Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ]
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Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Mer 27 Déc - 22:41 Citer EditerSupprimer
Il a toujours été le plus silencieux, le plus calme de la bande, celui qui ne se fait pas remarquer par ses grands gestes, mais il n'avait pas ce regard malheureux, il n'avait pas cette peine lourde à porter dans son cœur. Tae Woo est triste, tu le sens, tu le sais. Il peut agir comme si tout passais, comme si de rien n'était, mais toi tu le sais. Il l'aimait, elle l'aimait et la vie à était incroyablement cruelle et dure. Seulement voilà, la bande, puis toi vous êtes encore là, vous ne le lâchez pas. Jamais. Ton portable entre tes mains tu glisses tes doigts sur l'écran tactile. « Habille toi, je viens te chercher. » Envoyé à Tae Woo, tu enfiles rapidement la première de tes chemises, ton jean troué le plus usé, mais le plus confortable et tes nouvelles Vans. 21 heures.
Tu attrapes les clés avec la banane en plastique en guise de porte-clés de ton petit Scooter liberty, les deux casques qui sont aussi ridicules que le reste de tes affaires et ton sac en bandoulière pour glisser tes affaires dedans. Direction la chambre de ton ami. Tu ne toques pas, tant pis s'il est occupé. Tu franchis la porte sans aucune hésitation quelconque. Ton sourire s'affiche même avant de rentrer dans cette pièce, tu te rapproches rapidement, dangereusement du silencieux. Tu le saisis par le bras, le colles et l'oblige à se lever en observant ce qu'il a enfilé. Tu hoches négativement la tête, mais en réalité il est de toute façon toujours beaucoup mieux habillé que toi.
- Tant pis pour toi.
Tu lui laisses cependant quelques minutes pour qu'il se change une nouvelle fois ou qu'il reste comme il est actuellement. Comme un enfant tu saisis sa main, tu l'entraînes en dehors de sa chambre, de gré ou de force à lui de voir. Tu lui donnes un casque, il est hors de question qu'il n'en porte pas et puis les tenir t'encombres.
- Nous allons sortir, ok ? Je veux qu’on s’amuse ce soir, tu ne peux juste pas me dire non. C’était mon anniversaire il y a deux jours.
Tu es tout à fait capable de lui dire ça dans deux mois ou de trouver des excuses aussi peu réalistes justes pour arriver à tes fins. Tu veux le voir s'amuser, le voir danser, qu'il décompresse ce vide la tête. Arrivé devant le véhicule absolument hideux tu cherches pendant une bonne dizaine de minutes tes clés qui en réalité sont dans ta poche. « Ah oui. » Tu montes sur le petit engin gris et enfile ton casque en glissant la clé dans la serrure. Bien sûr, lorsque la clé pénètre la serrure, ton visage accompagne l'action par un regard pervers à ton ami. Le genre qui met autant mal à l'aise l'un que l'autre, mais qui te donne surtout l'air stupide. Tu veux le voir rire, sourire, même seulement légèrement. Soyons heureux, c'est ce que tu veux, ce que tu cherches à longueur de temps.
- Grimpe, derrière moi. Tiens-moi.
Tu tapotes la place derrière toi pour accompagner tes mots, pour qu’il se glisse derrière toi. Lorsque ses bras entours ton corps tu descends le scooter de sa béquille et démarre le contact au quick, parce que la batterie est morte depuis environs 4 mois. Toi, Honte ? Jamais. Tu roules en direction de XS, le night-club de la zone Sud. Lorsque vous arrivez là-bas tu récupères son casque et ouvre le siège du scooter pour poser les casques dedans et récupérer l’anti vol pour l’accrocher à la roue et au panneau. Tu glisses la clé dans ton sac, puis tu montres du doigt la boite de nuit.
- Allons danser !
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
Smile my friend.
Il a toujours été le plus silencieux, le plus calme de la bande, celui qui ne se fait pas remarquer par ses grands gestes, mais il n'avait pas ce regard malheureux, il n'avait pas cette peine lourde à porter dans son cœur. Tae Woo est triste, tu le sens, tu le sais. Il peut agir comme si tout passais, comme si de rien n'était, mais toi tu le sais. Il l'aimait, elle l'aimait et la vie à était incroyablement cruelle et dure. Seulement voilà, la bande, puis toi vous êtes encore là, vous ne le lâchez pas. Jamais. Ton portable entre tes mains tu glisses tes doigts sur l'écran tactile. « Habille toi, je viens te chercher. » Envoyé à Tae Woo, tu enfiles rapidement la première de tes chemises, ton jean troué le plus usé, mais le plus confortable et tes nouvelles Vans. 21 heures.
Tu attrapes les clés avec la banane en plastique en guise de porte-clés de ton petit Scooter liberty, les deux casques qui sont aussi ridicules que le reste de tes affaires et ton sac en bandoulière pour glisser tes affaires dedans. Direction la chambre de ton ami. Tu ne toques pas, tant pis s'il est occupé. Tu franchis la porte sans aucune hésitation quelconque. Ton sourire s'affiche même avant de rentrer dans cette pièce, tu te rapproches rapidement, dangereusement du silencieux. Tu le saisis par le bras, le colles et l'oblige à se lever en observant ce qu'il a enfilé. Tu hoches négativement la tête, mais en réalité il est de toute façon toujours beaucoup mieux habillé que toi.
- Tant pis pour toi.
Tu lui laisses cependant quelques minutes pour qu'il se change une nouvelle fois ou qu'il reste comme il est actuellement. Comme un enfant tu saisis sa main, tu l'entraînes en dehors de sa chambre, de gré ou de force à lui de voir. Tu lui donnes un casque, il est hors de question qu'il n'en porte pas et puis les tenir t'encombres.
- Nous allons sortir, ok ? Je veux qu’on s’amuse ce soir, tu ne peux juste pas me dire non. C’était mon anniversaire il y a deux jours.
Tu es tout à fait capable de lui dire ça dans deux mois ou de trouver des excuses aussi peu réalistes justes pour arriver à tes fins. Tu veux le voir s'amuser, le voir danser, qu'il décompresse ce vide la tête. Arrivé devant le véhicule absolument hideux tu cherches pendant une bonne dizaine de minutes tes clés qui en réalité sont dans ta poche. « Ah oui. » Tu montes sur le petit engin gris et enfile ton casque en glissant la clé dans la serrure. Bien sûr, lorsque la clé pénètre la serrure, ton visage accompagne l'action par un regard pervers à ton ami. Le genre qui met autant mal à l'aise l'un que l'autre, mais qui te donne surtout l'air stupide. Tu veux le voir rire, sourire, même seulement légèrement. Soyons heureux, c'est ce que tu veux, ce que tu cherches à longueur de temps.
- Grimpe, derrière moi. Tiens-moi.
Tu tapotes la place derrière toi pour accompagner tes mots, pour qu’il se glisse derrière toi. Lorsque ses bras entours ton corps tu descends le scooter de sa béquille et démarre le contact au quick, parce que la batterie est morte depuis environs 4 mois. Toi, Honte ? Jamais. Tu roules en direction de XS, le night-club de la zone Sud. Lorsque vous arrivez là-bas tu récupères son casque et ouvre le siège du scooter pour poser les casques dedans et récupérer l’anti vol pour l’accrocher à la roue et au panneau. Tu glisses la clé dans ton sac, puis tu montres du doigt la boite de nuit.
- Allons danser !
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Re: Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Ven 29 Déc - 14:00 Citer EditerSupprimer
Ce soir, je n'avais rien envie de faire. Je voulais juste rester allongé dans mon lit, en train de contempler le plafond comme s'il cachait quelque chose que je tâtais à découvrir. Il y avait des soirées où je ne voulais rien faire, où je voulais être seul avec moi-même, seul avec mes pensées. Souvent, c'était quand j'étais déprimé. Durant mon deuil, j'avais passé des journées entières à ne rien faire, et à penser à elle. A elle, et toujours à elle. Aujourd'hui encore, je ne cessais de penser à elle. C'était déprimant, oui. Même après cinq ans, je n'arrivais pas à me défaire de son emprise. J'avais l'impression que je resterais ainsi jusqu'à la fin de ma vie. Seul, sans quelqu'un à aimer si passionnément qu'elle. Enfin, ça m'allait. Dans ma vie, je n'aimais et n'aimerais que celle qui avait partagé sa vie avec moi. Je n'avais pas envie de découvrir l'amour une seconde fois. Parce que ça faisait beaucoup plus de mal que de bonheur. Soudain, mon téléphone vibra et je daignai d'y jeter un coup d’œil d'un air las. Un message de Hojun. Il venait me chercher ? Je fronçai des sourcils. Dans quoi voulait-il m'embarquer encore ? J'étais déjà tranquillement dans mon lit, et il était tard... Argh, pourquoi m'obligeait-il encore à m'habiller ? Qu'est-ce qu'il voulait faire ? Je ronchonnai seul à moi-même alors que je descendis de mon lit pour attraper de quoi m'habiller. Hojun avait toujours été impulsif et spontané. Il avait une imagination débordante et nous avait toujours emmené dans ses multiples bêtises. On nettoyait souvent derrière lui, et on se moquait de lui. Il était le clown de la bande, c'était ça. Celui qui nous faisait tous rire et qui nous entraînait dans sa bonne humeur. Les choses avaient changé, cependant, depuis la mort de Saehee. C'était comme si le temps s'était arrêté pour moi. Il était devenu plus difficile de me faire sourire. Hojun avait dû le remarquer, et il tentait par tous les moyens de me faire sourire. Il le faisait aussi pour Jungwan. Il voulait toujours s'assurer que nous étions heureux. Je lui en étais bien reconnaissant pour ça. Il était un ami très précieux pour moi, et que je n'abandonnerai jamais.
A peine quelques minutes écoulées qu'il était déjà dans ma chambre. J'avais à peine eu le temps de m'habiller, ce que j'avais vêtu formait donc une combinaison très... étrange. Hojun l'avait bien remarqué. Je soupirai légèrement. « Laisse-moi me changer, hein... » Je ne fis aucune remarque sur sa tenue. Hojun s'habillait comme il voulait, et de manière très... originale. Il se faisait toujours démarquer par sa tenue. C'était un aspect de l'un de mes meilleurs amis que j'aimais bien. Quand on le voyait, on avait envie de rire avec lui. Après m'être changé dans une meilleure tenue, je me laissai entraîner par le pyo. Je ne savais toujours pas ce qu'on allait faire, et ça m'inquiétait un peu... Je pris son casque avec hésitation, peu sûr de ce qu'il allait se passer. Hojun avait beau bien conduire, les dangers de la route me faisaient toujours un peu peur. Mais soit, j'avais pris tellement de fois le scooter de Hojun, je n'avais pas à avoir peur. Un accident n'arrivera plus, dans ma vie. Je le regardai d'un air ahuri avant de soupirer à nouveau. On ne pouvait rien refuser à Hojun. Il trouvera toujours une excuse. Depuis le temps que je le connaissais, j'y étais bien habitué... « Ouais ouais... Comme tu voudras. » Je pris son casque entre mes mains, ne l'enfilant pas tout de suite puisque je préférai le faire au dernier moment, lorsque nous serions arrivés à son scooter. Je le laissai m'entraîner, et l'observai chercher ses clés qui étaient en réalité dans sa poche. Hojun ne changerait jamais... J'en étais presque exaspéré. Mais en même temps, il m'amusait. Hojun avait ce type de pouvoir. Par ses actions, il était capable de faire sourire les gens autour de lui. Et je trouvais que c'était une qualité. Lorsque la clé pénétra dans la serrure et que Hojun me lança un regard pervers, je soupirai une énième fois, ayant bien compris sa référence. « Hojun... » laissai-je échapper, exaspéré. Je me demandais combien de fois avais-je été exaspéré par son comportement... Mais bon, j'étais habitué, lui et ses blagues... Je secouai de la tête, puis m'assis derrière lui en mettant mon casque, et m'agrippai à mon ami. Je ne savais pas où est-ce qu'il allait m'emmener, mais j'espérai que ce n'était pas un endroit douteux...
Lorsque le scooter s'arrêta et que je reconnus le lieu, je ne sus pas comment réagir. Est-ce que j'allais vraiment passer la soirée là-dedans ? Retirant mon casque, je regardai Hojun d'un air décontenancé alors qu'il se chargeait de ranger le scooter. Après son exclamation, je ne répondis rien pendant quelques instants avant de secouer vivement de la tête. Danser ?! « Ah non, ah non Hojun. Je ne danserai pas ! Tu sais à quel point je n'aime pas les boîtes de nuit. Tu peux m'emmener faire tout ce que tu veux, mais pas les boîtes de nuit, je déteste ça. Hojun, s'il te plaît... » Mais peu importe combien je prierai, il m'emmènera quand même à l'intérieur. J'étais piégé, contre mon gré. Ugh... J'allais passer la meilleure soirée de ma vie, ouais...
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
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Ce soir, je n'avais rien envie de faire. Je voulais juste rester allongé dans mon lit, en train de contempler le plafond comme s'il cachait quelque chose que je tâtais à découvrir. Il y avait des soirées où je ne voulais rien faire, où je voulais être seul avec moi-même, seul avec mes pensées. Souvent, c'était quand j'étais déprimé. Durant mon deuil, j'avais passé des journées entières à ne rien faire, et à penser à elle. A elle, et toujours à elle. Aujourd'hui encore, je ne cessais de penser à elle. C'était déprimant, oui. Même après cinq ans, je n'arrivais pas à me défaire de son emprise. J'avais l'impression que je resterais ainsi jusqu'à la fin de ma vie. Seul, sans quelqu'un à aimer si passionnément qu'elle. Enfin, ça m'allait. Dans ma vie, je n'aimais et n'aimerais que celle qui avait partagé sa vie avec moi. Je n'avais pas envie de découvrir l'amour une seconde fois. Parce que ça faisait beaucoup plus de mal que de bonheur. Soudain, mon téléphone vibra et je daignai d'y jeter un coup d’œil d'un air las. Un message de Hojun. Il venait me chercher ? Je fronçai des sourcils. Dans quoi voulait-il m'embarquer encore ? J'étais déjà tranquillement dans mon lit, et il était tard... Argh, pourquoi m'obligeait-il encore à m'habiller ? Qu'est-ce qu'il voulait faire ? Je ronchonnai seul à moi-même alors que je descendis de mon lit pour attraper de quoi m'habiller. Hojun avait toujours été impulsif et spontané. Il avait une imagination débordante et nous avait toujours emmené dans ses multiples bêtises. On nettoyait souvent derrière lui, et on se moquait de lui. Il était le clown de la bande, c'était ça. Celui qui nous faisait tous rire et qui nous entraînait dans sa bonne humeur. Les choses avaient changé, cependant, depuis la mort de Saehee. C'était comme si le temps s'était arrêté pour moi. Il était devenu plus difficile de me faire sourire. Hojun avait dû le remarquer, et il tentait par tous les moyens de me faire sourire. Il le faisait aussi pour Jungwan. Il voulait toujours s'assurer que nous étions heureux. Je lui en étais bien reconnaissant pour ça. Il était un ami très précieux pour moi, et que je n'abandonnerai jamais.
A peine quelques minutes écoulées qu'il était déjà dans ma chambre. J'avais à peine eu le temps de m'habiller, ce que j'avais vêtu formait donc une combinaison très... étrange. Hojun l'avait bien remarqué. Je soupirai légèrement. « Laisse-moi me changer, hein... » Je ne fis aucune remarque sur sa tenue. Hojun s'habillait comme il voulait, et de manière très... originale. Il se faisait toujours démarquer par sa tenue. C'était un aspect de l'un de mes meilleurs amis que j'aimais bien. Quand on le voyait, on avait envie de rire avec lui. Après m'être changé dans une meilleure tenue, je me laissai entraîner par le pyo. Je ne savais toujours pas ce qu'on allait faire, et ça m'inquiétait un peu... Je pris son casque avec hésitation, peu sûr de ce qu'il allait se passer. Hojun avait beau bien conduire, les dangers de la route me faisaient toujours un peu peur. Mais soit, j'avais pris tellement de fois le scooter de Hojun, je n'avais pas à avoir peur. Un accident n'arrivera plus, dans ma vie. Je le regardai d'un air ahuri avant de soupirer à nouveau. On ne pouvait rien refuser à Hojun. Il trouvera toujours une excuse. Depuis le temps que je le connaissais, j'y étais bien habitué... « Ouais ouais... Comme tu voudras. » Je pris son casque entre mes mains, ne l'enfilant pas tout de suite puisque je préférai le faire au dernier moment, lorsque nous serions arrivés à son scooter. Je le laissai m'entraîner, et l'observai chercher ses clés qui étaient en réalité dans sa poche. Hojun ne changerait jamais... J'en étais presque exaspéré. Mais en même temps, il m'amusait. Hojun avait ce type de pouvoir. Par ses actions, il était capable de faire sourire les gens autour de lui. Et je trouvais que c'était une qualité. Lorsque la clé pénétra dans la serrure et que Hojun me lança un regard pervers, je soupirai une énième fois, ayant bien compris sa référence. « Hojun... » laissai-je échapper, exaspéré. Je me demandais combien de fois avais-je été exaspéré par son comportement... Mais bon, j'étais habitué, lui et ses blagues... Je secouai de la tête, puis m'assis derrière lui en mettant mon casque, et m'agrippai à mon ami. Je ne savais pas où est-ce qu'il allait m'emmener, mais j'espérai que ce n'était pas un endroit douteux...
Lorsque le scooter s'arrêta et que je reconnus le lieu, je ne sus pas comment réagir. Est-ce que j'allais vraiment passer la soirée là-dedans ? Retirant mon casque, je regardai Hojun d'un air décontenancé alors qu'il se chargeait de ranger le scooter. Après son exclamation, je ne répondis rien pendant quelques instants avant de secouer vivement de la tête. Danser ?! « Ah non, ah non Hojun. Je ne danserai pas ! Tu sais à quel point je n'aime pas les boîtes de nuit. Tu peux m'emmener faire tout ce que tu veux, mais pas les boîtes de nuit, je déteste ça. Hojun, s'il te plaît... » Mais peu importe combien je prierai, il m'emmènera quand même à l'intérieur. J'étais piégé, contre mon gré. Ugh... J'allais passer la meilleure soirée de ma vie, ouais...
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Re: Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Mer 3 Jan - 12:22 Citer EditerSupprimer
Smile my friend.
[size=13]L’envie n’est pas au rendez-vous, tu le sais, tu le comprends, mais rester là à ne rien faire ne changeras rien à cette situation. Alors il lui faut de l’air, il faut qu’il voit autre chose, qu’il s’amuse, se vide l’esprit. Qu’il veuille être seule et qu’il en est besoin sont deux choses différentes, mais la solitude est nuisible à la santé. Tu ne le laisseras pas ce détruire, tu ne le laisseras pas périr de tristesse.
Vous montez sur le scooter, ton scooter. Tu sais qu’il a peur, c’est pourquoi tu es si prudent, c’est pourquoi lorsque tu conduis tu ne te ressembles pas. Calme, docile, sage, un conducteur hors père. Cependant ne nous leurrons pas, cela ne dureras pas. Ho-Jun, tu redeviendras toi-même une fois les pieds à terre.
C’est en voyant l’endroit où vous arrivez que Tae-Woo semble le plus désespéré, exaspéré. Un soupire de mécontentement franchis ses lèvres, ça te fais sourire, rire intérieurement, silencieusement. Tu sais parfaitement qu’il n’aime cet univers de la nuit. « Ah non, ah non Hojun. Je ne danserai pas ! Tu sais à quel point je n'aime pas les boîtes de nuit. Tu peux m'emmener faire tout ce que tu veux, mais pas les boîtes de nuit, je déteste ça. Hojun, s'il te plaît... » Il peut supplier, te prier de changer d’idée, il est déjà trop tard.
Ce soir, au night-club une soirée mousse à était organisé, ça te plaît cette idée, peut-être que ça plaira davantage à ton ami. Puis l’enfant adulte que tu es rêve de sauter dans la mousse. « Ok, tu n’auras pas besoin de danser, de toute façon… Tu risquerais de glisser. » Tu lui tire la langue sans qu’il n’est le temps de comprendre, sans qu’il ne comprenne ou tu l’emmènes vraiment. Ça te rend heureux, d’imaginer la mousse dans tes cheveux.
Tu rentres dans la boite de nuit, la mousse n’as pas encore était propulsé, mais justement lorsque tu entraînes ton ami au cœur des gens, au centre du night-club après avoir payé vos deux places. C’est en saisissant sa main et en l’emportant avec toi au centre de la piste que soudainement de la mousse jaillit de tout côté. Un enfant dans un bain de balle, un enfant sous la neige. Ho-Jun qui s’amuse avec de la mousse.
Tae-Woo n’a pas de mousse sur le visage, quel dommage. Tu saisis dans tes mains de la mousse et les poses délicatement sur ses joues en riant. Tu ressembles à un enfant, un grand enfant très heureux. Tu cherches à partager ton bonheur à ton ami, tu voudrais même lui donner entièrement si c’était possible. Seulement… Si tu n’avais plus personne à aider, que ferais tu de ce que ton cœur à toi pense ? Que ferais tu des bouts de ta vie que tu ignores grâce à eux, grâce à lui et ces soucis.
La musique reprend sur une chanson un peu stupide, une chanson un peu barrée. « Mi Mi Mi » Ce n’est pas nécessaire de vous dire que c’est Oh-Jun qui a demandé à l’entrée de passer la chanson discrètement, ils savent qu’il la demande à chaque fois. Danser, chanter, pincer son ami. Tu tournes sur toi-même et glisse les jambes en avant, le cul en arrière le dos contre ton ami. Tes fesses retrouvent le sol, le premier contact fut douloureux et dur, puis les rires et tes joues qui se rougissent pour suivre les rires. Tu te retournes en restant au sol et regarde ton ami qui semble encore debout, tu saisis son bras et l’entraîne au sol avec toi.
Boom ! Il tombe sur toi, il se rétame à tes côtés et ça te fais rire. Tu appuis sur ses épaules et te relève difficilement en frottant ton petit cul fragile. Aie, aie. « J’espère que je ne l’es pas abîmé. » Tu prends un air faussement inquiet en « caressant » tes fesses, puis lentement tu regardes ton ami en te retournant. « Il est toujours beau, n’es pas ? » Un petit haussement de sourcil. Il y a des rumeurs qui disent que tu es gay, plus que bisexuelle. Tu en donnes l’impression, pourtant c’est 50/50. Tu ris, puis tend la main à ton ami, qui doit sûrement en avoir marre de toi, de tes conneries, mais qui te supporte quand même. Faut-être maso pour être ami avec toi, non ?
© Frimelda, sur une proposition de © BlorkVous montez sur le scooter, ton scooter. Tu sais qu’il a peur, c’est pourquoi tu es si prudent, c’est pourquoi lorsque tu conduis tu ne te ressembles pas. Calme, docile, sage, un conducteur hors père. Cependant ne nous leurrons pas, cela ne dureras pas. Ho-Jun, tu redeviendras toi-même une fois les pieds à terre.
C’est en voyant l’endroit où vous arrivez que Tae-Woo semble le plus désespéré, exaspéré. Un soupire de mécontentement franchis ses lèvres, ça te fais sourire, rire intérieurement, silencieusement. Tu sais parfaitement qu’il n’aime cet univers de la nuit. « Ah non, ah non Hojun. Je ne danserai pas ! Tu sais à quel point je n'aime pas les boîtes de nuit. Tu peux m'emmener faire tout ce que tu veux, mais pas les boîtes de nuit, je déteste ça. Hojun, s'il te plaît... » Il peut supplier, te prier de changer d’idée, il est déjà trop tard.
Ce soir, au night-club une soirée mousse à était organisé, ça te plaît cette idée, peut-être que ça plaira davantage à ton ami. Puis l’enfant adulte que tu es rêve de sauter dans la mousse. « Ok, tu n’auras pas besoin de danser, de toute façon… Tu risquerais de glisser. » Tu lui tire la langue sans qu’il n’est le temps de comprendre, sans qu’il ne comprenne ou tu l’emmènes vraiment. Ça te rend heureux, d’imaginer la mousse dans tes cheveux.
Tu rentres dans la boite de nuit, la mousse n’as pas encore était propulsé, mais justement lorsque tu entraînes ton ami au cœur des gens, au centre du night-club après avoir payé vos deux places. C’est en saisissant sa main et en l’emportant avec toi au centre de la piste que soudainement de la mousse jaillit de tout côté. Un enfant dans un bain de balle, un enfant sous la neige. Ho-Jun qui s’amuse avec de la mousse.
Tae-Woo n’a pas de mousse sur le visage, quel dommage. Tu saisis dans tes mains de la mousse et les poses délicatement sur ses joues en riant. Tu ressembles à un enfant, un grand enfant très heureux. Tu cherches à partager ton bonheur à ton ami, tu voudrais même lui donner entièrement si c’était possible. Seulement… Si tu n’avais plus personne à aider, que ferais tu de ce que ton cœur à toi pense ? Que ferais tu des bouts de ta vie que tu ignores grâce à eux, grâce à lui et ces soucis.
La musique reprend sur une chanson un peu stupide, une chanson un peu barrée. « Mi Mi Mi » Ce n’est pas nécessaire de vous dire que c’est Oh-Jun qui a demandé à l’entrée de passer la chanson discrètement, ils savent qu’il la demande à chaque fois. Danser, chanter, pincer son ami. Tu tournes sur toi-même et glisse les jambes en avant, le cul en arrière le dos contre ton ami. Tes fesses retrouvent le sol, le premier contact fut douloureux et dur, puis les rires et tes joues qui se rougissent pour suivre les rires. Tu te retournes en restant au sol et regarde ton ami qui semble encore debout, tu saisis son bras et l’entraîne au sol avec toi.
Boom ! Il tombe sur toi, il se rétame à tes côtés et ça te fais rire. Tu appuis sur ses épaules et te relève difficilement en frottant ton petit cul fragile. Aie, aie. « J’espère que je ne l’es pas abîmé. » Tu prends un air faussement inquiet en « caressant » tes fesses, puis lentement tu regardes ton ami en te retournant. « Il est toujours beau, n’es pas ? » Un petit haussement de sourcil. Il y a des rumeurs qui disent que tu es gay, plus que bisexuelle. Tu en donnes l’impression, pourtant c’est 50/50. Tu ris, puis tend la main à ton ami, qui doit sûrement en avoir marre de toi, de tes conneries, mais qui te supporte quand même. Faut-être maso pour être ami avec toi, non ?
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Re: Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Sam 6 Jan - 17:34 Citer EditerSupprimer
Je pouvais comprendre pourquoi une boîte de nuit pouvait être amusant pour des personnes : on pouvait rencontrer des gens, il y avait de l'alcool, tout le monde avait le sourire au visage, la musique était forte et mettait dans l'ambiance festive... Mais pour moi, c'était l'enfer sur Terre. Je n'aimais pas du tout l'atmosphère qui y régnait, j'y étais parfaitement mal à l'aise. Alors lorsque je réalisai que l'un de mes meilleurs amis qui me connaissait le mieux m'emmenait à une boîte de nuit, je fus tout de suite désespéré et déçu. Comment est-ce que l'idée même de m'y emmener avait pu le traverser ? Ce n'était définitivement pas une bonne idée. Il le savait, alors pourquoi est-ce qu'il s'entêtait quand même à le faire ? Ça me frustrait. Peu importe à quel point je protestais, rien ne changerait dans la tête de Jun. C'était ça qui était le plus frustrant, oui. Je fronçai des sourcils à sa réponse. Je n'aurais pas besoin de danser, et de toute façon, je risquerai de glisser... ? Dans quoi est-ce qu'il allait m'emmener ? Fidèle à lui-même, Jun me tira la langue et je n'eus pas le temps de comprendre la situation qu'il était déjà rentré à l'intérieur, m'ayant entraîné avec lui. Il y avait du monde, je me sentais déjà mal. Je voulais rentrer au dortoir. C'était possible, hein ? Jun pouvait me faire cette faveur, hein... ? Je soupirai une énième fois, fatigué de la situation. Je voulais juste rentrer... « Jun, franchement, c'est pas une bonne- » Ma phrase ne trouva pas sa fin comme d'un seul coup, de la mousse fut propulsée de tous les côtés. Je fermai par automatisme mes yeux avant de les rouvrir lentement, sous le choc. Qu'est-ce qu'il venait de se passer ? Mon regard se posa sur mon ami qui était en train de s'amuser comme un enfant. « Tu risquerais de glisser. » Alors c'était pour ça... ? Jun venait de m'emmener à une soirée mousse ? Je laissai échapper un rire désespéré. Sérieusement, quel âge avait-il déjà... ? Cinq ans ? Il avait peut-être fêté ses cinq ans il y avait deux jours. En même temps, qu'est-ce que je m'étais attendu de sa part ? Qu'il danse sensuellement au beau milieu d'inconnus avec un sourire pervers ? Remarque, c'était bien possible, et c'était ça dont je m'étais inquiété. Mais finalement, il restait lui-même, il s'amusait comme un fou à cette soirée dans la mousse. J'étais encore immobile, debout, complètement ahuri parce qu'il venait de se passer. Je ne savais pas si je devais rire ou pleurer, mais je supposai que Jun préférerait me voir sourire... Alors qu'il était en train de rire, il posa de la mousse sur mes joues comme l'enfant qu'il était. Je fis une mine offusquée, reprenant mes esprits avec son action. « Hé ! T'aurais pu me prévenir que c'était une soirée mousse, j'aurais eu moins peur ! » Je m'essuyai les joues, mais me rendis bien compte que mon corps entier était rempli de mousse et que c'était déjà trop tard pour y changer quoi que ce soit. J'aurais l'air bien intelligent moi, à rentrer au dortoir trempé par de la mousse... Ah, ça se finissait toujours comme ça avec les idées de Jun... Et en même temps, c'était tellement une habitude que ça ne me surprenait pas. Lorsque la nouvelle musique se joua, je me demandai si ce n'était pas Hojun qui l'avait demandé, celle-là... Je soupirai avec un petit sourire sur les lèvres. Quel grand gamin. Il continua à s'amuser tout seul avec la mousse alors que je l'observai. On pourrait croire qu'il était déjà saoul alors qu'il n'avait pas bu une seule goutte d'alcool... C'était ça, ce qui était amusant avec lui. Il paraissait bourré toute la journée... Avec lui, j'avais l'impression d'être un père qui regardait son gosse s'amuser, sérieusement... Mais bon, tant qu'il s'amusait, c'était bien. Je le laissai faire, faisant de mon mieux pour recevoir le moins de mousse possible. Et là, ce qui devait arriver arriva : Jun se rétama par terre, les fesses en premier. Aïe, le pauvre. Je grimaçai en le voyant, mais quand il se mit à rire, je me dis qu'il n'avait pas vraiment dû se faire mal. Naïf que j'étais, je n'avais pas pensé à la prochaine action que Jun allait faire... Boum ! D'un coup sec, je tombai moi aussi à terre, les fesses en première aussi. Je m'étalai dans la mousse au sol, et ce fut à ce moment-là que je compris qu'il était inutile de montrer toute résistance : dans tous les cas, j'allais prendre une bonne douche ce soir. Je soupirai encore une fois, désemparé. Jun se releva, et il se préoccupa d'abord de ses fesses. Je mis mes deux mains sur mon visage en fermant au préalable les yeux. Ça, c'était Jun tout craché... Je lâchai un rire en retirant mes mains avant de hocher de la tête, levant un pouce en l'air. « Il est toujours beau, t'inquiète pas... » Une idée me vint soudainement à l'esprit, tel le gamin qui avait pris possession de mon corps. Je pris un peu de mousse dans ma main, puis acceptai l'aide de Jun de l'autre main en me redressant. Et puis, sans prévenir, je vins taper ses fesses avec la mousse dans ma main. « Maintenant elles sont encore plus parfaites, Jun. » Un petit sourire prit place sur mes lèvres alors que je venais de déclarer la guerre. Avec Jun, je devenais plus enfantin, je retrouvais mon âme d'enfance. Deux enfants dans une soirée mousse, je me demandais comment nous avions fait pour entrer dans la boîte de nuit ?
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
Smile my friend.
Je pouvais comprendre pourquoi une boîte de nuit pouvait être amusant pour des personnes : on pouvait rencontrer des gens, il y avait de l'alcool, tout le monde avait le sourire au visage, la musique était forte et mettait dans l'ambiance festive... Mais pour moi, c'était l'enfer sur Terre. Je n'aimais pas du tout l'atmosphère qui y régnait, j'y étais parfaitement mal à l'aise. Alors lorsque je réalisai que l'un de mes meilleurs amis qui me connaissait le mieux m'emmenait à une boîte de nuit, je fus tout de suite désespéré et déçu. Comment est-ce que l'idée même de m'y emmener avait pu le traverser ? Ce n'était définitivement pas une bonne idée. Il le savait, alors pourquoi est-ce qu'il s'entêtait quand même à le faire ? Ça me frustrait. Peu importe à quel point je protestais, rien ne changerait dans la tête de Jun. C'était ça qui était le plus frustrant, oui. Je fronçai des sourcils à sa réponse. Je n'aurais pas besoin de danser, et de toute façon, je risquerai de glisser... ? Dans quoi est-ce qu'il allait m'emmener ? Fidèle à lui-même, Jun me tira la langue et je n'eus pas le temps de comprendre la situation qu'il était déjà rentré à l'intérieur, m'ayant entraîné avec lui. Il y avait du monde, je me sentais déjà mal. Je voulais rentrer au dortoir. C'était possible, hein ? Jun pouvait me faire cette faveur, hein... ? Je soupirai une énième fois, fatigué de la situation. Je voulais juste rentrer... « Jun, franchement, c'est pas une bonne- » Ma phrase ne trouva pas sa fin comme d'un seul coup, de la mousse fut propulsée de tous les côtés. Je fermai par automatisme mes yeux avant de les rouvrir lentement, sous le choc. Qu'est-ce qu'il venait de se passer ? Mon regard se posa sur mon ami qui était en train de s'amuser comme un enfant. « Tu risquerais de glisser. » Alors c'était pour ça... ? Jun venait de m'emmener à une soirée mousse ? Je laissai échapper un rire désespéré. Sérieusement, quel âge avait-il déjà... ? Cinq ans ? Il avait peut-être fêté ses cinq ans il y avait deux jours. En même temps, qu'est-ce que je m'étais attendu de sa part ? Qu'il danse sensuellement au beau milieu d'inconnus avec un sourire pervers ? Remarque, c'était bien possible, et c'était ça dont je m'étais inquiété. Mais finalement, il restait lui-même, il s'amusait comme un fou à cette soirée dans la mousse. J'étais encore immobile, debout, complètement ahuri parce qu'il venait de se passer. Je ne savais pas si je devais rire ou pleurer, mais je supposai que Jun préférerait me voir sourire... Alors qu'il était en train de rire, il posa de la mousse sur mes joues comme l'enfant qu'il était. Je fis une mine offusquée, reprenant mes esprits avec son action. « Hé ! T'aurais pu me prévenir que c'était une soirée mousse, j'aurais eu moins peur ! » Je m'essuyai les joues, mais me rendis bien compte que mon corps entier était rempli de mousse et que c'était déjà trop tard pour y changer quoi que ce soit. J'aurais l'air bien intelligent moi, à rentrer au dortoir trempé par de la mousse... Ah, ça se finissait toujours comme ça avec les idées de Jun... Et en même temps, c'était tellement une habitude que ça ne me surprenait pas. Lorsque la nouvelle musique se joua, je me demandai si ce n'était pas Hojun qui l'avait demandé, celle-là... Je soupirai avec un petit sourire sur les lèvres. Quel grand gamin. Il continua à s'amuser tout seul avec la mousse alors que je l'observai. On pourrait croire qu'il était déjà saoul alors qu'il n'avait pas bu une seule goutte d'alcool... C'était ça, ce qui était amusant avec lui. Il paraissait bourré toute la journée... Avec lui, j'avais l'impression d'être un père qui regardait son gosse s'amuser, sérieusement... Mais bon, tant qu'il s'amusait, c'était bien. Je le laissai faire, faisant de mon mieux pour recevoir le moins de mousse possible. Et là, ce qui devait arriver arriva : Jun se rétama par terre, les fesses en premier. Aïe, le pauvre. Je grimaçai en le voyant, mais quand il se mit à rire, je me dis qu'il n'avait pas vraiment dû se faire mal. Naïf que j'étais, je n'avais pas pensé à la prochaine action que Jun allait faire... Boum ! D'un coup sec, je tombai moi aussi à terre, les fesses en première aussi. Je m'étalai dans la mousse au sol, et ce fut à ce moment-là que je compris qu'il était inutile de montrer toute résistance : dans tous les cas, j'allais prendre une bonne douche ce soir. Je soupirai encore une fois, désemparé. Jun se releva, et il se préoccupa d'abord de ses fesses. Je mis mes deux mains sur mon visage en fermant au préalable les yeux. Ça, c'était Jun tout craché... Je lâchai un rire en retirant mes mains avant de hocher de la tête, levant un pouce en l'air. « Il est toujours beau, t'inquiète pas... » Une idée me vint soudainement à l'esprit, tel le gamin qui avait pris possession de mon corps. Je pris un peu de mousse dans ma main, puis acceptai l'aide de Jun de l'autre main en me redressant. Et puis, sans prévenir, je vins taper ses fesses avec la mousse dans ma main. « Maintenant elles sont encore plus parfaites, Jun. » Un petit sourire prit place sur mes lèvres alors que je venais de déclarer la guerre. Avec Jun, je devenais plus enfantin, je retrouvais mon âme d'enfance. Deux enfants dans une soirée mousse, je me demandais comment nous avions fait pour entrer dans la boîte de nuit ?
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Re: Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Dim 21 Jan - 1:06 Citer EditerSupprimer
Smile my friend.
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Tu sais pertinemment que ton ami n'aime pas les boites de nuits, tu sais qu'il était sûrement blasé de ton idée, mais tu n'as pas lâché, parce que toi tu voulais jouer dans la mousse, parce qu'au fond de toi tu es un enfant. « Jun, franchement, c'est pas une bonne- ». Tae Woo parle, mais tu ne l'entends pas vraiment, tu es trop occupé à rire de ce qui va se passer.
La mousse blanche envahie la pièce, elle s'installe sur ton ami, elle humidifie tout sur son passage et elle a un effet euphorique sur toi, un effet apaisant sur lui. « Hé ! T'aurais pu me prévenir que c'était une soirée mousse, j'aurais eu moins peur ! » D'un regard taquin tu lui réponds, sans un mot il sait. Cela aurait été moins drôle de voir sa tête, s'il avait su. Être ivre de vivre, au fond c'est ça ton quotidien, pas besoin d'alcool quand on a ton cerveau. D'ailleurs le mélange alcool et Ho-Jun n'a jamais été un franc succès, parce que tu tiens l'alcool aussi bien qu'un nourrisson. Sauf que malheureusement contrairement aux nourrissons, toi tu sais parler.
Tae-Woo est à terre avec toi, il soupire et ça te fait rire. Lorsque tu te tournes et exposes ton joli petit cul vêtu de ton jean quoiqu'un peu trop large pour te mettre en valeur, Tae Woo se met à rire, il se moque de toi et de tes réactions abusives. Tu lui demandes si ton cul est toujours aussi beau, il pose ses mains sur ses yeux, puis il rit en levant le pouce. Comme pour mettre pause à un jeu qui n'a pas commencé. « Il est toujours beau, t'inquiète pas... » A cette réplique tu ne peux que rappliquer par un déhanché qui pourrait être sexy, si ce n'était pas si ridiculement effectué. Seulement la suite tu ne t'y attends pas, ou pas complètement. Ton ami rempli ses mains de mousse et tu l'aides à se relever. Une fois les deux pieds à terre et la tête à hauteur raisonnable, Tae Woo pose sa main sur ton fessier. Sur le coup, tu ne comprends pas et le regarde simplement. D'un air choqué tu le montres du doigt, mais rien ne sort de tes lèvres. « Maintenant elles sont encore plus parfaites, Jun. » Tu comprends, tu réalises et hausse les sourcils.
- Avoues même au toucher, elles sont hyper géniale. Ah mes petites Jumelles.
Parler de ses fesses aussi naturellement, ça ne peut-être qu'un don du ciel. N'es-pas ? Tae Woo vient de lancer la première partie d'une longue guerre, il le sait, il te connaît. Tu te rapproches de lui et lui pince le cul puis rapidement tu viens protéger le tien avec l'aide de tes deux mains.
- Tu m'as fait un attouchement.
Tu gardes ton air sérieux et outré quelque seconde puis tu te mets à rire en donnant un léger coup sur l'épaule de ton ami, tu te rapproches de lui. Un pot de colle, tu as toujours été comme ça. Les bulles de mousse se mélangent avec la couleur des lumières artificielles, c'est beau. Tu te doutes que monsieur ne voudra pas danser, alors tu bouges seulement tes hanches et tes bras pour rester près de lui. Ton bras passe autour du sien, tu l'entraînes avec toi devant le bar pour prendre à boire.
- Tu veux quoi ? Je t'offre le premier verre.
Tu prends une boisson non-alcoolisé et garde le bras de ton ami contre le tien en regardant ceux qui sont autour de vous. Si les gens ont tendances à raconter que tu aurais un penchant pour les hommes ce n'est pas pour rien. Tu es tellement… Scotché à tes amis que tu sembles presque fusionner. Seulement tu as besoin de ça, de cette proximité, de ce lien où tu as simplement le droit d'être toi-même. D'être l'enfant qui recherche toute l'attention du monde, qui colle, qui taquine, qui embête.
© Frimelda, sur une proposition de © BlorkTu sais pertinemment que ton ami n'aime pas les boites de nuits, tu sais qu'il était sûrement blasé de ton idée, mais tu n'as pas lâché, parce que toi tu voulais jouer dans la mousse, parce qu'au fond de toi tu es un enfant. « Jun, franchement, c'est pas une bonne- ». Tae Woo parle, mais tu ne l'entends pas vraiment, tu es trop occupé à rire de ce qui va se passer.
La mousse blanche envahie la pièce, elle s'installe sur ton ami, elle humidifie tout sur son passage et elle a un effet euphorique sur toi, un effet apaisant sur lui. « Hé ! T'aurais pu me prévenir que c'était une soirée mousse, j'aurais eu moins peur ! » D'un regard taquin tu lui réponds, sans un mot il sait. Cela aurait été moins drôle de voir sa tête, s'il avait su. Être ivre de vivre, au fond c'est ça ton quotidien, pas besoin d'alcool quand on a ton cerveau. D'ailleurs le mélange alcool et Ho-Jun n'a jamais été un franc succès, parce que tu tiens l'alcool aussi bien qu'un nourrisson. Sauf que malheureusement contrairement aux nourrissons, toi tu sais parler.
Tae-Woo est à terre avec toi, il soupire et ça te fait rire. Lorsque tu te tournes et exposes ton joli petit cul vêtu de ton jean quoiqu'un peu trop large pour te mettre en valeur, Tae Woo se met à rire, il se moque de toi et de tes réactions abusives. Tu lui demandes si ton cul est toujours aussi beau, il pose ses mains sur ses yeux, puis il rit en levant le pouce. Comme pour mettre pause à un jeu qui n'a pas commencé. « Il est toujours beau, t'inquiète pas... » A cette réplique tu ne peux que rappliquer par un déhanché qui pourrait être sexy, si ce n'était pas si ridiculement effectué. Seulement la suite tu ne t'y attends pas, ou pas complètement. Ton ami rempli ses mains de mousse et tu l'aides à se relever. Une fois les deux pieds à terre et la tête à hauteur raisonnable, Tae Woo pose sa main sur ton fessier. Sur le coup, tu ne comprends pas et le regarde simplement. D'un air choqué tu le montres du doigt, mais rien ne sort de tes lèvres. « Maintenant elles sont encore plus parfaites, Jun. » Tu comprends, tu réalises et hausse les sourcils.
- Avoues même au toucher, elles sont hyper géniale. Ah mes petites Jumelles.
Parler de ses fesses aussi naturellement, ça ne peut-être qu'un don du ciel. N'es-pas ? Tae Woo vient de lancer la première partie d'une longue guerre, il le sait, il te connaît. Tu te rapproches de lui et lui pince le cul puis rapidement tu viens protéger le tien avec l'aide de tes deux mains.
- Tu m'as fait un attouchement.
Tu gardes ton air sérieux et outré quelque seconde puis tu te mets à rire en donnant un léger coup sur l'épaule de ton ami, tu te rapproches de lui. Un pot de colle, tu as toujours été comme ça. Les bulles de mousse se mélangent avec la couleur des lumières artificielles, c'est beau. Tu te doutes que monsieur ne voudra pas danser, alors tu bouges seulement tes hanches et tes bras pour rester près de lui. Ton bras passe autour du sien, tu l'entraînes avec toi devant le bar pour prendre à boire.
- Tu veux quoi ? Je t'offre le premier verre.
Tu prends une boisson non-alcoolisé et garde le bras de ton ami contre le tien en regardant ceux qui sont autour de vous. Si les gens ont tendances à raconter que tu aurais un penchant pour les hommes ce n'est pas pour rien. Tu es tellement… Scotché à tes amis que tu sembles presque fusionner. Seulement tu as besoin de ça, de cette proximité, de ce lien où tu as simplement le droit d'être toi-même. D'être l'enfant qui recherche toute l'attention du monde, qui colle, qui taquine, qui embête.
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Re: Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Mer 24 Jan - 15:15 Citer EditerSupprimer
Une boîte de nuit, ce n'était jamais une bonne idée. Oh que non. Le bruit, les personnes, l'alcool, la fête, les rires... tout était si agaçant. Je pouvais bien comprendre pourquoi certains aimaient faire la fête, cependant, moi, je n'aimais pas. Et ça resterait bien comme ça. Alors lorsque je compris que Jun venait de m'emmener dans une boîte de nuit alors qu'il me connaissait mieux que personne, j'étais frustré. J'étais même déçu, si on pouvait dire ça comme ça. Pourtant, à peine que je me sentais désappointé que de la mousse gicla dans tous les sens. J'étais sous le choc, et puis, j'avais rapidement compris que si l'un de mes meilleurs amis était venu ici, ce n'était pas pour m'emmener boire de l'alcool et passer une soirée animée, mais pour jouer avec la mousse. Je fus alors désespéré. Mais comme ce sentiment était courant avec lui, ce n'était pas vraiment un problème. Jun commença alors à s'éclater, jetant de la mousse dans tous les sens en n'hésitant pas à s'en mettre partout. Un véritable enfant, ce gosse. J'esquissai un petit sourire, et aïe, il tomba par terre. Le sol était dur, il avait dû se faire bien mal... Je n'eus pas le réflexe de penser à sa prochaine action, et bam, moi aussi, je tombai à terre. En m'étalant dans le sol, je compris qu'il était totalement inutile de montrer toute résistance et qu'il n'y avait pas besoin de rester à l'écart de la mousse : si j'étais là, alors autant jouer avec. Jun se releva, s'inquiétant pour ses soi-disant « belles » fesses, et encore une fois, je fus désespéré. Le sentiment le plus récurrent quand j'étais avec lui, c'était bien l'exaspération. Je lui confirmai que son « beau » derrière était toujours splendide tout en levant mon pouce. Soudain, une idée d'enfant me vint à l'esprit, et je la mis tout de suite à l'exécution. Ça ne me ressemblait peut-être pas, mais je n'avais qu'à dire que c'était de la faute de Jun. En présence d'un enfant comme lui, moi aussi, je devenais bien gamin. Et parfois, redevenir un gamin, ça faisait du bien. Un gamin, ça ne se préoccupait pas des responsabilités, ça vivait le moment présent et ça riait comme ça pleurait pour un rien, et rien n'était grave avec lui. Il n'était pas stressé par la vie, le seul fait qui lui importait était de gagner la bataille qu'il avait enclenché avec ses amis. Être un enfant, c'était beau. Ça ne perdurait malheureusement pas. Or, chez Jun, il avait toujours cette étincelle, cette étincelle de joie qui était présente chez l'enfant. Et cette étincelle, elle était contaminable. Jun me proposa son aide, et bim, je tapai ses fesses avec la mousse que j'avais récolté. Un petit sourire espiègle sur les lèvres, je vins commenter la beauté de ses fesses. Effectivement, je venais de déclarer la guerre. La réaction de Jun m'amusait encore plus, il semblait juste outré. J'éclatai de rire à sa réponse, avant de lever les yeux au ciel. Exaspérant. « Elles sont super géniales, je confirme... » Il n'y avait que Jun pour parler de ses fesses comme ça. Comme je venais de déclarer la guerre, me prendre une attaque de sa part ne m'étonna pas. Malgré tout, j'eus un mouvement de sursaut, posant mes deux mains sur mes fesses par simple précaution. Puis je fis une mine choquée à mon tour quand il mentionna l'attouchement, demeurant aussi sérieux et outré que lui. Quand il éclata de rire, je me mis à rire aussi. « Et toi, tu ne m'as pas fait d'attouchement, hm ? » demandai-je en sachant pertinemment que la réponse était positive. « On est quittes, alors ne me reporte pas à la police. » Jun se rapprocha de moi, et il n'y avait qu'avec lui que ça ne me dérangeait pas. Il était très tactile, et bien que je l'étais aussi seulement avec mes amis, lui était à un niveau supérieur. On pourrait presque le prendre pour un homosexuel alors qu'il ne l'était pas. Il se mit à danser, ce qui m'arracha un sourire. Même sous son influence, je ne me mettrais pas à danser. Je dansais vraiment mal, après tout. Il passa son bras autour du mien, et je me laissai entraîner jusqu'au bar. « Un cocktail... Lui. » dis-je en désignant son image sur la carte. Je souris à Jun en entendant ce qu'il allait prendre. « L'alcool et toi, ça fait pas bon ménage... » Contrairement à lui, je savais boire. A force de boire lors de mon deuil, j'avais appris à bien tenir l'alcool. Finalement, c'était plutôt utile, même si je n'étais pas particulièrement intéressé par l'alcool. On commanda alors, puis nous attendîmes devant le bar. Vu notre proximité, il ne serait pas compliqué de nous prendre pour un couple homosexuel, mais ce n'était même pas le cas. Nos verres finirent par arriver, puis en prenant mon verre, je me tournai vers mon ami. « On trinque à quoi ? »
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
Smile my friend.
Une boîte de nuit, ce n'était jamais une bonne idée. Oh que non. Le bruit, les personnes, l'alcool, la fête, les rires... tout était si agaçant. Je pouvais bien comprendre pourquoi certains aimaient faire la fête, cependant, moi, je n'aimais pas. Et ça resterait bien comme ça. Alors lorsque je compris que Jun venait de m'emmener dans une boîte de nuit alors qu'il me connaissait mieux que personne, j'étais frustré. J'étais même déçu, si on pouvait dire ça comme ça. Pourtant, à peine que je me sentais désappointé que de la mousse gicla dans tous les sens. J'étais sous le choc, et puis, j'avais rapidement compris que si l'un de mes meilleurs amis était venu ici, ce n'était pas pour m'emmener boire de l'alcool et passer une soirée animée, mais pour jouer avec la mousse. Je fus alors désespéré. Mais comme ce sentiment était courant avec lui, ce n'était pas vraiment un problème. Jun commença alors à s'éclater, jetant de la mousse dans tous les sens en n'hésitant pas à s'en mettre partout. Un véritable enfant, ce gosse. J'esquissai un petit sourire, et aïe, il tomba par terre. Le sol était dur, il avait dû se faire bien mal... Je n'eus pas le réflexe de penser à sa prochaine action, et bam, moi aussi, je tombai à terre. En m'étalant dans le sol, je compris qu'il était totalement inutile de montrer toute résistance et qu'il n'y avait pas besoin de rester à l'écart de la mousse : si j'étais là, alors autant jouer avec. Jun se releva, s'inquiétant pour ses soi-disant « belles » fesses, et encore une fois, je fus désespéré. Le sentiment le plus récurrent quand j'étais avec lui, c'était bien l'exaspération. Je lui confirmai que son « beau » derrière était toujours splendide tout en levant mon pouce. Soudain, une idée d'enfant me vint à l'esprit, et je la mis tout de suite à l'exécution. Ça ne me ressemblait peut-être pas, mais je n'avais qu'à dire que c'était de la faute de Jun. En présence d'un enfant comme lui, moi aussi, je devenais bien gamin. Et parfois, redevenir un gamin, ça faisait du bien. Un gamin, ça ne se préoccupait pas des responsabilités, ça vivait le moment présent et ça riait comme ça pleurait pour un rien, et rien n'était grave avec lui. Il n'était pas stressé par la vie, le seul fait qui lui importait était de gagner la bataille qu'il avait enclenché avec ses amis. Être un enfant, c'était beau. Ça ne perdurait malheureusement pas. Or, chez Jun, il avait toujours cette étincelle, cette étincelle de joie qui était présente chez l'enfant. Et cette étincelle, elle était contaminable. Jun me proposa son aide, et bim, je tapai ses fesses avec la mousse que j'avais récolté. Un petit sourire espiègle sur les lèvres, je vins commenter la beauté de ses fesses. Effectivement, je venais de déclarer la guerre. La réaction de Jun m'amusait encore plus, il semblait juste outré. J'éclatai de rire à sa réponse, avant de lever les yeux au ciel. Exaspérant. « Elles sont super géniales, je confirme... » Il n'y avait que Jun pour parler de ses fesses comme ça. Comme je venais de déclarer la guerre, me prendre une attaque de sa part ne m'étonna pas. Malgré tout, j'eus un mouvement de sursaut, posant mes deux mains sur mes fesses par simple précaution. Puis je fis une mine choquée à mon tour quand il mentionna l'attouchement, demeurant aussi sérieux et outré que lui. Quand il éclata de rire, je me mis à rire aussi. « Et toi, tu ne m'as pas fait d'attouchement, hm ? » demandai-je en sachant pertinemment que la réponse était positive. « On est quittes, alors ne me reporte pas à la police. » Jun se rapprocha de moi, et il n'y avait qu'avec lui que ça ne me dérangeait pas. Il était très tactile, et bien que je l'étais aussi seulement avec mes amis, lui était à un niveau supérieur. On pourrait presque le prendre pour un homosexuel alors qu'il ne l'était pas. Il se mit à danser, ce qui m'arracha un sourire. Même sous son influence, je ne me mettrais pas à danser. Je dansais vraiment mal, après tout. Il passa son bras autour du mien, et je me laissai entraîner jusqu'au bar. « Un cocktail... Lui. » dis-je en désignant son image sur la carte. Je souris à Jun en entendant ce qu'il allait prendre. « L'alcool et toi, ça fait pas bon ménage... » Contrairement à lui, je savais boire. A force de boire lors de mon deuil, j'avais appris à bien tenir l'alcool. Finalement, c'était plutôt utile, même si je n'étais pas particulièrement intéressé par l'alcool. On commanda alors, puis nous attendîmes devant le bar. Vu notre proximité, il ne serait pas compliqué de nous prendre pour un couple homosexuel, mais ce n'était même pas le cas. Nos verres finirent par arriver, puis en prenant mon verre, je me tournai vers mon ami. « On trinque à quoi ? »
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Re: Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Sam 27 Jan - 16:32 Citer EditerSupprimer
Smile my friend.
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La bataille est lancé, monsieur joue les choqués, il sursaute à ton touché, lorsque tu lui pinces son joli fessier. Tu le regarde monologuer lorsqu’il émet la possibilité d’appeler les policiers. Il ne l’aurait jamais fait, c’est ce que tu dis, mais tu ne devrais même pas le penser, c’est du second degré. Alors tu te trémousse près de lui, tu bouges tes bras, tes hanches, tes jambes. Tout cela, pas forcément de manière coordonné. Tu danses un peu comme tes idées, de manière désordonné. Tu es un bordélique et on ne peut plus te changer. Dommage pour le reste du monde, tu resteras comme ça. Finalement tu ris et il rit aussi et putain que c’est beau, que ça fait du bien de le voir rire. Tu le regarde sans perdre ton sourire, ton rire. Tu aimes que tes amies redeviennent enfants, tu aimes voir Tae Woo rire comme là. Tu trinqueras secrètement à son rire, mais tu ne l’avoueras pas alors lorsqu’il te demande à quoi vous pouvez bien trinquer, tu restes toi.
- A mon joli cul !
Un clin d’œil puis te voilà à tirer la langue, rire, sourire, faire rire et sourire c’est ton bute, c’est ce que tu désires faire, surtout quand c’est un de tes amis. Ils sont importants, ils sont la famille que tu as choisie. Tu te perds un instant dans ton verre, tu le regardes, tu penses, puis ton sourire reviens, plus grand, plus beau. Tu regardes ton ami apporte le verre à tes lèvres pour en boire une gorgé. Pourquoi cherchons-nous constamment des raisons à tout ? Une raison de trinquer, une raison d’aimer, une raison pour pleurer. Nous n’avons pas besoin de trouver de raison, nous pouvons pleurer, rire sans aucune raison. La vie est ainsi faite, ne nous refrénons pas.
- Ah moins que tu n’es une meilleure idée ? Qu’aimerais-tu trinquer ?
Tu lui tapotes l’épaule et pose ton verre pour enlever un peu de mousse sur tes vêtements et posé ta main à plat sur le comptoir de la boite de nuit. Comme un enfant tu regardes cette marque éphémère en souriant. Puis lentement tu rapportes ton attention sur Mr Sérieux, la mousse t’ayant mouillé tu rapproches ton corps du siens en râlant que tu as froid.
- Il fait froid.
Le serpent en manque de chaleur attrape son ami, il l’entraîne avec lui et en oublie son verre. Tu veux trouver une solution pour te sécher pour mieux te mouiller une nouvelle fois. Tu l’entraînes dans les toilettes et t’assois sous le séche main en entraînant ton ami avec toi. Comme deux imbéciles assis au sol, sous un séche-main qui renvois un peu de chaleur dans le vent.
- On ne m’avait pas prévenue que la mousse était si froide.
Premièrement vous êtes dans des toilettes, deuxièmement il t’a traîné dans celle pour femme. D’ailleurs quelque une rentre en groupe. On sait que les femmes ne vont quasiment jamais seule au toilette. Toi tu les regardes d’un air offusqué, elles vous regardent comme si vous étiez des pervers.
- Oups.
Cependant tu n’es pas décidé à partir, tu as froid et la tu te réchauffes en bougent tes mains au-dessus de toi pour activer le séchoir. Tu jètes un coup d’œil à ton ami qui… Ne dois surement pas être ravie de tes conneries.
© Frimelda, sur une proposition de © BlorkLa bataille est lancé, monsieur joue les choqués, il sursaute à ton touché, lorsque tu lui pinces son joli fessier. Tu le regarde monologuer lorsqu’il émet la possibilité d’appeler les policiers. Il ne l’aurait jamais fait, c’est ce que tu dis, mais tu ne devrais même pas le penser, c’est du second degré. Alors tu te trémousse près de lui, tu bouges tes bras, tes hanches, tes jambes. Tout cela, pas forcément de manière coordonné. Tu danses un peu comme tes idées, de manière désordonné. Tu es un bordélique et on ne peut plus te changer. Dommage pour le reste du monde, tu resteras comme ça. Finalement tu ris et il rit aussi et putain que c’est beau, que ça fait du bien de le voir rire. Tu le regarde sans perdre ton sourire, ton rire. Tu aimes que tes amies redeviennent enfants, tu aimes voir Tae Woo rire comme là. Tu trinqueras secrètement à son rire, mais tu ne l’avoueras pas alors lorsqu’il te demande à quoi vous pouvez bien trinquer, tu restes toi.
- A mon joli cul !
Un clin d’œil puis te voilà à tirer la langue, rire, sourire, faire rire et sourire c’est ton bute, c’est ce que tu désires faire, surtout quand c’est un de tes amis. Ils sont importants, ils sont la famille que tu as choisie. Tu te perds un instant dans ton verre, tu le regardes, tu penses, puis ton sourire reviens, plus grand, plus beau. Tu regardes ton ami apporte le verre à tes lèvres pour en boire une gorgé. Pourquoi cherchons-nous constamment des raisons à tout ? Une raison de trinquer, une raison d’aimer, une raison pour pleurer. Nous n’avons pas besoin de trouver de raison, nous pouvons pleurer, rire sans aucune raison. La vie est ainsi faite, ne nous refrénons pas.
- Ah moins que tu n’es une meilleure idée ? Qu’aimerais-tu trinquer ?
Tu lui tapotes l’épaule et pose ton verre pour enlever un peu de mousse sur tes vêtements et posé ta main à plat sur le comptoir de la boite de nuit. Comme un enfant tu regardes cette marque éphémère en souriant. Puis lentement tu rapportes ton attention sur Mr Sérieux, la mousse t’ayant mouillé tu rapproches ton corps du siens en râlant que tu as froid.
- Il fait froid.
Le serpent en manque de chaleur attrape son ami, il l’entraîne avec lui et en oublie son verre. Tu veux trouver une solution pour te sécher pour mieux te mouiller une nouvelle fois. Tu l’entraînes dans les toilettes et t’assois sous le séche main en entraînant ton ami avec toi. Comme deux imbéciles assis au sol, sous un séche-main qui renvois un peu de chaleur dans le vent.
- On ne m’avait pas prévenue que la mousse était si froide.
Premièrement vous êtes dans des toilettes, deuxièmement il t’a traîné dans celle pour femme. D’ailleurs quelque une rentre en groupe. On sait que les femmes ne vont quasiment jamais seule au toilette. Toi tu les regardes d’un air offusqué, elles vous regardent comme si vous étiez des pervers.
- Oups.
Cependant tu n’es pas décidé à partir, tu as froid et la tu te réchauffes en bougent tes mains au-dessus de toi pour activer le séchoir. Tu jètes un coup d’œil à ton ami qui… Ne dois surement pas être ravie de tes conneries.
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Re: Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Dim 28 Jan - 15:18 Citer EditerSupprimer
« A ton joli cul... » trinquai-je avec lui, exaspéré. En souhaitant que le beau fessier de Jun se porte le mieux possible... Je bus une gorgée. Il était vraiment comme un enfant, il avait le don de me désespérer et à la fois de me faire sourire. Il était vraiment spécial, et ça devait être pour ça qu'il était notre ami. Nous étions tous spéciaux, à notre manière respective. Jun, lui, c'était pour apporter la bonne humeur et nous transformer comme des enfants qu'il faisait partie de notre groupe. Sans lui, nous serions toujours là, calmes, à ne rien faire. Parfois, je me disais que c'était bien qu'il soit là. Je serais quelqu'un de bien plus déprimé sans lui. Comment aurais-je fait pour retrouver le sourire s'il n'était pas là ? Je lui en étais bien reconnaissant, mais ça, ce n'était pas au cours d'une soirée mousse que je lui dirais. « Trinquons à notre longue vie. » dis-je en souriant légèrement, faisant rencontrer nos deux verres avant de boire une deuxième gorgée. Ce qui était le plus précieux était la vie. Il fallait qu'on reste en vie. Je voulais rester avec eux jusqu'à ce que l'on meure de vieillesse, et encore, là, je voudrais qu'on meure tous les quatre le même jour, à la même heure, minute et seconde pour qu'aucun de nous quatre n'ait à souffrir de la disparition de l'un d'entre nous. Je ne voulais plus souffrir comme je l'avais fait, et je ne voulais pas qu'ils souffrent aussi. Une mort avait été largement suffisante, je ne voulais pas en avoir d'autres dans ma vie. Je secouai de la tête en levant mes yeux au ciel quand Jun se rapprocha de moi sous prétexte qu'il faisait froid. « Tu n'avais pas qu'à t'amuser autant avec la mousse, ça t'apprendra... » Bien que je savais que c'était totalement inutile pour Jun, il n'apprenait jamais ses leçons, que ce soit de vie ou d'école. C'était peut-être pour ça qu'il était resté enfantin, aussi. Comme il n'avait jamais appris quoi que ce soit de son passé, il restait pur et immature, comme un enfant. Si j'avais fait la même chose, j'aurais le même comportement que lui. M'imaginer comme lui... Brr. J'en eus des frissons. Soudainement, Jun m'attrapa et m'entraîna pour aller autre part. « Hé, qu'est-ce que tu fais ? » J'avais toujours mon verre en main, mais je remarquai que Jun lui, avait oublié son verre sur le comptoir. Mais il était trop tard pour le signaler, on était déjà bien loin et Jun semblait très obstiné. Mais qu'est-ce qu'il voulait faire encore ? Cette fois, je ne le sentais vraiment pas... Nous rentrâmes tous les deux dans les toilettes. Perplexe, je n'avais pas remarqué que nous étions entrés dans les toilettes des femmes. Je fus forcé à m'asseoir par terre, et quand je sentis du vent chaud souffler sur mes cheveux, je compris que Jun voulait simplement se réchauffer de cette manière. Je bus une autre gorgée d'alcool, désespéré. « Je suis pas sûr que le sèche main te réchauffera vraiment... Et tu croyais quoi, que la mousse serait de la mousse chaude ? On est pas dans aux thermes, ici... » Je soupirai. Jun s'occupa d'activer de temps en temps le sèche main quand il fatiguait et arrêtait de fonctionner, et moi, je restai assis en train d'observer les toilettes d'un bar. Pas très propres... En y pensant, ces toilettes étaient bizarres. Il n'y avait même pas d'urinoirs. En voyant ça, je compris rapidement quelque chose. Je n'eus pas le temps de mettre un mot dessus puisque la porte s'ouvrit grand sur des femmes. Je les regardai d'un air étonné, elles nous regardèrent d'un air dégoûté. C'était bien ce que je pensais, au final. Nous étions rentrés dans les toilettes des femmes... « Juun... » dis-je en me tournant vers lui, exaspéré. Même en les voyant entrer, il n'était pas décidé à partir. Je me levai en premier, renversant un peu d'alcool de mon verre par terre par mégarde. Oups. Bon, tant pis. C'était pas très propre de toute façon. « On change de place ! » Je le tirai pour qu'il soit debout, et les femmes nous dévisagèrent alors que nous quittâmes les toilettes de femmes. Je regardai le panneau sur la porte. Il y avait une jupe, pourquoi est-ce qu'il était entré là ?! « T'as pas vu le panneau ? Pourquoi tu m'as entraîné dans les toilettes des femmes... Oh mon dieu, Jun, t'es pas déjà bourré quand même ? » Il n'avait même pas bu, comment est-ce que ce serait possible ? Je l'entraînai dans les toilettes du sexe opposé, et je sentis tout de suite une atmosphère bien lourde. J'avais l'impression qu'il y avait une bagarre, ici. Je déglutis en voyant le gabarit des deux hommes qui se battaient. S'ils décidaient de se retourner contre nous, nous étions littéralement morts. « Euh, Jun, on va abandonner l'idée de se réchauffer... » Par chance, ils ne nous avaient pas remarqué, hein... ? On ferait mieux de fermer la porte. Mais bon, le fait que tout se passe en paix était un simple beau rêve de ma part, avec Jun à mes côtés...
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
Smile my friend.
« A ton joli cul... » trinquai-je avec lui, exaspéré. En souhaitant que le beau fessier de Jun se porte le mieux possible... Je bus une gorgée. Il était vraiment comme un enfant, il avait le don de me désespérer et à la fois de me faire sourire. Il était vraiment spécial, et ça devait être pour ça qu'il était notre ami. Nous étions tous spéciaux, à notre manière respective. Jun, lui, c'était pour apporter la bonne humeur et nous transformer comme des enfants qu'il faisait partie de notre groupe. Sans lui, nous serions toujours là, calmes, à ne rien faire. Parfois, je me disais que c'était bien qu'il soit là. Je serais quelqu'un de bien plus déprimé sans lui. Comment aurais-je fait pour retrouver le sourire s'il n'était pas là ? Je lui en étais bien reconnaissant, mais ça, ce n'était pas au cours d'une soirée mousse que je lui dirais. « Trinquons à notre longue vie. » dis-je en souriant légèrement, faisant rencontrer nos deux verres avant de boire une deuxième gorgée. Ce qui était le plus précieux était la vie. Il fallait qu'on reste en vie. Je voulais rester avec eux jusqu'à ce que l'on meure de vieillesse, et encore, là, je voudrais qu'on meure tous les quatre le même jour, à la même heure, minute et seconde pour qu'aucun de nous quatre n'ait à souffrir de la disparition de l'un d'entre nous. Je ne voulais plus souffrir comme je l'avais fait, et je ne voulais pas qu'ils souffrent aussi. Une mort avait été largement suffisante, je ne voulais pas en avoir d'autres dans ma vie. Je secouai de la tête en levant mes yeux au ciel quand Jun se rapprocha de moi sous prétexte qu'il faisait froid. « Tu n'avais pas qu'à t'amuser autant avec la mousse, ça t'apprendra... » Bien que je savais que c'était totalement inutile pour Jun, il n'apprenait jamais ses leçons, que ce soit de vie ou d'école. C'était peut-être pour ça qu'il était resté enfantin, aussi. Comme il n'avait jamais appris quoi que ce soit de son passé, il restait pur et immature, comme un enfant. Si j'avais fait la même chose, j'aurais le même comportement que lui. M'imaginer comme lui... Brr. J'en eus des frissons. Soudainement, Jun m'attrapa et m'entraîna pour aller autre part. « Hé, qu'est-ce que tu fais ? » J'avais toujours mon verre en main, mais je remarquai que Jun lui, avait oublié son verre sur le comptoir. Mais il était trop tard pour le signaler, on était déjà bien loin et Jun semblait très obstiné. Mais qu'est-ce qu'il voulait faire encore ? Cette fois, je ne le sentais vraiment pas... Nous rentrâmes tous les deux dans les toilettes. Perplexe, je n'avais pas remarqué que nous étions entrés dans les toilettes des femmes. Je fus forcé à m'asseoir par terre, et quand je sentis du vent chaud souffler sur mes cheveux, je compris que Jun voulait simplement se réchauffer de cette manière. Je bus une autre gorgée d'alcool, désespéré. « Je suis pas sûr que le sèche main te réchauffera vraiment... Et tu croyais quoi, que la mousse serait de la mousse chaude ? On est pas dans aux thermes, ici... » Je soupirai. Jun s'occupa d'activer de temps en temps le sèche main quand il fatiguait et arrêtait de fonctionner, et moi, je restai assis en train d'observer les toilettes d'un bar. Pas très propres... En y pensant, ces toilettes étaient bizarres. Il n'y avait même pas d'urinoirs. En voyant ça, je compris rapidement quelque chose. Je n'eus pas le temps de mettre un mot dessus puisque la porte s'ouvrit grand sur des femmes. Je les regardai d'un air étonné, elles nous regardèrent d'un air dégoûté. C'était bien ce que je pensais, au final. Nous étions rentrés dans les toilettes des femmes... « Juun... » dis-je en me tournant vers lui, exaspéré. Même en les voyant entrer, il n'était pas décidé à partir. Je me levai en premier, renversant un peu d'alcool de mon verre par terre par mégarde. Oups. Bon, tant pis. C'était pas très propre de toute façon. « On change de place ! » Je le tirai pour qu'il soit debout, et les femmes nous dévisagèrent alors que nous quittâmes les toilettes de femmes. Je regardai le panneau sur la porte. Il y avait une jupe, pourquoi est-ce qu'il était entré là ?! « T'as pas vu le panneau ? Pourquoi tu m'as entraîné dans les toilettes des femmes... Oh mon dieu, Jun, t'es pas déjà bourré quand même ? » Il n'avait même pas bu, comment est-ce que ce serait possible ? Je l'entraînai dans les toilettes du sexe opposé, et je sentis tout de suite une atmosphère bien lourde. J'avais l'impression qu'il y avait une bagarre, ici. Je déglutis en voyant le gabarit des deux hommes qui se battaient. S'ils décidaient de se retourner contre nous, nous étions littéralement morts. « Euh, Jun, on va abandonner l'idée de se réchauffer... » Par chance, ils ne nous avaient pas remarqué, hein... ? On ferait mieux de fermer la porte. Mais bon, le fait que tout se passe en paix était un simple beau rêve de ma part, avec Jun à mes côtés...
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Re: Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Lun 5 Fév - 14:40 Citer EditerSupprimer
Les toilettes pour hommes son habité par des créatures sans gêne qui semble être dopé aux hormones masculines et qui tienne à prouver leur virilité. Ô sexe tout puissant, qu’allons-nous faire de toi ? Tu regardes les hommes qui se battent et soudainement une chanson relaxe te vient en tête « Ylvis - The Fox » plus particulièrement le refrain. Alors tu te mets à gueuler :
- What does the fox say ? Ring-ding-ding-ding-dingerigeding !
Tu as l’air con, mais ils ont arrêté de se battre, tu as saisis la main de Tae Woo que tu lâche lorsqu’il se retourne. Parce que ouais, la tu capte que vous êtes probablement dans la merde aux vues des regards des cowboys. Tu fermes violemment la porte après un doigt d’honneur. Pourquoi un doigt d’honneur ? Parce que sa se lisait dans leur yeux qu’il se foutait de ta gueule. D’ailleurs en parlant de gueule, tu cris à ton ami « Court » et en mode sacrifice tu fais style de rester là, mais… Finalement non. Un mec passe pour aller aux toilettes, tu lui souris et lui laisse la porte avec un petit rire nerveux. La porte s’ouvre, tu cours, mais ils se prennent en pleine face le mec qui tente d’aller pisser. En courant tu tente de rattraper ton ami.
- Sort ! Sort ! Scooter !! SCOOTER !
Tu cours avec ton ami, sors pour retrouver le scooter que tu démarres tant bien que mal avec CE PUTAIN de QUICK qui ne marche pas correctement. Puis tu te met à rouler avec ton ami derrière toi, tu te met à rire en voyant que les autres n’ont pas pu suivre, tu te rends dans une ruelle et descend du scooter pour ouvrir et prendre les casque et le donner à ton ami.
- C’était génial ! Es que tu as vu la tête de ces mecs ? EXCTRA !
Tu te doutes qu’il a sûrement eu un peu peur, mais tu ne pouvais pas en ton âmes est conscience laisser des hommes se battre sans rien tenter pour les séparer. Tu regardes ton ami et le laisse retourner derrière toi. Décidément rien ne se passe comme prévue. Tu n’auras pas sus le distraire longtemps.
- Reste avec moi, au pire on peut se « mettre » un film.
Tu ris à ta façon de parler et finalement le reconduit près des dortoirs, tu saisis son bras pour être sûr qu’il veut bien t’accompagner tu te retournes une seconde.
- Un petit film comédie ?
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
Smile my friend.
Les toilettes pour hommes son habité par des créatures sans gêne qui semble être dopé aux hormones masculines et qui tienne à prouver leur virilité. Ô sexe tout puissant, qu’allons-nous faire de toi ? Tu regardes les hommes qui se battent et soudainement une chanson relaxe te vient en tête « Ylvis - The Fox » plus particulièrement le refrain. Alors tu te mets à gueuler :
- What does the fox say ? Ring-ding-ding-ding-dingerigeding !
Tu as l’air con, mais ils ont arrêté de se battre, tu as saisis la main de Tae Woo que tu lâche lorsqu’il se retourne. Parce que ouais, la tu capte que vous êtes probablement dans la merde aux vues des regards des cowboys. Tu fermes violemment la porte après un doigt d’honneur. Pourquoi un doigt d’honneur ? Parce que sa se lisait dans leur yeux qu’il se foutait de ta gueule. D’ailleurs en parlant de gueule, tu cris à ton ami « Court » et en mode sacrifice tu fais style de rester là, mais… Finalement non. Un mec passe pour aller aux toilettes, tu lui souris et lui laisse la porte avec un petit rire nerveux. La porte s’ouvre, tu cours, mais ils se prennent en pleine face le mec qui tente d’aller pisser. En courant tu tente de rattraper ton ami.
- Sort ! Sort ! Scooter !! SCOOTER !
Tu cours avec ton ami, sors pour retrouver le scooter que tu démarres tant bien que mal avec CE PUTAIN de QUICK qui ne marche pas correctement. Puis tu te met à rouler avec ton ami derrière toi, tu te met à rire en voyant que les autres n’ont pas pu suivre, tu te rends dans une ruelle et descend du scooter pour ouvrir et prendre les casque et le donner à ton ami.
- C’était génial ! Es que tu as vu la tête de ces mecs ? EXCTRA !
Tu te doutes qu’il a sûrement eu un peu peur, mais tu ne pouvais pas en ton âmes est conscience laisser des hommes se battre sans rien tenter pour les séparer. Tu regardes ton ami et le laisse retourner derrière toi. Décidément rien ne se passe comme prévue. Tu n’auras pas sus le distraire longtemps.
- Reste avec moi, au pire on peut se « mettre » un film.
Tu ris à ta façon de parler et finalement le reconduit près des dortoirs, tu saisis son bras pour être sûr qu’il veut bien t’accompagner tu te retournes une seconde.
- Un petit film comédie ?
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Re: Smile my friend . [ Shin Tae Woo & Yeon Ho-Jun ] | Mer 7 Fév - 17:04 Citer EditerSupprimer
Ce serait une bonne idée de refermer la porte immédiatement. Mais je n'en eus pas le temps, mon meilleur ami commençant à hurler une chanson. Je me tournai lentement vers lui, très lentement. Espérant secrètement que ce n'était pas sa voix alors que je la reconnaissais. Espérant qu'il n'était que son sosie, et que le vrai Jun avait été un peu plus intelligent. Mais non. C'était bien lui, qui était en train de chanter à tue-tête une chanson stupide. Pourquoi avait-il chanté ça ? Bonne question. Je ne le saurais jamais. Je ne pourrais jamais deviner ce qu'il se passait dans sa tête, après tout. Les deux hommes qui se battaient nous regardèrent d'un mauvais œil, et plus que jamais, je compris qu'il fallait fuir. Le message fut bien transmis à Jun aussi puisqu'il fit la même chose que moi, il se tourna dans la direction opposée pour courir. Sauf que, comme s'il s'était cru dans un film, il m'incita à courir pour que je sauve ma vie et qu'il les affronte seul. Dans un film, j'aurais probablement insisté pour rester et désespérés, on serait restés là à pousser l'autre à survivre, et à nous prendre comme sacrifice. Mais comme on était dans la vraie vie... Je faisais confiance à Jun, il savait toujours s'en sortir. Je lui fis au revoir de la main puis filai à toute allure dans toute la boîte pour me retrouver dehors. Jun m'avait rattrapé entre temps, je ne savais pas ce qu'il avait fait, mais en jetant un œil derrière moi, je compris qu'il avait aussi choisi l'option « fuir ». A quoi ça servait qu'il me dise de fuir en premier s'il faisait la même chose que moi après ? Jun commença à crier comme à son habitude, et nous montâmes tous les deux sur son scooter qu'il tenta tant bien que de mal de faire démarrer. Soudainement, le véhicule fonctionna à nouveau et la mission fuite fut accomplie. Si on avait été dans un jeu vidéo, un « Mission success ! » se serait probablement affiché sur l'écran. Du moins, j'étais certain que cette pensée avait dû traverser le cerveau de mon ami. Je regardais nos assaillants courir derrière nous en nous insultant. J'étais rassuré, on avait pu s'en sortir... Jun se contentait de se moquer d'eux. On avait failli mourir et lui, il riait... Comme d'habitude, quoi. Nous descendîmes quelques rues plus loin de son scooter pour qu'il prenne les casques. Après tout, nous étions en train de rouler sans casque, ce n'était pas dans les règles et dangereux. Jun avait beau être une tête brûlée, quand il s'agissait de conduire, il était parfaitement dans les règles. Si seulement ça pouvait être comme ça à n'importe quel moment, ç'aurait été bien mieux... « J'en reviens pas qu'on soit toujours aussi obligés de fuir avec toi... » Je laissai échapper un soupir mais avec un petit sourire. Jun, c'était exactement le type de personne qui te désespérait mais te faisait sourire en même temps. Il était extra, Jun. Je montai à nouveau sur le deux roues, et il démarra à nouveau en me proposant un film. « T'aurais pu me proposer ça dès le début, c'est bien, un film... C'est plus confortable qu'une soirée mousse... » Me mouiller et tomber par terre à chaque fois, non, ce n'était pas dans mes intérêts... Nous retournâmes alors à mon dortoir, là où Jun était venu me récupérer. Il était chez les pyo, donc aller à son dortoir aurait pris plus de temps... Ici, on restait dans le sud. J'acquiesçai rapidement. « Oui, ce serait cool... J'ai bien envie de me reposer, là. » Je n'avais pratiquement rien fait, mais j'étais déjà fatigué... Avec Jun, nous montâmes donc jusqu'à ma chambre. Je ne savais pas si Bok était là, mais je croyais bien que non. Je ne l'avais pas croisé dans le dortoir, après tout. Malgré tout, j'avais quand même envie de vérifier. Il avait une chambre bien plus confortable que la mienne, il avait une chambre pour quatre pour lui tout seul, après tout. Moi, j'étais avec des colocataires, et avec un peu de chance, ils ne seraient pas là. Sinon, ça risquait d'être gênant. « Jun, tu veux pas vérifier si Bok est dans sa chambre ? Peut-être qu'on pourra regarder un film tous les trois. » Inviter Wan à venir serait peut-être un peu trop tard, les gumihos, c'était au nord... Et vu l'heure qu'il était, il aura sûrement la flemme.
© Frimelda, sur une proposition de © Blork
Smile my friend.
Ce serait une bonne idée de refermer la porte immédiatement. Mais je n'en eus pas le temps, mon meilleur ami commençant à hurler une chanson. Je me tournai lentement vers lui, très lentement. Espérant secrètement que ce n'était pas sa voix alors que je la reconnaissais. Espérant qu'il n'était que son sosie, et que le vrai Jun avait été un peu plus intelligent. Mais non. C'était bien lui, qui était en train de chanter à tue-tête une chanson stupide. Pourquoi avait-il chanté ça ? Bonne question. Je ne le saurais jamais. Je ne pourrais jamais deviner ce qu'il se passait dans sa tête, après tout. Les deux hommes qui se battaient nous regardèrent d'un mauvais œil, et plus que jamais, je compris qu'il fallait fuir. Le message fut bien transmis à Jun aussi puisqu'il fit la même chose que moi, il se tourna dans la direction opposée pour courir. Sauf que, comme s'il s'était cru dans un film, il m'incita à courir pour que je sauve ma vie et qu'il les affronte seul. Dans un film, j'aurais probablement insisté pour rester et désespérés, on serait restés là à pousser l'autre à survivre, et à nous prendre comme sacrifice. Mais comme on était dans la vraie vie... Je faisais confiance à Jun, il savait toujours s'en sortir. Je lui fis au revoir de la main puis filai à toute allure dans toute la boîte pour me retrouver dehors. Jun m'avait rattrapé entre temps, je ne savais pas ce qu'il avait fait, mais en jetant un œil derrière moi, je compris qu'il avait aussi choisi l'option « fuir ». A quoi ça servait qu'il me dise de fuir en premier s'il faisait la même chose que moi après ? Jun commença à crier comme à son habitude, et nous montâmes tous les deux sur son scooter qu'il tenta tant bien que de mal de faire démarrer. Soudainement, le véhicule fonctionna à nouveau et la mission fuite fut accomplie. Si on avait été dans un jeu vidéo, un « Mission success ! » se serait probablement affiché sur l'écran. Du moins, j'étais certain que cette pensée avait dû traverser le cerveau de mon ami. Je regardais nos assaillants courir derrière nous en nous insultant. J'étais rassuré, on avait pu s'en sortir... Jun se contentait de se moquer d'eux. On avait failli mourir et lui, il riait... Comme d'habitude, quoi. Nous descendîmes quelques rues plus loin de son scooter pour qu'il prenne les casques. Après tout, nous étions en train de rouler sans casque, ce n'était pas dans les règles et dangereux. Jun avait beau être une tête brûlée, quand il s'agissait de conduire, il était parfaitement dans les règles. Si seulement ça pouvait être comme ça à n'importe quel moment, ç'aurait été bien mieux... « J'en reviens pas qu'on soit toujours aussi obligés de fuir avec toi... » Je laissai échapper un soupir mais avec un petit sourire. Jun, c'était exactement le type de personne qui te désespérait mais te faisait sourire en même temps. Il était extra, Jun. Je montai à nouveau sur le deux roues, et il démarra à nouveau en me proposant un film. « T'aurais pu me proposer ça dès le début, c'est bien, un film... C'est plus confortable qu'une soirée mousse... » Me mouiller et tomber par terre à chaque fois, non, ce n'était pas dans mes intérêts... Nous retournâmes alors à mon dortoir, là où Jun était venu me récupérer. Il était chez les pyo, donc aller à son dortoir aurait pris plus de temps... Ici, on restait dans le sud. J'acquiesçai rapidement. « Oui, ce serait cool... J'ai bien envie de me reposer, là. » Je n'avais pratiquement rien fait, mais j'étais déjà fatigué... Avec Jun, nous montâmes donc jusqu'à ma chambre. Je ne savais pas si Bok était là, mais je croyais bien que non. Je ne l'avais pas croisé dans le dortoir, après tout. Malgré tout, j'avais quand même envie de vérifier. Il avait une chambre bien plus confortable que la mienne, il avait une chambre pour quatre pour lui tout seul, après tout. Moi, j'étais avec des colocataires, et avec un peu de chance, ils ne seraient pas là. Sinon, ça risquait d'être gênant. « Jun, tu veux pas vérifier si Bok est dans sa chambre ? Peut-être qu'on pourra regarder un film tous les trois. » Inviter Wan à venir serait peut-être un peu trop tard, les gumihos, c'était au nord... Et vu l'heure qu'il était, il aura sûrement la flemme.
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