matsuo leo (+) lion king

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matsuo leo (+) lion king | Jeu 29 Mar 2018 - 0:24

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Matsuo Leo

If you can’t fly, then run

TOLERANT (★★★✰✰)	BARATINEUR (★★★✰✰)	COMPETITIF (★★★✰✰)	SANS GÊNE (★★★✰✰)	EXTRAVERTI (★★★✰✰)
TEMPETUEUX (★★★★✰)	CONFIANT (★★★✰✰)	ARROGANT (★★★✰✰)	DEBROUILLARD (★★★✰✰)	OBSTINE (★★★✰✰)

nom : matsuo, un nom de famille qu'il n'a acquérit qu'à l'âge de douze ans. prénom : leo, un prénom trouvé par l'orphelinat et pourtant évident lorsque l'on sait qu'il a été retrouvé abandonné au pied d'une statut de lion. âge : 24 ans. date et lieu de naissance : en 1993, estimée au 17 juillet à Buenos Aires (Argentine). origines : argentin enfin du moins, il a été trouvé et a passé une partie de son enfance en Argentine. nationalité : initialement argentin, suite à son adoption il a reçu la nationalité japonaise. cursus universitaire : un cursus en médecine qu'il oublie un peu trop souvent uniquement choisit pour faire plaisir à papa comme si kuma ne comptait pas, doublé par un cursus STAPS qu'il trouve bien plus passionnant. métier : il galère déjà assez avec ses cours et ses conneries, il n'a pas le temps pour un job à moins que bluffer professionnel et escroc de première sont des métiers. orientation sexuelle : bien qu'il soit décomplexé au point de faire des ~~zizicoptères~~ dans les vestiaires il est hétérosexuel . classe sociale : la misère pendant les douze premières années de sa vie, blindé jusqu'à aujourd'hui, considérons-le comme un nouveau riche. code du règlement : Ok par iMked. tu veux t'investir ? GUMIHO

Rumour has it...

paraît que la seule fois où il a fait une pause dans sa sexualité, c'est parce qu'il avait une IST. (faux, c'est juste qu'il a été tellement choqué d'apprendre que kuma avait engrossé une meuf que sa b**e a fait un coma pendant deux mois. il a reprit du service mais ne sort plus jamais sans chapeau même pour une meuf stérile t'es fou, trop de risque. )+ le gars c'est un peu l'eclipse solaire du cursus de médecine, on ne le voit que tous les 36 du mois. (vrai, même moi j'm'étonne quand je viens.) + une fois il s'est pris cinq gifles à la suite par des meufs (c'est les risques du métier ...) + il paraît qu'il a une fiancé et qu'elle lui fout la misère à force de le voir avec des go, c'est pour ça que parfois il arrive avec traces de coups (faux, il n'est pas fiancé il n'a même pas de meuf en vrai, il pratique juste la boxe. ) + il a déjà largué une meuf la veille du début de la coupe du monde de football pour pouvoir regarder le match tranquille (vrai, vous même vous savez comment une meuf ça parle trop.) + son surnom depuis qu'il est petit c'est Zizou, il aimait trop mettre des coups de tête (vrai, zizou, front de fer ou même harry due à une légère cicatrice après avoir mis un coup de boule si fort que la dent du gosse est resté plantée dans son grand front. le pire c'est que c'est l'autre qui a été puni après qu'il ait retourné le cerveau de l'institutrice. ne sous-estimez jamais un crâne dur et un homme fourbe ! ) + paraît qu'il n'a pas de feeling avec les enfants, il n'approche jamais sa nièce. (faux, il la laisse lui faire des couettes, boit du faux thé avec elle et lui apprend même sa technique ancestrale du coup de tête ainsi que des prises de catch sur ses peluches. crâne de fer d'oncle en nièce, si c'est pas de l'amour ça ! ) + on dit qu'il ne s'entend pas avec son frère et sa soeur adoptifs. (faux, c'est limite si on dirait pas un gars qui a une malformation et qui se retrouve avec trois testicules. +sa mère fait des visites surprises chez lui. elle débarque comme ça, ne prévenant qu'une heure à l'avance pour voir si tout va bien peu importe ce qu'il fait et avec qui il est. (vrai, alors à chaque fois c'est la panique pour ranger l'appartement. une fois il a planqué une meuf sur son balcon en hiver pendant trois heures, le pire c'était de cacher le corps après (non l'histoire du corps à cacher c'est pas vrai, après peut-être qu'elle est morte en rentrant chez elle après, elle ne lui a rien dit et ne l'a plus jamais revue, il comprend pas pourquoi.) ) ...

Survole l'avatar, petit coquin.

My character

Leo est ce gendre parfait. Celui qui arrive avec des fleurs pour la mère et une bonne bouteille pour le père. Celui qui sort des belles paroles, des soit disant principes sortis de nul part. Celui qui inspire confiance, qui apaise le coeur des parents inquiets par son sourire et son grand discours. Il est ce jeune garçon qui a vécu de grands malheurs dans sa vie: la pauvreté, la délinquance, les gangs argentins, l'abandon. Mais il a surmonté tout cela, il est devenu un homme bon. C'est un jeune homme exceptionnel, courageux et exemplaire parait-il. La fierté de ses parents adoptifs, il n'y a qu'à voir l'étincelle qui brillent dans leurs yeux lorsqu'ils l'exhibent aux autres ...

Leo c'est surtout une putain d'illusion. Il déprave leurs filles dans leurs dos, il n'a pas connu de gang et pas réellement la délinquance. C'est un beau parleur, un bon menteur, un parfait escroc. Légèrement manipulateur ? Oui sûrement. Il n'est pas ce jeune homme parfait comme il le prétend, le trois quart de ce qu'il raconte à ses parents n'est que vent. Il ne fait vivre cette image que parce que cela l'amuse mais aussi par crainte d'être à nouveau abandonné par ceux qui lui ont offert une famille aussi. Il n'a rien gentleman, rien d'un type parfait. Il ne brille pas réellement de ses études en médecine, n'optenant des notes incroyable que par de nombreux superfuges.

La seule chose qui brille sur lui est la lumière des clubs dans lesquels il se rend souvent. Il est en réalité ce type qui aime faire la fête, celui qui jure tout le temps, celui qui fera sûrement toujours autant de conneries lorsqu'il aura cent ans. C'est ce type qui a prit sa revanche sur la vie, qui la croque aujourd'hui à pleine dents, qui en profite beaucoup trop aussi sûrement. Il est compliqué de le retenir, difficile de garder en ses mains l'électron libre qu'il est. Mais qui pourrait lui repprocher? Il est aujourd'hui heureux d'être en vie Leo, loin de ses parents il ne veut pas se laisser bouffer par ce qu'il juge être des futilités. Il ne se donne que très peu de limite, beaucoup trop peu de barrière.

Doucement caractériel, souvent arrogant avec ceux qu'il ne sent pas, vous ne pourrez pas passer à côté du fait qu'il ne vous apprécie pas. Pire encore, il vous le fera parfaitement comprendre, venant même chercher le conflit lorsqu'il s'ennuit. Ne vous imaginez pas que vous aurez le dernier mot avec lui, plus vous lui répondrez, plus il viendra vous chercher, ne serait-ce que pour avoir raison et par besoin de gagner la compétition. C'est à vos risques et périls.

Heureusement, ces rares personnes qu'il met dans son viseur gratuitement sont peu nombreuses. Il est davatange aisé de trouver un partner in crime de la connerie parfait mais également un ami un peu chiant mais toujours présent en lui. Il sait faire rire son entourage, l'animer, le booster. Il agite son monde entier, le secouant énergiquement dans tous les sens. Il veut toujours faire ressortir le meilleur de ses proches, quitte à les engueuler au possible dès les premiers signes de faiblesse et à prendre toute responsabilité de leurs erreurs même lorsque cela nécessite qu'il doit se sacrifier. Leo ne sait que trop bien que la vie n'est pas facile, il est arrivé dans ce monde avec une balle dans le pied à vrai dire. Pourtant aujourd'hui il est là et il est heureux, la vie vaut le coup d'être vécu, il en est certain.

This is my story

If you can’t run, then walk

Un nouveau-né déposé sous une statue de lion faisant face à l’orphelinat, le protégeant de la pluie et de la chaleur argentine par son ombre majestueuse. Une délicate intention de la part d’une mère peut-être un peu lâche, peut-être un peu trop jeune, peut-être on ne sait trop rien. Pas de nom, pas de date, pas de mot. Une vie à peine débutée et déjà remise au hasard, ses pleures affamés parviendront-ils à attirer l’attention et à le sauver ?

Un enfant qui grandit dans un bâtiment un peu délabré, aux côtés de ceux qui comme lui ont été abandonnés. Des allés et venus autour de lui, ceux qui partent un large sourire dessiné sur leurs lèvres et ceux qui viennent. Du personnel qui tente de jouer les parents sans que cela ne fonctionne réellement. Et puis il y a ces nombreux visages inconnus qui se dressent face à lui, le regardent, le testent, tentent de le découvrir un peu comme on le fait dans un magasin de téléphone portable. Ils défilent devant lui avant de porter leurs choix sur d’autres enfants : dans un premier temps parce qu’ils sont plus mignons puis plus souriant, plus calme et au fur à mesure du temps, parce qu’ils sont plus jeunes. Au début lorsqu’il fut en âge de comprendre pourquoi ils étaient là, son cœur frétillait d’impatience. Il donnait absolument tout pour être choisi, pour être cette poupée qu’on met dans le caddie et qu’on ramène rapidement à la maison. Mais plus le temps passe, plus les chances s’éloignent et plus les efforts deviennent vains.

Pourtant après douze ans d’existence, la roue a commencé à tourner. Leur allure n’avait rien à voir avec la tienne, ils transpiraient la richesse il n’y avait qu’à voir la montre hors de prix de monsieur et les perles qui ornaient le cou de madame. Eux, ils ne lui ont rien demandé. A vrai dire, peut-être que si mais dans un espagnol si approximatif qu’il n’eut absolument rien compris. Ils l’ont regardé comme on regarde un nouveau sac à main, sous toutes les coutures, le faisant tourner sur lui-même comme pour être certain qu’aucun des ornements que sont ses membres ne sont pas sur le point de se décrocher.

Quelques papiers réglés, un peu de temps qui passe et le voilà embarqué dans une nouvelle vie bien meilleure que celle qu’il a toujours espéré. Un mode de vie bien plus plaisant que la vie à l’orphelinat, des parents qui font attention à lui bien que avec le temps cela à davantage le goût d’hypocrisie mais surtout, il y avait Kuma et Kaya. Des frères et sœurs, l’enfant qu’il était en avait eu plus que dans toutes ses vies précédentes cumulées mais ils étaient différents. Eux, ils l’étaient également sur le papier. Les premiers temps furent légèrement difficiles. Un couple de japonais vivant en Corée du Sud qui adoptent un gosse argentin, cela fait énormément de langues et de cultures à assimiler. Leo ne comprenait pas tout ce qu’on lui disait voir même complètement l’inverse. Lorsqu’il y repense, il se dit que ce fut en quelques sortes une seconde naissance. Heureusement, ses parents avaient les moyens de lui offrir des cours spécialisés et puis, Kuma et Kaya étaient toujours là pour le guider.

Si l’enfant qu’il était n’eut pas grand mal à s’attacher à ses parents malgré ses révélations au fil du temps, ce fut bien plus réel et puissant pour son frère et sa sœur. Une immense complicité s’est installée et n’a jamais cessé de s’accroître. Ils étaient toujours là pour lui et réciproquement. Jamais il ne serait l’homme qu’il est aujourd’hui sans eux, Leo en est certain.

Alors, lorsque les choses ont commencées à se gâter et qu’ils furent foutu à la porte, le jeune homme ne put s’empêcher de ressentir un sentiment d’amertume envers ceux qui lui ont tendus la main. Qu’est-ce que cela peut bien faire si elle se préfère dans les bras d’une femme et comment osent-ils mettre Kuma a la rue pour avoir accidentellement enfanté une donzelle ? Bien qu’il eut la vive envie de les suivre, de claquer la porte pour exprimer son mécontentement, le jeune homme n’en fut cependant pas capable. Peut-être par reconnaissance pour l’avoir adopté, peut-être pour ne pas vivre un sentiment de rejet à nouveau. Alors il est resté auprès des parents avant de prendre son propre appartement, jouant le gamin parfait qu’il n’a jamais été tout en gardant de très bonnes relations avec son frère et sa sœur. Si ils pensaient se débarrasser de crâne de fer ainsi, ils se sont trompés !

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Cette fois c'est au drôle de loustic caché derrière l'avatar qu'on s'intéresse. Fais tomber le mystère, déballe ton bail. Quoi, t'as du mal ? Allez, quelques idées d'infos pour te débloquer : t'as quel âge ? Tu viens d'où ? Comment t'as connu STW ? Et t'en dis quoi ? Btw tu t'es lavé sous les bras ?