Puppy Paradise ft. Hera
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Puppy Paradise ft. Hera | Mar 23 Jan - 20:50 Citer EditerSupprimer
Puppy Paradise
Feat Hera
Les paroles de l'enseignant commencent à m'endormir, cela fait plus d'une heure et demi que le cours a commencé. Les cours sur le droit du travail ne m'intéressent pas vraiment, mais je fais quand même l'effort de venir. Même si je n'écoute pas 100% du cours, j'ai ce besoin d'être présente. Je ne comprendrais jamais comment certaines personnes arrivent à obtenir de très bons résultats tout en étant absent à plus de la moitié des cours. J'attrape mon téléphone pour éviter que mes paupières se ferment et je commence à faire défiler les publications d'instagram. Des chiens, du maquillage, des renards… Et là, je m'arrête sur une photo d'un dog café. Je fais quelques recherches sur le café et j'envoie la publication à Hera suivi de « ça te dit pour le goûter ? pleaaaaase » En espérant très fortement qu'elle dise oui. Ca faisait déjà quelques temps que je voulais emmener Aki dans un dog café pour qu'il puisse s'amuser avec d'autres chiens. Et en plus de tout ça, j'allais passer un bon moment avec Hera. Le cours se termine, je range en vitesse mes affaires, salue mes camarades et je file au dortoir. Arrivée, je me pose sur mon lit quelques minutes histoire de me reposer un peu avant de sortir mon bébé. Comme Hera n'était pas là, je lui propose de descendre également Jethro. « Si tu veux je descends aussi Jethro. »
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Re: Puppy Paradise ft. Hera | Mer 24 Jan - 9:45 Citer EditerSupprimer
Puppy Paradise
Feat Jia Mei
Aki & Jethro
Aki & Jethro
Se réfugier dans les études pour ne pas trop penser, pour laisser le temps filer… N’étais-je pas revenue à mon point de départ ? Parfois j’en avais l’impression que si. Pourtant, je portais toujours cette bague au doigt, symbole d’un grand changement mais… n’est-ce pas elle, ce qui se cachait derrière qui me ramenait justement à cet état ? Un soupir, je ne voulais y penser et me reconcentrais. Lors d’une courte pause, je m’autorisais un regard sur mon smartphone. Un message ? Eus-je espérer un instant que cela puisse être lui ? Le désirais-je encore ? Sans doute oui, mais le nom de l’expéditeur n’était le sien. Néanmoins, je ne connaissais sans doute de plus douce consolation que de voir le tien apparaître sur l’écran. Une amie retrouvée pour partager cette vie qui nous changeait. Et comme attendu, tu m’apportas un petit rayon de soleil en cette journée grisâtre : « Oh ! C’est une bonne idée ! Jethro va adorer ! » Peut-être un peu trop même. Ne jouions pas avec le feu de ramener une telle tornade dans un tel lieu ? Qu’importait, cela te faisait plaisir et à moi aussi.
Le temps me parut ralenti avant qu’enfin mon cours ne se termine. En chemin pour te rejoindre à la fraternité, je reçus un nouveau message auquel je répondis aussitôt. « Je suis là dans deux minutes ! » Je ne laissais que très rarement Jethro entre les mains de quelqu’un, à l’exception de Haneul son gardien attitré. Dans ton cas, ce n’était en aucune façon une question de confiance. Ou plutôt si, mais de confiance en lui ! Il s’améliorait mais certaines de ses manières ne lui étaient encore passées : prononcer son nom engendrait toujours de se retrouver soudainement les fesses parterre après t’avoir sauté dans les bras de toute sa puissance ; le tenir en laisse se révéler un exercice parfois sportif et périlleux. Et rien que sa liberté au sein du dortoir pouvait engendrer plus de dégât que bon nombres de ces chers gumiho eux-même. Alors, arrivée à la fraternité, je me dirigeais directement dans la chambre de Haneul où je câlinais notre chaton sous les aboiements trépignants du canidé. J’accrochais ensuite une laisse à celui-ci avant de te rejoindre. Sinon, il aurait assurément sauté sur ta pauvre Aki qui risquait d’être impressionner par la force brute et l’énergie qu’il m’était dans ce jeu. D’ailleurs, à sa vue, il tirait, sautait et tournait au bout de sa laisse avant de se coucher à demi, antérieurs truffe au sol et fesses à la queue remuante en l’air. « Tu veux qu’on prenne un taxi ou on marche pour défo… » Pas le temps de finir ma phrase que Jethro tira un grand coup violent sur mon bras. La bête difficilement canalisée, je tranchais : « On va marcher un peu, hein ! » Histoire que Jethro ne détruise pas le café une fois là-bas…
Le temps me parut ralenti avant qu’enfin mon cours ne se termine. En chemin pour te rejoindre à la fraternité, je reçus un nouveau message auquel je répondis aussitôt. « Je suis là dans deux minutes ! » Je ne laissais que très rarement Jethro entre les mains de quelqu’un, à l’exception de Haneul son gardien attitré. Dans ton cas, ce n’était en aucune façon une question de confiance. Ou plutôt si, mais de confiance en lui ! Il s’améliorait mais certaines de ses manières ne lui étaient encore passées : prononcer son nom engendrait toujours de se retrouver soudainement les fesses parterre après t’avoir sauté dans les bras de toute sa puissance ; le tenir en laisse se révéler un exercice parfois sportif et périlleux. Et rien que sa liberté au sein du dortoir pouvait engendrer plus de dégât que bon nombres de ces chers gumiho eux-même. Alors, arrivée à la fraternité, je me dirigeais directement dans la chambre de Haneul où je câlinais notre chaton sous les aboiements trépignants du canidé. J’accrochais ensuite une laisse à celui-ci avant de te rejoindre. Sinon, il aurait assurément sauté sur ta pauvre Aki qui risquait d’être impressionner par la force brute et l’énergie qu’il m’était dans ce jeu. D’ailleurs, à sa vue, il tirait, sautait et tournait au bout de sa laisse avant de se coucher à demi, antérieurs truffe au sol et fesses à la queue remuante en l’air. « Tu veux qu’on prenne un taxi ou on marche pour défo… » Pas le temps de finir ma phrase que Jethro tira un grand coup violent sur mon bras. La bête difficilement canalisée, je tranchais : « On va marcher un peu, hein ! » Histoire que Jethro ne détruise pas le café une fois là-bas…