time has gone; kuma
Invité
Invité
time has gone; kuma | Sam 23 Juin - 2:44 Citer EditerSupprimer
time has gone
tadashi venait de claquer la porte de chez lui. il resta quelques instants devant cette dernière, les yeux perdu dans le vide. il ne réalisait pas vraiment ce qu'il venait de se passer. ou plutôt à quoi il venait d'assister. avait-il réellement vu sa mère dans les bras de la voisine du 5ème ? est-ce qu'il les avait vraiment surprises entrain de s'embrasser ? la surprise avait été totale. non seulement sa mère refaisait sa vie après la mort de son père mais en plus, il apprenait que c'était avec une femme. la dernière chose ne le dérangeait pas. ni la première d'ailleurs, simplement, si sa mère commençait à passer à autre chose, ce n'était pas le cas pour lui. même après plus d'un an, l'absence de son père est lourde à porter au quotidien. et elle l'est pour toute la famille, y comprit ses frères. il n'avait pas encore fait le deuil et si sa mère était capable d'avancer, lui ne s'en sentait pas encore capable. ses émotions étaient complètement retournées. il avait besoin d'en discuter, de s'exprimer avec quelqu'un qu'il connaît bien. en première lieu, il avait penser à yury mais, même si son petit ami l'aurait écouter, il ne voulait pas lui imposer encore ses problèmes. du moins, pas tout de suite. alors il avait préféré faire appel à son meilleur ami. kuma connaissait sa mère, il connaissait aussi son père et il pouvait être de bons conseils quand il voulait. et là, tadashi avait grandement besoin de lui, ne serais-ce pour qu'on l'écoute. lorsqu'il se décida à descendre les escaliers à toute vitesse, il sorti de sa poche son téléphone et s'empressa d'écrire un sms à kuma.
le message s'envoya et tadashi poussa la porte de son immeuble, direction le métro le plus proche. il n'avait pas besoin d'en dire plus dans son message pour que kuma comprenne que quelque chose n'allait pas. il espérait juste que son ami pourrait répondre à son s.o.s.
tadashi venait de claquer la porte de chez lui. il resta quelques instants devant cette dernière, les yeux perdu dans le vide. il ne réalisait pas vraiment ce qu'il venait de se passer. ou plutôt à quoi il venait d'assister. avait-il réellement vu sa mère dans les bras de la voisine du 5ème ? est-ce qu'il les avait vraiment surprises entrain de s'embrasser ? la surprise avait été totale. non seulement sa mère refaisait sa vie après la mort de son père mais en plus, il apprenait que c'était avec une femme. la dernière chose ne le dérangeait pas. ni la première d'ailleurs, simplement, si sa mère commençait à passer à autre chose, ce n'était pas le cas pour lui. même après plus d'un an, l'absence de son père est lourde à porter au quotidien. et elle l'est pour toute la famille, y comprit ses frères. il n'avait pas encore fait le deuil et si sa mère était capable d'avancer, lui ne s'en sentait pas encore capable. ses émotions étaient complètement retournées. il avait besoin d'en discuter, de s'exprimer avec quelqu'un qu'il connaît bien. en première lieu, il avait penser à yury mais, même si son petit ami l'aurait écouter, il ne voulait pas lui imposer encore ses problèmes. du moins, pas tout de suite. alors il avait préféré faire appel à son meilleur ami. kuma connaissait sa mère, il connaissait aussi son père et il pouvait être de bons conseils quand il voulait. et là, tadashi avait grandement besoin de lui, ne serais-ce pour qu'on l'écoute. lorsqu'il se décida à descendre les escaliers à toute vitesse, il sorti de sa poche son téléphone et s'empressa d'écrire un sms à kuma.
kuma, t'es dispo ? faut que j'te parle, rejoins moi à notre bar habituel.
le message s'envoya et tadashi poussa la porte de son immeuble, direction le métro le plus proche. il n'avait pas besoin d'en dire plus dans son message pour que kuma comprenne que quelque chose n'allait pas. il espérait juste que son ami pourrait répondre à son s.o.s.
Invité
Invité
Re: time has gone; kuma | Mar 26 Juin - 22:47 Citer EditerSupprimer
time has gone
ta fille sur le canapé d'ayame, cela doit bien faire dix longues minutes qu'elle est scotché dans tes bras. sa tête nichée dans ton cou, ses bras autour de toi, tu viens de calmer une de ses crises de larmes. elle se détache de toi, tu viens essuyer ses joues encore humides, lui soufflant des mots rassurants. elle est tombée, elle essaye de courir sakura, seulement, elle ne tient pas encore correctement sur ses jambes. ayame revient près de toi, s'accroupissant à sa hauteur pour la rassurer elle aussi. « ça va ma puce, c'est rien. » souffle t-elle à votre fille. elle n'a rien, des petits bobos aux genoux mais c'est assez pour la mettre dans de sale état. « ça va aller? » lui demandes-tu, essuyant une dernière fois sa joue, elle hoche positivement la tête, malgré sa petite mine. elle s'est calmée, tout va bien. tu te redresses alors, déposant un baiser sur son front avant de te tourner vers ayame. « la prochaine fois qu'ton hm de petit-ami laisse traîner ses hm d'affaires c'est moi qui les dégage personnellement et ça passe par la fenêtre. » tu censures tes mots en présence de ta fille. tu tentes de garder un ton assez calme pour ne pas alerter sakura, mais t'es en colère comme tu l'es très rarement. et ayame le voit bien. il suffit de toucher à ta fille pour que tu changes complètement d'attitude. mais c'est ta fille. « il a pas fait attention, ça va kuma. » tu reportes très vite ton attention sur ta fille, l'enlaçant et la rassurant une dernière fois avant de partir vers la porte d'entrée. « j'viendrais la chercher dimanche soir. » « j'te la déposerai... »
tu grimpes dans ta voiture, soupirant tout en sortant tes clés de voiture quand tu entends ton téléphone sonner. profitant de ne pas avoir mis le contact, tu sors ton téléphone pour y lire un message de tadashi. tu fronces les sourcils. il faut qu'il te parle ? bon d'accord, là tout de suite, t'es à mille lieux d'imaginer le prie. ce n'est pas vraiment ton genre mais tu sais aussi que tadashi accumule les problèmes parfois, et qu'en ce moment, ce n'est pas le top, alors pour le coup, ça te rend tout de même inquiet.
ce n'est pas très loin, par chance, alors tu ne tardes pas à prendre la route, te dirigeant vers le bar et une fois arrivé à destination, quelques minutes plus tard, tu sors de ta voiture, arrivant sur les lieux. tadashi est déjà là, tu le rejoins très vite, prenant place sur le tabouret juste à côté de lui lançant un regard vers ta montre. « cinq minutes, j'avais dis dix. j'suis vraiment un meilleur ami parfait. » lâches-tu premièrement pour détendre un peu, encore une fois, t'espères que la situation n'est pas grave mais quand tu vois la tête que tire tadashi, tu abandonnes vite. tu perds ton sourire, t'es d'un coup plus sérieux. « qu'est-ce qu'il s'passe ? tu m'inquiètes là. » tu arques un sourcil. « tu peux pas mieux tomber, tel que tu m'vois j'arrête pas de soigner les bobos. » et t'es sérieux, en plus.
ta fille sur le canapé d'ayame, cela doit bien faire dix longues minutes qu'elle est scotché dans tes bras. sa tête nichée dans ton cou, ses bras autour de toi, tu viens de calmer une de ses crises de larmes. elle se détache de toi, tu viens essuyer ses joues encore humides, lui soufflant des mots rassurants. elle est tombée, elle essaye de courir sakura, seulement, elle ne tient pas encore correctement sur ses jambes. ayame revient près de toi, s'accroupissant à sa hauteur pour la rassurer elle aussi. « ça va ma puce, c'est rien. » souffle t-elle à votre fille. elle n'a rien, des petits bobos aux genoux mais c'est assez pour la mettre dans de sale état. « ça va aller? » lui demandes-tu, essuyant une dernière fois sa joue, elle hoche positivement la tête, malgré sa petite mine. elle s'est calmée, tout va bien. tu te redresses alors, déposant un baiser sur son front avant de te tourner vers ayame. « la prochaine fois qu'ton hm de petit-ami laisse traîner ses hm d'affaires c'est moi qui les dégage personnellement et ça passe par la fenêtre. » tu censures tes mots en présence de ta fille. tu tentes de garder un ton assez calme pour ne pas alerter sakura, mais t'es en colère comme tu l'es très rarement. et ayame le voit bien. il suffit de toucher à ta fille pour que tu changes complètement d'attitude. mais c'est ta fille. « il a pas fait attention, ça va kuma. » tu reportes très vite ton attention sur ta fille, l'enlaçant et la rassurant une dernière fois avant de partir vers la porte d'entrée. « j'viendrais la chercher dimanche soir. » « j'te la déposerai... »
tu grimpes dans ta voiture, soupirant tout en sortant tes clés de voiture quand tu entends ton téléphone sonner. profitant de ne pas avoir mis le contact, tu sors ton téléphone pour y lire un message de tadashi. tu fronces les sourcils. il faut qu'il te parle ? bon d'accord, là tout de suite, t'es à mille lieux d'imaginer le prie. ce n'est pas vraiment ton genre mais tu sais aussi que tadashi accumule les problèmes parfois, et qu'en ce moment, ce n'est pas le top, alors pour le coup, ça te rend tout de même inquiet.
j'suis là dans dix minutes
ce n'est pas très loin, par chance, alors tu ne tardes pas à prendre la route, te dirigeant vers le bar et une fois arrivé à destination, quelques minutes plus tard, tu sors de ta voiture, arrivant sur les lieux. tadashi est déjà là, tu le rejoins très vite, prenant place sur le tabouret juste à côté de lui lançant un regard vers ta montre. « cinq minutes, j'avais dis dix. j'suis vraiment un meilleur ami parfait. » lâches-tu premièrement pour détendre un peu, encore une fois, t'espères que la situation n'est pas grave mais quand tu vois la tête que tire tadashi, tu abandonnes vite. tu perds ton sourire, t'es d'un coup plus sérieux. « qu'est-ce qu'il s'passe ? tu m'inquiètes là. » tu arques un sourcil. « tu peux pas mieux tomber, tel que tu m'vois j'arrête pas de soigner les bobos. » et t'es sérieux, en plus.
Invité
Invité
Re: time has gone; kuma | Mar 31 Juil - 1:02 Citer EditerSupprimer
time has gone
t'étais un peu perturbé par ce que tu venais de voir. ça chamboulait quelque chose en toi. quelque chose ressurgissait en toi à cet instant, la tristesse, le deuil que tu n'avais pas su faire plus tôt. la mort de ton père te hantais encore et toujours et tu n'étais définitivement pas prêt à faire le deuil, sûrement parce que tu avais bien d'autre problème à réglé. toujours étant que la mort de ton père ne faisait pas parti des choses que tu voulais réglé. tu ne voulais pas le laissé partir, une partie de toi avait du mal à se faire à l'idée qu'il ne serait plus jamais dans ta vie. et voilà, qu'aujourd'hui, tu surprenais ta mère entrain d'embrasser quelqu'un d'autre, une femme qui plus est. ce n'est pas le fait qu'elle soit avec une femme qui te brusquait autant, c'était plutôt le fait que tu la voyait avancer dans sa vie, passer à autre chose alors que toi, tu n'avais pas su le faire. bien évidemment, chacun prenait son temps pour faire le deuil comme il l'entendait mais là, c'était ta mère. tu pensais qu'elle ne se remettrait jamais avec quelqu'un après ton père, mais elle venait de te prouver le contraire. et après tout c'était normal, elle avait le droit de refaire sa vie si elle le souhaitait mais toi, ça te chamboulait, ça remuait toute la tristesse à laquelle tu n'as pas fais face pendant tous ces mois. tu ressentais le besoin d'en parler, d'annoncer ça à quelqu'un et de pouvoir vider un peu ton sac. et pour ça, qui de mieux que kuma ? il était ton meilleur ami, ton fidèle confident et il connaissait tout de ta vie. il a toujours su être là pour toi, tu lui fais confiance pour t'écouter. alors après un sms envoyé, tu files jusqu'au bar où tu lui as donné rendez-vous, kuma ne tarde pas à te répondre et à te rejoindre aussi vite. il a comprit que quelque chose n'allait pas à la façon dont tu lui as répondu. à peine, tu as mit les pieds dans le bar que kuma arrive quelques minutes après. tu ne pensais pas le voir débarqué aussi vite, mais tu ne t'en plaignais pas. « cinq minutes, j'avais dis dix. j'suis vraiment un meilleur ami parfait. » tu te leva de ta chaise avant de t'asseoir en même temps que lui, tu le fixe ensuite le regard beaucoup trop sérieux face à ses paroles. c'était inquiétant de te voir comme ça, surtout quand on te connaissais comme lui te connaissais. tu préféra ne pas répondre, t'avais pas vraiment le cœur à ça, on pouvait le dire. tu finis pourtant par sourire légèrement devant ce qu'il pouvait te dire. kuma était quelqu'un de chill, parfois beaucoup trop et d'une certaine manière, aujourd'hui tu avais besoin de ce côté là de sa personne. il pouvait t'aider à voir les choses d'une façon totalement différente et c'est ce dont tu avais besoin. tu pris une longue inspiration avant de commencer. « j'en reviens pas, mec... » commença-tu simplement. « ma mère refait sa vie... je l'ai surpris entrain d'embrasser quelqu'un... » l'image te venait en tête, tu te revoyais ouvrir la porte et surprendre les deux ensemble. tu baissa la tête quelques secondes. tu n'y croyais toujours pas. puis pour finir, tu ajoutes simplement : « c'était la voisine du 5ème. » en relevant la tête vers kuma, rien dans ton expression n'affichait une quelconque joie. non, toi tu ne savais pas comment gérer tout ça. tu n'étais pas prêt à voir ta mère avec quelqu'un d'autre, ça te prouvait que l’entièreté de ta famille avait avancer dans sa vie excepté toi. alors peut-être que la situation pouvait sembler drôle d'un point de vue extérieur mais pour toi ça ne l'était pas. en tout cas, pas avec ce qu'elle impliquait à tes yeux.
t'étais un peu perturbé par ce que tu venais de voir. ça chamboulait quelque chose en toi. quelque chose ressurgissait en toi à cet instant, la tristesse, le deuil que tu n'avais pas su faire plus tôt. la mort de ton père te hantais encore et toujours et tu n'étais définitivement pas prêt à faire le deuil, sûrement parce que tu avais bien d'autre problème à réglé. toujours étant que la mort de ton père ne faisait pas parti des choses que tu voulais réglé. tu ne voulais pas le laissé partir, une partie de toi avait du mal à se faire à l'idée qu'il ne serait plus jamais dans ta vie. et voilà, qu'aujourd'hui, tu surprenais ta mère entrain d'embrasser quelqu'un d'autre, une femme qui plus est. ce n'est pas le fait qu'elle soit avec une femme qui te brusquait autant, c'était plutôt le fait que tu la voyait avancer dans sa vie, passer à autre chose alors que toi, tu n'avais pas su le faire. bien évidemment, chacun prenait son temps pour faire le deuil comme il l'entendait mais là, c'était ta mère. tu pensais qu'elle ne se remettrait jamais avec quelqu'un après ton père, mais elle venait de te prouver le contraire. et après tout c'était normal, elle avait le droit de refaire sa vie si elle le souhaitait mais toi, ça te chamboulait, ça remuait toute la tristesse à laquelle tu n'as pas fais face pendant tous ces mois. tu ressentais le besoin d'en parler, d'annoncer ça à quelqu'un et de pouvoir vider un peu ton sac. et pour ça, qui de mieux que kuma ? il était ton meilleur ami, ton fidèle confident et il connaissait tout de ta vie. il a toujours su être là pour toi, tu lui fais confiance pour t'écouter. alors après un sms envoyé, tu files jusqu'au bar où tu lui as donné rendez-vous, kuma ne tarde pas à te répondre et à te rejoindre aussi vite. il a comprit que quelque chose n'allait pas à la façon dont tu lui as répondu. à peine, tu as mit les pieds dans le bar que kuma arrive quelques minutes après. tu ne pensais pas le voir débarqué aussi vite, mais tu ne t'en plaignais pas. « cinq minutes, j'avais dis dix. j'suis vraiment un meilleur ami parfait. » tu te leva de ta chaise avant de t'asseoir en même temps que lui, tu le fixe ensuite le regard beaucoup trop sérieux face à ses paroles. c'était inquiétant de te voir comme ça, surtout quand on te connaissais comme lui te connaissais. tu préféra ne pas répondre, t'avais pas vraiment le cœur à ça, on pouvait le dire. tu finis pourtant par sourire légèrement devant ce qu'il pouvait te dire. kuma était quelqu'un de chill, parfois beaucoup trop et d'une certaine manière, aujourd'hui tu avais besoin de ce côté là de sa personne. il pouvait t'aider à voir les choses d'une façon totalement différente et c'est ce dont tu avais besoin. tu pris une longue inspiration avant de commencer. « j'en reviens pas, mec... » commença-tu simplement. « ma mère refait sa vie... je l'ai surpris entrain d'embrasser quelqu'un... » l'image te venait en tête, tu te revoyais ouvrir la porte et surprendre les deux ensemble. tu baissa la tête quelques secondes. tu n'y croyais toujours pas. puis pour finir, tu ajoutes simplement : « c'était la voisine du 5ème. » en relevant la tête vers kuma, rien dans ton expression n'affichait une quelconque joie. non, toi tu ne savais pas comment gérer tout ça. tu n'étais pas prêt à voir ta mère avec quelqu'un d'autre, ça te prouvait que l’entièreté de ta famille avait avancer dans sa vie excepté toi. alors peut-être que la situation pouvait sembler drôle d'un point de vue extérieur mais pour toi ça ne l'était pas. en tout cas, pas avec ce qu'elle impliquait à tes yeux.
Invité
Invité
Re: time has gone; kuma | Sam 11 Aoû - 1:34 Citer EditerSupprimer
time has gone
kuma était un mec détendu. on ne le voyait que très rarement paniquer, c’était une bonne comme une mauvaise chose. pourquoi une mauvaise ? certains pouvaient croire qu’avec cette attitude beaucoup trop détendue, le japonais avait tendance à en avoir rien à faire de beaucoup de choses. parfois, cela s’avérait être vrai, mais ça ne l’était pas totalement. il y avait une différence entre en avoir rien à faire, et prendre les choses autrement. dans certaines situations, cela ne servait à rien de paniquer et kuma l’avait bien compris. il n’a jamais paniqué quand ses parents l’ont jetés à la rue, il n’a jamais paniqué lorsque ses fins de mois étaient réellement difficiles et qu’il ne parvenait encore à gérer ses études et son nouveau travail de papa. la seule fois où kuma a baissé la garde, c’était chez son meilleur ami, tadashi. et la seule personne qui a assisté à ça, c’est maman sushi, la mère de tadashi. elle a été là pour lui prouver que ses doutes ne resteraient que des doutes, qu’il n’avait pas de quoi avoir peur, qu’il allait s’en sortir. et elle avait bien raison. kuma doit beaucoup de choses aux nagao, et il le sait bien, et puis, tadashi est l’une des personnes qui compte le plus pour lui dans ce monde. alors le voir dans cet état, malgré la personne qu’il est, kuma ne peut s’empêcher de ressentir une certaine inquiétude. si lui était plutôt chanceux dans la vie (et en avait conscience) ce n’était clairement pas le cas de tadashi. qu’est-ce qu’il s’est passé ? il a l’air sur le cul, mais pourquoi? le japonais hausse les sourcils, attendant des explications de la part de son meilleur ami, et il n’a pas besoin de demander quoi que ce soit, que tadashi lui annonce aussitôt que sa mère avait refait sa vie, et qu’il l’avait même surprise en train d’embrasser quelqu’un. la mine de kuma se détend aussitôt, laissant place à une expression plus compréhensive. il fallait que ça arrive, pas vrai ? mais il sait pourquoi tadashi réagit de cette manière… il n’a pas fait le deuil. le jeune homme baissa rapidement la tête, kuma, de son côté, prend une profonde et discrète inspiration. ça lui faisait mal de voir tadashi dans cet état, ce n’était pas de sa faute s’il n’avait toujours pas fait le deuil, c’était seulement brisant et déchirant à voir. cependant, lorsqu’il lui précisa qu’il s’agissait de la voisine du cinquième, kuma devient plus expressif, ses sourcils s’haussent, ses yeux se font aussi ronds que des boules de billard. « la.. voisine? » lâche t-il, dans un premier temps. non pas qu’il soit choqué de voir une femme avec une autre femme… ça serait bien un comble, ça, en sachant que kuma sautait sur tout ce qu’il bougeait. hommes, femmes, transgenres, transexuels… il n’avait aucune préférence, il était vraiment mal placé pour être choqué (et disons le, kuma était le genre de type que rien ne choquait) cependant, il ne s’attendait pas à imaginer la maman de tadashi avec une femme. mais il le sait, kuma, c’est le mauvais moment pour s’attardait sur ce détail. alors rapidement, sa main vient se placer sur l’épaule de tadashi. un geste de soutien, il exerça même une légère pression sur sa peau avant de plisser les lèvres. « c'est.. une bonne chose. » il mettait des pincettes, parce qu'encore une fois, il avait compris d'où venait le problème. « je suis vraiment content pour ta maman, elle se sentira sans doute moins seule… elle avait besoin d’avancer. » il ne parlait pas de ses enfants, mais d'une autre forme de présence que ni tadashi, ni kin, ni hiro pourront lui apporter. doucement, kuma retira sa main de l'épaule de tadashi. sa voix était douce, comme si seul le timbre de sa voix cherchait à le réconforter. « comme toi. » il n'y avait aucun reproche dans ce qu'il disait, et kuma savait au fond de lui que tadashi en avait conscience. à nouveau, il prend une discrète inspiration, se replaçant correctement sur sa chaise. « je sais que ça ne doit pas être simple pour toi, et que ç'a dû te faire quelque chose d'assister à ça... mais il fallait bien que ça arrive. la vie continue malgré tout. » encore une fois, kuma avait eu la chance de n'avoir jamais traversé un deuil mais ça ne l'empêche pas de soutenir son meilleur ami et de le comprendre. il peut imaginer à quel point ça doit être douloureux pour lui. et puis, kuma aussi connaissait bien le papa de la famille, il a tout vécu à travers eux. « puis toi non plus tu n'es pas seul tadashi, on sera tous là pour t'aider à avancer. » tous, y compris lui.
kuma était un mec détendu. on ne le voyait que très rarement paniquer, c’était une bonne comme une mauvaise chose. pourquoi une mauvaise ? certains pouvaient croire qu’avec cette attitude beaucoup trop détendue, le japonais avait tendance à en avoir rien à faire de beaucoup de choses. parfois, cela s’avérait être vrai, mais ça ne l’était pas totalement. il y avait une différence entre en avoir rien à faire, et prendre les choses autrement. dans certaines situations, cela ne servait à rien de paniquer et kuma l’avait bien compris. il n’a jamais paniqué quand ses parents l’ont jetés à la rue, il n’a jamais paniqué lorsque ses fins de mois étaient réellement difficiles et qu’il ne parvenait encore à gérer ses études et son nouveau travail de papa. la seule fois où kuma a baissé la garde, c’était chez son meilleur ami, tadashi. et la seule personne qui a assisté à ça, c’est maman sushi, la mère de tadashi. elle a été là pour lui prouver que ses doutes ne resteraient que des doutes, qu’il n’avait pas de quoi avoir peur, qu’il allait s’en sortir. et elle avait bien raison. kuma doit beaucoup de choses aux nagao, et il le sait bien, et puis, tadashi est l’une des personnes qui compte le plus pour lui dans ce monde. alors le voir dans cet état, malgré la personne qu’il est, kuma ne peut s’empêcher de ressentir une certaine inquiétude. si lui était plutôt chanceux dans la vie (et en avait conscience) ce n’était clairement pas le cas de tadashi. qu’est-ce qu’il s’est passé ? il a l’air sur le cul, mais pourquoi? le japonais hausse les sourcils, attendant des explications de la part de son meilleur ami, et il n’a pas besoin de demander quoi que ce soit, que tadashi lui annonce aussitôt que sa mère avait refait sa vie, et qu’il l’avait même surprise en train d’embrasser quelqu’un. la mine de kuma se détend aussitôt, laissant place à une expression plus compréhensive. il fallait que ça arrive, pas vrai ? mais il sait pourquoi tadashi réagit de cette manière… il n’a pas fait le deuil. le jeune homme baissa rapidement la tête, kuma, de son côté, prend une profonde et discrète inspiration. ça lui faisait mal de voir tadashi dans cet état, ce n’était pas de sa faute s’il n’avait toujours pas fait le deuil, c’était seulement brisant et déchirant à voir. cependant, lorsqu’il lui précisa qu’il s’agissait de la voisine du cinquième, kuma devient plus expressif, ses sourcils s’haussent, ses yeux se font aussi ronds que des boules de billard. « la.. voisine? » lâche t-il, dans un premier temps. non pas qu’il soit choqué de voir une femme avec une autre femme… ça serait bien un comble, ça, en sachant que kuma sautait sur tout ce qu’il bougeait. hommes, femmes, transgenres, transexuels… il n’avait aucune préférence, il était vraiment mal placé pour être choqué (et disons le, kuma était le genre de type que rien ne choquait) cependant, il ne s’attendait pas à imaginer la maman de tadashi avec une femme. mais il le sait, kuma, c’est le mauvais moment pour s’attardait sur ce détail. alors rapidement, sa main vient se placer sur l’épaule de tadashi. un geste de soutien, il exerça même une légère pression sur sa peau avant de plisser les lèvres. « c'est.. une bonne chose. » il mettait des pincettes, parce qu'encore une fois, il avait compris d'où venait le problème. « je suis vraiment content pour ta maman, elle se sentira sans doute moins seule… elle avait besoin d’avancer. » il ne parlait pas de ses enfants, mais d'une autre forme de présence que ni tadashi, ni kin, ni hiro pourront lui apporter. doucement, kuma retira sa main de l'épaule de tadashi. sa voix était douce, comme si seul le timbre de sa voix cherchait à le réconforter. « comme toi. » il n'y avait aucun reproche dans ce qu'il disait, et kuma savait au fond de lui que tadashi en avait conscience. à nouveau, il prend une discrète inspiration, se replaçant correctement sur sa chaise. « je sais que ça ne doit pas être simple pour toi, et que ç'a dû te faire quelque chose d'assister à ça... mais il fallait bien que ça arrive. la vie continue malgré tout. » encore une fois, kuma avait eu la chance de n'avoir jamais traversé un deuil mais ça ne l'empêche pas de soutenir son meilleur ami et de le comprendre. il peut imaginer à quel point ça doit être douloureux pour lui. et puis, kuma aussi connaissait bien le papa de la famille, il a tout vécu à travers eux. « puis toi non plus tu n'es pas seul tadashi, on sera tous là pour t'aider à avancer. » tous, y compris lui.
Contenu sponsorisé