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let me introduce you to my daughter (ft haneul)
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let me introduce you to my daughter (ft haneul) | Dim 11 Mar - 23:31
+++ « Tu déconnes là?! » Tu ne sais même pas comment ton collègue peut-être encore étonné de toi. De toute façon, t'es bien trop occupé à couvrir Sakura de sa couverture. Elle commence à être beaucoup trop grande pour son landau portable mais vous n'avez pas d'autre solution, elle commence à peine à se tenir debout. Ah oui, on vient de te ramener ta fille au travail. Tu n'as pas d'autre choix, certains diront que ce n'est pas raisonnable mais toi, tu ne vois pas où est le problème. Même si c'est strictement interdit, ta fille est beaucoup trop calme pour poser un quelconque problème. Tu t'abaisses à sa hauteur, lui donnant aussi sa peluche favorite. « Sakura, chérie. Papa doit encore bosser quelques petites heures avant de rentrer à la maison. Tu vas rester sage comme toujours, pas vrai? » lâches-tu d'une douce voix, comme à chaque fois que tu t'adresses à elle. Tu accompagnes même tes paroles par un tendre sourire. Comment ça tu ignores ton collègue? Ça va, tu sais qu'il va encore râler. « Tu sais que je pourrais en parler au patron de tout ça? » Une menace, carrément? Tu lui lances un regard, dépité de le voir agir de cette manière. « Tu le feras pas, arrête. » Tu ne le mets pas au défi là, tu dis simplement la vérité. Tu sais qu'il ne le fera pas, sans doute parce que lui aussi a des choses à se reprocher. Tu vas gérer ta fille et ton boulot, de quoi il se plaint? De toute façon, elle sera près de toi. « T'abuses un peu là... » S'il savait que ce n'était pas la première fois que tu fais ce genre de choses, mais parfois c'est assez compliqué pour toi de gérer, entre tes études, ton travail et ta fille. Il peut y avoir ce genre d'imprévus. Tu ouvres le sac qui contient les affaires de Sakura alors que ton collègue repart dans les rayons, Sakura, de son petit doigt, t'indique un bouquin pour enfant qu'elle adore. Tu t'empresses de le sortir pour lui donner alors que ses petites jambes commencent à gigoter. Elle commence à regarder les images, tourner quelques pages alors que tu te redresses, prenant place sur la chaise haute de l'accueille. Le sac sur les genoux, tu sors une boite de guimauves et autre bonbons que ta fille adore, elle ne doit pas en manger beaucoup et t'y veilles, mais tu ne peux pas vraiment lui refuser. Tu reposes le sac au sol, ouvrant la boite de guimauves. Tu commences à en manger, en profitant ainsi pour couper un petit bout, une fois chose faite, tu te penches vers Sakura qui se trouve derrière toi pour lui donner, tout de suite, ses yeux s'illuminent et toi, ça te fait sourire. Tu es très vite interrompu par les nouveaux clients qui arrivent, ton regard se pose aussitôt sur Haneul. Ton sourire attendri s'efface pour laisser place à un sourire plus convivial. « Hey! » Un fidèle client que tu commences à connaître assez bien maintenant. Il est sans doute l'un des plus gros geek que tu connaisses, même. Tu te frottes instinctivement les mains, avalant le reste de guimauve que tu avais encore dans la bouche. Tu t'installes plus confortablement sur la chaise. « Ça fait un petit moment! Comment tu vas? » Il a dû passer dernièrement quand toi tu ne bossais pas. « Alors, Destiny 2, qu'est-ce que ça vaut? » Toi aussi, tu es fan de tout ça. Des jeux vidéos. Il fût un temps où tu ne décrochais même plus de ta console mais avec ton planning, c'est plus possible, encore moins depuis que tu es devenu papa. « Guimauve? » lui demandes-tu, un fin sourire aux lèvres en lui tendant la boîte.
let me introduce you to my daughter.
haneul & kuma
+++ « Tu déconnes là?! » Tu ne sais même pas comment ton collègue peut-être encore étonné de toi. De toute façon, t'es bien trop occupé à couvrir Sakura de sa couverture. Elle commence à être beaucoup trop grande pour son landau portable mais vous n'avez pas d'autre solution, elle commence à peine à se tenir debout. Ah oui, on vient de te ramener ta fille au travail. Tu n'as pas d'autre choix, certains diront que ce n'est pas raisonnable mais toi, tu ne vois pas où est le problème. Même si c'est strictement interdit, ta fille est beaucoup trop calme pour poser un quelconque problème. Tu t'abaisses à sa hauteur, lui donnant aussi sa peluche favorite. « Sakura, chérie. Papa doit encore bosser quelques petites heures avant de rentrer à la maison. Tu vas rester sage comme toujours, pas vrai? » lâches-tu d'une douce voix, comme à chaque fois que tu t'adresses à elle. Tu accompagnes même tes paroles par un tendre sourire. Comment ça tu ignores ton collègue? Ça va, tu sais qu'il va encore râler. « Tu sais que je pourrais en parler au patron de tout ça? » Une menace, carrément? Tu lui lances un regard, dépité de le voir agir de cette manière. « Tu le feras pas, arrête. » Tu ne le mets pas au défi là, tu dis simplement la vérité. Tu sais qu'il ne le fera pas, sans doute parce que lui aussi a des choses à se reprocher. Tu vas gérer ta fille et ton boulot, de quoi il se plaint? De toute façon, elle sera près de toi. « T'abuses un peu là... » S'il savait que ce n'était pas la première fois que tu fais ce genre de choses, mais parfois c'est assez compliqué pour toi de gérer, entre tes études, ton travail et ta fille. Il peut y avoir ce genre d'imprévus. Tu ouvres le sac qui contient les affaires de Sakura alors que ton collègue repart dans les rayons, Sakura, de son petit doigt, t'indique un bouquin pour enfant qu'elle adore. Tu t'empresses de le sortir pour lui donner alors que ses petites jambes commencent à gigoter. Elle commence à regarder les images, tourner quelques pages alors que tu te redresses, prenant place sur la chaise haute de l'accueille. Le sac sur les genoux, tu sors une boite de guimauves et autre bonbons que ta fille adore, elle ne doit pas en manger beaucoup et t'y veilles, mais tu ne peux pas vraiment lui refuser. Tu reposes le sac au sol, ouvrant la boite de guimauves. Tu commences à en manger, en profitant ainsi pour couper un petit bout, une fois chose faite, tu te penches vers Sakura qui se trouve derrière toi pour lui donner, tout de suite, ses yeux s'illuminent et toi, ça te fait sourire. Tu es très vite interrompu par les nouveaux clients qui arrivent, ton regard se pose aussitôt sur Haneul. Ton sourire attendri s'efface pour laisser place à un sourire plus convivial. « Hey! » Un fidèle client que tu commences à connaître assez bien maintenant. Il est sans doute l'un des plus gros geek que tu connaisses, même. Tu te frottes instinctivement les mains, avalant le reste de guimauve que tu avais encore dans la bouche. Tu t'installes plus confortablement sur la chaise. « Ça fait un petit moment! Comment tu vas? » Il a dû passer dernièrement quand toi tu ne bossais pas. « Alors, Destiny 2, qu'est-ce que ça vaut? » Toi aussi, tu es fan de tout ça. Des jeux vidéos. Il fût un temps où tu ne décrochais même plus de ta console mais avec ton planning, c'est plus possible, encore moins depuis que tu es devenu papa. « Guimauve? » lui demandes-tu, un fin sourire aux lèvres en lui tendant la boîte.Invité
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Re: let me introduce you to my daughter (ft haneul) | Lun 12 Mar - 3:21
+++ Mon visage se baissait, mon nez se cachait derrière les mailles d’une laine épaisse en quête de chaleur temporaire. Mes pas, légers mais rapides, me guidaient vers une boutique que je ne connaissais que trop bien pour m’y être aventuré déjà à plusieurs reprises. Des habitudes bien vite acquises quand on savait que pas même une moitié d’année était passé depuis mon arrivée ici, dans cette ville qui aurait dû être celle de ma naissance : Séoul. Des restaurants aux boutiques de sports, peu à peu, j’avais pris mes marques, mes aises dans une ville que je ne connaissais initialement que de nom pour les nombreux voyages que j’y avais effectués. Pourtant, celle qui était ma destination du jour se trouvait à mille lieux de la nourriture ou des sports, quoi que cela puisse y être apparenté sous un pseudonyme légèrement différent. L’E-sport, une discipline dans laquelle je m’étais lancé il y a bien des années, de longues années même. Ces jeunes années où vos parents vous dictaient ce que vous pouviez ou non faire, ces années où vos géniteurs choisissaient votre filière pour l’année suivante et quelle quantité de légumes vous deviez manger pour être sain et en bonne santé… Ces foutues années de collège où j’avais fini par prendre mon premier envol vers une route de liberté, leur prouvant qu’études et jeux vidéo n’étaient incompatibles lorsqu’on y mettait du sien. Car cela était devenu un combat pendant un temps, une guerre que j’avais gagné pour devenir ce que j’étais aujourd’hui. Je n’étais une star comme certains pro-gamer pouvaient l’être, je n’avais de sponsor qui demandait à présenter leurs produits et les aider à vendre en les affichant dans mes lives, mais au fil des mois, au fil de l’agrandissement de ma communauté, des opportunités s’offraient. A l’instar de cette activité offerte pour la sortie de Mass Effect Androméda l’année dernière, ou encore, celle à laquelle on m’avait convié pour celle de Far Cry 5 dans les semaines à venir. Mais avant de m’y complaire, je me devais de satisfaire une communauté avide de nouveautés, de graphismes bluffants et d’originalité tout en mettant la main sur mon prochain coup de cœur gaming.
Alors la porte de l’espoir je poussais, un sourire aux lèvres en voyant ce garçon que je connaissais plutôt bien : Kuma . Renard lui aussi, logeant à quelques chambres de la mienne, il m’arrivait de le croiser ici et là dans les bâtiments de la fraternité, mais c’était bien ici, sur son lieu de travail, que j’avais le plus appris à le connaitre. « Heey » Une voix chantante, visiblement de bien bonne humeur, alors que je m’approchais du comptoir pour rejoindre le garçon. « Je suis passé entre temps mais t’étais pas là. Ça va et toi ? » Mon écharpe je baissais alors de mon visage, les joues rosées par le froid extérieur, ces températures que je détestais. Le printemps serait très certainement plus agréable… « Il était génial ! L’histoire est géniale, les graphismes aussi, le gameplay…. Il a bien changé depuis la beta cela dit, c’était surprenant. » Une petite blague de l’éditeur certainement que je n’étais pas prêt d’oublier pour les futurs jeux de leur label… A sa proposition mes yeux se baissaient sur la boite qu’il me tendait avant de remonter à son visage, l’air complice. « Si tu me prends par les sentiments… » Je n’étais pas le genre d’homme à dire non à des sucreries mais je n’étais pas non plus le type à en acheter volontairement. Alors en le remerciant je me saisissais d’une guimauve que je glissais entre mes lèvres pour en croquer un bout. « Et toi, tu racontes quoi de beau depuis la dernière fois ? T’étais en vacances ? » Difficile à croire avec la période d’examen, mais peut-être avait-il pris des congés à cette occasion ?
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kuma & haneul
+++ Mon visage se baissait, mon nez se cachait derrière les mailles d’une laine épaisse en quête de chaleur temporaire. Mes pas, légers mais rapides, me guidaient vers une boutique que je ne connaissais que trop bien pour m’y être aventuré déjà à plusieurs reprises. Des habitudes bien vite acquises quand on savait que pas même une moitié d’année était passé depuis mon arrivée ici, dans cette ville qui aurait dû être celle de ma naissance : Séoul. Des restaurants aux boutiques de sports, peu à peu, j’avais pris mes marques, mes aises dans une ville que je ne connaissais initialement que de nom pour les nombreux voyages que j’y avais effectués. Pourtant, celle qui était ma destination du jour se trouvait à mille lieux de la nourriture ou des sports, quoi que cela puisse y être apparenté sous un pseudonyme légèrement différent. L’E-sport, une discipline dans laquelle je m’étais lancé il y a bien des années, de longues années même. Ces jeunes années où vos parents vous dictaient ce que vous pouviez ou non faire, ces années où vos géniteurs choisissaient votre filière pour l’année suivante et quelle quantité de légumes vous deviez manger pour être sain et en bonne santé… Ces foutues années de collège où j’avais fini par prendre mon premier envol vers une route de liberté, leur prouvant qu’études et jeux vidéo n’étaient incompatibles lorsqu’on y mettait du sien. Car cela était devenu un combat pendant un temps, une guerre que j’avais gagné pour devenir ce que j’étais aujourd’hui. Je n’étais une star comme certains pro-gamer pouvaient l’être, je n’avais de sponsor qui demandait à présenter leurs produits et les aider à vendre en les affichant dans mes lives, mais au fil des mois, au fil de l’agrandissement de ma communauté, des opportunités s’offraient. A l’instar de cette activité offerte pour la sortie de Mass Effect Androméda l’année dernière, ou encore, celle à laquelle on m’avait convié pour celle de Far Cry 5 dans les semaines à venir. Mais avant de m’y complaire, je me devais de satisfaire une communauté avide de nouveautés, de graphismes bluffants et d’originalité tout en mettant la main sur mon prochain coup de cœur gaming.Alors la porte de l’espoir je poussais, un sourire aux lèvres en voyant ce garçon que je connaissais plutôt bien : Kuma . Renard lui aussi, logeant à quelques chambres de la mienne, il m’arrivait de le croiser ici et là dans les bâtiments de la fraternité, mais c’était bien ici, sur son lieu de travail, que j’avais le plus appris à le connaitre. « Heey » Une voix chantante, visiblement de bien bonne humeur, alors que je m’approchais du comptoir pour rejoindre le garçon. « Je suis passé entre temps mais t’étais pas là. Ça va et toi ? » Mon écharpe je baissais alors de mon visage, les joues rosées par le froid extérieur, ces températures que je détestais. Le printemps serait très certainement plus agréable… « Il était génial ! L’histoire est géniale, les graphismes aussi, le gameplay…. Il a bien changé depuis la beta cela dit, c’était surprenant. » Une petite blague de l’éditeur certainement que je n’étais pas prêt d’oublier pour les futurs jeux de leur label… A sa proposition mes yeux se baissaient sur la boite qu’il me tendait avant de remonter à son visage, l’air complice. « Si tu me prends par les sentiments… » Je n’étais pas le genre d’homme à dire non à des sucreries mais je n’étais pas non plus le type à en acheter volontairement. Alors en le remerciant je me saisissais d’une guimauve que je glissais entre mes lèvres pour en croquer un bout. « Et toi, tu racontes quoi de beau depuis la dernière fois ? T’étais en vacances ? » Difficile à croire avec la période d’examen, mais peut-être avait-il pris des congés à cette occasion ?
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Re: let me introduce you to my daughter (ft haneul) | Sam 17 Mar - 18:09
+++ Très peu de solutions s'offrent à toi, en vérité. Tu ne peux pas te permettre de quitter ton travail, de perdre de l'argent alors que tu en as cruellement besoin pour vivre, pour ta fille, et pour tes études aussi. Et puis, ce n'est pas comme si Sakura pouvait poser un quelconque problème, elle est loin d'être la fille la plus envahissante. Bien au contraire, très souvent, on ne la remarque même pas. Tu ne sais pas de qui elle tient ce calme inné mais il est bel et bien présent. De toute façon, c'est simplement le temps de quelques petites heures, tu as ses affaires avec toi, et tout ce qu'il faut. Bien évidemment, tu savais que tu allais te prendre une remarque de ton collègue mais disons que ça, t'y es habitué. Il lâche très vite l'affaire cela dit, sans doute parce qu'il sait très bien que, quoi qu'il dise, ne te fera changer d'avis. Qu'est-ce que tu peux bien faire de toute façon? Tu as déjà essayé d'appeler ses quelques nourrices et aucune d'entre elles ne peut se libérer. Tu n'as pas vraiment le choix, alors oui, tu t'installes sur ta chaise haute à l'accueil, gardant un œil sur ta fille. Rien ne peut vraiment lui arriver, il y a même des chances pour qu'elle s'endorme dans les prochaines minutes mais sait-on jamais, tu sais que tu pourras gérer les deux.
Et à peine reprends-tu du service qu'un des plus fidèles clients arrive, une personne avec qui tu as pu échanger de nombreuses fois et que tu apprécies. Tu t'empresses de le saluer, il est vrai que ça fait un petit moment que tu ne l'as pas vu ici, du moins, par rapport à d'habitude. Il devait passer lorsque tu ne travaillais pas, d'ailleurs, il te le confirme assez vite. « Ça va! » Tu souris de plus belle, avant de lui demander des informations concernant Destiny 2. Un jeu que tu aurais sans doute déjà terminé si tu avais plus de temps devant toi, parce que oui, cela fait bien plusieurs mois que te poser devant un jeu vidéo et le terminer en quelques jours est devenu un doux rêve. Haneul te dit alors son avis, balançant ses critiques et apparemment, le jeu a l'air réellement bien. Tu acquiesces d'un geste de la tête, gardant ton fin sourire. « Pour être honnête avec toi, personne s'en est plaint. Je pense que je vais le placer en haut de ma liste de jeux que j'ai à rattraper. » Et c'est rien de le dire, mais quand même, tu ne sais pas quand tu pourras rattraper tout ton retard. Enfin, ne pense pas tout de suite à ce genre de choses. Tu pouffes légèrement de rire à sa réflexion lorsque tu lui proposes des guimauves, ah bah tant qu'à faire, c'est ici. Autant qu'il se serve, non? Et puis, qui pourrait refuser des guimauves au juste? D'ailleurs, tu le suis dans son geste et toi aussi, tu t'en empares d'une pour la glisser entre tes lèvres, l'avalant rapidement histoire de pouvoir lui répondre. « Hm, tu sais, rien de spécial. » commences-tu avant de continuer. « Mais oui, j'avais pris quelques congés... Si on peut appeler ça des congés étant donné que je me suis consacré à mes cours. » Tu n'es pas l'homme le plus sérieux de la planète mais lorsqu'il s'agit de Sakura ou de tes cours, c'est une autre histoire. « Et puis, la mère de ma fille n'était pas là. Donc j'ai du la garder plus longtemps que prévu. » Ça ne te dérange en rien, bien au contraire, tu fais tout pour passer plus de temps avec ta fille mais tu ne peux pas nier que ça ne soit pas de tout repos, de s'en occuper. D'ailleurs, tu te rends vite compte que tu n'as jamais mentionné l'existence de Sakura auprès de Haneul. Il faut dire que vous discutez de jeux vidéos la plupart du temps... « D'ailleurs, je peux même te la présenter. » lâches-tu, un fin sourire sur les lèvres avant de te lever de ta chaise, tu attrapes ta fille, sage comme une image, avant de reprendre place sur ton siège et de la placer sur tes genoux. Tu passes tes bras autour d'elle, la maintenant correctement tandis que son regard navigue entre Haneul et cette boite de guimauves. Tu prends alors une voix un peu plus douce, comme à chaque fois que tu t'adresses à elle. « Sakura, dis bonjour à Haneul. » Tu te doutes bien qu'elle ne le fera pas, elle n'a déjà pas prononcé son premier mot, mais au moins, elle en décroche un sourire. Tu reposes donc ton regard sur lui, toujours sans cesser de sourire. « Les guimauves doivent la perturber. » Il est vrai que pour toi, présenter ta fille est devenu quelque chose d'habituel. Avant ça, tu avais droit à l'étonnement des inconnus, à l'incompréhension aussi mais pour toi, il n'y a rien d'anormal, l'habitude, sûrement...
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haneul & kuma
+++ Très peu de solutions s'offrent à toi, en vérité. Tu ne peux pas te permettre de quitter ton travail, de perdre de l'argent alors que tu en as cruellement besoin pour vivre, pour ta fille, et pour tes études aussi. Et puis, ce n'est pas comme si Sakura pouvait poser un quelconque problème, elle est loin d'être la fille la plus envahissante. Bien au contraire, très souvent, on ne la remarque même pas. Tu ne sais pas de qui elle tient ce calme inné mais il est bel et bien présent. De toute façon, c'est simplement le temps de quelques petites heures, tu as ses affaires avec toi, et tout ce qu'il faut. Bien évidemment, tu savais que tu allais te prendre une remarque de ton collègue mais disons que ça, t'y es habitué. Il lâche très vite l'affaire cela dit, sans doute parce qu'il sait très bien que, quoi qu'il dise, ne te fera changer d'avis. Qu'est-ce que tu peux bien faire de toute façon? Tu as déjà essayé d'appeler ses quelques nourrices et aucune d'entre elles ne peut se libérer. Tu n'as pas vraiment le choix, alors oui, tu t'installes sur ta chaise haute à l'accueil, gardant un œil sur ta fille. Rien ne peut vraiment lui arriver, il y a même des chances pour qu'elle s'endorme dans les prochaines minutes mais sait-on jamais, tu sais que tu pourras gérer les deux. Et à peine reprends-tu du service qu'un des plus fidèles clients arrive, une personne avec qui tu as pu échanger de nombreuses fois et que tu apprécies. Tu t'empresses de le saluer, il est vrai que ça fait un petit moment que tu ne l'as pas vu ici, du moins, par rapport à d'habitude. Il devait passer lorsque tu ne travaillais pas, d'ailleurs, il te le confirme assez vite. « Ça va! » Tu souris de plus belle, avant de lui demander des informations concernant Destiny 2. Un jeu que tu aurais sans doute déjà terminé si tu avais plus de temps devant toi, parce que oui, cela fait bien plusieurs mois que te poser devant un jeu vidéo et le terminer en quelques jours est devenu un doux rêve. Haneul te dit alors son avis, balançant ses critiques et apparemment, le jeu a l'air réellement bien. Tu acquiesces d'un geste de la tête, gardant ton fin sourire. « Pour être honnête avec toi, personne s'en est plaint. Je pense que je vais le placer en haut de ma liste de jeux que j'ai à rattraper. » Et c'est rien de le dire, mais quand même, tu ne sais pas quand tu pourras rattraper tout ton retard. Enfin, ne pense pas tout de suite à ce genre de choses. Tu pouffes légèrement de rire à sa réflexion lorsque tu lui proposes des guimauves, ah bah tant qu'à faire, c'est ici. Autant qu'il se serve, non? Et puis, qui pourrait refuser des guimauves au juste? D'ailleurs, tu le suis dans son geste et toi aussi, tu t'en empares d'une pour la glisser entre tes lèvres, l'avalant rapidement histoire de pouvoir lui répondre. « Hm, tu sais, rien de spécial. » commences-tu avant de continuer. « Mais oui, j'avais pris quelques congés... Si on peut appeler ça des congés étant donné que je me suis consacré à mes cours. » Tu n'es pas l'homme le plus sérieux de la planète mais lorsqu'il s'agit de Sakura ou de tes cours, c'est une autre histoire. « Et puis, la mère de ma fille n'était pas là. Donc j'ai du la garder plus longtemps que prévu. » Ça ne te dérange en rien, bien au contraire, tu fais tout pour passer plus de temps avec ta fille mais tu ne peux pas nier que ça ne soit pas de tout repos, de s'en occuper. D'ailleurs, tu te rends vite compte que tu n'as jamais mentionné l'existence de Sakura auprès de Haneul. Il faut dire que vous discutez de jeux vidéos la plupart du temps... « D'ailleurs, je peux même te la présenter. » lâches-tu, un fin sourire sur les lèvres avant de te lever de ta chaise, tu attrapes ta fille, sage comme une image, avant de reprendre place sur ton siège et de la placer sur tes genoux. Tu passes tes bras autour d'elle, la maintenant correctement tandis que son regard navigue entre Haneul et cette boite de guimauves. Tu prends alors une voix un peu plus douce, comme à chaque fois que tu t'adresses à elle. « Sakura, dis bonjour à Haneul. » Tu te doutes bien qu'elle ne le fera pas, elle n'a déjà pas prononcé son premier mot, mais au moins, elle en décroche un sourire. Tu reposes donc ton regard sur lui, toujours sans cesser de sourire. « Les guimauves doivent la perturber. » Il est vrai que pour toi, présenter ta fille est devenu quelque chose d'habituel. Avant ça, tu avais droit à l'étonnement des inconnus, à l'incompréhension aussi mais pour toi, il n'y a rien d'anormal, l'habitude, sûrement...
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Re: let me introduce you to my daughter (ft haneul) | Ven 23 Mar - 5:36
+++ Durant le mois de décembre, c’était les tréfonds de la maison d’un peintre schizophrène et veuf que nous avions exploré avec ma communauté ; une période assez spécifique de ma chaîne puisqu’elle ne pouvait ravir que les adeptes de jeux d’horreur. Février fut quant à lui le mois du combat contre la Légion rouge, en particulier contre le commandant Dominus Ghaul, afin de se réapproprier ce qu’il avait volé à la cité : the traveller. Ravissant les plus férus de graphisme bluffants et d’histoire de ma communauté, alors, certainement : mars et avril seraient destinés à des jeux plus doux, plus amusants probablement aussi ?
A vrai dire, je ne savais encore exactement ce que je cherchais ; c’était ici même que j’espérais trouver la perle, probablement avec l’aide de mon comparse renard. Ma seule envie, ma seule demande étant de n’avoir à passer toutes mes heures de libre devant un écran, pas ce mois-ci ni… sans doute… ceux à venir ? Probablement… ça non plus, je ne savais, je ne pouvais savoir à vrai dire – puisque dans cette décision je n‘étais seul décidant – mais une grande partie de mon être espérait après cette idée. L’attendait avec une impatience aussi inconsciente que bruyante bien que je ne me rendais compte de combien mon esprit pourrait s’égarer grâce à cette même situation…
Comme je le soupçonnais, l’absence de mon aîné de la boutique n’était causée que par cette même période que j’avais traversé il y a peu de temps : les examens. Si de son côté, il devait gérer la boutique, du mien j’avais ma chaîne où, même s’ils comprenaient, mes fans savaient aussi se montrer très persistants pour avoir leur nombre de vidéo par semaine. C’était donc naturellement que je comprenais son désir de prendre quelques jours loin du travail, pour se concentrer, se plonger dans ses cours et réussir à les passer haut la main. La Yonsei n’était une université comme une autre après tout, rigueur et sérieux était de mise pour rimer avec réussite. « La misère des examens… surtout si tu devais aussi t’occuper de ta… » Fille ? Si jusqu’à présent c’était avec compréhension que je fixais Kuma, mais maintenant ? Désormais, sur ce visage brillant de bonheur, de compassion pour un comparse ayant des difficultés en termes d’organisation, ne se trouvait que réflexion et perplexité. Sa fille… Parlait-il d’une petite-amie ? Si l’idée me venait une fraction de seconde, elle fut bien rapidement balayer par l’incohérence de la phrase. La mère de sa fille… La mère. Soudainement bien que difficilement, la réalité me giflait. Kuma avait-il une fille ?! Puis ce fut la scène face à moi qui me confirmait le tout. Un petit être, une bouille ronde, des grands yeux fixant tantôt les sucreries, tantôt mon visage décomposé. Tout juste la taille… d’un tibia ? Un peu moins ? Un peu plus ? Je ne savais, c’était juste… tout petit. Un mini humain pour lequel beaucoup criait d’enthousiasme quand je ne l’accueillais qu’avec méfiance. Ça et les alliances, c’était bien deux choses que je fuyais… Bien que l’une j’eus rencontré en décembre et l’autre aujourd’hui. A croire que Corée du Sud rimait avec malédiction, mais celle-ci ne saurait me toucher ! Pas cette fois ! Marié avant ma mort mais pas papa !
Sous mes yeux, cette masse s’agitait, ses lèvres se mouvaient dans un sourire que je ne savais lui rendre. Loin de juger, je semblais seulement… figé sur place. M’aurait-on présenté un Alien que ma réaction aurait été la même… ou sans doute aurait-elle été meilleure, au moins, eux, je ne pouvais les faire naître, je ne pouvais en avoir. Mais un enfant… un bébé… Il ne fallait qu’un spermatozoïde et un ovule, une erreur et ma vie se trouvait fichue à tout jamais. Contraint d’arrêter mes folles aventures en extérieur, contraint de travailler sérieusement pour gagner ma vie et le nourrir, me lever la nuit pour le nourrir, aller aux réunions parent-professeur chaque année, m’assuré qu’il grandirait correctement, qu’il trouvera une femme ou un mari, qu’il sera heureux… Tant de responsabilités et de stress que je ne saurais accepter. Ni maintenant ni jamais. « C-c’est… ta fille… ? Je… Je veux dire… Enfin… » Par où commencer exactement ? Comment ? Pourquoi ? Même si la réponse au comment je ne pouvais que la connaitre mais… comment avait-il pu faire tomber une femme enceinte comme ça ?! Je savais la qualité du système de prévention asiatique bien pauvre en comparaison a d’autre, au moins une information de mon ex qui me sera utile, mais tout de même. N’était-ce pas trop ? « T-tu.. Tu l’as… je veux dire… a-avec ta copine… vous... v-vous vouliez… l’a-l’avoir ? Je pensais que… je vivais comme je voulais.. mais… woa… » J’avais assurément trouvé concurrent à ma vie totale liberté concernant mes envies. Encore étudiant et déjà papa… La vision me faisait froid dans le dos, mais dans un sens : peut-être n’était-ce pas si choquant. Bon nombre de gens se mariaient avant trente ans dans le pays, ce que signifiait qu’un bon nombre devaient aussi devenir parents avant leurs trente ans ? Etait-ce pour cette raison… que ma mère était si heureuse ? A avoir appris que son fils avait quelqu’un dans sa vie l’année de ses vingt-deux ans, si les choses se passaient bien, d’ici deux ans nous serions probablement mariés, après le mariage venait la nuit de noce, puis on finirait nos études et nous fonderont une famille… ce signifiait indiscutablement des enfants. Des mini-humains comme celui que j’avais face à moi, un bout de chair venant tout droit de…
Je n’étais sûr d’entendre la réponse de Kuma, perdu dans mes pensées, sous le choc de cette constatation aussi bancale que précipité, car assurément si ma mère m’eut posé bon nombre de question sur elle ; pas encore une seule fois elle n’avait parlé ou même sous-entendu une chose de la sorte. Sans oublier qu’Hera ne devait certainement pas vouloir penser aux fiançailles ou au mariage même pour le moment, alors un enfant… Quand bien même un bébé avec ses traits devait être si mignon. Mais non, jamais ! Jamais de la vie. Alors plutôt que d’être choqué, perdu et totalement en panique, je tentais de raisonner. Prendre la vie du bon côté, le côté facile, insouciant, inconscient –mais pas au point de mettre ma… copine enceinte le jour où on couchera ensemble quand même –. Vivre pleinement, légèrement. Ne pas juger, accepter bien que je ne le ferais s’il était question de la prendre dans mes bras. Une malédiction pas deux. « Elle… Elle a quel âge… ? » Malgré ma peur, ma curiosité savait s’exprimer également bien que maladroite au vu de mon état à la simple vue d’un enfant de mon entourage. Mon frère pouvait avoir un enfant, ma sœur aussi mais un ami étudiant ?! Quoi que mon frère était encore bien jeune… Et il prendrait certainement une dérouillée par mon père s’il faisait un enfant aussi tôt. « Désolé de... réagir comme ça... mais… les bébés et tout ça c’est pas… c’est pas mon... truc… » Ce n’était contre Kuma ni contre sa fille répondant au doux nom de Sakura, mais bien une réaction quant à la simple vue d’une de ces petites choses mouvantes et incapable de parler autrement qu’en babillements baveux.
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kuma & haneul
+++ Durant le mois de décembre, c’était les tréfonds de la maison d’un peintre schizophrène et veuf que nous avions exploré avec ma communauté ; une période assez spécifique de ma chaîne puisqu’elle ne pouvait ravir que les adeptes de jeux d’horreur. Février fut quant à lui le mois du combat contre la Légion rouge, en particulier contre le commandant Dominus Ghaul, afin de se réapproprier ce qu’il avait volé à la cité : the traveller. Ravissant les plus férus de graphisme bluffants et d’histoire de ma communauté, alors, certainement : mars et avril seraient destinés à des jeux plus doux, plus amusants probablement aussi ? A vrai dire, je ne savais encore exactement ce que je cherchais ; c’était ici même que j’espérais trouver la perle, probablement avec l’aide de mon comparse renard. Ma seule envie, ma seule demande étant de n’avoir à passer toutes mes heures de libre devant un écran, pas ce mois-ci ni… sans doute… ceux à venir ? Probablement… ça non plus, je ne savais, je ne pouvais savoir à vrai dire – puisque dans cette décision je n‘étais seul décidant – mais une grande partie de mon être espérait après cette idée. L’attendait avec une impatience aussi inconsciente que bruyante bien que je ne me rendais compte de combien mon esprit pourrait s’égarer grâce à cette même situation…
Comme je le soupçonnais, l’absence de mon aîné de la boutique n’était causée que par cette même période que j’avais traversé il y a peu de temps : les examens. Si de son côté, il devait gérer la boutique, du mien j’avais ma chaîne où, même s’ils comprenaient, mes fans savaient aussi se montrer très persistants pour avoir leur nombre de vidéo par semaine. C’était donc naturellement que je comprenais son désir de prendre quelques jours loin du travail, pour se concentrer, se plonger dans ses cours et réussir à les passer haut la main. La Yonsei n’était une université comme une autre après tout, rigueur et sérieux était de mise pour rimer avec réussite. « La misère des examens… surtout si tu devais aussi t’occuper de ta… » Fille ? Si jusqu’à présent c’était avec compréhension que je fixais Kuma, mais maintenant ? Désormais, sur ce visage brillant de bonheur, de compassion pour un comparse ayant des difficultés en termes d’organisation, ne se trouvait que réflexion et perplexité. Sa fille… Parlait-il d’une petite-amie ? Si l’idée me venait une fraction de seconde, elle fut bien rapidement balayer par l’incohérence de la phrase. La mère de sa fille… La mère. Soudainement bien que difficilement, la réalité me giflait. Kuma avait-il une fille ?! Puis ce fut la scène face à moi qui me confirmait le tout. Un petit être, une bouille ronde, des grands yeux fixant tantôt les sucreries, tantôt mon visage décomposé. Tout juste la taille… d’un tibia ? Un peu moins ? Un peu plus ? Je ne savais, c’était juste… tout petit. Un mini humain pour lequel beaucoup criait d’enthousiasme quand je ne l’accueillais qu’avec méfiance. Ça et les alliances, c’était bien deux choses que je fuyais… Bien que l’une j’eus rencontré en décembre et l’autre aujourd’hui. A croire que Corée du Sud rimait avec malédiction, mais celle-ci ne saurait me toucher ! Pas cette fois ! Marié avant ma mort mais pas papa !
Sous mes yeux, cette masse s’agitait, ses lèvres se mouvaient dans un sourire que je ne savais lui rendre. Loin de juger, je semblais seulement… figé sur place. M’aurait-on présenté un Alien que ma réaction aurait été la même… ou sans doute aurait-elle été meilleure, au moins, eux, je ne pouvais les faire naître, je ne pouvais en avoir. Mais un enfant… un bébé… Il ne fallait qu’un spermatozoïde et un ovule, une erreur et ma vie se trouvait fichue à tout jamais. Contraint d’arrêter mes folles aventures en extérieur, contraint de travailler sérieusement pour gagner ma vie et le nourrir, me lever la nuit pour le nourrir, aller aux réunions parent-professeur chaque année, m’assuré qu’il grandirait correctement, qu’il trouvera une femme ou un mari, qu’il sera heureux… Tant de responsabilités et de stress que je ne saurais accepter. Ni maintenant ni jamais. « C-c’est… ta fille… ? Je… Je veux dire… Enfin… » Par où commencer exactement ? Comment ? Pourquoi ? Même si la réponse au comment je ne pouvais que la connaitre mais… comment avait-il pu faire tomber une femme enceinte comme ça ?! Je savais la qualité du système de prévention asiatique bien pauvre en comparaison a d’autre, au moins une information de mon ex qui me sera utile, mais tout de même. N’était-ce pas trop ? « T-tu.. Tu l’as… je veux dire… a-avec ta copine… vous... v-vous vouliez… l’a-l’avoir ? Je pensais que… je vivais comme je voulais.. mais… woa… » J’avais assurément trouvé concurrent à ma vie totale liberté concernant mes envies. Encore étudiant et déjà papa… La vision me faisait froid dans le dos, mais dans un sens : peut-être n’était-ce pas si choquant. Bon nombre de gens se mariaient avant trente ans dans le pays, ce que signifiait qu’un bon nombre devaient aussi devenir parents avant leurs trente ans ? Etait-ce pour cette raison… que ma mère était si heureuse ? A avoir appris que son fils avait quelqu’un dans sa vie l’année de ses vingt-deux ans, si les choses se passaient bien, d’ici deux ans nous serions probablement mariés, après le mariage venait la nuit de noce, puis on finirait nos études et nous fonderont une famille… ce signifiait indiscutablement des enfants. Des mini-humains comme celui que j’avais face à moi, un bout de chair venant tout droit de…
Je n’étais sûr d’entendre la réponse de Kuma, perdu dans mes pensées, sous le choc de cette constatation aussi bancale que précipité, car assurément si ma mère m’eut posé bon nombre de question sur elle ; pas encore une seule fois elle n’avait parlé ou même sous-entendu une chose de la sorte. Sans oublier qu’Hera ne devait certainement pas vouloir penser aux fiançailles ou au mariage même pour le moment, alors un enfant… Quand bien même un bébé avec ses traits devait être si mignon. Mais non, jamais ! Jamais de la vie. Alors plutôt que d’être choqué, perdu et totalement en panique, je tentais de raisonner. Prendre la vie du bon côté, le côté facile, insouciant, inconscient –mais pas au point de mettre ma… copine enceinte le jour où on couchera ensemble quand même –. Vivre pleinement, légèrement. Ne pas juger, accepter bien que je ne le ferais s’il était question de la prendre dans mes bras. Une malédiction pas deux. « Elle… Elle a quel âge… ? » Malgré ma peur, ma curiosité savait s’exprimer également bien que maladroite au vu de mon état à la simple vue d’un enfant de mon entourage. Mon frère pouvait avoir un enfant, ma sœur aussi mais un ami étudiant ?! Quoi que mon frère était encore bien jeune… Et il prendrait certainement une dérouillée par mon père s’il faisait un enfant aussi tôt. « Désolé de... réagir comme ça... mais… les bébés et tout ça c’est pas… c’est pas mon... truc… » Ce n’était contre Kuma ni contre sa fille répondant au doux nom de Sakura, mais bien une réaction quant à la simple vue d’une de ces petites choses mouvantes et incapable de parler autrement qu’en babillements baveux.
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Re: let me introduce you to my daughter (ft haneul) | Mar 10 Avr - 20:06
+++ « La misère des examens… surtout si tu devais aussi t’occuper de ta… » Il se coupe net dans sa phrase, tu remarques bien que son expression change littéralement. De surprise? Sans doute, tu n'y fais plus vraiment attention en réalité, sans doute parce que toi, plus rien ne te choque vraiment et puis, tu es habitué à tout ça. Tu as du être confronté à toutes les réactions possibles et inimaginable lorsque la personne face à toi comprend que tu es déjà papa d'un petit bébé. Pour toi, c'est normal, question d'habitude, mais ça ne l'est pas forcément pour tout le monde. Rapidement, ton regard se pose très vite sur Sakura qui s'agite à nouveau, réclamant une guimauve que tu saisies, tu en manges la moitié avant de lui donner un petit morceau à elle aussi, tu as toujours peur qu'elle s'étrangle ou tu ne sais quoi, on ne sait jamais. D'ailleurs, tout en mangeant, son regard de biche se pose sur Haneul, regard que tu suis toi aussi qui reprend enfin la parole. « C-c’est… ta fille… ? Je… Je veux dire… Enfin… » Tu hoches doucement la tête de haut en bas, lâchant un « Hm hm. » qui confirmera ses dires. Ton sourire s'élargit quelque peu, il est vraiment sous le choc... Tu ne pensais pas qu'il pouvait l'être à ce point, en fait. « T-tu.. Tu l’as… je veux dire… a-avec ta copine… vous... v-vous vouliez… l’a-l’avoir ? Je pensais que… je vivais comme je voulais.. mais… woa… » Alors, c'est bien plus compliqué que ça pour le coup, la mère de ta fille qui n'est pas vraiment ta copine et ne l'a jamais réellement été, et puis non, Sakura a beau recevoir tout l'amour du monde, on ne peut pas dire qu'elle était désiré. Tu n'aurais jamais cru avoir un enfant si jeune en réalité mais comme quoi, la vie nous réserve parfois des surprises. « En fait, je ne suis plus vraiment avec.. la maman. » Tu gardes ce même sourire, tu n'entres pas trop dans les détails bien que tu le pourrais, c'est juste qu'il a déjà du mal à réaliser ce qu'il se passe. Tu n'es même pas sûr qu'il puisse t'entendre, il a l'air tellement sous le choc que ses pensées doivent tout embrouiller. « Elle a dix mois.. Bientôt onze. » lui réponds-tu finalement à sa question. Déjà oui, le temps passe si vite quand tu y penses, tu as l'impression que c'était hier, le jour de l'accouchement. « Désolé de... réagir comme ça... mais… les bébés et tout ça c’est pas… c’est pas mon... truc… » Tu étouffes un léger rire, expulsant l'air de ton nez avant d'à nouveau hocher la tête. « T'en fais pas, je suis habitué. » Il est loin d'être le seul à être choqué, c'est même parfois bien pire que cela. Certaines personnes ne le sont pas, mais d'autres, c'est une autre histoire. Instinctivement, tu lances un regard vers Sakura, passant ta main sur son front pour lui dégager quelques mèches de cheveux. Ses cheveux aussi commencent à bien pousser, décidément, tu ne vois pas le temps passer. Tu reprends alors une guimauve avant de la glisser entre tes lèvres. « Pour tout te dire, on avait pas réellement prévu que ça arrive. » Tu en souris bien que ça soit la vérité. Ta fille n'était pas désirée, pourquoi vouloir faire un enfant avec une personne dont tu n'étais même pas amoureux ? Et c'était réciproque, vous deux, souhaitiez juste passer du bon temps et puis... Sakura est arrivée, et même si c'était flippant au début, tu remercies le ciel de te l'avoir donné. Ta fille, c'est devenu ton centre du monde tout comme elle est celui de sa maman. Malgré tout ça, elle ne manque pas d'amour et n'en manquera jamais. « On était jeunes quoi... C'était trop tôt pour penser à ça. » Clairement trop tôt et pas du tout dans tes projets, à la base. Elle a bousculé ta vie, ta petite fille, mais ce n'est clairement pas une mauvaise chose. « Donc bon, je peux comprendre que certaines personnes puissent être un peu choqué. » Et ça, ce n'est rien dire le dire. « Le pire c'est quand je leur dis que je portais un préservatif. » Tu dis ça assez naturellement, comme à ton habitude. Alors là, tu parles surtout de tes potes. Ils sont devenus blancs comme neige, t'insultant même parfois de menteur, ou te disant que tu ne savais tout simplement pas le mettre correctement ou tu ne sais quelle connerie, simplement pour arrêter de flipper parce que oui, tu en as fait flipper du monde avec cette histoire. Mais pourtant, c'est bel et bien le cas. « Si j'dis pas de bêtise, ils sont efficaces qu'à 97% si on prend en compte les petits risques qui pourraient arriver évidemment. Mais en général ils le sont, je pense que ça arrive que très rarement. » mais ça arrive, la preuve. Bien évidemment, dans les 3% sont compter celles qui craquent, les préservatifs mal mis et toutes ces petites choses. Tu n'as pas cherché à comprendre plus que ça, tu sais simplement que tu portais une protection mais que Ayame est tout de même tombé enceinte. Tu ne comprends pas non parce qu'aucune chose aurait pu être un facteur potentiel, tu es même sûr que la préservatif n'avait pas craqué, non franchement, t'as aucune explication à ça. Tu pouffes légèrement de rire, hochant la tête après avoir poussé un fin soupir. Enfin voilà, là n'est pas le sujet. « Alors comme ça... Tu n'es pas très à l'aise avec les enfants? » Tu apprends une nouvelle chose, là. La plupart de tes amis ne l'étaient pas avant Sakura, il faut dire, tu ne pensais pas que Haneul pourrait faire partie de ces personnes pas très à l'aise en compagnie d'un bébé.
let me introduce you to my daughter.
haneul & kuma
+++ « La misère des examens… surtout si tu devais aussi t’occuper de ta… » Il se coupe net dans sa phrase, tu remarques bien que son expression change littéralement. De surprise? Sans doute, tu n'y fais plus vraiment attention en réalité, sans doute parce que toi, plus rien ne te choque vraiment et puis, tu es habitué à tout ça. Tu as du être confronté à toutes les réactions possibles et inimaginable lorsque la personne face à toi comprend que tu es déjà papa d'un petit bébé. Pour toi, c'est normal, question d'habitude, mais ça ne l'est pas forcément pour tout le monde. Rapidement, ton regard se pose très vite sur Sakura qui s'agite à nouveau, réclamant une guimauve que tu saisies, tu en manges la moitié avant de lui donner un petit morceau à elle aussi, tu as toujours peur qu'elle s'étrangle ou tu ne sais quoi, on ne sait jamais. D'ailleurs, tout en mangeant, son regard de biche se pose sur Haneul, regard que tu suis toi aussi qui reprend enfin la parole. « C-c’est… ta fille… ? Je… Je veux dire… Enfin… » Tu hoches doucement la tête de haut en bas, lâchant un « Hm hm. » qui confirmera ses dires. Ton sourire s'élargit quelque peu, il est vraiment sous le choc... Tu ne pensais pas qu'il pouvait l'être à ce point, en fait. « T-tu.. Tu l’as… je veux dire… a-avec ta copine… vous... v-vous vouliez… l’a-l’avoir ? Je pensais que… je vivais comme je voulais.. mais… woa… » Alors, c'est bien plus compliqué que ça pour le coup, la mère de ta fille qui n'est pas vraiment ta copine et ne l'a jamais réellement été, et puis non, Sakura a beau recevoir tout l'amour du monde, on ne peut pas dire qu'elle était désiré. Tu n'aurais jamais cru avoir un enfant si jeune en réalité mais comme quoi, la vie nous réserve parfois des surprises. « En fait, je ne suis plus vraiment avec.. la maman. » Tu gardes ce même sourire, tu n'entres pas trop dans les détails bien que tu le pourrais, c'est juste qu'il a déjà du mal à réaliser ce qu'il se passe. Tu n'es même pas sûr qu'il puisse t'entendre, il a l'air tellement sous le choc que ses pensées doivent tout embrouiller. « Elle a dix mois.. Bientôt onze. » lui réponds-tu finalement à sa question. Déjà oui, le temps passe si vite quand tu y penses, tu as l'impression que c'était hier, le jour de l'accouchement. « Désolé de... réagir comme ça... mais… les bébés et tout ça c’est pas… c’est pas mon... truc… » Tu étouffes un léger rire, expulsant l'air de ton nez avant d'à nouveau hocher la tête. « T'en fais pas, je suis habitué. » Il est loin d'être le seul à être choqué, c'est même parfois bien pire que cela. Certaines personnes ne le sont pas, mais d'autres, c'est une autre histoire. Instinctivement, tu lances un regard vers Sakura, passant ta main sur son front pour lui dégager quelques mèches de cheveux. Ses cheveux aussi commencent à bien pousser, décidément, tu ne vois pas le temps passer. Tu reprends alors une guimauve avant de la glisser entre tes lèvres. « Pour tout te dire, on avait pas réellement prévu que ça arrive. » Tu en souris bien que ça soit la vérité. Ta fille n'était pas désirée, pourquoi vouloir faire un enfant avec une personne dont tu n'étais même pas amoureux ? Et c'était réciproque, vous deux, souhaitiez juste passer du bon temps et puis... Sakura est arrivée, et même si c'était flippant au début, tu remercies le ciel de te l'avoir donné. Ta fille, c'est devenu ton centre du monde tout comme elle est celui de sa maman. Malgré tout ça, elle ne manque pas d'amour et n'en manquera jamais. « On était jeunes quoi... C'était trop tôt pour penser à ça. » Clairement trop tôt et pas du tout dans tes projets, à la base. Elle a bousculé ta vie, ta petite fille, mais ce n'est clairement pas une mauvaise chose. « Donc bon, je peux comprendre que certaines personnes puissent être un peu choqué. » Et ça, ce n'est rien dire le dire. « Le pire c'est quand je leur dis que je portais un préservatif. » Tu dis ça assez naturellement, comme à ton habitude. Alors là, tu parles surtout de tes potes. Ils sont devenus blancs comme neige, t'insultant même parfois de menteur, ou te disant que tu ne savais tout simplement pas le mettre correctement ou tu ne sais quelle connerie, simplement pour arrêter de flipper parce que oui, tu en as fait flipper du monde avec cette histoire. Mais pourtant, c'est bel et bien le cas. « Si j'dis pas de bêtise, ils sont efficaces qu'à 97% si on prend en compte les petits risques qui pourraient arriver évidemment. Mais en général ils le sont, je pense que ça arrive que très rarement. » mais ça arrive, la preuve. Bien évidemment, dans les 3% sont compter celles qui craquent, les préservatifs mal mis et toutes ces petites choses. Tu n'as pas cherché à comprendre plus que ça, tu sais simplement que tu portais une protection mais que Ayame est tout de même tombé enceinte. Tu ne comprends pas non parce qu'aucune chose aurait pu être un facteur potentiel, tu es même sûr que la préservatif n'avait pas craqué, non franchement, t'as aucune explication à ça. Tu pouffes légèrement de rire, hochant la tête après avoir poussé un fin soupir. Enfin voilà, là n'est pas le sujet. « Alors comme ça... Tu n'es pas très à l'aise avec les enfants? » Tu apprends une nouvelle chose, là. La plupart de tes amis ne l'étaient pas avant Sakura, il faut dire, tu ne pensais pas que Haneul pourrait faire partie de ces personnes pas très à l'aise en compagnie d'un bébé.Contenu sponsorisé