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the mirror of truth (twins)
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the mirror of truth (twins) | Sam 16 Juin - 18:08
« viens, on va manger un bout avant de rentrer. » le soleil est tombé, il se fait tard, t'as passé la journée avec ton frère et pourtant, dieu sait que ce ne sont pas les meilleures journées. vous vous êtes encore pris la tête à de nombreuses reprises, aussi, tu as du prendre sur toi lorsque tu as été confronté à son caractère de... non, restons poli. « si tu veux. » lâches-tu, haussant les épaules, changeant de direction, tu t'apprêtes à rentrer dans le fast food en question. « t'as combien sur toi? » tu fronces les sourcils, tapotant instinctivement tes poches. « pas un rond? j'ai pas pris mon argent. » à quoi bon ? tu soupires. « une prochaine fois, laisse tomber. » tu abandonnes, retrouvant de nouveau le chemin de votre appartement mais akiya n'a pas l'air de vouloir bouger d'ici. « non, va prendre de l'argent à quelqu'un. » « quoi ? » « on mange ici, arrête quelqu'un et prend lui son fric. » tu sais exactement pourquoi il te demande ça. t'as horreur de ça, t'es pas comme lui, mais il veut que tu suives sa trace. « j'vais pas faire ça. » « dépêche toi nao, j'ai la dalle. » « je m'en fous ! j'le ferai pas, démerde toi ! » il perd patience, puisqu'il t'attrape le bras pour te balancer dans la direction opposée, celle où se trouve quelques personnes qui n'ont rien demandé, qui rentrent sûrement chez eux. tu soupires, la frustration de ne pas pouvoir luter, encore une fois, tu t'en vas. tu marches rapidement, non sans jeter un œil derrière toi. ton frère s'apprête à rentrer mais il vérifie tout de même ce que tu fais. putain, tu commences en avoir marre. tu l'aimes, mais il t'énerve. mais là, c'est ce que tu t'apprêtes à faire qui te colle cette boule au ventre, encore une fois, tu vas devoir laisser naoya au placard. alors quand tu vois une silhouette tourner dans une rue adjacente, tu te décides d'avancer vers cette personne. capuche sur la tête, rien peut t'indiquer le physique de cette dite personne mais t'as plus trop le temps de réfléchir là, tu as déjà cette énorme boule au ventre qui te fracasse. alors arrivé derrière cette personne qui n'a strictement rien demandé, tu lui attrapes violemment le poignet comme pour l'arrêter. ton ton est agressif, tout ce que tu n'es pas en tant normal, ton visage est fermé, cette colère et frustration que tu ressens d'être poussé à faire ça t'aide grandement pour ça. « ton fric. » craches-tu, cette fois-ci en coréen. « donne. » tu serres les dents. encore une fois, l'effet d'être poussé à faire ça, toujours faisant pression sur son poignet, tu le tires dans la direction opposée pour le tourner vers toi.
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kouki & naoya
« viens, on va manger un bout avant de rentrer. » le soleil est tombé, il se fait tard, t'as passé la journée avec ton frère et pourtant, dieu sait que ce ne sont pas les meilleures journées. vous vous êtes encore pris la tête à de nombreuses reprises, aussi, tu as du prendre sur toi lorsque tu as été confronté à son caractère de... non, restons poli. « si tu veux. » lâches-tu, haussant les épaules, changeant de direction, tu t'apprêtes à rentrer dans le fast food en question. « t'as combien sur toi? » tu fronces les sourcils, tapotant instinctivement tes poches. « pas un rond? j'ai pas pris mon argent. » à quoi bon ? tu soupires. « une prochaine fois, laisse tomber. » tu abandonnes, retrouvant de nouveau le chemin de votre appartement mais akiya n'a pas l'air de vouloir bouger d'ici. « non, va prendre de l'argent à quelqu'un. » « quoi ? » « on mange ici, arrête quelqu'un et prend lui son fric. » tu sais exactement pourquoi il te demande ça. t'as horreur de ça, t'es pas comme lui, mais il veut que tu suives sa trace. « j'vais pas faire ça. » « dépêche toi nao, j'ai la dalle. » « je m'en fous ! j'le ferai pas, démerde toi ! » il perd patience, puisqu'il t'attrape le bras pour te balancer dans la direction opposée, celle où se trouve quelques personnes qui n'ont rien demandé, qui rentrent sûrement chez eux. tu soupires, la frustration de ne pas pouvoir luter, encore une fois, tu t'en vas. tu marches rapidement, non sans jeter un œil derrière toi. ton frère s'apprête à rentrer mais il vérifie tout de même ce que tu fais. putain, tu commences en avoir marre. tu l'aimes, mais il t'énerve. mais là, c'est ce que tu t'apprêtes à faire qui te colle cette boule au ventre, encore une fois, tu vas devoir laisser naoya au placard. alors quand tu vois une silhouette tourner dans une rue adjacente, tu te décides d'avancer vers cette personne. capuche sur la tête, rien peut t'indiquer le physique de cette dite personne mais t'as plus trop le temps de réfléchir là, tu as déjà cette énorme boule au ventre qui te fracasse. alors arrivé derrière cette personne qui n'a strictement rien demandé, tu lui attrapes violemment le poignet comme pour l'arrêter. ton ton est agressif, tout ce que tu n'es pas en tant normal, ton visage est fermé, cette colère et frustration que tu ressens d'être poussé à faire ça t'aide grandement pour ça. « ton fric. » craches-tu, cette fois-ci en coréen. « donne. » tu serres les dents. encore une fois, l'effet d'être poussé à faire ça, toujours faisant pression sur son poignet, tu le tires dans la direction opposée pour le tourner vers toi.Invité
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Re: the mirror of truth (twins) | Mer 20 Juin - 17:38
il était tard. la nuit était tombée et kouki arpentait les rues de séoul sans but. il avait simplement besoin de bouger, de voir le monde s'activer pendant que lui ne faisait que errer au milieu de la foule. les gens étaient tous plus ou moins pressés de rentrer chez lui tandis que lui prenait son temps avant de retourner à son appartement. l'idée de rentrer chez lui ne faisait que le ralentir, non pas parce qu'il n'avait pas envie de rentrer mais plutôt parce qu'il ne voulait pas ressortir pour aller travailler. ce soir, il aurait préféré cracher ses tripes dans son micro plutôt que devoir montrer son corps à des gens qui ne le voyait que comme un morceau de chair. ce soir, il aurait voulu exister à travers autre chose que son corps musclé. il aurait voulu qu'on entende sa rage au lieu de ça, il va devoir prétendre, faire semblant que tout ça lui plaît. il a l'habitude après tout. au coin d'une rue, il bifurque et s'engage dans une ruelle bien plus calme, le genre de ruelle qui ferait peur à n'importe qui sain d'esprit. ça faisait bien longtemps que kouki ne craignait plus la rue, il s'était habitué à ses dangers depuis toutes ces années à la côtoyer. plus rien n'avait de secret pour lui. il s'engage dans cette ruelle, marchant doucement avant qu'il sente quelqu'un lui attrapé le poignet le forçant à s'arrêter. « ton fric. donne. » grogne celui qui l'arrête avant de le tirer de manière non délicate vers lui. kouki serre les dents avant que ses yeux se posent sur le visage de cet inconnu. ils avaient le même. il était lui. ses yeux s'écarquillent de surprise et de peur. est-ce une de ses nombreuses hallucinations ? ou est-ce que c'était bien réel ? son premier réflexe fut d'attrapé cet homme et de lui donné un coup dans le visage. quand kouki avait peur, il frappait. et là, il était terrifié. c'était qui ce gars ? pourquoi il lui ressemblait ? « qu'est-ce que t'es toi, hein ! qu'est-ce que tu me veux ?! » il hurlait de peur, sa voix tremblait légèrement. au fond de lui, il espérait que tout ça n'était qu'un défaut de son cerveau, qu'il avait rêvé mais quand le jeune homme en face de lui releva la tête, il vit toujours son visage. il se voyait lui comme s'il était face à un miroir, c'était déroutant. il serra les poings, il était sur le point de le frapper une nouvelle fois, il allait le faire. kouki avait une manière étrange de gérer ses sentiments, il voulait comprendre la situation et à la fois s'en débarrasser. la peur le rendait bien plus agressif. sur la défensive il s'approche de quelques pas de son double prêt à en découdre avec lui.
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kouki & naoya
il était tard. la nuit était tombée et kouki arpentait les rues de séoul sans but. il avait simplement besoin de bouger, de voir le monde s'activer pendant que lui ne faisait que errer au milieu de la foule. les gens étaient tous plus ou moins pressés de rentrer chez lui tandis que lui prenait son temps avant de retourner à son appartement. l'idée de rentrer chez lui ne faisait que le ralentir, non pas parce qu'il n'avait pas envie de rentrer mais plutôt parce qu'il ne voulait pas ressortir pour aller travailler. ce soir, il aurait préféré cracher ses tripes dans son micro plutôt que devoir montrer son corps à des gens qui ne le voyait que comme un morceau de chair. ce soir, il aurait voulu exister à travers autre chose que son corps musclé. il aurait voulu qu'on entende sa rage au lieu de ça, il va devoir prétendre, faire semblant que tout ça lui plaît. il a l'habitude après tout. au coin d'une rue, il bifurque et s'engage dans une ruelle bien plus calme, le genre de ruelle qui ferait peur à n'importe qui sain d'esprit. ça faisait bien longtemps que kouki ne craignait plus la rue, il s'était habitué à ses dangers depuis toutes ces années à la côtoyer. plus rien n'avait de secret pour lui. il s'engage dans cette ruelle, marchant doucement avant qu'il sente quelqu'un lui attrapé le poignet le forçant à s'arrêter. « ton fric. donne. » grogne celui qui l'arrête avant de le tirer de manière non délicate vers lui. kouki serre les dents avant que ses yeux se posent sur le visage de cet inconnu. ils avaient le même. il était lui. ses yeux s'écarquillent de surprise et de peur. est-ce une de ses nombreuses hallucinations ? ou est-ce que c'était bien réel ? son premier réflexe fut d'attrapé cet homme et de lui donné un coup dans le visage. quand kouki avait peur, il frappait. et là, il était terrifié. c'était qui ce gars ? pourquoi il lui ressemblait ? « qu'est-ce que t'es toi, hein ! qu'est-ce que tu me veux ?! » il hurlait de peur, sa voix tremblait légèrement. au fond de lui, il espérait que tout ça n'était qu'un défaut de son cerveau, qu'il avait rêvé mais quand le jeune homme en face de lui releva la tête, il vit toujours son visage. il se voyait lui comme s'il était face à un miroir, c'était déroutant. il serra les poings, il était sur le point de le frapper une nouvelle fois, il allait le faire. kouki avait une manière étrange de gérer ses sentiments, il voulait comprendre la situation et à la fois s'en débarrasser. la peur le rendait bien plus agressif. sur la défensive il s'approche de quelques pas de son double prêt à en découdre avec lui.Invité
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Re: the mirror of truth (twins) | Ven 22 Juin - 21:41
tes yeux se figent, ton cœur palpite, assourdi par cette incompréhension qui fait naître cette panique en toi. c'est toi. tu te vois. ça te fait un choc et tu le partages avec lui. il est aussi surpris que tu peux l'être, il doit partager ces sentiments qui s’emparent de toi. tu ne l'as peut-être pas remarqué, mais ça t'en a coupé le souffle. le temps s'est arrêté, tout comme ta respiration, alors que tes sourcils commencent à se froncer. tu n'as pas d'air sur lui, il te ressemble totalement, et ça crée ce sentiment étrange, tellement étrange que tu ne sais même pas combien de secondes se sont écoulées. deux, ou peut-être vingt, avant qu'il vienne te donner un violent coup au visage. tu tournes la tête dû au choc, tu manques même de perdre l'équilibre alors que ton corps se tourne totalement, dos à lui. tu te penches, apportant ta main sur ton visage. tu relèves le regard, akiya a disparu, tout le monde a disparu. pendant un instant, la douleur t'empêche de penser, elle te permet même d'oublier un bref instant, faisant passer tout ça pour une hallucination mais tu restes toi. tu détestes ne pas comprendre, si t'as halluciné, tu dois savoir d'où ça vient, alors tu te retournes à nouveau, vivement, replantant ton regard dans le sien avant de le laisser se balader sur les traits de son visage. il vient de t'adresser la parole, d'hurler, mais t'es même pas sûr d'avoir compris. son visage... identique. un regard qui pourrait être similaire au tien mais qui est étrangement différent, les traits de son visage imageant toute autre chose que les tiens. les mêmes traits, mais pas les mêmes traits de vie. tu ne rêves pas, c'est pas une hallucination. « t'es qui... » souffles-tu dans ta langue natale. à aucun instant tu penses qu'il ne te comprendra pas, un souffle assez lourd, parce que la réponse risque de te chambouler et tu le sais. encore une fois, il y a cette partie de toi qui te hurle d'arrêter tes conneries, que tu hallucines, mais il est bel et bien là. alors quand il s'avance de toi, prêt à t'en remettre une, tu agis vite. tu te réveilles. « don't ! please. » tu recules de quelques pas comme pour te protéger, tu ne te bats que très rarement, ça ne t'effraie pas cela dit, ça t'arrive même parfois quand t'y es forcé, mais t'aimes pas ça. quand ton frère y est mêlé, t'es toujours celui à l'écart, celui qui veut seulement arrêter tout ça. l'anglais est la première langue que tu utilises, sûrement par réflexe, pour être sûr qu'il te comprenne. t'es pas vraiment à l'aise avec le coréen, il faut que tu réfléchisses encore pour pouvoir formuler une phrase un peu près correctement, ça serait bien trop te demander à l'heure actuelle avec tous ces ressentis qui s'abattent sur toi, mais pourtant, tu n'as pas le choix. « pas frapper moi ! d-désolé. » articules-tu difficilement, en coréen cette fois-ci. putain, qu'est-ce qu'il se passe ? t'as besoin d'explications, t'as besoin de savoir mais ton cerveau est brouillé. « j'veux... pas faire mal à toi. » il pourrait le croire, tu viens de lui réclamer son fric d'une manière agressive, mais tu as rapidement laissé tomber, peu importe, puis tu t'en fiches. tu veux comprendre, pourquoi ce type te ressemble autant ? il a levé la main sur toi, peut-être impulsif, ou sur la défensive, une vague d'émotions qui ne vous permet pas d'y voir plus clair et ça, tu ne veux pas. tu veux comprendre mais tu n'arrives pas à remettre de l'ordre dans ton crâne.
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tes yeux se figent, ton cœur palpite, assourdi par cette incompréhension qui fait naître cette panique en toi. c'est toi. tu te vois. ça te fait un choc et tu le partages avec lui. il est aussi surpris que tu peux l'être, il doit partager ces sentiments qui s’emparent de toi. tu ne l'as peut-être pas remarqué, mais ça t'en a coupé le souffle. le temps s'est arrêté, tout comme ta respiration, alors que tes sourcils commencent à se froncer. tu n'as pas d'air sur lui, il te ressemble totalement, et ça crée ce sentiment étrange, tellement étrange que tu ne sais même pas combien de secondes se sont écoulées. deux, ou peut-être vingt, avant qu'il vienne te donner un violent coup au visage. tu tournes la tête dû au choc, tu manques même de perdre l'équilibre alors que ton corps se tourne totalement, dos à lui. tu te penches, apportant ta main sur ton visage. tu relèves le regard, akiya a disparu, tout le monde a disparu. pendant un instant, la douleur t'empêche de penser, elle te permet même d'oublier un bref instant, faisant passer tout ça pour une hallucination mais tu restes toi. tu détestes ne pas comprendre, si t'as halluciné, tu dois savoir d'où ça vient, alors tu te retournes à nouveau, vivement, replantant ton regard dans le sien avant de le laisser se balader sur les traits de son visage. il vient de t'adresser la parole, d'hurler, mais t'es même pas sûr d'avoir compris. son visage... identique. un regard qui pourrait être similaire au tien mais qui est étrangement différent, les traits de son visage imageant toute autre chose que les tiens. les mêmes traits, mais pas les mêmes traits de vie. tu ne rêves pas, c'est pas une hallucination. « t'es qui... » souffles-tu dans ta langue natale. à aucun instant tu penses qu'il ne te comprendra pas, un souffle assez lourd, parce que la réponse risque de te chambouler et tu le sais. encore une fois, il y a cette partie de toi qui te hurle d'arrêter tes conneries, que tu hallucines, mais il est bel et bien là. alors quand il s'avance de toi, prêt à t'en remettre une, tu agis vite. tu te réveilles. « don't ! please. » tu recules de quelques pas comme pour te protéger, tu ne te bats que très rarement, ça ne t'effraie pas cela dit, ça t'arrive même parfois quand t'y es forcé, mais t'aimes pas ça. quand ton frère y est mêlé, t'es toujours celui à l'écart, celui qui veut seulement arrêter tout ça. l'anglais est la première langue que tu utilises, sûrement par réflexe, pour être sûr qu'il te comprenne. t'es pas vraiment à l'aise avec le coréen, il faut que tu réfléchisses encore pour pouvoir formuler une phrase un peu près correctement, ça serait bien trop te demander à l'heure actuelle avec tous ces ressentis qui s'abattent sur toi, mais pourtant, tu n'as pas le choix. « pas frapper moi ! d-désolé. » articules-tu difficilement, en coréen cette fois-ci. putain, qu'est-ce qu'il se passe ? t'as besoin d'explications, t'as besoin de savoir mais ton cerveau est brouillé. « j'veux... pas faire mal à toi. » il pourrait le croire, tu viens de lui réclamer son fric d'une manière agressive, mais tu as rapidement laissé tomber, peu importe, puis tu t'en fiches. tu veux comprendre, pourquoi ce type te ressemble autant ? il a levé la main sur toi, peut-être impulsif, ou sur la défensive, une vague d'émotions qui ne vous permet pas d'y voir plus clair et ça, tu ne veux pas. tu veux comprendre mais tu n'arrives pas à remettre de l'ordre dans ton crâne.Invité
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Re: the mirror of truth (twins) | Mar 24 Juil - 1:49
il suffit d'un instant pour que kouki se pense fou. un bref instant qui le rend plus agressif, plus violent d'un coup. il ne réfléchit pas. ce type en face de lui lui ressemble. c'est lui, il a les mêmes yeux, les mêmes lèvres, la même carrure, tout est identique. kouki ne comprend pas et ne cherche pas vraiment à comprendre. il a tellement eu d'hallucinations à cause de la drogue qu'il finit par penser que tout ça est encore une malfonction de son cerveau. mais tout semble si réel, trop réel à son goût alors son premier réflexe, c'est de frappé, de tout de suite agir de façon impulsive et agressive. à quoi bon chercher à comprendre quand on a apprit à frapper avant de réfléchir. un coup de poing en plein dans la mâchoire lui offre une preuve que tout ceci est bel et bien réel et qu'il ne rêve pas. il n'est pas dans un de ses cauchemar où il se retrouve nez à nez avec lui-même. ce n'est pas un message de son inconscience, c'est la réalité. une réalité qu'il découvre de manière si soudaine. il ne pige pas, il ne veut pas piger. alors quoi faire ? continuer de montrer les dents à ce qui l'effraie. la situation lui fait peur, le tétanise même s'il ne veut pas le montrer. il hurle sur ce double dans l'espoir qu'il s'en aille ou qu'il lui offre une explication. l'autre lui ouvre la bouche dans un langage qu'il ne comprend pas. kouki croit reconnaître du japonais mais il n'en ai pas certain. il continue de s'approcher de lui, le bras lever en l'air, prêt à lui refaire le portrait. c'est en anglais qu'il s'exprime ensuite. kouki grogne un peu plus alors que son pseudo agresseur semble vouloir s'expliquer d'une toute autre manière. le danseur baisse le bras, sans pour autant se détendre, il est toujours craintif comme un animal sauvage. « pas frapper moi ! d-désolé. » kouki fronce les sourcils aux fur et à mesure que son autre lui s'exprime, il découvre que celui-ci ne semble pas parler le coréen. et ça a le dont de rendre kouki un peu plus craintif et donc en colère. la situation semble si étrange pour lui, il n'assimile pas tout ce qu'il se passe devant lui. il fixe l'inconnu comme un ovni, il est à la fois intrigué et effrayé. « j'veux... pas faire mal à toi. » kouki n'avait pas rêver encore une fois, son interlocuteur ne parlait pas bien le coréen et le strip teaseur se demanda si tout ceci n'était pas qu'une mauvaise blague. s'il y a bien une chose qu'il détestait c'était les blagues de ce genre, si ce type, en plus de lui ressembler, se foutait de sa gueule, il allait très vite comprendre que kouki n'est pas d'humeur à rire. sans chercher à réfléchir, le coréen s'approche à nouveau de son double mais cette fois, il vient l'attraper par le col et le plaque violemment contre le mur. « te fous pas d'ma gueule, putain qu'est-ce que t'es? pourquoi tu m'ressemble? » toujours sur la défensive, kouki crache ses questions au visage de celui qui semble tout aussi perdu que lui. mais ça kouki ne le voit pas, il s'en fout de ça. il ne pense qu'à sa gueule. s'il était le genre de gars à réfléchir avant d'agir ça se saurait. ses dents se serrent, il grogne comme un chien enragé. il est si proche de ce visage qui lui ressemble que ça lui fout un peu plus la trouille. affoler par cette proximité soudaine avec son double, il s'écarte de lui. il a besoin d'espace, de distance. il se retrouve d'un coup face à ce qu'il redoutait le plus : lui. et bien que ce type n'est que son apparence en commun avec lui, la confrontation est déroutante. « qu'est-ce que tu veux d'moi ? » il demandait ça comme si celui qui le confrontait avait les réponse à tout ce bordel. mais les avaient-ils ? est-ce que lui aussi était tout aussi perdu par tout ce qui se passait ? les questions fusaient dans la caboche de kouki et il voulait faire ce qu'il savait faire de mieux: fuir le plus loin possible et ne jamais avoir à revivre ça.
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kouki & naoya
il suffit d'un instant pour que kouki se pense fou. un bref instant qui le rend plus agressif, plus violent d'un coup. il ne réfléchit pas. ce type en face de lui lui ressemble. c'est lui, il a les mêmes yeux, les mêmes lèvres, la même carrure, tout est identique. kouki ne comprend pas et ne cherche pas vraiment à comprendre. il a tellement eu d'hallucinations à cause de la drogue qu'il finit par penser que tout ça est encore une malfonction de son cerveau. mais tout semble si réel, trop réel à son goût alors son premier réflexe, c'est de frappé, de tout de suite agir de façon impulsive et agressive. à quoi bon chercher à comprendre quand on a apprit à frapper avant de réfléchir. un coup de poing en plein dans la mâchoire lui offre une preuve que tout ceci est bel et bien réel et qu'il ne rêve pas. il n'est pas dans un de ses cauchemar où il se retrouve nez à nez avec lui-même. ce n'est pas un message de son inconscience, c'est la réalité. une réalité qu'il découvre de manière si soudaine. il ne pige pas, il ne veut pas piger. alors quoi faire ? continuer de montrer les dents à ce qui l'effraie. la situation lui fait peur, le tétanise même s'il ne veut pas le montrer. il hurle sur ce double dans l'espoir qu'il s'en aille ou qu'il lui offre une explication. l'autre lui ouvre la bouche dans un langage qu'il ne comprend pas. kouki croit reconnaître du japonais mais il n'en ai pas certain. il continue de s'approcher de lui, le bras lever en l'air, prêt à lui refaire le portrait. c'est en anglais qu'il s'exprime ensuite. kouki grogne un peu plus alors que son pseudo agresseur semble vouloir s'expliquer d'une toute autre manière. le danseur baisse le bras, sans pour autant se détendre, il est toujours craintif comme un animal sauvage. « pas frapper moi ! d-désolé. » kouki fronce les sourcils aux fur et à mesure que son autre lui s'exprime, il découvre que celui-ci ne semble pas parler le coréen. et ça a le dont de rendre kouki un peu plus craintif et donc en colère. la situation semble si étrange pour lui, il n'assimile pas tout ce qu'il se passe devant lui. il fixe l'inconnu comme un ovni, il est à la fois intrigué et effrayé. « j'veux... pas faire mal à toi. » kouki n'avait pas rêver encore une fois, son interlocuteur ne parlait pas bien le coréen et le strip teaseur se demanda si tout ceci n'était pas qu'une mauvaise blague. s'il y a bien une chose qu'il détestait c'était les blagues de ce genre, si ce type, en plus de lui ressembler, se foutait de sa gueule, il allait très vite comprendre que kouki n'est pas d'humeur à rire. sans chercher à réfléchir, le coréen s'approche à nouveau de son double mais cette fois, il vient l'attraper par le col et le plaque violemment contre le mur. « te fous pas d'ma gueule, putain qu'est-ce que t'es? pourquoi tu m'ressemble? » toujours sur la défensive, kouki crache ses questions au visage de celui qui semble tout aussi perdu que lui. mais ça kouki ne le voit pas, il s'en fout de ça. il ne pense qu'à sa gueule. s'il était le genre de gars à réfléchir avant d'agir ça se saurait. ses dents se serrent, il grogne comme un chien enragé. il est si proche de ce visage qui lui ressemble que ça lui fout un peu plus la trouille. affoler par cette proximité soudaine avec son double, il s'écarte de lui. il a besoin d'espace, de distance. il se retrouve d'un coup face à ce qu'il redoutait le plus : lui. et bien que ce type n'est que son apparence en commun avec lui, la confrontation est déroutante. « qu'est-ce que tu veux d'moi ? » il demandait ça comme si celui qui le confrontait avait les réponse à tout ce bordel. mais les avaient-ils ? est-ce que lui aussi était tout aussi perdu par tout ce qui se passait ? les questions fusaient dans la caboche de kouki et il voulait faire ce qu'il savait faire de mieux: fuir le plus loin possible et ne jamais avoir à revivre ça.Invité
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Re: the mirror of truth (twins) | Jeu 26 Juil - 1:17
tu ne comprends rien à ce qu'il se passe. comment pourrais-tu ? et putain, t'as horreur de ça. t'aimes pas ne pas comprendre les choses, et là, t'es paumé. t'as même pas une seule explication à tout ce qu'il se passe. le pire dans cette histoire ? ton double t'agresse, il te crache à la gueule, tu te remets à peine de la droite que tu viens de te prendre. malgré l'incompréhension la plus totale et cette panique qui te saute à la gorge, tu trouves tout de même un peu de lucidité. dès qu'il s'approche de toi, tu reprends la parole, dans un coréen merdique. déjà qu'il n'est pas parfait, mais là qu'on te retire la capacité de réfléchir, c'est pire que tout. tu ne veux pas lui faire du mal. tu peux comprendre le coup de poing, ce n'est pas comme si tu l'avais accosté de la meilleure des manières. alors tu lui dis aussitôt que tu ne veux pas lui faire de mal. mais t'as du mal t'exprimer, ou alors clairement, il s'en fout. puisqu'il t'attrape brutalement par le col, il te plaque contre le mur d'une telle violence qu'un gémissement de surprise, mêlé à un gémissement de douleur, s'échappe d'entre tes lèvres. il reprend la parole, t'es pas sûr de tout comprendre mais tu penses avoir compris une bonne partie de sa phrase. il ne décolère pas, ton regard planté dans le sien, son regard fait froid dans le dos. tu as l'impression de faire face à ton double plus sombre que tu ne l'es. toi, en plus violent, en moins patient. toi, en sauvage. « j'en sais rien ! je comprends rien, je comprends même pas quand tu me parles. » reprends-tu aussitôt, d'une voix aussi haute que la sienne. tu parles en japonais, parce que clairement, t'as même pas le temps de réfléchir. il utilise ce ton menaçant comme si tu pouvais lui apporter des réponses, mais t'en as pas. c'est bien ça le problème d'ailleurs. et ça te fait perdre les pédales, t'as horreur de ça. t'es loin d'être impulsif comme garçon, tu lâches juste la pression, et c'est ce que ce garçon provoque en toi quand il agit de cette manière, quand il te crache ces mots comme si tu étais responsable de tout ce qu'il se passait. ce qu'il ne lui plaît pas, en l’occurrence. tu déposes tes mains sur les siennes, prêt à le repousser comme si tu avais besoin d'une distance pour y remettre un minimum de l'ordre dans ta tête. clairement, il ne t'aide pas. pourtant, il finit par s'écarter de toi. tu continues de le fixer, de le dévisager même, tes sourcils froncés, tu tentes de te concentrer sur les moindres détails de son visage. et le moindre détail t'effraye. l'identique. pareil. un copié/collé. qu'est-ce que ça veut dire ? c'est peut-être évident, mais ta vie se bouscule un peu trop pour que tu puisses y retrouver ne serait-ce qu'une hypothèse, du moins, pour le moment. « ok... » reprends-tu, calmement. ça sert à rien de réagir comme ça, ça ne va pas vous aider. bordel, et vous ne parlez même pas la même langue. ça te rend fou, ça. raison de plus pour calmer la situation, non ? prendre sur toi. tu veux lui demander s'il parvient à parler anglais mais tu ne le fais pas, t'as l'impression qu'un rien pourrait l'énerver, tu préfères pas. toi, tu veux des réponses, tu veux comprendre, t'as pas envie de te battre avec lui malgré ce qu'il vient de faire. il faut dire, t'es beaucoup trop bousculé pour te rendre compte de grand chose. tu restes collé contre ce mur, incapable de bouger, comme si tes jambes pouvaient te lâcher à tout moment. tu te sens tellement bizarre, cette panique naissant de cette incompréhension, perturbé de voir ses réactions. il te ressemble, mais tu n'as rien à voir avec lui. qu'est-ce qu'il se passe ? « je m'appelle naoya. » tu tentes d'être le plus calme possible, tu lui balances quelques mots dans sa langue. il s'en foutra sûrement de ton nom, mais qu'est-ce que tu peux lui dire de plus ? lui expliquer ? t'en sais pas plus que lui, alors tu te répètes. « je m'appelle naoya, et... je suis- japonais. » impossible, tes parents n'ont pas pu te cacher l'existence d'un jumeau. ils n'auraient pas pu l'abandonner, c'est pas possible. toutes les possibilités qui te traversent l'esprit ne peuvent être vraies... ou alors, peut-être que tu es juste effrayé à l'idée qu'elles le soient. « je suis.. ici, en corée, depuis- peu longtemps. » ton accent se souligne, tu peines à prononcer certains mots. tu veux être le plus clair possible mais tes ressentis t'empêchent de te concentrer pleinement. pourtant, la détermination de comprendre ce qu'il se passe te pousse à te surpasser.
the mirror of truth
kouki & naoya
tu ne comprends rien à ce qu'il se passe. comment pourrais-tu ? et putain, t'as horreur de ça. t'aimes pas ne pas comprendre les choses, et là, t'es paumé. t'as même pas une seule explication à tout ce qu'il se passe. le pire dans cette histoire ? ton double t'agresse, il te crache à la gueule, tu te remets à peine de la droite que tu viens de te prendre. malgré l'incompréhension la plus totale et cette panique qui te saute à la gorge, tu trouves tout de même un peu de lucidité. dès qu'il s'approche de toi, tu reprends la parole, dans un coréen merdique. déjà qu'il n'est pas parfait, mais là qu'on te retire la capacité de réfléchir, c'est pire que tout. tu ne veux pas lui faire du mal. tu peux comprendre le coup de poing, ce n'est pas comme si tu l'avais accosté de la meilleure des manières. alors tu lui dis aussitôt que tu ne veux pas lui faire de mal. mais t'as du mal t'exprimer, ou alors clairement, il s'en fout. puisqu'il t'attrape brutalement par le col, il te plaque contre le mur d'une telle violence qu'un gémissement de surprise, mêlé à un gémissement de douleur, s'échappe d'entre tes lèvres. il reprend la parole, t'es pas sûr de tout comprendre mais tu penses avoir compris une bonne partie de sa phrase. il ne décolère pas, ton regard planté dans le sien, son regard fait froid dans le dos. tu as l'impression de faire face à ton double plus sombre que tu ne l'es. toi, en plus violent, en moins patient. toi, en sauvage. « j'en sais rien ! je comprends rien, je comprends même pas quand tu me parles. » reprends-tu aussitôt, d'une voix aussi haute que la sienne. tu parles en japonais, parce que clairement, t'as même pas le temps de réfléchir. il utilise ce ton menaçant comme si tu pouvais lui apporter des réponses, mais t'en as pas. c'est bien ça le problème d'ailleurs. et ça te fait perdre les pédales, t'as horreur de ça. t'es loin d'être impulsif comme garçon, tu lâches juste la pression, et c'est ce que ce garçon provoque en toi quand il agit de cette manière, quand il te crache ces mots comme si tu étais responsable de tout ce qu'il se passait. ce qu'il ne lui plaît pas, en l’occurrence. tu déposes tes mains sur les siennes, prêt à le repousser comme si tu avais besoin d'une distance pour y remettre un minimum de l'ordre dans ta tête. clairement, il ne t'aide pas. pourtant, il finit par s'écarter de toi. tu continues de le fixer, de le dévisager même, tes sourcils froncés, tu tentes de te concentrer sur les moindres détails de son visage. et le moindre détail t'effraye. l'identique. pareil. un copié/collé. qu'est-ce que ça veut dire ? c'est peut-être évident, mais ta vie se bouscule un peu trop pour que tu puisses y retrouver ne serait-ce qu'une hypothèse, du moins, pour le moment. « ok... » reprends-tu, calmement. ça sert à rien de réagir comme ça, ça ne va pas vous aider. bordel, et vous ne parlez même pas la même langue. ça te rend fou, ça. raison de plus pour calmer la situation, non ? prendre sur toi. tu veux lui demander s'il parvient à parler anglais mais tu ne le fais pas, t'as l'impression qu'un rien pourrait l'énerver, tu préfères pas. toi, tu veux des réponses, tu veux comprendre, t'as pas envie de te battre avec lui malgré ce qu'il vient de faire. il faut dire, t'es beaucoup trop bousculé pour te rendre compte de grand chose. tu restes collé contre ce mur, incapable de bouger, comme si tes jambes pouvaient te lâcher à tout moment. tu te sens tellement bizarre, cette panique naissant de cette incompréhension, perturbé de voir ses réactions. il te ressemble, mais tu n'as rien à voir avec lui. qu'est-ce qu'il se passe ? « je m'appelle naoya. » tu tentes d'être le plus calme possible, tu lui balances quelques mots dans sa langue. il s'en foutra sûrement de ton nom, mais qu'est-ce que tu peux lui dire de plus ? lui expliquer ? t'en sais pas plus que lui, alors tu te répètes. « je m'appelle naoya, et... je suis- japonais. » impossible, tes parents n'ont pas pu te cacher l'existence d'un jumeau. ils n'auraient pas pu l'abandonner, c'est pas possible. toutes les possibilités qui te traversent l'esprit ne peuvent être vraies... ou alors, peut-être que tu es juste effrayé à l'idée qu'elles le soient. « je suis.. ici, en corée, depuis- peu longtemps. » ton accent se souligne, tu peines à prononcer certains mots. tu veux être le plus clair possible mais tes ressentis t'empêchent de te concentrer pleinement. pourtant, la détermination de comprendre ce qu'il se passe te pousse à te surpasser.Invité
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Re: the mirror of truth (twins) | Ven 17 Aoû - 15:52
oui, kouki croit à l’hallucination, au cauchemar même. il a la sensation d’être dans un mauvais rêve tant la situation semble totalement folle. pourquoi il aurait un double dans la vie réelle? ça parait être du délire. il a pourtant arrêté la drogue, il y a bien longtemps de ça. et ce soir il n’a pas bu. alors c’est quoi l’explication? si seulement kouki voulait comprendre, si seulement sa peur ne le poussait pas à vouloir fuir. le gamin est bien trop fucked up pour vouloir comprendre quoique ce soit, lui tout ce qu’il veut c’est se réveiller, sortir de cette hallucination qui le fait flipper. il tremble un peu, les frissons d’une peur qui le hante tous les jours. il a l’impression d’être coincé ici dans une réalité parallèle en compagnie de son double qui lui parle un langage qu’il ne comprend pas non plus. l’envie de hurler dans l’espoir que ça mette fin à cette enfer mais il n’en trouve pas la force. simplement, il se recule. son agressivité reste la même, il jappe à son autre lui comme un chien qu’on aurait attaqué. l’autre en face de lui répond aussitôt sur le même ton, jappant à son tour sauf que kouki ne comprend rien à ce qu’il lui dit. à nouveau, il entend du japonais. est-il entrain de sombrer dans la folie? kouki approche ses mains contre ses tempes. si tout ça n’est pas réel, si tout ça n’est qu’un cauchemar de plus, pourquoi ne se réveille-t-il pas? ses jambes ne semblent pas vouloir le laisser partir, elles ne veulent pas qu’il s’échappe, comme s’il devait faire face à ce qu’il redoute. il relève la tête quand son interlocuteur parle enfin coréen. il lui donne son nom. kouki ne réagit pas, simplement il le fixe clignant des yeux. le danseur était complètement perdu, il était supposé répondre quoi? faire comme s’il voulait en apprendre plus sur lui, alors que c’était clairement tout l’inverse, kouki ne voulait rien savoir, juste s’enfuir le plus loin possible d’ici. ce fameux naoya continue de lui parler, il lui explique qu’il est japonais, qu’il est ici depuis peu. son coréen est approximatif, il bute sur tous les mots. kouki doit laisser de côté son agressivité, sa peur mais il en est incapable. encore une fois, sa solution actuelle, c’est de prendre ses jambes à son cou, partir le plus loin de lui et ne jamais le revoir. « j’veux pas savoir qui t’es, j’veux que tu t’en aille de ma tête. » il était sur la défensive, il tremblait un peu plus et prit encore des distances, reculant d’un pas. son double voulait probablement comprendre la situation, mais pas kouki. il se pensait encore dans un de ses cauchemars qu’il fait à répétition et qui le fait se réveiller en sueur dans son lit, tétanisé par la peur. d’un pas, il recule encore pour ne pas avoir à le frapper de nouveau et se rendre compte qu’il est bel et bien réel. quand il l’a frappé, il a bien vu que ce naoya existait bel et bien. mais kouki est bien trop borné, il persiste à croire qu’il est dans un cauchemar qui prendra fin bientôt quand il aura trouvé le moyen de fuir le plus loin possible. « ne t’approche pas d’moi ! » menace-t-il tendant le bras devant lui. non, qu’il ne s’approche pas, qu’il ne cherche même plus à vouloir entrer en contact avec lui. il finit par arrivé dos au mur, dans l’impossibilité de reculer plus. son coeur battait vite. trop vite, il l’entendait taper fort dans ses veines. il baissa la tête, s’essuyant le front. dans sa tête, c’était le chaos complet, hiroshima puissance dix. il n’en pouvait plus. « laisse moi tranquille… » murmura-t-il, le souffle coupé. abattu par tout ça, le bordel dans sa tête lui faisait perdre un peu plus son souffle. il avait besoin d’espace, de distance pour ne plus étouffer.
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kouki & naoya
oui, kouki croit à l’hallucination, au cauchemar même. il a la sensation d’être dans un mauvais rêve tant la situation semble totalement folle. pourquoi il aurait un double dans la vie réelle? ça parait être du délire. il a pourtant arrêté la drogue, il y a bien longtemps de ça. et ce soir il n’a pas bu. alors c’est quoi l’explication? si seulement kouki voulait comprendre, si seulement sa peur ne le poussait pas à vouloir fuir. le gamin est bien trop fucked up pour vouloir comprendre quoique ce soit, lui tout ce qu’il veut c’est se réveiller, sortir de cette hallucination qui le fait flipper. il tremble un peu, les frissons d’une peur qui le hante tous les jours. il a l’impression d’être coincé ici dans une réalité parallèle en compagnie de son double qui lui parle un langage qu’il ne comprend pas non plus. l’envie de hurler dans l’espoir que ça mette fin à cette enfer mais il n’en trouve pas la force. simplement, il se recule. son agressivité reste la même, il jappe à son autre lui comme un chien qu’on aurait attaqué. l’autre en face de lui répond aussitôt sur le même ton, jappant à son tour sauf que kouki ne comprend rien à ce qu’il lui dit. à nouveau, il entend du japonais. est-il entrain de sombrer dans la folie? kouki approche ses mains contre ses tempes. si tout ça n’est pas réel, si tout ça n’est qu’un cauchemar de plus, pourquoi ne se réveille-t-il pas? ses jambes ne semblent pas vouloir le laisser partir, elles ne veulent pas qu’il s’échappe, comme s’il devait faire face à ce qu’il redoute. il relève la tête quand son interlocuteur parle enfin coréen. il lui donne son nom. kouki ne réagit pas, simplement il le fixe clignant des yeux. le danseur était complètement perdu, il était supposé répondre quoi? faire comme s’il voulait en apprendre plus sur lui, alors que c’était clairement tout l’inverse, kouki ne voulait rien savoir, juste s’enfuir le plus loin possible d’ici. ce fameux naoya continue de lui parler, il lui explique qu’il est japonais, qu’il est ici depuis peu. son coréen est approximatif, il bute sur tous les mots. kouki doit laisser de côté son agressivité, sa peur mais il en est incapable. encore une fois, sa solution actuelle, c’est de prendre ses jambes à son cou, partir le plus loin de lui et ne jamais le revoir. « j’veux pas savoir qui t’es, j’veux que tu t’en aille de ma tête. » il était sur la défensive, il tremblait un peu plus et prit encore des distances, reculant d’un pas. son double voulait probablement comprendre la situation, mais pas kouki. il se pensait encore dans un de ses cauchemars qu’il fait à répétition et qui le fait se réveiller en sueur dans son lit, tétanisé par la peur. d’un pas, il recule encore pour ne pas avoir à le frapper de nouveau et se rendre compte qu’il est bel et bien réel. quand il l’a frappé, il a bien vu que ce naoya existait bel et bien. mais kouki est bien trop borné, il persiste à croire qu’il est dans un cauchemar qui prendra fin bientôt quand il aura trouvé le moyen de fuir le plus loin possible. « ne t’approche pas d’moi ! » menace-t-il tendant le bras devant lui. non, qu’il ne s’approche pas, qu’il ne cherche même plus à vouloir entrer en contact avec lui. il finit par arrivé dos au mur, dans l’impossibilité de reculer plus. son coeur battait vite. trop vite, il l’entendait taper fort dans ses veines. il baissa la tête, s’essuyant le front. dans sa tête, c’était le chaos complet, hiroshima puissance dix. il n’en pouvait plus. « laisse moi tranquille… » murmura-t-il, le souffle coupé. abattu par tout ça, le bordel dans sa tête lui faisait perdre un peu plus son souffle. il avait besoin d’espace, de distance pour ne plus étouffer.Invité
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Re: the mirror of truth (twins) | Mer 22 Aoû - 23:42
c’était effrayant ce qu’il se passait, c’était lui, une parfaite copie. lui, dans une autre vie. physiquement naoya, mais ce n’était pas lui. s’il comprenait quelque chose ? rien de rien, l’angoisse l’étranglait, lui qui détestait ne pas comprendre, voilà qu’on le foutait dans une telle situation. le pire ? son double en face ne voulait pas coopérer, naoya l’avait bien compris. il voulait qu’il s’en aille, ne plus jamais le voir. pourquoi il ne voulait pas comprendre ? il lui avait pourtant dit qu’il ne lui voulait aucun mal, il lui avait même prouvé malgré que cette rencontre ne se soit pas faite dans de bonnes conditions. c’était vers lui qu’il avait été poussé, et il comprit pourquoi. c’était la seule chose qu’il parvenait à comprendre, le reste, tout lui échappait. et il avait peur naoya, qu’est-ce que tout ça pouvait signifier ? il avait l’impression que sa vie basculait du tout au tout. que sa vie n’était qu’un mensonge depuis le début, qu’au final, il s’était toujours trompé de chemin. des tas de sentiments qui formèrent cette boule au fond de son ventre. il avait aussi compris que son double était dans le même état que lui, mais il pensait sans doute rêver. naoya lui, avait bel et bien compris qu’il ne se trouvait pas dans un rêve, ces ressentis bien trop destabilisant étaient beaucoup trop fort pour ça. pour preuve, il perdait ses moyens. parce qu’il avait peur, seulement, il n’était même pas certain qu’il en ressentait vraiment. au fond, oui, il avait peur. peur de découvrir une vérité qui ne lui plairait pas, peur de découvrir un lourd secret, mais il avait cette impression de ressentir la sienne aussi. c’était étrange, déroutant. tellement qu’il parvint enfin à retrouver son calme, il devait comprendre, alors il se présenta comme il le pouvait, dans un coréen maladroit, comme d’habitude, et ses émotions ne l’aidaient clairement pas sur ce coup là. mais il s’en fichait de savoir qui c’était, c’était ses mots, il voulait juste qu’il.. sorte de sa tête ? naoya fronça les sourcils, il était totalement perturbé, perdu, tout se bousculait dans sa tête. son double lui prouva clairement qu’il n’y croyait pas ses yeux, et même si naoya avait gardé difficilement les deux pieds sur terre, il garda aussi le silence. il s’éloigna de lui, comme si c’était un monstre, un danger pour lui. il avait clairement peur de lui, c’était bien l’une des rares fois où ça arrivait, les seules fois où on craignait naoya, c’était lorsqu’il était avec son grand frère, mais le japonais ne ferait pas de mal à une mouche. la voix de son double s’éleva de nouveau, lui hurlant de ne pas s’approcher au moment où naoya tenta de faire un pas vers lui. pas qu’il stoppa aussitôt, il n’allait pas aller contre sa volonté pour des raisons qu’il avait déjà énoncées : il ne lui voulait aucun mal. « je.. approcher pas. » putain, ça voulait rien dire, il perdait totalement les pédales, ses ressentis commençaient doucement à lui ronger son être. il apporta même ses deux mains sur ses tempes, il voulait que tout ce brouhaha dans son esprit cesse, que ces idées, ces réponses qui pourraient avoir à cette histoire le chamboulerait totalement. « je.. veux pas faire du mal. » il l’avait dit, mais il se répétait. peut-être qu’il avait besoin de l’entendre mais naoya savait que ça ne changerait rien, il savait même plus s’il s’adressait à ce type ou à lui-même, il voulait seulement arrêter d’être si mal. parce que son double tremblait, il était au plus bas, il avait peur, et ça lui faisait peur. c’était étrange comme sensation, mais il savait à quel point il se sentait mal, parce qu’il le ressentait, et ce sentiment était fort, trop imposant, trop.. trop soudain. il lui disait de le laisser tranquille, comme si naoya avait de mauvaises intentions envers lui, alors qu’il était aussi perdu que son interlocuteur. « je s-..uis désolé. » il se sentait coupable et pour de nombreuses raisons. c’était inconsciemment de sa faute s’il était dans cet état, et il n’était même pas foutu de faire quoi que ce soit. il était beaucoup trop abasourdi pour ça, tellement qu’il n’entendait même pas son frère l’appeler, au loin. il recula encore d’un pas, comme pour mettre son double en confiance. « mais je vais aider nous deux. je promets.. » il trouvera une solution, il trouvera, il ne le laissera pas comme ça, et il essaya de lui faire comprendre, mais dans un hurlement, la voix de son grand-frère lui fit tourner la tête. quelques secondes avant de revenir là où il en était, du moins, c’était ce qu’il croyait, puisqu’il aperçut son double fuir. « no ! wait ! » la panique lui fit retrouver l’utilité de ses jambes tremblantes, il essayait de le rattraper, courant jusqu’au coin de la rue, puis s’arrêta brutalement par la main de son frère qu’il lui tenait le poignet. il le voyait partir mais il ne pouvait rien faire. « please.. » chuchota t-il, dans un soupir résonant du supplice. il devait comprendre, il devait savoir. ses émotions venaient de le cogner, l’après coup ? sûrement, puisque ses jambes ne parvenaient plus à le tenir. il se laissa même tomber au sol, ce à quoi akiya réagit vite, sans pour autant lui lâcher le poignet. « qu’est-ce que tu branles ?! » il secoua son bras, exerçant toujours cette pression sur lui. « t’as encore rien bouffé d'la journée c’est ça ?! » son regard se releva sur son grand-frère, il était perdu, totalement secoué par ce qu’il venait de vivre. sa vie n'avait plus aucun sens.
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c’était effrayant ce qu’il se passait, c’était lui, une parfaite copie. lui, dans une autre vie. physiquement naoya, mais ce n’était pas lui. s’il comprenait quelque chose ? rien de rien, l’angoisse l’étranglait, lui qui détestait ne pas comprendre, voilà qu’on le foutait dans une telle situation. le pire ? son double en face ne voulait pas coopérer, naoya l’avait bien compris. il voulait qu’il s’en aille, ne plus jamais le voir. pourquoi il ne voulait pas comprendre ? il lui avait pourtant dit qu’il ne lui voulait aucun mal, il lui avait même prouvé malgré que cette rencontre ne se soit pas faite dans de bonnes conditions. c’était vers lui qu’il avait été poussé, et il comprit pourquoi. c’était la seule chose qu’il parvenait à comprendre, le reste, tout lui échappait. et il avait peur naoya, qu’est-ce que tout ça pouvait signifier ? il avait l’impression que sa vie basculait du tout au tout. que sa vie n’était qu’un mensonge depuis le début, qu’au final, il s’était toujours trompé de chemin. des tas de sentiments qui formèrent cette boule au fond de son ventre. il avait aussi compris que son double était dans le même état que lui, mais il pensait sans doute rêver. naoya lui, avait bel et bien compris qu’il ne se trouvait pas dans un rêve, ces ressentis bien trop destabilisant étaient beaucoup trop fort pour ça. pour preuve, il perdait ses moyens. parce qu’il avait peur, seulement, il n’était même pas certain qu’il en ressentait vraiment. au fond, oui, il avait peur. peur de découvrir une vérité qui ne lui plairait pas, peur de découvrir un lourd secret, mais il avait cette impression de ressentir la sienne aussi. c’était étrange, déroutant. tellement qu’il parvint enfin à retrouver son calme, il devait comprendre, alors il se présenta comme il le pouvait, dans un coréen maladroit, comme d’habitude, et ses émotions ne l’aidaient clairement pas sur ce coup là. mais il s’en fichait de savoir qui c’était, c’était ses mots, il voulait juste qu’il.. sorte de sa tête ? naoya fronça les sourcils, il était totalement perturbé, perdu, tout se bousculait dans sa tête. son double lui prouva clairement qu’il n’y croyait pas ses yeux, et même si naoya avait gardé difficilement les deux pieds sur terre, il garda aussi le silence. il s’éloigna de lui, comme si c’était un monstre, un danger pour lui. il avait clairement peur de lui, c’était bien l’une des rares fois où ça arrivait, les seules fois où on craignait naoya, c’était lorsqu’il était avec son grand frère, mais le japonais ne ferait pas de mal à une mouche. la voix de son double s’éleva de nouveau, lui hurlant de ne pas s’approcher au moment où naoya tenta de faire un pas vers lui. pas qu’il stoppa aussitôt, il n’allait pas aller contre sa volonté pour des raisons qu’il avait déjà énoncées : il ne lui voulait aucun mal. « je.. approcher pas. » putain, ça voulait rien dire, il perdait totalement les pédales, ses ressentis commençaient doucement à lui ronger son être. il apporta même ses deux mains sur ses tempes, il voulait que tout ce brouhaha dans son esprit cesse, que ces idées, ces réponses qui pourraient avoir à cette histoire le chamboulerait totalement. « je.. veux pas faire du mal. » il l’avait dit, mais il se répétait. peut-être qu’il avait besoin de l’entendre mais naoya savait que ça ne changerait rien, il savait même plus s’il s’adressait à ce type ou à lui-même, il voulait seulement arrêter d’être si mal. parce que son double tremblait, il était au plus bas, il avait peur, et ça lui faisait peur. c’était étrange comme sensation, mais il savait à quel point il se sentait mal, parce qu’il le ressentait, et ce sentiment était fort, trop imposant, trop.. trop soudain. il lui disait de le laisser tranquille, comme si naoya avait de mauvaises intentions envers lui, alors qu’il était aussi perdu que son interlocuteur. « je s-..uis désolé. » il se sentait coupable et pour de nombreuses raisons. c’était inconsciemment de sa faute s’il était dans cet état, et il n’était même pas foutu de faire quoi que ce soit. il était beaucoup trop abasourdi pour ça, tellement qu’il n’entendait même pas son frère l’appeler, au loin. il recula encore d’un pas, comme pour mettre son double en confiance. « mais je vais aider nous deux. je promets.. » il trouvera une solution, il trouvera, il ne le laissera pas comme ça, et il essaya de lui faire comprendre, mais dans un hurlement, la voix de son grand-frère lui fit tourner la tête. quelques secondes avant de revenir là où il en était, du moins, c’était ce qu’il croyait, puisqu’il aperçut son double fuir. « no ! wait ! » la panique lui fit retrouver l’utilité de ses jambes tremblantes, il essayait de le rattraper, courant jusqu’au coin de la rue, puis s’arrêta brutalement par la main de son frère qu’il lui tenait le poignet. il le voyait partir mais il ne pouvait rien faire. « please.. » chuchota t-il, dans un soupir résonant du supplice. il devait comprendre, il devait savoir. ses émotions venaient de le cogner, l’après coup ? sûrement, puisque ses jambes ne parvenaient plus à le tenir. il se laissa même tomber au sol, ce à quoi akiya réagit vite, sans pour autant lui lâcher le poignet. « qu’est-ce que tu branles ?! » il secoua son bras, exerçant toujours cette pression sur lui. « t’as encore rien bouffé d'la journée c’est ça ?! » son regard se releva sur son grand-frère, il était perdu, totalement secoué par ce qu’il venait de vivre. sa vie n'avait plus aucun sens.Contenu sponsorisé