, elle a fini par s’y faire. Elle a dû affronter bon nombre de promesses d’adoption qui n’ont jamais abouti, elle a cessé de les compter parce que ça lui brisait le coeur. Les gens avaient tous les mêmes raisons. « Ah…Malformation rénale vous dîtes? … Hm… Elle va nous revenir cher en frais médicaux. On va annuler la procédure. » un jour, elle a surpris un couple dire ça et ça l’a brisé, mais ça l’a métamorphosé. C’est à cet instant précis qu’elle a compris qu’elle n’aurait rien des autres, que tout ce qu’elle obtiendra dans la vie ce sera grâce à elle même. Ainsi est née la Bo Ram téméraire et solitaire. Pendant un moment, elle se plongea dans un mutisme profond, adopta le comportement digne d’une enfant sauvage qui a grandi loin de la civilisation. Elle ne faisait plus confiance aux adultes, pas même aux bénévoles qui travaillaient dans ce centre social et qu’elle considérait alors comme des grandes soeurs ou des mamans.
Et puis, il y a eu ce couple, Claire et Jonathan Ray, qui sont venus à Séoul et qui a suscité une vague d’excitation dans les médias. Un couple d’acteurs américains connu, venu acheter un appartement secondaire pour compléter leur fortune. Mais ce couple qui faisait tourner les têtes de tout le monde manquait de quelque chose de vital: un enfant. Non, Madame n’était pas stérile, lui non plus, mais ils avaient toujours rêvé d’adopter un enfant dans le besoin. Alors ils se sont rendus dans ce centre social, ils ont fait la connaissance de tous les enfants, mais de tous ceux là, ce sont bien les yeux marrons clairs de Bo Ram qui leur ont plus. « Ah, Bo Ram… Ça va faire bientôt 10 ans qu’elle est avec nous. » Claire, cette belle jeune femme de 29 ans, s’était indignée. « Quoi?! 10 ans?! C’est pas possible, comment peut-on ne pas vouloir de cette si jolie frimousse? » « Hé bien… Elle est malade. Elle est née avec un rein, les gens ont tendance à fuir les enfants atteints de malformation. » Un silence a envahi la pièce. Claire n’en revenait pas, John non plus. « Tant mieux, elle fera notre bonheur. » avait-il déclaré, ferme.
Bo Ram a longtemps mis du temps à y croire, pourtant c’était bien réel. Elle allait faire sa valise et quitter la Corée du Sud pour s’installer aux Etats Unis dans le magnifique état de Californie, plus précisément à Laguna Beach. Si au centre social, Bo Ram dormait sur un petit lit au matelas dur comme de la pierre, là, à Laguna, dans cette magnifique villa en bord de mer, elle avait le choix entre 4 chambres, toutes dotées de lit queen size. Un changement brutal qui lui a un peu fait perdre pied, et ce n’est rien comparé à l’effet des flash des paparazzis sur elle quand elle est descendue de l’avion pour poser pour la première fois le pied sur le sol américain. Depuis ce jour, ça a toujours été ainsi. Dès que les Ray sortaient en famille, ils se faisaient bombarder de photos, surtout Bo Ram, qui avait fait la une de la presse people à l’époque. Alors pour la popularité, elle n’a jamais eu de problèmes non plus. Les enfants l’aimaient beaucoup, elle se faisait des amis en un claquement de doits et s’était retrouvée au centre de l’attention. Et elle y a pris goût. Si l’on mettait de côté ces fichus paparazzis qui la bombardaient de photos, Bo Ram avait une vie de rêve. Des parents adoptifs aimants, et jeunes, compréhensifs avec la moindre de ses lubies et qui lui ont donc donné de mauvaises habitudes, c’est vrai, mais en contrepartie, elle les a toujours aimé du plus profond de son être. Le fait qu’ils n’aient que 19 ans d’écart a beaucoup joué aussi, Bo Ram s’est toujours sentie à l’aise avec ses parents et ce qu’importe les situations. La vie de château, avec des parents trop cools. De quoi faire des jaloux…
En tout cas, Bo Ram a toujours été une jeune fille libre de faire ses choix. Ses parents lui font une confiance aveugle et c’est pour ça qu’elle est une jeune femme affirmée et qui n’a peur de rien. La Yonsei, c’est une idée de son père à la base, parce qu’il savait que son pays natal lui manquait, alors elle a relevé le défi. Pas de triche, que du mérite. Elle s’est mise à bosser durement sur son examen d’entrée et c’est ainsi qu’elle a obtenu son examen d’entrée à cette prestigieuse école. Après 8 ans passés loin de ses terres, l’asiatique allait retrouver ces rusent ces buildings qui l’ont bercé pendant toute son enfance. Retrouver aussi ses amis d’enfance, s’ils se souviennent encore d’elle… Bref, renouer avec son pays, et qui sait peut-être y finir dans la police scientifique, comme elle l’a toujours voulu.
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Jufrix
Ceci est un reboot de Bo Ram, suite à la suppression de Boni
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Supprimez le code inutile
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Re: [REBOOT] RAY BO RAM (+) she's a riot | Jeu 14 Déc - 9:59 Citer EditerSupprimer
bon reboot la biquette
Noh Eunbi
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Re: [REBOOT] RAY BO RAM (+) she's a riot | Jeu 14 Déc - 10:11 Citer EditerSupprimer
la bff on garde notre duo de bobo hein
bon reboot ma belle
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you calm my mind and set my heart on fire, you're that beautiful combination. ☽
bon reboot ma belle
you calm my mind and set my heart on fire, you're that beautiful combination. ☽
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Re: [REBOOT] RAY BO RAM (+) she's a riot | Jeu 14 Déc - 16:03 Citer EditerSupprimer
mon petit chaton
bon reboot et vite vite qu'on rp avec la jolie boram !!
bon reboot et vite vite qu'on rp avec la jolie boram !!
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Re: [REBOOT] RAY BO RAM (+) she's a riot | Jeu 14 Déc - 17:45 Citer EditerSupprimer
bon courage pour ton reboot
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Kong Yeong Hun
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Helvia
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Messages : 26401
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Re: [REBOOT] RAY BO RAM (+) she's a riot | Jeu 14 Déc - 22:06 Citer EditerSupprimer
bon reboot !
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head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
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