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La cuisine : tout un art ! (ft. Iwan)
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La cuisine : tout un art ! (ft. Iwan) | Lun 2 Juil - 21:46
Regardant avec une attention particulière les quelques ingrédients posés sur la table, Jini tente, du mieux qu’elle peut, de deviner dans sa tête ce qui est exposé, essayant de savoir par avance le plat qu’elle va préparer avec son partenaire Iwan. Ou plutôt son professeur de cuisine. Depuis qu’il a été intoxiqué par les muffins de Jini lors du dernier noël de la fraternité, il a eu la merveilleuse idée de lui offrir pour son anniversaire un bon pour avoir des cours particuliers en sa charmante compagnie, en tant que chef-cuisinier, pour qu’elle puisse s’améliorer et éviter une nouvelle épidémie. En même temps ce n’est pas de sa faute si les pots se ressemblent ou si les aliments ne sont pas très clairs dans son esprit, ni même les quantités. Elle a toujours tendance à se tromper d’ingrédients, parfois même en prenant des choses qui ne sont pas des aliments, mais aussi les quantités, elle en met toujours top, et un trop qui rend ces plats immangeables. Elle a peut-être réussi juste une fois, à faire un gâteau, mais c’est tout. Et puis, elle est aussi reconnue parmi les étudiants comme étant celle qui a mis le feu à la cuisine de son propre dortoir. Autant dire que c’est une catastrophe ambulante quand ça concerne la cuisine, et pas que. Elle finit par se tourner vers Woo Jin, qui arrive au même moment où elle pose son doigt dans l’un des pots pour pouvoir goûter. Prise en plein flagrant délit. « On fait quoi aujourd’hui ? » dit-elle, d’un air tout à fait normal, excitée quand même à l’idée d’avoir son premier cours de cuisine.
La cuisine : tout un art !
Feat Iwan - Woo Jin
Regardant avec une attention particulière les quelques ingrédients posés sur la table, Jini tente, du mieux qu’elle peut, de deviner dans sa tête ce qui est exposé, essayant de savoir par avance le plat qu’elle va préparer avec son partenaire Iwan. Ou plutôt son professeur de cuisine. Depuis qu’il a été intoxiqué par les muffins de Jini lors du dernier noël de la fraternité, il a eu la merveilleuse idée de lui offrir pour son anniversaire un bon pour avoir des cours particuliers en sa charmante compagnie, en tant que chef-cuisinier, pour qu’elle puisse s’améliorer et éviter une nouvelle épidémie. En même temps ce n’est pas de sa faute si les pots se ressemblent ou si les aliments ne sont pas très clairs dans son esprit, ni même les quantités. Elle a toujours tendance à se tromper d’ingrédients, parfois même en prenant des choses qui ne sont pas des aliments, mais aussi les quantités, elle en met toujours top, et un trop qui rend ces plats immangeables. Elle a peut-être réussi juste une fois, à faire un gâteau, mais c’est tout. Et puis, elle est aussi reconnue parmi les étudiants comme étant celle qui a mis le feu à la cuisine de son propre dortoir. Autant dire que c’est une catastrophe ambulante quand ça concerne la cuisine, et pas que. Elle finit par se tourner vers Woo Jin, qui arrive au même moment où elle pose son doigt dans l’un des pots pour pouvoir goûter. Prise en plein flagrant délit. « On fait quoi aujourd’hui ? » dit-elle, d’un air tout à fait normal, excitée quand même à l’idée d’avoir son premier cours de cuisine. Invité
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Re: La cuisine : tout un art ! (ft. Iwan) | Ven 13 Juil - 12:51
Iwan n’avait jamais eu besoin d’apprendre à cuisiner. Son père était riche et c’était toujours les chefs de la maison qui préparaient les plats. En réalité, s’il avait appris cet art, c’était pour deux bonnes raisons. La première, c’était que sa mère avait toujours adoré la cuisine mais petit, il n’avait jamais pris ça au sérieux. Ce ne fut que lorsque sa mère fut décédée qu’en souvenir pour l’amour qu’elle portait à la cuisine, il commença à apprendre. La deuxième, c’était qu’il voulait être un bon mari pour Hera – car c’était l’époque où il venait de tomber amoureux d’elle et où il était encore persuadé qu’ils étaient destinés. Au final, en grandissant et encore maintenant, savoir cuisiner ne lui avait jamais été réellement utile. Il avait assez d’argent pour manger au restaurant tous les jours et il n’avait personne à impressionner avec une capacité aussi inutile. En dehors du basket, la cuisine était peut-être le seul domaine dans lequel il était doué. Du coup, histoire de rendre ce talent utile mais aussi afin d’éviter un nouvel incendie chez les sango, Iwan avait proposé à Jini un cours de cuisine. Il avait cru comprendre qu’elle était une réelle catastrophe, et s’il ne nourrissait nullement l’espoir de la rendre chef-cuisinière, il espérait pouvoir lui apprendre ne serait-ce qu’un plat correctement. Il avait réfléchi à un plat pas trop difficile mais qui pouvait quand même impressionner un minimum – si c’était pour cuisiner un bibimpap, autant aller au restaurant – et il avait trouvé un vrai classique, l’omurice. Pas très compliqué, pourtant très bon quand c’était réussi. Il fixa Jini quelques secondes lorsqu’il rentra – elle était déjà en train de voler des ingrédients ? - mais il ne releva pas et se plaça à côté d’elle. L’activité risquait d’être longue et difficile, mais il aimait les challenge. « On va faire une omurice. » Et il observa les ingrédients qu’il avait achetés au préalable et posés sur le comptoir : des œufs, des tomates, une carotte, un oignon, un poivron vert, du blanc de poulet, du ketchup, de l’ail, de la sauce d’huîtres et de la soupe de lait. Il avait aussi déjà faire cuire le riz, parce qu’il ne voulait pas perdre du temps pour quelque chose de si simple.
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Feat Jini
Iwan n’avait jamais eu besoin d’apprendre à cuisiner. Son père était riche et c’était toujours les chefs de la maison qui préparaient les plats. En réalité, s’il avait appris cet art, c’était pour deux bonnes raisons. La première, c’était que sa mère avait toujours adoré la cuisine mais petit, il n’avait jamais pris ça au sérieux. Ce ne fut que lorsque sa mère fut décédée qu’en souvenir pour l’amour qu’elle portait à la cuisine, il commença à apprendre. La deuxième, c’était qu’il voulait être un bon mari pour Hera – car c’était l’époque où il venait de tomber amoureux d’elle et où il était encore persuadé qu’ils étaient destinés. Au final, en grandissant et encore maintenant, savoir cuisiner ne lui avait jamais été réellement utile. Il avait assez d’argent pour manger au restaurant tous les jours et il n’avait personne à impressionner avec une capacité aussi inutile. En dehors du basket, la cuisine était peut-être le seul domaine dans lequel il était doué. Du coup, histoire de rendre ce talent utile mais aussi afin d’éviter un nouvel incendie chez les sango, Iwan avait proposé à Jini un cours de cuisine. Il avait cru comprendre qu’elle était une réelle catastrophe, et s’il ne nourrissait nullement l’espoir de la rendre chef-cuisinière, il espérait pouvoir lui apprendre ne serait-ce qu’un plat correctement. Il avait réfléchi à un plat pas trop difficile mais qui pouvait quand même impressionner un minimum – si c’était pour cuisiner un bibimpap, autant aller au restaurant – et il avait trouvé un vrai classique, l’omurice. Pas très compliqué, pourtant très bon quand c’était réussi. Il fixa Jini quelques secondes lorsqu’il rentra – elle était déjà en train de voler des ingrédients ? - mais il ne releva pas et se plaça à côté d’elle. L’activité risquait d’être longue et difficile, mais il aimait les challenge. « On va faire une omurice. » Et il observa les ingrédients qu’il avait achetés au préalable et posés sur le comptoir : des œufs, des tomates, une carotte, un oignon, un poivron vert, du blanc de poulet, du ketchup, de l’ail, de la sauce d’huîtres et de la soupe de lait. Il avait aussi déjà faire cuire le riz, parce qu’il ne voulait pas perdre du temps pour quelque chose de si simple. Invité
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Re: La cuisine : tout un art ! (ft. Iwan) | Sam 14 Juil - 21:16
Jini arque un sourcil lorsqu’il lui révèle l’activité du jour, enfin plutôt le plat du jour. Elle le fixe intensément du regard, essayant de se souvenir à quoi ça ressemble une omurice, encore. Non pas qu’elle soit dotée de peu de neurones, mais c’est juste que tant que ça se mange, elle ne cherche pas toujours à connaître le nom ou même la composition. Certes, elle fait attention quand ça concerne certaines nationalités, comme l’Indien par exemple. « Ah » dit-elle en tapant dans ses mains, « l’omelette japonais ! Easy », dit-elle avec un grand sourire, semblant confiante, alors que les œufs et elle, ça fait beaucoup. Surtout si c’est pour retourner dans la casserole, il risque d’y avoir du meurtre. « Est-ce qu’on va faire la toute simple ou celle qui gigote comme dans les vidéos », elle sort son téléphone et lui sort une vidéo d’une omurice qui a l’air tout doux, tout léger, comme sur un nuage, mais très certainement très compliqué à faire. Déjà qu’elle va avoir du mal à faire celle de base, il ne faudrait pas qu’elle se mette trop de pression. « T’as vu comment ça a l’air tout doux, tout bon. Mais je ne pense pas qu’on va en faire une comme ça n’est-ce pas ? On va faire la simple ? ». Enfin simple, c’est un bien grand mot pour la coréenne. « Ah et de ce que je vois tu as déjà préparé le riz. Super initiative, ça va aller beaucoup plus vite et on pourra manger plus vite ». C’est beau l’espoir. Mais c’est quand même un gain de temps et puis, s’il fallait qu’elle fasse le riz, elle aurait mis trop d’eau ou pas assez, ou trop de riz ou pas assez. Jamais dans les normes. Jamais dans le bon. « Je commence par quoi ? » dit-elle en allant mettre un tablier tâché.
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Feat Iwan - Woo Jin
Jini arque un sourcil lorsqu’il lui révèle l’activité du jour, enfin plutôt le plat du jour. Elle le fixe intensément du regard, essayant de se souvenir à quoi ça ressemble une omurice, encore. Non pas qu’elle soit dotée de peu de neurones, mais c’est juste que tant que ça se mange, elle ne cherche pas toujours à connaître le nom ou même la composition. Certes, elle fait attention quand ça concerne certaines nationalités, comme l’Indien par exemple. « Ah » dit-elle en tapant dans ses mains, « l’omelette japonais ! Easy », dit-elle avec un grand sourire, semblant confiante, alors que les œufs et elle, ça fait beaucoup. Surtout si c’est pour retourner dans la casserole, il risque d’y avoir du meurtre. « Est-ce qu’on va faire la toute simple ou celle qui gigote comme dans les vidéos », elle sort son téléphone et lui sort une vidéo d’une omurice qui a l’air tout doux, tout léger, comme sur un nuage, mais très certainement très compliqué à faire. Déjà qu’elle va avoir du mal à faire celle de base, il ne faudrait pas qu’elle se mette trop de pression. « T’as vu comment ça a l’air tout doux, tout bon. Mais je ne pense pas qu’on va en faire une comme ça n’est-ce pas ? On va faire la simple ? ». Enfin simple, c’est un bien grand mot pour la coréenne. « Ah et de ce que je vois tu as déjà préparé le riz. Super initiative, ça va aller beaucoup plus vite et on pourra manger plus vite ». C’est beau l’espoir. Mais c’est quand même un gain de temps et puis, s’il fallait qu’elle fasse le riz, elle aurait mis trop d’eau ou pas assez, ou trop de riz ou pas assez. Jamais dans les normes. Jamais dans le bon. « Je commence par quoi ? » dit-elle en allant mettre un tablier tâché. Invité
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Re: La cuisine : tout un art ! (ft. Iwan) | Dim 22 Juil - 14:56
Iwan observa Jini en riant face à son ignorance ; être nulle en cuisine était une chose, mais ne même pas savoir ce qu’était une omurice ? Même lui, venant de Singapour et ayant grandi dans une culture bien différente, il savait ce que c’était. Comment une coréenne, vivant à quelques kilomètres de l’île d’origine du plat, pouvait mettre tant de temps pour se remémorer l’apparence du plat ? « Easy, easy… normalement, oui… mais là… » Il dévisagea la jeune femme avec un regard accusateur. Pour n’importe qui d’autre que Jini, ça aurait sans doute été simple ; mais elle, c’était une toute autre histoire. « Euh je ne suis pas sûr de savoir de quelles vidéos qui parlent mais déjà si on arrive à en faire une normale, c’est cool, pourquoi il en faudrait une qui gigote ? » L’image qui tournait dans la tête de Iwan était bien différente de ce qu’avait voulu dire Jini : lui, il voyait une omelette se déplacer en rampant tel une limace. C’était ce que voulait dire gigoter pour lui – et ce n’était pas le fait qu’une omurice ne pouvait pas être vivante qui l’empêchait d’imaginer une telle chose. « On va commencer par préparer le riz qu’on mettra ensuite, dans l’omelette. » Il avait au préalable découpé le blanc de poulet afin qu’aucun meurtre accidentel n’ait lieu dans la cuisine. « D’abord, la tomate. Tu sais laver une tomate ? Tu la passes à l’eau, tout simplement, dans un petit jet d’eau. » précisa Iwan, parce qu’on ne savait jamais. « Quand tu as fait ça, tu la mets ensuite dans ce bol. » Il prit un bol et le posa sur le comptoir. « Et tu l’écrases. Tu l’écrases bien. Tout simplement. Je t’autorise à complètement la détruire, ça ne demande aucune technique. Il faut juste qu’elle devienne… un peu comme de la purée. » Lui, en attendant, il la regarderait juste. C’était la première étape, une des plus simples, mais il voulait quand même être sûre qu’elle la réussisse.
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Feat Jini
Iwan observa Jini en riant face à son ignorance ; être nulle en cuisine était une chose, mais ne même pas savoir ce qu’était une omurice ? Même lui, venant de Singapour et ayant grandi dans une culture bien différente, il savait ce que c’était. Comment une coréenne, vivant à quelques kilomètres de l’île d’origine du plat, pouvait mettre tant de temps pour se remémorer l’apparence du plat ? « Easy, easy… normalement, oui… mais là… » Il dévisagea la jeune femme avec un regard accusateur. Pour n’importe qui d’autre que Jini, ça aurait sans doute été simple ; mais elle, c’était une toute autre histoire. « Euh je ne suis pas sûr de savoir de quelles vidéos qui parlent mais déjà si on arrive à en faire une normale, c’est cool, pourquoi il en faudrait une qui gigote ? » L’image qui tournait dans la tête de Iwan était bien différente de ce qu’avait voulu dire Jini : lui, il voyait une omelette se déplacer en rampant tel une limace. C’était ce que voulait dire gigoter pour lui – et ce n’était pas le fait qu’une omurice ne pouvait pas être vivante qui l’empêchait d’imaginer une telle chose. « On va commencer par préparer le riz qu’on mettra ensuite, dans l’omelette. » Il avait au préalable découpé le blanc de poulet afin qu’aucun meurtre accidentel n’ait lieu dans la cuisine. « D’abord, la tomate. Tu sais laver une tomate ? Tu la passes à l’eau, tout simplement, dans un petit jet d’eau. » précisa Iwan, parce qu’on ne savait jamais. « Quand tu as fait ça, tu la mets ensuite dans ce bol. » Il prit un bol et le posa sur le comptoir. « Et tu l’écrases. Tu l’écrases bien. Tout simplement. Je t’autorise à complètement la détruire, ça ne demande aucune technique. Il faut juste qu’elle devienne… un peu comme de la purée. » Lui, en attendant, il la regarderait juste. C’était la première étape, une des plus simples, mais il voulait quand même être sûre qu’elle la réussisse.Invité
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Re: La cuisine : tout un art ! (ft. Iwan) | Jeu 6 Sep - 10:42
Jini fait mine de ne pas comprendre le sous-entendu de Woo Jin lorsqu’il lui dit qu’à ses côtés, ça risque d’être compliqué, même si en effet la recette a l’air simple à faire. Il est vrai que Jini est une véritable catastrophe en cuisine et ça tout le monde le sait, mais elle va apprendre et va progresser. Elle y croit. Encore. « Parce que ça a l’air tout doux, tout moelleux et bien meilleur qu’une simple omelette. Si je retrouve une vidéo je te la montrerai, tu verras, ça te donnera forcément envie, mais je crois qu’ils ne font que dans les restaurants au Japon », elle n’a pas vu de personnes en faire, pas sur les comptes sociaux en tout cas. Mais il a raison, une simple va déjà être largement suffisante, et faut-il déjà qu’ils y arrivent. Jini n’en doute pas, elle a un chef cuisinier à ses côtés, ça devrait donc aller. Elle lui fait un signe de la main lorsqu’il commence à donner quelques instructions, excitée à l’idée d’avoir ce cours de cuisine. Elle regarde le jeune homme quelques secondes lorsqu’il lui demande si elle sait laver une tomate. Certes elle est nulle en cuisine mais pour certaines choses, il n’y a pas besoin de véritables compétences. Laver une tomate c’est comme laver toute autre chose. « Bien sûr ! Quelle question. C’est vrai que je ne suis pas la meilleure en cuisine mais il y a certaines bases que je sais faire ». Elle est tout de même surprise qu’il faille écraser la pauvre tomate qui n’a certainement rien demandé. « Je dois l’écraser ? La réduire en bouillie en fait ? ». Elle esquisse un sourire, presque contente de pouvoir allier cuisine et amusement. Elle prend alors la tomate, la lave minutieusement, tout en jetant quelques regards rapides vers Iwan pour s’assurer de sa validation, la met dans le bol, et d’un coup sec l’écrase avec une cuillère, ce qui a le don de la faire exploser, forcément. « Oups » dit-elle en regardant les quelques éclaboussures de tomate, mais heureusement la plus grande partie est restée dans le bol. Elle se met donc à l’écraser encore et encore. « Là c’est assez écrasé ? », autant dire qu’elle l’a réduite à l’état de purée. « Prochaine étape ? ».
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Feat Iwan - Woo Jin
Jini fait mine de ne pas comprendre le sous-entendu de Woo Jin lorsqu’il lui dit qu’à ses côtés, ça risque d’être compliqué, même si en effet la recette a l’air simple à faire. Il est vrai que Jini est une véritable catastrophe en cuisine et ça tout le monde le sait, mais elle va apprendre et va progresser. Elle y croit. Encore. « Parce que ça a l’air tout doux, tout moelleux et bien meilleur qu’une simple omelette. Si je retrouve une vidéo je te la montrerai, tu verras, ça te donnera forcément envie, mais je crois qu’ils ne font que dans les restaurants au Japon », elle n’a pas vu de personnes en faire, pas sur les comptes sociaux en tout cas. Mais il a raison, une simple va déjà être largement suffisante, et faut-il déjà qu’ils y arrivent. Jini n’en doute pas, elle a un chef cuisinier à ses côtés, ça devrait donc aller. Elle lui fait un signe de la main lorsqu’il commence à donner quelques instructions, excitée à l’idée d’avoir ce cours de cuisine. Elle regarde le jeune homme quelques secondes lorsqu’il lui demande si elle sait laver une tomate. Certes elle est nulle en cuisine mais pour certaines choses, il n’y a pas besoin de véritables compétences. Laver une tomate c’est comme laver toute autre chose. « Bien sûr ! Quelle question. C’est vrai que je ne suis pas la meilleure en cuisine mais il y a certaines bases que je sais faire ». Elle est tout de même surprise qu’il faille écraser la pauvre tomate qui n’a certainement rien demandé. « Je dois l’écraser ? La réduire en bouillie en fait ? ». Elle esquisse un sourire, presque contente de pouvoir allier cuisine et amusement. Elle prend alors la tomate, la lave minutieusement, tout en jetant quelques regards rapides vers Iwan pour s’assurer de sa validation, la met dans le bol, et d’un coup sec l’écrase avec une cuillère, ce qui a le don de la faire exploser, forcément. « Oups » dit-elle en regardant les quelques éclaboussures de tomate, mais heureusement la plus grande partie est restée dans le bol. Elle se met donc à l’écraser encore et encore. « Là c’est assez écrasé ? », autant dire qu’elle l’a réduite à l’état de purée. « Prochaine étape ? ». Invité
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Re: La cuisine : tout un art ! (ft. Iwan) | Sam 22 Sep - 13:14
Soo Hwan n’était pas réellement convaincu par les arguments de Jini. Déjà, dire que l’omelette gigotait lui paraissait un peu farfelu, mais si elle voulait parler d’une omelette moelleuse, il craignait que cette dernière ne finisse écrasée au sol avant d’avoir été finie. Son objectif, c’était parvenir à faire un plat mangeable avec Jini – ainsi il pourrait s’en vanter. « On ne sait jamais, je prends juste mes précautions », se justifia t-il d’un ton moqueur quand Jini affirme avec certitude pouvoir laver une tomate. Délibérément, il a commencé par lui donner l’instruction la plus simple : détruire complètement la tomate. Impossible de ne pas réussir, à moins de la faire tomber sur le sol. « C’est ça, la réduire en bouillie. », confirma t-il. Il prit un peu peur en la regardant, comme si une catastrophe naturelle pouvait arriver à tout moment, mais finalement elle parvint à écraser correctement cette tomate et elle n’en fut pas peu fière. « Oui, c’est assez écrasé », dit-il d’un ton qui trahissait un peu qu’il était rassuré. Au moins, elle savait écraser correctement les choses. Une capacité pas utile pour beaucoup de plats. Il prit le ketchup et en versa dans le bol avec la sauce tomate, puis mélangea les deux. Les deux prochaines étapes étaient plus risquées mais il fallait en confier une à Jini et il ignorait laquelle était la plus sécurisée. Il réfléchit quelques secondes. « La sauce tomate et le ketchup, tu verses le mélange dans la poêle et tu mets à feu doux. Jusqu’à ce que ce soit à ébullition, cet à dire qu’il y ait des petites bulles. Enfin je vais surveiller l’état quand même. », compléta t-il dans un murmure. En disant ça, il venait de prendre le blanc de poulet déjà coupé – dieu merci – et prit tous les légumes pour commencer à les couper, dans un geste régulier. Il aurait pu demander à Jini de l’aider à couper tout ça mais il estimait que surveiller la sauce tomate était une tâche d’une ampleur suffisante.
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Feat Jini
Soo Hwan n’était pas réellement convaincu par les arguments de Jini. Déjà, dire que l’omelette gigotait lui paraissait un peu farfelu, mais si elle voulait parler d’une omelette moelleuse, il craignait que cette dernière ne finisse écrasée au sol avant d’avoir été finie. Son objectif, c’était parvenir à faire un plat mangeable avec Jini – ainsi il pourrait s’en vanter. « On ne sait jamais, je prends juste mes précautions », se justifia t-il d’un ton moqueur quand Jini affirme avec certitude pouvoir laver une tomate. Délibérément, il a commencé par lui donner l’instruction la plus simple : détruire complètement la tomate. Impossible de ne pas réussir, à moins de la faire tomber sur le sol. « C’est ça, la réduire en bouillie. », confirma t-il. Il prit un peu peur en la regardant, comme si une catastrophe naturelle pouvait arriver à tout moment, mais finalement elle parvint à écraser correctement cette tomate et elle n’en fut pas peu fière. « Oui, c’est assez écrasé », dit-il d’un ton qui trahissait un peu qu’il était rassuré. Au moins, elle savait écraser correctement les choses. Une capacité pas utile pour beaucoup de plats. Il prit le ketchup et en versa dans le bol avec la sauce tomate, puis mélangea les deux. Les deux prochaines étapes étaient plus risquées mais il fallait en confier une à Jini et il ignorait laquelle était la plus sécurisée. Il réfléchit quelques secondes. « La sauce tomate et le ketchup, tu verses le mélange dans la poêle et tu mets à feu doux. Jusqu’à ce que ce soit à ébullition, cet à dire qu’il y ait des petites bulles. Enfin je vais surveiller l’état quand même. », compléta t-il dans un murmure. En disant ça, il venait de prendre le blanc de poulet déjà coupé – dieu merci – et prit tous les légumes pour commencer à les couper, dans un geste régulier. Il aurait pu demander à Jini de l’aider à couper tout ça mais il estimait que surveiller la sauce tomate était une tâche d’une ampleur suffisante.Contenu sponsorisé