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Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . . (ft. Kerli)
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Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . . (ft. Kerli) | Lun 19 Fév - 23:23
Un verre en main, le jeune homme sillonne les quelques personnes présentes à la soirée, essayant de trouver une potentielle proie pour satisfaire sa nuit qui s’annonce mouvementer. Malheureusement et pour son plus grand désespoir il ne trouve aucune personne pouvant lui convenir, ou alors est-ce parce qu’il n’est simplement pas d’humeur aujourd’hui. Il faut dire que ces derniers temps sa vie est particulièrement mouvementée, ressemblant plus à un véritable chaos qu’à quelque chose de concret. Entre ses longues journées, interminables, à courir entre les lits de l’hôpital et son travail illégal en tant que médecin pour le côté obscur de la ville, il n’a pas le temps de souffler, ni même d’en profiter. Si ce soir il est là c’est uniquement parce que ses supérieurs lui ont ordonné de faire une pause, en voyant son corps s’affaiblir de jour en jour, l’intimant de se reposer. Mais Ha Jun ne connait pas vraiment le repos. Il n’a pas vraiment le sens du repos, et encore moins des vacances. Il a besoin d’être actif et même malade il se sent dans l’obligation de se déplacer, quelque part, de faire quelque chose de ses journées ou de ses soirées. Il aurait pu se reposer, juste dormir, profiter d’une nuit paisible, mais non, il préfère en profiter autrement. Il préfère faire sa pause autrement, de manière plus personnelle. Sortir c’est se reposer aussi, c’est changer d’air, c’est respirer. Du moins seulement si on s’amuse et pour le moment il ne s’amuse pas. Pas assez à son goût. Il s’en va donc vers le bar, son verre étant complètement vide, s’en allant en commander un autre, bien plus fort, pour pouvoir en profiter au maximum. Il ne veut pas non plus finir ivre, il veut juste boire quelques verres, se sentir juste assez différent, mais pas trop. Et alors qu’il s’avance vers le bar, et qu’il commande un double whisky, il la voit. Elle. Sa tigresse favorite. Kerli. Il ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire, sa soirée prenant une toute autre tournure. Elle va le sauver de l’ennui, c’est certain. Il demande alors au barman un autre cocktail pour les yeux de sa tigresse, attendant qu’il ait terminé sa commande pour s’en aller, les mains pleines, jusqu’à sa proie du soir. Doucement il approche ses lèvres de son oreille, alors qu’elle est de dos, glissant quelques mots au creux de celle-ci, « je vous dérange ? ». Sourire taquin, voix grave, il s’en va se mettre face à elle, lui glissant son verre. « Je pensais que j’allais m’ennuyer ce soir mais au loin j’ai vu une magnifique créature, semblant seule et je me suis dit pourquoi pas ne pas être son chevalier servant, pour la soirée ». Et il rigole, amenant son verre jusqu’à ses lèvres, continuant de regarder la jeune femme, avec cet air de prédateur. La soirée peut enfin débuter.
Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . .
Feat Kerli
Un verre en main, le jeune homme sillonne les quelques personnes présentes à la soirée, essayant de trouver une potentielle proie pour satisfaire sa nuit qui s’annonce mouvementer. Malheureusement et pour son plus grand désespoir il ne trouve aucune personne pouvant lui convenir, ou alors est-ce parce qu’il n’est simplement pas d’humeur aujourd’hui. Il faut dire que ces derniers temps sa vie est particulièrement mouvementée, ressemblant plus à un véritable chaos qu’à quelque chose de concret. Entre ses longues journées, interminables, à courir entre les lits de l’hôpital et son travail illégal en tant que médecin pour le côté obscur de la ville, il n’a pas le temps de souffler, ni même d’en profiter. Si ce soir il est là c’est uniquement parce que ses supérieurs lui ont ordonné de faire une pause, en voyant son corps s’affaiblir de jour en jour, l’intimant de se reposer. Mais Ha Jun ne connait pas vraiment le repos. Il n’a pas vraiment le sens du repos, et encore moins des vacances. Il a besoin d’être actif et même malade il se sent dans l’obligation de se déplacer, quelque part, de faire quelque chose de ses journées ou de ses soirées. Il aurait pu se reposer, juste dormir, profiter d’une nuit paisible, mais non, il préfère en profiter autrement. Il préfère faire sa pause autrement, de manière plus personnelle. Sortir c’est se reposer aussi, c’est changer d’air, c’est respirer. Du moins seulement si on s’amuse et pour le moment il ne s’amuse pas. Pas assez à son goût. Il s’en va donc vers le bar, son verre étant complètement vide, s’en allant en commander un autre, bien plus fort, pour pouvoir en profiter au maximum. Il ne veut pas non plus finir ivre, il veut juste boire quelques verres, se sentir juste assez différent, mais pas trop. Et alors qu’il s’avance vers le bar, et qu’il commande un double whisky, il la voit. Elle. Sa tigresse favorite. Kerli. Il ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire, sa soirée prenant une toute autre tournure. Elle va le sauver de l’ennui, c’est certain. Il demande alors au barman un autre cocktail pour les yeux de sa tigresse, attendant qu’il ait terminé sa commande pour s’en aller, les mains pleines, jusqu’à sa proie du soir. Doucement il approche ses lèvres de son oreille, alors qu’elle est de dos, glissant quelques mots au creux de celle-ci, « je vous dérange ? ». Sourire taquin, voix grave, il s’en va se mettre face à elle, lui glissant son verre. « Je pensais que j’allais m’ennuyer ce soir mais au loin j’ai vu une magnifique créature, semblant seule et je me suis dit pourquoi pas ne pas être son chevalier servant, pour la soirée ». Et il rigole, amenant son verre jusqu’à ses lèvres, continuant de regarder la jeune femme, avec cet air de prédateur. La soirée peut enfin débuter. Invité
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Re: Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . . (ft. Kerli) | Mer 21 Fév - 4:28
J'étais assise près du bar. Balayant chaque individu qui s'entoure de la chaleur corporelle d'inconnus et d'étreinte familière. Je ne pouvais m'empêcher d'observer ce décor tirer d'un pays non loin d'ici. Chaque détail avait été si bien penser. Je ressentais ce petit dépaysement. Celui que nous ressentons lors des voyages éloigner de notre lieu de naissance. Elle nous fait signe de la main que nous sommes les bienvenues, mais que nous ne sommes pas chez nous. Mais, je n'étais pas assise telle une femme désespérer pour admirer la beauté du lieu. Au contraire ! Je m'étais moi-même invitée afin de me libérer de ce noeud qui ne me quittait plus depuis quelques jours. Il avait eu cet évènement qui était commis par ma propre personne. Quelle stupidité de n'avoir aucune gêne ni crainte. Encore que je sois toujours persuadée de ne pas être la cause. Il devait franchir ce petit capte qui ébranlait leurs mondes imaginaires de la stabilité. Elle pouvait bien se cacher derrière un voile, mais je n'étais pas la cause principale. Il faut dire que j'ai simplement avancé la situation malheureuse. Cependant, la prise de tête dont nous avons eux m'ébranle toujours. Je ne savais ni comment réagir ni comment appréhender la tournure que nous avons choisie. J'étais le tableau maudit au mur. Celui dont la malédiction frappe toujours lors de mauvais moments. Il n'y a pas d'autre image. Que je le souhaite ou non, j'avais été blessée. Il n'y a pas de fierté dans mes actes. Alors, je ne voulais qu'une chose. Tout oublier ! Tout abandonner derrière moi. Tournant la page vers un autre chapitre. Je me retournais vers le barman et commandais mon deuxième verre. Si doré ! Si amer ! Je le prends entre mon pouce et mon index en le tenant faiblement. Je fis tourner les glaçons dans un mouvement de main répétitif. J'observais la glace se frapper une contre l'autre en laissant derrière eux un bruit de cassure. Surprise, je stoppais mon mouvement en les observant. Une d'entre elles venait de se fissurer. Je mordille ma lèvre du bas avant de porter le verre vers ma bouche. J'entrouvre les lèvres et laissait ce nectar descendre contre ma langue. Caressant ma gorge en provoquant une sensation de brûlure éminente. Quel goût amer ! Je détestais l'odeur du whisky ! Mais le goût est un délice ! Il m'était impossible toutefois de refuser ce petit liquide pouvant me transformer sous des yeux bien curieux. Je devrais remercier Dieu de m'avoir offert un corps résistant à l'alcool sinon comment aurais-je réagi après deux verres. Je soupirais derrière ma situation. J'avais besoin de me distraire afin d'oublier tout. Je voulais m'amuser en goutant le plaisir charnel. Après tout, ce geste pécheresse comme certaine dirait, avait avant tout l'incroyable pouvoir de nous faire perdre la tête. J'en étais une preuve vivante. Il s'agissait d'une drogue. D'une dépendance délicieuse. Pourquoi le caché ? Il s'agit d'un moment de détente. Et avant tout un moyen d'évacuer le stresse de la meilleure manière possible. Elle était gratuite et disponible sous toutes les formes et sous toutes options. Il fallait simplement être minutieux lors de la sélection. Pour la mienne, elle était à réviser. Mais, je l'apprécie alors je ne changerais pas. Je déposais mon verre vide sur le comptoir en souriant au barman qui me regarda surpris. N'avait-il jamais vu une blanche boire ? Est-il si idiot ! Je soupirais sous mes réflexions. Comment puis-je respirer tranquillement alors qu'un abruti ne pouvait pas faire son travail correctement. Je poussais vers lui le verre en lui disant que je vais réfléchir à mon autre breuvage.. Je ne pouvais plus supporter le goût. Cependant, j'allais surement reprendre la même chose. Je supportais les boissons sucrées, soit douces. Il me fallait une saveur forte. Qui nous reste en bouche. Ma langue sortit pour lui faire une grimace. Je trouvais ce monde qui nous entoure très artificiel. Je ne me faisais toujours pas à l'idée ! Dire que je vis ici depuis maintenant vingt ans. Est-ce possible de trouver dans cette soirée une personne n'ayant pas reçu en cadeau de ses parents une dizaine de chirurgies ? Quel ennui ! Je détournais mon regard sur deux hommes parlant derrière fois et me tournais aussi rapidement que possible. D'accord ! Une ou deux chirurgies seraient les bienvenues ! Je n'ai pas envie de me faire un popotin de singe non plus. Ce n'était peut-être pas la meilleure soirée pour venir aujourd'hui. Je délaissais le comptoir pour me rendre à une table non loin de là. Je m'appuie contre celle-ci en révélant mes atouts. Les formes cachées derrière ce haut moulant laissaient entrevoir une vue plongeante vers ma poitrine. Tandis que cette jupe moulante dévoile mes hanches bien proportionner. Cette tenue dévoile ainsi les tatouages parcourant mon corps. Je sors de mon sac mon téléphone en regardant la liste de mes contacts qui se faufilait sous mes doigts. Devrais-je appeler une personne ? C'est alors qu'une voix apparut. Laissant à mon corps des frissons. Je savais pertinemment à qui elle appartenait. Mes lèvres s'étirent alors qu'il vient me rejoindre. S'installant devant moi, mes yeux se délectent de sa présence. Je regardais avec curiosité le verre qui m'offrait en le glissant vers moi. Je l'attrapai entre ma main. Je levais le verre moi en penchant la tête vers mon épaule. Je le regardais du coin de l'oeil. Un de plus ! Tandis que mon regard observait ce contenant, sa voix me fit revenir vers lui. Je déposais le verre contre mes lèvres rosées et laissa le liquide descendre en moi. Une mince gorgée, car son commentaire me porta à rire. Il me cherchait ? Moi ? Ai-je réellement besoin d'un chevalier servant ? Une magnifique créature ? Il aurait pu aussi rajouter une charmante diablesse ! ''Toi ? Un chevalier servant ?'' le questionnais-je avec une idée en tête. '' Tu as peut-être tord de te surnommer ainsi. Je pourrais te prendre au sérieux surtout sur le mot S-E-R-V-A-N-T'' dis-je en laissant le dernier mot prendre une autre tournure dans ma bouche. Je baisais les yeux vers ses lèvres avant de les lever vers ses yeux. Soutenant ainsi son regard ténébreux. ''Il faudrait peut-être revoir ton répertoire de drague, non ? Merci pour le verre. '' Dis-je en tirant la langue entre mes lèvres. Je prends une nouvelle gorger en savourant ce moment. Le plaisir allait vraiment commencer. .
Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . .
Feat Ha Jun
J'étais assise près du bar. Balayant chaque individu qui s'entoure de la chaleur corporelle d'inconnus et d'étreinte familière. Je ne pouvais m'empêcher d'observer ce décor tirer d'un pays non loin d'ici. Chaque détail avait été si bien penser. Je ressentais ce petit dépaysement. Celui que nous ressentons lors des voyages éloigner de notre lieu de naissance. Elle nous fait signe de la main que nous sommes les bienvenues, mais que nous ne sommes pas chez nous. Mais, je n'étais pas assise telle une femme désespérer pour admirer la beauté du lieu. Au contraire ! Je m'étais moi-même invitée afin de me libérer de ce noeud qui ne me quittait plus depuis quelques jours. Il avait eu cet évènement qui était commis par ma propre personne. Quelle stupidité de n'avoir aucune gêne ni crainte. Encore que je sois toujours persuadée de ne pas être la cause. Il devait franchir ce petit capte qui ébranlait leurs mondes imaginaires de la stabilité. Elle pouvait bien se cacher derrière un voile, mais je n'étais pas la cause principale. Il faut dire que j'ai simplement avancé la situation malheureuse. Cependant, la prise de tête dont nous avons eux m'ébranle toujours. Je ne savais ni comment réagir ni comment appréhender la tournure que nous avons choisie. J'étais le tableau maudit au mur. Celui dont la malédiction frappe toujours lors de mauvais moments. Il n'y a pas d'autre image. Que je le souhaite ou non, j'avais été blessée. Il n'y a pas de fierté dans mes actes. Alors, je ne voulais qu'une chose. Tout oublier ! Tout abandonner derrière moi. Tournant la page vers un autre chapitre. Je me retournais vers le barman et commandais mon deuxième verre. Si doré ! Si amer ! Je le prends entre mon pouce et mon index en le tenant faiblement. Je fis tourner les glaçons dans un mouvement de main répétitif. J'observais la glace se frapper une contre l'autre en laissant derrière eux un bruit de cassure. Surprise, je stoppais mon mouvement en les observant. Une d'entre elles venait de se fissurer. Je mordille ma lèvre du bas avant de porter le verre vers ma bouche. J'entrouvre les lèvres et laissait ce nectar descendre contre ma langue. Caressant ma gorge en provoquant une sensation de brûlure éminente. Quel goût amer ! Je détestais l'odeur du whisky ! Mais le goût est un délice ! Il m'était impossible toutefois de refuser ce petit liquide pouvant me transformer sous des yeux bien curieux. Je devrais remercier Dieu de m'avoir offert un corps résistant à l'alcool sinon comment aurais-je réagi après deux verres. Je soupirais derrière ma situation. J'avais besoin de me distraire afin d'oublier tout. Je voulais m'amuser en goutant le plaisir charnel. Après tout, ce geste pécheresse comme certaine dirait, avait avant tout l'incroyable pouvoir de nous faire perdre la tête. J'en étais une preuve vivante. Il s'agissait d'une drogue. D'une dépendance délicieuse. Pourquoi le caché ? Il s'agit d'un moment de détente. Et avant tout un moyen d'évacuer le stresse de la meilleure manière possible. Elle était gratuite et disponible sous toutes les formes et sous toutes options. Il fallait simplement être minutieux lors de la sélection. Pour la mienne, elle était à réviser. Mais, je l'apprécie alors je ne changerais pas. Je déposais mon verre vide sur le comptoir en souriant au barman qui me regarda surpris. N'avait-il jamais vu une blanche boire ? Est-il si idiot ! Je soupirais sous mes réflexions. Comment puis-je respirer tranquillement alors qu'un abruti ne pouvait pas faire son travail correctement. Je poussais vers lui le verre en lui disant que je vais réfléchir à mon autre breuvage.. Je ne pouvais plus supporter le goût. Cependant, j'allais surement reprendre la même chose. Je supportais les boissons sucrées, soit douces. Il me fallait une saveur forte. Qui nous reste en bouche. Ma langue sortit pour lui faire une grimace. Je trouvais ce monde qui nous entoure très artificiel. Je ne me faisais toujours pas à l'idée ! Dire que je vis ici depuis maintenant vingt ans. Est-ce possible de trouver dans cette soirée une personne n'ayant pas reçu en cadeau de ses parents une dizaine de chirurgies ? Quel ennui ! Je détournais mon regard sur deux hommes parlant derrière fois et me tournais aussi rapidement que possible. D'accord ! Une ou deux chirurgies seraient les bienvenues ! Je n'ai pas envie de me faire un popotin de singe non plus. Ce n'était peut-être pas la meilleure soirée pour venir aujourd'hui. Je délaissais le comptoir pour me rendre à une table non loin de là. Je m'appuie contre celle-ci en révélant mes atouts. Les formes cachées derrière ce haut moulant laissaient entrevoir une vue plongeante vers ma poitrine. Tandis que cette jupe moulante dévoile mes hanches bien proportionner. Cette tenue dévoile ainsi les tatouages parcourant mon corps. Je sors de mon sac mon téléphone en regardant la liste de mes contacts qui se faufilait sous mes doigts. Devrais-je appeler une personne ? C'est alors qu'une voix apparut. Laissant à mon corps des frissons. Je savais pertinemment à qui elle appartenait. Mes lèvres s'étirent alors qu'il vient me rejoindre. S'installant devant moi, mes yeux se délectent de sa présence. Je regardais avec curiosité le verre qui m'offrait en le glissant vers moi. Je l'attrapai entre ma main. Je levais le verre moi en penchant la tête vers mon épaule. Je le regardais du coin de l'oeil. Un de plus ! Tandis que mon regard observait ce contenant, sa voix me fit revenir vers lui. Je déposais le verre contre mes lèvres rosées et laissa le liquide descendre en moi. Une mince gorgée, car son commentaire me porta à rire. Il me cherchait ? Moi ? Ai-je réellement besoin d'un chevalier servant ? Une magnifique créature ? Il aurait pu aussi rajouter une charmante diablesse ! ''Toi ? Un chevalier servant ?'' le questionnais-je avec une idée en tête. '' Tu as peut-être tord de te surnommer ainsi. Je pourrais te prendre au sérieux surtout sur le mot S-E-R-V-A-N-T'' dis-je en laissant le dernier mot prendre une autre tournure dans ma bouche. Je baisais les yeux vers ses lèvres avant de les lever vers ses yeux. Soutenant ainsi son regard ténébreux. ''Il faudrait peut-être revoir ton répertoire de drague, non ? Merci pour le verre. '' Dis-je en tirant la langue entre mes lèvres. Je prends une nouvelle gorger en savourant ce moment. Le plaisir allait vraiment commencer. .
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Re: Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . . (ft. Kerli) | Jeu 22 Fév - 21:50
Quand le chat trouve sa souris, il ne la lâche plus. Non pas parce qu’il désire la manger, mais plutôt parce qu’il aime jouer avec elle, trouvant ce jeu de plus en plus dangereux et excitant, pour pouvoir, plus tard, se délecter de sa chair. C’est exactement ce que Ha Jun ressent lorsqu’il voit Kerli, cette déesse au corps de rêve qu’il n’a jamais pu, pour le moment, toucher. Mais il compte bien le faire, un jour, un soir. Peut-être ce soir. Tout peut aller vite, comme très lentement. Il peut être surpris, ou même faire quelques surprises. Enfin qu’importe, ce soir il va encore s’amuser avec sa souris. Une souris qui ne semble pas refuser sa présence, bien au contraire. Elle joue le jeu, avec lui. Il s’installe donc confortablement sur sa chaise, prêt à débuter les hostilités, ne se gênant pas pour la regarder, de la tête aux pieds, sourire au coin, charmée par les courbes de la jeune femme et sa tenue si attirante. Il s’imprègne de son regard, quelques instants, sourire charmeur, buvant quelques gorgées de son nectar, sentant la chaleur qui lui brûle la gorge, ressentant un vif plaisir. Il rigole quand elle modifie le mot servant, à sa guise, la trouvant particulièrement amusante ce soir. Il n’est pas contre cette représentation du mot servant, bien au contraire, même s’il lui dirait que c’est plutôt elle qui risque d’être sa servante. Ou peut-être qu’ils le seront tous les deux. « Ne puis-je pas être tout simplement ton maître ? Ou devrais-tu être ma maîtresse ? ». Il arque un sourcil, se sentant soudainement provocateur, désireux de continuer ce jeu de séduction. Il ne sait pas où cette soirée va aller, ni même comment elle va finir, mais le simple fait de l’avoir en tant que compagne du soir lui plait déjà fortement. Il fait mine alors d’être vexé quand elle lui demande de revoir sa méthode de drague. « Vraiment ? Moi qui pensais que ma technique te plaisait, je suis déçu ». Il dépose son verre, avançant légèrement sa chaise vers la jeune femme, pour s’en rapprocher. Il se penche en avant pour venir lui susurrer quelques mots, pour qu’elle soit la seule à les entendre, « mais peut-être que je devrai te montrer une autre technique » dit-il en posant, sans aucune pudeur, sa main sur la cuisse la jeune femme, caressant du bout de ses doigts le tissu. Il s’éloigne alors d’elle, enlevant par la même occasion sa main, gardant néanmoins ce sourire mesquin, regardant alors le bar rempli de personnes. « J’espère que tu es venue seule car je risque de te . . . happer pour ce soir ». Et encore le mot est faible.
Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . .
Feat Kerli
Quand le chat trouve sa souris, il ne la lâche plus. Non pas parce qu’il désire la manger, mais plutôt parce qu’il aime jouer avec elle, trouvant ce jeu de plus en plus dangereux et excitant, pour pouvoir, plus tard, se délecter de sa chair. C’est exactement ce que Ha Jun ressent lorsqu’il voit Kerli, cette déesse au corps de rêve qu’il n’a jamais pu, pour le moment, toucher. Mais il compte bien le faire, un jour, un soir. Peut-être ce soir. Tout peut aller vite, comme très lentement. Il peut être surpris, ou même faire quelques surprises. Enfin qu’importe, ce soir il va encore s’amuser avec sa souris. Une souris qui ne semble pas refuser sa présence, bien au contraire. Elle joue le jeu, avec lui. Il s’installe donc confortablement sur sa chaise, prêt à débuter les hostilités, ne se gênant pas pour la regarder, de la tête aux pieds, sourire au coin, charmée par les courbes de la jeune femme et sa tenue si attirante. Il s’imprègne de son regard, quelques instants, sourire charmeur, buvant quelques gorgées de son nectar, sentant la chaleur qui lui brûle la gorge, ressentant un vif plaisir. Il rigole quand elle modifie le mot servant, à sa guise, la trouvant particulièrement amusante ce soir. Il n’est pas contre cette représentation du mot servant, bien au contraire, même s’il lui dirait que c’est plutôt elle qui risque d’être sa servante. Ou peut-être qu’ils le seront tous les deux. « Ne puis-je pas être tout simplement ton maître ? Ou devrais-tu être ma maîtresse ? ». Il arque un sourcil, se sentant soudainement provocateur, désireux de continuer ce jeu de séduction. Il ne sait pas où cette soirée va aller, ni même comment elle va finir, mais le simple fait de l’avoir en tant que compagne du soir lui plait déjà fortement. Il fait mine alors d’être vexé quand elle lui demande de revoir sa méthode de drague. « Vraiment ? Moi qui pensais que ma technique te plaisait, je suis déçu ». Il dépose son verre, avançant légèrement sa chaise vers la jeune femme, pour s’en rapprocher. Il se penche en avant pour venir lui susurrer quelques mots, pour qu’elle soit la seule à les entendre, « mais peut-être que je devrai te montrer une autre technique » dit-il en posant, sans aucune pudeur, sa main sur la cuisse la jeune femme, caressant du bout de ses doigts le tissu. Il s’éloigne alors d’elle, enlevant par la même occasion sa main, gardant néanmoins ce sourire mesquin, regardant alors le bar rempli de personnes. « J’espère que tu es venue seule car je risque de te . . . happer pour ce soir ». Et encore le mot est faible. Invité
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Re: Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . . (ft. Kerli) | Sam 24 Fév - 5:08
Je me suis déjà questionnée sur la possibilité que ce monde qui nous entoure n'a aucune règle à priori. Nous avons certes ceux émis par l'homme, mais rien de plus. Ce qui est un avantage ! Il n'y a donc aucun libre arbitre qui vient mettre fin à notre épopée. Cela permets que mes choix sont un bénéfique et un désavantageux pour moi. À quoi bon vivre enfermer ? Nous apprenons de nos aventures. Je posais sur lui regard amuser. Il avait chez lui ce petit défi que j'apprécie. Il était le pion devant moi. Nous ne pouvons bouger, mais si nous déjouons les règles, il serait enlever le l'échiquier. Mes lèvres qui s'étiraient vers le haut prenaient un plaisir à entendre ses belles paroles me parvenir aux oreilles. Je savais très bien que n'avons jamais été très loin dans nos provocations, mais un jour la tigresse que je suis ne pourrait le supporter plus. Elle s'approchera de lui en laissant son corps monter sur le sien pour y déposer sa marque. Lorsqu'il répond à ma question par une seconde question qui en devait deux, un rire sort de moi. Comment puis-je ne pas trouver cela tentant. Je délaissais mon verre un instant pour me pencher vers lui en faisant signe de s'approcher avec mon index. ''Le secret derrière cette femme devant serait peut-être apprécie qu'on essais de la contrôler ! '' dis-je ne ne sachant que mes paroles pourraient ouvrir une porte. Je m'installe de nouveau correctement. J'apporte de nouveau le liquide verre mes lèvres en les entrouvrant. Je laissais cette eau dorée circuler sur ma langue se laissant glisser dans ma gorge. Je déposais le verre sur la table en le regard arquer le sourcil. Il sourit sans dire un mot. Ha Jun est arrivé au bon moment. Lorsque ma soirée commençait déjà mal ! Voilà que je peux jouer sur un terrain dangereux ! Quel délice ! ''Ha ! Dommage !'' dis-je avec une voix faussement triste. Alors que je m'apprêtais à changer mon point de vision, il s'approcha en me faisant sursauter. Que fait-il ? Quelle tentative cupide va-t-il commettre. Je le regardais songeuse. Suivant chaque geste qu'il fit. Il me surprit lorsque sa main se déposa contre ma cuisse. Malgré le tissu séparant celle-ci de ma peau, mon corps qui ne désirait qu'une chose réagit.. Le contacte de ses doigts qui forma un mouvement de caresse annonça le signal. Je ressent gravir sur chaque particule de mon corps criait et le suppliait de me toucher. Cette chose qui me sert d'enveloppe charnelle appréciait les avantages du corps humain. Néanmoins ce petit avertissement avait allumé en moi le bouton du jeu. Je souriais lorsqu'elle me délaissait alors qu'il rejoint sa place. Je dépose mon coude sur la table, appuyant ma joue à l'intérieur de ma main. Mes yeux envieux brillaient tel un félin apercevant une proie. Mon sourire rempli de banalité prit la forme de la provocation. Je plonge mon regard océanique dans le sien en mordillant ma lèvre du bas. Ha ! Le voilà qui affirme un désir. Avait-il si besoin de partager le lit d'une femme ? Le rire me monta à la gorge, mais je préférais l'étouffer pour le moment. Mais, un soupir narcissique apparu. Je ne quittais pas ses yeux brunâtres et d'une voix amuser ''Je suis peut-être venue accompagner ou avais-je l'espoir de te croiser.'' dis-je en étirant mon sourire. ''Vraiment ? Peut-être aurais tu eu une chance de plus si cette chose que tu as déposée sur moi avait descendu un peu plus loin à l'intérieur de ma cuisse'' laissais-je sortir doucement en prenant une douce voix provocatrice. Il ne fallait pas ! C'était une mauvaise idée de me laisser les portes ouvertes ! Je suis une grande parleuse et mes réponses sont faciles. C'est embêtant ! Cependant, ce soir, je m'amuse. ''Serais-tu apte a me happer comme tu le dis si bien ?'' le questionnais-je. Les mots sortant de ma bouche laissent entrevoir ce sentiment de pouvoir. Celui de la fille qui désire se faire contrôler. La femme cherchant a joué les rebelles, mais qui devient provocatrice et insupportable dans certains moments. Il prend une route bien dangereuse, mais qui peut avoir une réponse au bout.
Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . .
Feat Ha Jun
Je me suis déjà questionnée sur la possibilité que ce monde qui nous entoure n'a aucune règle à priori. Nous avons certes ceux émis par l'homme, mais rien de plus. Ce qui est un avantage ! Il n'y a donc aucun libre arbitre qui vient mettre fin à notre épopée. Cela permets que mes choix sont un bénéfique et un désavantageux pour moi. À quoi bon vivre enfermer ? Nous apprenons de nos aventures. Je posais sur lui regard amuser. Il avait chez lui ce petit défi que j'apprécie. Il était le pion devant moi. Nous ne pouvons bouger, mais si nous déjouons les règles, il serait enlever le l'échiquier. Mes lèvres qui s'étiraient vers le haut prenaient un plaisir à entendre ses belles paroles me parvenir aux oreilles. Je savais très bien que n'avons jamais été très loin dans nos provocations, mais un jour la tigresse que je suis ne pourrait le supporter plus. Elle s'approchera de lui en laissant son corps monter sur le sien pour y déposer sa marque. Lorsqu'il répond à ma question par une seconde question qui en devait deux, un rire sort de moi. Comment puis-je ne pas trouver cela tentant. Je délaissais mon verre un instant pour me pencher vers lui en faisant signe de s'approcher avec mon index. ''Le secret derrière cette femme devant serait peut-être apprécie qu'on essais de la contrôler ! '' dis-je ne ne sachant que mes paroles pourraient ouvrir une porte. Je m'installe de nouveau correctement. J'apporte de nouveau le liquide verre mes lèvres en les entrouvrant. Je laissais cette eau dorée circuler sur ma langue se laissant glisser dans ma gorge. Je déposais le verre sur la table en le regard arquer le sourcil. Il sourit sans dire un mot. Ha Jun est arrivé au bon moment. Lorsque ma soirée commençait déjà mal ! Voilà que je peux jouer sur un terrain dangereux ! Quel délice ! ''Ha ! Dommage !'' dis-je avec une voix faussement triste. Alors que je m'apprêtais à changer mon point de vision, il s'approcha en me faisant sursauter. Que fait-il ? Quelle tentative cupide va-t-il commettre. Je le regardais songeuse. Suivant chaque geste qu'il fit. Il me surprit lorsque sa main se déposa contre ma cuisse. Malgré le tissu séparant celle-ci de ma peau, mon corps qui ne désirait qu'une chose réagit.. Le contacte de ses doigts qui forma un mouvement de caresse annonça le signal. Je ressent gravir sur chaque particule de mon corps criait et le suppliait de me toucher. Cette chose qui me sert d'enveloppe charnelle appréciait les avantages du corps humain. Néanmoins ce petit avertissement avait allumé en moi le bouton du jeu. Je souriais lorsqu'elle me délaissait alors qu'il rejoint sa place. Je dépose mon coude sur la table, appuyant ma joue à l'intérieur de ma main. Mes yeux envieux brillaient tel un félin apercevant une proie. Mon sourire rempli de banalité prit la forme de la provocation. Je plonge mon regard océanique dans le sien en mordillant ma lèvre du bas. Ha ! Le voilà qui affirme un désir. Avait-il si besoin de partager le lit d'une femme ? Le rire me monta à la gorge, mais je préférais l'étouffer pour le moment. Mais, un soupir narcissique apparu. Je ne quittais pas ses yeux brunâtres et d'une voix amuser ''Je suis peut-être venue accompagner ou avais-je l'espoir de te croiser.'' dis-je en étirant mon sourire. ''Vraiment ? Peut-être aurais tu eu une chance de plus si cette chose que tu as déposée sur moi avait descendu un peu plus loin à l'intérieur de ma cuisse'' laissais-je sortir doucement en prenant une douce voix provocatrice. Il ne fallait pas ! C'était une mauvaise idée de me laisser les portes ouvertes ! Je suis une grande parleuse et mes réponses sont faciles. C'est embêtant ! Cependant, ce soir, je m'amuse. ''Serais-tu apte a me happer comme tu le dis si bien ?'' le questionnais-je. Les mots sortant de ma bouche laissent entrevoir ce sentiment de pouvoir. Celui de la fille qui désire se faire contrôler. La femme cherchant a joué les rebelles, mais qui devient provocatrice et insupportable dans certains moments. Il prend une route bien dangereuse, mais qui peut avoir une réponse au bout.Invité
Invité
Re: Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . . (ft. Kerli) | Dim 25 Fév - 22:14
Il rigole, de ce rire cristallin, qu’il connait si bien, sentant la bête joueuse venant lui dévorer, progressivement l’âme et le corps. De par ses paroles elle ouvre de nombreuses voies à de nombreuses possibilités, de nombreuses saveurs, peut-être dangereuses. « Et si je désire la contrôler » dit-il en arquant un sourcil, son regard rempli d’un certain entrain, et d’un vif désir, secrètement retenu depuis quelques rencontres déjà. Il faut dire que pour le moment, avec la jeune femme, le jeu est juste devenu un jeu, passionnel et tentateur, sans jamais aboutir à quelque chose de plus charnel. Parce que le jeu est parfois plus intéressant avant de goûter au fruit défendu. Il apporte ce plaisir intense lorsque le jeu prend enfin fin. C’est quand on n’a pas quelque chose qu’on la désire davantage et encore plus, c’est ce que les psychanalystes diraient, en tout cas. Il continue donc de séduire la jeune femme, essayant d’user d’un langage particulièrement séducteur, alliant même son regard, et ses gestes. Il la sent tressaillir sous ses caresses, ressentant un intense plaisir à la faire réagir. Lui-même réagit face à ce touché, qui le transporte ailleurs, pendant quelques secondes, se retrouvant seul face à elle, dans leur bulle, oubliant quelques secondes le lieu et les autres. Il voit dans son regard le même désir que lui, et sa lèvre qui se mordille légèrement, désireux d’y goûter. Il arque un sourcil lorsqu’elle lui dit qu’elle est peut-être accompagnée, ou bien elle l’attendait. Son sourire s’agrandit encore plus, ses yeux s’imprégnant de son regard. « Intéressant » dit-il simplement, se mettant alors à rire quand elle lui dit qu’il aurait pu aller plus loin à l’intérieur de sa cuisse. C’est si bien demandé, qu’il ne peut s’y refuser. « Mais peut-être que je peux me rattraper », il y a toujours moyen de se rattraper, surtout sur quelque chose de si particulier. Ce qui l’apprécie chez elle c’est qu’elle est au moins directe et n’attend pas de passer par 4 chemins pour dire les choses, elle n’est pas prude et sait où elle va. C’est bien pour cette raison qu’elle est sa proie préférée. Au moins il s’amuse à ses côtés. Elle n’est pas comme les autres. Si banales sont-elles. Il se met alors debout, face à la jeune femme, s’approchant de nouveau d’elle, dégageant quelques mèches qu’il vient déposer derrière son oreille. « Ne m’en crois-tu pas capable ? », doucement ses doigts viennent caresser la peau de la jeune femme, remontant délicatement jusqu’à sa joue, qu’il caresse du bout de ses doigts, sourire mesquin sur les lèvres. Il s’approche un peu plus de la jeune femme, venant frôler ses lèvres, sans réellement les toucher, pour mieux s’amuser, s’éloignant juste après. « Je te prouverai le contraire », il prend son verre et le finit d’une traite, gardant son regard ancré dans celui de sa partenaire. Il lui tend ensuite la main, « souhaites-tu m’accompagner sur la piste de danse, histoire que l’on puisse . . . . s’échauffer ». Rien de mieux qu’un entraînement avant de passer aux choses bien plus sérieuses. Sans même lui demander son accord, il lui prend alors la main, l’entrainant sur la piste, au rythme de la musique. Doucement il vient prendre la jeune femme par la taille, la rapprochant un peu plus de lui, collant presque son corps au sien, tout en maintenant une infime distance. Il vient alors susurrer quelques paroles au creux de son oreille, « j’espère que tu vas bien t’amuser ». Mais il n’en doute pas une seule seconde, il sait qu’elle est entre de bonnes mains.
Pour un flirt avec toi, je ferai n'importe quoi . . .
Feat Kerli
Il rigole, de ce rire cristallin, qu’il connait si bien, sentant la bête joueuse venant lui dévorer, progressivement l’âme et le corps. De par ses paroles elle ouvre de nombreuses voies à de nombreuses possibilités, de nombreuses saveurs, peut-être dangereuses. « Et si je désire la contrôler » dit-il en arquant un sourcil, son regard rempli d’un certain entrain, et d’un vif désir, secrètement retenu depuis quelques rencontres déjà. Il faut dire que pour le moment, avec la jeune femme, le jeu est juste devenu un jeu, passionnel et tentateur, sans jamais aboutir à quelque chose de plus charnel. Parce que le jeu est parfois plus intéressant avant de goûter au fruit défendu. Il apporte ce plaisir intense lorsque le jeu prend enfin fin. C’est quand on n’a pas quelque chose qu’on la désire davantage et encore plus, c’est ce que les psychanalystes diraient, en tout cas. Il continue donc de séduire la jeune femme, essayant d’user d’un langage particulièrement séducteur, alliant même son regard, et ses gestes. Il la sent tressaillir sous ses caresses, ressentant un intense plaisir à la faire réagir. Lui-même réagit face à ce touché, qui le transporte ailleurs, pendant quelques secondes, se retrouvant seul face à elle, dans leur bulle, oubliant quelques secondes le lieu et les autres. Il voit dans son regard le même désir que lui, et sa lèvre qui se mordille légèrement, désireux d’y goûter. Il arque un sourcil lorsqu’elle lui dit qu’elle est peut-être accompagnée, ou bien elle l’attendait. Son sourire s’agrandit encore plus, ses yeux s’imprégnant de son regard. « Intéressant » dit-il simplement, se mettant alors à rire quand elle lui dit qu’il aurait pu aller plus loin à l’intérieur de sa cuisse. C’est si bien demandé, qu’il ne peut s’y refuser. « Mais peut-être que je peux me rattraper », il y a toujours moyen de se rattraper, surtout sur quelque chose de si particulier. Ce qui l’apprécie chez elle c’est qu’elle est au moins directe et n’attend pas de passer par 4 chemins pour dire les choses, elle n’est pas prude et sait où elle va. C’est bien pour cette raison qu’elle est sa proie préférée. Au moins il s’amuse à ses côtés. Elle n’est pas comme les autres. Si banales sont-elles. Il se met alors debout, face à la jeune femme, s’approchant de nouveau d’elle, dégageant quelques mèches qu’il vient déposer derrière son oreille. « Ne m’en crois-tu pas capable ? », doucement ses doigts viennent caresser la peau de la jeune femme, remontant délicatement jusqu’à sa joue, qu’il caresse du bout de ses doigts, sourire mesquin sur les lèvres. Il s’approche un peu plus de la jeune femme, venant frôler ses lèvres, sans réellement les toucher, pour mieux s’amuser, s’éloignant juste après. « Je te prouverai le contraire », il prend son verre et le finit d’une traite, gardant son regard ancré dans celui de sa partenaire. Il lui tend ensuite la main, « souhaites-tu m’accompagner sur la piste de danse, histoire que l’on puisse . . . . s’échauffer ». Rien de mieux qu’un entraînement avant de passer aux choses bien plus sérieuses. Sans même lui demander son accord, il lui prend alors la main, l’entrainant sur la piste, au rythme de la musique. Doucement il vient prendre la jeune femme par la taille, la rapprochant un peu plus de lui, collant presque son corps au sien, tout en maintenant une infime distance. Il vient alors susurrer quelques paroles au creux de son oreille, « j’espère que tu vas bien t’amuser ». Mais il n’en doute pas une seule seconde, il sait qu’elle est entre de bonnes mains. Contenu sponsorisé