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1, 2don't take my place (daewon)
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Re: don't take my place (daewon) | Sam 22 Déc - 18:45
ta mère est un sujet houleux. tu n’avais pas encore digéré sa mort et tu penses que tu ne la digèreras probablement jamais. c’était la faute de la famille de daewon. si sa mère n’était pas arrivé dans votre vie, jamais ton père n’aurait trompé ta mère et elle serait probablement morte à l’heure qui l’est, mais pas si vite. tu n’étais pas idiot, tu savais que c’était incurable ce qu’elle avait parce que ça avait été pris trop tard. mais elle ne serait pas morte si rapidement si la mère de daewon et eunsan n’était pas entré dans l’équation. alors, tu craches ce que tu penses d’elle, l’insultant, lui rejetant la faute dessus. ça ne te soulage pas au contraire. tu ne ressens que du dégoût envers eux, mais plus particulièrement envers toi. si ta mère était toujours en vie, elle aurait honte de ton comportement, tu le sais, mais tu ne peux pas faire autrement. ta haine contre ta nouvelle famille et ton père est trop ancrée en toi. tu n’arrives pas à en faire abstraction et tu es bien souvent pris dans la tornade de tes sentiments sans que tu ne parviennes à te stopper. même l’avertissement de daewon ne réussi pas à te faire arrêter. au contraire, le simple fait qu’il cherche à le faire te donne encore plus envie de le détruire, de détruire sa famille et tout ce qu’elle représente. et toi, tu as mal. parce que tu n’es pas foncièrement méchant. tu n’aimes pas ce que tu fais, pas plus que tu n’en as envie. mais tu ne peux pas faire autrement, c’est plus fort que toi. et ta souffrance se voit dans ton regard, parce que tu as les larmes aux yeux et que tu fais tout pour retenir les larmes qui menacent de couler. tu ne veux pas paraitre faible et pleurnichard en face de ton grand frère. tu ne lui donneras pas cette satisfaction. alors quand tu arrêtes de parler c’est lui qui prend la parole. tu serres à nouveau les poings quand il tape juste. ça ne te fait pas de bien de cracher ton venin au monde, pas plus que ça ne t’aide à aller mieux. au contraire, tu alimentes le feu de ta colère sans parvenir à l’éteindre. tu n’en as même plus envie maintenant. tu ne sais pas même si tu en as eu envie un jour. daewon reprend la parole et tu ne frémis pas sous son regard noir. il ne t’a jamais fait peur et ne te fera jamais peur. t’as le choix de le frapper ou de partir et tu hésites. tu ne sais pas ce que tu veux, pas plus que ce que tu as envie. pourtant, tu lui lances un regard dédaigneux. « ça te ferait trop plaisir que je te frappe. tu pourrais encore une fois te faire passer pour une pauvre petite victime. après l’orphelin, le mal aimé par sa famille. » tu marques une pause, lui rendant son regard avant de croiser les bras sur ton torse. « t’essaies de faire quoi au juste ? montrer que t’es le plus mature de nous deux en agissant comme un adulte. c’est comme ça que tu as réussi à te mettre mon père dans la poche, en lui montrant que je n’étais qu’un gamin capricieux ? » tu ne sais plus ce que tu dis tellement la colère est présente et te serre les tripes. tu n’as plus les idées claires et tu t’avances vers daewon pour le pousser violemment. il se retrouve à nouveau assis et tu as l’ascendant sur lui quelques secondes. tu es plus grand que lui et tu lui rappelles ainsi que c’est toi le fils légitime et lui la pièce rapportée. « jte laisse l’entreprise si ça t’amuse de sucer les couilles de mon père. mais ne crois pas que c’était toi qui était prévu de base. tu n’es que le second choix parce que je veux pas de son empire. » tu dis ça comme si tu lui faisais une faveur, comme si tu lui concédais ta place parce que tu étais trop bien pour l’entreprise de ton père, pas parce qu’il était plus qualifié que toi dans ce domaine. « fais bien mumuse avec mon père et son entreprise. » que tu lâches avant de tourner les talons et de quitter son appartement. tu ne lui laisses pas le temps de réagir que tu es déjà parti, laissant la porte grande ouverte. tu espères que ça l’emmerdera de se lever pour aller la fermer tout comme ça l’emmerdera que tu sois parti sans même qu’il n’ait eu le temps de répondre. tu fois dehors, tu montes dans ta voiture et démarres à toute vitesse pour partir loin de chez lui. tu fais quelques kilomètres avant de t’arrêter sur le bas-côté et de te mettre à hurler, tandis que tu sens les larmes de rage et frustration couler sur ton visage.
don't take my place
ft. daewon
ta mère est un sujet houleux. tu n’avais pas encore digéré sa mort et tu penses que tu ne la digèreras probablement jamais. c’était la faute de la famille de daewon. si sa mère n’était pas arrivé dans votre vie, jamais ton père n’aurait trompé ta mère et elle serait probablement morte à l’heure qui l’est, mais pas si vite. tu n’étais pas idiot, tu savais que c’était incurable ce qu’elle avait parce que ça avait été pris trop tard. mais elle ne serait pas morte si rapidement si la mère de daewon et eunsan n’était pas entré dans l’équation. alors, tu craches ce que tu penses d’elle, l’insultant, lui rejetant la faute dessus. ça ne te soulage pas au contraire. tu ne ressens que du dégoût envers eux, mais plus particulièrement envers toi. si ta mère était toujours en vie, elle aurait honte de ton comportement, tu le sais, mais tu ne peux pas faire autrement. ta haine contre ta nouvelle famille et ton père est trop ancrée en toi. tu n’arrives pas à en faire abstraction et tu es bien souvent pris dans la tornade de tes sentiments sans que tu ne parviennes à te stopper. même l’avertissement de daewon ne réussi pas à te faire arrêter. au contraire, le simple fait qu’il cherche à le faire te donne encore plus envie de le détruire, de détruire sa famille et tout ce qu’elle représente. et toi, tu as mal. parce que tu n’es pas foncièrement méchant. tu n’aimes pas ce que tu fais, pas plus que tu n’en as envie. mais tu ne peux pas faire autrement, c’est plus fort que toi. et ta souffrance se voit dans ton regard, parce que tu as les larmes aux yeux et que tu fais tout pour retenir les larmes qui menacent de couler. tu ne veux pas paraitre faible et pleurnichard en face de ton grand frère. tu ne lui donneras pas cette satisfaction. alors quand tu arrêtes de parler c’est lui qui prend la parole. tu serres à nouveau les poings quand il tape juste. ça ne te fait pas de bien de cracher ton venin au monde, pas plus que ça ne t’aide à aller mieux. au contraire, tu alimentes le feu de ta colère sans parvenir à l’éteindre. tu n’en as même plus envie maintenant. tu ne sais pas même si tu en as eu envie un jour. daewon reprend la parole et tu ne frémis pas sous son regard noir. il ne t’a jamais fait peur et ne te fera jamais peur. t’as le choix de le frapper ou de partir et tu hésites. tu ne sais pas ce que tu veux, pas plus que ce que tu as envie. pourtant, tu lui lances un regard dédaigneux. « ça te ferait trop plaisir que je te frappe. tu pourrais encore une fois te faire passer pour une pauvre petite victime. après l’orphelin, le mal aimé par sa famille. » tu marques une pause, lui rendant son regard avant de croiser les bras sur ton torse. « t’essaies de faire quoi au juste ? montrer que t’es le plus mature de nous deux en agissant comme un adulte. c’est comme ça que tu as réussi à te mettre mon père dans la poche, en lui montrant que je n’étais qu’un gamin capricieux ? » tu ne sais plus ce que tu dis tellement la colère est présente et te serre les tripes. tu n’as plus les idées claires et tu t’avances vers daewon pour le pousser violemment. il se retrouve à nouveau assis et tu as l’ascendant sur lui quelques secondes. tu es plus grand que lui et tu lui rappelles ainsi que c’est toi le fils légitime et lui la pièce rapportée. « jte laisse l’entreprise si ça t’amuse de sucer les couilles de mon père. mais ne crois pas que c’était toi qui était prévu de base. tu n’es que le second choix parce que je veux pas de son empire. » tu dis ça comme si tu lui faisais une faveur, comme si tu lui concédais ta place parce que tu étais trop bien pour l’entreprise de ton père, pas parce qu’il était plus qualifié que toi dans ce domaine. « fais bien mumuse avec mon père et son entreprise. » que tu lâches avant de tourner les talons et de quitter son appartement. tu ne lui laisses pas le temps de réagir que tu es déjà parti, laissant la porte grande ouverte. tu espères que ça l’emmerdera de se lever pour aller la fermer tout comme ça l’emmerdera que tu sois parti sans même qu’il n’ait eu le temps de répondre. tu fois dehors, tu montes dans ta voiture et démarres à toute vitesse pour partir loin de chez lui. tu fais quelques kilomètres avant de t’arrêter sur le bas-côté et de te mettre à hurler, tandis que tu sens les larmes de rage et frustration couler sur ton visage. (c) DΛNDELION
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