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Le cercle des poètes disparus #Taeni
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Le cercle des poètes disparus #Taeni | Jeu 14 Déc 2017 - 21:59
Une soirée poésie. Une soirée poésie où enfin, il peut se poser. Des semaines qu’il a des vues sur cet endroit magique, des semaines qu’il repousse le moment d’y aller. Soupirant un peu, il parcourt le lieu du regard et se lèche les lèvres mécaniquement. C’est devenu un geste banal. Un geste oublié. Il scrute la foule qui ne semble pas dense et pourtant, presque toutes les tables sont occupées. Soucieux, il avait appelé pour en réserver une. Dans un coin, une petite scène. Dans sa main, un recueil de poèmes de William Sharp. Non. Pas de Shakespeare. C’est trop facile. Le piano berce les mœurs et l’ambiance tamisée le fait frissonner. C’est exactement ce qu’il avait imaginé. Son nom est appelé, alors il se redresse, dépose sa tasse de thé, hésite et laisse aussi son manteau avant de rejoindre les planches de bois qui se mettent alors à craquer sous son poids. Un silence. Les voix baissent, puis se taisent… Il passe une main dans ses cheveux, puis toussote avant de démarrer.
Il sait qu’un texte en anglais peut en désabuser plus d’un. Il se dit aussi que sans cette langue, les coréens deviendront bientôt des idiots. Le monde s’ouvre de plus en plus à leur culture, mais pas forcément à leur langue. Il sait qu’ils doivent être ceux faisant des efforts pour le moment, comme avec les japonais et les chinois. Il maîtrise chacune de ses langues. Il a dû les apprendre. Le business ne laisse pas de choix. Alors, il termine sa lecture dans un anglais presque impeccable avant de refermer son livre et de regarder les amateurs face à lui. Certaines applaudissent, d’autres se mettent à maugréer. Il n’en a cure et rejoint sa place jusqu’à ce qu’une voix ne lui fasse redresser le minois.
Le cercle des poètes disparus
Feat JINI
Une soirée poésie. Une soirée poésie où enfin, il peut se poser. Des semaines qu’il a des vues sur cet endroit magique, des semaines qu’il repousse le moment d’y aller. Soupirant un peu, il parcourt le lieu du regard et se lèche les lèvres mécaniquement. C’est devenu un geste banal. Un geste oublié. Il scrute la foule qui ne semble pas dense et pourtant, presque toutes les tables sont occupées. Soucieux, il avait appelé pour en réserver une. Dans un coin, une petite scène. Dans sa main, un recueil de poèmes de William Sharp. Non. Pas de Shakespeare. C’est trop facile. Le piano berce les mœurs et l’ambiance tamisée le fait frissonner. C’est exactement ce qu’il avait imaginé. Son nom est appelé, alors il se redresse, dépose sa tasse de thé, hésite et laisse aussi son manteau avant de rejoindre les planches de bois qui se mettent alors à craquer sous son poids. Un silence. Les voix baissent, puis se taisent… Il passe une main dans ses cheveux, puis toussote avant de démarrer. « The air is blue and keen and cold,
With snow the roads and fields are white
But here the forest's clothed with light
And in a shining sheath enrolled.
Each branch, each twig, each blade of grass,
Seems clad miraculously with glass:
Above the ice-bound streamlet bends
Each frozen fern with crystal ends. »
With snow the roads and fields are white
But here the forest's clothed with light
And in a shining sheath enrolled.
Each branch, each twig, each blade of grass,
Seems clad miraculously with glass:
Above the ice-bound streamlet bends
Each frozen fern with crystal ends. »
Il sait qu’un texte en anglais peut en désabuser plus d’un. Il se dit aussi que sans cette langue, les coréens deviendront bientôt des idiots. Le monde s’ouvre de plus en plus à leur culture, mais pas forcément à leur langue. Il sait qu’ils doivent être ceux faisant des efforts pour le moment, comme avec les japonais et les chinois. Il maîtrise chacune de ses langues. Il a dû les apprendre. Le business ne laisse pas de choix. Alors, il termine sa lecture dans un anglais presque impeccable avant de refermer son livre et de regarder les amateurs face à lui. Certaines applaudissent, d’autres se mettent à maugréer. Il n’en a cure et rejoint sa place jusqu’à ce qu’une voix ne lui fasse redresser le minois.
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Re: Le cercle des poètes disparus #Taeni | Dim 17 Déc 2017 - 14:51
Les mains contre sa tasse de thé, le regardé plonger dans l’eau chaude, une casquette cachant son visage, des vêtements amples mais agréables, assise seule sur une table, à l’écart des yeux indiscrets, Jini retravaille les quelques notes qu’elle a en tête, essayant de les conserver le plus longtemps possible dans sa mémoire. Elle lève finalement les yeux lorsqu’un homme se présente à la scène, démarrant les hostilités, faisant une magnifique tirade qu’elle ne comprend pas mais elle ne peut s’empêcher de trouver le moment agréable, à cause du ton employé par le jeune homme mais aussi à cause de son accent qu’elle envie terriblement, cet homme dégageant quelque chose de particulier tout au long de sa poésie. Jini se sent davantage nerveuse elle qui ne l’est jamais, ou presque jamais. Elle ne sait pas ce qu’elle fait là et n’a qu’une envie, c’est de fuir, de prendre ses jambes à son cou et de retrouver un terrain qu’elle connait mieux et sur lequel elle est plus à l’aise. Si elle est ici, aujourd’hui, c’est uniquement à cause d’un stupide pari fait avec l’un des joueurs de son équipe. Et malheureusement pour elle, elle ne peut plus faire demi-tour. Surtout lorsque l’organisateur énonce son prénom. « Je suis là ! C’est moi » dit-elle brusquement, en se levant soudainement, la main levée, faisant tomber par la même occasion sa chaise, la faisant rougir. Pas de panique Jini, tu vas y arriver. Elle ne comprend même pas pourquoi elle est si intimidée, elle qui ne l’est d’ordinaire jamais. C’en est presque perturbant. « Hum . . . Le corps recouvert de peinture, la peau fragile comme une toile, le dos collé contre le mur, elle s’expose, enveloppe opale. Dans son sourire aux lèvres absentes, tant abusée, mêlée d’étreintes, on pourrait lire dans sa tourmente, que l’or de ses cheveux se teinte, de mille couleurs incandescentes. Que cache-t-elle ? Beauté divine. Derrière cette sagesse indécente, une saveur, un feu sublime, signe d’un réveil en attente. La Joconde est lasse et son sourire doux-amer rappelle que ses mortes cellules n’ont d’effet que d’étouffer la tendre guerre des regards ». Elle conclut, se penche en avant, apaisant légèrement sa casquette pour se remettre rapidement à sa place, poussant un soupir de soulagement après s’être de nouveau assise, buvant son thé devenu froid.
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Feat Tae Kyun
Les mains contre sa tasse de thé, le regardé plonger dans l’eau chaude, une casquette cachant son visage, des vêtements amples mais agréables, assise seule sur une table, à l’écart des yeux indiscrets, Jini retravaille les quelques notes qu’elle a en tête, essayant de les conserver le plus longtemps possible dans sa mémoire. Elle lève finalement les yeux lorsqu’un homme se présente à la scène, démarrant les hostilités, faisant une magnifique tirade qu’elle ne comprend pas mais elle ne peut s’empêcher de trouver le moment agréable, à cause du ton employé par le jeune homme mais aussi à cause de son accent qu’elle envie terriblement, cet homme dégageant quelque chose de particulier tout au long de sa poésie. Jini se sent davantage nerveuse elle qui ne l’est jamais, ou presque jamais. Elle ne sait pas ce qu’elle fait là et n’a qu’une envie, c’est de fuir, de prendre ses jambes à son cou et de retrouver un terrain qu’elle connait mieux et sur lequel elle est plus à l’aise. Si elle est ici, aujourd’hui, c’est uniquement à cause d’un stupide pari fait avec l’un des joueurs de son équipe. Et malheureusement pour elle, elle ne peut plus faire demi-tour. Surtout lorsque l’organisateur énonce son prénom. « Je suis là ! C’est moi » dit-elle brusquement, en se levant soudainement, la main levée, faisant tomber par la même occasion sa chaise, la faisant rougir. Pas de panique Jini, tu vas y arriver. Elle ne comprend même pas pourquoi elle est si intimidée, elle qui ne l’est d’ordinaire jamais. C’en est presque perturbant. « Hum . . . Le corps recouvert de peinture, la peau fragile comme une toile, le dos collé contre le mur, elle s’expose, enveloppe opale. Dans son sourire aux lèvres absentes, tant abusée, mêlée d’étreintes, on pourrait lire dans sa tourmente, que l’or de ses cheveux se teinte, de mille couleurs incandescentes. Que cache-t-elle ? Beauté divine. Derrière cette sagesse indécente, une saveur, un feu sublime, signe d’un réveil en attente. La Joconde est lasse et son sourire doux-amer rappelle que ses mortes cellules n’ont d’effet que d’étouffer la tendre guerre des regards ». Elle conclut, se penche en avant, apaisant légèrement sa casquette pour se remettre rapidement à sa place, poussant un soupir de soulagement après s’être de nouveau assise, buvant son thé devenu froid. Invité
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Re: Le cercle des poètes disparus #Taeni | Dim 17 Déc 2017 - 18:52
Ecoutant attentivement la demoiselle sans pour autant lever mes yeux sur elle, je garde mon regard vissé sur ma tasse de thé, souriant en coin lorsque je reconnais le poème avant de simplement fermer les yeux. Elle n’y met pas totalement le ton, c’est un peu rapide. Dommage, elle a une jolie voix. On sent qu’elle était nerveuse. On sent qu’elle ne l’a pas vraiment fait pour elle-même. Pas comme moi. Cependant, je trouve le choix de son poème relativement intéressant et bien que je préfère la version originale, pour une fois, la version coréenne n’est pas si mal. Alors, lorsqu’elle retourne à sa place, je garde mes yeux clos et suis ses pas d’une oreille attentive jusqu’à un siège que l’on tire. Là, mes paupières se lèvent et je penche doucement la tête, la cherchant du regard, tasse au bord des lèvres pour finir mon thé. Lorsqu’enfin je la repère, un maigre sourire en coin se peint sur mes lèvres. Attendant plusieurs minutes, je finis par me lever, prendre mon manteau et venir la rejoindre. « Pour la Joconde, Isaac Lerutan. » Je regarde la chaise à ses côtés et la montre d’un mouvement de tête. « Puis-je ? » Et lorsqu’elle accepte, je m’installe, croisant mes longues jambes tout en l’observant. Son minois me dit terriblement quelque chose, j'ai l'impression de la connaître. « Quelle est la vraie raison de ta montée sur scène ? » Parce que cela m’intrigue honnêtement.
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Ecoutant attentivement la demoiselle sans pour autant lever mes yeux sur elle, je garde mon regard vissé sur ma tasse de thé, souriant en coin lorsque je reconnais le poème avant de simplement fermer les yeux. Elle n’y met pas totalement le ton, c’est un peu rapide. Dommage, elle a une jolie voix. On sent qu’elle était nerveuse. On sent qu’elle ne l’a pas vraiment fait pour elle-même. Pas comme moi. Cependant, je trouve le choix de son poème relativement intéressant et bien que je préfère la version originale, pour une fois, la version coréenne n’est pas si mal. Alors, lorsqu’elle retourne à sa place, je garde mes yeux clos et suis ses pas d’une oreille attentive jusqu’à un siège que l’on tire. Là, mes paupières se lèvent et je penche doucement la tête, la cherchant du regard, tasse au bord des lèvres pour finir mon thé. Lorsqu’enfin je la repère, un maigre sourire en coin se peint sur mes lèvres. Attendant plusieurs minutes, je finis par me lever, prendre mon manteau et venir la rejoindre. « Pour la Joconde, Isaac Lerutan. » Je regarde la chaise à ses côtés et la montre d’un mouvement de tête. « Puis-je ? » Et lorsqu’elle accepte, je m’installe, croisant mes longues jambes tout en l’observant. Son minois me dit terriblement quelque chose, j'ai l'impression de la connaître. « Quelle est la vraie raison de ta montée sur scène ? » Parce que cela m’intrigue honnêtement. Invité
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Re: Le cercle des poètes disparus #Taeni | Dim 17 Déc 2017 - 22:36
Elle n’a pas le temps de profiter réellement de ce moment de solitude qu’un homme, un parfait étranger, s’avance jusqu’à elle, demandant le droit de s’asseoir sur la même table. Elle le regarde rapidement et reconnait la silhouette ayant bercé la pièce quelques minutes avant, « oh, bien sûr » dit-elle avec un grand sourire, heureuse d’avoir de la compagnie mais méfiante tout de même vis-à-vis de ce parfait inconnu. Elle est surprise par l’ampleur de ses connaissances, ne s’attendant pas à ce que quelqu’un devine l’auteur de son poème, « oh. Bien vu. Je vois que vous êtes un fin connaisseur », elle rit intérieurement des mots qu’elle vient d’employer, se trouvant soudainement des airs de bourge. Elle inspire profondément, hésitante à lui répondre sur la véritable raison de sa présence. Elle n’a pas vraiment envie d’en parler, par simple honte, et parce qu’elle ne se trouve pas légitime à être dans ce lieu alors que d’autres auraient sûrement aimé avoir sa chance. « Je dois t’avouer que je ne suis pas vraiment adepte de ce genre . . . d’ambiance » et il est bien loin de savoir à quel point c’est le cas. « Mais j’ai perdu un stupide pari et me voilà donc essayant de me donner des airs de poète, alors que je ne connais que les bases apprises au cours de ma scolarité. Pitoyable n’est-ce pas ? ».
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Feat Tae Kyun
Elle n’a pas le temps de profiter réellement de ce moment de solitude qu’un homme, un parfait étranger, s’avance jusqu’à elle, demandant le droit de s’asseoir sur la même table. Elle le regarde rapidement et reconnait la silhouette ayant bercé la pièce quelques minutes avant, « oh, bien sûr » dit-elle avec un grand sourire, heureuse d’avoir de la compagnie mais méfiante tout de même vis-à-vis de ce parfait inconnu. Elle est surprise par l’ampleur de ses connaissances, ne s’attendant pas à ce que quelqu’un devine l’auteur de son poème, « oh. Bien vu. Je vois que vous êtes un fin connaisseur », elle rit intérieurement des mots qu’elle vient d’employer, se trouvant soudainement des airs de bourge. Elle inspire profondément, hésitante à lui répondre sur la véritable raison de sa présence. Elle n’a pas vraiment envie d’en parler, par simple honte, et parce qu’elle ne se trouve pas légitime à être dans ce lieu alors que d’autres auraient sûrement aimé avoir sa chance. « Je dois t’avouer que je ne suis pas vraiment adepte de ce genre . . . d’ambiance » et il est bien loin de savoir à quel point c’est le cas. « Mais j’ai perdu un stupide pari et me voilà donc essayant de me donner des airs de poète, alors que je ne connais que les bases apprises au cours de ma scolarité. Pitoyable n’est-ce pas ? ». Invité
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Re: Le cercle des poètes disparus #Taeni | Lun 18 Déc 2017 - 10:33
« oh. Bien vu. Je vois que vous êtes un fin connaisseur » Cette façon de arler, si sérieuse, ne lui va vraiment pas au teint. Vraiment, je ne sais pas trop pourquoi, mais il y a ce petit truc qui ne matche pas. Et surtout, surtout, son visage m’est vraiment familier. Mais de où, impossible de faire la connexion encore. C’est bien une des rares fois que ma mémoire me joue des tours. « Je dois t’avouer que je ne suis pas vraiment adepte de ce genre . . . d’ambiance » J’aurai pu parier et gagner. Cet aveu me fait sourire et je croise mes bras pour la regarder longuement, restant assis de trois quart sur ma chaise comme un amant désinvolte dans un soupçon de luxe. « Mais j’ai perdu un stupide pari et me voilà donc essayant de me donner des airs de poète, alors que je ne connais que les bases apprises au cours de ma scolarité. Pitoyable n’est-ce pas ? » « Courageux je dirai. Il faut quand même une dose de force pour affronter les regards des connaisseurs chevronnés qui seront sans pitié face à ça. Et surtout, c’était un bon poème. » J’harponne un serveur et demande deux coupes d’un champagne précis avant de me retourner à nouveau vers elle puis de fixer mon regard sur un bijou à son poignet. Mes doigts viennent lui attraper la main délicatement et je tends son bras vers moi, afin d’observer le bijou. « KBS… Noël 2016 ? » C’est de là alors, que je la connais.
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« oh. Bien vu. Je vois que vous êtes un fin connaisseur » Cette façon de arler, si sérieuse, ne lui va vraiment pas au teint. Vraiment, je ne sais pas trop pourquoi, mais il y a ce petit truc qui ne matche pas. Et surtout, surtout, son visage m’est vraiment familier. Mais de où, impossible de faire la connexion encore. C’est bien une des rares fois que ma mémoire me joue des tours. « Je dois t’avouer que je ne suis pas vraiment adepte de ce genre . . . d’ambiance » J’aurai pu parier et gagner. Cet aveu me fait sourire et je croise mes bras pour la regarder longuement, restant assis de trois quart sur ma chaise comme un amant désinvolte dans un soupçon de luxe. « Mais j’ai perdu un stupide pari et me voilà donc essayant de me donner des airs de poète, alors que je ne connais que les bases apprises au cours de ma scolarité. Pitoyable n’est-ce pas ? » « Courageux je dirai. Il faut quand même une dose de force pour affronter les regards des connaisseurs chevronnés qui seront sans pitié face à ça. Et surtout, c’était un bon poème. » J’harponne un serveur et demande deux coupes d’un champagne précis avant de me retourner à nouveau vers elle puis de fixer mon regard sur un bijou à son poignet. Mes doigts viennent lui attraper la main délicatement et je tends son bras vers moi, afin d’observer le bijou. « KBS… Noël 2016 ? » C’est de là alors, que je la connais. Invité
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Re: Le cercle des poètes disparus #Taeni | Lun 18 Déc 2017 - 19:29
Elle ose simplement des épaules ne sachant pas si le terme courage est le plus approprié dans ce genre de situation. Elle a été courageuse quand elle a décidé de fuir Busan, de fuir son passé, en laissant son père, seul, elle a été courageuse chaque fois qu’elle montait sur le ring pour faire face à des adversaires plus compétents, elle a été courageuse quand elle s’est battue contre autrui pour la justesse, mais aujourd’hui elle ne sait pas si elle a réellement été courageuse. « C’est vrai que j’ai osé affronter le regard de tous ces individus qui doivent en connaître une montagne », contrairement à elle qui n’y connait rien, « aurai-je droit à une médaille » ose-t-elle dire avec humour, essayant de se décontracter, un peu, malgré cette ambiance lourde et bien trop chic pour elle. Elle sursaute et le regarde d’un mauvais œil lorsqu’il lui prend soudainement le bras, l’amenant jusqu’à lui, « qu’est-ce que . . . ». Elle retire rapidement sa main, la cachant derrière son autre main, pour s’en protéger. « Comment est-ce que tu es au courant ? », elle ouvre en grand la bouche, s’approchant alors à son tour de lui, son visage ressemblant à un lémurien en cet instant précis. « Tu as travaillé là-bas aussi ? J’y étais en tant que stagiaire pendant un temps, mais je dois t’avouer que je n’ai jamais vu mon patron et même mes supérieurs . . . A part courir pour acheter du thé bio et du café pour les autres . . . une vraie torture ! ». Elle le fixe plusieurs secondes, « tu l’as déjà vu toi le patron ? J’ai entendu des rumeurs qui disaient qu’il était terrifiant, c’est vrai ? ».
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Elle ose simplement des épaules ne sachant pas si le terme courage est le plus approprié dans ce genre de situation. Elle a été courageuse quand elle a décidé de fuir Busan, de fuir son passé, en laissant son père, seul, elle a été courageuse chaque fois qu’elle montait sur le ring pour faire face à des adversaires plus compétents, elle a été courageuse quand elle s’est battue contre autrui pour la justesse, mais aujourd’hui elle ne sait pas si elle a réellement été courageuse. « C’est vrai que j’ai osé affronter le regard de tous ces individus qui doivent en connaître une montagne », contrairement à elle qui n’y connait rien, « aurai-je droit à une médaille » ose-t-elle dire avec humour, essayant de se décontracter, un peu, malgré cette ambiance lourde et bien trop chic pour elle. Elle sursaute et le regarde d’un mauvais œil lorsqu’il lui prend soudainement le bras, l’amenant jusqu’à lui, « qu’est-ce que . . . ». Elle retire rapidement sa main, la cachant derrière son autre main, pour s’en protéger. « Comment est-ce que tu es au courant ? », elle ouvre en grand la bouche, s’approchant alors à son tour de lui, son visage ressemblant à un lémurien en cet instant précis. « Tu as travaillé là-bas aussi ? J’y étais en tant que stagiaire pendant un temps, mais je dois t’avouer que je n’ai jamais vu mon patron et même mes supérieurs . . . A part courir pour acheter du thé bio et du café pour les autres . . . une vraie torture ! ». Elle le fixe plusieurs secondes, « tu l’as déjà vu toi le patron ? J’ai entendu des rumeurs qui disaient qu’il était terrifiant, c’est vrai ? ». Invité
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Re: Le cercle des poètes disparus #Taeni | Lun 18 Déc 2017 - 20:12
« aurai-je droit à une médaille » Son humour me fait sourire, même rire et je la regarde. Elle a un faciès vraiment espiègle lorsqu’on prend le temps de l’observer un peu, mais surtout, ce qui me fait tiquer sur le coup, c’est son bracelet. Je me souviens encore du temps que j’ai passé pour tout organiser, tout calculer et y mettre aussi de ma propre poche. Mais ça en valait la peine. Ils étaient tous surpris. « qu’est-ce que . . . ». Elle retire vite sa main, et je ne m’offusque pas de sa réaction, au contraire. « Comment est-ce que tu es au courant ? », Je me recule un peu lorsqu’elle avance sa tête aussi prés de moi et cache subtilement le bracelet que je la soupçonne maintenant de m’avoir offert sous ma manche. « Tu as travaillé là-bas aussi ? J’y étais en tant que stagiaire pendant un temps, mais je dois t’avouer que je n’ai jamais vu mon patron et même mes supérieurs . . . A part courir pour acheter du thé bio et du café pour les autres . . . une vraie torture ! ». « Hn, j’y travaille encore. » « tu l’as déjà vu toi le patron ? J’ai entendu des rumeurs qui disaient qu’il était terrifiant, c’est vrai ? » Je manque de recracher mon champagne mais me rattrape de justesse en faisant mine d’avoir simplement bu de travers. Toussotant un peu, je la regarde et souris, curieux. « Terrifiant dans quel sens ? Enfin, tu parles duquel ? Kim Man Soo ou son fils, Hwang Tae Kyun ? Parce qu’il a beau être dans le gratin, il n’est qu’un des assistants de son père, même si par extension, ça en fait un supérieur. Je parie que c’est lui qui t’a fait courir pour les thés bios. Un vrai tyran avec ses lubies, n’est-ce pas ? » Parle petite fée, je suis bien curieux de savoir ce qu’on dit sur moi à vrai dire.
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« aurai-je droit à une médaille » Son humour me fait sourire, même rire et je la regarde. Elle a un faciès vraiment espiègle lorsqu’on prend le temps de l’observer un peu, mais surtout, ce qui me fait tiquer sur le coup, c’est son bracelet. Je me souviens encore du temps que j’ai passé pour tout organiser, tout calculer et y mettre aussi de ma propre poche. Mais ça en valait la peine. Ils étaient tous surpris. « qu’est-ce que . . . ». Elle retire vite sa main, et je ne m’offusque pas de sa réaction, au contraire. « Comment est-ce que tu es au courant ? », Je me recule un peu lorsqu’elle avance sa tête aussi prés de moi et cache subtilement le bracelet que je la soupçonne maintenant de m’avoir offert sous ma manche. « Tu as travaillé là-bas aussi ? J’y étais en tant que stagiaire pendant un temps, mais je dois t’avouer que je n’ai jamais vu mon patron et même mes supérieurs . . . A part courir pour acheter du thé bio et du café pour les autres . . . une vraie torture ! ». « Hn, j’y travaille encore. » « tu l’as déjà vu toi le patron ? J’ai entendu des rumeurs qui disaient qu’il était terrifiant, c’est vrai ? » Je manque de recracher mon champagne mais me rattrape de justesse en faisant mine d’avoir simplement bu de travers. Toussotant un peu, je la regarde et souris, curieux. « Terrifiant dans quel sens ? Enfin, tu parles duquel ? Kim Man Soo ou son fils, Hwang Tae Kyun ? Parce qu’il a beau être dans le gratin, il n’est qu’un des assistants de son père, même si par extension, ça en fait un supérieur. Je parie que c’est lui qui t’a fait courir pour les thés bios. Un vrai tyran avec ses lubies, n’est-ce pas ? » Parle petite fée, je suis bien curieux de savoir ce qu’on dit sur moi à vrai dire. Invité
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Re: Le cercle des poètes disparus #Taeni | Lun 18 Déc 2017 - 21:56
Elle fait un grand rond avec sa bouche, s’exclamant par un simple « oh », reculant légèrement pour prendre de la distance. Même si son stage avait été particulièrement difficile et éreintant elle avait apprécié le rythme cadencé et avait été obnubilée par les nombreux journalistes peuplant le bâtiment, chacun essayant de trouver la perle rare, prenant exemple sur eux. C’est un domaine tellement palpitant, mais tellement dangereux. Elle sait pertinemment que les paroles d’un journaliste peuvent détruire toute une vie, et qu’un rien peut être modifié en faveur ou en défaveur des individus. Mais si elle a choisi cette branche c’est pour faire régner la vérité, et surtout parce qu’elle a le coup de l’aventure, désireuse de toujours trouver quelque chose à dire, les moindres secrets, toujours curieuse. Elle fait une petite grimace, croisant ses bras pour réfléchir à la question du jeune homme. « Je ne sais pas. Je ne l’ai jamais vu », dit-elle en poussant un long soupir, comme attristée de ne pas avoir vu le visage de ceux qui l’ont commandé à cette époque, qui semble déjà si loin. « Peut-être les deux, ou peut-être juste le . . . Comment tu as dit encore ? Tae Kyun c’est ça ? ça doit être lui ! Et ce n’est pas parce qu’on est simple assistant qu’on n’est pas un tyran. Tu en sais plus sur lui ? Je me suis toujours demandée à quoi il ressemblait », elle pose son menton contre ses mains, faisant travailler son imagination, « parait qu’il est jeune, mais je suis sûre qu’il a déjà des cheveux blancs, et qu’il est comme ces ajusshis qu’on voit dans les dramas ».
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Elle fait un grand rond avec sa bouche, s’exclamant par un simple « oh », reculant légèrement pour prendre de la distance. Même si son stage avait été particulièrement difficile et éreintant elle avait apprécié le rythme cadencé et avait été obnubilée par les nombreux journalistes peuplant le bâtiment, chacun essayant de trouver la perle rare, prenant exemple sur eux. C’est un domaine tellement palpitant, mais tellement dangereux. Elle sait pertinemment que les paroles d’un journaliste peuvent détruire toute une vie, et qu’un rien peut être modifié en faveur ou en défaveur des individus. Mais si elle a choisi cette branche c’est pour faire régner la vérité, et surtout parce qu’elle a le coup de l’aventure, désireuse de toujours trouver quelque chose à dire, les moindres secrets, toujours curieuse. Elle fait une petite grimace, croisant ses bras pour réfléchir à la question du jeune homme. « Je ne sais pas. Je ne l’ai jamais vu », dit-elle en poussant un long soupir, comme attristée de ne pas avoir vu le visage de ceux qui l’ont commandé à cette époque, qui semble déjà si loin. « Peut-être les deux, ou peut-être juste le . . . Comment tu as dit encore ? Tae Kyun c’est ça ? ça doit être lui ! Et ce n’est pas parce qu’on est simple assistant qu’on n’est pas un tyran. Tu en sais plus sur lui ? Je me suis toujours demandée à quoi il ressemblait », elle pose son menton contre ses mains, faisant travailler son imagination, « parait qu’il est jeune, mais je suis sûre qu’il a déjà des cheveux blancs, et qu’il est comme ces ajusshis qu’on voit dans les dramas ». Invité
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Re: Le cercle des poètes disparus #Taeni | Lun 18 Déc 2017 - 22:25
« Je ne sais pas. Je ne l’ai jamais vu. Peut-être les deux, ou peut-être juste le . . . Comment tu as dit encore ? Tae Kyun c’est ça ? ça doit être lui ! Et ce n’est pas parce qu’on est simple assistant qu’on n’est pas un tyran. Tu en sais plus sur lui ? Je me suis toujours demandée à quoi il ressemblait » J’allais ouvrir ma bouche pour lui dire qu’il est plutôt charmant et beau garçon, pas vraiment tyran mais autoritaire pour que ça se passe au mieux. Et puis après tout, c’est grâce à moi qu’ils ont eu un vrai noël… Mais elle me fait taire avant même que je commence. « parait qu’il est jeune, mais je suis sûre qu’il a déjà des cheveux blancs, et qu’il est comme ces ajusshis qu’on voit dans les dramas » « Comme un de ces ajhussis qu’on voit dans les dramas ? » Je l’observe en haussant un sourcil avant de sentir mon téléphone vibrer et l’attraper promptement pour répondre. Encore ma mère, mais mon envie de jouer est bien plus forte que tout ce soir. « Hwang Tae Kyun à l'appareil…. Hn. Oui, je serai là pour le dîner. Hn, bien sûr. Oui, j’amènerai une amie. » Et je regarde alors la demoiselle dans un air un peu perçant. Après ce qu’elle vient de dire sur moi, elle me doit bien ça. Et puis je raccroche en souriant un peu plus avant de relever légèrement ma manche pour qu’elle puisse voir mon bracelet- « Pour les cheveux blancs, je peux t’assurer que ce n’est pas encore le cas. »
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« Je ne sais pas. Je ne l’ai jamais vu. Peut-être les deux, ou peut-être juste le . . . Comment tu as dit encore ? Tae Kyun c’est ça ? ça doit être lui ! Et ce n’est pas parce qu’on est simple assistant qu’on n’est pas un tyran. Tu en sais plus sur lui ? Je me suis toujours demandée à quoi il ressemblait » J’allais ouvrir ma bouche pour lui dire qu’il est plutôt charmant et beau garçon, pas vraiment tyran mais autoritaire pour que ça se passe au mieux. Et puis après tout, c’est grâce à moi qu’ils ont eu un vrai noël… Mais elle me fait taire avant même que je commence. « parait qu’il est jeune, mais je suis sûre qu’il a déjà des cheveux blancs, et qu’il est comme ces ajusshis qu’on voit dans les dramas » « Comme un de ces ajhussis qu’on voit dans les dramas ? » Je l’observe en haussant un sourcil avant de sentir mon téléphone vibrer et l’attraper promptement pour répondre. Encore ma mère, mais mon envie de jouer est bien plus forte que tout ce soir. « Hwang Tae Kyun à l'appareil…. Hn. Oui, je serai là pour le dîner. Hn, bien sûr. Oui, j’amènerai une amie. » Et je regarde alors la demoiselle dans un air un peu perçant. Après ce qu’elle vient de dire sur moi, elle me doit bien ça. Et puis je raccroche en souriant un peu plus avant de relever légèrement ma manche pour qu’elle puisse voir mon bracelet- « Pour les cheveux blancs, je peux t’assurer que ce n’est pas encore le cas. »Invité
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Re: Le cercle des poètes disparus #Taeni | Lun 18 Déc 2017 - 22:57
« Mais oui tu . . . », elle n’a pas le temps de finir sa phrase que l’inconnu reçoit un appel, se taisant pour lui laisser l’opportunité d’y répondre. Elle écoute d’une oreille à demie attentive, par crainte de paraître trop curieuse surtout qu’elle ne connait pas cet homme, mais comme il reste à table elle suppose que ce n’est pas bien important. Et alors, soudainement, comme un éclair qui traverse son esprit, elle comprend. Elle réalise qu’elle est face à ce fameux Tae Kyun. Le Tae Kyun qu’elle vient tout juste de critiquer, le traitant presque de ajhussi, alors qu’il est bien loin de correspondre à l’image qu’elle se faisait de lui. Elle écarquille les yeux, ses mains venant se coller à sa bouche, son visage exprimant à grande ampleur sa surprise. « Que . . . mais tu . . . ça veut dire que . . . vous », elle en perd ses mots, regardant rapidement autour d’elle pour vérifier l’issu de secours la plus proche mais l’endroit s’est rapidement rempli et elle risque de se faire rattraper avant même de pouvoir fuir. Elle remarque le bracelet qu’elle a offert à son supérieur, confirmant davantage l’identité de cet homme, tout espoir s’envolant en quelques fractions de seconde. Elle finit par rester stoïque, avale difficilement sa salive et prend un tout autre air. « Ah ah ah ! Ah ah ah », elle tape sa main contre la table, mimant un fou rire, « je t’ai fait une blague. Elle était drôle n’est-ce pas ?! Bien sûr que je savais que vous . . tu . . . vous », elle se perd entre le tutoiement et le vouvoiement ne sachant pas très bien ce qu’elle doit utiliser, « que vous êtes-vous. Enfin oui. Normal que vous êtes-vous », elle continue de rire, pour essayer de cacher sa honte. « Et puis vous ne ressemblez pas du tout à un ajhussi, mais plus à un dieu grec », elle réalise alors sa bêtise, « enfin non je veux pas dire que vous êtes beau . . . quoique . . . enfin non, ce que je veux dire c’est que vous êtes pas ce vieux . . . non pas que vous soyez vieux », elle ne sait même plus ce qu’elle dit. « Oh et puis laissez tomber. Je me noie ».
Le cercle des poètes disparus
Feat Tae Kyun
« Mais oui tu . . . », elle n’a pas le temps de finir sa phrase que l’inconnu reçoit un appel, se taisant pour lui laisser l’opportunité d’y répondre. Elle écoute d’une oreille à demie attentive, par crainte de paraître trop curieuse surtout qu’elle ne connait pas cet homme, mais comme il reste à table elle suppose que ce n’est pas bien important. Et alors, soudainement, comme un éclair qui traverse son esprit, elle comprend. Elle réalise qu’elle est face à ce fameux Tae Kyun. Le Tae Kyun qu’elle vient tout juste de critiquer, le traitant presque de ajhussi, alors qu’il est bien loin de correspondre à l’image qu’elle se faisait de lui. Elle écarquille les yeux, ses mains venant se coller à sa bouche, son visage exprimant à grande ampleur sa surprise. « Que . . . mais tu . . . ça veut dire que . . . vous », elle en perd ses mots, regardant rapidement autour d’elle pour vérifier l’issu de secours la plus proche mais l’endroit s’est rapidement rempli et elle risque de se faire rattraper avant même de pouvoir fuir. Elle remarque le bracelet qu’elle a offert à son supérieur, confirmant davantage l’identité de cet homme, tout espoir s’envolant en quelques fractions de seconde. Elle finit par rester stoïque, avale difficilement sa salive et prend un tout autre air. « Ah ah ah ! Ah ah ah », elle tape sa main contre la table, mimant un fou rire, « je t’ai fait une blague. Elle était drôle n’est-ce pas ?! Bien sûr que je savais que vous . . tu . . . vous », elle se perd entre le tutoiement et le vouvoiement ne sachant pas très bien ce qu’elle doit utiliser, « que vous êtes-vous. Enfin oui. Normal que vous êtes-vous », elle continue de rire, pour essayer de cacher sa honte. « Et puis vous ne ressemblez pas du tout à un ajhussi, mais plus à un dieu grec », elle réalise alors sa bêtise, « enfin non je veux pas dire que vous êtes beau . . . quoique . . . enfin non, ce que je veux dire c’est que vous êtes pas ce vieux . . . non pas que vous soyez vieux », elle ne sait même plus ce qu’elle dit. « Oh et puis laissez tomber. Je me noie ». Contenu sponsorisé
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