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maybe i'm jealous [tadary ♡]
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maybe i'm jealous [tadary ♡] | Mar 6 Fév - 20:26
Clairement, c'est une journée où tu aurais dû rester couché. Tout s'enchaîne pour toi, ton réveil n'a pas sonné, tu as loupé tes cours, perdu tes clés que tu as retrouvé au bout d'une bonne heure, et maintenant, tu te trouves dehors alors qu'il s'apprête à pleuvoir. Le pire dans cette histoire? Ta moto ne démarre même plus. Tu es là, avec ta veste en cuir, ton casque sous le bras et ton téléphone à l'oreille. « Tu m'entends?! » Tu n'es même pas sûr que ta soeur comprenne ce que tu lui dis, tu manques de réseau, bizarrement. Tu te mets à parler plus fort, un réflexe humain certes mais très idiot. T'as juste espoir qu'elle puisse comprendre ce que tu lui dis. « Tu peux me passer Damian?! » C'est lui, le roi de la mécanique dans la famille et là, t'as besoin d'un coup de main. Tu te retrouves bloqué dans un quartier que tu ne connais même pas, tu ne passes jamais par là, un quartier bourgeois, ça se voit. Tu fronces les sourcils, comprenant absolument rien. Tu entends la voix de ta petite sœur, coupé par le réseau. « Jin Hee, ma moto ne démarre plus. » reprends-tu calmement, dans un dernier élan d'espoir. « J'ai besoin de parler à Damian. » Tu déposes ton casque au sol, levant le menton au ciel. Tu te retiens bien de soupirer mais là, tu commences à en avoir ras-le-bol. Toi qui aborde toujours ce sourire, tu dois bien l'avouer, tu as du mal à le garder quand tu vis des journées comme ça. C'est pas si grave, tu vas rentrer à pieds à la maison mais tout ce que tu souhaites, c'est de voir cette journée se terminer. « Allô? » T'as plus de réponse, t'entends plus rien, tu regardes instinctivement l'écran de ton téléphone qui t'indique que le réseau est totalement indisponible. « Et merde. » Tu ranges ton téléphone, alors qu'il commence à pleuvoir. Tu as senti quelques gouttes te tomber sur le visage. Tu te décides alors à rentrer, tu ne peux pas rester ici alors que tu risques de te prendre une grosse averse. Alors tu cales ton casque sur ton avant bras qui passe à travers la visière, libérant tes deux mains pour pousser ta moto jusqu'à la sortie de ce quartier. Tu relèves la tête, posant ton regard sur ces personnes au loin qui attirent bizarrement ton attention, évidemment, tu ne mets pas plus de temps à le reconnaître, ton sourire le montre parfaitement. Ton premier sourire de la journée, qui est malheureusement très vite effacé lorsque tu l'as vois, elle. Tu la reconnais, cette femme, tu ne l'as vu qu'une fois mais c'était la fois de trop. Une fois, et tu la détestes. Tu es au courant de la situation, de ce qu'il se passe mais à croire que ces derniers temps, tu vivais peut-être un peu trop dans ton petit monde. Tu sens même ton cœur se resserrer, t'as juste l'impression que la réalité vient de se présenter face à toi pour te mettre une claque histoire de te réveiller un peu, qu'elle vient de te faire sortir de ton petit monde un peu trop paisible qui s'écroule sous tes pieds. Qu'est-ce qu'il fiche avec elle? Tu le sais, c'est pour ça que tu ressens tout ça. Que ce tourbillon de sentiments et de pensées destructives commencent à se faire un peu trop gros. Tu ne parviens plus à faire un seul pas, ne faisant même pas attention au poids de ta moto. Tu restes juste le regard rivé sur eux, beaucoup trop loin pour que tu puisses entendre mais il est avec elle. Qu'est-ce que tu t'imaginais ? Tu sais que cette femme l'utilise, et que lui, il n'a pas d'autre choix que d'y aller, parce qu'il a besoin de son fric. Mais quelque chose te disait que c'était fini. Pourquoi il aurait mis fin à tout ça ? Sans doute parce que votre relation commence à prendre une toute autre tournure ? Mais laquelle ? Toi, tu vis au jour le jour, sans réellement te prendre la tête et parfois, ça peut te conduire à ce genre de situations. Une situation où tu regrettes amèrement de ne pas en avoir eu le cœur net plus tôt. Résultat, tu as ce sentiment de trahison que tu ne devrais peut-être pas avoir, ou peut-être que si, tu ne le sais même pas. T'es juste scotché sur place à observer Tadashi avec cette femme, une vision que tu n'aurais jamais pu supporter après tout ce qu'il s'est passé dernièrement mais pourtant, c'est le cas. La seule chose qui te réveille, c'est cette goutte de pluie qui s'était glissé le long de ta mèche, tombant sur ta joue. Tu l'essuies, d'un revers de la main. Même le temps est en harmonie avec ce que ton cœur ressent à cet instant.
Tu n'as pas retrouvé ton meilleur ami, après toutes ces années. Tu as simplement retrouvé un Tadashi, tout cassé, que tu souhaites aider par dessus tout mais avec qui tu commençais à vivre tout autre chose qu'une relation amicale. Tu ne saurais même de mot là-dessus, non pas par crainte, mais parce que tu ne jugeais pas cela nécessaire. Après tout, à quoi bon se prendre la tête ? Pourtant, tu ne peux pas le nier, tu commences fortement à t'attacher à lui et ça, tu en as conscience. Ç'a même été difficile pour toi, et ça l'est encore, il y a toujours cette petite voix dans ta tête, beaucoup plus calme mais qui te rappelle parfois que ce n'est sans doute pas bien ce que tu es en train de faire à Min Hee. Or, il y a un autre problème. Un problème qui t'a trotté dans la tête toute la journée, cette autre petite voix qui a toujours existé, mais que tu n'entendais pas jusqu'à présent. Et lui? Tu sais très bien qu'il n'est pas heureux avec elle, ça te fait même du mal de te dire qu'il doit aussi subir certaines choses à cause de cette femme, tu sais qu'il n'a pas le choix mais qu'est-ce que ça veut dire? Que tu ne comptes pas assez pour lui? Quoi que tu faisais, tu as passé ces dernières heures à les imaginer ensemble, ces images ne s'effaçaient pas de ton esprit et n'ont fait que t'assommer davantage. Ça te pince le cœur cette jalousie. Tu sais que ce n'est pas encore clair entre vous, du moins, vous en aviez même pas encore discuté mais pour toi ça l'était, tu pensais que ça l'était pour lui aussi. La réciprocité de ces sentiments et ressentis, tu pensais l'avoir comprise dans son regard, tu y trouvais déjà toutes les réponses et pourtant, tu l'as vu, tu l'as vu avec elle. Tu pousses la porte de ta chambre au dortoir, sachant pertinemment que Tadashi risque de se trouver là. Tu n'as pas envie de le fuir, au contraire, la discussion est clairement inévitable mais lorsque tu poses ton regard sur lui, ce même ressenti revient aussitôt. Ton cœur se compresse dans sa cage thoracique et pendant un instant, tu te sens vidé de tout espoir, de toute force. Alors tu fuis son regard, le posant sur la poignée de porte lorsque tu la refermes. T'es trempé de la tête aux pieds, ta mine décomposée n'est autre que le résultat de cette journée des plus horribles. Tu déposes ton casque sur le meuble, tu ne parviens toujours pas à dire un seul mot. Tu sais que tu vas devoir le faire mais croiser son regard vient, pour la première fois, de te vider de tout courage. C'est inquiétant, que ça en devienne une faiblesse. Tu ne sais même pas ce que tu vas lui dire, si tu as le droit ou non de lui reprocher étant donné qu'il en souffre. T'es loin d'être débile, tu le sais. Tu devrais sans doute te taire, ne pas dire des choses qui lui feront sans doute du mal comme le fait que tu ne supporteras jamais cette situation mais c'est malheureusement le cas. Tu aimerais te taire, enfouir tout ça quitte à ce que ça te fasse du mal à toi, mais tu n'as pas envie de ça. Tu as pris ce risque avec lui, ce n'est définitivement pas pour rien, et quoi que tu te dises, tu en reviens toujours à la même chose. Jamais tu ne supporteras ça. Il suffit de l'avoir vu à quelques pas d'elle pour te faire du mal, pour te prendre cette réalité dans la gueule, mais t'as pas envie. T'as plus envie qu'il couche avec elle. Alors oui, pour le moment, tu te décides juste à partir aussitôt dans la salle de bain. Tu ne fuis pas, tu retardes juste un peu le moment, histoire d'effacer au maximum ces images, d'elle avec lui, que tu as retrouvé lorsque tu as planté ton regard dans le sien. Tu retires ta veste humides, la déposant sur le lavabo sans attention. Tu te saisies d'une serviette que tu agites sur tes cheveux pour les sécher un peu. Ce que tu ressens te montre clairement que tout ce qu'il se passe est bien plus fort que tu l'imaginais, tout ça te rappelle, qu'avec Tada, vous aviez pris ce risque peut-être un peu trop gros mais tu n'arrives pas à le regretter, pas à un seul instant. Pourtant, ton cœur est encore tordu, tiraillé de se dire que peut-être, tu ne comptes pas assez pour lui au point qu'il arrête, tiraillé de se dire qu'il cherchait peut-être autre chose, peut-être qu'il cherchait à retrouver Min Hee. Dans tous les cas, t'as pas le droit de lui en vouloir, et ce n'est pas le cas. T'as juste mal, ta jalousie te fait mal, et tes craintes aussi.
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ft. tadary ♡
Clairement, c'est une journée où tu aurais dû rester couché. Tout s'enchaîne pour toi, ton réveil n'a pas sonné, tu as loupé tes cours, perdu tes clés que tu as retrouvé au bout d'une bonne heure, et maintenant, tu te trouves dehors alors qu'il s'apprête à pleuvoir. Le pire dans cette histoire? Ta moto ne démarre même plus. Tu es là, avec ta veste en cuir, ton casque sous le bras et ton téléphone à l'oreille. « Tu m'entends?! » Tu n'es même pas sûr que ta soeur comprenne ce que tu lui dis, tu manques de réseau, bizarrement. Tu te mets à parler plus fort, un réflexe humain certes mais très idiot. T'as juste espoir qu'elle puisse comprendre ce que tu lui dis. « Tu peux me passer Damian?! » C'est lui, le roi de la mécanique dans la famille et là, t'as besoin d'un coup de main. Tu te retrouves bloqué dans un quartier que tu ne connais même pas, tu ne passes jamais par là, un quartier bourgeois, ça se voit. Tu fronces les sourcils, comprenant absolument rien. Tu entends la voix de ta petite sœur, coupé par le réseau. « Jin Hee, ma moto ne démarre plus. » reprends-tu calmement, dans un dernier élan d'espoir. « J'ai besoin de parler à Damian. » Tu déposes ton casque au sol, levant le menton au ciel. Tu te retiens bien de soupirer mais là, tu commences à en avoir ras-le-bol. Toi qui aborde toujours ce sourire, tu dois bien l'avouer, tu as du mal à le garder quand tu vis des journées comme ça. C'est pas si grave, tu vas rentrer à pieds à la maison mais tout ce que tu souhaites, c'est de voir cette journée se terminer. « Allô? » T'as plus de réponse, t'entends plus rien, tu regardes instinctivement l'écran de ton téléphone qui t'indique que le réseau est totalement indisponible. « Et merde. » Tu ranges ton téléphone, alors qu'il commence à pleuvoir. Tu as senti quelques gouttes te tomber sur le visage. Tu te décides alors à rentrer, tu ne peux pas rester ici alors que tu risques de te prendre une grosse averse. Alors tu cales ton casque sur ton avant bras qui passe à travers la visière, libérant tes deux mains pour pousser ta moto jusqu'à la sortie de ce quartier. Tu relèves la tête, posant ton regard sur ces personnes au loin qui attirent bizarrement ton attention, évidemment, tu ne mets pas plus de temps à le reconnaître, ton sourire le montre parfaitement. Ton premier sourire de la journée, qui est malheureusement très vite effacé lorsque tu l'as vois, elle. Tu la reconnais, cette femme, tu ne l'as vu qu'une fois mais c'était la fois de trop. Une fois, et tu la détestes. Tu es au courant de la situation, de ce qu'il se passe mais à croire que ces derniers temps, tu vivais peut-être un peu trop dans ton petit monde. Tu sens même ton cœur se resserrer, t'as juste l'impression que la réalité vient de se présenter face à toi pour te mettre une claque histoire de te réveiller un peu, qu'elle vient de te faire sortir de ton petit monde un peu trop paisible qui s'écroule sous tes pieds. Qu'est-ce qu'il fiche avec elle? Tu le sais, c'est pour ça que tu ressens tout ça. Que ce tourbillon de sentiments et de pensées destructives commencent à se faire un peu trop gros. Tu ne parviens plus à faire un seul pas, ne faisant même pas attention au poids de ta moto. Tu restes juste le regard rivé sur eux, beaucoup trop loin pour que tu puisses entendre mais il est avec elle. Qu'est-ce que tu t'imaginais ? Tu sais que cette femme l'utilise, et que lui, il n'a pas d'autre choix que d'y aller, parce qu'il a besoin de son fric. Mais quelque chose te disait que c'était fini. Pourquoi il aurait mis fin à tout ça ? Sans doute parce que votre relation commence à prendre une toute autre tournure ? Mais laquelle ? Toi, tu vis au jour le jour, sans réellement te prendre la tête et parfois, ça peut te conduire à ce genre de situations. Une situation où tu regrettes amèrement de ne pas en avoir eu le cœur net plus tôt. Résultat, tu as ce sentiment de trahison que tu ne devrais peut-être pas avoir, ou peut-être que si, tu ne le sais même pas. T'es juste scotché sur place à observer Tadashi avec cette femme, une vision que tu n'aurais jamais pu supporter après tout ce qu'il s'est passé dernièrement mais pourtant, c'est le cas. La seule chose qui te réveille, c'est cette goutte de pluie qui s'était glissé le long de ta mèche, tombant sur ta joue. Tu l'essuies, d'un revers de la main. Même le temps est en harmonie avec ce que ton cœur ressent à cet instant. Tu n'as pas retrouvé ton meilleur ami, après toutes ces années. Tu as simplement retrouvé un Tadashi, tout cassé, que tu souhaites aider par dessus tout mais avec qui tu commençais à vivre tout autre chose qu'une relation amicale. Tu ne saurais même de mot là-dessus, non pas par crainte, mais parce que tu ne jugeais pas cela nécessaire. Après tout, à quoi bon se prendre la tête ? Pourtant, tu ne peux pas le nier, tu commences fortement à t'attacher à lui et ça, tu en as conscience. Ç'a même été difficile pour toi, et ça l'est encore, il y a toujours cette petite voix dans ta tête, beaucoup plus calme mais qui te rappelle parfois que ce n'est sans doute pas bien ce que tu es en train de faire à Min Hee. Or, il y a un autre problème. Un problème qui t'a trotté dans la tête toute la journée, cette autre petite voix qui a toujours existé, mais que tu n'entendais pas jusqu'à présent. Et lui? Tu sais très bien qu'il n'est pas heureux avec elle, ça te fait même du mal de te dire qu'il doit aussi subir certaines choses à cause de cette femme, tu sais qu'il n'a pas le choix mais qu'est-ce que ça veut dire? Que tu ne comptes pas assez pour lui? Quoi que tu faisais, tu as passé ces dernières heures à les imaginer ensemble, ces images ne s'effaçaient pas de ton esprit et n'ont fait que t'assommer davantage. Ça te pince le cœur cette jalousie. Tu sais que ce n'est pas encore clair entre vous, du moins, vous en aviez même pas encore discuté mais pour toi ça l'était, tu pensais que ça l'était pour lui aussi. La réciprocité de ces sentiments et ressentis, tu pensais l'avoir comprise dans son regard, tu y trouvais déjà toutes les réponses et pourtant, tu l'as vu, tu l'as vu avec elle. Tu pousses la porte de ta chambre au dortoir, sachant pertinemment que Tadashi risque de se trouver là. Tu n'as pas envie de le fuir, au contraire, la discussion est clairement inévitable mais lorsque tu poses ton regard sur lui, ce même ressenti revient aussitôt. Ton cœur se compresse dans sa cage thoracique et pendant un instant, tu te sens vidé de tout espoir, de toute force. Alors tu fuis son regard, le posant sur la poignée de porte lorsque tu la refermes. T'es trempé de la tête aux pieds, ta mine décomposée n'est autre que le résultat de cette journée des plus horribles. Tu déposes ton casque sur le meuble, tu ne parviens toujours pas à dire un seul mot. Tu sais que tu vas devoir le faire mais croiser son regard vient, pour la première fois, de te vider de tout courage. C'est inquiétant, que ça en devienne une faiblesse. Tu ne sais même pas ce que tu vas lui dire, si tu as le droit ou non de lui reprocher étant donné qu'il en souffre. T'es loin d'être débile, tu le sais. Tu devrais sans doute te taire, ne pas dire des choses qui lui feront sans doute du mal comme le fait que tu ne supporteras jamais cette situation mais c'est malheureusement le cas. Tu aimerais te taire, enfouir tout ça quitte à ce que ça te fasse du mal à toi, mais tu n'as pas envie de ça. Tu as pris ce risque avec lui, ce n'est définitivement pas pour rien, et quoi que tu te dises, tu en reviens toujours à la même chose. Jamais tu ne supporteras ça. Il suffit de l'avoir vu à quelques pas d'elle pour te faire du mal, pour te prendre cette réalité dans la gueule, mais t'as pas envie. T'as plus envie qu'il couche avec elle. Alors oui, pour le moment, tu te décides juste à partir aussitôt dans la salle de bain. Tu ne fuis pas, tu retardes juste un peu le moment, histoire d'effacer au maximum ces images, d'elle avec lui, que tu as retrouvé lorsque tu as planté ton regard dans le sien. Tu retires ta veste humides, la déposant sur le lavabo sans attention. Tu te saisies d'une serviette que tu agites sur tes cheveux pour les sécher un peu. Ce que tu ressens te montre clairement que tout ce qu'il se passe est bien plus fort que tu l'imaginais, tout ça te rappelle, qu'avec Tada, vous aviez pris ce risque peut-être un peu trop gros mais tu n'arrives pas à le regretter, pas à un seul instant. Pourtant, ton cœur est encore tordu, tiraillé de se dire que peut-être, tu ne comptes pas assez pour lui au point qu'il arrête, tiraillé de se dire qu'il cherchait peut-être autre chose, peut-être qu'il cherchait à retrouver Min Hee. Dans tous les cas, t'as pas le droit de lui en vouloir, et ce n'est pas le cas. T'as juste mal, ta jalousie te fait mal, et tes craintes aussi.
(c) DΛNDELION
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Re: maybe i'm jealous [tadary ♡] | Mer 28 Fév - 21:25
« tu ne t'en sortiras pas sans moi. » comme un disque rayé, ses mots tournaient et retournaient dans ta tête. un écho lointain qui se heurtait contre les parois de ton crâne. elle avait été dure avec toi. méchante, elle a montré son vrai visage. pas que tu t'attendais à un câlin, mais tu la pensais pas si monstrueuse. cette femme avec qui tu as passé plus d'un an, a su tapé où ça fait mal. usé les mots qu'il fallait pour te rappeler que tu as été sa chose pendant si longtemps. un objet qu'elle a manié et qu'elle a pensé avoir à sa merci. pourtant t'en as finis de tout ça. tu veux plus jamais être à sa botte. tu veux plus jamais la toucher. plus jamais la voir. « tu n'es qu'un sale drogué ! » ça a duré trop longtemps tout ça. pendant trop de temps tu as dit oui à tout. trop de fois tu l'as laissé te broyé comme elle savait si bien le faire. toi qui t'étais, y'a très longtemps, jurer de n'être à la botte de personne. de n'être qu'au service de toi-même. tu n'as été qu'un objet sexuel pendant des mois. bien sur, tu ne l'as pas fais sans raisons. ta seule motivation c'était l'argent. ta famille manque cruelle de ça. vous n'avez pas assez de fric pour payer certaines factures. alors coucher avec elle, c'était comme se faire de l'argent facile. mais si seulement tu avais su que ça te ferait plonger dans un piège. cette femme est complètement tarée, et tu l'a bien vu. « tu n'es qu'un bon à rien, sans moi tu n'es rien ! » sa haine était monstrueuse, violente même. elle s'est déchaîné sur toi. son chagrin s'est transformé en une tempête violente dont tu étais la victime. et dans ce cyclone tu t'es dressé droit et la tête haute. tu ne regrette pas. tu aurais du le faire y'a déjà quelques temps. tu voulais simplement continuer d'apporter de l'argent à ta famille. mais depuis quelque temps, tu n'arrive même plus à sentir ses mains sur ton corps sans avoir des nausées. outre le fait qu'elle te donne la gerbe, tu ne lui appartiens plus. tu ne lui as jamais appartenu, mais ces derniers temps plus qu'avant. ton esprit est trop occupé à penser à lui, à yury pour que tu puisses vouloir faire quoique ce soit de charnel avec elle. il n'y a que lui dans ta tête, personne d'autre ne prend autant de place. et quand tu te retrouve avec elle, c'est comme si la présence de yury te hantait. vous n'êtes pas un couple, pas officiellement en tout cas mais c'est tout comme. votre relation dure depuis déjà quelques semaines. et tes sentiments grandissent. c'est presque déroutant pour toi, mais ça te fait du bien. avec lui, tu te sens en paix, calme et apaisé. alors te retrouver dans les bras de cette femme en ne pensant qu'à lui te donne l'impression d'être sale, et salit. les dernières fois où tu es venue chez elle, il y avait une distance, un froid glacial entre vous. aucune envie d'elle, simplement l'envie de tout arrêter. de dire mettre un point final à une relation qui n'en a jamais été une. si elle s'est attaché à toi, ça n'a jamais été le cas pour toi, elle n'était qu'un job. et restera un job. « elle te lâchera comme toutes les autres, tu n'es qu'un raté. » pourquoi ses mots continuaient de te hanter comme ça ? comment elle avait su te faire aussi mal ? tu voulais oublier tout ça, penser à l'avenir et pas à ce que tu laisses derrière toi. tu voulais penser à yury et toi, à ce que vous allez devenir. un couple, une relation. enfin toi c'est ce que tu souhaitais. une envie de construire quelque chose avec lui était né en toi. c'était tout nouveau, une idée immergée qui grandissait doucement. encore fallait-il qu'il le sache. tant de non dit entre vous, sûrement parce qu'aucun de vous deux ne pensait ça nécessaire. ou alors c'était la peur de gâcher les bons moments ensemble qui vous obligeaient à ne rien dire. hors aujourd'hui, si vous voulez avancer, il va falloir discuter. sans quoi vous continuerez tous les deux cette relation dont vous n'êtes pas totalement certains.
dans ta chambre, les yeux rivés sur le plafond, tu attends le retour de yury. au vu de l'heure il devrait déjà être là. c'est déjà la troisième fois que tu regardes ton téléphone pour voir s'il n'y a pas un sms de lui. rien. pas de nouvelle. dehors il fait un temps pourrit. et il est en moto, tu te mets à espérer qu'il ne lui est rien arrivé. ton pieds s'agite d'inquiétude, d'énervement aussi. cette situation est angoissante. qu'est-ce qu'il fout ? ou il est passé ? la porte s'ouvre sur un yury complètement trempé, tu te dresse sur ton lit, content de le voir et à la fois inquiet de le voir dans cet état. qu'est-ce qu'il s'est passé ? il ne t'adresse pas un regard. comme s'il t'en voulait pour quelque chose. « yu ? » souffle-tu, les sourcils froncés. perdu, tu ne sais pas trop quoi lui dire. lui qui a toujours le sourire, là il ne sourit pas, il est même triste. sans un mots, il s'enfile dans la salle de bain sous tes yeux. qu'est-ce que tu es censé faire ? lui parler ? le laisser seul ? complètement paumé, tu réfléchis quelques secondes avant de te lever pour aller le rejoindre. c'est plus fort que toi, tu peux pas le laisser comme ça. faut que tu saches ce qu'il ne va pas. un mauvais pressentiment te fait penser que son état vient de toi. tu es coupable de quelque chose mais tu ne sais pas quoi... tu pousse la porte, timidement. tu le fixe dans le miroir n'osant pas entrer plus. « qu'est-ce qu'il s'est passé ? » l'inquiétude te tord les tripes. la peur aussi. effrayé de savoir ce qu'il pourrait bien te dire. « je suis inquiet... » tu baisses la tête. inquiet oui mais tu ne sais plus si c'est à cause de ce qui a pu lui arrivé ou ce qu'il a à te dire... mais une chose est sûr, tu sens que quelque chose ne va pas. il n'est pas comme d'habitude... la boule au ventre, tu attends qu'il te réponde.
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« tu ne t'en sortiras pas sans moi. » comme un disque rayé, ses mots tournaient et retournaient dans ta tête. un écho lointain qui se heurtait contre les parois de ton crâne. elle avait été dure avec toi. méchante, elle a montré son vrai visage. pas que tu t'attendais à un câlin, mais tu la pensais pas si monstrueuse. cette femme avec qui tu as passé plus d'un an, a su tapé où ça fait mal. usé les mots qu'il fallait pour te rappeler que tu as été sa chose pendant si longtemps. un objet qu'elle a manié et qu'elle a pensé avoir à sa merci. pourtant t'en as finis de tout ça. tu veux plus jamais être à sa botte. tu veux plus jamais la toucher. plus jamais la voir. « tu n'es qu'un sale drogué ! » ça a duré trop longtemps tout ça. pendant trop de temps tu as dit oui à tout. trop de fois tu l'as laissé te broyé comme elle savait si bien le faire. toi qui t'étais, y'a très longtemps, jurer de n'être à la botte de personne. de n'être qu'au service de toi-même. tu n'as été qu'un objet sexuel pendant des mois. bien sur, tu ne l'as pas fais sans raisons. ta seule motivation c'était l'argent. ta famille manque cruelle de ça. vous n'avez pas assez de fric pour payer certaines factures. alors coucher avec elle, c'était comme se faire de l'argent facile. mais si seulement tu avais su que ça te ferait plonger dans un piège. cette femme est complètement tarée, et tu l'a bien vu. « tu n'es qu'un bon à rien, sans moi tu n'es rien ! » sa haine était monstrueuse, violente même. elle s'est déchaîné sur toi. son chagrin s'est transformé en une tempête violente dont tu étais la victime. et dans ce cyclone tu t'es dressé droit et la tête haute. tu ne regrette pas. tu aurais du le faire y'a déjà quelques temps. tu voulais simplement continuer d'apporter de l'argent à ta famille. mais depuis quelque temps, tu n'arrive même plus à sentir ses mains sur ton corps sans avoir des nausées. outre le fait qu'elle te donne la gerbe, tu ne lui appartiens plus. tu ne lui as jamais appartenu, mais ces derniers temps plus qu'avant. ton esprit est trop occupé à penser à lui, à yury pour que tu puisses vouloir faire quoique ce soit de charnel avec elle. il n'y a que lui dans ta tête, personne d'autre ne prend autant de place. et quand tu te retrouve avec elle, c'est comme si la présence de yury te hantait. vous n'êtes pas un couple, pas officiellement en tout cas mais c'est tout comme. votre relation dure depuis déjà quelques semaines. et tes sentiments grandissent. c'est presque déroutant pour toi, mais ça te fait du bien. avec lui, tu te sens en paix, calme et apaisé. alors te retrouver dans les bras de cette femme en ne pensant qu'à lui te donne l'impression d'être sale, et salit. les dernières fois où tu es venue chez elle, il y avait une distance, un froid glacial entre vous. aucune envie d'elle, simplement l'envie de tout arrêter. de dire mettre un point final à une relation qui n'en a jamais été une. si elle s'est attaché à toi, ça n'a jamais été le cas pour toi, elle n'était qu'un job. et restera un job. « elle te lâchera comme toutes les autres, tu n'es qu'un raté. » pourquoi ses mots continuaient de te hanter comme ça ? comment elle avait su te faire aussi mal ? tu voulais oublier tout ça, penser à l'avenir et pas à ce que tu laisses derrière toi. tu voulais penser à yury et toi, à ce que vous allez devenir. un couple, une relation. enfin toi c'est ce que tu souhaitais. une envie de construire quelque chose avec lui était né en toi. c'était tout nouveau, une idée immergée qui grandissait doucement. encore fallait-il qu'il le sache. tant de non dit entre vous, sûrement parce qu'aucun de vous deux ne pensait ça nécessaire. ou alors c'était la peur de gâcher les bons moments ensemble qui vous obligeaient à ne rien dire. hors aujourd'hui, si vous voulez avancer, il va falloir discuter. sans quoi vous continuerez tous les deux cette relation dont vous n'êtes pas totalement certains.dans ta chambre, les yeux rivés sur le plafond, tu attends le retour de yury. au vu de l'heure il devrait déjà être là. c'est déjà la troisième fois que tu regardes ton téléphone pour voir s'il n'y a pas un sms de lui. rien. pas de nouvelle. dehors il fait un temps pourrit. et il est en moto, tu te mets à espérer qu'il ne lui est rien arrivé. ton pieds s'agite d'inquiétude, d'énervement aussi. cette situation est angoissante. qu'est-ce qu'il fout ? ou il est passé ? la porte s'ouvre sur un yury complètement trempé, tu te dresse sur ton lit, content de le voir et à la fois inquiet de le voir dans cet état. qu'est-ce qu'il s'est passé ? il ne t'adresse pas un regard. comme s'il t'en voulait pour quelque chose. « yu ? » souffle-tu, les sourcils froncés. perdu, tu ne sais pas trop quoi lui dire. lui qui a toujours le sourire, là il ne sourit pas, il est même triste. sans un mots, il s'enfile dans la salle de bain sous tes yeux. qu'est-ce que tu es censé faire ? lui parler ? le laisser seul ? complètement paumé, tu réfléchis quelques secondes avant de te lever pour aller le rejoindre. c'est plus fort que toi, tu peux pas le laisser comme ça. faut que tu saches ce qu'il ne va pas. un mauvais pressentiment te fait penser que son état vient de toi. tu es coupable de quelque chose mais tu ne sais pas quoi... tu pousse la porte, timidement. tu le fixe dans le miroir n'osant pas entrer plus. « qu'est-ce qu'il s'est passé ? » l'inquiétude te tord les tripes. la peur aussi. effrayé de savoir ce qu'il pourrait bien te dire. « je suis inquiet... » tu baisses la tête. inquiet oui mais tu ne sais plus si c'est à cause de ce qui a pu lui arrivé ou ce qu'il a à te dire... mais une chose est sûr, tu sens que quelque chose ne va pas. il n'est pas comme d'habitude... la boule au ventre, tu attends qu'il te réponde.
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Re: maybe i'm jealous [tadary ♡] | Mer 7 Mar - 23:22
non toi, il t'en faut beaucoup pour perdre ton sourire. t'es pas le genre de mec à broyer du noir facilement, ou à voir toujours le côté négatif des choses mais cette fois, tu n'as aucune envie de sourire. sûrement parce que tu as passé la journée avec cette boule au ventre, avec cette vision de tada avec cette femme à te demander ce qu'ils ont bien pu faire. t'es pas idiot, tu sais très bien pourquoi il coutoie cette femme. il a besoin de son fric mais ça te plaît pas. tu te sens juste... utilisé. tu ne devrais peut-être pas dire ça, d'ailleurs, tu culpabilises de le penser parce que tu sais que tadashi ne se fiche pas de toi. tu sais que c'est réel ce qu'il se passe. vous n'avez pas encore parlé de tout ça mais tu as pu voir dans son regard, de nombreuses fois, qu'il y a quelque chose qui a définitivement changé. pour toi aussi d'ailleurs, c'est aussi pour ça que tu ne supportes pas l'idée qu'il puisse faire l'amour avec elle. parce que tadashi, malgré ce silence concernant la situation et vos sentiments, il est à toi. c'est comme ça que tu ressens les choses. sans doute parce que tu te considères à lui, que tu n'irais pas voir ailleurs, tu ne pourrais pas. alors oui, tu as cette partie de toi qui lui en veut, et puis l'autre partie, qui s'insulte de lui en vouloir. peux-tu réellement lui en vouloir? sachant qu'il ne fait pas ça par plaisir et que vous n'aviez même pas parlé de la situation? sans doute pas, mais tu ne peux pas t'en empêcher. la jalousie qui parle, sûrement, et puis, ton cœur aussi. il a mal. alors cette journée de merde, tu n'y prêtes même pas attention, tu t'en fiches. là, il y a un autre gros problème. en rentrant dans la chambre, tu aurais pu jouer cartes sur table mais tu évites, pas pour longtemps cela dit, juste le temps d'aller dans la salle de bain pour te sécher les cheveux. pourquoi tu fuis alors que tu veux régler ça ? parce qu'en croisant son regard, ton cœur s'est effrité davantage. et s'il ne se rendait pas compte de la situation? et si c'était inconscient? parce que oui, t'en es venu à te dire qu'il espérait peut-être trouver cette part de min hee en toi, part qui n'existe pas et n'existera jamais.
« qu'est-ce qu'il s'est passé ? » tu relèves la tête, continuant de sécher tes cheveux d'un geste de la main qui maintient encore la serviette. tu relèves la tête simplement pour le voir à travers le miroir, ton regard se fixe sur lui, ta mâchoire crispée, tu sais qu'il y verra ton agacement. la parfaite illustration d'une jalousie incontrôlée et peut-être pour lui, qui n'a pas lieu d'être. « je suis inquiet... » tu le vois, il n'a pas l'air bien, c'est sûrement son inquiétude qui parle. ou peut-être qu'il culpabilise ? tu ne sais même plus ce que ton cœur te hurle. la souffrance de le voir avec une autre, la souffrance d'une situation pas claire, ou la souffrance de cette vision de tadashi dans cet état. tout ça cumulé n'est clairement pas bon. « t'es inquiet? » répètes-tu, le quittant du regard pour jeter ta serviette à moitié mouillée un peu plus loin, une fois chose faite, tu te tournes vers lui, plantant ton regard dans le sien. « moi aussi j'le suis. » et si seulement il savait à quel point. tu hoches négativement la tête, poussant un soupir face à ce qu'il t'attend, tu crains cette discussion, tu crains d'entendre des choses qui te feront mal mais tu ne peux pas garder ça pour toi. « tous les jours. » tu t'avances doucement vers lui. « je m'inquiète pour toi! je me demande parfois si tu vas bien, si tu manges aussi, si j'arrive à être présent comme j'aimerais l'être, si ça t'aide. je fais mon maximum mais je continue de m'inquiéter et j'ai bien raison! » t'en peux plus de subir cette inquiétude, celle que tu as ressenti aujourd'hui encore plus. « je t'ai vu avec elle! » le mal que ça t'a fait te pousse à hausser le ton en prononçant ces mots. tu ne peux même pas rester en place, puisque après avoir planté lourdement ton regard dans le sien, tu quittes aussitôt la salle de bain pour retourner dans la chambre. « je sais. » reprends-tu aussitôt, anticipant ses paroles. « on parle pas de notre relation. et oui je sais, tu ne le fais pas par plaisir. » il te dira qu'il n'a pas le choix, mais ce n'est pas non plus ce que tu veux entendre. ça devrait te rassurer mais ça ne te rassurera pas et tu le sais. « mais ça change rien du tout, je veux pas te voir avec elle, j'le supporte pas. » tu ne le supportes pas et ça se voit au ton que tu emploies, ça te fait beaucoup trop de mal. « ne me force pas à te partager. » souffles-tu presque, fatigué de cette journée, psychologiquement. fatigué de l'avoir passé à penser des choses horribles. tes jambes se vident même de toute force pendant un court instant puisque tu t'assoie aussitôt sur le lit derrière toi. tu n'as aucune envie de lui dire ce qu'il doit faire, il est assez grand, mais t'es désespéré. « je pourrais pas... » tu relèves la tête vers lui, les sourcils froncés par le chagrin, mais par la culpabilité aussi. celle de ne pas pouvoir supporter tout ça. « je tiens à toi. » tu ne le lâches pas du regard, même si c'est difficile parce qu'au final, ça te fait du mal. « pas comme je tenais à toi il y a sept ans. je tiens énormément à toi. » précises-tu à nouveau, insistant sur cette dernière phrase. peut-être que vous n'en seriez pas là s'il l'avait compris. « et là je te retrouve... avec elle... merde, c'est un poison cette femme! » tu lèves ta main, indiquant l'extérieur de la porte. « pour toi mais aussi pour nous. » tu craches ces mots parce qu'elle te fout en rogne, cette femme. et puis tu reprends plus calmement, parce que cette fois, ça te fait peur. t'as peur de recevoir une réponse, mais t'as plus le choix. « tu le sais... c'est elle ou moi. » oui, il le sait. mais rester dans le silence pour éviter de répondre à la question n'est pas une solution, ni pour lui, ni pour toi. t'as presque envie de le supplier de te choisir toi, mais t'as envie d'en avoir le cœur net. t'as besoin de voir que l'homme que tu aimes tient à toi autant que tu tiens à lui. parce que oui, tu le sais, t'es tombé amoureux de ton meilleur ami avant même de pouvoir le voir venir.
maybe i'm jealous
ft. tadary ♡
non toi, il t'en faut beaucoup pour perdre ton sourire. t'es pas le genre de mec à broyer du noir facilement, ou à voir toujours le côté négatif des choses mais cette fois, tu n'as aucune envie de sourire. sûrement parce que tu as passé la journée avec cette boule au ventre, avec cette vision de tada avec cette femme à te demander ce qu'ils ont bien pu faire. t'es pas idiot, tu sais très bien pourquoi il coutoie cette femme. il a besoin de son fric mais ça te plaît pas. tu te sens juste... utilisé. tu ne devrais peut-être pas dire ça, d'ailleurs, tu culpabilises de le penser parce que tu sais que tadashi ne se fiche pas de toi. tu sais que c'est réel ce qu'il se passe. vous n'avez pas encore parlé de tout ça mais tu as pu voir dans son regard, de nombreuses fois, qu'il y a quelque chose qui a définitivement changé. pour toi aussi d'ailleurs, c'est aussi pour ça que tu ne supportes pas l'idée qu'il puisse faire l'amour avec elle. parce que tadashi, malgré ce silence concernant la situation et vos sentiments, il est à toi. c'est comme ça que tu ressens les choses. sans doute parce que tu te considères à lui, que tu n'irais pas voir ailleurs, tu ne pourrais pas. alors oui, tu as cette partie de toi qui lui en veut, et puis l'autre partie, qui s'insulte de lui en vouloir. peux-tu réellement lui en vouloir? sachant qu'il ne fait pas ça par plaisir et que vous n'aviez même pas parlé de la situation? sans doute pas, mais tu ne peux pas t'en empêcher. la jalousie qui parle, sûrement, et puis, ton cœur aussi. il a mal. alors cette journée de merde, tu n'y prêtes même pas attention, tu t'en fiches. là, il y a un autre gros problème. en rentrant dans la chambre, tu aurais pu jouer cartes sur table mais tu évites, pas pour longtemps cela dit, juste le temps d'aller dans la salle de bain pour te sécher les cheveux. pourquoi tu fuis alors que tu veux régler ça ? parce qu'en croisant son regard, ton cœur s'est effrité davantage. et s'il ne se rendait pas compte de la situation? et si c'était inconscient? parce que oui, t'en es venu à te dire qu'il espérait peut-être trouver cette part de min hee en toi, part qui n'existe pas et n'existera jamais.« qu'est-ce qu'il s'est passé ? » tu relèves la tête, continuant de sécher tes cheveux d'un geste de la main qui maintient encore la serviette. tu relèves la tête simplement pour le voir à travers le miroir, ton regard se fixe sur lui, ta mâchoire crispée, tu sais qu'il y verra ton agacement. la parfaite illustration d'une jalousie incontrôlée et peut-être pour lui, qui n'a pas lieu d'être. « je suis inquiet... » tu le vois, il n'a pas l'air bien, c'est sûrement son inquiétude qui parle. ou peut-être qu'il culpabilise ? tu ne sais même plus ce que ton cœur te hurle. la souffrance de le voir avec une autre, la souffrance d'une situation pas claire, ou la souffrance de cette vision de tadashi dans cet état. tout ça cumulé n'est clairement pas bon. « t'es inquiet? » répètes-tu, le quittant du regard pour jeter ta serviette à moitié mouillée un peu plus loin, une fois chose faite, tu te tournes vers lui, plantant ton regard dans le sien. « moi aussi j'le suis. » et si seulement il savait à quel point. tu hoches négativement la tête, poussant un soupir face à ce qu'il t'attend, tu crains cette discussion, tu crains d'entendre des choses qui te feront mal mais tu ne peux pas garder ça pour toi. « tous les jours. » tu t'avances doucement vers lui. « je m'inquiète pour toi! je me demande parfois si tu vas bien, si tu manges aussi, si j'arrive à être présent comme j'aimerais l'être, si ça t'aide. je fais mon maximum mais je continue de m'inquiéter et j'ai bien raison! » t'en peux plus de subir cette inquiétude, celle que tu as ressenti aujourd'hui encore plus. « je t'ai vu avec elle! » le mal que ça t'a fait te pousse à hausser le ton en prononçant ces mots. tu ne peux même pas rester en place, puisque après avoir planté lourdement ton regard dans le sien, tu quittes aussitôt la salle de bain pour retourner dans la chambre. « je sais. » reprends-tu aussitôt, anticipant ses paroles. « on parle pas de notre relation. et oui je sais, tu ne le fais pas par plaisir. » il te dira qu'il n'a pas le choix, mais ce n'est pas non plus ce que tu veux entendre. ça devrait te rassurer mais ça ne te rassurera pas et tu le sais. « mais ça change rien du tout, je veux pas te voir avec elle, j'le supporte pas. » tu ne le supportes pas et ça se voit au ton que tu emploies, ça te fait beaucoup trop de mal. « ne me force pas à te partager. » souffles-tu presque, fatigué de cette journée, psychologiquement. fatigué de l'avoir passé à penser des choses horribles. tes jambes se vident même de toute force pendant un court instant puisque tu t'assoie aussitôt sur le lit derrière toi. tu n'as aucune envie de lui dire ce qu'il doit faire, il est assez grand, mais t'es désespéré. « je pourrais pas... » tu relèves la tête vers lui, les sourcils froncés par le chagrin, mais par la culpabilité aussi. celle de ne pas pouvoir supporter tout ça. « je tiens à toi. » tu ne le lâches pas du regard, même si c'est difficile parce qu'au final, ça te fait du mal. « pas comme je tenais à toi il y a sept ans. je tiens énormément à toi. » précises-tu à nouveau, insistant sur cette dernière phrase. peut-être que vous n'en seriez pas là s'il l'avait compris. « et là je te retrouve... avec elle... merde, c'est un poison cette femme! » tu lèves ta main, indiquant l'extérieur de la porte. « pour toi mais aussi pour nous. » tu craches ces mots parce qu'elle te fout en rogne, cette femme. et puis tu reprends plus calmement, parce que cette fois, ça te fait peur. t'as peur de recevoir une réponse, mais t'as plus le choix. « tu le sais... c'est elle ou moi. » oui, il le sait. mais rester dans le silence pour éviter de répondre à la question n'est pas une solution, ni pour lui, ni pour toi. t'as presque envie de le supplier de te choisir toi, mais t'as envie d'en avoir le cœur net. t'as besoin de voir que l'homme que tu aimes tient à toi autant que tu tiens à lui. parce que oui, tu le sais, t'es tombé amoureux de ton meilleur ami avant même de pouvoir le voir venir.
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Re: maybe i'm jealous [tadary ♡] | Sam 17 Mar - 18:07
avant même d'entré dans la salle de bain, tu ressentais la peur te sauté à la gorge tel un animal sauvage sur sa proie. le poids de l'inquiétude écrasait tes poumons. il te fallait prendre de plus grandes inspirations pour ne pas avoir à montrer que tu étais terrifié. la trouille d'apprendre ce que yury avait à te dire. quelque chose n'allait pas, yury n'allait pas bien. il était en colère ou donnait l'impression de l'être. il t'en voulait pour quelque chose. il était entré sans même tourné la tête vers toi, t'ignorant complètement. qu'est-ce qu'il se passait dans sa tête ? la boule au ventre tu lui avait dit que tu étais inquiet. que lui était-il arrivé ? qu'est ce que tu avais bien pu faire pour qu'il ne te regarde même pas ? tu redoutais la vérité. ça te faisait peur. et tu savais pourquoi... l'angoisse de le perdre, de le voir t'échapper alors que tu t'es attaché à lui. la peur soudaine de perdre tout ce bonheur auquel tu as goûté avec lui. et si au final, yury t'apprenais qu'il regrettait tout ça ? que votre pseudo relation avait assez duré et qu'il fallait y mettre fin ? est-ce que c'était ça qu'il voulait te dire ? si c'était le cas, tu ne voulais pas l'entendre par peur de t'effondrer après cette journée. les mots de cecilia tournaient encore dans ta tête et devenaient petit à petit un poison qui te donnait l'envie de vomir tant sa haine avait été violente. tu prenais conscience de l'importance de yury à cet instant, tu avais besoin de lui, de ses bras, de tout ce qu'il t'a apporté ces derniers temps pour oublier tous les maux. yury devenait plus efficace que n'importe lesquelles de tes piqûres d’héroïne et tu étais sur le point de le voir s'échapper entre tes doigts. alors peut-être que tu te trompais mais ce silence écrasant te terrifiais.
« t'es inquiet? » tu relèves la tête, le regardant dans les yeux quand il se tourne vers toi. tu veux affronter ce qu'il va te dire en lui faisant face et non en baissant la tête. le ton de sa voix ne te rassure pas, rien de tout ce qu'il commence à dire ne te rassure. la peur qui semblait vouloir t'étouffer, maintenant tu la sens te paralyser. un poison qui prend place dans tes muscles et qui te fige. tu retiendrais presque ta respiration tant tu angoisse. « moi aussi j'le suis. » tu fronces les sourcils, pas tout à fait certain de comprendre. depuis qu'il sait que tu te drogues, il est inquiet, c'est ce qu'il te fait comprendre. mais si seulement il savait que tu te sens bien à ses côtés, qu'il te donne la force de te sortir des abysses dans lesquelles tu avais plongé. sans lui, rien de tout ce que tu as fais aujourd'hui ne serait arrivé. il est la lumière dans l'obscurité. le phare dans la mer agitée. il t'aide plus qu'il ne le pense. évidemment, il n'en sait encore rien. vous n'avez encore discutés de rien. tout ce que vous vivez est totalement flou pour vous. « je t'ai vu avec elle! » il hausse le ton et quitte la pièce te poussant à t'écarter du passage. il est là le problème. les reproches qu'il avait à te faire vienne d'elle. mais ce n'est pas ce qu'il pense : ça fait des semaines que tu n'arrives plus à voir cette femme sans te dire que tu le trompe. le simple fait de passer une nuit avec lui te dégoûtais un peu plus de poser tes mains sur elle. « yu. » commence-tu à dire, doucement trop doucement puisque yury n'entend rien. tu veux lui dire que c'est finit, que cette femme est derrière vous et qu'elle n'est qu'un mauvais souvenir. « on parle pas de notre relation. et oui je sais, tu ne le fais pas par plaisir. » tu le regarde s'énerver et dire tout ce qu'il a à te dire et à nouveau tu tentes de l'arrêter. « yu... » mais rien à faire, il ne veut pas s'arrêter, il a besoin d'exprimer tout ça et rien ne pourra stopper ça. alors tu te tais, tu le laisse faire. « mais ça change rien du tout, je veux pas te voir avec elle, j'le supporte pas. » est-ce qu'il te faisait comprendre qu'il était jaloux ? toi qui pensais qu'il s'inquiétait pour toi mais ce n'est pas ça le problème, le problème c'est qu'il est jaloux de cette femme. « ne me force pas à te partager. » il s'effondre sur son lit, presque à bout de force. et tu t'avance vers lui de quelque pas. tu gardais tes distances n'étant plus certain qu'il veuille que tu t'approche de lui. « je tiens à toi. » tu te mets à serrer les poings, face à l'incapacité de lui hurler que tu tiens à lui aussi. qu'il a plus d'importance que n'importe qui sur cette foutue planète et qu'à cet instant c'est de lui dont tu as besoin. « pas comme je tenais à toi il y a sept ans. je tiens énormément à toi. » ses mots te bousculaient mais tes émotions bouillonnaient en toi. un besoin soudain de lui hurler que tu l'aimes plus fort que tu n'as jamais aimé personne. plus fort que tu as aimé sa sœur. « tu le sais... c'est elle ou moi. » les mots étaient prêts à sortir, il te démangeaient. la frustration de n'avoir rien dit à cette femme et de t'être laissé craché dessus était prête à s'exprimer maintenant. « c'est toi, ça sera toujours toi ! » tu ne laisse même pas le temps au silence de s'installer, non tu expulse tes mots que tu retenais au fond de ta gorge. « y'a jamais eu de choix, t'as toujours été le seul choix et ça depuis qu'on s'est embrassés ! » c'était la vérité, le moment où vos lèvres se sont rencontrés tu as su que ta vie allait changé. yury avait bousculé tes sentiments et ta vie sans s'en rendre compte. tu t'avance vers lui, l'envie de lui prendre la main te vient à l'esprit mais tu ne le fais pas. « j'ai tout arrêté avec elle, c'est finit elle existe plus. elle est plus rien maintenant. » tu dis tout ça sur un ton plus calme, presque triste dû à tout ce qu'elle a pu te balancer de méchant à la face. difficile d'oublier ses mots odieux. « je lui appartiens plus... » cette fois tu viens t'asseoir près de lui le quittant du regard. « parce que c'est à toi que j'appartiens, yu. et ça aussi longtemps que tu voudras de moi. » tu n'avais jamais appartenu à quiconque. tu te refusais à devenir la propriété de quelqu'un mais pour yury, tu étais prêt à tout. parce qu'avec lui tout était différent. les sentiments que tu ressentais pour lui te poussais à lui dire tout ça, parce que c'est ce que tu ressentais. il avait entre ses mains, la possession de ton cœur et il était libre d'en faire ce qu'il voulait. « je... » tu hésite un court instant avant de relever la tête vers lui. « je t'aime et je laisserais jamais personne se mettre entre nous deux. » soudainement tu t'approche de son visage pour venir l'embrassé avec toute l'intensité de tes sentiments. ce baiser marque un peu plus tes propos, tu dévorais ses lèvres aussi fort que tes sentiments pour lui te brûlaient. un baiser brûlant et tendre à la fois. ta main vient se déposer contre sa joue continuant de l'embrasser. tu voulais qu'il comprenne qu'il n'y avait que lui et qu'il n'y aurait jamais personne d'autre que lui. que ton cœur est sien. et qu'il lui appartiendra jusqu'après votre mort.
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ft. tadary ♡
avant même d'entré dans la salle de bain, tu ressentais la peur te sauté à la gorge tel un animal sauvage sur sa proie. le poids de l'inquiétude écrasait tes poumons. il te fallait prendre de plus grandes inspirations pour ne pas avoir à montrer que tu étais terrifié. la trouille d'apprendre ce que yury avait à te dire. quelque chose n'allait pas, yury n'allait pas bien. il était en colère ou donnait l'impression de l'être. il t'en voulait pour quelque chose. il était entré sans même tourné la tête vers toi, t'ignorant complètement. qu'est-ce qu'il se passait dans sa tête ? la boule au ventre tu lui avait dit que tu étais inquiet. que lui était-il arrivé ? qu'est ce que tu avais bien pu faire pour qu'il ne te regarde même pas ? tu redoutais la vérité. ça te faisait peur. et tu savais pourquoi... l'angoisse de le perdre, de le voir t'échapper alors que tu t'es attaché à lui. la peur soudaine de perdre tout ce bonheur auquel tu as goûté avec lui. et si au final, yury t'apprenais qu'il regrettait tout ça ? que votre pseudo relation avait assez duré et qu'il fallait y mettre fin ? est-ce que c'était ça qu'il voulait te dire ? si c'était le cas, tu ne voulais pas l'entendre par peur de t'effondrer après cette journée. les mots de cecilia tournaient encore dans ta tête et devenaient petit à petit un poison qui te donnait l'envie de vomir tant sa haine avait été violente. tu prenais conscience de l'importance de yury à cet instant, tu avais besoin de lui, de ses bras, de tout ce qu'il t'a apporté ces derniers temps pour oublier tous les maux. yury devenait plus efficace que n'importe lesquelles de tes piqûres d’héroïne et tu étais sur le point de le voir s'échapper entre tes doigts. alors peut-être que tu te trompais mais ce silence écrasant te terrifiais.« t'es inquiet? » tu relèves la tête, le regardant dans les yeux quand il se tourne vers toi. tu veux affronter ce qu'il va te dire en lui faisant face et non en baissant la tête. le ton de sa voix ne te rassure pas, rien de tout ce qu'il commence à dire ne te rassure. la peur qui semblait vouloir t'étouffer, maintenant tu la sens te paralyser. un poison qui prend place dans tes muscles et qui te fige. tu retiendrais presque ta respiration tant tu angoisse. « moi aussi j'le suis. » tu fronces les sourcils, pas tout à fait certain de comprendre. depuis qu'il sait que tu te drogues, il est inquiet, c'est ce qu'il te fait comprendre. mais si seulement il savait que tu te sens bien à ses côtés, qu'il te donne la force de te sortir des abysses dans lesquelles tu avais plongé. sans lui, rien de tout ce que tu as fais aujourd'hui ne serait arrivé. il est la lumière dans l'obscurité. le phare dans la mer agitée. il t'aide plus qu'il ne le pense. évidemment, il n'en sait encore rien. vous n'avez encore discutés de rien. tout ce que vous vivez est totalement flou pour vous. « je t'ai vu avec elle! » il hausse le ton et quitte la pièce te poussant à t'écarter du passage. il est là le problème. les reproches qu'il avait à te faire vienne d'elle. mais ce n'est pas ce qu'il pense : ça fait des semaines que tu n'arrives plus à voir cette femme sans te dire que tu le trompe. le simple fait de passer une nuit avec lui te dégoûtais un peu plus de poser tes mains sur elle. « yu. » commence-tu à dire, doucement trop doucement puisque yury n'entend rien. tu veux lui dire que c'est finit, que cette femme est derrière vous et qu'elle n'est qu'un mauvais souvenir. « on parle pas de notre relation. et oui je sais, tu ne le fais pas par plaisir. » tu le regarde s'énerver et dire tout ce qu'il a à te dire et à nouveau tu tentes de l'arrêter. « yu... » mais rien à faire, il ne veut pas s'arrêter, il a besoin d'exprimer tout ça et rien ne pourra stopper ça. alors tu te tais, tu le laisse faire. « mais ça change rien du tout, je veux pas te voir avec elle, j'le supporte pas. » est-ce qu'il te faisait comprendre qu'il était jaloux ? toi qui pensais qu'il s'inquiétait pour toi mais ce n'est pas ça le problème, le problème c'est qu'il est jaloux de cette femme. « ne me force pas à te partager. » il s'effondre sur son lit, presque à bout de force. et tu t'avance vers lui de quelque pas. tu gardais tes distances n'étant plus certain qu'il veuille que tu t'approche de lui. « je tiens à toi. » tu te mets à serrer les poings, face à l'incapacité de lui hurler que tu tiens à lui aussi. qu'il a plus d'importance que n'importe qui sur cette foutue planète et qu'à cet instant c'est de lui dont tu as besoin. « pas comme je tenais à toi il y a sept ans. je tiens énormément à toi. » ses mots te bousculaient mais tes émotions bouillonnaient en toi. un besoin soudain de lui hurler que tu l'aimes plus fort que tu n'as jamais aimé personne. plus fort que tu as aimé sa sœur. « tu le sais... c'est elle ou moi. » les mots étaient prêts à sortir, il te démangeaient. la frustration de n'avoir rien dit à cette femme et de t'être laissé craché dessus était prête à s'exprimer maintenant. « c'est toi, ça sera toujours toi ! » tu ne laisse même pas le temps au silence de s'installer, non tu expulse tes mots que tu retenais au fond de ta gorge. « y'a jamais eu de choix, t'as toujours été le seul choix et ça depuis qu'on s'est embrassés ! » c'était la vérité, le moment où vos lèvres se sont rencontrés tu as su que ta vie allait changé. yury avait bousculé tes sentiments et ta vie sans s'en rendre compte. tu t'avance vers lui, l'envie de lui prendre la main te vient à l'esprit mais tu ne le fais pas. « j'ai tout arrêté avec elle, c'est finit elle existe plus. elle est plus rien maintenant. » tu dis tout ça sur un ton plus calme, presque triste dû à tout ce qu'elle a pu te balancer de méchant à la face. difficile d'oublier ses mots odieux. « je lui appartiens plus... » cette fois tu viens t'asseoir près de lui le quittant du regard. « parce que c'est à toi que j'appartiens, yu. et ça aussi longtemps que tu voudras de moi. » tu n'avais jamais appartenu à quiconque. tu te refusais à devenir la propriété de quelqu'un mais pour yury, tu étais prêt à tout. parce qu'avec lui tout était différent. les sentiments que tu ressentais pour lui te poussais à lui dire tout ça, parce que c'est ce que tu ressentais. il avait entre ses mains, la possession de ton cœur et il était libre d'en faire ce qu'il voulait. « je... » tu hésite un court instant avant de relever la tête vers lui. « je t'aime et je laisserais jamais personne se mettre entre nous deux. » soudainement tu t'approche de son visage pour venir l'embrassé avec toute l'intensité de tes sentiments. ce baiser marque un peu plus tes propos, tu dévorais ses lèvres aussi fort que tes sentiments pour lui te brûlaient. un baiser brûlant et tendre à la fois. ta main vient se déposer contre sa joue continuant de l'embrasser. tu voulais qu'il comprenne qu'il n'y avait que lui et qu'il n'y aurait jamais personne d'autre que lui. que ton cœur est sien. et qu'il lui appartiendra jusqu'après votre mort.
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Re: maybe i'm jealous [tadary ♡] | Mer 21 Mar - 19:01
on peut te comprendre, non? tu ne supporterais pas qu'il te file entre les doigts. de perdre ce bonheur auquel tu as goûté sans jamais réellement mettre un quelconque mot là-dessus. mais est-ce le plus important, finalement? sans doute pas. ce que tu ressentais était bien plus fort que tout ça, tu as trouvé grâce à lui une force et le courage de franchir le pas, de faire face à cette dure réalité, prêt à te prendre un coup, pour pouvoir définitivement te relever. devoir être présent pour lui t'aide, toi aussi. tu te fais assez confiance pour ne pas le laisser dans la merde, pour ne pas le laisser souffrir de cette manière. c'est un tadashi tout cassé que tu as récupéré mais tu es prêt à le réparer, bout à bout, quitte à ce que ça prenne du temps. après tout, il te donne toute la force dont tu as besoin pour ça. jamais tu n'aurais imaginé que les choses auraient pu se passer de cette manière et malgré tout ce qu'il peut se passer, tu n'as jamais été aussi heureux. sans doute parce que tadashi comble ce vide que tu avais dans ton coeur, t'apporte ce quelque chose qui t'aidera à t'en sortir toi aussi. tu as l'impression de voir le bout du tunnel, cette lumière de la délivrance qui s'offre à toi mais cette idée s'est vite écroulé lorsque tu l'as vu avec elle. ton monde est tombé à tes pieds, ton petit bonheur n'était que de courte durée. on t'a retiré cette lumière qui te poussait à avancer, cette lumière qui te donnait de la force et ça se voit, tu t'écroules presque. tu lui craches ces mots avec tellement de douleur, parce que tu en souffres yury. tu ne veux pas le perdre une seconde fois, encore moins après tout ça. sans doute parce que tu commences à devenir accroc à ces sentiments, ces sensations que seul lui parvient à t'offrir. ça t'en crève le cœur de devoir lui dire tout ça. parce que tu crains le pire. vous aviez jamais parlé de tout ça, non, tu voulais juste profiter sans te prendre la tête mais c'est différent cette fois. c'est totalement différent. t'as pas peur de devoir faire face à tes sentiments, malgré ce que l'on peut croire. malgré tout ce qui a pu se passer. non, c'est loin d'être ça qui t'effraie, ce qui te fait peur, c'est de pouvoir le perdre, ces sentiments qui sont bien trop forts, bien trop solides pour que tu puisses continuer sans te prendre la tête: tu ne supportes pas de le voir dans ses bras. tu ne supportes pas l'idée de voir le partager. tu ne supportes pas l'idée qu'il ne soit pas officiellement à toi. tout te prouve que vous aviez passé un nouveau cap dans votre relation. alors après l'avoir vu avec elle, tu t'es mis à réfléchir un peu trop, à remuer cette histoire, à t'imaginer des choses et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça ne te ressemble pas. alors pourquoi? sans doute parce que tu as fini par voir dans quel état tu t'étais mis en perdant ton ange gardien, en perdant ta moitié, ta jumelle. le choc a été difficile, tellement que l'idée de perdre un être cher d'une manière ou d'une autre te fait littéralement flipper. et là, on parle de tadashi. de ces moments que vous aviez passé, du garçon que tu aimes mais qui, avant ça, a su être le meilleur des amis alors que toi, tu ne l'as pas été, tu n'étais qu'une pauvre loque après le décès de ta sœur.
t'as du mal à prononcer ces mots mais tu le fais, c'est elle ou toi. t'as peur de sa réponse, tu ne sais pas si c'est parce que tu doutes de la réponse qu'il va te donner, après tout ce qu'il a pu te faire comprendre... non, ça ne doit pas être ça, ou peut-être est-ce le fait d’émettre l'idée de pouvoir le perdre? l'imaginer t'en scie les jambes. cette accumulation forme une boule dans ton ventre qui te donnerait presque l'envie de vomir, ou de disparaître pour ne plus avoir à subir cette douloureuse sensation. en tout cas, t'es surpris par sa réaction. tu n'as même pas le temps de réagir, relevant aussitôt les yeux dans sa direction. « c'est toi, ça sera toujours toi ! » il hausse le ton, tu ne le blâmeras pas pour ça. tu ne lui as même pas laisser le temps d'en placer une, tu ne t'en rends juste pas compte. ça devrait te soulager, et c'est le cas, mais le voir dans cet état te tord le cœur. « y'a jamais eu de choix, t'as toujours été le seul choix et ça depuis qu'on s'est embrassés ! » ce que tu ressentais, toutes ces émotions négatives, à commencer par l’angoisse et la peur qui t'ont accompagné ces dernières heures se mélangent à ce sentiment de délivrance. de soulagement. mais surtout d'amour. cependant, tu n'arrives toujours pas à sourire, les sourcils froncés, tentant en vain de vaincre ce tourbillon d'émotions, de t'en remettre. tu trahies ton état par ce regard que tu lui lances. il s'avance vers toi alors que tes yeux se baissent quelque peu, tu ne trouves même pas les mots pour le moment mais de toute façon, tu n'as pas le temps d'ajouter grand chose. « j'ai tout arrêté avec elle, c'est finit elle existe plus. elle est plus rien maintenant. » à nouveau tu le regardes, silencieux, sentant le soulagement prendre le dessus sur ce que tu as pu ressentit auparavant. gagner le combat. sans doute parce qu'il devient plus calme. il a tout arrêté? non, tu ne l'avais pas vu l'embrasser, tu l'avais simplement vu devant chez elle, à ses côtés, tu n'avais pas songé à cette possibilité en réalité. tu as directement pensé au plus logique, tu sais ce qu'il faisait avec elle, l'idée qu'il ait pu tout arrêter pour toi ne t'a pas traversé l'esprit. « je lui appartiens plus... » tu fermes doucement les yeux, t'empêchant de soupirer même si t'en as grandement besoin. parce que oui, c'était tout ce que tu voulais entendre. ça te tuait, de savoir le contraire. tu rouvres les yeux au moment où tu le sens s'asseoir à tes côtés, il ne te regarde pas mais toi, tu tournes ton visage dans sa direction. « parce que c'est à toi que j'appartiens, yu. et ça aussi longtemps que tu voudras de moi. » tu souris, discrètement, légèrement, un sourire brisé par toute cette histoire mais qui commence peu à peu à se réparer. ce sourire, maquillant ta mine qui a elle aussi subi cette angoisse dévastatrice. un sourire qui s'efface lorsqu'il tente de reprendre la parole, c'est son regard qui te submerge. « je t'aime et je laisserais jamais personne se mettre entre nous deux. » ce tourbillon d'amour te submerge lui aussi, te fait oublier toutes ces mauvaises choses, tu n'as pas d'autre choix que de te concentrer que sur ce que tu ressens pour lui, que sur ce bien qu'il vient de te faire en prononçant ces mots. parce que oui, c'est la première fois qu'il te l'avoue, toi, tu n'as même pas eu le courage de le faire. et ce n'est pas tant tu es effrayé par tout ça, c'était les conséquences que tu craignais, si cette femme continuait d'être dans sa vie. tu n'as même pas le temps de réagir qu'aussitôt, tadashi vient s'emparer de tes lèvres. tes yeux se ferment doucement, comme si ce geste pouvait te permettre de te focaliser davantage sur ce que tu ressens, sur cet amour qui te maintient en vie. il te dévore les lèvres, il t'embrasse avec tant d'amour qu'il te fait goûter à cette nouvelle sensation. tu n'as jamais ressenti ça auparavant, tu as déjà été amoureux oui, mais là, tu as l'impression qu'il te fait redécouvrir ce sentiment d'une toute autre manière. ta main vient agripper doucement son poignet lorsqu'il dépose sa main sur ta joue, tu lui rends son baiser avec autant d'ardeur, autant d'amour et de désir. ce baiser parvient à te faire sentir plus vivant que jamais et à la fois, te paralyser le corps. un fin gémissement d'amour s'étouffe dans votre baiser, presque inaudible mais pourtant si significatif. tu as juste l'impression d'être libre, libéré d'un poids, tellement que tu suis ses lèvres comme si tu en dépendais. comme si briser ce contact t'en coûterait la vie. et lorsque tes lèvres quittent doucement les siennes, ton visage reste accroché à sa position, toujours près du sien, tes lèvres frôlant les siennes. tu n'ouvres même pas les yeux pendant un court instant, restant silencieux tant ces sentiments te paralysent la gorge, incapable de prononcer le moindre mot, et ça ne s'arrange pas lorsque tu daignes rouvrir les yeux, plantant tes yeux dans les siens. tu te noies dans son regard. tu les baisse alors, fixant ses lèvres, et laissant ton cœur parler. « je t'aime aussi. » lui souffles-tu, un souffle écrasé par tout cet amour et cette émotion, ces sentiments si forts. tu retrouves alors le chemin de ses yeux, glissant ta main encore sur son poignet vers ses doigts, tu te saisies doucement de sa main, le forçant à la nicher dans la tienne que tu déposes sur tes jambes et, doucement, tu recules ton visage. tu ne lâches pas sa main, à aucun moment. « alors dis-moi ce qu'il y a, tada. » lâches-tu, d'une douce voix. parce que oui, tu sais qu'il se passe quelque chose. il n'est pas bien, son regard est éteint, la seule flamme que tu y vois, c'est cet amour que vous venez de partager par ce baiser. tu ne le lâches pas du regard, tes sourcils froncés d'inquiétude. tu pensais que c'était la culpabilité qui le rendait comme ça, mais si ce n'est pas le cas, c'est qu'il se passe quelque chose que tu ignores. « ça ne va pas. je le vois. » tu sais que sa vie est clairement loin d'être facile, mais tu soupçonnes quelque chose. une dispute avec hiro, ces histoires de drogues, sa mère qui va mal ou alors, cette femme, encore une fois. tu exerces une légère pression sur sa main, sans doute pour lui montrer ta présence, le rassurer, parce que pour le moment, tu ne peux pas le rassurer autrement. tu te doutes de quelque chose, mais t'en sais rien.
maybe i'm jealous
ft. tadary ♡
on peut te comprendre, non? tu ne supporterais pas qu'il te file entre les doigts. de perdre ce bonheur auquel tu as goûté sans jamais réellement mettre un quelconque mot là-dessus. mais est-ce le plus important, finalement? sans doute pas. ce que tu ressentais était bien plus fort que tout ça, tu as trouvé grâce à lui une force et le courage de franchir le pas, de faire face à cette dure réalité, prêt à te prendre un coup, pour pouvoir définitivement te relever. devoir être présent pour lui t'aide, toi aussi. tu te fais assez confiance pour ne pas le laisser dans la merde, pour ne pas le laisser souffrir de cette manière. c'est un tadashi tout cassé que tu as récupéré mais tu es prêt à le réparer, bout à bout, quitte à ce que ça prenne du temps. après tout, il te donne toute la force dont tu as besoin pour ça. jamais tu n'aurais imaginé que les choses auraient pu se passer de cette manière et malgré tout ce qu'il peut se passer, tu n'as jamais été aussi heureux. sans doute parce que tadashi comble ce vide que tu avais dans ton coeur, t'apporte ce quelque chose qui t'aidera à t'en sortir toi aussi. tu as l'impression de voir le bout du tunnel, cette lumière de la délivrance qui s'offre à toi mais cette idée s'est vite écroulé lorsque tu l'as vu avec elle. ton monde est tombé à tes pieds, ton petit bonheur n'était que de courte durée. on t'a retiré cette lumière qui te poussait à avancer, cette lumière qui te donnait de la force et ça se voit, tu t'écroules presque. tu lui craches ces mots avec tellement de douleur, parce que tu en souffres yury. tu ne veux pas le perdre une seconde fois, encore moins après tout ça. sans doute parce que tu commences à devenir accroc à ces sentiments, ces sensations que seul lui parvient à t'offrir. ça t'en crève le cœur de devoir lui dire tout ça. parce que tu crains le pire. vous aviez jamais parlé de tout ça, non, tu voulais juste profiter sans te prendre la tête mais c'est différent cette fois. c'est totalement différent. t'as pas peur de devoir faire face à tes sentiments, malgré ce que l'on peut croire. malgré tout ce qui a pu se passer. non, c'est loin d'être ça qui t'effraie, ce qui te fait peur, c'est de pouvoir le perdre, ces sentiments qui sont bien trop forts, bien trop solides pour que tu puisses continuer sans te prendre la tête: tu ne supportes pas de le voir dans ses bras. tu ne supportes pas l'idée de voir le partager. tu ne supportes pas l'idée qu'il ne soit pas officiellement à toi. tout te prouve que vous aviez passé un nouveau cap dans votre relation. alors après l'avoir vu avec elle, tu t'es mis à réfléchir un peu trop, à remuer cette histoire, à t'imaginer des choses et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça ne te ressemble pas. alors pourquoi? sans doute parce que tu as fini par voir dans quel état tu t'étais mis en perdant ton ange gardien, en perdant ta moitié, ta jumelle. le choc a été difficile, tellement que l'idée de perdre un être cher d'une manière ou d'une autre te fait littéralement flipper. et là, on parle de tadashi. de ces moments que vous aviez passé, du garçon que tu aimes mais qui, avant ça, a su être le meilleur des amis alors que toi, tu ne l'as pas été, tu n'étais qu'une pauvre loque après le décès de ta sœur.t'as du mal à prononcer ces mots mais tu le fais, c'est elle ou toi. t'as peur de sa réponse, tu ne sais pas si c'est parce que tu doutes de la réponse qu'il va te donner, après tout ce qu'il a pu te faire comprendre... non, ça ne doit pas être ça, ou peut-être est-ce le fait d’émettre l'idée de pouvoir le perdre? l'imaginer t'en scie les jambes. cette accumulation forme une boule dans ton ventre qui te donnerait presque l'envie de vomir, ou de disparaître pour ne plus avoir à subir cette douloureuse sensation. en tout cas, t'es surpris par sa réaction. tu n'as même pas le temps de réagir, relevant aussitôt les yeux dans sa direction. « c'est toi, ça sera toujours toi ! » il hausse le ton, tu ne le blâmeras pas pour ça. tu ne lui as même pas laisser le temps d'en placer une, tu ne t'en rends juste pas compte. ça devrait te soulager, et c'est le cas, mais le voir dans cet état te tord le cœur. « y'a jamais eu de choix, t'as toujours été le seul choix et ça depuis qu'on s'est embrassés ! » ce que tu ressentais, toutes ces émotions négatives, à commencer par l’angoisse et la peur qui t'ont accompagné ces dernières heures se mélangent à ce sentiment de délivrance. de soulagement. mais surtout d'amour. cependant, tu n'arrives toujours pas à sourire, les sourcils froncés, tentant en vain de vaincre ce tourbillon d'émotions, de t'en remettre. tu trahies ton état par ce regard que tu lui lances. il s'avance vers toi alors que tes yeux se baissent quelque peu, tu ne trouves même pas les mots pour le moment mais de toute façon, tu n'as pas le temps d'ajouter grand chose. « j'ai tout arrêté avec elle, c'est finit elle existe plus. elle est plus rien maintenant. » à nouveau tu le regardes, silencieux, sentant le soulagement prendre le dessus sur ce que tu as pu ressentit auparavant. gagner le combat. sans doute parce qu'il devient plus calme. il a tout arrêté? non, tu ne l'avais pas vu l'embrasser, tu l'avais simplement vu devant chez elle, à ses côtés, tu n'avais pas songé à cette possibilité en réalité. tu as directement pensé au plus logique, tu sais ce qu'il faisait avec elle, l'idée qu'il ait pu tout arrêter pour toi ne t'a pas traversé l'esprit. « je lui appartiens plus... » tu fermes doucement les yeux, t'empêchant de soupirer même si t'en as grandement besoin. parce que oui, c'était tout ce que tu voulais entendre. ça te tuait, de savoir le contraire. tu rouvres les yeux au moment où tu le sens s'asseoir à tes côtés, il ne te regarde pas mais toi, tu tournes ton visage dans sa direction. « parce que c'est à toi que j'appartiens, yu. et ça aussi longtemps que tu voudras de moi. » tu souris, discrètement, légèrement, un sourire brisé par toute cette histoire mais qui commence peu à peu à se réparer. ce sourire, maquillant ta mine qui a elle aussi subi cette angoisse dévastatrice. un sourire qui s'efface lorsqu'il tente de reprendre la parole, c'est son regard qui te submerge. « je t'aime et je laisserais jamais personne se mettre entre nous deux. » ce tourbillon d'amour te submerge lui aussi, te fait oublier toutes ces mauvaises choses, tu n'as pas d'autre choix que de te concentrer que sur ce que tu ressens pour lui, que sur ce bien qu'il vient de te faire en prononçant ces mots. parce que oui, c'est la première fois qu'il te l'avoue, toi, tu n'as même pas eu le courage de le faire. et ce n'est pas tant tu es effrayé par tout ça, c'était les conséquences que tu craignais, si cette femme continuait d'être dans sa vie. tu n'as même pas le temps de réagir qu'aussitôt, tadashi vient s'emparer de tes lèvres. tes yeux se ferment doucement, comme si ce geste pouvait te permettre de te focaliser davantage sur ce que tu ressens, sur cet amour qui te maintient en vie. il te dévore les lèvres, il t'embrasse avec tant d'amour qu'il te fait goûter à cette nouvelle sensation. tu n'as jamais ressenti ça auparavant, tu as déjà été amoureux oui, mais là, tu as l'impression qu'il te fait redécouvrir ce sentiment d'une toute autre manière. ta main vient agripper doucement son poignet lorsqu'il dépose sa main sur ta joue, tu lui rends son baiser avec autant d'ardeur, autant d'amour et de désir. ce baiser parvient à te faire sentir plus vivant que jamais et à la fois, te paralyser le corps. un fin gémissement d'amour s'étouffe dans votre baiser, presque inaudible mais pourtant si significatif. tu as juste l'impression d'être libre, libéré d'un poids, tellement que tu suis ses lèvres comme si tu en dépendais. comme si briser ce contact t'en coûterait la vie. et lorsque tes lèvres quittent doucement les siennes, ton visage reste accroché à sa position, toujours près du sien, tes lèvres frôlant les siennes. tu n'ouvres même pas les yeux pendant un court instant, restant silencieux tant ces sentiments te paralysent la gorge, incapable de prononcer le moindre mot, et ça ne s'arrange pas lorsque tu daignes rouvrir les yeux, plantant tes yeux dans les siens. tu te noies dans son regard. tu les baisse alors, fixant ses lèvres, et laissant ton cœur parler. « je t'aime aussi. » lui souffles-tu, un souffle écrasé par tout cet amour et cette émotion, ces sentiments si forts. tu retrouves alors le chemin de ses yeux, glissant ta main encore sur son poignet vers ses doigts, tu te saisies doucement de sa main, le forçant à la nicher dans la tienne que tu déposes sur tes jambes et, doucement, tu recules ton visage. tu ne lâches pas sa main, à aucun moment. « alors dis-moi ce qu'il y a, tada. » lâches-tu, d'une douce voix. parce que oui, tu sais qu'il se passe quelque chose. il n'est pas bien, son regard est éteint, la seule flamme que tu y vois, c'est cet amour que vous venez de partager par ce baiser. tu ne le lâches pas du regard, tes sourcils froncés d'inquiétude. tu pensais que c'était la culpabilité qui le rendait comme ça, mais si ce n'est pas le cas, c'est qu'il se passe quelque chose que tu ignores. « ça ne va pas. je le vois. » tu sais que sa vie est clairement loin d'être facile, mais tu soupçonnes quelque chose. une dispute avec hiro, ces histoires de drogues, sa mère qui va mal ou alors, cette femme, encore une fois. tu exerces une légère pression sur sa main, sans doute pour lui montrer ta présence, le rassurer, parce que pour le moment, tu ne peux pas le rassurer autrement. tu te doutes de quelque chose, mais t'en sais rien.
(c) DΛNDELION
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Re: maybe i'm jealous [tadary ♡] | Mar 10 Avr - 16:30
yury était revenu dans ta vie comme une tornade balayant tout sur son passage. il avait bousculer ta vie la rendant plus belle, plus joyeuse. tes sentiments eux aussi avaient été chamboulé dans le processus. sans s'en rendre compte, il avait su t'ouvrir les yeux. grâce à lui, tu avais pris conscience du désastre qu'était ta vie et à quelle point tu plongeais dans les abysses. il avait été comme une piqûre de rappel, un électrochoc. inconsciemment, il avait su apporter de la lumière dans les ténèbres. il était la lueur d'espoir dont tu avais besoin. aujourd'hui, tu en étais certain, yury t'avais sauvé la vie. sans lui tu n'aurais jamais prit conscience des dégâts. tu aurais finit par tomber plus profond jusqu'au point de non retour. alors il était évident que c'était tout cet amour que tu lui portais qui avait été l'électrochoc, la sensation avait été si agréable jusqu'ici que tu ne voulais plus que ça. c'était comme une nouvelle drogue à laquelle tu étais devenu complètement accro. tu étais devenu accro à yury au même titre que tu étais accro à l'héroïne sauf que les effets de l'héroïne ne pouvaient rivaliser avec le bonheur qu'il te procurait à chaque fois que vous étiez ensemble. c'était plus intense et fort que n'importe quelle drogue. tu ne trouvais pas les mots pour exprimer ce que tu ressentais sûrement parce qu'aucun mot n'était assez fort pour le faire. et pour rien au monde, tu ne laisserais tout ça t'échapper. pour lui, tu étais prêt à sacrifier beaucoup y comprit les seuls sources financière assez importante pour nourrir ta famille. tu étais prêt à tout abandonner pour lui parce que si tu venais à le perdre, rien ne serait assez fort pour combler le manque. aucune drogue ne serait assez forte pour te faire oublier ne serait-ce qu'un instant le vide de son absence. alors oui, yury méritait tous les sacrifices aussi durs soient-ils. arrêter de fréquenter cette femme avait été un sacrifice, non pas parce que tu tenais à elle mais parce qu'elle offrait à ta famille un moyen de survis grâce à son argent mais est-ce que son fric était plus important que yury ? non, ce n'était rien et à aucun moment, tu ne regrettais ton choix. et il ne fallut pas longtemps pour que tu le révèle à yury. il devait savoir ce que tu ressentais, il devait comprendre que tu lui appartenais, que tu étais à lui et à personne d'autre. tu ne trouvais pas les mots assez justes pour lui dire tout ce que tu ressentais vraiment. alors tu as préféré les gestes. un baiser chargé d'intensité et de douceur. il exprimait à merveille ce que tu ressentais à cet instant : un amour intense et doux à la fois. une force se dégage de cette échange et tu la ressent traverser ton corps. sensation agréable, tellement agréable que tu voudrais qu'elle dure une éternité. pourtant vos lèvres s'éloignent, tu sens son souffle les chatouiller. il te faut quelques secondes pour rouvrir les yeux pour planter ton regard dans celui de yury. « je t'aime aussi. » ses mots sont inaudibles, un chuchotement agréable et qui te fait, subitement, sourire. tu n'as jamais douté de son amour, tu sais qu'il était réciproque mais entendre ses mots provoque en toi un frisson. vos mains se rencontrent et tu baisse timidement la tête. tu voulais profiter de cet instant, te laisser transporter par les émotions qui te traverse mais quelque chose t'en empêchait : la colère de t'être fait traité comme une sous merde, la frustration de ne pas avoir pu lui répondre ce que tu pensais et la sensation de n'être au fond que ce qu'elle a pu te balancer à la gueule. « alors dis-moi ce qu'il y a, tada. » il le sentait, il savait que tu n'étais pas là à 100%, il sentait que ça n'allait pas. comment lui dire tout ça ? comment exprimer tout le mal être qui te bouffait les tripes ? « ça ne va pas. je le vois. » non, ça n'allait pas. malgré sa présence, tu ne pouvais oublier ses mots à elle, sa violence et son indifférence soudaine. elle avait montrée son vrai visage, elle avait été odieuse et tout ça n'avait fait que secouer tes émotions. depuis que tu avais quitté sa villa, ses mots ne t'avaient pas quittés de la journée, tu avais eu le temps de les tournés dans tous les sens et à force, ils avaient su te donner la gerbe. cette femme avait été nocive jusqu'au bout. « non, ça ne va pas... » dis-tu doucement, relevant la tête vers lui. yury était là à tes côtés et ça te donnait une force incroyable. « elle m'a traité comme une merde, elle m'a dit que je pourrais jamais m'en sortir sans elle, que ma famille allait finir à la rue à cause de moi. » la rage bouillonnait dans ton ventre, elle avait su frapper là où ça faisait mal. cette femme avait bien comprit tes points faibles et elle savait les utilisés contre toi. jamais dans ta vie, tu n'avais détester autant quelqu'un. « elle m'a insulté de tous les noms, de sale drogué, de bon à rien... » tu baisses les yeux, les larmes de rage te montent aux yeux. si seulement tu avais pu lui renvoyé toutes les saloperies qu'elle a pu te dire. si seulement elle pouvait souffrir autant que tu souffres. elle a su semer le doute dans tes pensées, elle a trouvé le moyen de te faire perdre confiance en toi. d'un revers de la main, tu viens essuyer les quelques larmes qui se sont échappées avant de relever ton regard vers lui. « elle a trouvé mes faiblesses et elle les a utilisées contre moi. » tu serres les dents dû à la colère, tu voulais te calmer, ne pas te rendre dans des états pareils pour cette femme mais ça bouillonnait en toi. elle t'avait blessé, écorché vif sans que tu n'es rien pu faire. elle aurait mérité que tu lui réponde avec autant de violence mais ce qu'elle cherchait. tu n'aurais fais que lui donné raison. « je la hais. » souffle-tu les dents serrés alors qu'une nouvelle fois, des larmes s'échappent. tu te sens complètement impuissant face à ce que tu vis, incapable de gérer cette colère soudaine. une nouvelle fois, tu baisse la tête pour ne pas avoir à regarder yury. après quelques secondes, alors que tu sens ta colère bousculer tout le reste, tu prends la parole : « prends moi dans tes bras, yu. » tu le supplies de le faire, tu as besoin de ça. il faut qu'il étouffe cette rage, qu'il te fasse prisonnier de ses bras, que tu n'es pas d'autre choix que d'accepter son attention.
maybe i'm jealous
ft. tadary ♡
yury était revenu dans ta vie comme une tornade balayant tout sur son passage. il avait bousculer ta vie la rendant plus belle, plus joyeuse. tes sentiments eux aussi avaient été chamboulé dans le processus. sans s'en rendre compte, il avait su t'ouvrir les yeux. grâce à lui, tu avais pris conscience du désastre qu'était ta vie et à quelle point tu plongeais dans les abysses. il avait été comme une piqûre de rappel, un électrochoc. inconsciemment, il avait su apporter de la lumière dans les ténèbres. il était la lueur d'espoir dont tu avais besoin. aujourd'hui, tu en étais certain, yury t'avais sauvé la vie. sans lui tu n'aurais jamais prit conscience des dégâts. tu aurais finit par tomber plus profond jusqu'au point de non retour. alors il était évident que c'était tout cet amour que tu lui portais qui avait été l'électrochoc, la sensation avait été si agréable jusqu'ici que tu ne voulais plus que ça. c'était comme une nouvelle drogue à laquelle tu étais devenu complètement accro. tu étais devenu accro à yury au même titre que tu étais accro à l'héroïne sauf que les effets de l'héroïne ne pouvaient rivaliser avec le bonheur qu'il te procurait à chaque fois que vous étiez ensemble. c'était plus intense et fort que n'importe quelle drogue. tu ne trouvais pas les mots pour exprimer ce que tu ressentais sûrement parce qu'aucun mot n'était assez fort pour le faire. et pour rien au monde, tu ne laisserais tout ça t'échapper. pour lui, tu étais prêt à sacrifier beaucoup y comprit les seuls sources financière assez importante pour nourrir ta famille. tu étais prêt à tout abandonner pour lui parce que si tu venais à le perdre, rien ne serait assez fort pour combler le manque. aucune drogue ne serait assez forte pour te faire oublier ne serait-ce qu'un instant le vide de son absence. alors oui, yury méritait tous les sacrifices aussi durs soient-ils. arrêter de fréquenter cette femme avait été un sacrifice, non pas parce que tu tenais à elle mais parce qu'elle offrait à ta famille un moyen de survis grâce à son argent mais est-ce que son fric était plus important que yury ? non, ce n'était rien et à aucun moment, tu ne regrettais ton choix. et il ne fallut pas longtemps pour que tu le révèle à yury. il devait savoir ce que tu ressentais, il devait comprendre que tu lui appartenais, que tu étais à lui et à personne d'autre. tu ne trouvais pas les mots assez justes pour lui dire tout ce que tu ressentais vraiment. alors tu as préféré les gestes. un baiser chargé d'intensité et de douceur. il exprimait à merveille ce que tu ressentais à cet instant : un amour intense et doux à la fois. une force se dégage de cette échange et tu la ressent traverser ton corps. sensation agréable, tellement agréable que tu voudrais qu'elle dure une éternité. pourtant vos lèvres s'éloignent, tu sens son souffle les chatouiller. il te faut quelques secondes pour rouvrir les yeux pour planter ton regard dans celui de yury. « je t'aime aussi. » ses mots sont inaudibles, un chuchotement agréable et qui te fait, subitement, sourire. tu n'as jamais douté de son amour, tu sais qu'il était réciproque mais entendre ses mots provoque en toi un frisson. vos mains se rencontrent et tu baisse timidement la tête. tu voulais profiter de cet instant, te laisser transporter par les émotions qui te traverse mais quelque chose t'en empêchait : la colère de t'être fait traité comme une sous merde, la frustration de ne pas avoir pu lui répondre ce que tu pensais et la sensation de n'être au fond que ce qu'elle a pu te balancer à la gueule. « alors dis-moi ce qu'il y a, tada. » il le sentait, il savait que tu n'étais pas là à 100%, il sentait que ça n'allait pas. comment lui dire tout ça ? comment exprimer tout le mal être qui te bouffait les tripes ? « ça ne va pas. je le vois. » non, ça n'allait pas. malgré sa présence, tu ne pouvais oublier ses mots à elle, sa violence et son indifférence soudaine. elle avait montrée son vrai visage, elle avait été odieuse et tout ça n'avait fait que secouer tes émotions. depuis que tu avais quitté sa villa, ses mots ne t'avaient pas quittés de la journée, tu avais eu le temps de les tournés dans tous les sens et à force, ils avaient su te donner la gerbe. cette femme avait été nocive jusqu'au bout. « non, ça ne va pas... » dis-tu doucement, relevant la tête vers lui. yury était là à tes côtés et ça te donnait une force incroyable. « elle m'a traité comme une merde, elle m'a dit que je pourrais jamais m'en sortir sans elle, que ma famille allait finir à la rue à cause de moi. » la rage bouillonnait dans ton ventre, elle avait su frapper là où ça faisait mal. cette femme avait bien comprit tes points faibles et elle savait les utilisés contre toi. jamais dans ta vie, tu n'avais détester autant quelqu'un. « elle m'a insulté de tous les noms, de sale drogué, de bon à rien... » tu baisses les yeux, les larmes de rage te montent aux yeux. si seulement tu avais pu lui renvoyé toutes les saloperies qu'elle a pu te dire. si seulement elle pouvait souffrir autant que tu souffres. elle a su semer le doute dans tes pensées, elle a trouvé le moyen de te faire perdre confiance en toi. d'un revers de la main, tu viens essuyer les quelques larmes qui se sont échappées avant de relever ton regard vers lui. « elle a trouvé mes faiblesses et elle les a utilisées contre moi. » tu serres les dents dû à la colère, tu voulais te calmer, ne pas te rendre dans des états pareils pour cette femme mais ça bouillonnait en toi. elle t'avait blessé, écorché vif sans que tu n'es rien pu faire. elle aurait mérité que tu lui réponde avec autant de violence mais ce qu'elle cherchait. tu n'aurais fais que lui donné raison. « je la hais. » souffle-tu les dents serrés alors qu'une nouvelle fois, des larmes s'échappent. tu te sens complètement impuissant face à ce que tu vis, incapable de gérer cette colère soudaine. une nouvelle fois, tu baisse la tête pour ne pas avoir à regarder yury. après quelques secondes, alors que tu sens ta colère bousculer tout le reste, tu prends la parole : « prends moi dans tes bras, yu. » tu le supplies de le faire, tu as besoin de ça. il faut qu'il étouffe cette rage, qu'il te fasse prisonnier de ses bras, que tu n'es pas d'autre choix que d'accepter son attention.(c) DΛNDELION
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Re: maybe i'm jealous [tadary ♡] | Dim 15 Avr - 18:40
tu te laisses transporter par ces émotions, par ces sentiments si fort soient-ils que tu ressens à travers ce doux baiser. il est à la fois doux mais ardent, rempli d'amour. c'est simple, cela fait bien trop longtemps qu'on ne t'a plus embrassé comme ça. pourrais-tu même dire qu'il est la première personne à le faire ? sans doute. il prend tes lèvres en otage mais aussi ton coeur, il vous enveloppe tous les deux dans cet amour profond et puissant. alors quand vos lèvres se séparent enfin, c'est comme une libération de souffler ces quelques mots. tu l'aimes, t'as besoin de lui. votre relation n'a plus rien de ce qu'elle était, c'est aussi beau que étonnant. vous qui n'étiez que des meilleurs amis à l'époque, il était ton beau-frère mais tu ne l'as jamais vraiment considéré comme tel. il était plus, il était ton meilleur ami, et ce sont sans doute ces nombreuses années loin de lui qui ont provoqués tout ça, ce renouveau. il t'a terriblement manqué, oui, à tel point que retrouver cette relation platonique ne suffisait même plus. vous êtes liés, vous l'avez toujours été mais cette fois-ci, d'une manière beaucoup plus forte. tellement que oui, tu vois bien qu'il y a quelque chose, quelque chose d'assez important, quelque chose d'autre, quelque chose qui l'aurait détruit. tu le vois dans ce regard qu'il te lance, il a beau être amoureux, il est surtout éteint. terrible vue pour toi qui ne supporte pas l'idée de voir un tadashi au plus mal, pas devant toi, tu ne resteras jamais impuissant puisque de toute évidence, tu ferais tout ce qui est en ton pouvoir pour ne serait-ce voir qu'un mince sourire sur son visage. tu ne supportes pas de le voir comme ça et de toute évidence, tu fais bien de t'inquiéter, puisque après t'avoir confirmé ce que tu avais déjà remarqué, il reprend la parole: « elle m'a traité comme une merde, elle m'a dit que je pourrais jamais m'en sortir sans elle, que ma famille allait finir à la rue à cause de moi. » c'était elle, c'était forcément elle. tes sourcils se froncent de tristesse, ça te fait du mal, comme si ces mots t'étaient adressés. tu ressens sa peine, et ça te déchire. tu n'oses même pas imaginer à quel point elle a pu être odieuse avec lui. lui qui ne mérite déjà pas tout ce qu'il lui arrive, lui qui passe sa vie à la subir. tu restes silencieux, ne le quittant pas du regard comme si tu voulais qui y voit ton soutien. tu resserres tes doigts dans sa main, te montrant ainsi davantage présent. « elle m'a insulté de tous les noms, de sale drogué, de bon à rien... » il baisse le visage et aussitôt, ta main quitte la sienne pour venir se déposer dans son cou. ton pouce sur sa joue, tu viens lui ôter cette larme qui coule. tu aurais pu t'énerver contre elle, tu aurais pu laisser cette haine parler mais ce n'est pas toi. là ce n'est pas le plus important, tada va mal, c'est ça qu'il faut retenir. tu seras là pour lui, tu le seras toujours, cette femme l'a détruit jusqu'à la dernière seconde. elle n'a pas supporté qu'il mette à terme à leur « relation » alors elle lui a balancé toutes ces saletés, une sorte de vengeance parce que même si tu ignores certainement beaucoup de choses, tu n'as pas besoin d'en savoir plus pour savoir que cette femme ne voulait que son corps, son image. les ressentis et les maux de tada, elle n'en avait rien à faire. mais toi, t'es là pour ça, aussi pour réparer les conneries qu'elle a pu dire. ce n'est pas de ta faute non, mais toi ce qui t'importe, c'est son bien-être. « elle a trouvé mes faiblesses et elle les a utilisées contre moi. » continue t-il, relevant le regard vers toi. tu as ce réflexe de caresser une nouvelle fois sa joue de ton pouce. sans doute parce que tu sens qu'il commence à s'énerver, ses dents se serrent, ton coeur aussi. évidemment qu'elle a fait ça, elle n'a pas de pitié, pas de cœur, tadashi... elle s'en fiche pas mal. elle a voulu sauver sa dignité, en faisant regretter ce geste à tada mais qu'est-ce qu'elle croyait? qu'elle allait pouvoir le considérer comme son jouet encore longtemps? soyons honnête, cette femme doit exister qu'à travers son argent et rien de plus, mais son argent ne lui donne pas le droit de briser tada. « je la hais. » discrètement et sans même t'en rendre réellement compte, tu hoches la tête de gauche à droite. non, qu'il ne le fasse pas. son état s'empire, il est de plus en plus mal, en colère. tu le laisses tout de même parler parce qu'il a sans doute besoin de le dire, il te dit tout ça à toi, oui, mais tu seras sûrement la seule personne à qui il s'ouvrira en racontant tout ça, alors si ça peut lui permettre d'extérioriser avant que tu te charges de l'aider, tu le laisses. ton coeur se serre à nouveau, tu tentes de le cacher et tu penses y parvenir. cette vague de douleur te fait tout de même froncer les sourcils, tu aimerais le soulager de tous ces maux et tu feras ton maximum pour ça, mais ça te déchire de le voir dans un tel état. « prends moi dans tes bras, yu. » c'était ce que tu comptais faire, mais le fait qu'il te le dise confirme bien qu'il en a belle et bien besoin. alors sans plus attendre, tes mains glissent dans sa nuque, tu viens coller ton corps contre le sien, le serrant tendrement contre toi. tu cherches à être le plus rassurant possible, après quelques secondes, tu reprends finalement la parole. « elle ne mérite plus ton attention, même pas que tu la haïsses. » tu comprends qu'il soit mal, tu aurais sans doute été dans le même état à sa place mais tu cherches à l'aider. le rassurer aussi. « tu l'as dit toi-même, elle n'est plus rien. » tu le gardes toujours dans tes bras, resserrant quelque peu ton emprise sur lui. « elle n'a jamais été personne. » il ne jouait que les gigolos pour elle. « elle n'est personne. ne la laisse plus t'atteindre. c'est fini. » encore une fois, c'est plus facile à dire qu'à faire mais c'est de cette manière qu'il avancera. tu répètes ces derniers mots comme pour qu'il le comprenne bien: c'est terminé. cette femme, cet enfer, c'est derrière lui tout ça. il a de gros problèmes tadashi, il vient de s'en débarrasser d'un énorme. tu te recules quelque peu, uniquement pour planter ton visage face au sien, plonger ton regard dans ses yeux. ton corps lui, se fait toujours aussi proche, t'as pas envie de briser cette distance entre vous. il a besoin que tu sois près de lui, tu le seras par tous les moyens. « elle te connaît pas. moi je te connais. » tes mains viennent se poser de part et d'autre de son visage. « et depuis longtemps. » ton regard se baisse sur ses lèvres pendant un courte seconde avant de le regarder à nouveau. oui, toi tu le connais, il n'est rien de tout ça. toutes ces méchancetés qu'elle a pu lui balancer. ça te tue qu'elle ait pu lui balancé tout ça, des conneries pareilles, mais c'est loin d'être la vérité. « tu vas très bien t'en sortir sans elle. même beaucoup mieux. on est tous là pour toi. » toi, sa famille, ses proches sont là. et vous, vous n'allez pas lui faire de mal comme elle a pu lui faire. « ta famille ne se retrouvera pas à la rue. » dis-tu, d'un ton qui se veut confiant. tu veux qu'il comprenne que tu es sûr de toi, qu'il te fasse confiance pour ça. « tout ira mieux maintenant, tu vas commencer à t'en sortir. » et doucement, tu viens déposer un tendre baiser sur ses lèvres. non langoureux. juste un baiser tendre, avant d'à nouveau passer tes bras autour de lui, le reprendre dans tes bras, et le serrer davantage. ce n'est pas des petits problèmes, et on pourrait croire que tu t'avances un peu trop en lui disant ça mais tu le penses: ça ira mieux. tada va s'en sortir, parce qu'en plus, il n'est pas seul. il ne l'a jamais été. tu fermes doucement les yeux, comme si ce geste t'aidait à apprécier davantage ce contact qui se veut apaisant. « je suis fier de toi. » lui souffles-tu, parce qu'il en fallait du courage pour tout arrêter. pour supporter ses propos et sans doute qu'il a besoin de l'entendre. « de toi et de la personne que tu es. t'as été courageux. » plus que tu ne l'aurais jamais été. comment a t-elle pu lui dire toutes ces choses? quoi qu'il en soit, tu feras barrage à tout ça. tu t'en fais la promesse. pour lui, pour tadashi.
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ft. tadary ♡
tu te laisses transporter par ces émotions, par ces sentiments si fort soient-ils que tu ressens à travers ce doux baiser. il est à la fois doux mais ardent, rempli d'amour. c'est simple, cela fait bien trop longtemps qu'on ne t'a plus embrassé comme ça. pourrais-tu même dire qu'il est la première personne à le faire ? sans doute. il prend tes lèvres en otage mais aussi ton coeur, il vous enveloppe tous les deux dans cet amour profond et puissant. alors quand vos lèvres se séparent enfin, c'est comme une libération de souffler ces quelques mots. tu l'aimes, t'as besoin de lui. votre relation n'a plus rien de ce qu'elle était, c'est aussi beau que étonnant. vous qui n'étiez que des meilleurs amis à l'époque, il était ton beau-frère mais tu ne l'as jamais vraiment considéré comme tel. il était plus, il était ton meilleur ami, et ce sont sans doute ces nombreuses années loin de lui qui ont provoqués tout ça, ce renouveau. il t'a terriblement manqué, oui, à tel point que retrouver cette relation platonique ne suffisait même plus. vous êtes liés, vous l'avez toujours été mais cette fois-ci, d'une manière beaucoup plus forte. tellement que oui, tu vois bien qu'il y a quelque chose, quelque chose d'assez important, quelque chose d'autre, quelque chose qui l'aurait détruit. tu le vois dans ce regard qu'il te lance, il a beau être amoureux, il est surtout éteint. terrible vue pour toi qui ne supporte pas l'idée de voir un tadashi au plus mal, pas devant toi, tu ne resteras jamais impuissant puisque de toute évidence, tu ferais tout ce qui est en ton pouvoir pour ne serait-ce voir qu'un mince sourire sur son visage. tu ne supportes pas de le voir comme ça et de toute évidence, tu fais bien de t'inquiéter, puisque après t'avoir confirmé ce que tu avais déjà remarqué, il reprend la parole: « elle m'a traité comme une merde, elle m'a dit que je pourrais jamais m'en sortir sans elle, que ma famille allait finir à la rue à cause de moi. » c'était elle, c'était forcément elle. tes sourcils se froncent de tristesse, ça te fait du mal, comme si ces mots t'étaient adressés. tu ressens sa peine, et ça te déchire. tu n'oses même pas imaginer à quel point elle a pu être odieuse avec lui. lui qui ne mérite déjà pas tout ce qu'il lui arrive, lui qui passe sa vie à la subir. tu restes silencieux, ne le quittant pas du regard comme si tu voulais qui y voit ton soutien. tu resserres tes doigts dans sa main, te montrant ainsi davantage présent. « elle m'a insulté de tous les noms, de sale drogué, de bon à rien... » il baisse le visage et aussitôt, ta main quitte la sienne pour venir se déposer dans son cou. ton pouce sur sa joue, tu viens lui ôter cette larme qui coule. tu aurais pu t'énerver contre elle, tu aurais pu laisser cette haine parler mais ce n'est pas toi. là ce n'est pas le plus important, tada va mal, c'est ça qu'il faut retenir. tu seras là pour lui, tu le seras toujours, cette femme l'a détruit jusqu'à la dernière seconde. elle n'a pas supporté qu'il mette à terme à leur « relation » alors elle lui a balancé toutes ces saletés, une sorte de vengeance parce que même si tu ignores certainement beaucoup de choses, tu n'as pas besoin d'en savoir plus pour savoir que cette femme ne voulait que son corps, son image. les ressentis et les maux de tada, elle n'en avait rien à faire. mais toi, t'es là pour ça, aussi pour réparer les conneries qu'elle a pu dire. ce n'est pas de ta faute non, mais toi ce qui t'importe, c'est son bien-être. « elle a trouvé mes faiblesses et elle les a utilisées contre moi. » continue t-il, relevant le regard vers toi. tu as ce réflexe de caresser une nouvelle fois sa joue de ton pouce. sans doute parce que tu sens qu'il commence à s'énerver, ses dents se serrent, ton coeur aussi. évidemment qu'elle a fait ça, elle n'a pas de pitié, pas de cœur, tadashi... elle s'en fiche pas mal. elle a voulu sauver sa dignité, en faisant regretter ce geste à tada mais qu'est-ce qu'elle croyait? qu'elle allait pouvoir le considérer comme son jouet encore longtemps? soyons honnête, cette femme doit exister qu'à travers son argent et rien de plus, mais son argent ne lui donne pas le droit de briser tada. « je la hais. » discrètement et sans même t'en rendre réellement compte, tu hoches la tête de gauche à droite. non, qu'il ne le fasse pas. son état s'empire, il est de plus en plus mal, en colère. tu le laisses tout de même parler parce qu'il a sans doute besoin de le dire, il te dit tout ça à toi, oui, mais tu seras sûrement la seule personne à qui il s'ouvrira en racontant tout ça, alors si ça peut lui permettre d'extérioriser avant que tu te charges de l'aider, tu le laisses. ton coeur se serre à nouveau, tu tentes de le cacher et tu penses y parvenir. cette vague de douleur te fait tout de même froncer les sourcils, tu aimerais le soulager de tous ces maux et tu feras ton maximum pour ça, mais ça te déchire de le voir dans un tel état. « prends moi dans tes bras, yu. » c'était ce que tu comptais faire, mais le fait qu'il te le dise confirme bien qu'il en a belle et bien besoin. alors sans plus attendre, tes mains glissent dans sa nuque, tu viens coller ton corps contre le sien, le serrant tendrement contre toi. tu cherches à être le plus rassurant possible, après quelques secondes, tu reprends finalement la parole. « elle ne mérite plus ton attention, même pas que tu la haïsses. » tu comprends qu'il soit mal, tu aurais sans doute été dans le même état à sa place mais tu cherches à l'aider. le rassurer aussi. « tu l'as dit toi-même, elle n'est plus rien. » tu le gardes toujours dans tes bras, resserrant quelque peu ton emprise sur lui. « elle n'a jamais été personne. » il ne jouait que les gigolos pour elle. « elle n'est personne. ne la laisse plus t'atteindre. c'est fini. » encore une fois, c'est plus facile à dire qu'à faire mais c'est de cette manière qu'il avancera. tu répètes ces derniers mots comme pour qu'il le comprenne bien: c'est terminé. cette femme, cet enfer, c'est derrière lui tout ça. il a de gros problèmes tadashi, il vient de s'en débarrasser d'un énorme. tu te recules quelque peu, uniquement pour planter ton visage face au sien, plonger ton regard dans ses yeux. ton corps lui, se fait toujours aussi proche, t'as pas envie de briser cette distance entre vous. il a besoin que tu sois près de lui, tu le seras par tous les moyens. « elle te connaît pas. moi je te connais. » tes mains viennent se poser de part et d'autre de son visage. « et depuis longtemps. » ton regard se baisse sur ses lèvres pendant un courte seconde avant de le regarder à nouveau. oui, toi tu le connais, il n'est rien de tout ça. toutes ces méchancetés qu'elle a pu lui balancer. ça te tue qu'elle ait pu lui balancé tout ça, des conneries pareilles, mais c'est loin d'être la vérité. « tu vas très bien t'en sortir sans elle. même beaucoup mieux. on est tous là pour toi. » toi, sa famille, ses proches sont là. et vous, vous n'allez pas lui faire de mal comme elle a pu lui faire. « ta famille ne se retrouvera pas à la rue. » dis-tu, d'un ton qui se veut confiant. tu veux qu'il comprenne que tu es sûr de toi, qu'il te fasse confiance pour ça. « tout ira mieux maintenant, tu vas commencer à t'en sortir. » et doucement, tu viens déposer un tendre baiser sur ses lèvres. non langoureux. juste un baiser tendre, avant d'à nouveau passer tes bras autour de lui, le reprendre dans tes bras, et le serrer davantage. ce n'est pas des petits problèmes, et on pourrait croire que tu t'avances un peu trop en lui disant ça mais tu le penses: ça ira mieux. tada va s'en sortir, parce qu'en plus, il n'est pas seul. il ne l'a jamais été. tu fermes doucement les yeux, comme si ce geste t'aidait à apprécier davantage ce contact qui se veut apaisant. « je suis fier de toi. » lui souffles-tu, parce qu'il en fallait du courage pour tout arrêter. pour supporter ses propos et sans doute qu'il a besoin de l'entendre. « de toi et de la personne que tu es. t'as été courageux. » plus que tu ne l'aurais jamais été. comment a t-elle pu lui dire toutes ces choses? quoi qu'il en soit, tu feras barrage à tout ça. tu t'en fais la promesse. pour lui, pour tadashi.(c) DΛNDELION
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Re: maybe i'm jealous [tadary ♡] | Sam 28 Avr - 23:54
tu la détestais, elle et tout ce qu'elle t'avais fait subir. des mois à coucher avec elle, à subir ses exigences, à n'être que son putain d'esclave sexuel. elle a su te briser, faire de toi tout ce que tu n'es pas. elle a réussit à te foutre à genoux. c'est ça que tu fous la haine, ça te colle la rage aux tripes et tu voudrais qu'elle souffre autant qu'elle a pu te faire souffrir. t'en as passé des soirées à rentré chez toi avec l'envie de gerber tellement tu supportais plus de la toucher. comment t'as pu passé tant de temps sans t'en rendre compte ? c'était devenu une sale habitude, une tâche dégueulasse, le genre de truc qu'on se force à faire parce qu'on a pas le choix et qui finit par devenir un cercle vicieux. t'avais mis le doigt dans l’engrenage, c'était trop tard. cette femme était l'équivalent d'un serpent, elle te chope à la cuisse et t'étouffe jusqu'à ce que t'en crève. sauf que toi, t'as eu le temps de réagir avant. elle a peut-être pu te mordre mais elle n'a pas réussit à t'étouffer. tu t'es extirpé de son emprise juste à temps. ça te soulage ouais, mais la rage est toujours là. elle te brûle l'estomac. tu pardonneras jamais à cette femme d'avoir abusé de toi comme ça, tu la haïras probablement jusqu'à ton dernier souffle. pourtant t'en voulais plus de cette haine, tu voulais plus rien ressentir en pensant à elle, tu voulais même plus penser à elle. tu voulais juste qu'elle devienne un souvenir trop lointain, qu'elle tombe dans les méandre de ta mémoire, qu'elle tombe dans l'oublie. pour ça, il fallait que tu décharge de cette colère, que tu calme la tempête qui anime ton être et pour ça, quoi de mieux que l'amour ? tu le savais bien, yury pouvait apaiser tout ça, il pouvait asphyxier ta colère ne serais-ce pour que tu aille mieux. alors après ce baiser intensément fort et après lui avoir tout dit, tu le suppliait de t'enlacer, d'étouffer cette rage grandissante de ses bras. sa réaction ne se fait pas attendre, ses bras s'enroulent autour de toi et tu te d'un coup plus libre. la rage qui paralyse tes bras s'estompe petit à petit, ton corps alors si fermé s'ouvre à la présence de yury et tes mains viennent se coller contre ses côtes. tu n'avais jamais autant eu besoin d'un contact physique que maintenant. le calme de yury était si apaisant que tu sentais comme une vague de chaleur qui te donnait l'impression d'être entier et d'être plus vivant que jamais. à leur tour, tes bras s'enroulent doucement autour de son corps que tu serres un peu plus fort contre toi. fermant les yeux quelques instants, tu écoutais les battements de son cœur qui provoquaient une mélodie douce à tes oreilles. tu te focalisais dessus pour laisser ton corps se détendre. dans le silence soudain de la pièce, tu n'entendais plus que lui. et puis, yury reprend la parole : « elle ne mérite plus ton attention, même pas que tu la haïsses. » tu fermais les yeux pour l'écouter parler, ses paroles se mêlaient au tempo de son cœur qui battait à une allure régulière. sa voix était douce et tu sentais bien qu'elle avait le pouvoir de calmer ta colère alors tu l'écoutais avec attention. « elle n'est personne. ne la laisse plus t'atteindre. c'est fini. » il avait raison, cette femme n'était plus rien et elle devait le rester. elle n'avait pas d'importance à tes yeux et la haïr ne ferait que lui accorder une importance qu'elle ne méritait pas. les choses semblaient si faciles à faire quand il le disait. ce n'était pourtant pas le cas, cette colère qui s'apaise ne disparaîtra pas comme ça. il en faudra un peu plus pour que cette colère s'évapore. mais voilà, quand tu te retrouvais dans les bras de yury, tout semblait surmontable, il te donnait une force insoupçonnable et tu te laissais guider par ses sentiments intenses qu'il provoquait en toi. tes bras se serrent un peu plus fort contre lui comme pour le coller un peu plus fort contre toi le temps de quelques secondes avant qu'il rompe le contact pour venir placer ses mains de chaque côtés de ton visage. « elle te connaît pas. moi je te connais. et depuis longtemps. » tu souris doucement, cs mots te touchent et te font te sentir bien mieux. il te connaît oui, à tel point qu'il sait exactement ce que tu veux entendre et ce qui saura provoquer quelque chose de positif en toi. tu lui fais confiance, plus qu'à elle qui ne connaît, en effet, rien de toi. si elle a bien comprit les motivations qui te poussaient à être avec elle, elle n'a rien comprit de qui tu étais vraiment au fond. tandis que lui, il le sait, mieux que n'importe qui d'autre. « ta famille ne se retrouvera pas à la rue. » tu baisses les yeux quelques instants... tu l'espère vraiment. bon nombre de vos dettes ont pu être payés grâce à l'argent de cette femme, maintenant que tu n'as plus rien tu redoute de voir ta famille s'effondrer un peu plus... tu relèves les yeux sentant ses lèvres se collées une nouvelle fois aux tiennes avant qu'il te prenne une nouvelle fois dans tes bras. à nouveau tu t'attachais à lui comme si ta vie en dépendait. c'était dans ses bras que tu te sentais le plus fort. « je suis fier de toi. de toi et de la personne que tu es. t'as été courageux. » ses mots ravivaient cette force qu'il te donnait un peu plus chaque jours. oui, tu avais été courageux mais l'aurais-tu été s'il n'avait pas été là ? t'en serais-tu réellement sorti sans son aide ? si la réponse existait quelque part, tu ne voulais pas la connaître, tu ne voulais en rien t'imaginer ta vie sans lui à présent. « c'est grâce à toi, yu, c'est toi qui me rend plus fort. » lâche-tu dans un soupir alors que tu le colle un peu plus contre toi pour marqué ce besoin constant de l'avoir auprès de toi. tes mots étaient sincères, tu le sentais bien. ta vie avait radicalement changé depuis qu'il en faisait de nouveau partie. « je me sentirais plus jamais seul si t'es avec moi. » tu ressentais le besoin d'exprimer ça, de lui montrer de la gratitude pour tout ce qu'il faisait pour toi sans s'en rendre compte. « merci... » ta voix se tord sous le poids de l'émotion. si seulement les mots pouvaient être assez forts pour exprimer toute la gratitude que tu ressentais à son égard. malheureusement, les mots étaient bien trop faible, il ne restait que les gestes alors tu venais enfouir ton visage dans son cou resserrant un peu plus ton emprise sur lui et peut-être qu'avec ça il comprendrait la force de tes propos.
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ft. tadary ♡
tu la détestais, elle et tout ce qu'elle t'avais fait subir. des mois à coucher avec elle, à subir ses exigences, à n'être que son putain d'esclave sexuel. elle a su te briser, faire de toi tout ce que tu n'es pas. elle a réussit à te foutre à genoux. c'est ça que tu fous la haine, ça te colle la rage aux tripes et tu voudrais qu'elle souffre autant qu'elle a pu te faire souffrir. t'en as passé des soirées à rentré chez toi avec l'envie de gerber tellement tu supportais plus de la toucher. comment t'as pu passé tant de temps sans t'en rendre compte ? c'était devenu une sale habitude, une tâche dégueulasse, le genre de truc qu'on se force à faire parce qu'on a pas le choix et qui finit par devenir un cercle vicieux. t'avais mis le doigt dans l’engrenage, c'était trop tard. cette femme était l'équivalent d'un serpent, elle te chope à la cuisse et t'étouffe jusqu'à ce que t'en crève. sauf que toi, t'as eu le temps de réagir avant. elle a peut-être pu te mordre mais elle n'a pas réussit à t'étouffer. tu t'es extirpé de son emprise juste à temps. ça te soulage ouais, mais la rage est toujours là. elle te brûle l'estomac. tu pardonneras jamais à cette femme d'avoir abusé de toi comme ça, tu la haïras probablement jusqu'à ton dernier souffle. pourtant t'en voulais plus de cette haine, tu voulais plus rien ressentir en pensant à elle, tu voulais même plus penser à elle. tu voulais juste qu'elle devienne un souvenir trop lointain, qu'elle tombe dans les méandre de ta mémoire, qu'elle tombe dans l'oublie. pour ça, il fallait que tu décharge de cette colère, que tu calme la tempête qui anime ton être et pour ça, quoi de mieux que l'amour ? tu le savais bien, yury pouvait apaiser tout ça, il pouvait asphyxier ta colère ne serais-ce pour que tu aille mieux. alors après ce baiser intensément fort et après lui avoir tout dit, tu le suppliait de t'enlacer, d'étouffer cette rage grandissante de ses bras. sa réaction ne se fait pas attendre, ses bras s'enroulent autour de toi et tu te d'un coup plus libre. la rage qui paralyse tes bras s'estompe petit à petit, ton corps alors si fermé s'ouvre à la présence de yury et tes mains viennent se coller contre ses côtes. tu n'avais jamais autant eu besoin d'un contact physique que maintenant. le calme de yury était si apaisant que tu sentais comme une vague de chaleur qui te donnait l'impression d'être entier et d'être plus vivant que jamais. à leur tour, tes bras s'enroulent doucement autour de son corps que tu serres un peu plus fort contre toi. fermant les yeux quelques instants, tu écoutais les battements de son cœur qui provoquaient une mélodie douce à tes oreilles. tu te focalisais dessus pour laisser ton corps se détendre. dans le silence soudain de la pièce, tu n'entendais plus que lui. et puis, yury reprend la parole : « elle ne mérite plus ton attention, même pas que tu la haïsses. » tu fermais les yeux pour l'écouter parler, ses paroles se mêlaient au tempo de son cœur qui battait à une allure régulière. sa voix était douce et tu sentais bien qu'elle avait le pouvoir de calmer ta colère alors tu l'écoutais avec attention. « elle n'est personne. ne la laisse plus t'atteindre. c'est fini. » il avait raison, cette femme n'était plus rien et elle devait le rester. elle n'avait pas d'importance à tes yeux et la haïr ne ferait que lui accorder une importance qu'elle ne méritait pas. les choses semblaient si faciles à faire quand il le disait. ce n'était pourtant pas le cas, cette colère qui s'apaise ne disparaîtra pas comme ça. il en faudra un peu plus pour que cette colère s'évapore. mais voilà, quand tu te retrouvais dans les bras de yury, tout semblait surmontable, il te donnait une force insoupçonnable et tu te laissais guider par ses sentiments intenses qu'il provoquait en toi. tes bras se serrent un peu plus fort contre lui comme pour le coller un peu plus fort contre toi le temps de quelques secondes avant qu'il rompe le contact pour venir placer ses mains de chaque côtés de ton visage. « elle te connaît pas. moi je te connais. et depuis longtemps. » tu souris doucement, cs mots te touchent et te font te sentir bien mieux. il te connaît oui, à tel point qu'il sait exactement ce que tu veux entendre et ce qui saura provoquer quelque chose de positif en toi. tu lui fais confiance, plus qu'à elle qui ne connaît, en effet, rien de toi. si elle a bien comprit les motivations qui te poussaient à être avec elle, elle n'a rien comprit de qui tu étais vraiment au fond. tandis que lui, il le sait, mieux que n'importe qui d'autre. « ta famille ne se retrouvera pas à la rue. » tu baisses les yeux quelques instants... tu l'espère vraiment. bon nombre de vos dettes ont pu être payés grâce à l'argent de cette femme, maintenant que tu n'as plus rien tu redoute de voir ta famille s'effondrer un peu plus... tu relèves les yeux sentant ses lèvres se collées une nouvelle fois aux tiennes avant qu'il te prenne une nouvelle fois dans tes bras. à nouveau tu t'attachais à lui comme si ta vie en dépendait. c'était dans ses bras que tu te sentais le plus fort. « je suis fier de toi. de toi et de la personne que tu es. t'as été courageux. » ses mots ravivaient cette force qu'il te donnait un peu plus chaque jours. oui, tu avais été courageux mais l'aurais-tu été s'il n'avait pas été là ? t'en serais-tu réellement sorti sans son aide ? si la réponse existait quelque part, tu ne voulais pas la connaître, tu ne voulais en rien t'imaginer ta vie sans lui à présent. « c'est grâce à toi, yu, c'est toi qui me rend plus fort. » lâche-tu dans un soupir alors que tu le colle un peu plus contre toi pour marqué ce besoin constant de l'avoir auprès de toi. tes mots étaient sincères, tu le sentais bien. ta vie avait radicalement changé depuis qu'il en faisait de nouveau partie. « je me sentirais plus jamais seul si t'es avec moi. » tu ressentais le besoin d'exprimer ça, de lui montrer de la gratitude pour tout ce qu'il faisait pour toi sans s'en rendre compte. « merci... » ta voix se tord sous le poids de l'émotion. si seulement les mots pouvaient être assez forts pour exprimer toute la gratitude que tu ressentais à son égard. malheureusement, les mots étaient bien trop faible, il ne restait que les gestes alors tu venais enfouir ton visage dans son cou resserrant un peu plus ton emprise sur lui et peut-être qu'avec ça il comprendrait la force de tes propos.(c) DΛNDELION
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