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1, 2where are you (sungjoo)
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Re: where are you (sungjoo) | Jeu 13 Sep - 13:51
✻✻✻ surprise par les réactions en chaîne de sung joo face à des mots que tu avais dit sans arrières pensées, tu ne sais pas comment gérer la situation. tu n'étais pas tellement douée avec les personnes tristes, ou lors de crises d'angoisse. tu n'avais pas le souvenir d'en avoir eu une de toute ta vie, tu ne pouvais pas comprendre ce qu'il pouvait bien se passer dans la tête du jeune homme. l'inquiétude qui prend le dessus sur le reste de tes émotions, alors que tu jettes des coups d'oeil autour de toi, dans l'espoir que quelqu'un te dise comment faire, que la solution te tombe dans les mains. tu ne pouvais pas le laisser dans cet état, mais comment faire quand tu étais perdue et que tu ne savais pas comment le calmer ? les mots qui dépassent tes lèvres, tu tentes d'attirer son attention, le détourner de cette peur qui avait pris possession de lui, tu ne sais pas si ça marcherait mais tu pouvais bien essayer... tu ne pouvais pas faire grande chose d'autre. tu le rassures, yibo et lui, ils étaient liés par un lien incroyable, personne ne pourrait se mettre entre eux. mais au fond, tu gardais cette pensée sur toi, ce n'était pas parce que sung joo décidait de vivre pour lui, que forcément ça allait le séparer de yibo. il pouvait bien avoir les deux, son frère et sa vie à lui, et lui seul, en même temps. sung joo qui semble sortir finalement de sa torpeur, son regard qui se pose sur toi, des mots qu'il répète comme pour s'en persuader lui-même. tu t'en voulais d'avoir déclenché ça, tu n'avais pas idée que ça aurait un tel effet sur lui. tu te mords la lèvre, la culpabilité qui t’envahit, tu le saurais maintenant, ne plus lancer une telle idée alors que sung joo la rejetait avec un réaction pareille, tu y réfléchiras à deux fois à présent. « ça va aller sung joo... » tu murmures, ta main toujours posée sur son bras, tu n'oses plus faire le moindre mouvement, te contentant juste d'essayer de le rassurer par tes mots, tu n'es même pas sûre que ça marche. tu avais peur de dire autre chose, que ça le replonge dans ses tourments. « je suis vraiment désolée, sung joo, je pensais pas que ça te ferait mal, pardon... » tu t'excuses une fois de plus, tu sentais presque les larmes te monter aux yeux quand tu vois l'expression de son visage, les larmes qui coulent le long de ses joues. la peine qu'il ressentait, elle était si vive, et tu étais responsable de ça. la confession du jeune homme qui attire de nouveau ton regard sur lui, tu restes silencieuse alors qu'il se confie, est-ce qu'il l'avait déjà dit à quelqu'un ? tout ce qu'il ressentait ? ses paroles qui s'inscrivent dans ton cœur, tu le sens tomber dans ta poitrine, sung joo aimait tellement son frère, cette peur de le perdre, c'était ça qui le poussait à agir ainsi. « tu ne vas pas le perdre, sung joo... yibo tient trop à toi pour ça, il n'est pas du genre à te laisser derrière, il aura toujours besoin de toi. » tu murmures, et puis une petite lumière qui s'allume dans ton esprit. qu'est-ce que sung joo avait dit ? ils s'étaient enfui tous les deux de chine ? tu sens les battements de ton cœur s’accélérer, une pensée folle qui te traverse l'esprit, mais tu n'oses pas l'exprimer. ce n'était pas le moment alors que tu vois le jeune homme en larmes devant toi. « viens, on sort prendre l'air ? » tu murmures à son attention, tu ne voulais pas que les gens le regarder comme s'il était une bête de cirque, ça ne les regardait pas. tu voulais qu'il puisse respirer et se calmer.
where are you
sung joo & mei li
✻✻✻ surprise par les réactions en chaîne de sung joo face à des mots que tu avais dit sans arrières pensées, tu ne sais pas comment gérer la situation. tu n'étais pas tellement douée avec les personnes tristes, ou lors de crises d'angoisse. tu n'avais pas le souvenir d'en avoir eu une de toute ta vie, tu ne pouvais pas comprendre ce qu'il pouvait bien se passer dans la tête du jeune homme. l'inquiétude qui prend le dessus sur le reste de tes émotions, alors que tu jettes des coups d'oeil autour de toi, dans l'espoir que quelqu'un te dise comment faire, que la solution te tombe dans les mains. tu ne pouvais pas le laisser dans cet état, mais comment faire quand tu étais perdue et que tu ne savais pas comment le calmer ? les mots qui dépassent tes lèvres, tu tentes d'attirer son attention, le détourner de cette peur qui avait pris possession de lui, tu ne sais pas si ça marcherait mais tu pouvais bien essayer... tu ne pouvais pas faire grande chose d'autre. tu le rassures, yibo et lui, ils étaient liés par un lien incroyable, personne ne pourrait se mettre entre eux. mais au fond, tu gardais cette pensée sur toi, ce n'était pas parce que sung joo décidait de vivre pour lui, que forcément ça allait le séparer de yibo. il pouvait bien avoir les deux, son frère et sa vie à lui, et lui seul, en même temps. sung joo qui semble sortir finalement de sa torpeur, son regard qui se pose sur toi, des mots qu'il répète comme pour s'en persuader lui-même. tu t'en voulais d'avoir déclenché ça, tu n'avais pas idée que ça aurait un tel effet sur lui. tu te mords la lèvre, la culpabilité qui t’envahit, tu le saurais maintenant, ne plus lancer une telle idée alors que sung joo la rejetait avec un réaction pareille, tu y réfléchiras à deux fois à présent. « ça va aller sung joo... » tu murmures, ta main toujours posée sur son bras, tu n'oses plus faire le moindre mouvement, te contentant juste d'essayer de le rassurer par tes mots, tu n'es même pas sûre que ça marche. tu avais peur de dire autre chose, que ça le replonge dans ses tourments. « je suis vraiment désolée, sung joo, je pensais pas que ça te ferait mal, pardon... » tu t'excuses une fois de plus, tu sentais presque les larmes te monter aux yeux quand tu vois l'expression de son visage, les larmes qui coulent le long de ses joues. la peine qu'il ressentait, elle était si vive, et tu étais responsable de ça. la confession du jeune homme qui attire de nouveau ton regard sur lui, tu restes silencieuse alors qu'il se confie, est-ce qu'il l'avait déjà dit à quelqu'un ? tout ce qu'il ressentait ? ses paroles qui s'inscrivent dans ton cœur, tu le sens tomber dans ta poitrine, sung joo aimait tellement son frère, cette peur de le perdre, c'était ça qui le poussait à agir ainsi. « tu ne vas pas le perdre, sung joo... yibo tient trop à toi pour ça, il n'est pas du genre à te laisser derrière, il aura toujours besoin de toi. » tu murmures, et puis une petite lumière qui s'allume dans ton esprit. qu'est-ce que sung joo avait dit ? ils s'étaient enfui tous les deux de chine ? tu sens les battements de ton cœur s’accélérer, une pensée folle qui te traverse l'esprit, mais tu n'oses pas l'exprimer. ce n'était pas le moment alors que tu vois le jeune homme en larmes devant toi. « viens, on sort prendre l'air ? » tu murmures à son attention, tu ne voulais pas que les gens le regarder comme s'il était une bête de cirque, ça ne les regardait pas. tu voulais qu'il puisse respirer et se calmer.© LOYALS.
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Re: where are you (sungjoo) | Jeu 20 Sep - 18:21
✻✻✻ tu ne pensais pas un jour que tu aurais une crise d’angoisse sur quelque chose d’aussi trivial. yibo allait grandir, allait prendre son indépendance et toi tu te retrouverais derrière à ne plus lui être indispensable. il rencontrerait probablement la personne qui partagera sa vie et tu ne lui seras plus d’aucune utilité. jusqu’à maintenant, tu avais toujours fait en sorte d’avoir des œillères, de ne pas voir la vérité. mais là en face de meili tu ne peux pas t’empêcher d’avoir peur. tu es effrayé à l’idée que cela puisse arriver et que tu ne sois plus utile à ton grand frère, qu’il n’ait plus besoin de toi. alors tu te répètes que tout va bien, que yibo aura envie que tu restes à ses côtés en tentant de calmer les battements de ton cœur et les pleurs qui inondent ton visage. tu ne sais plus quoi faire pour ne plus ressentir cette peine immense et cette pression sur ton cœur qui le comprime. tu manques d’air et les mots de meili n’aide pas réellement à te sentir mieux. elle est désolée d’avoir posé la question et tu le sais, tu entends la sincérité dans sa voix. pourtant, tu n’arrives pas à faire taire ce sentiment qui s’insinue bien trop rapidement dans ton cœur et ton esprit. et si elle avait raison ? et si yibo n’avait plus jamais besoin de toi ? tu ne pourrais pas le supporter. tu n’avais fait que ça dans toute ta vie, tu n’avais qu’aider et t’étais occupé du jeune homme pendant tout ce temps. tu ne pourrais pas le laisser partir loin de toi. tu en étais incapable. parce que tu avais beau dire que ton frère avait besoin de toi, c’était surtout toi qui avait besoin de lui. sans lui, tu étais perdu. sans lui ta vie n’avait plus aucun sens. sans lui tu n’avais plus qu’à dire adieu à ce monde. tu finis donc par laisser sortir tout ce que tu ressens par rapport à la situation. tu n’as jamais parlé de tout ça à quelqu’un. meili est la première. est-ce parce qu’elle était chinoise ? ou simplement parce qu’elle était là au moment où tu craquais ? tu ne savais pas et pourtant, les mots sortaient de ta bouche sans que tu ne les contrôles. tu te caches même dans tes bras, la tête sur la table pour éviter que les gens te voient pleurer. tu ne montres d’ordinaire jamais tes faiblesses. tu essaies toujours d’être fort pour yibo, pour toi et les autres. tu ne veux pas être quelqu’un qui dépende d’une autre personne, pourtant c’est le cas. tu dépends de yibo, bien plus que tu ne le penses. meili reprend la parole et ses mots te rassurent légèrement. tu arrives lentement mais sûrement à calmer ton cœur même si les larmes, elles, continuent de couler. yibo aura toujours besoin de toi qu’elle dit. est-ce que c’est vrai ? est-ce que tu seras réellement dans la vie de ton frère jusqu’à la fin ? et s’il décidait de te jeter ? et s’il ne voulait plus de toi ? rien que ces pensées font à nouveau battre ton cœur à cent à l’heure et tu te lèves précipitamment quand meili parle de sortir dehors. tu laisses tes affaires sur la chaise tandis que tu coures presque pour sortir. tu as besoin d’air. une fois dehors, derrière le bâtiment, tu te laisses choir sur le sol, le dos contre le mur et ta tête entre tes genoux. tu ne penses plus à meili que tu as laissé seule au milieu du self. tu ne penses plus à rien tandis que tu essaies une nouvelle fois de calmer les battements de ton cœur et ta respiration. il faut que tu arrêtes de penser à l’éventualité de perdre yibo, parce que si tu ne le fais pas, tu risques de ne pas arriver à te calmer. tu souffles lentement, prenant de grandes inspirations et de grandes expirations comme tu le fais avec ton frère pour le calmer. ça fonctionnera peut-être sur toi.
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meili & sungjoo
✻✻✻ tu ne pensais pas un jour que tu aurais une crise d’angoisse sur quelque chose d’aussi trivial. yibo allait grandir, allait prendre son indépendance et toi tu te retrouverais derrière à ne plus lui être indispensable. il rencontrerait probablement la personne qui partagera sa vie et tu ne lui seras plus d’aucune utilité. jusqu’à maintenant, tu avais toujours fait en sorte d’avoir des œillères, de ne pas voir la vérité. mais là en face de meili tu ne peux pas t’empêcher d’avoir peur. tu es effrayé à l’idée que cela puisse arriver et que tu ne sois plus utile à ton grand frère, qu’il n’ait plus besoin de toi. alors tu te répètes que tout va bien, que yibo aura envie que tu restes à ses côtés en tentant de calmer les battements de ton cœur et les pleurs qui inondent ton visage. tu ne sais plus quoi faire pour ne plus ressentir cette peine immense et cette pression sur ton cœur qui le comprime. tu manques d’air et les mots de meili n’aide pas réellement à te sentir mieux. elle est désolée d’avoir posé la question et tu le sais, tu entends la sincérité dans sa voix. pourtant, tu n’arrives pas à faire taire ce sentiment qui s’insinue bien trop rapidement dans ton cœur et ton esprit. et si elle avait raison ? et si yibo n’avait plus jamais besoin de toi ? tu ne pourrais pas le supporter. tu n’avais fait que ça dans toute ta vie, tu n’avais qu’aider et t’étais occupé du jeune homme pendant tout ce temps. tu ne pourrais pas le laisser partir loin de toi. tu en étais incapable. parce que tu avais beau dire que ton frère avait besoin de toi, c’était surtout toi qui avait besoin de lui. sans lui, tu étais perdu. sans lui ta vie n’avait plus aucun sens. sans lui tu n’avais plus qu’à dire adieu à ce monde. tu finis donc par laisser sortir tout ce que tu ressens par rapport à la situation. tu n’as jamais parlé de tout ça à quelqu’un. meili est la première. est-ce parce qu’elle était chinoise ? ou simplement parce qu’elle était là au moment où tu craquais ? tu ne savais pas et pourtant, les mots sortaient de ta bouche sans que tu ne les contrôles. tu te caches même dans tes bras, la tête sur la table pour éviter que les gens te voient pleurer. tu ne montres d’ordinaire jamais tes faiblesses. tu essaies toujours d’être fort pour yibo, pour toi et les autres. tu ne veux pas être quelqu’un qui dépende d’une autre personne, pourtant c’est le cas. tu dépends de yibo, bien plus que tu ne le penses. meili reprend la parole et ses mots te rassurent légèrement. tu arrives lentement mais sûrement à calmer ton cœur même si les larmes, elles, continuent de couler. yibo aura toujours besoin de toi qu’elle dit. est-ce que c’est vrai ? est-ce que tu seras réellement dans la vie de ton frère jusqu’à la fin ? et s’il décidait de te jeter ? et s’il ne voulait plus de toi ? rien que ces pensées font à nouveau battre ton cœur à cent à l’heure et tu te lèves précipitamment quand meili parle de sortir dehors. tu laisses tes affaires sur la chaise tandis que tu coures presque pour sortir. tu as besoin d’air. une fois dehors, derrière le bâtiment, tu te laisses choir sur le sol, le dos contre le mur et ta tête entre tes genoux. tu ne penses plus à meili que tu as laissé seule au milieu du self. tu ne penses plus à rien tandis que tu essaies une nouvelle fois de calmer les battements de ton cœur et ta respiration. il faut que tu arrêtes de penser à l’éventualité de perdre yibo, parce que si tu ne le fais pas, tu risques de ne pas arriver à te calmer. tu souffles lentement, prenant de grandes inspirations et de grandes expirations comme tu le fais avec ton frère pour le calmer. ça fonctionnera peut-être sur toi.© LOYALS.
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Re: where are you (sungjoo) | Mer 17 Oct - 0:12
✻✻✻ tu t'en voulais, comment ça pourrait être autrement alors que tu voyais le jeune homme s'effondrer devant toi, t'es même pas certaine que tes excuses ni tes mots pour le calmer ont un effet sur lui, pire même si ça se trouve ça ne sert à rien. tu savais pas comment gérer ce type de situation, mais tu voulais au moins lui faire comprendre qu'il ne devait pas se mettre dans un tel état, quoi qu'il puisse arriver yibo l'adorait, il n'y avait aucune raison qu'il se décide à rayer le chinois de sa vie comme s'il n'était rien. ils se connaissaient depuis tant d'années, et ils avaient sûrement vécu des trucs forts pour êtres liés à ce point, ça ne s'oublie pas tout ça. tu te mords la lèvre, le regard paniqué alors que tu tentes encore une fois de le calmer, tu sais pas si ça aura un quelconque effet sur lui, mais au moins tu peux essayer, lui qui se perd dans les pensées sombres, les tourments qui doivent l'habiter à chaque fois que son ami s'envole pour une autre destination, qu'il s'absente pour son travail. mais pourtant, il rentre toujours non ? ça devrait le rassurer, tu songes. ça te fait mal de voir les réactions de sung joo, les sanglots qui secouent son corps alors qu'il cache son visage pour ne pas attirer l'attention sur lui, tu jettes un regard autour de vous comme pour t'assurer que c'est bien le cas, que les autres ne vous regardent pas, ces larmes c'étaient le cri d'alarme de sung joo, il était vulnérable et tu ne voulais pas qu'on puisse essayer d'utiliser ça contre lui. tu finis par lui proposer de sortir, pour qu'il puisse s'aérer la tête, qu'il puisse de nouveau respirer et se calmer. il n'attend même pas une seconde, il se précipite vers la porte sans prendre quoi que ce soit avec lui, tu écarquilles les yeux en tentant d'attraper le tout en vitesse, fourrant les sacs sur tes bras avant de courir pour le retrouver. t'espérais qu'il ne ferait pas de bêtises, dans un tel état, tu ne savais pas à quoi d'attendre venant de lui, les personnes sous le coup de ce type d'émotions on ne pouvait jamais savoir ce qu'il se passait dans leur tête. ton regard brun qui s'affole alors que tu le cherches, pendant plusieurs minutes, tu ne sais pas combien exactement. puis tu finis par le trouver après toutes ces secondes d'inquiétude, il était là contre le mur par terre, la tête dans les genoux comme pour se couper du monde extérieur. cette fois-ci, tu ne lui parles pas, parce que tu sais que ça servira à rien s'il décidait de ne pas écouter, s'il se bloquait, tu te contentes de poser son sac par terre, t'appuyant contre un pilier en face de lui et glisser à ton tour au sol. tu attendras le temps qu'il fallait, juste pour t'assurer qu'il aille mieux, qu'il soit enfin calmé. des milliers de questions dans la tête, pourtant tu sais que ce n'est pas le moment pour les poser, pas après cette crise qu'il vient de vivre. ce n'était pas le moment de poser une question qui pourrait encore le bouleverser, l'énerver aussi probablement.
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sung joo & mei li
✻✻✻ tu t'en voulais, comment ça pourrait être autrement alors que tu voyais le jeune homme s'effondrer devant toi, t'es même pas certaine que tes excuses ni tes mots pour le calmer ont un effet sur lui, pire même si ça se trouve ça ne sert à rien. tu savais pas comment gérer ce type de situation, mais tu voulais au moins lui faire comprendre qu'il ne devait pas se mettre dans un tel état, quoi qu'il puisse arriver yibo l'adorait, il n'y avait aucune raison qu'il se décide à rayer le chinois de sa vie comme s'il n'était rien. ils se connaissaient depuis tant d'années, et ils avaient sûrement vécu des trucs forts pour êtres liés à ce point, ça ne s'oublie pas tout ça. tu te mords la lèvre, le regard paniqué alors que tu tentes encore une fois de le calmer, tu sais pas si ça aura un quelconque effet sur lui, mais au moins tu peux essayer, lui qui se perd dans les pensées sombres, les tourments qui doivent l'habiter à chaque fois que son ami s'envole pour une autre destination, qu'il s'absente pour son travail. mais pourtant, il rentre toujours non ? ça devrait le rassurer, tu songes. ça te fait mal de voir les réactions de sung joo, les sanglots qui secouent son corps alors qu'il cache son visage pour ne pas attirer l'attention sur lui, tu jettes un regard autour de vous comme pour t'assurer que c'est bien le cas, que les autres ne vous regardent pas, ces larmes c'étaient le cri d'alarme de sung joo, il était vulnérable et tu ne voulais pas qu'on puisse essayer d'utiliser ça contre lui. tu finis par lui proposer de sortir, pour qu'il puisse s'aérer la tête, qu'il puisse de nouveau respirer et se calmer. il n'attend même pas une seconde, il se précipite vers la porte sans prendre quoi que ce soit avec lui, tu écarquilles les yeux en tentant d'attraper le tout en vitesse, fourrant les sacs sur tes bras avant de courir pour le retrouver. t'espérais qu'il ne ferait pas de bêtises, dans un tel état, tu ne savais pas à quoi d'attendre venant de lui, les personnes sous le coup de ce type d'émotions on ne pouvait jamais savoir ce qu'il se passait dans leur tête. ton regard brun qui s'affole alors que tu le cherches, pendant plusieurs minutes, tu ne sais pas combien exactement. puis tu finis par le trouver après toutes ces secondes d'inquiétude, il était là contre le mur par terre, la tête dans les genoux comme pour se couper du monde extérieur. cette fois-ci, tu ne lui parles pas, parce que tu sais que ça servira à rien s'il décidait de ne pas écouter, s'il se bloquait, tu te contentes de poser son sac par terre, t'appuyant contre un pilier en face de lui et glisser à ton tour au sol. tu attendras le temps qu'il fallait, juste pour t'assurer qu'il aille mieux, qu'il soit enfin calmé. des milliers de questions dans la tête, pourtant tu sais que ce n'est pas le moment pour les poser, pas après cette crise qu'il vient de vivre. ce n'était pas le moment de poser une question qui pourrait encore le bouleverser, l'énerver aussi probablement.© LOYALS.
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Re: where are you (sungjoo) | Ven 9 Nov - 18:32
✻✻✻ l’air frais te fait un bien fou. être à l’intérieur te donnait l’impression d’étouffer et d’être observé. tu le sais que les gens se foutent d’un pauvre chinois en pleine crise d’angoisse, mais ce n’était pas l’impression que tu avais. tu pensais que tous les regards étaient rivés sur toi et que tu étais vu comme une bête de foire. ce ne serait pas la première fois ceci dit. chaque fois que yibo parlait de votre histoire à la télé, les gens te regardaient bizarrement, te prenant le plus souvent en pitié. mais leur pitié, tu n’en voulais pas, tu te torchais même le cul avec. tu voulais simplement qu’on te fiche la paix, qu’on t’oublie et que tout le monde retourne à leurs petites occupations. sauf que ça semblait insurmontable pour eux. c’est pour cette raison que tu avais fui la cantine dans l’espoir de te retrouver seul pour te calmer. tu savais qu’être seul c’était pire que tout. mais tu en avais besoin, parce que sans ça, tu n’arriverais jamais à contrôler cette crise. d’ordinaire, c’était ton grand frère qui les faisait les crises et toi tu étais là pour le calmer. mais aujourd’hui c’était toi, et personne n’était là pour te calmer. enfin, si il y aurait pu y avoir meili, si tu ne l’avais pas envoyé chier. la pauvre n’avait rien demandé et tu te comportais comme un goujat avec elle. sauf que tu ne pouvais pas faire autrement. tu avais besoin de te calmer. tu entends des pas et tu ne relèves pas la tête. à quoi bon, tu sais qu’il s’agit de meili. qui d’autre qu’elle aurait pu venir te chercher ici ? personne. alors, tu la laisses faire, ne sortant pas la tête de tes genoux tandis que tu essaies de respirer calmement comme lorsque tu le fais avec yibo. tu te focalises sur ta propre respiration, la calmant au fur et à mesure. tu ne sais pas réellement combien de temps tu restes dans cette position mais assez longtemps pour avoir mal au dos et aux fesses. une fois complètement calmé, tu sors la tête de sa cachette, posant ton regard sur meili. le sien est sur toi et elle semble réellement inquiète pour toi. est-ce de la pitié que tu vois dans ses yeux ? tu ne sais pas vraiment et ça te fais chier. tu ne veux pas de sa pitié, pas plus que tu ne veux de sa tendresse. tu te lèves précipitamment, récupères ton sac qu’elle avait pris. « merci et désolé faut que j’y aille. » lances-tu avec un dernier regard dans sa direction avant de t’enfuir une nouvelle fois en courant. tu coures dans jusqu’au dortoir. t’espères retrouver yibo là-bas et lui faire un câlin parce que tu as besoin de lui et simplement de lui. vous êtes trop dépendants l’un de l’autre. et si yibo ne s’en rend pas compte toi oui. et c’est justement ce qui te fait peur. parce que petit à petit, il pourrait s’éloigner de toi et ne plus avoir besoin de toi. alors, que toi tu auras toujours besoin de lui, de sa présence. tu accélères le mouvement et une fois que tu entres dans le dortoir tu te diriges vers votre chambre et tu le vois sur son lit, ds en main. tu te précipites sur lui pour lui faire un câlin prétextant une envie. tu le sais, il ne posera pas plus de question, trop heureux d’avoir un câlin de son petit frère.
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meili & sungjoo
✻✻✻ l’air frais te fait un bien fou. être à l’intérieur te donnait l’impression d’étouffer et d’être observé. tu le sais que les gens se foutent d’un pauvre chinois en pleine crise d’angoisse, mais ce n’était pas l’impression que tu avais. tu pensais que tous les regards étaient rivés sur toi et que tu étais vu comme une bête de foire. ce ne serait pas la première fois ceci dit. chaque fois que yibo parlait de votre histoire à la télé, les gens te regardaient bizarrement, te prenant le plus souvent en pitié. mais leur pitié, tu n’en voulais pas, tu te torchais même le cul avec. tu voulais simplement qu’on te fiche la paix, qu’on t’oublie et que tout le monde retourne à leurs petites occupations. sauf que ça semblait insurmontable pour eux. c’est pour cette raison que tu avais fui la cantine dans l’espoir de te retrouver seul pour te calmer. tu savais qu’être seul c’était pire que tout. mais tu en avais besoin, parce que sans ça, tu n’arriverais jamais à contrôler cette crise. d’ordinaire, c’était ton grand frère qui les faisait les crises et toi tu étais là pour le calmer. mais aujourd’hui c’était toi, et personne n’était là pour te calmer. enfin, si il y aurait pu y avoir meili, si tu ne l’avais pas envoyé chier. la pauvre n’avait rien demandé et tu te comportais comme un goujat avec elle. sauf que tu ne pouvais pas faire autrement. tu avais besoin de te calmer. tu entends des pas et tu ne relèves pas la tête. à quoi bon, tu sais qu’il s’agit de meili. qui d’autre qu’elle aurait pu venir te chercher ici ? personne. alors, tu la laisses faire, ne sortant pas la tête de tes genoux tandis que tu essaies de respirer calmement comme lorsque tu le fais avec yibo. tu te focalises sur ta propre respiration, la calmant au fur et à mesure. tu ne sais pas réellement combien de temps tu restes dans cette position mais assez longtemps pour avoir mal au dos et aux fesses. une fois complètement calmé, tu sors la tête de sa cachette, posant ton regard sur meili. le sien est sur toi et elle semble réellement inquiète pour toi. est-ce de la pitié que tu vois dans ses yeux ? tu ne sais pas vraiment et ça te fais chier. tu ne veux pas de sa pitié, pas plus que tu ne veux de sa tendresse. tu te lèves précipitamment, récupères ton sac qu’elle avait pris. « merci et désolé faut que j’y aille. » lances-tu avec un dernier regard dans sa direction avant de t’enfuir une nouvelle fois en courant. tu coures dans jusqu’au dortoir. t’espères retrouver yibo là-bas et lui faire un câlin parce que tu as besoin de lui et simplement de lui. vous êtes trop dépendants l’un de l’autre. et si yibo ne s’en rend pas compte toi oui. et c’est justement ce qui te fait peur. parce que petit à petit, il pourrait s’éloigner de toi et ne plus avoir besoin de toi. alors, que toi tu auras toujours besoin de lui, de sa présence. tu accélères le mouvement et une fois que tu entres dans le dortoir tu te diriges vers votre chambre et tu le vois sur son lit, ds en main. tu te précipites sur lui pour lui faire un câlin prétextant une envie. tu le sais, il ne posera pas plus de question, trop heureux d’avoir un câlin de son petit frère.© LOYALS.
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