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save me and be careful I'm like fire (mieko)
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save me and be careful I'm like fire (mieko) | Sam 24 Mar - 15:28
✻✻✻ Posé sur un banc d'une ruelle quasiment vide, je regarde mes potes d'un oeil peu curieux. Il commence à se faire tard et mes artères sont noyées d'une substance qu'elles doivent connaître par coeur maintenant. Encore une soirée à boire, à faire le con comme si le monde nous offrait enfin une liberté. Or, il est évident que les riverains seront lassés d'entendre tout ce bordel, ne comprenant pas la poésie de notre art. Un nouveau rire gras m'échappe tandis que j'arrache le haut de ma veste. Il fait encore froid dehors et je pourrais facilement tomber malade par cette simple action. Mais j'en ai strictement rien à foutre. Je suis en train de bouillir, découvrant une impatience qui n'a jamais marqué ma vie jusqu'à un de ces nombreux soirs. Je déteste ce calme, ce maudit calme qu'il m'obligerait à penser. Je veux être complètement vide, être dénué d'émotions s'il le faut. Cassant finalement une bouteille d'alcool dont le liquide a disparu, je finis par lâcher un soupir avant qu'un de mes potes finisse par m'imiter. Le bruit prend de l'ampleur, surtout quand un des gars teste sa force en la projetant en plein milieu de la rue. Amusé, c'est finalement le cri d'une femme qui nous interrompt. " J'ai appelé la police ! Dégagez-là bande de squatteurs. " On pourrait s'en offusquer mais parmi nos habitudes, on peut comptabiliser les menaces. Celle-ci ne répond même pas à nos critères. Les gens ont tendance à bluffer et puis, la demoiselle s'est montrée un peu trop polie.
Il nous faut plusieurs minutes pour comprendre qu'elle ne mentait pas. Il nous faut encore plusieurs minutes pour que ça monte au cerveau, encore plus au mien. " Mais pourquoi vous partez ? " Chacun d'entre eux prend un chemin différent. Moi qui voulais de l'ambiance, je ne peux plus faire demi-tour maintenant. Je glisse ma main dans mes cheveux et affiche un sourire presque arrogant avant de recouvrir ma tête de la capuche de mon hoodie. Je me mets à courir, manquant de me casser la gueule dans un virage. Les poulets ne sont pas loin. J'ignore si c'est l’adrénaline ou ma course qui accélère mon rythme cardiaque mais si je ne veux pas me faire choper, j'ai intérêt d'être plus malin qu'eux. Hésitant entre plusieurs ruelles, c'est finalement la voix de la divinité supérieure qui me parle. Oh, elle pourrait me gronder mais pour le coup, elle me sauve la mise. En effet, je reconnais l'immeuble d'en face. Non pas que j'y passe mes heures mais je connais quelqu'un. Un quelqu'un qui me rend fou, dans le mauvais sens du terme. Jetant un dernier coup d'oeil à ma gauche, je vois la lumière bleue d'un gyrophare et finis par entrer dans les locaux. J'ai de la chance qu'un idiot a oublié de fermer la porte en bas. D'ailleurs, je crois que je viens de faire exactement la même connerie que lui. Peut-être que c'est cassé ? Je ne sais pas. Je dois juste me sortir de cette merde. Frappant plusieurs fois à la porte, je pose mes mains sur mes genoux et tente de reprendre mon souffle. En vrai, j'ai envie de vomir mais ce n'est pas le moment. Foutu whisky. " Mieko. Ouvre ouvre, c'est Han Yul ! "
save me and be careful I'm like fire
mieko & hanyul
✻✻✻ Posé sur un banc d'une ruelle quasiment vide, je regarde mes potes d'un oeil peu curieux. Il commence à se faire tard et mes artères sont noyées d'une substance qu'elles doivent connaître par coeur maintenant. Encore une soirée à boire, à faire le con comme si le monde nous offrait enfin une liberté. Or, il est évident que les riverains seront lassés d'entendre tout ce bordel, ne comprenant pas la poésie de notre art. Un nouveau rire gras m'échappe tandis que j'arrache le haut de ma veste. Il fait encore froid dehors et je pourrais facilement tomber malade par cette simple action. Mais j'en ai strictement rien à foutre. Je suis en train de bouillir, découvrant une impatience qui n'a jamais marqué ma vie jusqu'à un de ces nombreux soirs. Je déteste ce calme, ce maudit calme qu'il m'obligerait à penser. Je veux être complètement vide, être dénué d'émotions s'il le faut. Cassant finalement une bouteille d'alcool dont le liquide a disparu, je finis par lâcher un soupir avant qu'un de mes potes finisse par m'imiter. Le bruit prend de l'ampleur, surtout quand un des gars teste sa force en la projetant en plein milieu de la rue. Amusé, c'est finalement le cri d'une femme qui nous interrompt. " J'ai appelé la police ! Dégagez-là bande de squatteurs. " On pourrait s'en offusquer mais parmi nos habitudes, on peut comptabiliser les menaces. Celle-ci ne répond même pas à nos critères. Les gens ont tendance à bluffer et puis, la demoiselle s'est montrée un peu trop polie. Il nous faut plusieurs minutes pour comprendre qu'elle ne mentait pas. Il nous faut encore plusieurs minutes pour que ça monte au cerveau, encore plus au mien. " Mais pourquoi vous partez ? " Chacun d'entre eux prend un chemin différent. Moi qui voulais de l'ambiance, je ne peux plus faire demi-tour maintenant. Je glisse ma main dans mes cheveux et affiche un sourire presque arrogant avant de recouvrir ma tête de la capuche de mon hoodie. Je me mets à courir, manquant de me casser la gueule dans un virage. Les poulets ne sont pas loin. J'ignore si c'est l’adrénaline ou ma course qui accélère mon rythme cardiaque mais si je ne veux pas me faire choper, j'ai intérêt d'être plus malin qu'eux. Hésitant entre plusieurs ruelles, c'est finalement la voix de la divinité supérieure qui me parle. Oh, elle pourrait me gronder mais pour le coup, elle me sauve la mise. En effet, je reconnais l'immeuble d'en face. Non pas que j'y passe mes heures mais je connais quelqu'un. Un quelqu'un qui me rend fou, dans le mauvais sens du terme. Jetant un dernier coup d'oeil à ma gauche, je vois la lumière bleue d'un gyrophare et finis par entrer dans les locaux. J'ai de la chance qu'un idiot a oublié de fermer la porte en bas. D'ailleurs, je crois que je viens de faire exactement la même connerie que lui. Peut-être que c'est cassé ? Je ne sais pas. Je dois juste me sortir de cette merde. Frappant plusieurs fois à la porte, je pose mes mains sur mes genoux et tente de reprendre mon souffle. En vrai, j'ai envie de vomir mais ce n'est pas le moment. Foutu whisky. " Mieko. Ouvre ouvre, c'est Han Yul ! "
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Song Hee Jun
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Re: save me and be careful I'm like fire (mieko) | Lun 26 Mar - 19:28
✻✻✻ tu n'avais pas vraiment prévue de passer la soirée ainsi, pas que tu avais des plans ou quoi que ce soit, mais tu ne t'attendais pas, plusieurs heures plus tôt à recevoir un appel de kuma te demandant si tu pouvais garder sakura ce soir, car il devait aller avec sa soeur à l'hôpital pour tu ne savais pas trop quoi. bien que la fatigue consumait ton corps et que tu n'avais qu'une envie, te lover dans un bon bain chaud, la mousse te recouvrant et une douce musique en fond sonore, tu n'avais pas pu lui dire non. tu adorais sakura, et tu aimais toutes les minutes que tu pouvais passer avec la petite. tu étais venue la chercher, prenant quelques affaires avec toi, quelques peluches et ce que kuma voulait qu'elle mange ce soir avec toi, et tu étais retournée à ton appartement. tu n'avais pas vu le temps s'écouler, comme toujours quand tu étais avec la petite. tu l'aimais tellement, un sourire permanent qui se glisse sur tes lèvres alors que tu la regardes babiller des mots incompréhensibles, ses grands yeux fixant des points inconnus au plafond, alors que vous étiez toutes deux allongées sur ton tapis dans le salon, une couverture posée sous elle pour qu'elle soit bien. tu laisses un rire amusé dépasser tes lèvres alors qu'elle s'agite, bougeant ses petits membres dans divers sens, comme si elle cherchait à te faire comprendre quelque chose. tu te relèves suffisamment pour te retrouver assise à ses côtés, tes cheveux longs lui frôlant le visage ce qui déclenche de nouveaux rires de sa part. ses doigts qui glissent sur tes mèches sans réussir à les refermer dessus, tu chantonnes à voix basse une comptine que ta mère avait l'habitude de te chanter quand tu étais petite. ton attention qui se détache d'elle quand ton téléphone vibre, te signalant la réception d'un message, tes yeux qui s'écarquillent quand tu vois l'heure. « eh bien ma princesse, c'est l'heure d'aller dormir, » tu murmures, le prenant des tes bras pour aller la coucher dans ta chambre, tu ne savais pas quand exactement kuma allait venir la chercher, mais tu n'allais pas la garder réveillée jusqu'à son arrivée. tu restes quelques minutes avec elle, attendant patiemment de voir les yeux de sakura se fermer, ne cherchant même pas à cacher l'expression de pure affection sur tes traits. tu décides toi-même de te changer pour aller dormir, attachant tes cheveux en queue de cheval le temps de te laver. tu n'as même pas le temps d'arriver dans la salle de bain que de forts coups répétés contre ta porte, te font froncer les sourcils. tu jettes un coup d'oeil à ton réveil, ça ne pouvait pas être kuma ? il t'aurait prévenu non ? soupirant, tu tire sur les manches longues de ton pull, quittant ta chambre au moment même où une voix s'élève derrière la porte. cette fois-ci, tu lâches un soupir irrité. tu fermes les yeux plusieurs secondes, te mordant la lèvre avant d'ouvrir la porte, croisant les yeux bruns d'un garçon que tu ne reconnaissait que trop bien. mais pourquoi il venait te voir à cette heure, c'était un mystère. « qu'est-ce que tu fais ici ? si c'est pour encore supporter tes remarques, tu connais la sortie. » tu siffles du bouts de lèvres, tu devrais peut-être te montrer compatissante, mais pas là, pas ce soir. han yul et toi, ce n'était pas vraiment ce que tu pourrais appeler une relation cordiale, trop de regrets, le deuil encore trop présent entre vous alors que les souvenirs de sa soeur ne sont jamais bien loin dans vos conversations.
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✻✻✻ tu n'avais pas vraiment prévue de passer la soirée ainsi, pas que tu avais des plans ou quoi que ce soit, mais tu ne t'attendais pas, plusieurs heures plus tôt à recevoir un appel de kuma te demandant si tu pouvais garder sakura ce soir, car il devait aller avec sa soeur à l'hôpital pour tu ne savais pas trop quoi. bien que la fatigue consumait ton corps et que tu n'avais qu'une envie, te lover dans un bon bain chaud, la mousse te recouvrant et une douce musique en fond sonore, tu n'avais pas pu lui dire non. tu adorais sakura, et tu aimais toutes les minutes que tu pouvais passer avec la petite. tu étais venue la chercher, prenant quelques affaires avec toi, quelques peluches et ce que kuma voulait qu'elle mange ce soir avec toi, et tu étais retournée à ton appartement. tu n'avais pas vu le temps s'écouler, comme toujours quand tu étais avec la petite. tu l'aimais tellement, un sourire permanent qui se glisse sur tes lèvres alors que tu la regardes babiller des mots incompréhensibles, ses grands yeux fixant des points inconnus au plafond, alors que vous étiez toutes deux allongées sur ton tapis dans le salon, une couverture posée sous elle pour qu'elle soit bien. tu laisses un rire amusé dépasser tes lèvres alors qu'elle s'agite, bougeant ses petits membres dans divers sens, comme si elle cherchait à te faire comprendre quelque chose. tu te relèves suffisamment pour te retrouver assise à ses côtés, tes cheveux longs lui frôlant le visage ce qui déclenche de nouveaux rires de sa part. ses doigts qui glissent sur tes mèches sans réussir à les refermer dessus, tu chantonnes à voix basse une comptine que ta mère avait l'habitude de te chanter quand tu étais petite. ton attention qui se détache d'elle quand ton téléphone vibre, te signalant la réception d'un message, tes yeux qui s'écarquillent quand tu vois l'heure. « eh bien ma princesse, c'est l'heure d'aller dormir, » tu murmures, le prenant des tes bras pour aller la coucher dans ta chambre, tu ne savais pas quand exactement kuma allait venir la chercher, mais tu n'allais pas la garder réveillée jusqu'à son arrivée. tu restes quelques minutes avec elle, attendant patiemment de voir les yeux de sakura se fermer, ne cherchant même pas à cacher l'expression de pure affection sur tes traits. tu décides toi-même de te changer pour aller dormir, attachant tes cheveux en queue de cheval le temps de te laver. tu n'as même pas le temps d'arriver dans la salle de bain que de forts coups répétés contre ta porte, te font froncer les sourcils. tu jettes un coup d'oeil à ton réveil, ça ne pouvait pas être kuma ? il t'aurait prévenu non ? soupirant, tu tire sur les manches longues de ton pull, quittant ta chambre au moment même où une voix s'élève derrière la porte. cette fois-ci, tu lâches un soupir irrité. tu fermes les yeux plusieurs secondes, te mordant la lèvre avant d'ouvrir la porte, croisant les yeux bruns d'un garçon que tu ne reconnaissait que trop bien. mais pourquoi il venait te voir à cette heure, c'était un mystère. « qu'est-ce que tu fais ici ? si c'est pour encore supporter tes remarques, tu connais la sortie. » tu siffles du bouts de lèvres, tu devrais peut-être te montrer compatissante, mais pas là, pas ce soir. han yul et toi, ce n'était pas vraiment ce que tu pourrais appeler une relation cordiale, trop de regrets, le deuil encore trop présent entre vous alors que les souvenirs de sa soeur ne sont jamais bien loin dans vos conversations.© LOYALS.
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Re: save me and be careful I'm like fire (mieko) | Mar 24 Avr - 12:35
✻✻✻ Frapper cette porte aussi fort pourrait inquiéter la jeune femme. A cette heure-ci, il est rare de voir quelqu'un vous ouvrir. On ne peut jamais savoir qui se cache derrière, même si le judas pourrait lui donner un indice. De toute manière, je ne suis pas certain qu'elle soit apte à me reconnaître alors que je suis en train de regarder le sol. Je devrais pourtant bomber le torse pour reprendre de l'air le plus rapidement possible mais le moindre effort provoque une énième migraine. Jetant quand même un coup d'oeil autour de moi, je n'ai pas intérêt de réveiller les voisins. Ces derniers sont susceptibles d'appeler les flics, et finalement, ma course aura été vaine. Cela pousse à m'interroger sur la fiabilité de ma camarade. Après tout, mon comportement l'a exaspéré plus d'une fois et lui demander ce sacrifice pourrait engendrer une contrepartie voire même une trahison. Dans ce cas de figure, je serais capable d'user de mes charmes ou de son rapport avec Han Ah. Je n'ai aucun scrupule. J'ai déjà fait trop de conneries aux yeux de certains et je ne vois pas pourquoi je devrais me forcer à leur faire plaisir continuellement. Seule la bouteille est une compagnie que je ne peux mépriser en ce moment. Alors oui, je serais capable d'user son admiration pour ma défunte soeur afin d'obtenir ce que je veux. J'ai beau faire le malin, finir en taule n'est pas mon objectif. Ainsi, c'est un sourire qui s'affiche sur mes lèvres. Je me sens soulagé de la voir mais tente de le cacher alors que ses répliques peuvent me faire comprendre que je ne suis pas forcément la bienvenue. Je m'y attendais. " Salut. " Tenter de l'adoucir en étant poli serait mal la connaître. Nous avons tant de rancœur tous les deux. Je me demande comment on a fait pour ne pas encore s'entre-tuer. Peut-être qu'elle sautera le pas si je décide de lui résumer ma pauvre soirée de gros con. " Je n'ai pas fait tout son chemin pour t'embêter. " Bien que déranger quelqu'un en plein milieu de la nuit pourrait peut-être rentrer dans ces critères, non ? Puis, pourquoi se prendre autant la tête ... Nous sommes jeunes, pas besoin de se coucher à l'heure des poules, ou que sais-je. " Je suis passé par-là et je me suis dit qu'on aurait pu discuter tous les deux. " Conneries. Il est évident que parler avec la jeune femme m'horripile les trois quart du temps. Je ne la déteste pas mais nous ne sommes pas si compatibles. Or, les bruits de dehors me ramènent à la réalité. Ne parvenant plus à cacher mes émotions et donc mon inquiétude, je plante mon regard dans celui de la jeune femme. " Tu ne m'invites pas à l'intérieur ? "
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✻✻✻ Frapper cette porte aussi fort pourrait inquiéter la jeune femme. A cette heure-ci, il est rare de voir quelqu'un vous ouvrir. On ne peut jamais savoir qui se cache derrière, même si le judas pourrait lui donner un indice. De toute manière, je ne suis pas certain qu'elle soit apte à me reconnaître alors que je suis en train de regarder le sol. Je devrais pourtant bomber le torse pour reprendre de l'air le plus rapidement possible mais le moindre effort provoque une énième migraine. Jetant quand même un coup d'oeil autour de moi, je n'ai pas intérêt de réveiller les voisins. Ces derniers sont susceptibles d'appeler les flics, et finalement, ma course aura été vaine. Cela pousse à m'interroger sur la fiabilité de ma camarade. Après tout, mon comportement l'a exaspéré plus d'une fois et lui demander ce sacrifice pourrait engendrer une contrepartie voire même une trahison. Dans ce cas de figure, je serais capable d'user de mes charmes ou de son rapport avec Han Ah. Je n'ai aucun scrupule. J'ai déjà fait trop de conneries aux yeux de certains et je ne vois pas pourquoi je devrais me forcer à leur faire plaisir continuellement. Seule la bouteille est une compagnie que je ne peux mépriser en ce moment. Alors oui, je serais capable d'user son admiration pour ma défunte soeur afin d'obtenir ce que je veux. J'ai beau faire le malin, finir en taule n'est pas mon objectif. Ainsi, c'est un sourire qui s'affiche sur mes lèvres. Je me sens soulagé de la voir mais tente de le cacher alors que ses répliques peuvent me faire comprendre que je ne suis pas forcément la bienvenue. Je m'y attendais. " Salut. " Tenter de l'adoucir en étant poli serait mal la connaître. Nous avons tant de rancœur tous les deux. Je me demande comment on a fait pour ne pas encore s'entre-tuer. Peut-être qu'elle sautera le pas si je décide de lui résumer ma pauvre soirée de gros con. " Je n'ai pas fait tout son chemin pour t'embêter. " Bien que déranger quelqu'un en plein milieu de la nuit pourrait peut-être rentrer dans ces critères, non ? Puis, pourquoi se prendre autant la tête ... Nous sommes jeunes, pas besoin de se coucher à l'heure des poules, ou que sais-je. " Je suis passé par-là et je me suis dit qu'on aurait pu discuter tous les deux. " Conneries. Il est évident que parler avec la jeune femme m'horripile les trois quart du temps. Je ne la déteste pas mais nous ne sommes pas si compatibles. Or, les bruits de dehors me ramènent à la réalité. Ne parvenant plus à cacher mes émotions et donc mon inquiétude, je plante mon regard dans celui de la jeune femme. " Tu ne m'invites pas à l'intérieur ? " © LOYALS.
Song Hee Jun
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Re: save me and be careful I'm like fire (mieko) | Lun 14 Mai - 0:15
✻✻✻ tes plans avaient été perturbés par l'appel soudain de kuma te demandant si tu pouvais garder sa fille. et bien que tu aurais dit non si cela avait été une toute autre personne, tu ne te voyais pas refuser, surtout quand ça concernait sakura. tu n'arrivais pas à dire non quand il s'agissait de la petite, tu l'aimais trop. tu avais toujours eu un faible pour les enfants, le souhait profondément enfoui dans ton coeur d'avoir ta propre famille plus tard, l'envie d'être mère à ton tour. après être allée chercher la petite chez son père, tu étais rentrée à ton appartement, souriant un peu plus à chaque fois que tu croisais ses jolis yeux, quand tu entendais l'éclat de son rire ou ses babillages. et puis tu finis par l'installer sur ton tapis avec une couverture pour la garder au chaud, et que ce soit confortable pour vous deux. perdue dans ton monde, dans tes pensées alors que tu regardes sakura, un sourire doux aux coins des lèvres. ton attention qui est attirée par ton téléphone, l'heure que tu vois sur l'écran alors que tu te rends compte qu'il était temps de la coucher. tu ne savais pas pour combien de temps kuma en aurait avec sa soeur à l'hôpital, et il était hors de question de laisser la gamine réveiller jusqu'à pas d'heure. après avoir installée sakura sur ton lit, sa couverture que tu poses doucement sur elle, tu allais te changer à ton tour pour dormir quand tu entends la sonnette de ta porte. t'es surprise, tu te demandais quelques secondes s'il s'agit de kuma mais tu balayes rapidement la pensée quand tu entends la voix qui s'élève de l'autre côté, alors que tu arrives dans le salon, l'expression de ton visage se fermant quand tu reconnais la voix. même si tu n'aurais pas eu le coeur à réveiller sakura, finalement tu aurais préféré que ce soit son père. prenant une grande inspiration, tu ouvres la porte, dévoilant ainsi la présence de han yul devant chez toi. qu'est-ce qu'il venait faire ici ? on ne pouvait pas dire que vous étiez de grands amis et vous aviez tendances plutôt à vous prendre la tête à chaque fois que vous vous voyiez. « tu peux me permettre d'en douter, parce que bon c'est pas comme si tu savais pas le faire hein. on peut même dire que t'es un expert en la matière. » et encore tu restais polie. tu n'avais jamais oublié l'attitude du jeune homme quand sa soeur s'était retrouvée à l'hôpital, sa fuite et puis son retour que quand il a appris la mort d'ha nah. tu lui en voulais de ne pas avoir été aux côtés de ton amie, de ton mentor alors qu'elle avait besoin de lui. tu restes silencieuse, qu'est-ce que tu pouvais dire de toute façon, tu savais que ça ne changerait rien, ça finira comme d'habitude. tu fronces les sourcils quand l'attitude d'han yul change, ta curiosité piquée à vif, les bruits de l'extérieur qui se font plus intenses, tu finis par hausser un sourcil. « qu'est-ce que tu encore as fais han yul ? » tu demandes, lâchant un profond soupir avant d'ouvrir un peu plus ta porte pour lui permettre d'entrer. peut-être que tu aurais dû refuser, mais ton amitié pour han ah, ta loyauté envers elle était toujours présente même après tout ce temps. c'était pour elle que tu le faisais.
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✻✻✻ tes plans avaient été perturbés par l'appel soudain de kuma te demandant si tu pouvais garder sa fille. et bien que tu aurais dit non si cela avait été une toute autre personne, tu ne te voyais pas refuser, surtout quand ça concernait sakura. tu n'arrivais pas à dire non quand il s'agissait de la petite, tu l'aimais trop. tu avais toujours eu un faible pour les enfants, le souhait profondément enfoui dans ton coeur d'avoir ta propre famille plus tard, l'envie d'être mère à ton tour. après être allée chercher la petite chez son père, tu étais rentrée à ton appartement, souriant un peu plus à chaque fois que tu croisais ses jolis yeux, quand tu entendais l'éclat de son rire ou ses babillages. et puis tu finis par l'installer sur ton tapis avec une couverture pour la garder au chaud, et que ce soit confortable pour vous deux. perdue dans ton monde, dans tes pensées alors que tu regardes sakura, un sourire doux aux coins des lèvres. ton attention qui est attirée par ton téléphone, l'heure que tu vois sur l'écran alors que tu te rends compte qu'il était temps de la coucher. tu ne savais pas pour combien de temps kuma en aurait avec sa soeur à l'hôpital, et il était hors de question de laisser la gamine réveiller jusqu'à pas d'heure. après avoir installée sakura sur ton lit, sa couverture que tu poses doucement sur elle, tu allais te changer à ton tour pour dormir quand tu entends la sonnette de ta porte. t'es surprise, tu te demandais quelques secondes s'il s'agit de kuma mais tu balayes rapidement la pensée quand tu entends la voix qui s'élève de l'autre côté, alors que tu arrives dans le salon, l'expression de ton visage se fermant quand tu reconnais la voix. même si tu n'aurais pas eu le coeur à réveiller sakura, finalement tu aurais préféré que ce soit son père. prenant une grande inspiration, tu ouvres la porte, dévoilant ainsi la présence de han yul devant chez toi. qu'est-ce qu'il venait faire ici ? on ne pouvait pas dire que vous étiez de grands amis et vous aviez tendances plutôt à vous prendre la tête à chaque fois que vous vous voyiez. « tu peux me permettre d'en douter, parce que bon c'est pas comme si tu savais pas le faire hein. on peut même dire que t'es un expert en la matière. » et encore tu restais polie. tu n'avais jamais oublié l'attitude du jeune homme quand sa soeur s'était retrouvée à l'hôpital, sa fuite et puis son retour que quand il a appris la mort d'ha nah. tu lui en voulais de ne pas avoir été aux côtés de ton amie, de ton mentor alors qu'elle avait besoin de lui. tu restes silencieuse, qu'est-ce que tu pouvais dire de toute façon, tu savais que ça ne changerait rien, ça finira comme d'habitude. tu fronces les sourcils quand l'attitude d'han yul change, ta curiosité piquée à vif, les bruits de l'extérieur qui se font plus intenses, tu finis par hausser un sourcil. « qu'est-ce que tu encore as fais han yul ? » tu demandes, lâchant un profond soupir avant d'ouvrir un peu plus ta porte pour lui permettre d'entrer. peut-être que tu aurais dû refuser, mais ton amitié pour han ah, ta loyauté envers elle était toujours présente même après tout ce temps. c'était pour elle que tu le faisais.© LOYALS.
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Re: save me and be careful I'm like fire (mieko) | Jeu 24 Mai - 14:46
✻✻✻ Ils auraient pu s'entendre l'ancien Han Yul et elle. J'aurais pu la trouver douce, délicate et rigolote sans avoir à me soucier de tout le reste. Malheureusement, la relation que j'entretenais avec ma soeur suivi de son décès nous a poussé de nos retranchements. Si je n'avais pas été un gamin, si je n'avais pas été aussi traumatisé et apeuré, j'aurais pu sentir sa main tenir la mienne pour me soulager d'un poids trop lourd et qui paraît si irréel jusqu'au moment où les machines finissent par s'éteindre les unes après les autres, un peu comme les battements d'un coeur. J'aurais pu lâcher un cri grave, à bout de souffle, à la sortie de l'hôpital mais j'ai été dans les bras d'une demoiselle, me fichant peut-être de ce qu'il se passait à plusieurs kilomètres de moi. Il m'arrive de me demander si Mieko me pardonnera mais je me rappelle aussitôt à quel point je le regrette bien plus qu'elle. Je regrette d'avoir été aussi égoïste et je regrette d'être aussi lâche pour lui faire part de cette triste réalité. Je préfère jouer au con, je préfère qu'elle passe son temps à m'engueuler, à m'insulter si elle le désire, car au moins, elle en est capable. Je la laisserais faire car c'est bien la seule à qui j'en veux le moins sur cette planète. C'est une émotion contradictoire mais chaque homme a ses paradoxes. Le mien se prénomme Mieko. Si sa présence m'était si insupportable, jamais, je ne serais venu frapper à cette porte. Alors, je laisse évacuer sa colère, sa frustration que je provoque par le biais de ma simple présence. Un cycle sans fin, une boucle qui est bouclée sans l'être. Fin des images.
Toute la poésie du monde ne parviendrait pas à justifier mon énième ivresse. Mes belles paroles ne l'atteindront pas. Quels efforts pourrait-elle réaliser ? Et bien celui d'ouvrir cette foutue porte. Elle a beau me mépriser, je sais très bien qu'elle ne me laissera jamais. Du moins, tout mon être y croit car si Mieko finit par lâcher, je doute pouvoir m'accrocher à autre chose. Je laisserais les démons l'emporter une bonne fois pour toutes. C'est vrai qu'ils ont tendance à gagner un peu trop souvent, ces derniers temps. Mais comme on dit, ils ont gagné une bataille, pas la guerre. " Pourquoi tu veux toujours que j'fasse une connerie ? " dis-je, faussement dépité par cette réflexion habituelle. Puis, je glisse mes mains dans mes poches et marche de manière nonchalante jusqu'au salon. Comme d'habitude, mon regard semble faire le tour du propriétaire et imagine ce que la jeune femme pouvait faire debout à cette heure-ci. Il n'est pas si tard que ça mais le silence dans cet appartement est mortel. Au moins, nous avons la chance de rester dans le thème. C'est au même moment que je finis par tomber sur un jouet ou devrais-je dire une peluche. Attrapant cette dernière, je me retourne vers elle, un sourire taquin aux lèvres. " Tu n'es pas trop vieille pour jouer avec ces trucs ? " Je pose ma veste sur le canapé et défais mes chaussures un peu à la traîne. " Ne me demande pas de faire mumuse avec toi. J'étais plus playmobil à l'époque. " Je n'ai pas même pas le temps que je me prends quelque chose dans le pied. Sursautant, je précise d'une voix forte. " AISHHHHH. Ca fait mal ce truc ! " Oui marcher sur un jouet n'est pas quelque chose d'agréable mais de là à râler pour si peu.. J'ai définitivement trop bu.
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✻✻✻ Ils auraient pu s'entendre l'ancien Han Yul et elle. J'aurais pu la trouver douce, délicate et rigolote sans avoir à me soucier de tout le reste. Malheureusement, la relation que j'entretenais avec ma soeur suivi de son décès nous a poussé de nos retranchements. Si je n'avais pas été un gamin, si je n'avais pas été aussi traumatisé et apeuré, j'aurais pu sentir sa main tenir la mienne pour me soulager d'un poids trop lourd et qui paraît si irréel jusqu'au moment où les machines finissent par s'éteindre les unes après les autres, un peu comme les battements d'un coeur. J'aurais pu lâcher un cri grave, à bout de souffle, à la sortie de l'hôpital mais j'ai été dans les bras d'une demoiselle, me fichant peut-être de ce qu'il se passait à plusieurs kilomètres de moi. Il m'arrive de me demander si Mieko me pardonnera mais je me rappelle aussitôt à quel point je le regrette bien plus qu'elle. Je regrette d'avoir été aussi égoïste et je regrette d'être aussi lâche pour lui faire part de cette triste réalité. Je préfère jouer au con, je préfère qu'elle passe son temps à m'engueuler, à m'insulter si elle le désire, car au moins, elle en est capable. Je la laisserais faire car c'est bien la seule à qui j'en veux le moins sur cette planète. C'est une émotion contradictoire mais chaque homme a ses paradoxes. Le mien se prénomme Mieko. Si sa présence m'était si insupportable, jamais, je ne serais venu frapper à cette porte. Alors, je laisse évacuer sa colère, sa frustration que je provoque par le biais de ma simple présence. Un cycle sans fin, une boucle qui est bouclée sans l'être. Fin des images. Toute la poésie du monde ne parviendrait pas à justifier mon énième ivresse. Mes belles paroles ne l'atteindront pas. Quels efforts pourrait-elle réaliser ? Et bien celui d'ouvrir cette foutue porte. Elle a beau me mépriser, je sais très bien qu'elle ne me laissera jamais. Du moins, tout mon être y croit car si Mieko finit par lâcher, je doute pouvoir m'accrocher à autre chose. Je laisserais les démons l'emporter une bonne fois pour toutes. C'est vrai qu'ils ont tendance à gagner un peu trop souvent, ces derniers temps. Mais comme on dit, ils ont gagné une bataille, pas la guerre. " Pourquoi tu veux toujours que j'fasse une connerie ? " dis-je, faussement dépité par cette réflexion habituelle. Puis, je glisse mes mains dans mes poches et marche de manière nonchalante jusqu'au salon. Comme d'habitude, mon regard semble faire le tour du propriétaire et imagine ce que la jeune femme pouvait faire debout à cette heure-ci. Il n'est pas si tard que ça mais le silence dans cet appartement est mortel. Au moins, nous avons la chance de rester dans le thème. C'est au même moment que je finis par tomber sur un jouet ou devrais-je dire une peluche. Attrapant cette dernière, je me retourne vers elle, un sourire taquin aux lèvres. " Tu n'es pas trop vieille pour jouer avec ces trucs ? " Je pose ma veste sur le canapé et défais mes chaussures un peu à la traîne. " Ne me demande pas de faire mumuse avec toi. J'étais plus playmobil à l'époque. " Je n'ai pas même pas le temps que je me prends quelque chose dans le pied. Sursautant, je précise d'une voix forte. " AISHHHHH. Ca fait mal ce truc ! " Oui marcher sur un jouet n'est pas quelque chose d'agréable mais de là à râler pour si peu.. J'ai définitivement trop bu.
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Song Hee Jun
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Re: save me and be careful I'm like fire (mieko) | Mer 4 Juil - 15:18
✻✻✻ tout aurait été différent, si seulement les choses s'étaient passées autrement. vous auriez pu être amis probablement, qui sait ? vous ne le sauriez jamais, vous ne pouviez pas remonter en arrière ni effacer le passé. han ah était morte, et lui était parti faire la fête loin de séoul en laissant sa sœur sans sa présence à l'hôpital. et si il avait été là ? est-ce qu'elle aurait pu sentir qu'il était à ses côtés ? est-ce que ça aurait eu un impact, la faire se battre ? tant de questions sans réponses, qui faisaient que plusieurs années après sa mort, tu ne pouvais toujours pas pardonner à han yul sa lâcheté. han ah n'aurait pas aimé vous voir ainsi, de sentir cette rancoeur entre vous, elle ne t'aurait pas reconnue mais pouvais-tu agir autrement quand son absence avait laissé des traces ? tu avais perdu une amie précieuse, elle était ton mentor comme une grande sœur. même si ta conscience te disait que pour han yul ça devait être pire, tu avais du mal à passer outre sa fuite, à voir le frère qu'han ah t'avait décrit, celui que tu savais qu'elle aimait malgré tout. tu ne peux détourner ton regard de lui, une expression illisible sur le visage alors que tu cherches quoi faire. tu ne voulais pas le voir, tu n'avais pas envie. mais par amitié pour ton amie, tu savais qu'au fond tu n'aurais pas le cœur à l'envoyer bouler, pas quand il te lance un tel regard. han ah ne l'aurait pas laissé dans la merde, c'était par amitié pour elle que tu t'effaces pour le laisser entrer, écoutant d'une oreille sa remarque. il était sérieux ? peut-être parce que c'était une habitude pour lui probablement ? « parce qu'au fond c'est plus fort que toi ? je ne sais pas, dis moi le contraire, pourquoi les flics te suivent ? » tu marmonnes, jetant un regard par dessus ton épaule. tu réagis à peine quand han yul tombe sur une peluche de sakura, qu'il te charrie par rapport à ça, tu hausses une épaule, tu n'avais pas honte de ça, tu aimais les enfants et sakura encore plus. bizarrement avec lui, ta timidité passait au second plan, parce qu'il savait actionner les bons boutons. « non je suis encore une grande enfant ça se voit pas ? » tu rétorques ironiquement alors qu'il continue sur sa lancée, prenant ses aises dans ton appartement. mais qu'il fasse comme chez lui tu dirais rien. tu ne cherchais même pas à en ajouter une couche quand tu l'entends crier, maugréer contre un des jouets de la petite. tu retiens un juron, priant le ciel qu'elle n'ait rien entendu, un souhait vain quand tu entends les pleurs de la petite venir de ta chambre. « c'est pas vrai ! tu le fais exprès ou quoi ! » tu siffles vers le jeune homme avant de le planter sur place pour te diriger vers ta chambre, murmurant des mots doux à l'intention de sakura, tes doigts caressant son visage pour la calmer quand tu arrives près d'elle.
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✻✻✻ tout aurait été différent, si seulement les choses s'étaient passées autrement. vous auriez pu être amis probablement, qui sait ? vous ne le sauriez jamais, vous ne pouviez pas remonter en arrière ni effacer le passé. han ah était morte, et lui était parti faire la fête loin de séoul en laissant sa sœur sans sa présence à l'hôpital. et si il avait été là ? est-ce qu'elle aurait pu sentir qu'il était à ses côtés ? est-ce que ça aurait eu un impact, la faire se battre ? tant de questions sans réponses, qui faisaient que plusieurs années après sa mort, tu ne pouvais toujours pas pardonner à han yul sa lâcheté. han ah n'aurait pas aimé vous voir ainsi, de sentir cette rancoeur entre vous, elle ne t'aurait pas reconnue mais pouvais-tu agir autrement quand son absence avait laissé des traces ? tu avais perdu une amie précieuse, elle était ton mentor comme une grande sœur. même si ta conscience te disait que pour han yul ça devait être pire, tu avais du mal à passer outre sa fuite, à voir le frère qu'han ah t'avait décrit, celui que tu savais qu'elle aimait malgré tout. tu ne peux détourner ton regard de lui, une expression illisible sur le visage alors que tu cherches quoi faire. tu ne voulais pas le voir, tu n'avais pas envie. mais par amitié pour ton amie, tu savais qu'au fond tu n'aurais pas le cœur à l'envoyer bouler, pas quand il te lance un tel regard. han ah ne l'aurait pas laissé dans la merde, c'était par amitié pour elle que tu t'effaces pour le laisser entrer, écoutant d'une oreille sa remarque. il était sérieux ? peut-être parce que c'était une habitude pour lui probablement ? « parce qu'au fond c'est plus fort que toi ? je ne sais pas, dis moi le contraire, pourquoi les flics te suivent ? » tu marmonnes, jetant un regard par dessus ton épaule. tu réagis à peine quand han yul tombe sur une peluche de sakura, qu'il te charrie par rapport à ça, tu hausses une épaule, tu n'avais pas honte de ça, tu aimais les enfants et sakura encore plus. bizarrement avec lui, ta timidité passait au second plan, parce qu'il savait actionner les bons boutons. « non je suis encore une grande enfant ça se voit pas ? » tu rétorques ironiquement alors qu'il continue sur sa lancée, prenant ses aises dans ton appartement. mais qu'il fasse comme chez lui tu dirais rien. tu ne cherchais même pas à en ajouter une couche quand tu l'entends crier, maugréer contre un des jouets de la petite. tu retiens un juron, priant le ciel qu'elle n'ait rien entendu, un souhait vain quand tu entends les pleurs de la petite venir de ta chambre. « c'est pas vrai ! tu le fais exprès ou quoi ! » tu siffles vers le jeune homme avant de le planter sur place pour te diriger vers ta chambre, murmurant des mots doux à l'intention de sakura, tes doigts caressant son visage pour la calmer quand tu arrives près d'elle.© LOYALS.
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Re: save me and be careful I'm like fire (mieko) | Dim 5 Aoû - 21:13
✻✻✻ Le temps d'un instant, je me demande si j'ai fait le bon choix. Finir au commissariat de police n'était pas la décision à prendre. Mais se réfugier chez Mieko n'en était pas une excellente non plus. Notre relation était trop complexe et mon état d'ébriété n'arrangeait vraiment rien. Rien dans le bon sens du terme pour être précis. Déterminé à jouer au plus malin, et ce, quitte à terminer (commencer ?) la partie tout seul, je tente de surenchérir quand la demoiselle devine que les flics ont trouvé bon de me poursuivre. Mais quand ils arrêteront de me persécuter ? Ils devraient songer à arrêter les vrais criminels. Je les invite également à faire en sorte qu'on revoit certaines procédures judiciaires. Trop de complots, trop d'argent qui tourne dans notre dos. " Etre aussi beau est illégal. Et je refuse sérieusement de porter un masque pour qu'ils cessent leurs conneries. " Mon humour va une nouvelle fois la dépasser mais j'ai autant de mal à comprendre son amour pour les enfants. Je suis tout aussi insouciant qu'eux, et pourtant, ils continuent à avoir sa préférence. Rattrapé par mes bêtises, le karma me fait trébucher sur un jouet de la gamine. Maladroit ou con, le résultat reste le même. Un cri s'échappe de ma bouche tandis que je masse, avec un manque d'équilibre évident, mon pied blessé. J'ai l'impression de ressentir une douleur comparable à celle du petit orteil coincé dans une porte. Mais au lieu de se sentir concernée, l'amie de ma défunte soeur fait ressortir son côté maternel en calmant la petite en glissant sa main, puis, caressant la chevelure de cette dernière. Un brin agacé, je me retourne vers elle. " T'crois que je suis maso ? " Dit-il, alors qu'il pourrait finir dans un fossé à force de picoler... Puis bon, je n'ai aucun intérêt à attirer l'attention. Je la regarde une nouvelle fois, plutôt désespéré, cette fois-ci. C'est bien la première fois qu'on va de paire. " Tu aurais pu demander si ça allait. Ca ne demande pas trop d'efforts. " Contrairement au fait de m'héberger provisoirement. Enfin, voilà que le Han Yul en manque d'attention a frappé. Il n'y a plus de soeurette pour me chouchouter, faut dire. C'est d'autant plus marrant comme remarque quand on sait que j'ai fait preuve d'égoïsme, il y a déjà maintenant deux ans.
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✻✻✻ Le temps d'un instant, je me demande si j'ai fait le bon choix. Finir au commissariat de police n'était pas la décision à prendre. Mais se réfugier chez Mieko n'en était pas une excellente non plus. Notre relation était trop complexe et mon état d'ébriété n'arrangeait vraiment rien. Rien dans le bon sens du terme pour être précis. Déterminé à jouer au plus malin, et ce, quitte à terminer (commencer ?) la partie tout seul, je tente de surenchérir quand la demoiselle devine que les flics ont trouvé bon de me poursuivre. Mais quand ils arrêteront de me persécuter ? Ils devraient songer à arrêter les vrais criminels. Je les invite également à faire en sorte qu'on revoit certaines procédures judiciaires. Trop de complots, trop d'argent qui tourne dans notre dos. " Etre aussi beau est illégal. Et je refuse sérieusement de porter un masque pour qu'ils cessent leurs conneries. " Mon humour va une nouvelle fois la dépasser mais j'ai autant de mal à comprendre son amour pour les enfants. Je suis tout aussi insouciant qu'eux, et pourtant, ils continuent à avoir sa préférence. Rattrapé par mes bêtises, le karma me fait trébucher sur un jouet de la gamine. Maladroit ou con, le résultat reste le même. Un cri s'échappe de ma bouche tandis que je masse, avec un manque d'équilibre évident, mon pied blessé. J'ai l'impression de ressentir une douleur comparable à celle du petit orteil coincé dans une porte. Mais au lieu de se sentir concernée, l'amie de ma défunte soeur fait ressortir son côté maternel en calmant la petite en glissant sa main, puis, caressant la chevelure de cette dernière. Un brin agacé, je me retourne vers elle. " T'crois que je suis maso ? " Dit-il, alors qu'il pourrait finir dans un fossé à force de picoler... Puis bon, je n'ai aucun intérêt à attirer l'attention. Je la regarde une nouvelle fois, plutôt désespéré, cette fois-ci. C'est bien la première fois qu'on va de paire. " Tu aurais pu demander si ça allait. Ca ne demande pas trop d'efforts. " Contrairement au fait de m'héberger provisoirement. Enfin, voilà que le Han Yul en manque d'attention a frappé. Il n'y a plus de soeurette pour me chouchouter, faut dire. C'est d'autant plus marrant comme remarque quand on sait que j'ai fait preuve d'égoïsme, il y a déjà maintenant deux ans. © LOYALS.
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Re: save me and be careful I'm like fire (mieko) | Dim 19 Aoû - 17:48
✻✻✻ la situation aurait pu être si différente, l'ambiance moins tendue entre vous, si han yul n'avait pas pris la fuite alors que sa sœur était à l'hôpital. tu avais eu l'espoir fou de la voir se réveiller, de voir à nouveau son sourire rassurant, d'entendre la voix de la jeune femme qui fut ton mentor quand tu étais à l'université. étrangement ton départ du campus, l'abandon de ton diplôme coïncidait avec le décès de celle qui fut tellement plus pour toi qu'un mentor. elle était ton amie, presque comme une sœur, tu l'admirais tant. han yul était tout le contraire de ce que sa sœur était, tu n'arrivais pas à le comprendre ni à étouffer la rancoeur que tu ressentais envers lui. le voir ici chez toi, ça te surprenait mais en même temps tu n'étais pas étonnée de voir qu'il avait des problèmes. il trouvait toujours le moyen de se fourrer dans le pétrin, c'était comme si il était un aimant à conneries, c'était dans ses gènes. haussant un sourcil à la réplique du jeune homme, tu retiens à grande peine un soupir indigné, il fallait toujours qu'il prenne les choses avec si peu de sérieux. il pensait que c'était un jeu ou quoi ? tu n'avais pas envie d'avoir des problèmes à cause de lui. « c'est ta connerie qui est illégale, tu vas finir par te faire tuer un jour. » tu réponds en tournant les talons, prête à ignorer sa présence dans ton appartement. enfin tu aurais voulu s'il n'avait pas marché sur un des jouets de sakura, hurlant sa douleur et réveillant la petite par la même occasion. tu lui adresses un regard noir, grommelant en japonais à voix basses, tu t'en moquais qu'il pense que tu l'insultais ou non. han yul avait tendance à te faire sortir de tes gonds, il appuyait sur les boutons jusqu'à ce que tu exploses. « je sais pas à toi de me le dire han yul, parce que tu crois que t'es un véritable saint ? » tu rétorques en lui jetant un coup d'oeil par dessus ton épaule, prenant la petite dans tes bras, calant son visage contre ta poitrine afin que les battements de ton cœur la calment, comme ça le faisait toujours. « je m'inquiète pas trop pour toi, tu n'as pas besoin qu'on te coupe le pieds non plus. » tu lèves les yeux au ciel, il pouvait avoir des réflexions vraiment puériles parfois.
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✻✻✻ la situation aurait pu être si différente, l'ambiance moins tendue entre vous, si han yul n'avait pas pris la fuite alors que sa sœur était à l'hôpital. tu avais eu l'espoir fou de la voir se réveiller, de voir à nouveau son sourire rassurant, d'entendre la voix de la jeune femme qui fut ton mentor quand tu étais à l'université. étrangement ton départ du campus, l'abandon de ton diplôme coïncidait avec le décès de celle qui fut tellement plus pour toi qu'un mentor. elle était ton amie, presque comme une sœur, tu l'admirais tant. han yul était tout le contraire de ce que sa sœur était, tu n'arrivais pas à le comprendre ni à étouffer la rancoeur que tu ressentais envers lui. le voir ici chez toi, ça te surprenait mais en même temps tu n'étais pas étonnée de voir qu'il avait des problèmes. il trouvait toujours le moyen de se fourrer dans le pétrin, c'était comme si il était un aimant à conneries, c'était dans ses gènes. haussant un sourcil à la réplique du jeune homme, tu retiens à grande peine un soupir indigné, il fallait toujours qu'il prenne les choses avec si peu de sérieux. il pensait que c'était un jeu ou quoi ? tu n'avais pas envie d'avoir des problèmes à cause de lui. « c'est ta connerie qui est illégale, tu vas finir par te faire tuer un jour. » tu réponds en tournant les talons, prête à ignorer sa présence dans ton appartement. enfin tu aurais voulu s'il n'avait pas marché sur un des jouets de sakura, hurlant sa douleur et réveillant la petite par la même occasion. tu lui adresses un regard noir, grommelant en japonais à voix basses, tu t'en moquais qu'il pense que tu l'insultais ou non. han yul avait tendance à te faire sortir de tes gonds, il appuyait sur les boutons jusqu'à ce que tu exploses. « je sais pas à toi de me le dire han yul, parce que tu crois que t'es un véritable saint ? » tu rétorques en lui jetant un coup d'oeil par dessus ton épaule, prenant la petite dans tes bras, calant son visage contre ta poitrine afin que les battements de ton cœur la calment, comme ça le faisait toujours. « je m'inquiète pas trop pour toi, tu n'as pas besoin qu'on te coupe le pieds non plus. » tu lèves les yeux au ciel, il pouvait avoir des réflexions vraiment puériles parfois.© LOYALS.
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Re: save me and be careful I'm like fire (mieko) | Sam 8 Sep - 12:28
✻✻✻ Sans argument, je vois la jeune femme me tourner le dos. Comme un enfant, je décide de me jouer d'elle en l'imitant. Je marmonne donc dans ma barbe et reprends chacun de ses mots. " Tu vas finir par te faire tuer un jour. " Est-ce que c'est censé me faire peur ? Ce n'était pas comme si j'étais un débutant en la matière. Dans ce domaine, je sais bien que j'ai tout intérêt à me taire. Elle et moi, je crois qu'on ne parviendra jamais à se comprendre, et pourtant, nous essayons de nous supporter l'un et l'autre. Si je maudissais autant la demoiselle, je ne prendrais pas le risque de venir jusqu'à chez elle. Je ne sais pour quelle raison (peut-être que si, au fond), Mieko finit toujours par m'aider. Pourtant, je ne devrais plus la mettre dans une situation délicate. Si les policiers réalisaient qu'elle me fournissait une cachette, est-ce qu'ils finiront par lui mettre les menottes aux poignets à son tour ? Contrairement à ce qu'elle peut penser, je ne suis pas le délinquant le plus recherché, juste une tête de mule qui veut se donner un genre. Il suffit d'entendre le cri que je lâche quand un simple jouet s'enfonce dans mon pied. Cette souffrance est loin d'être la pire que j'ai pu ressentir jusqu'à aujourd'hui. Il m'arrive effectivement de me bagarrer avec des inconnus dans la rue avec ma bande de potes, ou tout simplement, tout seul. Finalement, cette question n'est pas dénuée de sens. Suis-je vraiment masochiste ? Pourquoi je me mets dans de telles situations alors que j'ignore qui est vraiment mon adversaire ? Etre proche de la mort nous rappelle qu'on est bel et bien en vie ? Je devrais pourtant le savoir. Simplement, comme tout le monde. Néanmoins, j'ai arrêté de croire que mon existence était banale à souhait. J'ai l'impression de devoir supporter une deuxième vie et celle-ci n'est malheureusement pas prête de s'arrêter. Grognant alors, je tente de croiser le regard de la demoiselle. " Oh, pas autant que toi, c'est sûr. " Mademoiselle ne possède aucun défaut et pardonne à tous ses semblables avec une générosité impressionnante. Aucun regret, aucun remord, aucune critique négative... Non, la jeune femme est très pieuse. Heureusement que je fais partie de sa vie car sinon, celle-ci serait bien monotone. Elle a besoin d'être secouée ? Je serais le premier à le faire. Un sourire moqueur prend possession de mes lèvres alors que je viens, une nouvelle fois, me plaindre de son manque d'attention. Dans ces moments, Hanah me manque terriblement. " Juste la langue par contre ? Je suis même certain que j'arriverais à te faire crier même en n'étant plus doté de la parole. " Rempli de confiance, je m'approche de Mieko et de la petite. Délicatement, pour une fois, je fais un petit geste d'affection sur la plus jeune pour qu'elle puisse se rendormir. " Mais je ne devrais pas m'en flatter. Je n'ai aucun mérite. C'est juste le comportement d'une personne normale en compagnie d'une personne qu'elle déteste. " Soudain, quelqu'un frappe à la porte. " Madame, vous pouvez ouvrir ? C'est la police. " Ne me dites pas qu'un de ses voisins a pu me voir. Fais chier. Plongeant mon regard dans le sien, je reste étrangement calme, dans l'attente d'une réponse. Que fera t-elle ce soir pour son nuisible préféré ?
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✻✻✻ Sans argument, je vois la jeune femme me tourner le dos. Comme un enfant, je décide de me jouer d'elle en l'imitant. Je marmonne donc dans ma barbe et reprends chacun de ses mots. " Tu vas finir par te faire tuer un jour. " Est-ce que c'est censé me faire peur ? Ce n'était pas comme si j'étais un débutant en la matière. Dans ce domaine, je sais bien que j'ai tout intérêt à me taire. Elle et moi, je crois qu'on ne parviendra jamais à se comprendre, et pourtant, nous essayons de nous supporter l'un et l'autre. Si je maudissais autant la demoiselle, je ne prendrais pas le risque de venir jusqu'à chez elle. Je ne sais pour quelle raison (peut-être que si, au fond), Mieko finit toujours par m'aider. Pourtant, je ne devrais plus la mettre dans une situation délicate. Si les policiers réalisaient qu'elle me fournissait une cachette, est-ce qu'ils finiront par lui mettre les menottes aux poignets à son tour ? Contrairement à ce qu'elle peut penser, je ne suis pas le délinquant le plus recherché, juste une tête de mule qui veut se donner un genre. Il suffit d'entendre le cri que je lâche quand un simple jouet s'enfonce dans mon pied. Cette souffrance est loin d'être la pire que j'ai pu ressentir jusqu'à aujourd'hui. Il m'arrive effectivement de me bagarrer avec des inconnus dans la rue avec ma bande de potes, ou tout simplement, tout seul. Finalement, cette question n'est pas dénuée de sens. Suis-je vraiment masochiste ? Pourquoi je me mets dans de telles situations alors que j'ignore qui est vraiment mon adversaire ? Etre proche de la mort nous rappelle qu'on est bel et bien en vie ? Je devrais pourtant le savoir. Simplement, comme tout le monde. Néanmoins, j'ai arrêté de croire que mon existence était banale à souhait. J'ai l'impression de devoir supporter une deuxième vie et celle-ci n'est malheureusement pas prête de s'arrêter. Grognant alors, je tente de croiser le regard de la demoiselle. " Oh, pas autant que toi, c'est sûr. " Mademoiselle ne possède aucun défaut et pardonne à tous ses semblables avec une générosité impressionnante. Aucun regret, aucun remord, aucune critique négative... Non, la jeune femme est très pieuse. Heureusement que je fais partie de sa vie car sinon, celle-ci serait bien monotone. Elle a besoin d'être secouée ? Je serais le premier à le faire. Un sourire moqueur prend possession de mes lèvres alors que je viens, une nouvelle fois, me plaindre de son manque d'attention. Dans ces moments, Hanah me manque terriblement. " Juste la langue par contre ? Je suis même certain que j'arriverais à te faire crier même en n'étant plus doté de la parole. " Rempli de confiance, je m'approche de Mieko et de la petite. Délicatement, pour une fois, je fais un petit geste d'affection sur la plus jeune pour qu'elle puisse se rendormir. " Mais je ne devrais pas m'en flatter. Je n'ai aucun mérite. C'est juste le comportement d'une personne normale en compagnie d'une personne qu'elle déteste. " Soudain, quelqu'un frappe à la porte. " Madame, vous pouvez ouvrir ? C'est la police. " Ne me dites pas qu'un de ses voisins a pu me voir. Fais chier. Plongeant mon regard dans le sien, je reste étrangement calme, dans l'attente d'une réponse. Que fera t-elle ce soir pour son nuisible préféré ? © LOYALS.
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Re: save me and be careful I'm like fire (mieko) | Dim 30 Sep - 18:25
✻✻✻ tu ne comprenais pas comment il pouvait aimer mettre sa vie en danger, de différentes façons et en se comportant comme un abruti fini. ne pensait-il pas à sa sœur ? à sa famille quand il se laissait emporter par les coups foireux, l'alcool ? tu avais de la peine pour eux quand tu y songeais, ils avaient déjà perdu une fille, que se passerait-il si cette souffrance devait se reproduire à nouveau ? voilà pourquoi tu étais encore plus en colère contre han yul, contre les bêtises qu'il commettait et le voilà ce soir chez toi. fuyant ceux qui étaient là pour maintenir l'ordre qu'il aimait tant secouer. par respect pour sa sœur, par amitié et affection pour elle, tu tentais de maintenant un semblant d'entente avec lui, tu ne le laissais pas tomber ce soir alors que tu aurais pu lui claquer la porte au nez. tu le faisais pour elle, par pour lui. ça te bouffait de le voir gâcher sa vie en conneries alors qu'han ah, elle n'avait pas cette chance de pouvoir continuer la sienne. pourtant ce n'était pas sa faute si elle était morte, il n'était pas responsable de ce qui était arrivé... mais il s'était enfui. et pour toi c'était impardonnable alors qu'elle avait besoin de lui à ses côtés durant ses derniers instants. tu jettes un regard incendiaire à son adresse, la petite dans les bras afin de calmer ses pleurs, qu'elle puisse se rendormir. tu n'avais vraiment pas besoin de ça, pas quand sakura était avec toi. tu n'avais pas envie de t'inquiéter pour elle par la faute d'han yul. et si c'est amis avaient fini par le suivre et venaient chez toi ? rien qu'à l'idée, tu sens des frissons désagréables te parcourir le dos. « personne n'est parfait han yul, la différence c'est que je ne cherche pas les ennuis pour combler un vide. » tu rétorques en quittant ta chambre pour revenir dans le salon, sakura calée contre toi. tu serres les dents pour ne pas lui répondre, il n'avait pas tord, parfois sa simple présence suffisait à te rendre méfiante, irritée. il n'avait pas besoin de parler pour que tu souhaites qu'il parte. tu restes silencieuse, figée même quand han yul avance la main vers la petite, les mots qu'il prononce qui serrent ton cœur d'une façon que tu n'arrives pas à comprendre. tu t'apprêtais à lui répondre quand plusieurs coups à ta porte vous dérange. la voix qui s'élève derrière, ton regard qui s'enflamme à nouveau quand tu poses ton regard sur le jeune homme. un soupir qui glisse entre tes lèvres alors que tu lui fais signe de bouger. « vas dans ma chambre, je reviens. » tu murmures, attendant qu'il s'exécute, fallait-il encore qu'il t'écoute. tu n'arrivais pas à croire ce que tu allais faire, encore une fois tu te dis que c'est pour elle. pour han ah. tu tourne les talons, ne prenant pas la peine de voir s'il était vraiment allé se cacher. sakura toujours dans les bras, tu ouvres légèrement ta porte. deux hommes arrivent dans ton champ de vision. « pardonnez-nous madame, mais on nous a signalé la présence d'un homme suspect dans votre immeuble. » te dit l'un deux, tu feignes la surprise avec autant de sincérité que possible. « je n'ai rien entendu si c'est ce que vous voulez savoir, j'étais sur le point de me coucher avec ma fille. » tu enchaînes en montrant d'un signe de tête sakura. « je suis désolée mais je ne pense pas pouvoir vous en dire plus. » tu ne savais pas si tu pourrais les convaincre, mais tu l'espérais secrètement.
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save me and be careful I'm like fire
mieko & hanyul
✻✻✻ tu ne comprenais pas comment il pouvait aimer mettre sa vie en danger, de différentes façons et en se comportant comme un abruti fini. ne pensait-il pas à sa sœur ? à sa famille quand il se laissait emporter par les coups foireux, l'alcool ? tu avais de la peine pour eux quand tu y songeais, ils avaient déjà perdu une fille, que se passerait-il si cette souffrance devait se reproduire à nouveau ? voilà pourquoi tu étais encore plus en colère contre han yul, contre les bêtises qu'il commettait et le voilà ce soir chez toi. fuyant ceux qui étaient là pour maintenir l'ordre qu'il aimait tant secouer. par respect pour sa sœur, par amitié et affection pour elle, tu tentais de maintenant un semblant d'entente avec lui, tu ne le laissais pas tomber ce soir alors que tu aurais pu lui claquer la porte au nez. tu le faisais pour elle, par pour lui. ça te bouffait de le voir gâcher sa vie en conneries alors qu'han ah, elle n'avait pas cette chance de pouvoir continuer la sienne. pourtant ce n'était pas sa faute si elle était morte, il n'était pas responsable de ce qui était arrivé... mais il s'était enfui. et pour toi c'était impardonnable alors qu'elle avait besoin de lui à ses côtés durant ses derniers instants. tu jettes un regard incendiaire à son adresse, la petite dans les bras afin de calmer ses pleurs, qu'elle puisse se rendormir. tu n'avais vraiment pas besoin de ça, pas quand sakura était avec toi. tu n'avais pas envie de t'inquiéter pour elle par la faute d'han yul. et si c'est amis avaient fini par le suivre et venaient chez toi ? rien qu'à l'idée, tu sens des frissons désagréables te parcourir le dos. « personne n'est parfait han yul, la différence c'est que je ne cherche pas les ennuis pour combler un vide. » tu rétorques en quittant ta chambre pour revenir dans le salon, sakura calée contre toi. tu serres les dents pour ne pas lui répondre, il n'avait pas tord, parfois sa simple présence suffisait à te rendre méfiante, irritée. il n'avait pas besoin de parler pour que tu souhaites qu'il parte. tu restes silencieuse, figée même quand han yul avance la main vers la petite, les mots qu'il prononce qui serrent ton cœur d'une façon que tu n'arrives pas à comprendre. tu t'apprêtais à lui répondre quand plusieurs coups à ta porte vous dérange. la voix qui s'élève derrière, ton regard qui s'enflamme à nouveau quand tu poses ton regard sur le jeune homme. un soupir qui glisse entre tes lèvres alors que tu lui fais signe de bouger. « vas dans ma chambre, je reviens. » tu murmures, attendant qu'il s'exécute, fallait-il encore qu'il t'écoute. tu n'arrivais pas à croire ce que tu allais faire, encore une fois tu te dis que c'est pour elle. pour han ah. tu tourne les talons, ne prenant pas la peine de voir s'il était vraiment allé se cacher. sakura toujours dans les bras, tu ouvres légèrement ta porte. deux hommes arrivent dans ton champ de vision. « pardonnez-nous madame, mais on nous a signalé la présence d'un homme suspect dans votre immeuble. » te dit l'un deux, tu feignes la surprise avec autant de sincérité que possible. « je n'ai rien entendu si c'est ce que vous voulez savoir, j'étais sur le point de me coucher avec ma fille. » tu enchaînes en montrant d'un signe de tête sakura. « je suis désolée mais je ne pense pas pouvoir vous en dire plus. » tu ne savais pas si tu pourrais les convaincre, mais tu l'espérais secrètement.© LOYALS.
- - so, apparently i'm dramatic
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