Accueil
what's wrong ? (harin)
Invité
Invité
what's wrong ? (harin) | Jeu 24 Mai - 13:53
✻✻✻ pour une fois que tu viens en cours, il faudrait presque sortir le tapis rouge et les applaudissements ainsi que les photographes pour immortaliser ce moment. mais c’est pas ta faute si tu ça t’emmerdes de rester assis pendant des heures sur une chaise à écouter des trucs qui ne t’intéresses pas. quand tu es revenu en corée, tu as demandé à entrer à la yonsei simplement pour avoir un truc pour t’occuper, mais en vrai, t’en as rien à faire de tout ça. tu ne sais même pas ce que tu veux faire de ta vie plus tard. t’as quand même presque vingt-cinq ans et tu n’as aucun projet d’avenir. tu n’en avais même pas quand tu as causé l’accident il y a presque quatre ans. tu voulais juste profiter de ta vie avant qu’elle ne devienne monotone parce que tu te serais marié et aurais fait des gosses. enfin, les enfants tu t’en moques un peu. t’en veux pas. ça pue, ça gueule et ça sert à rien à part pomper le fric de leurs parents. tu en es la preuve vivante. heureusement, tes parents ne t’ont pas encore coupé les vivres. ils devraient le faire pour te mettre du plomb dans la tête, mais même comme ça, t’es pas certain que ça change quelque chose. c’est peut-être pour éviter que tu n’aies à savoir ce qui se passerait si ça arrivait, que tu te trouves dans le bâtiment des sciences de la yonsei pour aller à ton cours. tu pousses un soupir alors que tu parcoures les couloirs à la recherche de ta classe. tu sais même pas où tu es ni même où tu dois aller. pourtant l’année scolaire a commencé depuis deux mois maintenant mais tu ne sais réellement pas où il faut que tu te diriges. tu vois alors quelques élèves sortir d’une classe et tu arrives à arrêter la dernière qui sort de la pièce. « tu peux me dire où se trouve cette salle ? » tu ne la salues même pas, ne la regardes pas plus ou ne t’excuses de la déranger, parce que tu n’en as rien à foutre, tu veux juste connaitre le chemin. tu lui fous même ton emploi du temps sous le nez pour qu’elle t’aide. tu finis cependant par lever le regard vers elle et tu restes choqué quelques secondes avant de secouer la tête et de prendre la parole. « oh putain harin. ça fait un bail ! » sûrement par ta faute du coup. tu n’as contacté aucun de tes anciens amis quand tu es parti en thaïlande après l’accident. « comment tu vas depuis le temps ? » tu ne te doutes pas un seul instant qu’elle va t’envoyer chier. toi ça te fait plaisir de la revoir.
what's wrong ?
harin & sihyun
✻✻✻ pour une fois que tu viens en cours, il faudrait presque sortir le tapis rouge et les applaudissements ainsi que les photographes pour immortaliser ce moment. mais c’est pas ta faute si tu ça t’emmerdes de rester assis pendant des heures sur une chaise à écouter des trucs qui ne t’intéresses pas. quand tu es revenu en corée, tu as demandé à entrer à la yonsei simplement pour avoir un truc pour t’occuper, mais en vrai, t’en as rien à faire de tout ça. tu ne sais même pas ce que tu veux faire de ta vie plus tard. t’as quand même presque vingt-cinq ans et tu n’as aucun projet d’avenir. tu n’en avais même pas quand tu as causé l’accident il y a presque quatre ans. tu voulais juste profiter de ta vie avant qu’elle ne devienne monotone parce que tu te serais marié et aurais fait des gosses. enfin, les enfants tu t’en moques un peu. t’en veux pas. ça pue, ça gueule et ça sert à rien à part pomper le fric de leurs parents. tu en es la preuve vivante. heureusement, tes parents ne t’ont pas encore coupé les vivres. ils devraient le faire pour te mettre du plomb dans la tête, mais même comme ça, t’es pas certain que ça change quelque chose. c’est peut-être pour éviter que tu n’aies à savoir ce qui se passerait si ça arrivait, que tu te trouves dans le bâtiment des sciences de la yonsei pour aller à ton cours. tu pousses un soupir alors que tu parcoures les couloirs à la recherche de ta classe. tu sais même pas où tu es ni même où tu dois aller. pourtant l’année scolaire a commencé depuis deux mois maintenant mais tu ne sais réellement pas où il faut que tu te diriges. tu vois alors quelques élèves sortir d’une classe et tu arrives à arrêter la dernière qui sort de la pièce. « tu peux me dire où se trouve cette salle ? » tu ne la salues même pas, ne la regardes pas plus ou ne t’excuses de la déranger, parce que tu n’en as rien à foutre, tu veux juste connaitre le chemin. tu lui fous même ton emploi du temps sous le nez pour qu’elle t’aide. tu finis cependant par lever le regard vers elle et tu restes choqué quelques secondes avant de secouer la tête et de prendre la parole. « oh putain harin. ça fait un bail ! » sûrement par ta faute du coup. tu n’as contacté aucun de tes anciens amis quand tu es parti en thaïlande après l’accident. « comment tu vas depuis le temps ? » tu ne te doutes pas un seul instant qu’elle va t’envoyer chier. toi ça te fait plaisir de la revoir.© LOYALS.
Invité
Invité
Re: what's wrong ? (harin) | Sam 26 Mai - 11:45
✻✻✻ Je m'ennuyais. Il fallait le dire, je ne savais pas ce que je faisais en cours. Je préférerais largement sécher et faire des choses qui m'intéressaient plus que d'écouter un prof raconter n'importe quoi. Je voulais bouger et faire du sport moi, pas écouter un cours ennuyant ! Ça m'énervait de rester assise sur une chaise à rien faire, et pas qu'un peu. Mon impatience de quitter le cours se traduisait par ma jambe qui ne cessait de bouger et par mes yeux rivés sur l'horloge au-dessus du tableau rempli d'écritures que je n'avais même pas pris la peine de lire ou de noter. Honnêtement, je ne savais moi-même pas ce que je voulais faire de ma vie plus tard, alors être en cours n'avait aucun sens pour moi. Il fallait étudier pour préparer son avenir, mais quel avenir ? Quand on n'avait aucune idée dans la tête alors qu'on avait déjà vingt-deux ans, ça craignait un peu. Il me restait trois ans dans cette université avant que je ne me barre, j'avais donc le temps pour réfléchir à ce que je voulais faire. Sachant que j'étais en STAPS, je devrais me spécialiser dans le sport, ça, c'était certain. Mais faire quoi ? J'allais pas devenir pro non plus, j'étais pas si douée que ça en sport et j'en avais clairement pas l'envie. Je voulais pas être pro, ce serait juste perdre ma liberté de faire ce que je voulais à n'importe quelle heure. Et perdre ma liberté, ce serait le pire scénario. Je n'étais donc pas sûre de ce que j'allais devenir plus tard, mais à vrai dire, ce n'était pas ce qui me tracassait le plus. Je vivais au moment présent, l'avenir, je lui faisais un doigt et on n'en parlait plus. Tout ce qui comptait, c'était moi, la moi actuelle, et rien d'autre. La sonnerie retentit enfin et je sautai presque de ma chaise pour partir de cette foutue salle de classe. Il me restait encore des cours dans la journée, j'avais vraiment envie de les sécher. Mais il fallait que je sois là, sinon j'allais me faire virer de l'établissement. Bon, ça me dérangerait pas trop non plus, cependant comme je n'aurais pas de boulot en sortant de l'université comme ça, je restais ici. Pas envie de bosser comme caissière non plus. « Seo Harin. » Le professeur m'arrêta, et je sus que ça ne sentait pas bon pour moi. Alors que les autres élèves partaient, il me passa un foutu sermon parce qu'il avait bien vu que je n'écoutais pas. Je lui aurais bien répliqué d'aller se faire foutre mais ça ne ferait que m'attirer des problèmes, et j'étais pas bête. Je fis donc semblant de l'écouter et ça passa plus rapidement que prévu. Il me lâcha quand presque tous les autres étaient partis, et je dus donc sortir la dernière. J'avais perdu du temps de liberté, super. Et puis, alors que j'étais déjà de pas très bonne humeur, on m'aborda sans même me dire bonjour pour savoir où se trouvait une pièce. Mais qu'est-ce que j'en savais de ta putain de pièce t'as qu'à la trouver toi-même- oh. Je reconnus le visage qui se présentait à moi. Sihyun. Je ne pensais jamais le revoir. On était bien potes quand on était plus jeunes, avec nos caractères explosifs on se chamaillait souvent mais on était toujours ensemble parce qu'on se comprenait mutuellement avec nos caractères, justement. Mais du jour au lendemain, il était parti. Comme ça. Sans jamais me donner de nouvelles. Vu son expression, il venait de me reconnaître aussi. Ma colère s'amplifia en le voyant me parler comme s'il n'avait jamais disparu sans prévenir. Il me prenait pour quoi ? « Oh, je suis si contente de te revoir Sihyun, je n'ai rien à te dire sur ton comportement, redevenons les bons amis qu'on était autrefois parce que je ne t'en veux absolument pas et que tu n'as rien à te reprocher ! », il avait cru que j'allais l'accueillir aussi gentiment ou quoi ? « Attends, « ça fait un bail » ? Tu te fous de la gueule du monde ou quoi ? » Je laissai échapper un rire cynique. « Tu reviens comme une fleur, comme ça, tu me donnes aucune nouvelle, tu t'excuses même pas, tout ce que tu me demandes c'est comment ça va depuis ? Ben je vais te répondre moi, ça va très bien, ça allait très bien sans toi, sac à merde. T'as une bonne raison pour ton absence et ton retour soudain j'espère ? » Ouais, j'y allais fort, mais le tact, je ne connaissais pas. Et lui non plus, alors je savais bien que ça allait chauffer. Mais osef, j'avais tout le temps devant moi. Sécher me dérangeait pas.
what's wrong ?
harin & sihyun
✻✻✻ Je m'ennuyais. Il fallait le dire, je ne savais pas ce que je faisais en cours. Je préférerais largement sécher et faire des choses qui m'intéressaient plus que d'écouter un prof raconter n'importe quoi. Je voulais bouger et faire du sport moi, pas écouter un cours ennuyant ! Ça m'énervait de rester assise sur une chaise à rien faire, et pas qu'un peu. Mon impatience de quitter le cours se traduisait par ma jambe qui ne cessait de bouger et par mes yeux rivés sur l'horloge au-dessus du tableau rempli d'écritures que je n'avais même pas pris la peine de lire ou de noter. Honnêtement, je ne savais moi-même pas ce que je voulais faire de ma vie plus tard, alors être en cours n'avait aucun sens pour moi. Il fallait étudier pour préparer son avenir, mais quel avenir ? Quand on n'avait aucune idée dans la tête alors qu'on avait déjà vingt-deux ans, ça craignait un peu. Il me restait trois ans dans cette université avant que je ne me barre, j'avais donc le temps pour réfléchir à ce que je voulais faire. Sachant que j'étais en STAPS, je devrais me spécialiser dans le sport, ça, c'était certain. Mais faire quoi ? J'allais pas devenir pro non plus, j'étais pas si douée que ça en sport et j'en avais clairement pas l'envie. Je voulais pas être pro, ce serait juste perdre ma liberté de faire ce que je voulais à n'importe quelle heure. Et perdre ma liberté, ce serait le pire scénario. Je n'étais donc pas sûre de ce que j'allais devenir plus tard, mais à vrai dire, ce n'était pas ce qui me tracassait le plus. Je vivais au moment présent, l'avenir, je lui faisais un doigt et on n'en parlait plus. Tout ce qui comptait, c'était moi, la moi actuelle, et rien d'autre. La sonnerie retentit enfin et je sautai presque de ma chaise pour partir de cette foutue salle de classe. Il me restait encore des cours dans la journée, j'avais vraiment envie de les sécher. Mais il fallait que je sois là, sinon j'allais me faire virer de l'établissement. Bon, ça me dérangerait pas trop non plus, cependant comme je n'aurais pas de boulot en sortant de l'université comme ça, je restais ici. Pas envie de bosser comme caissière non plus. « Seo Harin. » Le professeur m'arrêta, et je sus que ça ne sentait pas bon pour moi. Alors que les autres élèves partaient, il me passa un foutu sermon parce qu'il avait bien vu que je n'écoutais pas. Je lui aurais bien répliqué d'aller se faire foutre mais ça ne ferait que m'attirer des problèmes, et j'étais pas bête. Je fis donc semblant de l'écouter et ça passa plus rapidement que prévu. Il me lâcha quand presque tous les autres étaient partis, et je dus donc sortir la dernière. J'avais perdu du temps de liberté, super. Et puis, alors que j'étais déjà de pas très bonne humeur, on m'aborda sans même me dire bonjour pour savoir où se trouvait une pièce. Mais qu'est-ce que j'en savais de ta putain de pièce t'as qu'à la trouver toi-même- oh. Je reconnus le visage qui se présentait à moi. Sihyun. Je ne pensais jamais le revoir. On était bien potes quand on était plus jeunes, avec nos caractères explosifs on se chamaillait souvent mais on était toujours ensemble parce qu'on se comprenait mutuellement avec nos caractères, justement. Mais du jour au lendemain, il était parti. Comme ça. Sans jamais me donner de nouvelles. Vu son expression, il venait de me reconnaître aussi. Ma colère s'amplifia en le voyant me parler comme s'il n'avait jamais disparu sans prévenir. Il me prenait pour quoi ? « Oh, je suis si contente de te revoir Sihyun, je n'ai rien à te dire sur ton comportement, redevenons les bons amis qu'on était autrefois parce que je ne t'en veux absolument pas et que tu n'as rien à te reprocher ! », il avait cru que j'allais l'accueillir aussi gentiment ou quoi ? « Attends, « ça fait un bail » ? Tu te fous de la gueule du monde ou quoi ? » Je laissai échapper un rire cynique. « Tu reviens comme une fleur, comme ça, tu me donnes aucune nouvelle, tu t'excuses même pas, tout ce que tu me demandes c'est comment ça va depuis ? Ben je vais te répondre moi, ça va très bien, ça allait très bien sans toi, sac à merde. T'as une bonne raison pour ton absence et ton retour soudain j'espère ? » Ouais, j'y allais fort, mais le tact, je ne connaissais pas. Et lui non plus, alors je savais bien que ça allait chauffer. Mais osef, j'avais tout le temps devant moi. Sécher me dérangeait pas.© LOYALS.
Invité
Invité
Re: what's wrong ? (harin) | Mar 12 Juin - 22:31
✻✻✻ pour une fois que tu viens en cours, tu ne sais pas où aller. tu le saurais si tu allais plus souvent à la fac. parfois, tu te demandes pourquoi tu t’es inscrit à la yonsei à part pour retrouver ta grande sœur ? les études ne sont clairement pas faites pour toi et tu ne sais rien faire de tes dix doigts. t’es le genre de mec à juste être bon à faire des soirées mondaines ou cramer tout ton fric en soirée hors de prix. mais t’as quand même voulu essayer. pourquoi ? tu sais pas vraiment. peut-être pour te prouver que tu pouvais faire quelque chose de ta vie. enfin, c’est plutôt raté puisque depuis la rentrée tu as pas réellement mis les pieds ici. c’est pour cette raison que tu te perds dans le dédale des couloirs. t’as l’impression d’être dans un labyrinthe alors que c’est plutôt facile de se repérer. cependant, t’as beau chercher, tu ne trouves pas la salle dont tu as besoin. tu tournes en rond depuis quelques minutes jusqu’à trouver quelqu’un qui pourrait t’aider. tu t’approches de cette fille et sans même t’excuser de la déranger ou la saluer, tu lui demandes où est la classe que tu cherches. tu pensais qu’elle allait te le dire et que tu pourrais partir comme ça sans demander ton reste. mais non, il faut que tu tombes sur une vieille connaissance. enfin connaissance, harin est plus qu’une simple connaissance. c’est une amie d’enfance avec qui tu t’entendais bien malgré vos caractères explosifs. il y a de nombreuses fois où vous vous étiez disputés et ça avait toujours fini mal. tu ne pensais pas la trouver ici et en même temps c’était logique. elle aussi, elle faisait des études, du coup, même si ce n’était pas la seule fac de séoul, c’était presque certain de la trouver là. tu lui parles alors comme si tu n’avais pas fui comme un lâche la corée il y a de cela quatre ans sans donner de nouvelles à quiconque sauf quelques personnes triées sur le volet. pourquoi tu n’en avais pas donné à harin ? hmm, tu ne saurais pas vraiment dire pourquoi. ça s’était fait comme ça sans que tu n’y penses. elle avait été une très bonne amie pendant des années, mais sûrement pas assez à tes yeux pour que tu ne lui envoies un message de temps en temps pour lui dire que tu n’étais pas mort. tu vois l’expression de son visage changé et tu comprends qu’elle es en colère. tu l’as souvent vu en colère harin et très souvent contre toi. tu t’attends donc à ce qu’elle te frappe peut-être. mais non, le coup ne part pas. à la place ce sont ses mots aussi aiguisé qu’une lame qui franchissent ses lèvres. tu grimaces légèrement à ses paroles mais plus parce que t’avais oublié à quel point elle pouvait se montrer très agressive. tu pousses un soupir quand elle finit, te demandant des explications après t’avoir traité comme de la merde. parce que pour le coup t’es pas très fan du sac à merde. tu serres cependant les dents parce que tu n’as pas envie d’être méchant avec elle. même si clairement elle le mériterait. « parce que maintenant j’ai des comptes à te rendre de ce que je fais de ma vie harin ? » ta voix est cependant sifflante, signe qu’elle t’a agacé avec son comportement. « je me rappelle pas devoir te faire un compte rendu détaillé de tout ce qui se passe dans ma vie. t’es ni ma petite amie, ni un membre de ma famille. alors tu vas redescendre d’un étage de suite. » t’aimes pas trop qu’on te parle comme ça et encore moins en te donnant des ordres ou te demandant des explications. t’as de compte à rendre à personne, sauf toi. alors si elle est pas contente c’est la même chose. « maintenant, pour te répondre, je suis parti en thaïlande pendant trois ans. tu veux aussi savoir combien de fois j’ai chié par jour là-bas ? non parce que je peux compter si tu veux. » bon tu le feras pas parce que tu te souviens pas, mais c’est pour le principe. ça te fait clairement chier qu’elle pense avoir le droit de te parler comme ça et que tu lui répondes poliment. c’est bon, c’était une pote pas non plus le président de la république.
what's wrong ?
harin & sihyun
✻✻✻ pour une fois que tu viens en cours, tu ne sais pas où aller. tu le saurais si tu allais plus souvent à la fac. parfois, tu te demandes pourquoi tu t’es inscrit à la yonsei à part pour retrouver ta grande sœur ? les études ne sont clairement pas faites pour toi et tu ne sais rien faire de tes dix doigts. t’es le genre de mec à juste être bon à faire des soirées mondaines ou cramer tout ton fric en soirée hors de prix. mais t’as quand même voulu essayer. pourquoi ? tu sais pas vraiment. peut-être pour te prouver que tu pouvais faire quelque chose de ta vie. enfin, c’est plutôt raté puisque depuis la rentrée tu as pas réellement mis les pieds ici. c’est pour cette raison que tu te perds dans le dédale des couloirs. t’as l’impression d’être dans un labyrinthe alors que c’est plutôt facile de se repérer. cependant, t’as beau chercher, tu ne trouves pas la salle dont tu as besoin. tu tournes en rond depuis quelques minutes jusqu’à trouver quelqu’un qui pourrait t’aider. tu t’approches de cette fille et sans même t’excuser de la déranger ou la saluer, tu lui demandes où est la classe que tu cherches. tu pensais qu’elle allait te le dire et que tu pourrais partir comme ça sans demander ton reste. mais non, il faut que tu tombes sur une vieille connaissance. enfin connaissance, harin est plus qu’une simple connaissance. c’est une amie d’enfance avec qui tu t’entendais bien malgré vos caractères explosifs. il y a de nombreuses fois où vous vous étiez disputés et ça avait toujours fini mal. tu ne pensais pas la trouver ici et en même temps c’était logique. elle aussi, elle faisait des études, du coup, même si ce n’était pas la seule fac de séoul, c’était presque certain de la trouver là. tu lui parles alors comme si tu n’avais pas fui comme un lâche la corée il y a de cela quatre ans sans donner de nouvelles à quiconque sauf quelques personnes triées sur le volet. pourquoi tu n’en avais pas donné à harin ? hmm, tu ne saurais pas vraiment dire pourquoi. ça s’était fait comme ça sans que tu n’y penses. elle avait été une très bonne amie pendant des années, mais sûrement pas assez à tes yeux pour que tu ne lui envoies un message de temps en temps pour lui dire que tu n’étais pas mort. tu vois l’expression de son visage changé et tu comprends qu’elle es en colère. tu l’as souvent vu en colère harin et très souvent contre toi. tu t’attends donc à ce qu’elle te frappe peut-être. mais non, le coup ne part pas. à la place ce sont ses mots aussi aiguisé qu’une lame qui franchissent ses lèvres. tu grimaces légèrement à ses paroles mais plus parce que t’avais oublié à quel point elle pouvait se montrer très agressive. tu pousses un soupir quand elle finit, te demandant des explications après t’avoir traité comme de la merde. parce que pour le coup t’es pas très fan du sac à merde. tu serres cependant les dents parce que tu n’as pas envie d’être méchant avec elle. même si clairement elle le mériterait. « parce que maintenant j’ai des comptes à te rendre de ce que je fais de ma vie harin ? » ta voix est cependant sifflante, signe qu’elle t’a agacé avec son comportement. « je me rappelle pas devoir te faire un compte rendu détaillé de tout ce qui se passe dans ma vie. t’es ni ma petite amie, ni un membre de ma famille. alors tu vas redescendre d’un étage de suite. » t’aimes pas trop qu’on te parle comme ça et encore moins en te donnant des ordres ou te demandant des explications. t’as de compte à rendre à personne, sauf toi. alors si elle est pas contente c’est la même chose. « maintenant, pour te répondre, je suis parti en thaïlande pendant trois ans. tu veux aussi savoir combien de fois j’ai chié par jour là-bas ? non parce que je peux compter si tu veux. » bon tu le feras pas parce que tu te souviens pas, mais c’est pour le principe. ça te fait clairement chier qu’elle pense avoir le droit de te parler comme ça et que tu lui répondes poliment. c’est bon, c’était une pote pas non plus le président de la république.© LOYALS.
Invité
Invité
Re: what's wrong ? (harin) | Jeu 14 Juin - 14:26
✻✻✻ Déjà que je n'étais pas de très bonne humeur parce que le prof avait pensé bon de me passer un sermon alors que je pouvais enfin être libre du cours, il fallait que quelqu'un vienne me faire chier en me demandant où était une salle. C'était bon, on était fin mai, ça faisait deux mois que les cours avaient commencé, il pouvait pas utiliser son cerveau et enregistrer où était chaque salle ? En deux mois plus personne ne se perdait dans les salles, alors soit il était sacrément con soit c'était quelqu'un qui séchait les cours. Mais je n'eus pas le temps de lui répliquer d'aller se faire foutre puisque je reconnus le visage qui s'offrait à moi comme une fleur : Joo Sihyun. Le visage que je ne voulais pas voir, surtout pas dans cette situation et sans la trace d'un seul regret. Il semblait même content de me revoir, comme si c'était pas de sa faute que ça faisait un bail qu'on ne s'était pas vus. Ouais, il y avait quelques années c'était un bon pote, jusqu'à ce qu'il décide de tout foutre en l'air en se barrant je-ne-sais-où du jour au lendemain sans me donner aucune nouvelle. Là, on se sentait aimé, c'était sûr, on sentait bien qu'on était une bonne amie pour lui. Non, pour lui, je devais sûrement être n'importe qui, quelqu'un qui ne méritait même pas de savoir où il était parti, qu'est-ce qu'il advenait de lui et qu'est-ce qu'il faisait. Non, rien, pas un seul message durant toutes ces années, rien du tout. Et là, il revenait en mode « coucou ça fait longtemps soyons à nouveau de bons amis » il pouvait bien se la mettre là où je le pensais. En colère, je répliquai sans peser le poids de mes mots comme j'avais bien l'habitude de le faire. Il ne méritait clairement pas que je sois douce avec lui et que je l'accueille à bras ouverts, comme si ce qu'il avait fait n'était rien du tout. Évidemment, il allait pas changer du jour au lendemain même si ça faisait quelques années, il gardait ce même caractère explosif qui avait fait nos nombreuses disputes. On était potes, mais on avait régulièrement l'habitude de se disputer parce que deux caractères avec un aussi fort tempérament que les nôtres, ça faisait pas bonne affaire. Allez savoir comment est-ce qu'on avait quand même réussi à devenir amis, de toute façon maintenant c'était foutu je voulais plus être son « amie ». Est-ce que je l'avais vraiment été pour lui même, vu la façon dont il m'avait traitée ? Je ne pensais pas. Alors moi non plus, je ne m'étais pas attendu à ce qu'il réponde gentiment à mes propos. Et moi non plus, je n'avais pas perdu mon caractère. « Je suis pas ta petite-amie ni un membre de ta famille, mais je pensais qu'on était potes. Toi, quand tu pars quelque part, tu préviens que ta petite-amie et ta famille ? Et tes potes, tu les fous où ? Ils sont rien du tout pour toi en fait, les potes c'est juste des gens lambda avec qui tu passes des bons moments et basta c'est ça ? » Oui j'étais vraiment en colère mais en même temps y'avait de quoi. Ses potes il en avait rien à battre et c'était bien ça qui faisait que je ne voulais plus voir sa gueule. « Ouais je veux bien, parce que tu te rendras compte que le nombre de fois où t'as chié c'est à quel point t'es à chier. » J'avais vraiment envie de le frapper mais comme on était à l'université, j'allais éviter. J'avais pas envie de me prendre des punitions ou quoi, avec la nouvelle doyenne en plus c'était pire.
what's wrong ?
harin & sihyun
✻✻✻ Déjà que je n'étais pas de très bonne humeur parce que le prof avait pensé bon de me passer un sermon alors que je pouvais enfin être libre du cours, il fallait que quelqu'un vienne me faire chier en me demandant où était une salle. C'était bon, on était fin mai, ça faisait deux mois que les cours avaient commencé, il pouvait pas utiliser son cerveau et enregistrer où était chaque salle ? En deux mois plus personne ne se perdait dans les salles, alors soit il était sacrément con soit c'était quelqu'un qui séchait les cours. Mais je n'eus pas le temps de lui répliquer d'aller se faire foutre puisque je reconnus le visage qui s'offrait à moi comme une fleur : Joo Sihyun. Le visage que je ne voulais pas voir, surtout pas dans cette situation et sans la trace d'un seul regret. Il semblait même content de me revoir, comme si c'était pas de sa faute que ça faisait un bail qu'on ne s'était pas vus. Ouais, il y avait quelques années c'était un bon pote, jusqu'à ce qu'il décide de tout foutre en l'air en se barrant je-ne-sais-où du jour au lendemain sans me donner aucune nouvelle. Là, on se sentait aimé, c'était sûr, on sentait bien qu'on était une bonne amie pour lui. Non, pour lui, je devais sûrement être n'importe qui, quelqu'un qui ne méritait même pas de savoir où il était parti, qu'est-ce qu'il advenait de lui et qu'est-ce qu'il faisait. Non, rien, pas un seul message durant toutes ces années, rien du tout. Et là, il revenait en mode « coucou ça fait longtemps soyons à nouveau de bons amis » il pouvait bien se la mettre là où je le pensais. En colère, je répliquai sans peser le poids de mes mots comme j'avais bien l'habitude de le faire. Il ne méritait clairement pas que je sois douce avec lui et que je l'accueille à bras ouverts, comme si ce qu'il avait fait n'était rien du tout. Évidemment, il allait pas changer du jour au lendemain même si ça faisait quelques années, il gardait ce même caractère explosif qui avait fait nos nombreuses disputes. On était potes, mais on avait régulièrement l'habitude de se disputer parce que deux caractères avec un aussi fort tempérament que les nôtres, ça faisait pas bonne affaire. Allez savoir comment est-ce qu'on avait quand même réussi à devenir amis, de toute façon maintenant c'était foutu je voulais plus être son « amie ». Est-ce que je l'avais vraiment été pour lui même, vu la façon dont il m'avait traitée ? Je ne pensais pas. Alors moi non plus, je ne m'étais pas attendu à ce qu'il réponde gentiment à mes propos. Et moi non plus, je n'avais pas perdu mon caractère. « Je suis pas ta petite-amie ni un membre de ta famille, mais je pensais qu'on était potes. Toi, quand tu pars quelque part, tu préviens que ta petite-amie et ta famille ? Et tes potes, tu les fous où ? Ils sont rien du tout pour toi en fait, les potes c'est juste des gens lambda avec qui tu passes des bons moments et basta c'est ça ? » Oui j'étais vraiment en colère mais en même temps y'avait de quoi. Ses potes il en avait rien à battre et c'était bien ça qui faisait que je ne voulais plus voir sa gueule. « Ouais je veux bien, parce que tu te rendras compte que le nombre de fois où t'as chié c'est à quel point t'es à chier. » J'avais vraiment envie de le frapper mais comme on était à l'université, j'allais éviter. J'avais pas envie de me prendre des punitions ou quoi, avec la nouvelle doyenne en plus c'était pire. © LOYALS.
Invité
Invité
Re: what's wrong ? (harin) | Jeu 21 Juin - 14:54
✻✻✻ tu n’aurais jamais pensé que la fille que tu as arrêté dans les couloirs de la fac soit harin. pour une des premières fois que tu viens en cours, tu te retrouves devant une de tes anciennes amies et tu n’apprécies clairement pas le ton qu’elle emploie avec toi. certes, tu étais parti comme un voleur, faisant le tri dans les personnes avec qui tu avais gardé contact, mais était-ce une raison pour que tu en prennes plein la gueule comme ça pour pas un rond. la jeune femme savait comment tu étais. ce n’était une surprise pour personne que tu étais un gros con qui ne pensait qu’à lui-même. alors, pourquoi elle venait te faire chier avec des reproches qu’elle n’était pas en droit de te faire parce qu’elle n’était que ton amie de base. quoique même si elle avait été de ta famille ou ta petite amie, tu aurais eu le même discours. tu n’avais de compte à rendre à personne sauf toi-même. tu avais une bonne raison pour être parti de corée de cette façon sans prévenir personne sauf quelques personnes triées sur le volet. tu ne pouvais pas rester dans ton pays natal. tu n’avais pas envie d’aller en prison et de briser ta jeunesse pour une connerie dont tu n’étais que partiellement responsable. parce que oui, tu n’admettras jamais que toute la faute t’incombe. c’est ta faute si tu as conduit, bourré, c’est de ta faute si soonyoung n’avait pas sa ceinture, c’est de ta faute si tu es sorti de la route et ait provoqué un accident. et pire, encore, c’est de ta faute si tu as laissé sur le bord de la route, le corps du jeune homme sans savoir s’il était vivant ou non. t’aurais du rester et vérifier qu’il n’était pas mort. c’est ce que toute personne normalement constituée aurait fait. mais non toi tu t’étais enfui comme lâche parce que tu avais eu peur et tu avais laissé ton père se charger de tout. heureusement, ce n’était pas ta voiture que tu conduisais, ce qui avait permis de cacher les preuves de ta présence sur les lieux. tu étais resté pendant quatre ans caché en thaïlande et maintenant tu revenais et tu te prenais des réflexions. tu n’étais pas sûr d’apprécier, pas du tout même. alors, tu réponds à la jeune femme sur le même ton, utilisant sarcasme et ironie pour être à son niveau. et tu sais qu’elle ne restera pas sans rien dire. tu la connais harin, tu sais comment elle est. vous vous ressemblez beaucoup dans certains aspects de votre caractère. du coup, un sourire encore plus insolent s’affiche sur tes lèvres alors qu’elle renchérit sur ce que tu lui as dit. tu ricanes même un peu. ouais tes potes c’est un peu comme ça que tu les vois. t’as même pas prévenu ceux que tu t’es fait en thaïlande que tu repartais chez toi. t’as laissé ton numéro thaïlandais là-bas et tu ne comptes pas reprendre contact avec eux. encore une fois, tu ne peux pas t’empêcher de rire à la réflexion de la jeune femme. « me dis pas que je t’ai vexé à pas t’appeler pour te dire où j’étais ? oh mais c’est tellement cute. » clairement, tu te fous de sa gueule parce que toi ça ne t’a rien fait de ne pas avoir de nouvelles d’elle. « tu te serais presque améliorée dans les insultes harin. je suis fier de toi. » encore une moquerie tandis que ton sourire s’agrandit un peu plus sur tes lèvres. « j’ai même pas prévenu hyejin que je partais. je l’ai appelé sur le tarmac quand j’ai quitté l’avion pour entrer sur le sol thaïlandais. rassurée de savoir que j’ai presque traité ma petite sœur comme toi ? » tu es détestable et infect, mais tu aimes ça. « tu aurais voulu que je t’écrive c’est ça, parce que je te manquais ? » et tu viens attraper sa joue entre tes doigts pour la pincer comme les vieux le font souvent avec les générations plus jeunes. « t’es tellement cute. » sarcasme quand tu nous tiens.
what's wrong ?
harin & sihyun
✻✻✻ tu n’aurais jamais pensé que la fille que tu as arrêté dans les couloirs de la fac soit harin. pour une des premières fois que tu viens en cours, tu te retrouves devant une de tes anciennes amies et tu n’apprécies clairement pas le ton qu’elle emploie avec toi. certes, tu étais parti comme un voleur, faisant le tri dans les personnes avec qui tu avais gardé contact, mais était-ce une raison pour que tu en prennes plein la gueule comme ça pour pas un rond. la jeune femme savait comment tu étais. ce n’était une surprise pour personne que tu étais un gros con qui ne pensait qu’à lui-même. alors, pourquoi elle venait te faire chier avec des reproches qu’elle n’était pas en droit de te faire parce qu’elle n’était que ton amie de base. quoique même si elle avait été de ta famille ou ta petite amie, tu aurais eu le même discours. tu n’avais de compte à rendre à personne sauf toi-même. tu avais une bonne raison pour être parti de corée de cette façon sans prévenir personne sauf quelques personnes triées sur le volet. tu ne pouvais pas rester dans ton pays natal. tu n’avais pas envie d’aller en prison et de briser ta jeunesse pour une connerie dont tu n’étais que partiellement responsable. parce que oui, tu n’admettras jamais que toute la faute t’incombe. c’est ta faute si tu as conduit, bourré, c’est de ta faute si soonyoung n’avait pas sa ceinture, c’est de ta faute si tu es sorti de la route et ait provoqué un accident. et pire, encore, c’est de ta faute si tu as laissé sur le bord de la route, le corps du jeune homme sans savoir s’il était vivant ou non. t’aurais du rester et vérifier qu’il n’était pas mort. c’est ce que toute personne normalement constituée aurait fait. mais non toi tu t’étais enfui comme lâche parce que tu avais eu peur et tu avais laissé ton père se charger de tout. heureusement, ce n’était pas ta voiture que tu conduisais, ce qui avait permis de cacher les preuves de ta présence sur les lieux. tu étais resté pendant quatre ans caché en thaïlande et maintenant tu revenais et tu te prenais des réflexions. tu n’étais pas sûr d’apprécier, pas du tout même. alors, tu réponds à la jeune femme sur le même ton, utilisant sarcasme et ironie pour être à son niveau. et tu sais qu’elle ne restera pas sans rien dire. tu la connais harin, tu sais comment elle est. vous vous ressemblez beaucoup dans certains aspects de votre caractère. du coup, un sourire encore plus insolent s’affiche sur tes lèvres alors qu’elle renchérit sur ce que tu lui as dit. tu ricanes même un peu. ouais tes potes c’est un peu comme ça que tu les vois. t’as même pas prévenu ceux que tu t’es fait en thaïlande que tu repartais chez toi. t’as laissé ton numéro thaïlandais là-bas et tu ne comptes pas reprendre contact avec eux. encore une fois, tu ne peux pas t’empêcher de rire à la réflexion de la jeune femme. « me dis pas que je t’ai vexé à pas t’appeler pour te dire où j’étais ? oh mais c’est tellement cute. » clairement, tu te fous de sa gueule parce que toi ça ne t’a rien fait de ne pas avoir de nouvelles d’elle. « tu te serais presque améliorée dans les insultes harin. je suis fier de toi. » encore une moquerie tandis que ton sourire s’agrandit un peu plus sur tes lèvres. « j’ai même pas prévenu hyejin que je partais. je l’ai appelé sur le tarmac quand j’ai quitté l’avion pour entrer sur le sol thaïlandais. rassurée de savoir que j’ai presque traité ma petite sœur comme toi ? » tu es détestable et infect, mais tu aimes ça. « tu aurais voulu que je t’écrive c’est ça, parce que je te manquais ? » et tu viens attraper sa joue entre tes doigts pour la pincer comme les vieux le font souvent avec les générations plus jeunes. « t’es tellement cute. » sarcasme quand tu nous tiens.© LOYALS.
Invité
Invité
Re: what's wrong ? (harin) | Lun 25 Juin - 16:18
✻✻✻ J'avais envie de l'insulter de tous les noms. Le politiquement correct je m'en balançais, j'avais envie de le torturer, de le jeter par la fenêtre du cinquième étage pour que lorsqu'il soit écrasé au sol il soit encore en vie, de lui arracher un par un ses cheveux et les poils de son corps, de lui défoncer ses dents et ses mains, bref, on allait s'arrêter là parce que ma colère allait augmenter sinon, puisque je savais que je n'allais pas me retenir pour le frapper alors qu'on était à l'université, dans un couloir bien fréquenté. En plus de ça, j'avais cours juste après alors même s'il valait mieux que je ne perde pas mon temps à frapper un con, je sentais que ma patience ne fera pas ce choix-là. Il fallait que j'évite de le frapper mais vu ma colère, ça allait être impossible. J'en revenais pas que j'aie déjà été son amie, comment est-ce que j'avais fait ? Comment est-ce que je n'avais pas pu comprendre que les amis pour lui, c'était des déchets, des jouets avec lesquels il jouait avant de les jeter dans un coin de sa chambre pour ensuite les dégager de chez lui ? J'étais vraiment qu'une idiote à l'époque pour vouloir qu'il me donne de ses nouvelles parce que c'était un ami et qu'il donnera un signe de vie un jour. Non, il avait sélectionné les gens qu'il voulait contacter, et ceux qu'il ne voulait pas. Je faisais partie de ceux qu'il ne voulait pas alors qu'on se considérait tous les deux comme amis, et franchement, j'aurais préféré ne jamais le revoir. Parce qu'il avait une tête à claques et que je n'avais franchement pas envie de me réserver pour lui en coller une. Déjà que je n'étais pas de très bonne humeur, il en rajoutait une sacrée couche et il le savait déjà, je connaissais pas la patience. Peu importe si on était à l'université ou pas, je pouvais bien me battre avec lui s'il le fallait. Il me tapait déjà sur les nerfs. Évidemment, ce que je lui disais ne l'atteignait même pas, il s'en moquait. J'avais du mal à savoir comment est-ce qu'un type comme lui pouvait avoir des amis, des proches, même. Comment est-ce qu'on pouvait supporter un mec pareil ? A moins de ne pas avoir de cerveau, c'était impossible. Il me répondit avec son sarcasme et son ironie que je ne supportais pas, et il osa même pincer l'une de mes joues. Ça me dégoûtait. Je lui fis un sourire bien ironique avant de lui mettre une gifle. « Et ça aussi tu trouves ça cute ? » dis-je avec un grand sourire, bien sarcastique. « Je sais que tu le sais déjà, mais t'es un pauvre type, un connard, un mec qui mérite même pas de vivre. T'as appelé ta sœur le jour-même, tu la traites comme rien, non, tu traites tout le monde comme s'ils étaient que des cailloux dans ta vie, et tu sais quoi ? Je suis pas là pour te faire la morale parce que de un avec un cerveau rempli de merde comme le tien tu comprendrais pas et de deux c'est inutile pour un cas désespéré comme toi, alors va te faire foutre, et disparais. Tu pourrais mourir là maintenant que je m'en foutrais, puisque j'aurais pu être celle qui aurait mis fin à ta vie si les meurtres c'était pas chiant à cacher, alors casse-toi. » J'avais pas envie de passer plus de temps à parler avec lui, si je continuais, j'allais me battre avec lui, je sentais mon sang bouillonner et m'attirer des problèmes pour un mec comme lui, non merci. Rien qu'en voyant son visage, je voulais le tarter, et la gifle de tout à l'heure était bien rafraîchissante, il fallait le dire.
what's wrong ?
harin & sihyun
✻✻✻ J'avais envie de l'insulter de tous les noms. Le politiquement correct je m'en balançais, j'avais envie de le torturer, de le jeter par la fenêtre du cinquième étage pour que lorsqu'il soit écrasé au sol il soit encore en vie, de lui arracher un par un ses cheveux et les poils de son corps, de lui défoncer ses dents et ses mains, bref, on allait s'arrêter là parce que ma colère allait augmenter sinon, puisque je savais que je n'allais pas me retenir pour le frapper alors qu'on était à l'université, dans un couloir bien fréquenté. En plus de ça, j'avais cours juste après alors même s'il valait mieux que je ne perde pas mon temps à frapper un con, je sentais que ma patience ne fera pas ce choix-là. Il fallait que j'évite de le frapper mais vu ma colère, ça allait être impossible. J'en revenais pas que j'aie déjà été son amie, comment est-ce que j'avais fait ? Comment est-ce que je n'avais pas pu comprendre que les amis pour lui, c'était des déchets, des jouets avec lesquels il jouait avant de les jeter dans un coin de sa chambre pour ensuite les dégager de chez lui ? J'étais vraiment qu'une idiote à l'époque pour vouloir qu'il me donne de ses nouvelles parce que c'était un ami et qu'il donnera un signe de vie un jour. Non, il avait sélectionné les gens qu'il voulait contacter, et ceux qu'il ne voulait pas. Je faisais partie de ceux qu'il ne voulait pas alors qu'on se considérait tous les deux comme amis, et franchement, j'aurais préféré ne jamais le revoir. Parce qu'il avait une tête à claques et que je n'avais franchement pas envie de me réserver pour lui en coller une. Déjà que je n'étais pas de très bonne humeur, il en rajoutait une sacrée couche et il le savait déjà, je connaissais pas la patience. Peu importe si on était à l'université ou pas, je pouvais bien me battre avec lui s'il le fallait. Il me tapait déjà sur les nerfs. Évidemment, ce que je lui disais ne l'atteignait même pas, il s'en moquait. J'avais du mal à savoir comment est-ce qu'un type comme lui pouvait avoir des amis, des proches, même. Comment est-ce qu'on pouvait supporter un mec pareil ? A moins de ne pas avoir de cerveau, c'était impossible. Il me répondit avec son sarcasme et son ironie que je ne supportais pas, et il osa même pincer l'une de mes joues. Ça me dégoûtait. Je lui fis un sourire bien ironique avant de lui mettre une gifle. « Et ça aussi tu trouves ça cute ? » dis-je avec un grand sourire, bien sarcastique. « Je sais que tu le sais déjà, mais t'es un pauvre type, un connard, un mec qui mérite même pas de vivre. T'as appelé ta sœur le jour-même, tu la traites comme rien, non, tu traites tout le monde comme s'ils étaient que des cailloux dans ta vie, et tu sais quoi ? Je suis pas là pour te faire la morale parce que de un avec un cerveau rempli de merde comme le tien tu comprendrais pas et de deux c'est inutile pour un cas désespéré comme toi, alors va te faire foutre, et disparais. Tu pourrais mourir là maintenant que je m'en foutrais, puisque j'aurais pu être celle qui aurait mis fin à ta vie si les meurtres c'était pas chiant à cacher, alors casse-toi. » J'avais pas envie de passer plus de temps à parler avec lui, si je continuais, j'allais me battre avec lui, je sentais mon sang bouillonner et m'attirer des problèmes pour un mec comme lui, non merci. Rien qu'en voyant son visage, je voulais le tarter, et la gifle de tout à l'heure était bien rafraîchissante, il fallait le dire.© LOYALS.
Invité
Invité
Re: what's wrong ? (harin) | Ven 20 Juil - 15:50
✻✻✻ dire que tu t’en voulais d’avoir traité les gens autour de toi de la sorte, serait mentir. tu ne regrettes absolument rien malheureusement. pourquoi ? simplement parce que t’es comme ça. alors quand harin se met à gueuler sur toi, te traitant de tous les noms, ça te fait plus rire qu’autre chose. oui tu es détestable et ça ne te fait ni chaud ni froid. tu sais que normalement, une personne ne devrait pas être comme ça, mais tu t’en fiche complètement. t’es comme tu es et si les gens ne t’aiment pas comme ça, ils n’ont qu’à tracer leur route. tu continues donc de sourire narquoisement à la jeune femme lui expliquant que tu n’as envoyé de message à hyejin qu’en descendant de l’avion en thaïlande. pour elle, tu ne t’en veux même pas. enfin, tu sais que c’est mal vu la façon dont tu es avec ta grande sœur, mais c’est comme ça depuis des années avec la plus petite de la famille joo et tu n’arrives pas à faire autrement malheureusement. tu finis par pincer les joues de la jeune femme en l’appelant cute. tu te doutais qu’elle allait répliquer alors tu étais prêt à ça. par contre, une gifle ? ça tu ne l’avais pas vu venir. tu viens par réflexe frotter la peau à l’endroit où sa main a heurté ta joue. ça te lance mais c’est plus l’humiliation de t’être fait frapper par une femme qui te fait mal. tu l’écoutes te parler et plus elle avance dans son discours et plus tu laisses ton sourire s’agrandir sur ton visage. elle croit vraiment que ce qu’elle te dit a un impact sur toi ? que tu vas mal le prendre parce qu’elle t’a mal parlé ? elle se fout le doigt dans l’œil et peut même se l’enfoncer jusqu’à ce qu’il ressorte par son anus. tu attends qu’elle ait fini et tu reprends la parole avec aucune intention de changer ton comportement. « c’est bon, tu as fini ? » que tu dis, toujours avec ce sourire détestable sur le visage tandis que tu lâches enfin ta joue. elle est rouge et te lance toujours mais tu veux pas lui donner la satisfaction de voir qu’elle t’a fait mal. « ça devrait me faire quelque chose que tu me dises tout ça ? » demandes-tu en ayant presque l’air innocent. presque, parce que ce n’est nullement le cas et que tu joues un rôle. tes mots sont empreints de sarcasmes et d’ironie. tu n’en as strictement rien à foutre de ce qu’elle te dit. « non parce que si c’est le cas, je vais sûrement te décevoir, mais je m’en bats totalement les couilles. » tu te retiens de mimer le geste en même temps que tu parles. t’as pas réellement envie qu’elle s’en prenne à tes bijoux de famille. t’en as encore besoin pour satisfaire toutes les femmes que tu mets dans ton lit. « en tout cas, c’était bien instructif de voir une meuf jurer comme un camionneur. t’as appris où parce qu’avec la tonne de merde qui se déverse de ta bouche, ça m’étonne même pas que je ne t’ai pas appelé pendant ces trois ans. » tu prends un air pensif pendant quelques instant, caressant ton menton comme si tu réfléchissais avant de sourire un peu plus et de reporter ton regard sur la jeune femme. « tu sais pourquoi mon cerveau est rempli de merde comme tu dis ? » tu lui laisses quelques secondes pour réfléchir et tu reprends sans attendre sa réponse. « c’est parce qu’il est rempli de celle qui sort de la bouche de gens comme toi. c’est triste mais je suis entouré de personne qui font que je suis obligé de me mettre à leur niveau pour que les torrents de chiasse qui sortent de leur bouche puissent atteindre mon cerveau. » tu souris encore alors que tu passes ta main dans ses cheveux pour lui caresser la tête comme tu caresserais la tête d’un animal. « maintenant, tu m’excuseras, mais j’ai autre chose à faire. » et tu la dépasses pour te diriger vers ta salle de classe. ça ne t’a peut-être pas atteint ce qu’elle t’a dit, mais tu ne supportes pas qu’on te parle mal. alors, tu as riposté.
what's wrong ?
harin & sihyun
✻✻✻ dire que tu t’en voulais d’avoir traité les gens autour de toi de la sorte, serait mentir. tu ne regrettes absolument rien malheureusement. pourquoi ? simplement parce que t’es comme ça. alors quand harin se met à gueuler sur toi, te traitant de tous les noms, ça te fait plus rire qu’autre chose. oui tu es détestable et ça ne te fait ni chaud ni froid. tu sais que normalement, une personne ne devrait pas être comme ça, mais tu t’en fiche complètement. t’es comme tu es et si les gens ne t’aiment pas comme ça, ils n’ont qu’à tracer leur route. tu continues donc de sourire narquoisement à la jeune femme lui expliquant que tu n’as envoyé de message à hyejin qu’en descendant de l’avion en thaïlande. pour elle, tu ne t’en veux même pas. enfin, tu sais que c’est mal vu la façon dont tu es avec ta grande sœur, mais c’est comme ça depuis des années avec la plus petite de la famille joo et tu n’arrives pas à faire autrement malheureusement. tu finis par pincer les joues de la jeune femme en l’appelant cute. tu te doutais qu’elle allait répliquer alors tu étais prêt à ça. par contre, une gifle ? ça tu ne l’avais pas vu venir. tu viens par réflexe frotter la peau à l’endroit où sa main a heurté ta joue. ça te lance mais c’est plus l’humiliation de t’être fait frapper par une femme qui te fait mal. tu l’écoutes te parler et plus elle avance dans son discours et plus tu laisses ton sourire s’agrandir sur ton visage. elle croit vraiment que ce qu’elle te dit a un impact sur toi ? que tu vas mal le prendre parce qu’elle t’a mal parlé ? elle se fout le doigt dans l’œil et peut même se l’enfoncer jusqu’à ce qu’il ressorte par son anus. tu attends qu’elle ait fini et tu reprends la parole avec aucune intention de changer ton comportement. « c’est bon, tu as fini ? » que tu dis, toujours avec ce sourire détestable sur le visage tandis que tu lâches enfin ta joue. elle est rouge et te lance toujours mais tu veux pas lui donner la satisfaction de voir qu’elle t’a fait mal. « ça devrait me faire quelque chose que tu me dises tout ça ? » demandes-tu en ayant presque l’air innocent. presque, parce que ce n’est nullement le cas et que tu joues un rôle. tes mots sont empreints de sarcasmes et d’ironie. tu n’en as strictement rien à foutre de ce qu’elle te dit. « non parce que si c’est le cas, je vais sûrement te décevoir, mais je m’en bats totalement les couilles. » tu te retiens de mimer le geste en même temps que tu parles. t’as pas réellement envie qu’elle s’en prenne à tes bijoux de famille. t’en as encore besoin pour satisfaire toutes les femmes que tu mets dans ton lit. « en tout cas, c’était bien instructif de voir une meuf jurer comme un camionneur. t’as appris où parce qu’avec la tonne de merde qui se déverse de ta bouche, ça m’étonne même pas que je ne t’ai pas appelé pendant ces trois ans. » tu prends un air pensif pendant quelques instant, caressant ton menton comme si tu réfléchissais avant de sourire un peu plus et de reporter ton regard sur la jeune femme. « tu sais pourquoi mon cerveau est rempli de merde comme tu dis ? » tu lui laisses quelques secondes pour réfléchir et tu reprends sans attendre sa réponse. « c’est parce qu’il est rempli de celle qui sort de la bouche de gens comme toi. c’est triste mais je suis entouré de personne qui font que je suis obligé de me mettre à leur niveau pour que les torrents de chiasse qui sortent de leur bouche puissent atteindre mon cerveau. » tu souris encore alors que tu passes ta main dans ses cheveux pour lui caresser la tête comme tu caresserais la tête d’un animal. « maintenant, tu m’excuseras, mais j’ai autre chose à faire. » et tu la dépasses pour te diriger vers ta salle de classe. ça ne t’a peut-être pas atteint ce qu’elle t’a dit, mais tu ne supportes pas qu’on te parle mal. alors, tu as riposté.© LOYALS.
Invité
Invité
Re: what's wrong ? (harin) | Mar 14 Aoû - 21:32
✻✻✻ Qu'il se casse, sinon, j'allais être condamnée pour être responsable d'un meurtre. Eh ouais, c'était ça qui était drôle dans l'histoire, c'était que celle qui se fasse condamner soit l'innocente, et pas le connard devant moi, sous prétexte qu'il s'était fait sauvagement tuer alors que lui tuait les cœurs des autres d'une façon aussi simple que de lâcher une merde dans la cuvette des WC. On me punirait à cinq ou dix ans de prison ferme tandis que lui reposera enfin en enfer, dormant pour toujours et fermant sa grande gueule aussi pour toujours, ce qui fera du bien aux oreilles de beaucoup de personnes, permettant d'enlever les crottes à l'intérieur semées par ce chieur. Vulgaire, oui, je l'étais, mais qu'est-ce que j'en avais à faire ? Il m'avait cherché, je l'avais cherché, et maintenant on s'engueulait comme deux gamins de primaire. Ou du moins, moi, j'essayais de déverser toute ma haine. Évidemment, un gars aussi insensible que lui ne sourcillera même pas, il restera là, debout, avec un sourire narquois, fier que ces paroles ne l'aient pas atteint. Mais si ça ne l'avait pas atteint, c'était qu'il devait un idiot infini, un connard infini, même. Je me doutais que cette pensée ne l'atteindrait même pas, qu'il continuera sa vie comme un bâtard et que putain, j'étais triste de savoir qu'un gars comme lui vivait encore alors que des anges mourraient à sa place. Qu'il crève à leur place, ça fera du bien pour la Terre, qui se permettra de souffler un petit coup. Quoi qu'il en soit, l'avoir giflé m'avait fait grand bien, je rêverais de faire plus mais il semblerait que je ne puisse pas faire autre chose, sous prétexte d'essayer de mener une vie universitaire tranquille. Suite à mon flot de paroles, il répliqua qu'il s'en battait les couilles. Logique. Moi je m'en battais la vulve qu'il se comporte comme un idiot, c'était sa vie. Une vie de merde malheureusement, mais s'il choisissait de vivre comme ça malgré tout ce que je lui avais dit, tant pis pour lui. « Cette merde qui sort de ma bouche, je l'ai apprise des gens comme toi qui ne me rappellent que ce qui sort de mon trou du cul. Je parle ainsi qu'aux merdes, t'en fais pas. » Il me mettait hors de moi alors que lui était de marbre, c'était ce qui était si détestable avec lui. Comment est-ce que j'avais pu être l'amie d'un mec comme lui quoi ? Je plaignais Hyejin pour avoir un frère aussi boulet. Bien contente d'être fille unique. « Dis plutôt que c'est parce que t'es à un niveau si bas que tu nages avec la merde qui sort des gens, ouais. » répliquai-je, dégageant violemment sa main de mes cheveux. Va falloir que je me les lave, ce soir. Je n'oserai plus toucher mes propres cheveux pour le reste de la journée. « Je t'excuse pas, j'ai pas envie. Mais c'est ça, casse-toi, ça fera du bien à mes yeux qui verront autre chose qu'un truc comme toi. » J'avais déversé mon torrent de haine pour la journée. Décidément, ça faisait du bien, après s'être fait reprendre par ce prof ! Bref, j'étais en retard, et même si c'était la plus petite de mes préoccupations, je ferais peut-être mieux d'y aller.
what's wrong ?
harin & sihyun
✻✻✻ Qu'il se casse, sinon, j'allais être condamnée pour être responsable d'un meurtre. Eh ouais, c'était ça qui était drôle dans l'histoire, c'était que celle qui se fasse condamner soit l'innocente, et pas le connard devant moi, sous prétexte qu'il s'était fait sauvagement tuer alors que lui tuait les cœurs des autres d'une façon aussi simple que de lâcher une merde dans la cuvette des WC. On me punirait à cinq ou dix ans de prison ferme tandis que lui reposera enfin en enfer, dormant pour toujours et fermant sa grande gueule aussi pour toujours, ce qui fera du bien aux oreilles de beaucoup de personnes, permettant d'enlever les crottes à l'intérieur semées par ce chieur. Vulgaire, oui, je l'étais, mais qu'est-ce que j'en avais à faire ? Il m'avait cherché, je l'avais cherché, et maintenant on s'engueulait comme deux gamins de primaire. Ou du moins, moi, j'essayais de déverser toute ma haine. Évidemment, un gars aussi insensible que lui ne sourcillera même pas, il restera là, debout, avec un sourire narquois, fier que ces paroles ne l'aient pas atteint. Mais si ça ne l'avait pas atteint, c'était qu'il devait un idiot infini, un connard infini, même. Je me doutais que cette pensée ne l'atteindrait même pas, qu'il continuera sa vie comme un bâtard et que putain, j'étais triste de savoir qu'un gars comme lui vivait encore alors que des anges mourraient à sa place. Qu'il crève à leur place, ça fera du bien pour la Terre, qui se permettra de souffler un petit coup. Quoi qu'il en soit, l'avoir giflé m'avait fait grand bien, je rêverais de faire plus mais il semblerait que je ne puisse pas faire autre chose, sous prétexte d'essayer de mener une vie universitaire tranquille. Suite à mon flot de paroles, il répliqua qu'il s'en battait les couilles. Logique. Moi je m'en battais la vulve qu'il se comporte comme un idiot, c'était sa vie. Une vie de merde malheureusement, mais s'il choisissait de vivre comme ça malgré tout ce que je lui avais dit, tant pis pour lui. « Cette merde qui sort de ma bouche, je l'ai apprise des gens comme toi qui ne me rappellent que ce qui sort de mon trou du cul. Je parle ainsi qu'aux merdes, t'en fais pas. » Il me mettait hors de moi alors que lui était de marbre, c'était ce qui était si détestable avec lui. Comment est-ce que j'avais pu être l'amie d'un mec comme lui quoi ? Je plaignais Hyejin pour avoir un frère aussi boulet. Bien contente d'être fille unique. « Dis plutôt que c'est parce que t'es à un niveau si bas que tu nages avec la merde qui sort des gens, ouais. » répliquai-je, dégageant violemment sa main de mes cheveux. Va falloir que je me les lave, ce soir. Je n'oserai plus toucher mes propres cheveux pour le reste de la journée. « Je t'excuse pas, j'ai pas envie. Mais c'est ça, casse-toi, ça fera du bien à mes yeux qui verront autre chose qu'un truc comme toi. » J'avais déversé mon torrent de haine pour la journée. Décidément, ça faisait du bien, après s'être fait reprendre par ce prof ! Bref, j'étais en retard, et même si c'était la plus petite de mes préoccupations, je ferais peut-être mieux d'y aller.© LOYALS.
Invité
Invité
Re: what's wrong ? (harin) | Jeu 13 Sep - 1:14
✻✻✻ tes retrouvailles avec harin ne se passe pas super bien, pour ne pas dire qu’elles sont une catastrophe. mais tu t’en moques pas mal à dire vrai. tu t’en fiches complètement d’avoir piétiné ses sentiments en ne la prévenant pas de la destination où tu te rendais ou en en lui donnant aucune nouvelle pendant tout ce temps. ouais elle a été une amie mais tu n’as de comptes à rendre à personne. après tout, tu fais ce que tu veux non ? personne n’a à te dire ce que tu dois faire, dois dire ou même penser. ça t’énerve tellement quand on pense que tu dois quelque chose à quelqu’un. alors, c’est pour cette raison que tu es encore plus détestable qu’avant et même méprisant avec elle. tu ne supportes pas ses insinuations. ses comparaisons avec de la merde te mettent les nerfs en boule. heureusement que tu ne frappes pas les filles, sauf ton ex mais ça c’est parce que votre relation était comme ça, et surtout que tu sois si lâche, parce que sinon, il y a bien longtemps que ton poing se serait abattu sur sa mâchoire pour la faire taire. à la place, tu laisses un sourire insolent s’afficher sur tes lèvres. « tu as toujours autant de répartie à ce que je vois harin. » elle peut clairement entendre l’ironie dans ta voix et tu t’en moques complètement si ça la blesse ou qu’elle le remarque. après tout, t’es comme ça et tu ne changeras malheureusement pas. bon ce n’est pas tout à fait vrai. elle arrive à retourner ce que tu dis contre toi et même si tu ne perds pas ton sourire, ça ne te fait absolument pas plaisir malheureusement. tu pousses un soupir et tu ne réponds rien du tout. t’enlèves ta main de ses cheveux lorsqu’elle la dégage violemment. c’est que c’est une sauvage la petite seo harin. ça te plait de la voir dans cet état. tu décides même de partir avant que les choses ne dégénèrent. tu sais que si tu restes encore un peu et que tu continues de la provoquer, vous pourriez vous foutre sur la gueule et bien que ça ne te dérangerait pas de te défouler, tu ne veux pas le faire à l’école et encore moins si t’es pas sûr de gagner. ce serait tellement la honte si tu perdais contre la jeune femme. du coup tu veux partir parce que comme tu lui dis, tu as autre chose à faire, comme aller en cours peut-être, pour une fois. sa réflexion encore une fois ne se fait pas attendre et tu souris toujours arrogant. « oui oui c’est ça harin. » et tu agites simplement la main dans sa direction avec la forte envie de lever ton majeur dans sa direction. sauf que tu te retiens. faut pas que quelqu’un te voit parce que tu pourrais avoir des ennuis. tu continues ton chemin finissant par arrêter un autre étudiant pour qu’il t’aide à trouver le chemin vers ta salle de classe.
what's wrong ?
harin & sihyun
✻✻✻ tes retrouvailles avec harin ne se passe pas super bien, pour ne pas dire qu’elles sont une catastrophe. mais tu t’en moques pas mal à dire vrai. tu t’en fiches complètement d’avoir piétiné ses sentiments en ne la prévenant pas de la destination où tu te rendais ou en en lui donnant aucune nouvelle pendant tout ce temps. ouais elle a été une amie mais tu n’as de comptes à rendre à personne. après tout, tu fais ce que tu veux non ? personne n’a à te dire ce que tu dois faire, dois dire ou même penser. ça t’énerve tellement quand on pense que tu dois quelque chose à quelqu’un. alors, c’est pour cette raison que tu es encore plus détestable qu’avant et même méprisant avec elle. tu ne supportes pas ses insinuations. ses comparaisons avec de la merde te mettent les nerfs en boule. heureusement que tu ne frappes pas les filles, sauf ton ex mais ça c’est parce que votre relation était comme ça, et surtout que tu sois si lâche, parce que sinon, il y a bien longtemps que ton poing se serait abattu sur sa mâchoire pour la faire taire. à la place, tu laisses un sourire insolent s’afficher sur tes lèvres. « tu as toujours autant de répartie à ce que je vois harin. » elle peut clairement entendre l’ironie dans ta voix et tu t’en moques complètement si ça la blesse ou qu’elle le remarque. après tout, t’es comme ça et tu ne changeras malheureusement pas. bon ce n’est pas tout à fait vrai. elle arrive à retourner ce que tu dis contre toi et même si tu ne perds pas ton sourire, ça ne te fait absolument pas plaisir malheureusement. tu pousses un soupir et tu ne réponds rien du tout. t’enlèves ta main de ses cheveux lorsqu’elle la dégage violemment. c’est que c’est une sauvage la petite seo harin. ça te plait de la voir dans cet état. tu décides même de partir avant que les choses ne dégénèrent. tu sais que si tu restes encore un peu et que tu continues de la provoquer, vous pourriez vous foutre sur la gueule et bien que ça ne te dérangerait pas de te défouler, tu ne veux pas le faire à l’école et encore moins si t’es pas sûr de gagner. ce serait tellement la honte si tu perdais contre la jeune femme. du coup tu veux partir parce que comme tu lui dis, tu as autre chose à faire, comme aller en cours peut-être, pour une fois. sa réflexion encore une fois ne se fait pas attendre et tu souris toujours arrogant. « oui oui c’est ça harin. » et tu agites simplement la main dans sa direction avec la forte envie de lever ton majeur dans sa direction. sauf que tu te retiens. faut pas que quelqu’un te voit parce que tu pourrais avoir des ennuis. tu continues ton chemin finissant par arrêter un autre étudiant pour qu’il t’aide à trouver le chemin vers ta salle de classe.© LOYALS.
Contenu sponsorisé