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ong seo eon ☾ spring always comes back.
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ong seo eon ☾ spring always comes back. | Dim 11 Fév - 21:32 Citer EditerSupprimer
Nom Prénom
et là une petite citation...
IDENTITY CARD |
Il parait que... Sa mère est une ancienne pianiste aujourd’hui enseignante, et son père est un procureur très réputé (faux, si sur l’état civil il a été adopté par les Ong, il n’en reste pas moins qu’en vérité, que sa mère est en vérité sa tante et donc la sœur de sa véritable mère biologique. Mère qui l’a abandonné pour pouvoir faire un parcours sans faute dans sa carrière d’actrice) | Dis nous qui tu es ! Indécis et pleins de contradictions. Il n’aime pas s’attacher aux gens mais pourtant déteste la solitude, alors il ne peut s’empêcher d’aller là où il y a du bruit tout en ne voulant pas qu’on puisse avoir des attentes à son égard, et encore moins qu’on l’enchaîne contre sa volonté. S’il devait être un animal, il serait un chat. On s’y attache et il en joue, mais il n’en fait qu’à sa tête. Rien ne sert d’utiliser la logique pour tenter de le comprendre, il suit son propre algorithme, et plutôt que la réflexion, il préfère l’intuition, intuition qui lui sert de rose-des-vents. Définitivement lâche, le mot responsabilité le fait trembler et lorsqu’il sent que ce fardeau lui pèse sur les épaules, il préfère s’en débarrasser et fuir. La contrainte, l’oppression, tout ce qui pourrait se dresser contre sa volonté, empiéter sa liberté, il s’en sépare avant même qu’elle puisse avoir une emprise, alors même qu’elle pourrait être potentielle. Il disparait souvent, et revient l’air de rien. La honte ? Une chose dont on en meurt pas de toute façon, cela ne lui pèse jamais longuement sur la conscience. Ingrat ? Il est plutôt égoïste, ce qu’il pense, ce qu’il ressent, désire, passe avant le reste. C’est lui, lui, et seulement lui, surtout maintenant qu’il ne vit plus avec ce boule d’angoisse. |
faiblesse BOUH ♥
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It's my life...
et là une petite citation...
Recroquevillé dans cet espace étroit et sombre, l’enfant se cache et ramène ses jambes contre lui, les entourant de ses bras. La tête posée sur ses genoux, il guette, de ses yeux vairons, au travers de la fente des portes battantes, l’ombre de son beau-père (꼭 꼭숨어라). Il sursaute lorsque le plancher grince, sa main se plaque contre sa bouche, il s’empêche de respirer, il retient son souffle. Il tremble alors qu’il étouffe, il fait trop chaud et pourtant, ce sont des sueurs froides qui perle sur sa peau. La peur l’envahit, il prie (머리카락 보일라). Un bruit, puis le silence, mais l’enfant ne bouge pas. Il a trop joué pour savoir que la curiosité était un mal, que le sentiment de sécurité un leurre, il devait se méfier de cette absence de son. Il reste immobile, mais il n’est pas brave. Il ne l’a jamais réellement été (꼭 꼭숨어라). Brusquement, la porte s’ouvre, aveuglé il ne voit pas, quelle main le tire en dehors de son paradis caché. L’enfant joue mais il ne rit pas, il n’a pas le choix. Se cacher est la seule chose qu’il peut faire pour fuir, encore et encore. (옷자락이 보인다).
En grandissant, l’armoire est devenue trop étroite et l’enfant, devenu adolescent, a cessé de se cacher. Parce qu’il n’avait nulle part où aller, il a dû faire face à ses démons, tête baissé, poings serrés, et sur ces lèvres, un sourire qui n’en était pas un. Il ne peut plus fuir, si ce n’est subir. Les coups marquent sa peau, lacèrent son cœur, détruisent son âme mais il tient bon ; malgré lui, il respire, encore. Combien de fois, avait-il souhaité que sa douleur éclate comme les bulles de savon des souffleurs, qu’il puisse s’envoler tel des dent-de-lion pour ne plus jamais revenir, s’évaporer telle la rosée du matin aux premiers rayons du jour. Le vide l’attire, la gravité l’appelle inlassablement, mais il est trop lâche pour prendre son envol, trop peureux pour se résoudre à s’effacer définitivement. Abandonner, il ne fait que ça et pourtant, abandonner pour de bon, il n’y arrive pas. Il se trouve pathétique. Les excuses sont toujours les mêmes, si bien qu’elles peuvent et sonnent terriblement fausses, il le sait mais il ne peut s’empêcher de s’y raccrocher, désespérément alors que tout le pousse à lâche prise. Il est risible, même son propre reflet est difficile à supporter. La souffrance est devenue un fardeau, et avec le temps, une routine.
À peine devenu adulte et déjà couvert de cicatrices, des blessures plus profondes les unes que les autres. Il est meurtri, mais la façon dont il sourit et rit éclipse le reste. Les gens oublient souvent, le garçon triste qu’il a été et ceux qui n’ont jamais connu ce petit enfant chétif, ne l’imagine pas un seul instant ainsi. « Ris et le monde rit avec toi, pleure et tu pleures seul », alors il a cessé de pleurer en affrontant ses cauchemars et s’est mis à rire, à plein poumon, comme pour exorciser ses peurs, ses angoisses, ses démons. Traité de monstre, il s’est alors attaché à faire ce que seul, un être humain est capable de faire : sourire et rire. Il est tout écorché, mais il rit. Et parce que ces ombres s’incarnent en une seule et même personne, il a alors quitté cette maison, laissant derrière lui cette armoire devenue trop petite, ce piano rempli de souvenir, et tous les souvenirs teintés de noir. Quand ? Un beau jour sans crier gare, au milieu d’une après-midi ensoleillée, un ciel dégagé estival, le rire des enfants au loin, les ombres tranquilles sous le feuillage des arbres ; une belle journée, et sur un coup de tête, il est parti sans jamais revenir.
En grandissant, l’armoire est devenue trop étroite et l’enfant, devenu adolescent, a cessé de se cacher. Parce qu’il n’avait nulle part où aller, il a dû faire face à ses démons, tête baissé, poings serrés, et sur ces lèvres, un sourire qui n’en était pas un. Il ne peut plus fuir, si ce n’est subir. Les coups marquent sa peau, lacèrent son cœur, détruisent son âme mais il tient bon ; malgré lui, il respire, encore. Combien de fois, avait-il souhaité que sa douleur éclate comme les bulles de savon des souffleurs, qu’il puisse s’envoler tel des dent-de-lion pour ne plus jamais revenir, s’évaporer telle la rosée du matin aux premiers rayons du jour. Le vide l’attire, la gravité l’appelle inlassablement, mais il est trop lâche pour prendre son envol, trop peureux pour se résoudre à s’effacer définitivement. Abandonner, il ne fait que ça et pourtant, abandonner pour de bon, il n’y arrive pas. Il se trouve pathétique. Les excuses sont toujours les mêmes, si bien qu’elles peuvent et sonnent terriblement fausses, il le sait mais il ne peut s’empêcher de s’y raccrocher, désespérément alors que tout le pousse à lâche prise. Il est risible, même son propre reflet est difficile à supporter. La souffrance est devenue un fardeau, et avec le temps, une routine.
À peine devenu adulte et déjà couvert de cicatrices, des blessures plus profondes les unes que les autres. Il est meurtri, mais la façon dont il sourit et rit éclipse le reste. Les gens oublient souvent, le garçon triste qu’il a été et ceux qui n’ont jamais connu ce petit enfant chétif, ne l’imagine pas un seul instant ainsi. « Ris et le monde rit avec toi, pleure et tu pleures seul », alors il a cessé de pleurer en affrontant ses cauchemars et s’est mis à rire, à plein poumon, comme pour exorciser ses peurs, ses angoisses, ses démons. Traité de monstre, il s’est alors attaché à faire ce que seul, un être humain est capable de faire : sourire et rire. Il est tout écorché, mais il rit. Et parce que ces ombres s’incarnent en une seule et même personne, il a alors quitté cette maison, laissant derrière lui cette armoire devenue trop petite, ce piano rempli de souvenir, et tous les souvenirs teintés de noir. Quand ? Un beau jour sans crier gare, au milieu d’une après-midi ensoleillée, un ciel dégagé estival, le rire des enfants au loin, les ombres tranquilles sous le feuillage des arbres ; une belle journée, et sur un coup de tête, il est parti sans jamais revenir.
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Re: ong seo eon ☾ spring always comes back. | Dim 11 Fév - 21:33 Citer EditerSupprimer
First
Edit :
MON PAIRIIIIIIIIIIIIIIIING
APRES TANT D'ATTENTES À CAUSE DE CES FOUTUS PARTIELS ET COURS TU ES LÀ, ON VA ÊTRE HEUREUX TOI ET MOI
On va rendre tout le monde jaloux toi et moi
Bref je crois que t'as compris comment je t'ai attendu et comment je t'aime
Edit :
- Je vole vers toi :
APRES TANT D'ATTENTES À CAUSE DE CES FOUTUS PARTIELS ET COURS TU ES LÀ, ON VA ÊTRE HEUREUX TOI ET MOI
- Je te fais du charme babe :
- Ce sourire il est à toi :
On va rendre tout le monde jaloux toi et moi
- Regarde comment t'es beau:
- Ca c'est moi en voyant comment t'es beau:
Bref je crois que t'as compris comment je t'ai attendu et comment je t'aime
Han Seok Won
❝ LEGENDARY SHAKER ❅ ICE PRINCE
Pseudo : Hellvia
Célébrité : Park Sung Hoon (ENHYPEN)
Messages : 3365
Âge : 22
Re: ong seo eon ☾ spring always comes back. | Dim 11 Fév - 21:33 Citer EditerSupprimer
ah ben enfin
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❝ tonight i'll need you to stay ❞
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Re: ong seo eon ☾ spring always comes back. | Dim 11 Fév - 21:43 Citer EditerSupprimer
Bienvenue ! Ton histoire est trop émouvante !
J'ai hâte de lire le peu qui te reste à finir.
Aja fighting !!!!
J'ai hâte de lire le peu qui te reste à finir.
Aja fighting !!!!
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Re: ong seo eon ☾ spring always comes back. | Dim 11 Fév - 22:06 Citer EditerSupprimer
REBIENVENUEE
bon courage pour ton caractère du coup
bon courage pour ton caractère du coup
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Re: ong seo eon ☾ spring always comes back. | Ven 16 Fév - 19:07 Citer EditerSupprimer
Cachez-vous, un beau gosse fait son entrée
Rebienvenue et bonne chance pour ta fiche
Rebienvenue et bonne chance pour ta fiche
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Re: ong seo eon ☾ spring always comes back. | Dim 18 Fév - 17:25 Citer EditerSupprimer
AURAS-TU BESOIN D'UN DELAI?
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