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KIM HANSA + a symphony of death

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KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:26
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Kim Hansa
i'm only a crack, in this castle of glass

#INTELLIGENTE
#BLASÉE
#HUMBLE
#DANGEREUSE
#ATTENTIVE
#MALHONNÊTE
#OPPORTUNISTE
#DÉBROUILLARDE
#IMPRÉVISIBLE
#PROTECTRICE

NOM : Kim. Sur papier, vous pourrez lire qu'il s'agit du prénom de mon oncle, mais dans les faits je continue de considérer qu'il s'agit de celui de mon père, étant donné qu'ils étaient frères. PRÉNOM : Hansa. un prénom thaïlandais signifiant "bonheur suprême". La vie est ironique, n'est-ce pas ? ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 25 ans, le 19 juin 1989. ORIGINES : thaïlandaise du côté de ma mère, coréenne et japonaise du côté de mon père. NATIONALITÉ :Coréenne. CLASSE SOCIALE : Modeste, selon les articles que j'arrive à vendre, et ce malgré que mon oncle soit riche ... ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle, pourquoi se priver ? CURSUS UNIVERSITAIRE : diplômée en journalisme MÉTIER : pigiste principalement, mais un soir sur deux je bosse dans un petit bar miteux, derrière lequel je deal drogues en tout genre. Code du règlement : nicky booty minaj.
TU VEUX T'INVESTIR? : les mauves sont les meilleurs :russe:

“ Rumour has it : « cette meuf, parait qu'elle se tape tout ce qui bouge, eurk. » + « Ouais, d'ailleurs, à tous les coups elle s'est choppé toutes les IST possibles ... » + « tu sais ce qu'on dit ? elle aurait tué quelqu'un ... à mains nues ! » + « Tu dis n'importe quoi, elle essaie seulement de se donner un genre, c'est une vraie couillonne en vraie » + « C'est parce que son oncle la battait quand elle était gosse, c'est pour ça » + « Ouais, enfin, ça excuse pas tout, paraît qu'elle est vraiment tyrannique quand même. » + « J'ai entendu dire que c'était à cause de toutes les drogues qu'elle prenait, ça la rend complètement tarée. » + « Si elle fait tout ça, c'est parce qu'elle est condamnée, elle a une maladie qui lui laisse que quelques années à vivre ... »

“ Caractère :
psychologue de Hansa
« Hansa est un personnage bien complexe à cerner. De prime abord rien ne la touche, rien ne l'émeut. Elle n'a que peu ou pas de compassion pour ses paires, comme si elle se considérait au dessus de tout cela. Cela pourrait s'apparenter à une force de misanthropie, mais il s'avère qu'elle passe énormément de temps avec ses semblables, et qu'elle ne semble pas avoir de mal à nouer des contacts. Par contact, j'entends qu'elle n'est pas le moindre soucis à parler à autrui, mais elle ne semble cependant pas capable de nouer des relations durables, qu'elles soient positives ou négatives. Elle se moque des gens qui l'aiment, tout comme elle se moque des gens qui la détestent. Elle fait preuve d'un sang froid à toute épreuve, ou plus exactement d'une indifférence qui fait qu'elle ne se fâche jamais de rien.

Elle ne ressent pas le besoin de parler ou de se confier, c'est d'ailleurs à la demande des services judiciaires que je l'ai – à plusieurs reprises – rencontrée. Elle n'éprouve que peu ou pas de respect pour les normes établies, ce que j'assimilerais à une mauvaise perception du bien ou du mal. Elle fait ce qui l'amuse, ce qui lui profite, sans se soucier des conséquences que cela pourrait avoir sur autrui. Elle n'a jamais éprouvé le moindre remords quant aux affaires dans lesquelles elle s'était fourrées – affaires notamment liée à la consommation et à la vente de stupéfiants.
J'ai également pu remarquer chez mademoiselle Kim une logique à toute épreuve, assez édifiante par ailleurs pour quelqu'un que la société a tendance à considérer comme marginale. Elle est une mémoire des détails très impressionnante et est extrêmement observatrice. Je n'ai pu me livrer à un test de QI, mais je parierai sur un coefficient supérieur à la moyenne. Il semble par ailleurs qu'elle a toujours obtenus de très bons résultats en cours, en dépit de son comportement. De plus, j'avais l'impression en parlant avec elle que c'est une personne extrêmement déterminée et nourrissant un objectif clair. Malheureusement je ne parvins pas à déterminer ce dont il s'agissait : si Hansa a la conversation facile, elle ne parle que de banalités, et il est très dur d'en savoir plus sur elle.

Je n'ai rien trouvé dans son analyse qui justifierait ses nombreux délits, ni sa consommation de drogues. Néanmoins, si je devais me fier à mon instinct, je dirais sans hésiter que Hansa est une jeune femme brisée, et au fond pleine de colère. Une colère qu'elle canalise, et qu'elle utilise dans son intérêt. Assurément control freak, il faut que tout soit toujours sous son contrôle, la consommation de drogues étant alors pour elle un moyen de lâcher prise. J'ai le pressentiment qu'il y a également quelque chose d'autre là-dessous, mais encore une fois il me fut impossible d'en savoir plus. Paradoxalement, je me suis attachée à Hansa, sans doute car je suis l'une des seule personne qui a réellement essayé de la connaître. Je sais que le contraire est faux, et j'ai le sentiment que Hansa est incapable de s'attacher à qui que ce soit. J'espère toutefois que quelqu'un sera un jour en mesure d'en savoir plus que moi. »

“ Once upon a time :

« I once was a princess. My father was a king, and my mother, his lovely queen. Our family was our kingdom »

Des éclats de rire qui emplissent une maison. Une famille unie, heureuse. Un père fort et courageux, une mère douce et aimante, une fillette rayonnante. Tel était le charmant portrait que vous offriez, toi et tes parents. T'en souviens-tu, Hansa ? Probablement pas. Tu n'étais qu'une enfant, si jeune, si insouciante. Tu avais des rêves plein les yeux, des étoiles plein la tête. Tu voulais être avocate, médecin, astronaute même, mais surtout chanteuse. Comme ta maman. Sa jolie voix résonne parfois encore dans tes oreilles, comme une lointaine ritournelle. Ces précieuses années, durant lesquels tu pensais que rien ne pouvait t'arriver ...

Cela aurait dû être une matinée comme une autre, ta mère préparant le repas en fredonnant pendant que tu l'aidais de ton mieux. Ton père était dehors, il réparait la barrière qui délimitait le jardin de votre maison. Tu n'as pas compris ce qu'il s'est produit ensuite, qui aurait pu. Un nom hurlé depuis l'extérieur, celui de ta mère, suivi de ceux d'hommes que tu ne connaissais pas. La peur sur le visage habituellement parfait de celle qui t'a mis au monde. Ses bras qui te soulève du sol pour se diriger vers la chambre. Un premier coup de feu. Perdue, tu regardes autour de toi, tu cherches à comprendre, mais aucune réponse. La porte d'une armoire qui s'ouvre « reste-là, ne dis rien » te murmure ta mère en refermant soigneusement les portes. Rester là. Ne rien dire. Tu t'exécute tandis que tu entends des pas se rapprocher. Les yeux grand ouvert, tu vois tout au travers de l'ouverture laissée par les portes. Ta mère se met à parler vite, très vite, si vite que tu la comprends à peine. Elle supplie, elle pleure. Toi aussi, au fond de cette penderie, tu sens les larmes couler sur tes joues. Tu rapproches tes genoux contre ta poitrine, tu te recroqueville. Et tu pries. Tu pries si fort. Un premier coup de feu te fait sursauter. Tu reposes ton regard sur la scène qui se joue devant toi, le corps de ta mère s'effondre au sol. Son sang se répand jusqu'à toi. Un deuxième coup de feu. Son corps se soulève sous l'impact. Un cri se coince dans ta gorge tandis que tu plaques tes petites mains sur ta bouche. Rester là. Ne rien dire. Tu dois être silencieuse, tu ne dois pas exister. Ils partiront, et tout rentrera dans l'ordre. C'est en tout cas ce que tu crois. Leurs rires gras résonnent dans tes oreilles tandis qu'ils s'en prennent au corps de ta mère. Tu ne comprends pas ce qu'ils font, tu es bien trop jeune pour ça. Tu assiste, impuissante, à une scène qui te dépasse, à un cauchemar dont tu attends la fin. Une fin qui ne vient pas.

Le bruit des sirènes de police te tire de ta torpeur. Les hommes se redressent, et fuient par la fenêtre de la chambre, celle qui donne sur la jungle. Tout cela te semble irréel. Tu restes prostrée au fond de cette armoire et tu pleures. La lumière revient, et un homme d'une vingtaine d'années pose sur toi un regard désolé. Pourquoi ? Ses bras te soulève, il te serre contre lui avec une infinie douceur. Lorsque tu essaies de tourner la tête, cherchant après tes parents, il t'en empêche « C'est fini ... » souffle-t-il. Qu'est-ce qui est fini ? Tu l'ignores. Dehors, tu reconnais les visages familiers de gens du village. Le boulanger, qui t'offres toujours quelques bonbons, te regarde avec désarroi, tandis que tes voisins rentrent en toute hâte et ferment les volets. Le policier te fait t'asseoir sur la banquette d'un coffre de fourgon, tandis qu'une dame s'approche. Elle est ridiculement grosse, et ses cheveux gras sont attachés en un petit chignon au sommet de sa crâne. « Comment t'appelles-tu ? » Ses mots te paraissent étrangement lointains. Tu entends encore le bourdonnement des coups de feu dans tes oreilles. « Comment t'appelles-tu ? » Elle insiste, mais tu te refuses à lui répondre. À la place, tu cherches ta maison du regard, tu attends que ton père arrive et t'explique ce qu'il se passe. « Papa ... maman ... » tu bredouilles, tentant de quitter ces gens qui te tiennent loin de tes parents « Sais-tu ce qu'il s'est passé ? » La femme te regarde à nouveau, ses yeux trahissant la pitié. Tu secoues la tête doucement, et un poids semble s'abattre sur ses épaules. Autour de toi, les gens s'agitent, des policiers vont et viennent, des hommes tout de blanc vêtus ajustent leurs drôles de chaussures. Soudain, tu redresses la tête vers cette femme qui cherche ses mots. Tu sautes en bas du fourgon, et tu te mets à courir. Courir vers ta maison. Courir pour retrouver tes parents. Courir pour terminer le repas. Car sinon, qui le fera ? Même lorsque des bras se referment autour de toi, tu continues à te débattre. Tu te mets alors à hurler, hurler si fort que tes poumons t'en brûlent. Hurler si fort que bientôt l'air vient à te manquer. Tu hurles encore et toujours, comme un animal pris au piège, comme une âme à l'agonie. Tu te débats jusqu'à ce que tes petites jambes se dérobent sous ton corps, et que seuls les bras qui te retenaient t'empêchent de tomber. Derrière toi, tu entends néanmoins un homme murmurer « Elle s'appelle Kim Hansa, elle a sept ans ». Sept malheureuses années.

« And then comes the darkness »

Korea, winter 1996

Après quelques mois à l'orphelinat, durant lesquels les médecins m'aient diagnostiquées plusieurs chocs post-traumatiques entraînant mutisme, cauchemars, et autres troubles du comportement, un homme est venu. Il s'est présenté comme mon oncle, le frère de mon père. Sans poser de questions, il m'adopta et m'emmena avec lui en Corée. Je l'ignorais encore à l'époque, mais je venais de rencontrer le diable en personne, dissimulé derrière les traits d'un ancien militaire.
Mon oncle était un homme remarié. De son premier mariage, il avait un fils : Kim Hyo Jin. Un horrible gamin arrogant égocentrique qui me pris pour la cause de tous ses maux. Sa nouvelle compagne avait une fille, Kim Sae Hee. Une enfant qui m'avait l'air plutôt gentille, mais avec laquelle je n'avais pas le droit de jouer, ni même de parler.
Mon oncle ne m'avait pas adoptée par pure bonté d'âme, et s'est rapidement avéré être un homme violent, et sans scrupules. Un homme qui avait choisi de venger la mort de son frère. Comment ? En m'utilisant comme arme. Je ne comptai plus les coups, les réprimandes ni les reproches. Du haut de mes sept ans, je n'étais qu'une gamine chétive et brisée, qu'il traîna dans la boue jusqu'à l'usure. Jusqu'à ce point de non-retour que je finis par franchir. Il fit de moins une arme, capable du pire, dénuée de sentiments. À tout juste quatorze ans, j'avais le niveau ceinture noire en Taekwondo, et pratiquait une foule d'autres arts-martiaux. J'avais appris à me servir d'une arme à feu. J'avais appris à tirer sans trembler. Plus encore, il m'avait appris à observer, et à retenir ce que je voyais, jusqu'au moindre petit détail. Sans le moindre état d'âme, il m'abandonna à moi-même, et je dus apprendre à survivre dans la rue. Je ne rentrais qu'au petit matin, lessivée, ivres, droguée. Ce que je faisais, il s'en foutait. Il me surveillait pourtant, s'assurait que jamais je ne baisse ma garde, que jamais je ne laisse la porte ouverte aux sentiments, à la faiblesse.
À dix-huit ans, j'entrai à l'université où j'étudiai le journalisme. À côté, j'avais commencé à dealer, me créant un sérieux réseau. Le but n'était pas l'argent, mais plutôt les informations. Un seul objectif : retrouver les assassins de mes parents, et leur faire subir le même sort. Je savais qu'ils faisaient partie d'un cartel qui sévissait notamment en Corée.

Aujourd'hui, je suis journaliste indépendante, et surtout, je suis une figure influente dans le milieu de la drogue. « Blondie » qu'on m'appelle. Hans' pour les intimes. Enfin, pour ceux qui s'en rapprochent le plus. Vingt-cinq ans au compteur, plus que ce que mon rythme de vie laissait présager. But time goes on.
« I'm nothing but an idol with feet of clay »

Niichan
the joy of vengeance
C'EST MOUAAAAAAAAAAAAAA  :04:  :04:  :04:  :04:  :04:





Cho Seong Hee pour les pas intimes

“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.

POUR UN PV/SCÉNARIO PRIS :
KIM BOA ( SPICA) ✎ kim hansa


Code:
[url=http://LIENVERSTONPROFIL][b]▲[/b][/url][url=http://shaketheworld.tropfun.net/t1198-f-kim-bo-a-boa-spica-kim-hansa]▼[/url] <taken>KIM BOA ( SPICA)</taken> ✎ kim hansa
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:26
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Ma noonim, la femme de ma vie, toi que j'aime et qui me feras tomber plus bas que terre un jour, toi mon Hadès. Bienvenue. Re-bienvenue.

J'ai tellement de feels omg toi de retour, nous deux à nouveau réunis, les Kovu et Zira à nouveau ensemble, ON VA TOUT DECHIRER :hot:
Y'a besoin que je te rappelle combien je t'aime ? Je crois que tu l'as assez compris :hum: promis pour toi je sortirais le costard ! Je peux pas te valider parce qu'un putain de macaque m'a volé la vedette, mais je t'aime plus que lui hein ~ Je sais même plus quoi dire. Mais je vais continuer à écrire parce que tu mérites une entrée en fanfare! Sache que par ton retour, toute ma vie va basculer. Tu restes la seule que je suivrais jusqu'au bout de la nuit jusqu'en enfer, un peu comme un partenaire particulier qui a trouvé sa partenaire particulière.

Toi & moi c'est pas du love. C'est plus que ça.
Keur mon bébé.
Pas fighting pour ta fiche :y:
JE T'AIMEEEEEEEEEEEEEEEEE
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:33
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JE.TE.AIME
Ca vaut tous les pavés du monde vla.
:cute: :cute:
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:36
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:han:
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:37
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Spoiler:
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:37
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:bave:
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:39
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Vous avez un sacré vocabulaire ici :perv:
:hehe: :01:

Tasyr ;;
KIM HANSA + a symphony of death Tumblr_nclhoqhrHX1suf5t1o1_400

Merci mon lionceau,
bon, je vais pas m'attarder sur les discours larmoyants hein, parce que j'ai une seule chose à dire
One day when you're big and strong,
you will be a king.


Deweii ;;
Mooooh, moi aussi mon beau :hum:
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:40
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:hot: :hot: :hot: TOI TOI TOI TOI enfiiiiiiiiiiiiin :han:
Je sens que je vais beaucoup te coller beaucoup beaucoup :russe:
Keur keur <3
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:41
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:henka: :
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | Sam 13 Déc - 17:41
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HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANSAAAAAAAAAAAAAAAAA :hot: ♥️♥️♥️
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Re: KIM HANSA + a symphony of death | 
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