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you again (enoch)
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you again (enoch) | Ven 4 Mai 2018 - 13:44
✻✻✻ la pile de documents s’agrandit de minutes en minutes. tu dois les trier parce que t’as encore fait une bourde sur le terrain. en essayant d’interpeller un pickpocket, tu lui as fait un croche pied, et son nez à rencontrer le bitume, s’explosant dans une jolie couleur rouge. tu l’as regardé de haut et il avait promis de porter plainte. encore une fois, tes supérieurs avaient fait en sorte de surveiller tes arrières, mais maintenant tu étais coincé au poste, avec pour boulot de t’occuper d’un travail d’archivage, triage d’anciennes plaintes, nouvelles, résolues et non résolues. tu souffles, faisant un peu voler les feuilles que tu t’empresses de plaquer sur ton bureau pour éviter de les voir s’envoler partout autour de toi. sérieusement, jusqu’à quand tu vas devoir jouer au parfait employé de bureau ? t’es pas fait pour ce genre de choses. tu préfères quand ça bouge, et justement ça ne bouge pas là. tu pousses un nouveau soupir, faisant relever les yeux de tes collègues et tu hoches simplement la tête dans leur direction avant de recommencer ton job. il te tarde ce soir. t’as promis à sojin d’aller au cinéma avec elle. il y a un film anglophone qu’elle a envie de voir. tu n’as pas compris ni le truc ni le but de ce film, mais tu vas aller avec elle pour lui faire plaisir. parce que comme elle te l’a fait si gentiment remarquer, ça fait trop longtemps que vous n’avez pas fait quelque chose ensemble. du coup, t’as pas hésité longtemps pour lui dire oui. t’espères juste que ce sera pas trop long et pas trop chiant. t’as pas envie de passer deux heures à t’emmerder. un coup d’œil à ta montre t’apprends qu’il ne te reste que quelques heures, avant la fin de ton service et tu laisses un léger sourire s’afficher sur tes lèvres. il est très rapide, si rapide que si quelqu’un t’as vu, il se dira qu’il a probablement rêvé. t’entends alors du remue-ménage et tes yeux se lèvent d’eux-mêmes pour satisfaire ta curiosité et deux hommes entrent dans le commissariat. l’un d’eux t’es totalement inconnu et tu ne lui prêtes pas plus attention que ça. l’autre, tu te souviens de lui. il est souvent ici, si bien que tu en viens à te demander s’il n’a pas pris un abonnement ou qu’il vit ici. un de tes supérieurs te demande de le prendre en charge, et bien que ton expression ne change pas, lorsque tes yeux se plantent dans les siens, ils sont emplis de mépris et de sarcasmes pour lui. « qu’est-ce que t’as fait cette fois ? » que tu demandes alors qu’on l’installe en face de toi. tu fais en sorte de te faire de la place sur le bureau pour pouvoir bouger un peu plus facilement. au vu de la dégaine qu’il a, il s’est sûrement encore une fois battu. t’attends donc pas vraiment de réponse à ta question précédente. « tu sais, je vais finir par aménager une cellule rien que pour toi pour que tu puisses te sentir à l’aise et chez toi. » t’es méprisant et moqueur. tu te fous clairement de sa gueule parce qu’il s’est encore fait choppé. mais encore une fois, rien n’apparait sur ton visage. il est aussi inexpressif que d’ordinaire.
you again
enoch & haknyeon
✻✻✻ la pile de documents s’agrandit de minutes en minutes. tu dois les trier parce que t’as encore fait une bourde sur le terrain. en essayant d’interpeller un pickpocket, tu lui as fait un croche pied, et son nez à rencontrer le bitume, s’explosant dans une jolie couleur rouge. tu l’as regardé de haut et il avait promis de porter plainte. encore une fois, tes supérieurs avaient fait en sorte de surveiller tes arrières, mais maintenant tu étais coincé au poste, avec pour boulot de t’occuper d’un travail d’archivage, triage d’anciennes plaintes, nouvelles, résolues et non résolues. tu souffles, faisant un peu voler les feuilles que tu t’empresses de plaquer sur ton bureau pour éviter de les voir s’envoler partout autour de toi. sérieusement, jusqu’à quand tu vas devoir jouer au parfait employé de bureau ? t’es pas fait pour ce genre de choses. tu préfères quand ça bouge, et justement ça ne bouge pas là. tu pousses un nouveau soupir, faisant relever les yeux de tes collègues et tu hoches simplement la tête dans leur direction avant de recommencer ton job. il te tarde ce soir. t’as promis à sojin d’aller au cinéma avec elle. il y a un film anglophone qu’elle a envie de voir. tu n’as pas compris ni le truc ni le but de ce film, mais tu vas aller avec elle pour lui faire plaisir. parce que comme elle te l’a fait si gentiment remarquer, ça fait trop longtemps que vous n’avez pas fait quelque chose ensemble. du coup, t’as pas hésité longtemps pour lui dire oui. t’espères juste que ce sera pas trop long et pas trop chiant. t’as pas envie de passer deux heures à t’emmerder. un coup d’œil à ta montre t’apprends qu’il ne te reste que quelques heures, avant la fin de ton service et tu laisses un léger sourire s’afficher sur tes lèvres. il est très rapide, si rapide que si quelqu’un t’as vu, il se dira qu’il a probablement rêvé. t’entends alors du remue-ménage et tes yeux se lèvent d’eux-mêmes pour satisfaire ta curiosité et deux hommes entrent dans le commissariat. l’un d’eux t’es totalement inconnu et tu ne lui prêtes pas plus attention que ça. l’autre, tu te souviens de lui. il est souvent ici, si bien que tu en viens à te demander s’il n’a pas pris un abonnement ou qu’il vit ici. un de tes supérieurs te demande de le prendre en charge, et bien que ton expression ne change pas, lorsque tes yeux se plantent dans les siens, ils sont emplis de mépris et de sarcasmes pour lui. « qu’est-ce que t’as fait cette fois ? » que tu demandes alors qu’on l’installe en face de toi. tu fais en sorte de te faire de la place sur le bureau pour pouvoir bouger un peu plus facilement. au vu de la dégaine qu’il a, il s’est sûrement encore une fois battu. t’attends donc pas vraiment de réponse à ta question précédente. « tu sais, je vais finir par aménager une cellule rien que pour toi pour que tu puisses te sentir à l’aise et chez toi. » t’es méprisant et moqueur. tu te fous clairement de sa gueule parce qu’il s’est encore fait choppé. mais encore une fois, rien n’apparait sur ton visage. il est aussi inexpressif que d’ordinaire. © LOYALS.
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Re: you again (enoch) | Sam 5 Mai 2018 - 15:11
✻✻✻ Cette main t'effleure à peine les fesses alors que tu croises un regard séducteur et une bouche en cœur, et ton sang est déjà lancé à pleine vitesse vers ta boite crânienne ; un mec a osé te toucher. Tu n'as pas le temps de réfléchir plus loin, tu ne vois pas son copain, une véritable armoire à glace, qui le suit, tu te contente de lancer un premier poing dans son petit nez retouché puis vers ses côtes, cueillant son souffle de façon si satisfaisante que ça t'arrache un sourire presque amusé. Et comme on ne récolte que ce que l'on sème, le gorille se tourne vers toi et balance son énorme main contre ta bouche, tu sens immédiatement ta lèvre se craquer, le sang chaud coulant à flot, libéré de sa prison biologique, et tu maudis ce crétin de frapper juste là où la veine passe, te faisant passer pour le plus faible juste parce qu'un ruisseau de sang envahit ton menton. Les coups s'échangent, le font tituber, te font tomber à la renverse par dessus le bar et tu te maudis de toujours tomber sur plus costaud que toi, c'est dans ces moments que tu préférerais te vider un peu le cerveau pour pouvoir remplir encore un peu plus tes muscles. « Man, j'savais que j'aurais du rester chez moi... Putain d'homos... » Et tu te relève tout juste qu'une main s'abat sur ton épaule et te bloque un bras dans le dos. Comme d'habitude, la police est venu te mettre des bâtons dans les roues et tu soupire, crachant un petit filet de sang dans l'évier avant de te retrouver forcé de quitter les lieux, grognant contre l'inconfort de la position dans laquelle l'agent te maintient. Il est plus petit que toi, moins bien bâti, tu pourrais aisément lui en retourner une et te barrer en courant, mais à quoi bon, les flics sont à ton cul H24, si tu te mets en plus à leur coller des raclées quand c'est faisable et à leur filer entre les doigts, tu peux carrément dire adieu à ton semblant de paix lorsque tu te tiens à carreaux. A ton arrivée au poste tu souffles en voyant qui va s'occuper de toi, allant directement t'affaler sur la chaise. « Oui, oui, ça va, on a bien compris que tu étais ravi que je sois là. Bon, on passe au sermon, on me fixe mon amende, je passe ma nuit en cellule et j'me barre... J'ai pas que ça à foutre. » Tu te mords la lèvre et grogne en la sentant encore sensible. Tu t'en veux un peu de réagir de la sorte, tu sais que tu ne vas faire qu'aggraver ton cas, Haknyeon ne te portait déjà pas dans son cœur avant cela et ne manquait pas une occasion de t'en coller une et tu venais de lui offrir une raison sur un plateau. Un rictus douloureux vient s'emparer de tes traits alors qu'il se moque ouvertement de toi et de ta situation, te faisant hausser une épaule et secouer la tête alors que ton regard d'ambre se plonge dans le sien. « Ah ouais ? C'est mignon dis donc, tu t'inquiéterais pour mon confort ? J'aurais pas cru ça de toi ! » Tu sais que tu devrais la fermer, qu'il a l'ascendant, qu'ici, tu ne vaux pas plus qu'un pauvre sdf camé, que ton nom, ton argent, ta belle gueule ne te serviront à rien, mais ton ego prend une telle place qu'il est difficile de ne rien dire.
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✻✻✻ Cette main t'effleure à peine les fesses alors que tu croises un regard séducteur et une bouche en cœur, et ton sang est déjà lancé à pleine vitesse vers ta boite crânienne ; un mec a osé te toucher. Tu n'as pas le temps de réfléchir plus loin, tu ne vois pas son copain, une véritable armoire à glace, qui le suit, tu te contente de lancer un premier poing dans son petit nez retouché puis vers ses côtes, cueillant son souffle de façon si satisfaisante que ça t'arrache un sourire presque amusé. Et comme on ne récolte que ce que l'on sème, le gorille se tourne vers toi et balance son énorme main contre ta bouche, tu sens immédiatement ta lèvre se craquer, le sang chaud coulant à flot, libéré de sa prison biologique, et tu maudis ce crétin de frapper juste là où la veine passe, te faisant passer pour le plus faible juste parce qu'un ruisseau de sang envahit ton menton. Les coups s'échangent, le font tituber, te font tomber à la renverse par dessus le bar et tu te maudis de toujours tomber sur plus costaud que toi, c'est dans ces moments que tu préférerais te vider un peu le cerveau pour pouvoir remplir encore un peu plus tes muscles. « Man, j'savais que j'aurais du rester chez moi... Putain d'homos... » Et tu te relève tout juste qu'une main s'abat sur ton épaule et te bloque un bras dans le dos. Comme d'habitude, la police est venu te mettre des bâtons dans les roues et tu soupire, crachant un petit filet de sang dans l'évier avant de te retrouver forcé de quitter les lieux, grognant contre l'inconfort de la position dans laquelle l'agent te maintient. Il est plus petit que toi, moins bien bâti, tu pourrais aisément lui en retourner une et te barrer en courant, mais à quoi bon, les flics sont à ton cul H24, si tu te mets en plus à leur coller des raclées quand c'est faisable et à leur filer entre les doigts, tu peux carrément dire adieu à ton semblant de paix lorsque tu te tiens à carreaux. A ton arrivée au poste tu souffles en voyant qui va s'occuper de toi, allant directement t'affaler sur la chaise. « Oui, oui, ça va, on a bien compris que tu étais ravi que je sois là. Bon, on passe au sermon, on me fixe mon amende, je passe ma nuit en cellule et j'me barre... J'ai pas que ça à foutre. » Tu te mords la lèvre et grogne en la sentant encore sensible. Tu t'en veux un peu de réagir de la sorte, tu sais que tu ne vas faire qu'aggraver ton cas, Haknyeon ne te portait déjà pas dans son cœur avant cela et ne manquait pas une occasion de t'en coller une et tu venais de lui offrir une raison sur un plateau. Un rictus douloureux vient s'emparer de tes traits alors qu'il se moque ouvertement de toi et de ta situation, te faisant hausser une épaule et secouer la tête alors que ton regard d'ambre se plonge dans le sien. « Ah ouais ? C'est mignon dis donc, tu t'inquiéterais pour mon confort ? J'aurais pas cru ça de toi ! » Tu sais que tu devrais la fermer, qu'il a l'ascendant, qu'ici, tu ne vaux pas plus qu'un pauvre sdf camé, que ton nom, ton argent, ta belle gueule ne te serviront à rien, mais ton ego prend une telle place qu'il est difficile de ne rien dire. © LOYALS.
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Re: you again (enoch) | Dim 13 Mai 2018 - 20:35
✻✻✻ voir arriver enoch entouré par les policiers n’est pas nouveau. t’as l’habitude de l’amener au poste. mais cette fois, c’est toi qui est resté au commissariat et tes collègues qui le ramènent. c’est à ton tour de t’en occuper et tu laisses tes collègues le faire asseoir en face de toi, trouvant pour une fois qu’il a bien choisi son moment pour apparaitre. il te fait sortir de tes papiers et ça, ça n’a pas de prix. tu détestes tellement être assis devant un bureau à classer de la paperasse. tu préfères être sur le terrain même à faire la circulation ça te ferait moins chier que cette tonne de feuilles qui commence à te donner des maux de tête. tu lui demandes donc ce qu’il fait là et sa réponse te fait légèrement sourire un peu plus moqueur. « je crois que t’as pas compris que tu parlais à un policier enoch. jsuis pas ton pote. alors, tu vas commencer par descendre d’un ton et me dire ce qui s’est passé ? on verra après si j’ai envie de fixer une amende. parce que l’idée de te laisser au fond d’une cellule ne me déplaît pas. » tu reprends un masque impassible alors que tu proposes de faire d’une cellule une chambre pour lui. il vient tellement souvent que ça pourrait être pas mal cette idée. encore une fois son insolence te laisse de marbre même si intérieurement, tu l’as déjà étranglé une bonne cinquantaine de fois. tu ne supportes pas qu’on te réponde comme ça et tu sais qu’il l’a très bien compris et qu’il joue avec tes nerfs. sauf que tu ne craqueras pas le premier, pas avec lui du coup. « arrête de jouer au plus malin avec moi. » tu souffles, blasé par cette situation. finalement, t’en reviendrais presque à regretter le classage de ces plaintes. ça t’aurais évité de te prendre la tête avec ce gamin qui te cherche par tous les moyens. tu déplaces la souris de l’ordinateur pour révéler l’écran et tu cliques pour prendre sa déposition. « nom : song, prénom : enoch, date de naissance : 2 avril 1996… » tu commences à noter toutes les informations que tu as sur le jeune homme, de tête. depuis le temps qu’il vient, tu connais maintenant par cœur toute la première partie du formulaire. peut-être que tu devrais en avoir un prérempli la prochaine fois pour ne pas perdre de temps. ça pourrait être une bonne idée en vrai. « alors si tu me disais ce qui s’est passé ? t’as encore voulu casser du pd ? » parce que c’est souvent pour ça qu’il vient. pourtant, tu le sais qu’il a été adopté et par deux femmes, t’as eu accès à ses informations grâce à la banque de données de la police. alors pourquoi il réagit comme s’il était dégoûté par les homosexuels ? est-ce qu’il a des relations difficiles avec ses mères ? tu sais pas vraiment mais ça t’intrigues son comportement. « ou alors c’est parce que je te manquait ? » tu lui fais ton regard de séducteur et tu t’approches légèrement de lui alors qu’une lueur moqueuse apparait dans tes yeux. « tu sais, je pourrais utiliser ces menottes pour autre chose qu’attacher tes mains ensemble. je peux être très créatif avec. si tu veux essayer, tu pourrais le dire au lieu de toujours faire en sorte de te faire prendre dans des bagarres. je serais plus que ravi de t’initier au plaisir de la chair avec un homme. » et tu te recules, toujours cette lueur narquoise dans les yeux.
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✻✻✻ voir arriver enoch entouré par les policiers n’est pas nouveau. t’as l’habitude de l’amener au poste. mais cette fois, c’est toi qui est resté au commissariat et tes collègues qui le ramènent. c’est à ton tour de t’en occuper et tu laisses tes collègues le faire asseoir en face de toi, trouvant pour une fois qu’il a bien choisi son moment pour apparaitre. il te fait sortir de tes papiers et ça, ça n’a pas de prix. tu détestes tellement être assis devant un bureau à classer de la paperasse. tu préfères être sur le terrain même à faire la circulation ça te ferait moins chier que cette tonne de feuilles qui commence à te donner des maux de tête. tu lui demandes donc ce qu’il fait là et sa réponse te fait légèrement sourire un peu plus moqueur. « je crois que t’as pas compris que tu parlais à un policier enoch. jsuis pas ton pote. alors, tu vas commencer par descendre d’un ton et me dire ce qui s’est passé ? on verra après si j’ai envie de fixer une amende. parce que l’idée de te laisser au fond d’une cellule ne me déplaît pas. » tu reprends un masque impassible alors que tu proposes de faire d’une cellule une chambre pour lui. il vient tellement souvent que ça pourrait être pas mal cette idée. encore une fois son insolence te laisse de marbre même si intérieurement, tu l’as déjà étranglé une bonne cinquantaine de fois. tu ne supportes pas qu’on te réponde comme ça et tu sais qu’il l’a très bien compris et qu’il joue avec tes nerfs. sauf que tu ne craqueras pas le premier, pas avec lui du coup. « arrête de jouer au plus malin avec moi. » tu souffles, blasé par cette situation. finalement, t’en reviendrais presque à regretter le classage de ces plaintes. ça t’aurais évité de te prendre la tête avec ce gamin qui te cherche par tous les moyens. tu déplaces la souris de l’ordinateur pour révéler l’écran et tu cliques pour prendre sa déposition. « nom : song, prénom : enoch, date de naissance : 2 avril 1996… » tu commences à noter toutes les informations que tu as sur le jeune homme, de tête. depuis le temps qu’il vient, tu connais maintenant par cœur toute la première partie du formulaire. peut-être que tu devrais en avoir un prérempli la prochaine fois pour ne pas perdre de temps. ça pourrait être une bonne idée en vrai. « alors si tu me disais ce qui s’est passé ? t’as encore voulu casser du pd ? » parce que c’est souvent pour ça qu’il vient. pourtant, tu le sais qu’il a été adopté et par deux femmes, t’as eu accès à ses informations grâce à la banque de données de la police. alors pourquoi il réagit comme s’il était dégoûté par les homosexuels ? est-ce qu’il a des relations difficiles avec ses mères ? tu sais pas vraiment mais ça t’intrigues son comportement. « ou alors c’est parce que je te manquait ? » tu lui fais ton regard de séducteur et tu t’approches légèrement de lui alors qu’une lueur moqueuse apparait dans tes yeux. « tu sais, je pourrais utiliser ces menottes pour autre chose qu’attacher tes mains ensemble. je peux être très créatif avec. si tu veux essayer, tu pourrais le dire au lieu de toujours faire en sorte de te faire prendre dans des bagarres. je serais plus que ravi de t’initier au plaisir de la chair avec un homme. » et tu te recules, toujours cette lueur narquoise dans les yeux.© LOYALS.
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Re: you again (enoch) | Sam 19 Mai 2018 - 1:33
✻✻✻ Tu pourrais être calé, bien au fond de ton lit, à gratter le ventre d'appétit, jouant avec le chiot juste pour te distraire, juste pour t'amuser, mais non... Non, toi, il avait vraiment fallu que tu viennes passer une nuit de plus dans ce poste de police, comme s'il t'avait fallu une carte de fidélité, comme si tu voulais que ton visage soit placardé sur le mur des emmerdes, comme si tu n'avais pas eu assez le mois dernier. Et comme rien ne va jamais dans ton sens, voilà que c'est Haknyeon qui prend ta déclaration, super ! Il ne t'aimait pas beaucoup, certains flics t'avaient à la bonne, riaient même avec toi lorsque tu venais, te claquaient dans le dos en t'intimant de ne pas recommencer et tu repartais comme le petit vaurien que tu étais, mais pour lui, c'était différent, t'étais comme un souffre douleur personnel pour l'officier. « Comme si j'avais envie de rester ici, je comprends même pas pourquoi l'autre pervers a pas été embarqué. Il lui manquait trop de dents pour pouvoir poser une déclaration ? » Bien sûr, tu parlais du petit gay, pas de son copain l'armoire à glace, un soupir t'échappe tandis que tu l'entends remplir une énième fois ton casier d'une jolie petite copie, citant tes informations civiles comme s'il récitait un poème, ouais, tu venais bien trop souvent. « J'ai pas VOULU casser du pd... C'est lui qui trouvait qu'il lui fallait un ravalement de façade ! Je sais pas ce qu'ils ont à penser qu'ils peuvent toucher tout le monde partout, c'est dégueulasse, p*tain. » Ta voix reflète une certaine frustration, après tout, qui était ce gars pour penser qu'il avait le droit de toucher à ses fesses ? Espérait-il avoir une chance ? Faire le poids ? Etre charmant ? Un frisson dégoûté hérisse ton dos et vient redresser les cheveux sur ta nuque alors que tu y repenses, et tu vois soudain le brun se pencher vers toi, et te taquiner, son ton narquois cinglant contre les parois de ton crâne, tu as envie de lui mettre un coup de tête, de faire disparaître ce sourire satisfait de son visage, de lui pourrir son nez si droit, mais tu sais que le moment où tu t'exécuterais, tu serais envoyé en cellule sans ménagement, alors tu serres les dents. « Ah ouais toi aussi t'es comme ça ? Décidément, c'est limite contagieux... » Très loin, à l'intérieur de ta poitrine, il y a une légère douleur, et tu l'ignores, tu refuses de l'entendre, de l'écouter, parce qu'elle serait sans doute de celles qui font le plus mal si seulement tu lui donnais l'importance. Tu profites qu'il s'éloigne pour te redresser. « T'es en train d'abuser grave de ton pouvoir, flic véreux. Il te faut combien pour que j'puisse rentrer chez moi ? Je crèche pas chez les tafioles ! » Une fois encore, ce pincement vient titiller ton égo, comme un léger rappel que quelques jours auparavant, tu ne tenais pas le même discours alors que tu ramenais ce gars chez toi, mais Haknyeon n'en savait rien, et tu n'allais pas jouer carte sur table et te mettre à déballer ton histoire comme si tu étais chez le psy, si tu n'en parlais à personne, ça n'était pas pour le faire face aux forces de l'ordre, et puis, quelque chose te disait que si l'officier apprenait la vérité, il ne te foutrait jamais la paix. Tes mains glissent dans la poche arrière de ton pantalon et tu jettes maladroitement ton portefeuille sur le bureau, celui-ci s'ouvrant sur une série de cartes, une photo de famille et une liasse de billets. « Prends ce qu'il faut, que j'me casse. »
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✻✻✻ Tu pourrais être calé, bien au fond de ton lit, à gratter le ventre d'appétit, jouant avec le chiot juste pour te distraire, juste pour t'amuser, mais non... Non, toi, il avait vraiment fallu que tu viennes passer une nuit de plus dans ce poste de police, comme s'il t'avait fallu une carte de fidélité, comme si tu voulais que ton visage soit placardé sur le mur des emmerdes, comme si tu n'avais pas eu assez le mois dernier. Et comme rien ne va jamais dans ton sens, voilà que c'est Haknyeon qui prend ta déclaration, super ! Il ne t'aimait pas beaucoup, certains flics t'avaient à la bonne, riaient même avec toi lorsque tu venais, te claquaient dans le dos en t'intimant de ne pas recommencer et tu repartais comme le petit vaurien que tu étais, mais pour lui, c'était différent, t'étais comme un souffre douleur personnel pour l'officier. « Comme si j'avais envie de rester ici, je comprends même pas pourquoi l'autre pervers a pas été embarqué. Il lui manquait trop de dents pour pouvoir poser une déclaration ? » Bien sûr, tu parlais du petit gay, pas de son copain l'armoire à glace, un soupir t'échappe tandis que tu l'entends remplir une énième fois ton casier d'une jolie petite copie, citant tes informations civiles comme s'il récitait un poème, ouais, tu venais bien trop souvent. « J'ai pas VOULU casser du pd... C'est lui qui trouvait qu'il lui fallait un ravalement de façade ! Je sais pas ce qu'ils ont à penser qu'ils peuvent toucher tout le monde partout, c'est dégueulasse, p*tain. » Ta voix reflète une certaine frustration, après tout, qui était ce gars pour penser qu'il avait le droit de toucher à ses fesses ? Espérait-il avoir une chance ? Faire le poids ? Etre charmant ? Un frisson dégoûté hérisse ton dos et vient redresser les cheveux sur ta nuque alors que tu y repenses, et tu vois soudain le brun se pencher vers toi, et te taquiner, son ton narquois cinglant contre les parois de ton crâne, tu as envie de lui mettre un coup de tête, de faire disparaître ce sourire satisfait de son visage, de lui pourrir son nez si droit, mais tu sais que le moment où tu t'exécuterais, tu serais envoyé en cellule sans ménagement, alors tu serres les dents. « Ah ouais toi aussi t'es comme ça ? Décidément, c'est limite contagieux... » Très loin, à l'intérieur de ta poitrine, il y a une légère douleur, et tu l'ignores, tu refuses de l'entendre, de l'écouter, parce qu'elle serait sans doute de celles qui font le plus mal si seulement tu lui donnais l'importance. Tu profites qu'il s'éloigne pour te redresser. « T'es en train d'abuser grave de ton pouvoir, flic véreux. Il te faut combien pour que j'puisse rentrer chez moi ? Je crèche pas chez les tafioles ! » Une fois encore, ce pincement vient titiller ton égo, comme un léger rappel que quelques jours auparavant, tu ne tenais pas le même discours alors que tu ramenais ce gars chez toi, mais Haknyeon n'en savait rien, et tu n'allais pas jouer carte sur table et te mettre à déballer ton histoire comme si tu étais chez le psy, si tu n'en parlais à personne, ça n'était pas pour le faire face aux forces de l'ordre, et puis, quelque chose te disait que si l'officier apprenait la vérité, il ne te foutrait jamais la paix. Tes mains glissent dans la poche arrière de ton pantalon et tu jettes maladroitement ton portefeuille sur le bureau, celui-ci s'ouvrant sur une série de cartes, une photo de famille et une liasse de billets. « Prends ce qu'il faut, que j'me casse. » © LOYALS.
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Re: you again (enoch) | Dim 10 Juin 2018 - 21:02
✻✻✻ l’avantage d’être au poste, c’est que tu peux prendre la déposition de enoch. tu l’aimes pas vraiment, mais au moins il a le mérite de te faire quitter ta pile de documents inintéressants. c’est moins ennuyant de t’occuper de lui que de regarder des tonnes de feuilles et de devoir les classer. alors, tu t’amuses un peu de la situation, même si rien ne se voit sur ton visage. ça te fait rire de le voir dans cette position. « c’est dommage, ça met de l’animation quand tu es là enoch. et tu aggrave ton cas tu sais là. » parce qu’il admet lui avoir péter des dents et que t’es obligé de le mettre dans le rapport. tu commences donc à remplir la déposition, ne lui demandant même pas ses informations pour remplir l’état civil. tu connais tout par cœur, autant parce que t’es habitué à l’arrêter qu’à être devant l’ordi à tout écrire. tu l’écoutes répliquer et tu pousses un soupir. « les hommes font pareil avec les femmes. c’est pas un trait propre aux gays. » tu n’aimes pas trop la façon qu’il a de stigmatiser les homosexuels, juste parce qu’il est homophobe. certes, tu peux ne pas aimer une sexualité, mais ce n’est pas une raison pour les dénigrer ou même faire en store de les foutre tous dans une case et de les détester. tu finis donc, par lui faire une proposition en se foutant clairement de sa gueule. mais t’as envie de le voir sortir de ses gonds pour que tu puisses avoir une raison de le frapper pour ses paroles. mais dans un sens, ça n’est pas faux. ça te dirait bien de le soumettre parce que c’est ce que tu aimes toi. tu adores faire en sorte de faire plier ton partenaire autant mentalement que physiquement. alors, oui enoch n’est pas réellement ton type mais le simple fait de l’imaginer sous toi te suppliant de l’emporter au septième ciel finit de te donner envie de le briser. tu ne peux pas t’empêcher de rire à sa remarque. non mais il se fout de la gueule du monde. contagieux. il croit vraiment à toute la merde qui sort de sa bouche ? un nouveau soupir s’échappe de tes lèvres alors que tu t’éloignes et qu’il reprend la parole. flic véreux ? non pas vraiment. t’es pas du genre à écouter les ordres, mais de là à dire que tu était une crapule, il allait trop loin. pourtant, tu le laisses faire et l’observes sortir son portefeuille qu’il te lance. il s’ouvre sur une photo de famille et tu laisses un sourire narquois s’afficher sur tes lèvres alors que tu récupères la photo pour la faire tourner entre tes doigts agiles. tu te réinstalles plus confortablement dans ton siège, avant de planter son regard dans le sien. « pour ton information, je ne suis pas une tafiole comme tu dis. je prends juste ce qui vient qu’importe le sexe et le genre. » tu laisses une nouvelle fois un léger sourire moqueur et insolent s’installer sur tes lèvres avant de reprendre. « ce que j’aime moi, c’est dominer. avoir le dessus mentalement et physiquement sur mes partenaires. je t’avoue que t’es absolument pas mon genre, mais je banderai presque de te faire plier song. » tu continues de jouer avec la photographie avant de la tourner dans sa direction pour qu’il puisse voir le visage de sa famille. « elles le savent que tu te comportes comme ça avec les homosexuels ? elles aussi, elles te dégoûtent ? » parce que clairement c’est le sentiment que tu as quand il parle des gays. est-ce que c’est parce qu’il est gay refoulé ? ou tout simplement un abruti fini ? tu ne sais pas et t’as pas réellement envie de savoir. t’es pas psy et encore moins pour un mec comme lui.
you again
enoch & haknyeon
✻✻✻ l’avantage d’être au poste, c’est que tu peux prendre la déposition de enoch. tu l’aimes pas vraiment, mais au moins il a le mérite de te faire quitter ta pile de documents inintéressants. c’est moins ennuyant de t’occuper de lui que de regarder des tonnes de feuilles et de devoir les classer. alors, tu t’amuses un peu de la situation, même si rien ne se voit sur ton visage. ça te fait rire de le voir dans cette position. « c’est dommage, ça met de l’animation quand tu es là enoch. et tu aggrave ton cas tu sais là. » parce qu’il admet lui avoir péter des dents et que t’es obligé de le mettre dans le rapport. tu commences donc à remplir la déposition, ne lui demandant même pas ses informations pour remplir l’état civil. tu connais tout par cœur, autant parce que t’es habitué à l’arrêter qu’à être devant l’ordi à tout écrire. tu l’écoutes répliquer et tu pousses un soupir. « les hommes font pareil avec les femmes. c’est pas un trait propre aux gays. » tu n’aimes pas trop la façon qu’il a de stigmatiser les homosexuels, juste parce qu’il est homophobe. certes, tu peux ne pas aimer une sexualité, mais ce n’est pas une raison pour les dénigrer ou même faire en store de les foutre tous dans une case et de les détester. tu finis donc, par lui faire une proposition en se foutant clairement de sa gueule. mais t’as envie de le voir sortir de ses gonds pour que tu puisses avoir une raison de le frapper pour ses paroles. mais dans un sens, ça n’est pas faux. ça te dirait bien de le soumettre parce que c’est ce que tu aimes toi. tu adores faire en sorte de faire plier ton partenaire autant mentalement que physiquement. alors, oui enoch n’est pas réellement ton type mais le simple fait de l’imaginer sous toi te suppliant de l’emporter au septième ciel finit de te donner envie de le briser. tu ne peux pas t’empêcher de rire à sa remarque. non mais il se fout de la gueule du monde. contagieux. il croit vraiment à toute la merde qui sort de sa bouche ? un nouveau soupir s’échappe de tes lèvres alors que tu t’éloignes et qu’il reprend la parole. flic véreux ? non pas vraiment. t’es pas du genre à écouter les ordres, mais de là à dire que tu était une crapule, il allait trop loin. pourtant, tu le laisses faire et l’observes sortir son portefeuille qu’il te lance. il s’ouvre sur une photo de famille et tu laisses un sourire narquois s’afficher sur tes lèvres alors que tu récupères la photo pour la faire tourner entre tes doigts agiles. tu te réinstalles plus confortablement dans ton siège, avant de planter son regard dans le sien. « pour ton information, je ne suis pas une tafiole comme tu dis. je prends juste ce qui vient qu’importe le sexe et le genre. » tu laisses une nouvelle fois un léger sourire moqueur et insolent s’installer sur tes lèvres avant de reprendre. « ce que j’aime moi, c’est dominer. avoir le dessus mentalement et physiquement sur mes partenaires. je t’avoue que t’es absolument pas mon genre, mais je banderai presque de te faire plier song. » tu continues de jouer avec la photographie avant de la tourner dans sa direction pour qu’il puisse voir le visage de sa famille. « elles le savent que tu te comportes comme ça avec les homosexuels ? elles aussi, elles te dégoûtent ? » parce que clairement c’est le sentiment que tu as quand il parle des gays. est-ce que c’est parce qu’il est gay refoulé ? ou tout simplement un abruti fini ? tu ne sais pas et t’as pas réellement envie de savoir. t’es pas psy et encore moins pour un mec comme lui.© LOYALS.
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