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matsuo kuma ~ do i wanna know?
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matsuo kuma ~ do i wanna know? | Lun 5 Mar - 17:24 Citer EditerSupprimer
Matsuo Kuma
do i wanna know?
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Il parait que... « askip le mec il s'est endormi au volant de sa caisse, il a frôlé la mort. » FAUX. et allez, ça commence. ça va. c'est pas parce qu'il peut dormir n'importe où n'importe quand n'importe comment qu'il faut tout de suite inventer quelque chose d'aussi gros. « tu connais double face? t'sais le mec qui tire toujours à pile ou face? bah c'est lui. » VRAI. bon, pas toujours, mais il est vrai qu'il prend parfois des décisions de manière hasardeuse grâce à une pièce. il pense que le destin pourrait nous indiquer certaines choses de cette manière. « il a une fille de 10 mois. » VRAI. papa de sakura. il est peut-être trop jeune pour être papa mais la vie ne lui a pas laissé le choix. pourtant, il n'a jamais considéré sa fille comme une erreur, elle n'était juste pas prévu, il n'était pas prêt. il n'est peut-être pas le papa parfait mais il fait de son mieux, il ne voit plus sa vie sans sa fille maintenant. « il a volé la copine de sa sœur, dans le genre batard tu fais pas mieux. » FAUX. aux yeux de tout le monde, kuma vivait une relation avec une fille mais ce n'était pas le cas. cette fille n'était autre que la petite amie de sa soeur. les deux jeunes femmes n'étant pas prêtes à faire leur coming-out auprès de leurs familles riches et croyantes, kuma n'était qu'une couverture, il l'a accepté pour protéger sa soeur. il savait très bien que ses parents n'allaient pas accepter son homosexualité, pire, que ça allait lui coûter très cher. « il couche à droite à gauche, j'ose même pas imaginer combien de filles il a retourné. » VRAI. bah, on va pas se mentir. on est entre nous. et pour être tout à fait honnête avec vous, il ne couche pas qu'avec des femmes. il n'a aucune préférence, il n'est pas bien difficile. par contre, il se protège à chaque fois donc les rumeurs sur une quelconque mst peuvent s'arrêter là. et si vous vous posez des questions pour sakura... les préservatifs ne sont pas fiables à 100%. « la mère de sa fille l'aurait quitté parce qu'il serait trop insupportable. » FAUX. ils n'ont jamais été ensemble, c'est simple, kuma n'a jamais eu de relations sérieuses, l'amour ne lui fait pas peur mais il s'amuse, il n'a jamais eu l'occasion de se poser. la mère de sa fille n'était qu'une aventure, ils n'étaient pas amoureux. leur relation n'est pas la meilleure du monde, soyons clairs, ils ne se supporteraient jamais, ils ne sont pas fait pour être ensemble mais elle reste la mère de sa fille. même s'il adore l'embêter, parce que c'est dans sa nature, il n'a jamais manqué de respect à aucune personne, même si ce n'est pas sérieux, il met les choses aux claires avant tout. « il a fait médecine uniquement parce que ses parents le voulaient. » FAUX. ses grands-parents ont toujours eu des suivis médicaux pour diverses maladies, grâce aux hommes en blouses blanches, il a pu les avoir près de lui encore un long moment et lui aussi, a eu envie de jouer un rôle important. faire partie de ce milieu, sauver des vies mais surtout des familles. leur donner espoir comme on a pu le faire pour lui. « il a une bonne étoile, ce mec. » VRAI. c'est ce qu'il pense, souvent. je ne dirais pas qu'il a plus de chance qu'un autre de gagner à la loterie, ou qu'il risque d'un jour se réveiller milliardaire avec un job de rêve sans avoir rien foutu, mais il n'est pas le genre de mecs malchanceux. tout ce qu'il entreprend se passe plutôt bien, généralement. ce n'est pas toujours le cas mais en général, oui. « il cuisine comme un chef. » VRAI. ce n'est pas une passion pour lui, il doit être né avec la capacité de cuisiner de bonnes choses. il faut dire qu'il retient tout assez vite, il a une très bonne mémoire et n'a aucune difficultés à retenir une recette de cuisine, même s'il ne l'a lu qu'une seule fois. ça ne lui demande aucun effort et pour kuma, c'est bien ce qu'il lui faut. « il a fait partie d'une équipe de basket pendant des années. » VRAI. depuis tout petit, il a même été capitaine de l'équipe. il a toujours adoré ce sport qu'il a malheureusement dû arrêter avant de partir à l'armée suite à une blessure au genou. | Dis nous qui tu es ! il est libre kuma. y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler. confiant + kuma ne manque pas de confiance en lui, ça ne fait pas de lui le type le plus sûr de lui de la planète, non, loin de là, il se fait simplement confiance pour pas mal de choses. il faut dire qu'il n'a jamais été réellement pessimiste, qu'il ne se prend pas la tête et que des solutions, ça se trouve. en tout cas, il se fait assez confiance pour les trouver. borné + lorsqu'il a une idée derrière la tête, kuma ne l'as pas ailleurs. quand il est vraiment décidé à faire ou avoir quelque chose, il est presque impossible de lui faire changer d'avis. taquin + rien de bien méchant en soit mais la taquinerie, c'est son truc. surtout auprès de ses proches, à en suivre son optique, nous en avons qu'une et ça serait dommage de pas en profiter. d'ailleurs lui, il profite que trop bien. du moins... il en a beaucoup profité, c'est toujours le cas parfois mais beaucoup moins. être père engendre des responsabilités auxquelles on ne peut échapper et ça, il l'a bien compris. paresseux + je ne vous dis pas qu'il est fainéant, je vous dis simplement qu'il aime parfois traîner pendant des heures chez lui, à ne rien faire, rester en jogging devant la télé ou ailleurs. qu'il puisse dormir n'importe où n'importe quand sans aucun problème, d'ailleurs, ce n'est pas comme si ça ne lui ait jamais été arrivé. rancunier + il n'est pas du genre à pardonner facilement, kuma, il n'oublie jamais rien. que ça soit dans le sens positif ou négatif des choses, alors oui, il a tendance à se montrer un peu rancunier parfois. responsable + il reste jeune, la tête remplie de rêves et l'envie de profiter de la vie ne l'a jamais quitté, même encore maintenant. seulement, quelques petites choses ont changées, ses habitudes notamment, parce que oui. il est papa maintenant, il a la garde partagée de la petite sakura, il est encore jeune, il a bien conscience de ne pas être le père parfait et qu'il ne le sera sans doute jamais mais on ne peut pas lui retirer le fait de tout faire pour l'être. sa fille reçoit tellement d'amour qu'au final, c'est peut-être ça, qui fait de lui un bon papa. impatient + il déteste lorsque le temps le force à faire quelque chose. lui qui aime sa liberté, faire ce qu'il a envie quand il a envie, il a du mal à se montrer patient. rien de bien insupportable mais il s'impatiente un peu trop vite. libre + c'est tout ce qu'il souhaite, se sentir libre. dépendre de personne, faire ce qu'il veut quand il veut sans se soucier de rien, c'est son quotidien. pas de prise de tête avec lui, il profite de la vie dans tous les sens du terme. 24 ans, japonais, 1m82 ● étudiant en médecine, papa d'une petite fille qui a bientôt un an: sakura ● vendeur dans un magasin de jeux vidéos pour payer ses études ●souhaite devenir infirmier ● veut être libre, ne se prend pas la tête ● aime parfois remettre des décisions au fruit du hasard ● s'est fait passé pour le petit ami de la copine de sa soeur pendant plus d'un an afin qu'elles puissent cacher leur homosexualité aux yeux de leurs parents ● enchaîne les coups d'un soir ● très souvent chanceux ● bon cuisinier ● ancien basketteur, malgré la passion qu'il voue à ce sport, il a été obligé d'arrêter suite à une blessure ● parfois atteint de folie aiguë ● s'est fait récemment tatoué le nom de sa fille sur le poignet, tatouage petit et discret ● adore les animaux ● a coupé les ponts avec sa famille, ne parle plus qu'à sa sœur ● fêtard, toujours présent pour faire la fête ● toujours propre sur lui, il ne sort jamais sans boucle d'oreilles ni chocker ● carbure aux fruits, il en mange tout le temps ● très sérieux dans ses études bien qu'il soit parfois en retard lorsqu'il ne trouve personne pour garder sa fille ● sacrifierait tout pour sakura ● joue de la guitare électrique ● fait parfois du skate. |
Mogo J'en reviens pas de 6C
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It's my life...
et là une petite citation...
un week-end entier sans les parents pour vous coller au basques, c'est la paradis sur terre pour ta sœur et toi. vous n'aviez jamais été très proche de vos parents, sans doute parce que vous, vous êtes du genre à croquer la vie à pleine dents, l'opposés de vos parents qui eux, sont beaucoup trop strictes, qui vous parlent à longueur de journée de leurs valeurs, de ce qu'il faut faire ou ne pas faire, de votre image. parce que oui, ils ont de l'argent, ils ne sont peut-être pas si riches que ça mais l'argent n'est clairement pas ce qu'il vous manque. sauf que vous, vous n'êtes pas heureux comme ça. vous avez besoin de votre liberté, ces deux années à l'armée t'ont apporté du bon pour ça, ta soeur te manquait mais tes parents.. c'est autre chose. tu rentres d'une soirée bien arrosée, 2h du matin. le sourire aux lèvres, rien pour te casser la tête ni ton moral, t'as profité avec tes amis et tu as encore toute la journée de demain à rien foutre, à rester planter devant la télé sans que tes parents soient là. tu pousses la porte de la maison, sourcils froncés lorsque tu remarques ces bougies et ces fringues éparpillés sur le sol. tu as même le réflexe de ramasser un haut, reconnaissant aussitôt le vêtement de kaya. qui d'autre ? c'était même plutôt logique qu'elle invite sa copine, ce n'est pas tous les week-end où elles peuvent profiter. sans y prêter attention plus que ça, tu te diriges dans la cuisine. tu ouvres le frigo pour y sortir plein de petites choses, te faire un sandwich parce que mine de rien, ça creuse de picoler comme ça. t'as pas le réflexe d'allumer la lumière, comme si la lumière du frigo pouvait suffire mais au final, c'est une bonne chose, puisque tu es aveuglé un court instant par des phares. tu fronces les sourcils, déposant le beurre et la bouteille de jus d'orange que tu viens de sortir du frigo afin de te diriger vers la grande baie vitrée et tes yeux s'écarquillent aussitôt. tes parents, ils sont là, prêts à rentrer. pourquoi sont-il déjà là? parce qu'ils sont rentrés plus tôt, comme si tu avais le temps de réfléchir au pourquoi du comment maintenant, tu ne prends pas le temps, tu cours vers les escaliers, grimpant les marches trois par trois et tu remercies tes grandes jambes pour ça, t'es pressé mais tu sais qu'il va falloir faire vite puisque tu entends la porte d'entrée s'ouvrir lorsque toi, tu ouvres la porte de la chambre de kaya. « eh! » hurle t-elle de surprise, dans son lit. inutile de préciser que tu déranges un moment intimes ou du moins, qui s'apprêtaient à l'être, mais ce n'est pas comme si tu avais le choix. « les parents sont là ! bouge ton cul kaya. » dis-tu en soufflant les quelques bougies dans sa chambre, tu te mets même à débarrasser certaines choses qui pourront paraître suspect. tu donnes juste un coup de main à ta soeur parce que clairement, si elle ne se fait pas griller ce soir, ça serait un miracle. « oh non merde, mes fringues! elles sont en bas, KAYA ! J'ai pas mes fringues ! » s'écrie hira, la copine de ta sœur. inutile de préciser que c'est la panique générale pour eux, et même pour toi même si ça ne se voit pas tant que ça. tu vas t'y mêler, comme d'habitude. tu sais que tes parents n'accepteront jamais son homosexualité, et même si ça te fend le cœur de la voir se cacher de cette manière, tu sais aussi pourquoi elle le fait. « je vais les chercher, vite. » vous n'avez pas le temps, tu tournes les talons pour ouvrir la porte de la chambre mais une fois chose faite, tu entends ton père grimper les marches des escaliers. « kuma ! » hurle t-il alors que tu refermes aussitôt la porte de la chambre. « c'est toi qui a invité une fille ici ? réponds moi ! je sais que t'es là ! » t'es mort, ce n'est pas le genre de chose qu'il apprécie mais vous manquez cruellement de temps. d'ici quelques secondes, ton père sera dans la chambre. « me laisse pas dans la merde. » la voix de kaya part dans les aiguë illustrant sa panique, sa crainte aussi. elle se tient à ton t-shirt comme si sa vie en dépendait, tu pourrais presque entendre son cœur battre à 1000 à l'heure. tu la fixes alors un court instant, silencieux comme pour te concentrer uniquement sur un plan de secours, les rouages de ton cerveau s'accélèrent et on peut le lire dans tes yeux. ils n'accepteront jamais la sexualité de ta petite sœur, le pire ? hira va plonger aussi. la fille d'un couple d'amis de tes parents tout aussi bourge et fermés d'esprit. « ne me dis pas que c'est toi kaya ! » la voix de ton père te pousse à réagir. tu pousses quelque peu ta sœur, la forçant à se cacher sous le lit. « il te verra pas sous le lit, dépêche toi. » chuchotes-tu avant de crier plus fort, afin que ton père puisse t'entendre. « je suis là ! j'arrive ! » tu sais qu'il va débarquer, c'est pour cette raison que tu retires vite ton t-shirt, ébouriffant tes cheveux. « mon père va me tuer, il va lui dire... il va tout lui dire ! » l'expression faciale de kaya change totalement, sans doute parce qu'elle a compris où est-ce que tu voulais en venir. il n'y a pas que toi qui sait que vos pères cherchent absolument à vous caser, toi et et hira. sans se douter un seul instant de ce qu'il se trame réellement. « personne ne va tuer personne ce soir! » dis-tu en retirant brusquement ta ceinture pour l'envoyer plus loin dans la pièce. « kaya planque toi merde! » elle se glisse rapidement sous le lit, à peine a t-elle le temps de le faire, que la porte s'entrouvre brusquement. ce n'est pas compliqué de mimer la surprise pour vous deux, ce qu'il reste de ce coup de pression suffit amplement. ton père, lui, est bel et bien surpris. « ... hira? » elle plisse les lèvres, te lançant un regard comme si elle attendait que tu fasses ou dis quelque chose. « je savais que tu rentrais.. si tôt. » pour le coup, tu dis vrai. ton père pose alors ses yeux sur toi, un regard qui devient aussitôt noir alors que sa voix prend en profondeur. « t'as intérêt de m'expliquer. » non, vous n'aviez pas vraiment eu le choix sur ce coup là. tu ne pouvais pas laisser ta soeur dans cette merde, elle avait besoin de toi. tu savais très bien que tu n'allais pas t'en sortir comme ça, qu'il s'agit quand même de la fille de son meilleur ami mais ça arrangeait kaya, que vos géniteurs croient à une éventuelle histoire entre vous. ça arrangeait hira également. ça arrangeait vos parents, qui cherchent à vous voir ensemble depuis des lustres, et puis toi aussi, ça t'arrangeait, au moins, tu savais que ta soeur ne se trouvait pas dans une situations des plus compliquées à gérer et c'est le plus important.
les repas de famille, comme tu les détestes. tu n'aimes pas ta famille ou du moins, tes parents, ni tes oncles et tantes et bien que ça ne te dérange pas de prétendre, ne pas être toi-même et supporter le reste de ta famille... ça commence à faire beaucoup. tu allumes ta cigarette, profitant du calme de ce début de soirée. des quelques minutes où tu pourras respirer, seul, tandis que ta sœur te rejoint très vite. « ça va ? » te demande t-elle d'une douce voix, passant sa main sur ton épaule avant de venir s'asseoir sur le bord du trottoir avec toi. « et toi ? » tu tournes le visage vers elle, elle garde le sourire, comme d'habitude. il lui en faut beaucoup plus pour qu'elle le perde, après tout, ce soir est comme les autres soirs. c'est une habitude. « ça va... » un court silence s'installe avant qu'elle le brise, attrapant ta cigarette pour la jeter plus loin. « tu sais que j'aime pas quand tu fumes! » tu souris, doucement. « et toi, tu sais que je m'en fiche de ce que tu peux dire. » ce n'est pas la vérité et elle le saura sans doute, bien que lorsqu'on te connaît, on sait très bien que tu vis ta vie comme tu l'entends sans écouter les autres. « hira m'a dit qu'elle prétextera un imprévu pour quitter le dîner plus tôt, j'inventerai quelque chose aussi pour pouvoir la rejoindre. » encore une habitude tout ça. tu hoches doucement la tête de haut en bas, sans reprendre la parole. elle souffle légèrement, sans doute dépité que tu fasses semblant. « qu'est-ce qu'il y a ? » elle sait que tu es tracassé, vous vous comprenez en un seul regard. ça n'étonne personne, pourtant, tu ne réponds pas tout de suite. tu l'observes un court instant, tournant la tête droit devant toi, ton regard perdu dans le vide, fixant cette fumée de cigarette qui s'échappe de cette dernière posé sur le sol, et pas encore éteinte. « tu te sens malheureuse? » tu tournes ton visage vers elle, si elle te ment, tu vas le voir. « c'est difficile de vivre cachée, kaya. je veux juste savoir si tu vas bien. » tu lui dis la vérité, ça ne te dérange pas de prétendre être en couple avec hira, ça fait des mois que ça dure et ça durera le temps que ça devra durer, tu veux être certain que ça va pour ta sœur, si elle supporte cette situation. « je vais bien... » elle te sourit, passant un bras autour de toi pour t'approcher d'elle. « on va bientôt partir... enfin, on va essayer. » au moins, quand elle quittera la maison, elle fera ce que bon lui semble. elle n'aura plus besoin de maman et papa puisque de toute évidence, ils ne seront plus là de par leur volonté. oui, il suffit de continuer quelques mois, voire une petite année, le temps pour vous de trouver une solution... c'était sans compter sur ce soir d'été.
tu sentais que quelque chose se tramait, la fumée de l'incendie qui allait te brûler les ailes, tu avais pu le voir venir. une soirée banale pourtant, mais tu as compris que ta vie allait prendre un tout autre tournant lorsque tu as poussé cette porte d'entrée. tes mots te manquent, tes sourcils se froncent face à cette vision de kaya, les joues encore humides, elle a pleuré. à côté d'elle se trouve hira et puis, cette fille, que tu connais bien. t'as beau enchaîné les coups d'un soir, tu ne les oublies pas, les filles avec qui tu couches. le plus inquiétant ? ce ventre rond. ton cœur s'accélère aussitôt, partagé entre la peur de comprendre mais l'incompréhension qui reste quand même là. t'es pas débile, elle n'est pas là sans raison, et à en voir ta mère dans tous ses états, assise au fond de la pièce, incapable de prononcer le moindre mot. tu comprends que cette fois, tu ne risques plus de t'en sortir. « on dirait bien que tu dois des explications à ta copine. » lâche ton père ironiquement, il est à côté de toi mais tu te sens tout bonnement incapable de décrocher le regard de ta sœur, comme si tu y cherchais des explications. « que dis-je... à la copine de ta sœur. » inutile de le regarder pour savoir qu'il plante aussitôt son regard vers les deux jeunes femmes. ils sont au courant, tu aurais eu le temps de t'en inquiéter s'il n'y avait pas cette autre nouvelle. t'as peur de comprendre, t'es perdu. ton père ignorait que tu enchaînais les conquêtes, il te pensait stable, dans une relation sérieuse avec hira, ça doit faire beaucoup à encaisser. des mois de mensonge qui éclatent en une seule soirée, mais qu'ils n'éclatent pas seuls. incapable de bouger, de prononcer le moindre mot, t'as le souffle coupé alors que ton ancienne conquête te lance ce regard. tu n'arrives pas à le décrypter, tu n'arrives plus à réagir, le sol vient de s'ouvrir sous tes pieds. pour la première fois, kaya sait qu'elle ne pourra pas compter sur toi. pour la première fois... tu viens de perdre tes précieuses ailes qui te libérait de ce monde.
des semaines de craintes, des semaines à te demander comment tu vas t'en sortir. toi qui ne panique que très rarement, savoir que tu seras un mauvais père te fait flipper. t'as pas envie de ça mais l'idée de ne pas assumer ce bébé ne t'a pas traversé l'esprit. vous étiez deux à le faire, et malgré votre relation qui n'est pas glorieuse, tu n'abandonneras pas la maman de ta fille. tu n'abandonneras pas ta fille. et puis, ces changements dans ta vie. kaya, hira et toi vivez chez tadashi maintenant, ce n'est que temporaire, le temps pour vous de trouver une solution. lorsque tes parents ont appris l'homosexualité de ta sœur, tous ces mensonges mais aussi le fait que tu allais de lit en lit, que tu auras cet enfant sans être posé sérieusement, sans être marié. vous n'aviez pas eu le choix, ils vous ont reniés. rien ne te rassure pourtant, là, en plantant ton regard dans ses petits yeux, tu souris. tu te trouves à la maternité, tu es papa, depuis quelques heures. c'est toujours aussi flippant, t'es jeune, tu n'es même pas sûr de t'en sortir mais elle te fait oublier ces moments de panique. tu ne pensais pas qu'un si petit bébé pouvait te donner autant d'espoir en respirant seulement. ton sourire attendri sur les lèvres, tu relèves le regard vers ayame, la maman de ta fille. « elle me ressemble. » soupires-tu, fier tandis que ton cœur se gonfle d'amour. ayame sourit, encore fatigué de l'accouchement. « c'est vrai... » tu berces quelque peu ton petit bébé, remettant correctement cette petite couverture qui l'enveloppe. non, tu n'étais plus si serein, si sûr de toi, de ce que tu allais devenir mais à peine as-tu posé ton regard sur sakura que tout s'est éclairci : ça ira. peu importe ce qu'il se passera, tout ira très bien. tu te fais assez confiance pour offrir le meilleur à ta fille. elle sera ta force, ta renaissance.
« shhh... shhh... » tu tentes de calmer ta fille, continuant de la bercer. tu as tout essayé, elle ne veut pas dormir, elle n'a pas faim, tu commences à te dire qu'elle fait peut-être de la température et que ça t'échappe. tu te trouves dans la cuisine, tu n'espères même pas ne pas réveiller les autres locataires de ce petit appartement, il est bien trop petit pour ça. la famille nagao t'héberge déjà toi, sakura et kaya, tu n'as pas non plus envie de les réveiller en pleine nuit mais ce n'est pas la première fois que sakura se réveille de cette manière, sauf que pour la première fois, tu ne sais plus quoi faire. tu n'arrives pas à la calmer. « kuma ? » la voix fatiguée de la mère de tadashi te sort de tes pensées, ou plutôt de ta détresse. tu relèves la tête, continuant de bercer ta fille qui continue de pleurer. « je suis désolé... j'arrive pas à la calmer. » tu fronces les sourcils, baissant à nouveau les yeux sur sakura. décidément, t'es vraiment pas doué. « donne la moi. » te dit-elle, attrapant la petite dans ses bras qui continue de crier. maman nagao est de nature assez calme et apaisante, tu t'en veux de la voir réveillée à cette heure-ci, cette famille n'a pas besoin de subir ta vie, la leur est déjà bien assez compliquée. « t'inquiètes pas, c'est une phase normale du développement. elle va se calmer. » elle tente de te rassurer, sans doute parce qu'elle a bien compris que tu avais peur, au fond de toi. tu ne vas plus rester très longtemps, tu vas bientôt, pour la première fois, te retrouver seul avec ta fille. ça te fait peur, chose que tu ne dis pas. c'est juste la première fois que tu n'arrives pas à gérer les pleurs de ta fille, et ça t'embête. « je comprends pas ce qu'elle a... » dis-tu, laissant tes fesses s'asseoir sur la chaise de cuisine. « peut-être qu'elle sent que son père ne va pas bien ? » te dit-elle avec un sourire assez attristé alors qu'elle te donne à nouveau sakura dans tes bras. tu baisses les yeux, la berçant à nouveau. t'es assez perturbé, tu ne t'attendais pas à une telle réponse de sa part. « moi ? ça va... » son regard en dit long, elle sait que tu ne lui dis pas la vérité. t'as beau ne pas te prendre la tête et te faire confiance, lorsque ça concerne sakura, c'est différent. peut-être parce que tu te mets la barre trop haute... ou plutôt non, peut-être parce que c'est le début, c'est tout nouveau pour toi. « j'ai... » tu hausses les épaules, baissant le regard vers ta petite fille, parce qu'au final, c'est toujours grâce à elle que tu puises ta force. « j'ai peur de ne pas savoir géré tout ça... quand je serai seul. » tu dis ça comme si ce n'était pas grave mais ça l'est pour toi. tu ne vas pas rester ici éternellement, ta sœur ne restera pas avec toi. tu as déjà du mal à te faire à cette nouvelle vie mais oui, récemment, tu as réalisé que tu serais bientôt seul avec ton bébé. tu relèves le regard vers la maman de ton meilleur ami. « c'est plus facile quand on est entouré. » tu souris comme pour te rassurer mais c'est vrai, c'est plus facile avec tout ce monde autour de toi. « sauf que tu ne seras jamais seul. tu sais très bien qu'on sera toujours là. » elle marque une courte pause, posant sa main sur ton bras. « tu verras, tu n'auras même pas besoin de nous. tu sais comment je le sais ? » tu fronces les sourcils, comme pour avoir la réponse alors qu'elle, affiche un doux sourire. « elle ne pleure déjà plus. » tu regardes à nouveau ta fille, tu ne l'avais pas remarqué, mais elle ne criait plus, elle commence même déjà à s'endormir alors que toi, tu continues de la bercer. elle a l'air si sereine, si paisible. le calme est revenu dans la pièce, la tempête est passée. peut-être qu'il serait temps que tu arrêtes de paniquer pour ta fille, ça te va pas, de paniquer, c'est pas toi. il faut que tu sois toi-même, et tu seras un bon père.
9 mois plus tard.
les repas de famille, comme tu les détestes. tu n'aimes pas ta famille ou du moins, tes parents, ni tes oncles et tantes et bien que ça ne te dérange pas de prétendre, ne pas être toi-même et supporter le reste de ta famille... ça commence à faire beaucoup. tu allumes ta cigarette, profitant du calme de ce début de soirée. des quelques minutes où tu pourras respirer, seul, tandis que ta sœur te rejoint très vite. « ça va ? » te demande t-elle d'une douce voix, passant sa main sur ton épaule avant de venir s'asseoir sur le bord du trottoir avec toi. « et toi ? » tu tournes le visage vers elle, elle garde le sourire, comme d'habitude. il lui en faut beaucoup plus pour qu'elle le perde, après tout, ce soir est comme les autres soirs. c'est une habitude. « ça va... » un court silence s'installe avant qu'elle le brise, attrapant ta cigarette pour la jeter plus loin. « tu sais que j'aime pas quand tu fumes! » tu souris, doucement. « et toi, tu sais que je m'en fiche de ce que tu peux dire. » ce n'est pas la vérité et elle le saura sans doute, bien que lorsqu'on te connaît, on sait très bien que tu vis ta vie comme tu l'entends sans écouter les autres. « hira m'a dit qu'elle prétextera un imprévu pour quitter le dîner plus tôt, j'inventerai quelque chose aussi pour pouvoir la rejoindre. » encore une habitude tout ça. tu hoches doucement la tête de haut en bas, sans reprendre la parole. elle souffle légèrement, sans doute dépité que tu fasses semblant. « qu'est-ce qu'il y a ? » elle sait que tu es tracassé, vous vous comprenez en un seul regard. ça n'étonne personne, pourtant, tu ne réponds pas tout de suite. tu l'observes un court instant, tournant la tête droit devant toi, ton regard perdu dans le vide, fixant cette fumée de cigarette qui s'échappe de cette dernière posé sur le sol, et pas encore éteinte. « tu te sens malheureuse? » tu tournes ton visage vers elle, si elle te ment, tu vas le voir. « c'est difficile de vivre cachée, kaya. je veux juste savoir si tu vas bien. » tu lui dis la vérité, ça ne te dérange pas de prétendre être en couple avec hira, ça fait des mois que ça dure et ça durera le temps que ça devra durer, tu veux être certain que ça va pour ta sœur, si elle supporte cette situation. « je vais bien... » elle te sourit, passant un bras autour de toi pour t'approcher d'elle. « on va bientôt partir... enfin, on va essayer. » au moins, quand elle quittera la maison, elle fera ce que bon lui semble. elle n'aura plus besoin de maman et papa puisque de toute évidence, ils ne seront plus là de par leur volonté. oui, il suffit de continuer quelques mois, voire une petite année, le temps pour vous de trouver une solution... c'était sans compter sur ce soir d'été.
tu sentais que quelque chose se tramait, la fumée de l'incendie qui allait te brûler les ailes, tu avais pu le voir venir. une soirée banale pourtant, mais tu as compris que ta vie allait prendre un tout autre tournant lorsque tu as poussé cette porte d'entrée. tes mots te manquent, tes sourcils se froncent face à cette vision de kaya, les joues encore humides, elle a pleuré. à côté d'elle se trouve hira et puis, cette fille, que tu connais bien. t'as beau enchaîné les coups d'un soir, tu ne les oublies pas, les filles avec qui tu couches. le plus inquiétant ? ce ventre rond. ton cœur s'accélère aussitôt, partagé entre la peur de comprendre mais l'incompréhension qui reste quand même là. t'es pas débile, elle n'est pas là sans raison, et à en voir ta mère dans tous ses états, assise au fond de la pièce, incapable de prononcer le moindre mot. tu comprends que cette fois, tu ne risques plus de t'en sortir. « on dirait bien que tu dois des explications à ta copine. » lâche ton père ironiquement, il est à côté de toi mais tu te sens tout bonnement incapable de décrocher le regard de ta sœur, comme si tu y cherchais des explications. « que dis-je... à la copine de ta sœur. » inutile de le regarder pour savoir qu'il plante aussitôt son regard vers les deux jeunes femmes. ils sont au courant, tu aurais eu le temps de t'en inquiéter s'il n'y avait pas cette autre nouvelle. t'as peur de comprendre, t'es perdu. ton père ignorait que tu enchaînais les conquêtes, il te pensait stable, dans une relation sérieuse avec hira, ça doit faire beaucoup à encaisser. des mois de mensonge qui éclatent en une seule soirée, mais qu'ils n'éclatent pas seuls. incapable de bouger, de prononcer le moindre mot, t'as le souffle coupé alors que ton ancienne conquête te lance ce regard. tu n'arrives pas à le décrypter, tu n'arrives plus à réagir, le sol vient de s'ouvrir sous tes pieds. pour la première fois, kaya sait qu'elle ne pourra pas compter sur toi. pour la première fois... tu viens de perdre tes précieuses ailes qui te libérait de ce monde.
4 mois plus tard.
des semaines de craintes, des semaines à te demander comment tu vas t'en sortir. toi qui ne panique que très rarement, savoir que tu seras un mauvais père te fait flipper. t'as pas envie de ça mais l'idée de ne pas assumer ce bébé ne t'a pas traversé l'esprit. vous étiez deux à le faire, et malgré votre relation qui n'est pas glorieuse, tu n'abandonneras pas la maman de ta fille. tu n'abandonneras pas ta fille. et puis, ces changements dans ta vie. kaya, hira et toi vivez chez tadashi maintenant, ce n'est que temporaire, le temps pour vous de trouver une solution. lorsque tes parents ont appris l'homosexualité de ta sœur, tous ces mensonges mais aussi le fait que tu allais de lit en lit, que tu auras cet enfant sans être posé sérieusement, sans être marié. vous n'aviez pas eu le choix, ils vous ont reniés. rien ne te rassure pourtant, là, en plantant ton regard dans ses petits yeux, tu souris. tu te trouves à la maternité, tu es papa, depuis quelques heures. c'est toujours aussi flippant, t'es jeune, tu n'es même pas sûr de t'en sortir mais elle te fait oublier ces moments de panique. tu ne pensais pas qu'un si petit bébé pouvait te donner autant d'espoir en respirant seulement. ton sourire attendri sur les lèvres, tu relèves le regard vers ayame, la maman de ta fille. « elle me ressemble. » soupires-tu, fier tandis que ton cœur se gonfle d'amour. ayame sourit, encore fatigué de l'accouchement. « c'est vrai... » tu berces quelque peu ton petit bébé, remettant correctement cette petite couverture qui l'enveloppe. non, tu n'étais plus si serein, si sûr de toi, de ce que tu allais devenir mais à peine as-tu posé ton regard sur sakura que tout s'est éclairci : ça ira. peu importe ce qu'il se passera, tout ira très bien. tu te fais assez confiance pour offrir le meilleur à ta fille. elle sera ta force, ta renaissance.
« shhh... shhh... » tu tentes de calmer ta fille, continuant de la bercer. tu as tout essayé, elle ne veut pas dormir, elle n'a pas faim, tu commences à te dire qu'elle fait peut-être de la température et que ça t'échappe. tu te trouves dans la cuisine, tu n'espères même pas ne pas réveiller les autres locataires de ce petit appartement, il est bien trop petit pour ça. la famille nagao t'héberge déjà toi, sakura et kaya, tu n'as pas non plus envie de les réveiller en pleine nuit mais ce n'est pas la première fois que sakura se réveille de cette manière, sauf que pour la première fois, tu ne sais plus quoi faire. tu n'arrives pas à la calmer. « kuma ? » la voix fatiguée de la mère de tadashi te sort de tes pensées, ou plutôt de ta détresse. tu relèves la tête, continuant de bercer ta fille qui continue de pleurer. « je suis désolé... j'arrive pas à la calmer. » tu fronces les sourcils, baissant à nouveau les yeux sur sakura. décidément, t'es vraiment pas doué. « donne la moi. » te dit-elle, attrapant la petite dans ses bras qui continue de crier. maman nagao est de nature assez calme et apaisante, tu t'en veux de la voir réveillée à cette heure-ci, cette famille n'a pas besoin de subir ta vie, la leur est déjà bien assez compliquée. « t'inquiètes pas, c'est une phase normale du développement. elle va se calmer. » elle tente de te rassurer, sans doute parce qu'elle a bien compris que tu avais peur, au fond de toi. tu ne vas plus rester très longtemps, tu vas bientôt, pour la première fois, te retrouver seul avec ta fille. ça te fait peur, chose que tu ne dis pas. c'est juste la première fois que tu n'arrives pas à gérer les pleurs de ta fille, et ça t'embête. « je comprends pas ce qu'elle a... » dis-tu, laissant tes fesses s'asseoir sur la chaise de cuisine. « peut-être qu'elle sent que son père ne va pas bien ? » te dit-elle avec un sourire assez attristé alors qu'elle te donne à nouveau sakura dans tes bras. tu baisses les yeux, la berçant à nouveau. t'es assez perturbé, tu ne t'attendais pas à une telle réponse de sa part. « moi ? ça va... » son regard en dit long, elle sait que tu ne lui dis pas la vérité. t'as beau ne pas te prendre la tête et te faire confiance, lorsque ça concerne sakura, c'est différent. peut-être parce que tu te mets la barre trop haute... ou plutôt non, peut-être parce que c'est le début, c'est tout nouveau pour toi. « j'ai... » tu hausses les épaules, baissant le regard vers ta petite fille, parce qu'au final, c'est toujours grâce à elle que tu puises ta force. « j'ai peur de ne pas savoir géré tout ça... quand je serai seul. » tu dis ça comme si ce n'était pas grave mais ça l'est pour toi. tu ne vas pas rester ici éternellement, ta sœur ne restera pas avec toi. tu as déjà du mal à te faire à cette nouvelle vie mais oui, récemment, tu as réalisé que tu serais bientôt seul avec ton bébé. tu relèves le regard vers la maman de ton meilleur ami. « c'est plus facile quand on est entouré. » tu souris comme pour te rassurer mais c'est vrai, c'est plus facile avec tout ce monde autour de toi. « sauf que tu ne seras jamais seul. tu sais très bien qu'on sera toujours là. » elle marque une courte pause, posant sa main sur ton bras. « tu verras, tu n'auras même pas besoin de nous. tu sais comment je le sais ? » tu fronces les sourcils, comme pour avoir la réponse alors qu'elle, affiche un doux sourire. « elle ne pleure déjà plus. » tu regardes à nouveau ta fille, tu ne l'avais pas remarqué, mais elle ne criait plus, elle commence même déjà à s'endormir alors que toi, tu continues de la bercer. elle a l'air si sereine, si paisible. le calme est revenu dans la pièce, la tempête est passée. peut-être qu'il serait temps que tu arrêtes de paniquer pour ta fille, ça te va pas, de paniquer, c'est pas toi. il faut que tu sois toi-même, et tu seras un bon père.
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Re: matsuo kuma ~ do i wanna know? | Lun 5 Mar - 17:25 Citer EditerSupprimer
JFDHGHSJFDBFJDG
TES TELLEMENT BEAU FRERE JAI ENVIE DE CHIALER DES LARMES DE SANG :nabilla: :nabilla: :nabilla: :nabilla:
PTN GRAVE CONTENTE QUE TES CRAQUER POUR CE MEC ON VA SE METTRE TELLEMENT BIEN AVEC LES DEUX BESTOS JPP DFKGJBKSJDF
PTN PAR CONTRE JAI PEUR DE CASSER SAKURA LA LAISSE PAS AVEC MOI APRES ELLE PENSE QUE JLM PAS TOUT CA PCQ JAI PEUR DE LA FAIRE TOMBER DANS LA MARMITE
JTM FORT BB
YUGY TE VA SI BIEN
TES TELLEMENT BEAU FRERE JAI ENVIE DE CHIALER DES LARMES DE SANG :nabilla: :nabilla: :nabilla: :nabilla:
PTN GRAVE CONTENTE QUE TES CRAQUER POUR CE MEC ON VA SE METTRE TELLEMENT BIEN AVEC LES DEUX BESTOS JPP DFKGJBKSJDF
PTN PAR CONTRE JAI PEUR DE CASSER SAKURA LA LAISSE PAS AVEC MOI APRES ELLE PENSE QUE JLM PAS TOUT CA PCQ JAI PEUR DE LA FAIRE TOMBER DANS LA MARMITE
JTM FORT BB
YUGY TE VA SI BIEN
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Re: matsuo kuma ~ do i wanna know? | Lun 5 Mar - 17:27 Citer EditerSupprimer
ON EST DANS LA MÊME PROMO GUMI POTO :gumi: :gumi: :gumi:
Rebienvenue
LE VOILÀ MON GUMI PROF DE LANGAGE GEEK
Rebienvenue
LE VOILÀ MON GUMI PROF DE LANGAGE GEEK
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Re: matsuo kuma ~ do i wanna know? | Lun 5 Mar - 17:35 Citer EditerSupprimer
Rebienvenuuue
Tu voudras bien un lien avec mwa? Askip Haneul pourrait souvent passer acheter des jeux(Puis tu pourras lui foutre les jetons s'il voit ta fille et sait que c'est ta fille à ton âge)
Tu voudras bien un lien avec mwa? Askip Haneul pourrait souvent passer acheter des jeux
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Re: matsuo kuma ~ do i wanna know? | Lun 5 Mar - 17:42 Citer EditerSupprimer
AWAI T'ES COMME CA, MEME PAS TU DIS QUE TU PRENDS UNE BOTEY PAREILLE
MOGO QUI PREND YUGYEOM JPP JE PEUT MOURIR EN PAIX ADIEU :nabilla:
(JE FRETILLE JPP TU T'RENDS PAS COMPTE, ADIOS LES NACHOS KWA)
REBIENVENUE CHATON BB
J'AI HATE DE TE VOIR JOUER AVEC CE BB KUMA QUI PROMET
JTEM
MOGO QUI PREND YUGYEOM JPP JE PEUT MOURIR EN PAIX ADIEU :nabilla:
(JE FRETILLE JPP TU T'RENDS PAS COMPTE, ADIOS LES NACHOS KWA)
REBIENVENUE CHATON BB
J'AI HATE DE TE VOIR JOUER AVEC CE BB KUMA QUI PROMET
JTEM
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Re: matsuo kuma ~ do i wanna know? | Lun 5 Mar - 17:44 Citer EditerSupprimer
omg tu m'as dépassé, la faiblesse
j'en reviens toujours pas xD
REBIENVENUE AVEC CE BEL HOMME, ENCORE UNE FOIS
et bonne chance pour ta fiche ma belle
j'en reviens toujours pas xD
REBIENVENUE AVEC CE BEL HOMME, ENCORE UNE FOIS
et bonne chance pour ta fiche ma belle
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Re: matsuo kuma ~ do i wanna know? | Lun 5 Mar - 17:49 Citer EditerSupprimer
QUE DE PERFECTION GOSH et puis sakura c'est trop cute comme prénom
j'aime ce que je lis, il est d'enfer ce petit mogo
j'aime ce que je lis, il est d'enfer ce petit mogo
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Re: matsuo kuma ~ do i wanna know? | Lun 5 Mar - 18:13 Citer EditerSupprimer
MEME PAS TU PREVIENS QU'IL ARRIVE
JSUIS CHOQUEE WESH
mais la faiblesse te va bien au teint
JSUIS CHOQUEE WESH
mais la faiblesse te va bien au teint
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Re: matsuo kuma ~ do i wanna know? | Lun 5 Mar - 18:14 Citer EditerSupprimer
je n'ai qu'une chose à dire
- Spoiler:
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