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you really look like her + jini
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you really look like her + jini | Dim 11 Fév 2018 - 19:11
tenue + Hae Jin était éprit d’une réelle curiosité pour cette jeune femme. Pour sa sœur. Et il était temps de lui faire face, pour la première fois. En effet, depuis ces années où il s’infirmait sur elle, il ne la connaissait que via les brefs récits de sa mère, les photos prises par les détectives privés qu’il avait engagé, et les anecdotes sur sa vie qu’ils lui avaient livré. Il n’avait aucune idée de son caractère, bien que des échos fort positifs à son sujet via des employés furent remontés à son oreilles. Puisqu’en effet, il l’avait engagé. Ou plutôt, il avait fait en sorte qu’elle pose une candidature de stage à son entreprise, pour bien évidemment accepter et ainsi l’approcher. Elle devait se poser tant de questions. Surtout maintenant qu’il avait demandé à la faire venir dans son bureau, pour un face-à-face intime. Juste, eux deux. Sans plus d’explication. Il éprouvait un léger stresse, vis-à-vis de cette… confrontation ? En plein dans un dossier, Hae Jin n’avait même pas vu le temps passer. Ce fut lorsqu’on toqua à la porte de son bureau qu’il leva les yeux de ses feuilles. « Mademoiselle Hwang est ici monsieur. ». Déjà ? Regardant l’heure, un léger soupire quitta ses lèvres et il rangea ce qu’il était en train de faire. « Faites la entrer. ». Se levant de son siège, son cœur se serra lorsque la demoiselle entra dans la pièce. Elle était le portrait craché de sa mère. De leur mère. Se penchant donc pour la saluer, il lui indiqua de sa main le fauteuil libre en face de son bureau, avant de se rasseoir sur le sien. Croisant les mains, Hae Jin n’arrivait pas à défaire son regard d’elle. Ses traits… ils étaient si semblables. Il n’y avait aucun doute sur son identité. « Avez-vous apporté votre CV comme je l’avais demandé ? ». Cette excuse était parfaite. Elle servait à la fois pour son statut de CEO en s’intéressant à sa jeune stagiaire, et à la fois à prendre conscience de ses études, de ses loisirs, et autres. Il espérait seulement que son aura froide et strict dont on le qualifiait si souvent n’allait pas la bloquer...
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jini x haejin
tenue + Hae Jin était éprit d’une réelle curiosité pour cette jeune femme. Pour sa sœur. Et il était temps de lui faire face, pour la première fois. En effet, depuis ces années où il s’infirmait sur elle, il ne la connaissait que via les brefs récits de sa mère, les photos prises par les détectives privés qu’il avait engagé, et les anecdotes sur sa vie qu’ils lui avaient livré. Il n’avait aucune idée de son caractère, bien que des échos fort positifs à son sujet via des employés furent remontés à son oreilles. Puisqu’en effet, il l’avait engagé. Ou plutôt, il avait fait en sorte qu’elle pose une candidature de stage à son entreprise, pour bien évidemment accepter et ainsi l’approcher. Elle devait se poser tant de questions. Surtout maintenant qu’il avait demandé à la faire venir dans son bureau, pour un face-à-face intime. Juste, eux deux. Sans plus d’explication. Il éprouvait un léger stresse, vis-à-vis de cette… confrontation ? En plein dans un dossier, Hae Jin n’avait même pas vu le temps passer. Ce fut lorsqu’on toqua à la porte de son bureau qu’il leva les yeux de ses feuilles. « Mademoiselle Hwang est ici monsieur. ». Déjà ? Regardant l’heure, un léger soupire quitta ses lèvres et il rangea ce qu’il était en train de faire. « Faites la entrer. ». Se levant de son siège, son cœur se serra lorsque la demoiselle entra dans la pièce. Elle était le portrait craché de sa mère. De leur mère. Se penchant donc pour la saluer, il lui indiqua de sa main le fauteuil libre en face de son bureau, avant de se rasseoir sur le sien. Croisant les mains, Hae Jin n’arrivait pas à défaire son regard d’elle. Ses traits… ils étaient si semblables. Il n’y avait aucun doute sur son identité. « Avez-vous apporté votre CV comme je l’avais demandé ? ». Cette excuse était parfaite. Elle servait à la fois pour son statut de CEO en s’intéressant à sa jeune stagiaire, et à la fois à prendre conscience de ses études, de ses loisirs, et autres. Il espérait seulement que son aura froide et strict dont on le qualifiait si souvent n’allait pas la bloquer...Invité
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Re: you really look like her + jini | Sam 17 Fév 2018 - 13:09
Elle attend patiemment devant la porte du bureau principale, n’osant pas donner quelques coups contre celle-ci, prenant une grande inspiration, serrant légèrement son cahier de stage. Elle ne sait pas. Elle ne sait pas pourquoi elle se tient là, pourquoi elle doit le voir, et cela l’angoisse. Pourtant, Jini ne stresse jamais, ou très peu. Même quand arrive les examens, elle en rit, trop souvent. Ce n’est pas qu’elle s’en fout, ou qu’elle ne souhaite pas investir ses études, bien au contraire, elle est passionnée par le métier de journaliste et cela lui convient totalement, elle est juste sûre d’elle, du moins dans ce domaine. Et puis elle est aussi le genre de fille à prendre ce qui vient, quand ça vient, usant de technique pour relativiser, parce que de toute manière angoisser est nocif. Mais aujourd’hui, en ce lieu bien spécifique, elle ressent une légère boule au ventre, ses mains devenant de plus en plus moites. Elle n’a pas confiance. Surtout que c’est la première fois qu’elle va voir cet homme, qu’elle va entrer dans ce bureau. Ce bureau interdit, dont tout le monde parle mais que personne ne connait, ou très peu. Y accéder c’est comme accéder au St Graal. C’est comme le père noël qui apporte un cadeau mais un cadeau empoisonné. Elle serre ses paumes, et prend une grande inspiration. S’il l’appelle c’est bien pour une raison et il faut bien qu’elle y aille. Elle ne peut pas y échapper, surtout pas à cet homme dont elle ne connait que le nom, ou le surnom lui donnant des sueurs dans le dos. « Courage » se dit-elle doucement, joignant ses deux petits bras pour lui donner du courage. Et au moment où elle se le dit, son doigt vient s’écraser contre la porte pour signaler sa présence. Elle attend quelques secondes et finit par y entrer, baissant les yeux, ne regardant même pas l’homme présent dans le bureau. « Vous m’avez appelé ? » demande-t-elle en relevant doucement son visage. Elle ne sait même pas à quoi s’attendre, et c’est ça le plus angoissant. Elle ne peut rien prévoir, elle n’a aucun discours de préparer. Rien. Elle est juste là. Dans ce bureau. Attendant de comprendre la raison de sa présence, déjà pressée de retourner à son travail et de fuir ce lieu sinistre, du moins qui l’est dans sa représentation.
Elle s’installe sur le fauteuil, comme il le lui indique, attendant alors d’avoir quelques recommandations, tendant avec rapidité le fameux cv qu’il vient d’évoquer.
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haejin x jini #jin²
Elle attend patiemment devant la porte du bureau principale, n’osant pas donner quelques coups contre celle-ci, prenant une grande inspiration, serrant légèrement son cahier de stage. Elle ne sait pas. Elle ne sait pas pourquoi elle se tient là, pourquoi elle doit le voir, et cela l’angoisse. Pourtant, Jini ne stresse jamais, ou très peu. Même quand arrive les examens, elle en rit, trop souvent. Ce n’est pas qu’elle s’en fout, ou qu’elle ne souhaite pas investir ses études, bien au contraire, elle est passionnée par le métier de journaliste et cela lui convient totalement, elle est juste sûre d’elle, du moins dans ce domaine. Et puis elle est aussi le genre de fille à prendre ce qui vient, quand ça vient, usant de technique pour relativiser, parce que de toute manière angoisser est nocif. Mais aujourd’hui, en ce lieu bien spécifique, elle ressent une légère boule au ventre, ses mains devenant de plus en plus moites. Elle n’a pas confiance. Surtout que c’est la première fois qu’elle va voir cet homme, qu’elle va entrer dans ce bureau. Ce bureau interdit, dont tout le monde parle mais que personne ne connait, ou très peu. Y accéder c’est comme accéder au St Graal. C’est comme le père noël qui apporte un cadeau mais un cadeau empoisonné. Elle serre ses paumes, et prend une grande inspiration. S’il l’appelle c’est bien pour une raison et il faut bien qu’elle y aille. Elle ne peut pas y échapper, surtout pas à cet homme dont elle ne connait que le nom, ou le surnom lui donnant des sueurs dans le dos. « Courage » se dit-elle doucement, joignant ses deux petits bras pour lui donner du courage. Et au moment où elle se le dit, son doigt vient s’écraser contre la porte pour signaler sa présence. Elle attend quelques secondes et finit par y entrer, baissant les yeux, ne regardant même pas l’homme présent dans le bureau. « Vous m’avez appelé ? » demande-t-elle en relevant doucement son visage. Elle ne sait même pas à quoi s’attendre, et c’est ça le plus angoissant. Elle ne peut rien prévoir, elle n’a aucun discours de préparer. Rien. Elle est juste là. Dans ce bureau. Attendant de comprendre la raison de sa présence, déjà pressée de retourner à son travail et de fuir ce lieu sinistre, du moins qui l’est dans sa représentation. Elle s’installe sur le fauteuil, comme il le lui indique, attendant alors d’avoir quelques recommandations, tendant avec rapidité le fameux cv qu’il vient d’évoquer.
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Re: you really look like her + jini | Dim 18 Fév 2018 - 16:05
tenue + Hae Jin n’avait jamais encore eut à l’affronter en face à face. Non, sa façon de la connaître, de l’observer, avait toujours été en sens unique. De lui, vers elle. En secret, à l’aide de photos et de rapports qu’on lui avait fournit. En effet, il n’avait eut aucune façon de l’approcher, avant ce stage. Comprenez le. Ou plutôt, elle. Vivre tranquillement en tant qu’étudiante, et avoir du jour au lendemain un pur inconnu clamant être un demi-frère. Comment réagiriez-vous ? Pour lui, c’était inconcevable. Il ne pouvait lui imposer son existence, surtout à présent qu’il connaissait la triste histoire de cette demoiselle. Pour tout avouer, il ne caressait même pas l’espoir que Jini l’accepte. Alors, pourquoi cette rencontre ? C’était sans doute égoïste. Mais lui désirait lui parler. Discuter avec elle. Sur sa vie, ses goûts, son futur. C’est pourquoi ce rendez-vous officiellement entre un patron et sa stagiaire se trouvait être l’excuse parfaite. Mais lorsque la jolie blonde fit son apparition dans la pièce, Hae Jin se sentit comme… désemparé. Elle ressemblait tellement à leur mère. Celle-ci avait telle seulement conscience de ça ? L’avait-elle revu, également en secret, depuis toutes ces années ? L’invitant à s’installer sur le fauteuil de l’autre côté du bureau, il engagea la conversation en lui demandant son CV. Il observa alors sa cadette, ses traits, et ses mimiques, percevant stress palpable. La remerciant d’un signe de tête, il se saisit donc de la feuille, et commença à détailler ce qu’il y était inscrit. Mais les mots parlés avaient plus de valeur que les mots écrits. La reposant devant lui, Hae Jin croisa les bras, et posa son regard sur Jini. « Je préfère la discussion. Tu es donc en journalisme. Quelle est ta spécialité ? Et dans quel but fais-tu ces études ? ». Il voulait ressentir sa passion au travers de ses dires. Voir ses yeux briller en évoquant le métier de ses rêves. Tendant la main, il appuya finalement sur un bouton du téléphone fixe présent sur son bureau. « Un mocha. Et pour toi ? ». C’était sans doute naïf, mais en lui proposant une boisson, il souhaitait briser la glace. Ou, au mieux, la mettre davantage à l’aise, pour qu’ils puissent échanger sans trop de difficulté malgré leur différent statut social.
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tenue + Hae Jin n’avait jamais encore eut à l’affronter en face à face. Non, sa façon de la connaître, de l’observer, avait toujours été en sens unique. De lui, vers elle. En secret, à l’aide de photos et de rapports qu’on lui avait fournit. En effet, il n’avait eut aucune façon de l’approcher, avant ce stage. Comprenez le. Ou plutôt, elle. Vivre tranquillement en tant qu’étudiante, et avoir du jour au lendemain un pur inconnu clamant être un demi-frère. Comment réagiriez-vous ? Pour lui, c’était inconcevable. Il ne pouvait lui imposer son existence, surtout à présent qu’il connaissait la triste histoire de cette demoiselle. Pour tout avouer, il ne caressait même pas l’espoir que Jini l’accepte. Alors, pourquoi cette rencontre ? C’était sans doute égoïste. Mais lui désirait lui parler. Discuter avec elle. Sur sa vie, ses goûts, son futur. C’est pourquoi ce rendez-vous officiellement entre un patron et sa stagiaire se trouvait être l’excuse parfaite. Mais lorsque la jolie blonde fit son apparition dans la pièce, Hae Jin se sentit comme… désemparé. Elle ressemblait tellement à leur mère. Celle-ci avait telle seulement conscience de ça ? L’avait-elle revu, également en secret, depuis toutes ces années ? L’invitant à s’installer sur le fauteuil de l’autre côté du bureau, il engagea la conversation en lui demandant son CV. Il observa alors sa cadette, ses traits, et ses mimiques, percevant stress palpable. La remerciant d’un signe de tête, il se saisit donc de la feuille, et commença à détailler ce qu’il y était inscrit. Mais les mots parlés avaient plus de valeur que les mots écrits. La reposant devant lui, Hae Jin croisa les bras, et posa son regard sur Jini. « Je préfère la discussion. Tu es donc en journalisme. Quelle est ta spécialité ? Et dans quel but fais-tu ces études ? ». Il voulait ressentir sa passion au travers de ses dires. Voir ses yeux briller en évoquant le métier de ses rêves. Tendant la main, il appuya finalement sur un bouton du téléphone fixe présent sur son bureau. « Un mocha. Et pour toi ? ». C’était sans doute naïf, mais en lui proposant une boisson, il souhaitait briser la glace. Ou, au mieux, la mettre davantage à l’aise, pour qu’ils puissent échanger sans trop de difficulté malgré leur différent statut social.Invité
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Re: you really look like her + jini | Jeu 22 Fév 2018 - 22:32
Elle est déstabilisée Jini et autant dire que peu peuvent le faire. Il faut dire aussi que c’est un homme important, du moins dans la société, et qu’elle a tout intérêt à bien se tenir, face à lui. Elle ne doit pas montrer la vraie Jini qu’elle est, celle qui est parfois violente, légèrement garçon manqué, mais douce quand même, adorable. Elle attend donc, assise sur cette chaise, qu’il fasse des retours, des remarques, ne comprenant pas vraiment le but de cet entretien si personnel. Elle regarde rapidement la pièce, essayant de sonder quel type de personne il est, mais il n’y a rien. Il a juste l’air consciencieux, sérieux, et particulièrement froid. Elle en a même un frisson juste en y pensant. Elle écarquille les yeux quand elle l’entend la tutoyer, comme s’ils se connaissaient depuis des années, trouvant cette entrée en matière perturbante, ne sachant pas vraiment quoi répondre. Peut-être est-ce une habitude qu’il a, pour bien faire ressentir la différence de statut entre les deux. Elle ne sait pas, mais c’est étrange. « Euh et bien je . . . », elle ne comprend pas vraiment le sens de sa question et a le sentiment de passer un entretien d’embauche. Elle n’a pas le temps de bien répondre qu’il commande un mocha et lui demande ce qu’elle souhaite. L’entretien va-t-il durer aussi longtemps pour qu’il lui propose une boisson chaude ? Mais elle est tellement stressée et enthousiasmée à l’idée d’avoir quelque chose à boire qu’elle s’écrit presque, « un caramel macchiato ». Elle se racle la gorge, réalisant sa spontanéité. « Pardon ». Elle baisse quelques secondes les yeux et inspire profondément. « Pour vous répondre, je fais journalisme parce que j’aime enquêter, être dans l’action, passer à la télévision non pas pour être connue et reconnue, mais pour dévoiler au monde ce qu’on leur cache ou ne dit pas. Je sais que j’ai une pensée idéaliste et que ça ne se déroule pas forcément ainsi, car j’ai des supérieurs, des supérieurs qui souhaitent parfois cacher des informations, surtout en Corée mais . . . . j’aime ça. Je ne saurai pas expliquer, mais je ne me vois pas rester devant un bureau, à juste faire de la paperasse, j’ai besoin d’être sur le terrain, de partir à l’aventure. J’aimerai même partir à l’étranger, plus tard. Beaucoup me disent que c’est dangereux mais . . . » et elle se tait, réalisant qu’elle parle peut-être trop. Elle rit, nerveusement. « Pardon, vous n’avez sûrement pas besoin de savoir tout ça ». En même temps elle ne faisait que répondre. « Et . . . pourquoi ces questions ? » ose-t-elle demander.
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Elle est déstabilisée Jini et autant dire que peu peuvent le faire. Il faut dire aussi que c’est un homme important, du moins dans la société, et qu’elle a tout intérêt à bien se tenir, face à lui. Elle ne doit pas montrer la vraie Jini qu’elle est, celle qui est parfois violente, légèrement garçon manqué, mais douce quand même, adorable. Elle attend donc, assise sur cette chaise, qu’il fasse des retours, des remarques, ne comprenant pas vraiment le but de cet entretien si personnel. Elle regarde rapidement la pièce, essayant de sonder quel type de personne il est, mais il n’y a rien. Il a juste l’air consciencieux, sérieux, et particulièrement froid. Elle en a même un frisson juste en y pensant. Elle écarquille les yeux quand elle l’entend la tutoyer, comme s’ils se connaissaient depuis des années, trouvant cette entrée en matière perturbante, ne sachant pas vraiment quoi répondre. Peut-être est-ce une habitude qu’il a, pour bien faire ressentir la différence de statut entre les deux. Elle ne sait pas, mais c’est étrange. « Euh et bien je . . . », elle ne comprend pas vraiment le sens de sa question et a le sentiment de passer un entretien d’embauche. Elle n’a pas le temps de bien répondre qu’il commande un mocha et lui demande ce qu’elle souhaite. L’entretien va-t-il durer aussi longtemps pour qu’il lui propose une boisson chaude ? Mais elle est tellement stressée et enthousiasmée à l’idée d’avoir quelque chose à boire qu’elle s’écrit presque, « un caramel macchiato ». Elle se racle la gorge, réalisant sa spontanéité. « Pardon ». Elle baisse quelques secondes les yeux et inspire profondément. « Pour vous répondre, je fais journalisme parce que j’aime enquêter, être dans l’action, passer à la télévision non pas pour être connue et reconnue, mais pour dévoiler au monde ce qu’on leur cache ou ne dit pas. Je sais que j’ai une pensée idéaliste et que ça ne se déroule pas forcément ainsi, car j’ai des supérieurs, des supérieurs qui souhaitent parfois cacher des informations, surtout en Corée mais . . . . j’aime ça. Je ne saurai pas expliquer, mais je ne me vois pas rester devant un bureau, à juste faire de la paperasse, j’ai besoin d’être sur le terrain, de partir à l’aventure. J’aimerai même partir à l’étranger, plus tard. Beaucoup me disent que c’est dangereux mais . . . » et elle se tait, réalisant qu’elle parle peut-être trop. Elle rit, nerveusement. « Pardon, vous n’avez sûrement pas besoin de savoir tout ça ». En même temps elle ne faisait que répondre. « Et . . . pourquoi ces questions ? » ose-t-elle demander. Invité
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Re: you really look like her + jini | Ven 23 Fév 2018 - 15:43
tenue + Hae Jin n’était stressé que dans de très rares cas. Chez le médecin -il a toujours détesté s’y rendre-, lors d’un voyage en bateau, lorsque son père appelait. Bref. Vous comprenez qu’il n’est pas facilement impressionnable. Pourtant, face à cette blondinette, il ne se sentait pas aussi à l’aise qu’il l’aurait souhaité. Car il était tiraillé. Entre lui, son bonheur de la rencontrer enfin. Et elle, qui n’était au courant de rien. Et dont le monde risquait de s’écrouler s’il lui apprenait sa réelle identité. Il en avait envie, pourtant. Lui, le fils unique, qui avait toujours envie ses camarades nés dans une fratrie. Mais d’un côté, c’était une décision bien égoïste, lorsqu’il se mettait dans la peau de Jini. Aurait-elle les épaules pour encaisser un tel secret ? De toute façon, maintenant qu’elle allait travailler pour lui, dans son entreprise, et qu’ils allaient être amenés à se revoir, Hae Jin avait tout son temps pour faire son choix. Pour le moment, il voulait apprendre à la connaître. D’où ses deux questions quant à son ses études et le métier qu’elle rêvait exercer. Entre temps, le CEO prit l’initiative de leur commander des boissons, et l’enthousiasme de Jini lui arracha un petit sourire en coin. « … et un caramel macchiato. Merci. ». Relâchant le bouton, il reprit sa position dans son fauteuil et croisa les bras tout en écoutant le petit monologue de sa cadette. Elle était passionnée. Il n’y avait doute la dessus. Et cela lui faisait plaisir, de savoir qu’elle étudiait quelque chose non pas par obligation, mais bien car elle avait trouvé sa voie. Elle avait la tête sur les épaules, et en un sens, Hae Jin se retrouvait en elle. Était-ce dû à leur lien du sang ? « Tu pouvais continuer. J’apprécie beaucoup les gens passionnés. ». Pourquoi ces questions ? Mh, elle était gênée. Allait-il dans un domaine trop personnel ? Il ne lui semblait pas, pourtant… « Tu es ma première stagiaire. C’est mon devoir, en tant que CEO, de m’assurer que j’ai fait le bon choix en te choisissant. ». Il planta son regard dans celui de Jini. « Tu as un très bon dossier à l’université, et ta lettre de motivation n’était pas pleine de chichis et de faux compliments. Cependant, un CV ne décrit pas la personnalité d’une personne. ». Bien joué Hae Jin ! Il reprit tout de même le papier qu’elle lui avait apporté. « Mmmh… Tu fais donc de la boxe et du football. Depuis longtemps ? ». Encore un point commun : les sports de combat. Décidément.
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tenue + Hae Jin n’était stressé que dans de très rares cas. Chez le médecin -il a toujours détesté s’y rendre-, lors d’un voyage en bateau, lorsque son père appelait. Bref. Vous comprenez qu’il n’est pas facilement impressionnable. Pourtant, face à cette blondinette, il ne se sentait pas aussi à l’aise qu’il l’aurait souhaité. Car il était tiraillé. Entre lui, son bonheur de la rencontrer enfin. Et elle, qui n’était au courant de rien. Et dont le monde risquait de s’écrouler s’il lui apprenait sa réelle identité. Il en avait envie, pourtant. Lui, le fils unique, qui avait toujours envie ses camarades nés dans une fratrie. Mais d’un côté, c’était une décision bien égoïste, lorsqu’il se mettait dans la peau de Jini. Aurait-elle les épaules pour encaisser un tel secret ? De toute façon, maintenant qu’elle allait travailler pour lui, dans son entreprise, et qu’ils allaient être amenés à se revoir, Hae Jin avait tout son temps pour faire son choix. Pour le moment, il voulait apprendre à la connaître. D’où ses deux questions quant à son ses études et le métier qu’elle rêvait exercer. Entre temps, le CEO prit l’initiative de leur commander des boissons, et l’enthousiasme de Jini lui arracha un petit sourire en coin. « … et un caramel macchiato. Merci. ». Relâchant le bouton, il reprit sa position dans son fauteuil et croisa les bras tout en écoutant le petit monologue de sa cadette. Elle était passionnée. Il n’y avait doute la dessus. Et cela lui faisait plaisir, de savoir qu’elle étudiait quelque chose non pas par obligation, mais bien car elle avait trouvé sa voie. Elle avait la tête sur les épaules, et en un sens, Hae Jin se retrouvait en elle. Était-ce dû à leur lien du sang ? « Tu pouvais continuer. J’apprécie beaucoup les gens passionnés. ». Pourquoi ces questions ? Mh, elle était gênée. Allait-il dans un domaine trop personnel ? Il ne lui semblait pas, pourtant… « Tu es ma première stagiaire. C’est mon devoir, en tant que CEO, de m’assurer que j’ai fait le bon choix en te choisissant. ». Il planta son regard dans celui de Jini. « Tu as un très bon dossier à l’université, et ta lettre de motivation n’était pas pleine de chichis et de faux compliments. Cependant, un CV ne décrit pas la personnalité d’une personne. ». Bien joué Hae Jin ! Il reprit tout de même le papier qu’elle lui avait apporté. « Mmmh… Tu fais donc de la boxe et du football. Depuis longtemps ? ». Encore un point commun : les sports de combat. Décidément. Invité
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Re: you really look like her + jini | Mar 27 Mar 2018 - 21:19
Il apprécie ? Elle s’étrangle presque, le regardant quelques secondes pour essayer de déceler la moindre trace de perversité. Mais rien, il a l’air réellement curieux. Une curiosité qui la met mal à l’aise. Peut-être qu’il est de ces directeurs qui aiment profiter de leurs stagiaires, vérifiant tout de même avant si elles sont aptes à assouvir leurs besoins, peut-être qu’il a trop vu de films érotiques entre une petite de bureau et un directeur et qu’il a envie d’assouvir ses besoins ou peut-être qu’il est . . . juste étrange. Il faut dire que c’est la première fois qu’on la demande pour avoir de plus amples informations. En général ça se fait avant d’être prise, lors d’un entretien alors que là, il le fait après, ce qui lui parait davantage étrange. Ou est-ce elle qui est trop méfiante. Il l’amadoue tout de même un peu quand il essaye de donner des explications à sa curiosité, ce qu’elle peut tout à fait comprendre. Mais pourquoi l’avoir sélectionné avant ? Peut-être qu’il a une manière de faire différente, peut-être est-ce un nouveau système de recrutement dont elle n’a aucune connaissance. C’est possible. « Je vois, je comprends mieux. Même si en général ça se fait avant d’être prise mais vous devez avoir vos propres normes », ose t-elle dire alors qu’elle se trouve tout de même devant le directeur. Elle se reprend assez vite, tout de même perturbée par ses questions. En quoi est-ce que cela permet de voir ses performances ? En quoi cela peut aider ou même impacter l’entreprise ? Elle se le demande mais elle se garde bien de le lui dire. « Euh . . . et bien . . . la boxe depuis que je suis petite et le football depuis que je suis à l’université. Je suis la seule fille du groupe » dit-elle en rigolant. Peut-être qu’elle n’aurait pas dû ajouter ça, surtout pas en le prenant de manière si humoristique. C’est peut-être bizarre dans une telle entreprise d’être ainsi. Il va la prendre pour une folle. « Enfin je veux dire que les circonstances ont fait que je suis . . . bref. Mais vous demandez souvent ce genre de questions ? ». C’est vrai que certains recruteurs posent des questions assez déstabilisantes et personnelles mais elle n’est pas dans un entretien oral, n’est-ce pas ?
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Il apprécie ? Elle s’étrangle presque, le regardant quelques secondes pour essayer de déceler la moindre trace de perversité. Mais rien, il a l’air réellement curieux. Une curiosité qui la met mal à l’aise. Peut-être qu’il est de ces directeurs qui aiment profiter de leurs stagiaires, vérifiant tout de même avant si elles sont aptes à assouvir leurs besoins, peut-être qu’il a trop vu de films érotiques entre une petite de bureau et un directeur et qu’il a envie d’assouvir ses besoins ou peut-être qu’il est . . . juste étrange. Il faut dire que c’est la première fois qu’on la demande pour avoir de plus amples informations. En général ça se fait avant d’être prise, lors d’un entretien alors que là, il le fait après, ce qui lui parait davantage étrange. Ou est-ce elle qui est trop méfiante. Il l’amadoue tout de même un peu quand il essaye de donner des explications à sa curiosité, ce qu’elle peut tout à fait comprendre. Mais pourquoi l’avoir sélectionné avant ? Peut-être qu’il a une manière de faire différente, peut-être est-ce un nouveau système de recrutement dont elle n’a aucune connaissance. C’est possible. « Je vois, je comprends mieux. Même si en général ça se fait avant d’être prise mais vous devez avoir vos propres normes », ose t-elle dire alors qu’elle se trouve tout de même devant le directeur. Elle se reprend assez vite, tout de même perturbée par ses questions. En quoi est-ce que cela permet de voir ses performances ? En quoi cela peut aider ou même impacter l’entreprise ? Elle se le demande mais elle se garde bien de le lui dire. « Euh . . . et bien . . . la boxe depuis que je suis petite et le football depuis que je suis à l’université. Je suis la seule fille du groupe » dit-elle en rigolant. Peut-être qu’elle n’aurait pas dû ajouter ça, surtout pas en le prenant de manière si humoristique. C’est peut-être bizarre dans une telle entreprise d’être ainsi. Il va la prendre pour une folle. « Enfin je veux dire que les circonstances ont fait que je suis . . . bref. Mais vous demandez souvent ce genre de questions ? ». C’est vrai que certains recruteurs posent des questions assez déstabilisantes et personnelles mais elle n’est pas dans un entretien oral, n’est-ce pas ? Invité
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Re: you really look like her + jini | Jeu 29 Mar 2018 - 14:47
tenue + Hae Jin faisait face à une situation bien singulière. Poser des questions personnelles à une toute jeune femme sans que celle-ci ne le croit en train de draguer, ou porter un quelconque intérêt autre que professionnel. Et pour tout vous dire, c’était bien plus difficile qu’il ne l’aurait cru. En effet, le patron n’était pas idiot : il voyait bien que le regard que portait Jini à son égard était méfiant. Il ne lui voulait aucun mal, bien au contraire, mais la demoiselle semblait presque penser le contraire. Alors il tentait, avec plus ou moins de succès, de paraître le plus… normal possible. Il se justifia même sur la raison de ses questions, mais elle le prit de court. Elle n’avait pas tord, d’habitude, ce genre d’entretien se déroule avant l’embauche… Aie. « Nous étions prit par le temps. Comme tu as pu le constater, nous avons énormément de projets en cours, et certaines de nos équipes sont débordées. C’est pourquoi nous nous sommes mit en accord pour donner leur chance à quelques stagiaires. Tu avais tous les critères requis, d’où ton embauche. Maintenant, mon rôle est de m’assurer que nous pouvons te garder. ». Bingo ! Avec ces explications, Hae Jin était certain de se la mettre dans sa poche. Il avait été sincère, et toute cette histoire tenait la route. La questionnant alors sur ses activités sportives, Jini invoqua un détail qui le surprit. La seule fille dans une équipe de garçons ? What the fuck ? Bon au moins, cela signifiait qu’elle devait avoir un très bon niveau pour se retrouver parmi eux, mais tout de même ! Cette idée ne lui plaisait qu’à moitié, mais il se tu, bien évidemment. Son sourire ne s’élargit qu’à la fin des dires de la blondinette. « Et toi, il t’arrive souvent d’oser parler ainsi à un CEO ? ». En effet, elle n’arrêtait pas de poser des questions qui, n’allons pas mentir, n’étaient pas du tout appropriées lors d’un rendez-vous avec son patron. Mais il avait dit cela sans méchanceté, juste pour la mettre en garde. Elle avait de la chance d’être sa petite sœur. Car jamais Hae Jin n’aurait accepté cela d’une autre personne. On vint alors frapper à la porte du bureau, et un homme entra avec leurs boissons, les disposant face à eux avant de repartir. « Mais puisque tu es lancée, vas y. Si tu as des questions, sur l’entreprise, ton stage, ou même moi. Je t’écoute. ». Prenant sa tasse, il en bu donc une gorgée, sans quitter Jini du regard.
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tenue + Hae Jin faisait face à une situation bien singulière. Poser des questions personnelles à une toute jeune femme sans que celle-ci ne le croit en train de draguer, ou porter un quelconque intérêt autre que professionnel. Et pour tout vous dire, c’était bien plus difficile qu’il ne l’aurait cru. En effet, le patron n’était pas idiot : il voyait bien que le regard que portait Jini à son égard était méfiant. Il ne lui voulait aucun mal, bien au contraire, mais la demoiselle semblait presque penser le contraire. Alors il tentait, avec plus ou moins de succès, de paraître le plus… normal possible. Il se justifia même sur la raison de ses questions, mais elle le prit de court. Elle n’avait pas tord, d’habitude, ce genre d’entretien se déroule avant l’embauche… Aie. « Nous étions prit par le temps. Comme tu as pu le constater, nous avons énormément de projets en cours, et certaines de nos équipes sont débordées. C’est pourquoi nous nous sommes mit en accord pour donner leur chance à quelques stagiaires. Tu avais tous les critères requis, d’où ton embauche. Maintenant, mon rôle est de m’assurer que nous pouvons te garder. ». Bingo ! Avec ces explications, Hae Jin était certain de se la mettre dans sa poche. Il avait été sincère, et toute cette histoire tenait la route. La questionnant alors sur ses activités sportives, Jini invoqua un détail qui le surprit. La seule fille dans une équipe de garçons ? What the fuck ? Bon au moins, cela signifiait qu’elle devait avoir un très bon niveau pour se retrouver parmi eux, mais tout de même ! Cette idée ne lui plaisait qu’à moitié, mais il se tu, bien évidemment. Son sourire ne s’élargit qu’à la fin des dires de la blondinette. « Et toi, il t’arrive souvent d’oser parler ainsi à un CEO ? ». En effet, elle n’arrêtait pas de poser des questions qui, n’allons pas mentir, n’étaient pas du tout appropriées lors d’un rendez-vous avec son patron. Mais il avait dit cela sans méchanceté, juste pour la mettre en garde. Elle avait de la chance d’être sa petite sœur. Car jamais Hae Jin n’aurait accepté cela d’une autre personne. On vint alors frapper à la porte du bureau, et un homme entra avec leurs boissons, les disposant face à eux avant de repartir. « Mais puisque tu es lancée, vas y. Si tu as des questions, sur l’entreprise, ton stage, ou même moi. Je t’écoute. ». Prenant sa tasse, il en bu donc une gorgée, sans quitter Jini du regard.Invité
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Re: you really look like her + jini | Lun 9 Avr 2018 - 21:17
Elle ne peut croire qu’aux paroles de cet homme, et de toute manière elle n’a pas réellement d’autre choix. Elle ne sait pas ce qui est vrai et ce qui est faux, elle ne sait pas si son excuse est valable ou non alors autant lui tenter la chance de le croire. « Ok » dit-elle sur un ton ferme, un peu trop face à son patron. Il faut dire qu’elle n’a pas pour habitude d’être face au patron, et surtout pas dans ce type de situation alors forcément elle a tendance à laisser son naturel prendre le dessus alors qu’elle devrait juste acquiescer, sans rechigner, sans même aller à son encontre. Elle cesse subitement de parler lorsqu’il lui fait, justement, la remarquer, réalisant qu’elle est peut-être un peu trop elle-même face à un tel homme ayant autant de pouvoir et gérant l’entreprise dans laquelle elle est actuellement. Mais après tout elle n’est qu’une simple stagiaire, elle n’est pas non plus là pour dire amen à tout ce qu’on lui dit ou demande de faire n’est-ce pas ? Elle sait qu’elle devrait se faire bien voir, être un véritable lèche-cul au cas où, juste au cas où, pensant à son avenir et une potentielle embauche, mais elle a bien trop de mal à se visualiser dans le futur et à prendre en compte certains paramètres pourtant essentiels, surtout pour son évaluation finale. « C’est . . . c’est vous qui m’évaluez à la fin de mon stage ? » dit-elle juste pour s’assurer que ce n’est pas le cas. Ça risque d’être problématique si c’est bien lui et elle a intérêt à assurer ses arrières. Intérieurement elle se mord la joue, croisant les doigts pour que cela ne soit pas le cas.
Les boissons arrivent enfin et Jini s’empresse de boire une première gorgée, pour se donner du courage et se déshydrater. « Vous êtes marié ? » dit-elle subitement. Il a bien dit qu’elle pouvait poser des questions sur lui n’est-ce pas ? Certes ce n’est pas approprié, mais c’est juste pour s’assurer qu’elle se fait très certainement des illusions ou même que s’il vient à la draguer elle peut éventuellement le signaler à sa femme ou petite amie. « Surtout ne vous méprenez pas. Je ne dis pas ça pour . . . draguer ou quelque chose dans le genre. C’est juste pour . . . voir votre statut » dit-elle en essayant de noyer le poisson dans l’eau, de manière maladroite.
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haejin x jini #jin²
Elle ne peut croire qu’aux paroles de cet homme, et de toute manière elle n’a pas réellement d’autre choix. Elle ne sait pas ce qui est vrai et ce qui est faux, elle ne sait pas si son excuse est valable ou non alors autant lui tenter la chance de le croire. « Ok » dit-elle sur un ton ferme, un peu trop face à son patron. Il faut dire qu’elle n’a pas pour habitude d’être face au patron, et surtout pas dans ce type de situation alors forcément elle a tendance à laisser son naturel prendre le dessus alors qu’elle devrait juste acquiescer, sans rechigner, sans même aller à son encontre. Elle cesse subitement de parler lorsqu’il lui fait, justement, la remarquer, réalisant qu’elle est peut-être un peu trop elle-même face à un tel homme ayant autant de pouvoir et gérant l’entreprise dans laquelle elle est actuellement. Mais après tout elle n’est qu’une simple stagiaire, elle n’est pas non plus là pour dire amen à tout ce qu’on lui dit ou demande de faire n’est-ce pas ? Elle sait qu’elle devrait se faire bien voir, être un véritable lèche-cul au cas où, juste au cas où, pensant à son avenir et une potentielle embauche, mais elle a bien trop de mal à se visualiser dans le futur et à prendre en compte certains paramètres pourtant essentiels, surtout pour son évaluation finale. « C’est . . . c’est vous qui m’évaluez à la fin de mon stage ? » dit-elle juste pour s’assurer que ce n’est pas le cas. Ça risque d’être problématique si c’est bien lui et elle a intérêt à assurer ses arrières. Intérieurement elle se mord la joue, croisant les doigts pour que cela ne soit pas le cas. Les boissons arrivent enfin et Jini s’empresse de boire une première gorgée, pour se donner du courage et se déshydrater. « Vous êtes marié ? » dit-elle subitement. Il a bien dit qu’elle pouvait poser des questions sur lui n’est-ce pas ? Certes ce n’est pas approprié, mais c’est juste pour s’assurer qu’elle se fait très certainement des illusions ou même que s’il vient à la draguer elle peut éventuellement le signaler à sa femme ou petite amie. « Surtout ne vous méprenez pas. Je ne dis pas ça pour . . . draguer ou quelque chose dans le genre. C’est juste pour . . . voir votre statut » dit-elle en essayant de noyer le poisson dans l’eau, de manière maladroite.
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Re: you really look like her + jini | Jeu 12 Avr 2018 - 15:09
tenue + Hae Jin était réellement amusé du caractère de la jeune femme se trouvant là, assise face à lui. Si physiquement elle était le portrait craché de leur mère, au niveau du caractère, ils étaient similaires. Ils étaient francs, et ne tournaient pas autour du pot. Elle était bien sa sœur. Il était ravi de savoir que Jini n’était pas l’une de ces filles accro à la chirurgie et aux marques de luxe. Vulgaires, avec peu de matière dans le crâne. Elle était vive, et semblait atypique. Pour se retrouver seule dans une équipe masculine de football… Il se demandait bien par quelles circonstances elle s’était retrouvé dans cette situation ! Malheureusement, il allait devoir attendre pour savoir la réponse. Car pour le moment, ils étaient bloqués dans une relation uniquement professionnelles. D’ailleurs, malgré lui, Hae Jin dû remettre la blondinette en place, lorsqu’elle se fit un peu trop directe dans ses dires. Cela ne l’avait pas touché, mais en tant que grand frère, il devait de lui apprendre des choses, dont la place à laquelle elle devait se tenir lors d’un rendez-vous avec un patron. « Je vais avoir un regard dessus, mais cela sera principalement le travail du chef de la section que tu vas intégrer. ». Lui faisait-il peur au point de ne pas vouloir qu’il la supervise ? Leurs boissons arrivant, le CEO donna son accord à Jini pour qu’elle lui pose des questions. Et si il pensait qu’elle allait être curieuse quant à l’entreprise ou son stage, en réalité, sa question fut à son sujet. Hae Jin manqua même d’avaler de travers son mocha. Il leva alors sa main gauche. « Je suis célibataire. ». Son père avait beau avoir tenté plus d’une fois de le caser, sa liberté sentimentale avait également été un des termes de leur contrat. « Je n’ai pas d’enfant non plus. Et j’ai 29 ans. ». Au moins, elle allait avoir tous les détails, sauf sa sexualité. Ni ses penchants bdsm, évidemment. « Une autre question ? ». Il reprit une gorgée, un léger sourire au visage.
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tenue + Hae Jin était réellement amusé du caractère de la jeune femme se trouvant là, assise face à lui. Si physiquement elle était le portrait craché de leur mère, au niveau du caractère, ils étaient similaires. Ils étaient francs, et ne tournaient pas autour du pot. Elle était bien sa sœur. Il était ravi de savoir que Jini n’était pas l’une de ces filles accro à la chirurgie et aux marques de luxe. Vulgaires, avec peu de matière dans le crâne. Elle était vive, et semblait atypique. Pour se retrouver seule dans une équipe masculine de football… Il se demandait bien par quelles circonstances elle s’était retrouvé dans cette situation ! Malheureusement, il allait devoir attendre pour savoir la réponse. Car pour le moment, ils étaient bloqués dans une relation uniquement professionnelles. D’ailleurs, malgré lui, Hae Jin dû remettre la blondinette en place, lorsqu’elle se fit un peu trop directe dans ses dires. Cela ne l’avait pas touché, mais en tant que grand frère, il devait de lui apprendre des choses, dont la place à laquelle elle devait se tenir lors d’un rendez-vous avec un patron. « Je vais avoir un regard dessus, mais cela sera principalement le travail du chef de la section que tu vas intégrer. ». Lui faisait-il peur au point de ne pas vouloir qu’il la supervise ? Leurs boissons arrivant, le CEO donna son accord à Jini pour qu’elle lui pose des questions. Et si il pensait qu’elle allait être curieuse quant à l’entreprise ou son stage, en réalité, sa question fut à son sujet. Hae Jin manqua même d’avaler de travers son mocha. Il leva alors sa main gauche. « Je suis célibataire. ». Son père avait beau avoir tenté plus d’une fois de le caser, sa liberté sentimentale avait également été un des termes de leur contrat. « Je n’ai pas d’enfant non plus. Et j’ai 29 ans. ». Au moins, elle allait avoir tous les détails, sauf sa sexualité. Ni ses penchants bdsm, évidemment. « Une autre question ? ». Il reprit une gorgée, un léger sourire au visage.Invité
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Re: you really look like her + jini | Dim 22 Avr 2018 - 18:19
Elle hoche vigoureusement de la tête, réfléchissant à vive allure, essayant d’analyser la situation et d’y trouver une échappatoire. Elle sait pertinemment qu’elle va devoir se le mettre dans la poche si elle veut avoir une bonne note à la fin de son stage, ou du moins elle n’a pas intérêt à cracher sur son dos dès qu’il a le dos tourné, essayant de se renseigner sur les potentielles rumeurs circulant sur lui. Il doit forcément y en avoir. Il n’est pas tout blanc. « Ok. Je vais tâcher de bien paraître » dit-elle à voix haute, bien plus fort qu’elle ne l’aurait souhaité, se mordant fortement la joue après ses mots. Elle est parfois un peu trop rapide et ne réfléchit pas toujours assez vite, contrairement à sa bouche qui s’en va toujours bien trop loin. Elle est, par la suite, surprise de voir qu’il lui répond concernant sa vie sentimentale, s’attendant à une réponse moins personnelle ou un simple rire lui disant que ça ne la regardait pas, mais il lui répond et de manière un peu trop solennelle. Est-ce qu’il signifie par là qu’il ne fera pas d’adultère et qu’elle n’aura pas de souci si jamais elle est tentée par lui ? Elle secoue sa tête nerveusement. Faut qu’elle arrête de suite son imagination, ça va un peu trop loin à son sens. « 29 ans », elle calcule rapidement dans sa tête la différence d’âge que ça fait, le trouvant certes jeune pour un CEO mais clairement trop vieux. Elle frissonne légèrement ayant presque l’impression d’être face à un ajusshi en cruel manque. « Je ne sais pas si je dois dire que vous êtes vieux . . . ou jeune » dit-elle oubliant presque quelques secondes qu’il est un peu son directeur. Elle se reprend toutefois rapidement, « enfin . . . . oubliez ce que je viens de dire. Et je ne pense pas avoir d’autres questions. Si jamais j’en ai-je vous ferai signe », quoique mauvaise idée, il va peut-être croire qu’il y a une possible chance avec elle. Jamais ! « Et . . . vous ? Vous avez d’autres questions ? » demande t-elle, soudainement mal à l’aise. Elle le fixe quelques secondes, clignant plusieurs fois des yeux. C’est bizarre comme son visage lui . . . elle doit divaguer, elle est certaine de ne jamais l’avoir vu quelque part.
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Elle hoche vigoureusement de la tête, réfléchissant à vive allure, essayant d’analyser la situation et d’y trouver une échappatoire. Elle sait pertinemment qu’elle va devoir se le mettre dans la poche si elle veut avoir une bonne note à la fin de son stage, ou du moins elle n’a pas intérêt à cracher sur son dos dès qu’il a le dos tourné, essayant de se renseigner sur les potentielles rumeurs circulant sur lui. Il doit forcément y en avoir. Il n’est pas tout blanc. « Ok. Je vais tâcher de bien paraître » dit-elle à voix haute, bien plus fort qu’elle ne l’aurait souhaité, se mordant fortement la joue après ses mots. Elle est parfois un peu trop rapide et ne réfléchit pas toujours assez vite, contrairement à sa bouche qui s’en va toujours bien trop loin. Elle est, par la suite, surprise de voir qu’il lui répond concernant sa vie sentimentale, s’attendant à une réponse moins personnelle ou un simple rire lui disant que ça ne la regardait pas, mais il lui répond et de manière un peu trop solennelle. Est-ce qu’il signifie par là qu’il ne fera pas d’adultère et qu’elle n’aura pas de souci si jamais elle est tentée par lui ? Elle secoue sa tête nerveusement. Faut qu’elle arrête de suite son imagination, ça va un peu trop loin à son sens. « 29 ans », elle calcule rapidement dans sa tête la différence d’âge que ça fait, le trouvant certes jeune pour un CEO mais clairement trop vieux. Elle frissonne légèrement ayant presque l’impression d’être face à un ajusshi en cruel manque. « Je ne sais pas si je dois dire que vous êtes vieux . . . ou jeune » dit-elle oubliant presque quelques secondes qu’il est un peu son directeur. Elle se reprend toutefois rapidement, « enfin . . . . oubliez ce que je viens de dire. Et je ne pense pas avoir d’autres questions. Si jamais j’en ai-je vous ferai signe », quoique mauvaise idée, il va peut-être croire qu’il y a une possible chance avec elle. Jamais ! « Et . . . vous ? Vous avez d’autres questions ? » demande t-elle, soudainement mal à l’aise. Elle le fixe quelques secondes, clignant plusieurs fois des yeux. C’est bizarre comme son visage lui . . . elle doit divaguer, elle est certaine de ne jamais l’avoir vu quelque part. Contenu sponsorisé