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Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas [feat Haneul]
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Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas [feat Haneul] | Jeu 18 Jan - 9:25
Sérieusement ? Fallait-il qu’ils aillent aussi loin à chaque fois pour l’amener chez celui qui est le plus apte à la surveiller, quand ils en ont besoin ? C’est pathétique. Elle n’est pas non plus un animal de compagnie, du moins pas répertorier dans l’encyclopédie, alors ils n’ont pas besoin d’aller si loin. Mais ça les amuse très certainement et pour tout dire, ça l’amuse aussi. Elle se prend au jeu, même si cela touche parfois sa fierté. Enfin si fierté elle a, elle l’a sûrement perdu à sa naissance. Enfin qu’importe, elle attend donc, devant la porte de la fraternité, munie d’une laisse et d’un petit mot doux, gentiment écrit par ses compères, vêtue d’un survêtement trop grand et d’un manteau couleur fushia qui ne va sûrement pas avec le reste. Une vraie délinquante de la mode. Pourtant elle étudie dans le stylisme et elle fait même quelques croquis qui la passionnent et dont elle est particulièrement fière, qui plaisent. Elle a même un blog de mode dont personne ne sait l’identité. Il faut dire qu’aux premiers abords Olympe n’est en rien une très bonne styliste. La plupart du temps, elles s’habillent toute à la mode, avec des vêtements sortant tout juste des magazines, ne ratant pas une seule occasion pour faire fureur, dans les rues séouliennes, montrant avec une certaine avidité leur nouvel achat, fières de leur côté fashion. Fatigantes et ennuyantes. Juste à y penser, elle ne peut que se mettre à bailler. Ces pauvres personnes qui se disent stylistes ne sont qu’une aberration de la société, une construction toute faite et bien faite. Être styliste ce n’est pas porté mais faire porter. C’est être doué avec ses doigts, et pas avec son corps, pour ça il faut changer de voie et devenir mannequin. Elle n’a jamais compris le mode de fonctionnement de ce type de personne et c’est bien pour cette raison qu’elle a peu d’amis dans sa filière, puisque personne ne la comprend et n’adhère à sa pensée. Enfin qu’importe, elle sait ses capacités et sait qu’elle est douée dans ce domaine, même si ses vêtements semblent refléter le contraire. Enfin le moment n’est pas à la réflexion, mais à l’attente. C’est qu’il en met du temps. Et pile au moment où elle le pense la porte s’ouvre sur . . . la bonne personne : Haneul. Elle lui tend la lettre avec la laisse, avec un sourire tout innocent, se mettant alors à aboyer, juste pour s’amuser. Rien de bien sérieux !
Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas
Feat Haneul
Sérieusement ? Fallait-il qu’ils aillent aussi loin à chaque fois pour l’amener chez celui qui est le plus apte à la surveiller, quand ils en ont besoin ? C’est pathétique. Elle n’est pas non plus un animal de compagnie, du moins pas répertorier dans l’encyclopédie, alors ils n’ont pas besoin d’aller si loin. Mais ça les amuse très certainement et pour tout dire, ça l’amuse aussi. Elle se prend au jeu, même si cela touche parfois sa fierté. Enfin si fierté elle a, elle l’a sûrement perdu à sa naissance. Enfin qu’importe, elle attend donc, devant la porte de la fraternité, munie d’une laisse et d’un petit mot doux, gentiment écrit par ses compères, vêtue d’un survêtement trop grand et d’un manteau couleur fushia qui ne va sûrement pas avec le reste. Une vraie délinquante de la mode. Pourtant elle étudie dans le stylisme et elle fait même quelques croquis qui la passionnent et dont elle est particulièrement fière, qui plaisent. Elle a même un blog de mode dont personne ne sait l’identité. Il faut dire qu’aux premiers abords Olympe n’est en rien une très bonne styliste. La plupart du temps, elles s’habillent toute à la mode, avec des vêtements sortant tout juste des magazines, ne ratant pas une seule occasion pour faire fureur, dans les rues séouliennes, montrant avec une certaine avidité leur nouvel achat, fières de leur côté fashion. Fatigantes et ennuyantes. Juste à y penser, elle ne peut que se mettre à bailler. Ces pauvres personnes qui se disent stylistes ne sont qu’une aberration de la société, une construction toute faite et bien faite. Être styliste ce n’est pas porté mais faire porter. C’est être doué avec ses doigts, et pas avec son corps, pour ça il faut changer de voie et devenir mannequin. Elle n’a jamais compris le mode de fonctionnement de ce type de personne et c’est bien pour cette raison qu’elle a peu d’amis dans sa filière, puisque personne ne la comprend et n’adhère à sa pensée. Enfin qu’importe, elle sait ses capacités et sait qu’elle est douée dans ce domaine, même si ses vêtements semblent refléter le contraire. Enfin le moment n’est pas à la réflexion, mais à l’attente. C’est qu’il en met du temps. Et pile au moment où elle le pense la porte s’ouvre sur . . . la bonne personne : Haneul. Elle lui tend la lettre avec la laisse, avec un sourire tout innocent, se mettant alors à aboyer, juste pour s’amuser. Rien de bien sérieux ! Invité
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Re: Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas [feat Haneul] | Ven 19 Jan - 4:52
Réflexe naturel depuis quelques minutes : regarder l’heure. Il avait encore un peu de temps avant son « rendez-vous » n’est-ce pas ? Il ne lui fallut qu’une seconde pour juger que, oui, il avait encore le temps. Alors son attention se reportait sur cet amas de pixel blanc qui prenait la forme de lettre et autres ponctuations nécessaire à la mise en forme de son code. Une ou deux lignes seulement ? Il ne savait véritablement quand ses « clients » arriveraient munis de l’animal qu’il devait garder mais il se doutait que c’était d’un instant à l’autre. Allaient-ils lui envoyer un message ? Il en doutait. A vrai dire, venant des requins, il n’était pas rare qu’il ait des gardes à faire. Des gardes particulières. Si bien que, cette fois encore, il avait un doute sur la nature humaine du travail qu’il aurait à faire ; mais il commençait à s’y faire. Olympe elle-même ne semblait troublée par cette façon de faire, alors pourquoi changer ses habitudes ? N’était-ce justement pas le meilleur moyen de la perturbée ? Un soupir et à nouveau, sur l’heure ses yeux se posaient. Ils devraient être arrivés… Ses pupilles se posaient sur un tout autre amas de pixel pour en venir à la conclusion suivante : ils ne comptaient pas le prévenir. En plus de la traiter comme un animal, ils la laissaient dehors ?
L’étudiant quittait son ordinateur après s’être assuré d’avoir sauvegardé et sur son disque dur, et sur son disque dur externe. Il ne voulait voir ses travaux disparaitre en cas de panne d’ordinateur alors plusieurs sauvegardes étaient plus sures. D’ailleurs, il ne manquerait pas de le transférer sur clef pour ensuite le passer dans son ordinateur portable. Précautionneux ? C’était à la limite de la maniaquerie à ce stade. Une ou deux minutes supplémentaire et le voilà qui filait en directement de l’entrée de la fraternité, les mains dans les poches de son jeans. Si d’Olympe il s’agissait, encore, qu’allait-il faire comme activité avec elle aujourd’hui ? Encore des jeux vidéo ? Haneul avait déjà passé beaucoup de temps depuis son réveil à fixer un écran, ne serait-ce pas trop en sachant que, ce soir encore, il allait continuer avec un live de plusieurs heures pour sa communauté ? Passant devant le salon et, par conséquent la cuisine, celui-ci se mit en tête d’une bien meilleure activité : la cuisine ! Il n’avait jamais été doué dans ce domaine, à part pour préparer des petits déjeuners, mais il se sentait d’humeur à cuisiner. Pas un repas, loin de lui cette prétention, non quelque chose de plus simple… ou pas : des gâteaux ! Mais avant de décider, il devait vérifier qu’il ne s’agissait pas cette fois d’un vrai travail pour lequel il était qualifié. Au moins… On pouvait dire qu’il apprenait à être papa avec cette garde d’enfant... De quoi lui donner des frissons désagréables dans tout le corps.
Arrivé à la porte, à peine avait-il le temps de voir son animal de la journée qu’il se trouvait avec une laisse et un mot sous le nez… Le tout accompagné d’un aboiement bien trop humain pour être réel. Le chinois pinçait les lèvres avant de prendre le mot entre les doigts. « Et je me demande pourquoi les gens croient que j’ai des délires bizarres… » Soufflait-il d’un air désespéré. Heureusement : jamais sa présidente n’était tombée sur lui tenant Olympe en laisse ! Déjà qu’il avait commencé dans le rouge avec elle, autant limité la casse maintenant que les choses allaient mieux. Pareillement pour Yong Sun d’ailleurs, cet idiot serait bien capable de le prendre en vidéo une nouvelle fois ! Tel le garde animal qu’il devait être, il se permettait d’offrir quelques caresses à la chevelure de son animal sango habituel. « Aller, on y va… » Un mouvement de tête il offrait à la demoiselle, l’invitant à rentrer, avant de lui retirer sa laisse. Il n’allait pas non plus lui demander de marcher à quatre pattes dans les couloirs de la fraternité si ? « Aujourd’hui je te propose une activité manuelle mais différente des jeux ; la cuisine. » Après une seconde de silence, il finissait par ajouter rapidement, l’air défaitiste : « Ok j’avoue, j’ai les crocs, de un. De deux, j’ai aussi envie de m’entraîner à faire les gâteaux du nouvel an pour le mois prochain… » Plus exactement le seize février prochain et il osait penser qu’il pourrait passer au moins un jour ou deux en Chine aux côtés de sa mère ; ce qui impliquait qu’il devrait prouver qu’il parvenait à survivre par lui-même sans trop de mal ! Et s’il réussissait à faire ces gâteaux, sans doute serait-elle rassurée ? Rien qu’un peu ?… Au moins il saurait faire des pâtisseries et ça… ça c’est déjà bien ! Pas vrai ?
Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas
Feat Olympe
Réflexe naturel depuis quelques minutes : regarder l’heure. Il avait encore un peu de temps avant son « rendez-vous » n’est-ce pas ? Il ne lui fallut qu’une seconde pour juger que, oui, il avait encore le temps. Alors son attention se reportait sur cet amas de pixel blanc qui prenait la forme de lettre et autres ponctuations nécessaire à la mise en forme de son code. Une ou deux lignes seulement ? Il ne savait véritablement quand ses « clients » arriveraient munis de l’animal qu’il devait garder mais il se doutait que c’était d’un instant à l’autre. Allaient-ils lui envoyer un message ? Il en doutait. A vrai dire, venant des requins, il n’était pas rare qu’il ait des gardes à faire. Des gardes particulières. Si bien que, cette fois encore, il avait un doute sur la nature humaine du travail qu’il aurait à faire ; mais il commençait à s’y faire. Olympe elle-même ne semblait troublée par cette façon de faire, alors pourquoi changer ses habitudes ? N’était-ce justement pas le meilleur moyen de la perturbée ? Un soupir et à nouveau, sur l’heure ses yeux se posaient. Ils devraient être arrivés… Ses pupilles se posaient sur un tout autre amas de pixel pour en venir à la conclusion suivante : ils ne comptaient pas le prévenir. En plus de la traiter comme un animal, ils la laissaient dehors ? L’étudiant quittait son ordinateur après s’être assuré d’avoir sauvegardé et sur son disque dur, et sur son disque dur externe. Il ne voulait voir ses travaux disparaitre en cas de panne d’ordinateur alors plusieurs sauvegardes étaient plus sures. D’ailleurs, il ne manquerait pas de le transférer sur clef pour ensuite le passer dans son ordinateur portable. Précautionneux ? C’était à la limite de la maniaquerie à ce stade. Une ou deux minutes supplémentaire et le voilà qui filait en directement de l’entrée de la fraternité, les mains dans les poches de son jeans. Si d’Olympe il s’agissait, encore, qu’allait-il faire comme activité avec elle aujourd’hui ? Encore des jeux vidéo ? Haneul avait déjà passé beaucoup de temps depuis son réveil à fixer un écran, ne serait-ce pas trop en sachant que, ce soir encore, il allait continuer avec un live de plusieurs heures pour sa communauté ? Passant devant le salon et, par conséquent la cuisine, celui-ci se mit en tête d’une bien meilleure activité : la cuisine ! Il n’avait jamais été doué dans ce domaine, à part pour préparer des petits déjeuners, mais il se sentait d’humeur à cuisiner. Pas un repas, loin de lui cette prétention, non quelque chose de plus simple… ou pas : des gâteaux ! Mais avant de décider, il devait vérifier qu’il ne s’agissait pas cette fois d’un vrai travail pour lequel il était qualifié. Au moins… On pouvait dire qu’il apprenait à être papa avec cette garde d’enfant... De quoi lui donner des frissons désagréables dans tout le corps.
Arrivé à la porte, à peine avait-il le temps de voir son animal de la journée qu’il se trouvait avec une laisse et un mot sous le nez… Le tout accompagné d’un aboiement bien trop humain pour être réel. Le chinois pinçait les lèvres avant de prendre le mot entre les doigts. « Et je me demande pourquoi les gens croient que j’ai des délires bizarres… » Soufflait-il d’un air désespéré. Heureusement : jamais sa présidente n’était tombée sur lui tenant Olympe en laisse ! Déjà qu’il avait commencé dans le rouge avec elle, autant limité la casse maintenant que les choses allaient mieux. Pareillement pour Yong Sun d’ailleurs, cet idiot serait bien capable de le prendre en vidéo une nouvelle fois ! Tel le garde animal qu’il devait être, il se permettait d’offrir quelques caresses à la chevelure de son animal sango habituel. « Aller, on y va… » Un mouvement de tête il offrait à la demoiselle, l’invitant à rentrer, avant de lui retirer sa laisse. Il n’allait pas non plus lui demander de marcher à quatre pattes dans les couloirs de la fraternité si ? « Aujourd’hui je te propose une activité manuelle mais différente des jeux ; la cuisine. » Après une seconde de silence, il finissait par ajouter rapidement, l’air défaitiste : « Ok j’avoue, j’ai les crocs, de un. De deux, j’ai aussi envie de m’entraîner à faire les gâteaux du nouvel an pour le mois prochain… » Plus exactement le seize février prochain et il osait penser qu’il pourrait passer au moins un jour ou deux en Chine aux côtés de sa mère ; ce qui impliquait qu’il devrait prouver qu’il parvenait à survivre par lui-même sans trop de mal ! Et s’il réussissait à faire ces gâteaux, sans doute serait-elle rassurée ? Rien qu’un peu ?… Au moins il saurait faire des pâtisseries et ça… ça c’est déjà bien ! Pas vrai ?
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Re: Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas [feat Haneul] | Dim 21 Jan - 14:02
Elle ne peut s’empêcher de sourire en voyant le visage de Haneul, se sentant probablement tout aussi ridicule que lui. Mais les deux ont pris l’habitude d’être dans ce genre de situation alors ce n’est pas bien dérangeant. Cela peut paraître étrange voir inhumain, mais il faut juste le prendre sous une forme humoristique et c’est ce qu’elle a toujours fait. Car elle aurait pu trouver cela dégradant, touchant même son ego, mais encore une fois cela lui convient bien, parce qu’il y a des préoccupations bien plus graves et qu’il faut parfois prendre la vie sous un tout nouvel angle. C’est bien pour cette raison qu’elle est aussi considérée comme un virus joyeux, qu’elle ne se prend pas la tête et envoie de la joie à tout ce qui le souhaite. C’est son côté Olympe. Mais peut-être est-ce ça le problème ? Peut-être qu’au final ce côté bien trop joyeux peut devenir une pression, une charge. Parce qu’elle ne peut pas se permettre d’être triste ou d’être un peu sérieuse, au risque d’en surprendre plus d’un. Mais fort heureusement ses moments de peine sont rares, bien trop rares pour les compter sur une main. Enfin bref, elle le suit donc à l’intérieur des locaux qu’elle commence à connaître pour y avoir rencontré quelques personnes mais aussi pour avoir été souvent gardé par Haneul, devenu son maitre attitré. Elle regarde juste les alentours pour vérifier qu’il n’y a pas des visages qu’elle connait mais le dortoir semble désert. Dommage, elle aurait bien aimé croiser quelques individus. Elle remet toute son attention sur le jeune homme qui se tient à ses côtés, attendant l’ordre du jour et donc de savoir quelle activité ils vont faire aujourd’hui, remuant légèrement de la queue, qu’elle n’a forcément pas. Elle fronce des sourcils une première fois lorsqu’elle entend le mot manuel. Certes elle adore dessiner et passe le plus clair de son temps sur des croquis mais dans les autres domaines elle n’est pas très douée de ses mains, c’est bien connu. Enfin, peut-être pas tant que ça. Toutefois elle retrouve le sourire et un visage heureux lorsqu’enfin le mot magique sort de sa bouche : cuisine. Qui signifie forcément nourriture et connaissant Olympe la morfale ça ne peut que lui plaire. Elle s’approche de lui et lui donne un petit coup d’épaule « tu sais parler aux femmes mon petit Haneul, enfin à ton animal ». C’est qu’elle va finir par s’embrouiller entre le maître et l’ami. Elle tape alors dans ses mains sautant déjà sur place, « tu sais que je ne peux pas refuser un atelier cuisine surtout si à la clef il y a de la nourriture. T’inquiète pas, avec moi, on va faire les meilleurs plats au monde », les meilleurs quoi elle a dit ? Publicité mensongère ou elle a juste envie d’y croire elle-même ? Qui sait . . . « Je suis ton commis pour la journée. Tu me dis ce qu’il faut faire, ce que je dois prendre, c’est parti mon kiki !!!! ». Elle lève son poing, pour encourager le duo.
Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas
Feat Haneul
Elle ne peut s’empêcher de sourire en voyant le visage de Haneul, se sentant probablement tout aussi ridicule que lui. Mais les deux ont pris l’habitude d’être dans ce genre de situation alors ce n’est pas bien dérangeant. Cela peut paraître étrange voir inhumain, mais il faut juste le prendre sous une forme humoristique et c’est ce qu’elle a toujours fait. Car elle aurait pu trouver cela dégradant, touchant même son ego, mais encore une fois cela lui convient bien, parce qu’il y a des préoccupations bien plus graves et qu’il faut parfois prendre la vie sous un tout nouvel angle. C’est bien pour cette raison qu’elle est aussi considérée comme un virus joyeux, qu’elle ne se prend pas la tête et envoie de la joie à tout ce qui le souhaite. C’est son côté Olympe. Mais peut-être est-ce ça le problème ? Peut-être qu’au final ce côté bien trop joyeux peut devenir une pression, une charge. Parce qu’elle ne peut pas se permettre d’être triste ou d’être un peu sérieuse, au risque d’en surprendre plus d’un. Mais fort heureusement ses moments de peine sont rares, bien trop rares pour les compter sur une main. Enfin bref, elle le suit donc à l’intérieur des locaux qu’elle commence à connaître pour y avoir rencontré quelques personnes mais aussi pour avoir été souvent gardé par Haneul, devenu son maitre attitré. Elle regarde juste les alentours pour vérifier qu’il n’y a pas des visages qu’elle connait mais le dortoir semble désert. Dommage, elle aurait bien aimé croiser quelques individus. Elle remet toute son attention sur le jeune homme qui se tient à ses côtés, attendant l’ordre du jour et donc de savoir quelle activité ils vont faire aujourd’hui, remuant légèrement de la queue, qu’elle n’a forcément pas. Elle fronce des sourcils une première fois lorsqu’elle entend le mot manuel. Certes elle adore dessiner et passe le plus clair de son temps sur des croquis mais dans les autres domaines elle n’est pas très douée de ses mains, c’est bien connu. Enfin, peut-être pas tant que ça. Toutefois elle retrouve le sourire et un visage heureux lorsqu’enfin le mot magique sort de sa bouche : cuisine. Qui signifie forcément nourriture et connaissant Olympe la morfale ça ne peut que lui plaire. Elle s’approche de lui et lui donne un petit coup d’épaule « tu sais parler aux femmes mon petit Haneul, enfin à ton animal ». C’est qu’elle va finir par s’embrouiller entre le maître et l’ami. Elle tape alors dans ses mains sautant déjà sur place, « tu sais que je ne peux pas refuser un atelier cuisine surtout si à la clef il y a de la nourriture. T’inquiète pas, avec moi, on va faire les meilleurs plats au monde », les meilleurs quoi elle a dit ? Publicité mensongère ou elle a juste envie d’y croire elle-même ? Qui sait . . . « Je suis ton commis pour la journée. Tu me dis ce qu’il faut faire, ce que je dois prendre, c’est parti mon kiki !!!! ». Elle lève son poing, pour encourager le duo. Invité
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Re: Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas [feat Haneul] | Mer 28 Fév - 4:45
Activité proposée, voilà qu’il voyait la jeune Olympe s’enthousiasmer. Aurait-elle eu une queue que celle-ci aurait très certainement pu fendre l’air de ses battements tant elle semblait ravie de la proposition. Qui sur cette Terre n’aimait manger après tout ? Activité fondamentale pour notre survie physique, elle permet aussi, parfois, de trouver du réconfort, du plaisir même dans la perdition des saveurs qu’elle pouvait offrir. Alors aux yeux du renard, il était naturel qu’elle réagisse de la sorte, il était naturel que, lui aussi, commence à développer un certain appétit à l’idée de ce qu’ils allaient préparer. Mais encore fallait-il que le résultat final ressemble à l’image vendue et ça… Ce n’était pas encore gagné…
Guidant la jeune femme –ou l’animal– vers la cuisine, ce fut d’abord le salon qu’ils traversèrent pour l’atteindre. « J’ai jamais essayé de cuisiner ça avant… Tu penses que même rater ça sera bon ? » Un chien pouvait par extension presque tout manger, et, si Olympe était considérée comme telle, il était certain que son organisme, lui, gardait ses fonctions humaines. Enfin… Il osait l’espérer en tout cas, n’arrivant pas à envisager une autre solution pour celui-ci. Une fois arrivés dans les lieux de leur futur crime collaboration, Haneul sortait son portable de sa poche pour retrouver la recette qu’il avait précédemment trouvé. A première vue, tout semblait si facile à faire, la recette disait même : « mélangez tout ». C’était dire combien c’était facile ! Si on oubliait les histoires de vitesse moyenne ou rapide et les temps pendant lesquels il fallait mélanger. Etait-ce bien grave de ne pas en tenir compte ? Aux yeux du chinois, en tout cas, pas vraiment. Alors deux minutes, ça serait deux minutes, rapidement, vite fait, mais pas vraiment deux minutes au sens propre du terme.
« Je sors les ingrédients et tu pèses, ça te va ? » Pour accompagner ses mots, le voilà qui sortait la balance après deux bonnes minutes, au sens propre, de recherches dans la cuisine. Preuve de combien il l’utilisait pour véritablement cuisiner. Ses habitudes étaient plutôt chocolat chaud et repas rapide, quand il ne commander pas chez un traiteur ou ne sortait pas manger tout simplement en extérieur ; alors la cuisine de sa fraternité regorgeaient d’encore beaucoup de secrets pour le chinois. « Alors… la farine… » Où donc était cette fameuse poudre blanche ? Quelques recherches pour mettre la main dessus plus tard et le voilà qui la posait près de la balance, accompagné, au passage, du sucre qui se trouvait pas loin. « 500 grammes de farine et… Oh aller, 200 grammes de sucre. » La recette disait entre 130 et 200, alors 200 ça devrait passer non ? Ils n’allaient pas en faire trois milles non plus juste pour ça ! Après les éléments de type poudreux, il se mettait en quête des œufs et du lait pour poursuivre la recette correctement. Si tout se passait bien en tout cas et qu’il n’oubliait rien.
Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas
Feat Olympe
Activité proposée, voilà qu’il voyait la jeune Olympe s’enthousiasmer. Aurait-elle eu une queue que celle-ci aurait très certainement pu fendre l’air de ses battements tant elle semblait ravie de la proposition. Qui sur cette Terre n’aimait manger après tout ? Activité fondamentale pour notre survie physique, elle permet aussi, parfois, de trouver du réconfort, du plaisir même dans la perdition des saveurs qu’elle pouvait offrir. Alors aux yeux du renard, il était naturel qu’elle réagisse de la sorte, il était naturel que, lui aussi, commence à développer un certain appétit à l’idée de ce qu’ils allaient préparer. Mais encore fallait-il que le résultat final ressemble à l’image vendue et ça… Ce n’était pas encore gagné…Guidant la jeune femme –ou l’animal– vers la cuisine, ce fut d’abord le salon qu’ils traversèrent pour l’atteindre. « J’ai jamais essayé de cuisiner ça avant… Tu penses que même rater ça sera bon ? » Un chien pouvait par extension presque tout manger, et, si Olympe était considérée comme telle, il était certain que son organisme, lui, gardait ses fonctions humaines. Enfin… Il osait l’espérer en tout cas, n’arrivant pas à envisager une autre solution pour celui-ci. Une fois arrivés dans les lieux de leur futur crime collaboration, Haneul sortait son portable de sa poche pour retrouver la recette qu’il avait précédemment trouvé. A première vue, tout semblait si facile à faire, la recette disait même : « mélangez tout ». C’était dire combien c’était facile ! Si on oubliait les histoires de vitesse moyenne ou rapide et les temps pendant lesquels il fallait mélanger. Etait-ce bien grave de ne pas en tenir compte ? Aux yeux du chinois, en tout cas, pas vraiment. Alors deux minutes, ça serait deux minutes, rapidement, vite fait, mais pas vraiment deux minutes au sens propre du terme.
« Je sors les ingrédients et tu pèses, ça te va ? » Pour accompagner ses mots, le voilà qui sortait la balance après deux bonnes minutes, au sens propre, de recherches dans la cuisine. Preuve de combien il l’utilisait pour véritablement cuisiner. Ses habitudes étaient plutôt chocolat chaud et repas rapide, quand il ne commander pas chez un traiteur ou ne sortait pas manger tout simplement en extérieur ; alors la cuisine de sa fraternité regorgeaient d’encore beaucoup de secrets pour le chinois. « Alors… la farine… » Où donc était cette fameuse poudre blanche ? Quelques recherches pour mettre la main dessus plus tard et le voilà qui la posait près de la balance, accompagné, au passage, du sucre qui se trouvait pas loin. « 500 grammes de farine et… Oh aller, 200 grammes de sucre. » La recette disait entre 130 et 200, alors 200 ça devrait passer non ? Ils n’allaient pas en faire trois milles non plus juste pour ça ! Après les éléments de type poudreux, il se mettait en quête des œufs et du lait pour poursuivre la recette correctement. Si tout se passait bien en tout cas et qu’il n’oubliait rien.
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Re: Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas [feat Haneul] | Mar 27 Mar - 20:54
Elle arque un sourcil, percutant sur le terme ‘’jamais’’, clignant plusieurs fois des yeux tout en fixant son partenaire du crime prochain. Elle a presque envie de rire Olympe, mais parce qu’il ose, avec elle, faire une recette qu’il n’a jamais testé, ne sachant pas dans quel problème il se met. Certes elle parvient à se débrouiller, de temps en temps, mais même mauvais elle serait capable de manger le plat. Elle a déjà mangé un gâteau aux fraises qu’un membre de la fraternité avait testé en remplaçant le sucre par du sel, ou encore une autre fois, un gâteau au chocolat au goût particulièrement savonné. « Mais oui ne t’en fais pas. Ça reste de la nourriture, donc du moment que ça soit mangeable » et avec elle tout est synonyme de bon, au plus grand désespoir de tous et au plus grand bonheur d’autres. Au moins elle est la seule à manger quelque chose de brûler ou de non comestible. Non pas qu’elle soit une poubelle mais elle est juste un mange-tout. Ils s’en vont donc tous les deux jusqu’à l’endroit où va se dérouler l’atelier cuisine, qu’elle a décidé d’intituler ainsi. Même si elle devrait l’appeler meurtre en cuisine. Elle regarde elle aussi la recette, hochant vigoureusement de la tête, celle-ci semblant particulièrement simple. « Pf ! Trop facile. Y’a pas moyen qu’on la rate », mais peut-être qu’elle parle trop vite. Elle ne sait pas les connaissances et capacités de son ami dans le domaine de la cuisine et lui ne sait pas les siennes non plus. Elle attend donc ses recommandations, le laissant faire car il sait certainement mieux qu’elle où se trouvent les ingrédients et ustensiles. Mais à croire qu’elle l’a trop surestimé en le voyant galérer à chercher ce qu’il faut. Et dire qu’elle, elle connait les moindres recoins de la cuisine, mais uniquement parce qu’elle y passe le plus clair de son temps, avec quelque chose toujours en bouche. Un aliment bien sûr, rien de plus ou de moins. Elle le regarde avec de grands yeux quand il énonce les grammes. Certes elle n’est pas la meilleure cuisinière mais ça lui permet énorme. Mais elle lui fait confiance. « Ok chef ». Elle commence déjà à peser les aliments rajoutant sans faire exprès un 100 gramme en plus de sucre qu’elle tente de simuler rapidement, histoire que ça passe discrètement dans la recette. Et lorsqu’elle s’occupe de la farine, elle le dépose un peu trop fort contre la table et en fait tomber une bonne partie, se retrouvant dans un nuage de blanc. « Keuf Keuf. C’est pas pratique la farine ». Elle en a sur le visage, et sur les mains. Des mains qu’elle vient coller aux joues de Haneul pour lui en mettre aussi, « on est la team white ». Et elle rigole. Avec elle il risque de prendre cher. « Bon on fait quoi après avec la farine, le lait, les œufs, le sucre ? On les mélange ensemble ? D’un coup ? ». Elle prend alors un œuf, « il parait que si on le casse contre une plateforme dure on n’a pas de coquille » et sans attendre son approbation elle casse l’œuf contre la table mais . . . . c’est pas comme on le lui avait dit. Il explose juste entre ses doigts et sur la table.
Je suis beaucoup moins sage que mon image . . . ou pas
Feat Haneul
Elle arque un sourcil, percutant sur le terme ‘’jamais’’, clignant plusieurs fois des yeux tout en fixant son partenaire du crime prochain. Elle a presque envie de rire Olympe, mais parce qu’il ose, avec elle, faire une recette qu’il n’a jamais testé, ne sachant pas dans quel problème il se met. Certes elle parvient à se débrouiller, de temps en temps, mais même mauvais elle serait capable de manger le plat. Elle a déjà mangé un gâteau aux fraises qu’un membre de la fraternité avait testé en remplaçant le sucre par du sel, ou encore une autre fois, un gâteau au chocolat au goût particulièrement savonné. « Mais oui ne t’en fais pas. Ça reste de la nourriture, donc du moment que ça soit mangeable » et avec elle tout est synonyme de bon, au plus grand désespoir de tous et au plus grand bonheur d’autres. Au moins elle est la seule à manger quelque chose de brûler ou de non comestible. Non pas qu’elle soit une poubelle mais elle est juste un mange-tout. Ils s’en vont donc tous les deux jusqu’à l’endroit où va se dérouler l’atelier cuisine, qu’elle a décidé d’intituler ainsi. Même si elle devrait l’appeler meurtre en cuisine. Elle regarde elle aussi la recette, hochant vigoureusement de la tête, celle-ci semblant particulièrement simple. « Pf ! Trop facile. Y’a pas moyen qu’on la rate », mais peut-être qu’elle parle trop vite. Elle ne sait pas les connaissances et capacités de son ami dans le domaine de la cuisine et lui ne sait pas les siennes non plus. Elle attend donc ses recommandations, le laissant faire car il sait certainement mieux qu’elle où se trouvent les ingrédients et ustensiles. Mais à croire qu’elle l’a trop surestimé en le voyant galérer à chercher ce qu’il faut. Et dire qu’elle, elle connait les moindres recoins de la cuisine, mais uniquement parce qu’elle y passe le plus clair de son temps, avec quelque chose toujours en bouche. Un aliment bien sûr, rien de plus ou de moins. Elle le regarde avec de grands yeux quand il énonce les grammes. Certes elle n’est pas la meilleure cuisinière mais ça lui permet énorme. Mais elle lui fait confiance. « Ok chef ». Elle commence déjà à peser les aliments rajoutant sans faire exprès un 100 gramme en plus de sucre qu’elle tente de simuler rapidement, histoire que ça passe discrètement dans la recette. Et lorsqu’elle s’occupe de la farine, elle le dépose un peu trop fort contre la table et en fait tomber une bonne partie, se retrouvant dans un nuage de blanc. « Keuf Keuf. C’est pas pratique la farine ». Elle en a sur le visage, et sur les mains. Des mains qu’elle vient coller aux joues de Haneul pour lui en mettre aussi, « on est la team white ». Et elle rigole. Avec elle il risque de prendre cher. « Bon on fait quoi après avec la farine, le lait, les œufs, le sucre ? On les mélange ensemble ? D’un coup ? ». Elle prend alors un œuf, « il parait que si on le casse contre une plateforme dure on n’a pas de coquille » et sans attendre son approbation elle casse l’œuf contre la table mais . . . . c’est pas comme on le lui avait dit. Il explose juste entre ses doigts et sur la table. Contenu sponsorisé