heartbeat ✗ hakjiu
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heartbeat ✗ hakjiu | Dim 8 Juil - 21:59 Citer EditerSupprimer
⌁ C'est une journée normale aujourd'hui, une journée presque banale même. Une journée pour laquelle Tanjiu a eu un mal fou à se réveiller, épuisé par les cours de la veille et les révisions tardives, mais malgré tout motivé. Parce qu'il aime les jours où il est à l'hôpital pour apprendre le métier sur le tas. Évidemment il a besoin d'un grand nombre de connaissances et ne néglige en aucun cas les cours à l'Université ni ses recherches personnelles, mais il n'y a pour lui rien de plus pédagogique et intéressant qu'être directement au service des urgences de l'hôpital de Séoul. Il ne peut pas encore faire grand chose et encore moins seul, mais il observe toujours attentivement ses collègues et formateurs, essaye d'établir des diagnostics sans leur aide, fait de son mieux pour se rendre utile. Et ce n'est pas toujours facile, parfois l'état de certains patients lui retourne l'estomac mais il travaille dur pour rester fort et professionnel. Il sait que plus tard, la vie de ces gens reposera sur ses capacités à les soigner, alors il ne peut pas se permettre de faiblir. Mais pour le moment il n'est pas encore accablé de ce genre de lourdes responsabilités, a même le temps de passer quelques minutes, parfois même une heure au service pédiatrique. Ce n'est pas sa spécialité, mais il aime passer du temps avec les enfants, tout faire pour qu'ils oublient leur hospitalisation, qu'ils puissent sourire, peut-être même rire. Il aime tellement ça les enfants Tanjiu, reste conscient malgré tout qu'il ne pourra jamais avoir les sien, non seulement à cause de sa sexualité, mais aussi parce qu'il ne vivra pas assez longtemps pour ça. Alors il passe beaucoup de temps avec les gamins alités ici pour combler ses instincts paternels. Et c'est ce qu'il fait aujourd'hui, lisant un livre à un enfant qu'il connait bien maintenant, du moins jusqu'à ce qu'il soit appelé par ses supérieurs au service des urgences. Alors il ne perd pas de temps mais ne court quand même pas, et dès qu'il arrive son collègue lui demande d'établir un diagnostic après avoir écouté le policier qui a amené le blessé. Et Tanjiu se concentre sur ses mots, happé par sa voix basse et profonde avant de hocher la tête lorsque l'homme termine son explication et d'énumérer les étapes de soins à effectuer ainsi que les différentes hypothèses de blessures. « Bon travail Meng, on va s'occuper de lui t'as pas besoin de venir, mais reste dans les parages au cas où. » Le chinois remercie son supérieur et s'incline rapidement devant le policier pour le saluer avant de se diriger vers la machine à café non sans souffler un « Non mais c'est légal d'être aussi beau même ? » dans sa langue natale.
feat. @bae hak nyeon
the moment I saw you, I fell in deep
⌁ C'est une journée normale aujourd'hui, une journée presque banale même. Une journée pour laquelle Tanjiu a eu un mal fou à se réveiller, épuisé par les cours de la veille et les révisions tardives, mais malgré tout motivé. Parce qu'il aime les jours où il est à l'hôpital pour apprendre le métier sur le tas. Évidemment il a besoin d'un grand nombre de connaissances et ne néglige en aucun cas les cours à l'Université ni ses recherches personnelles, mais il n'y a pour lui rien de plus pédagogique et intéressant qu'être directement au service des urgences de l'hôpital de Séoul. Il ne peut pas encore faire grand chose et encore moins seul, mais il observe toujours attentivement ses collègues et formateurs, essaye d'établir des diagnostics sans leur aide, fait de son mieux pour se rendre utile. Et ce n'est pas toujours facile, parfois l'état de certains patients lui retourne l'estomac mais il travaille dur pour rester fort et professionnel. Il sait que plus tard, la vie de ces gens reposera sur ses capacités à les soigner, alors il ne peut pas se permettre de faiblir. Mais pour le moment il n'est pas encore accablé de ce genre de lourdes responsabilités, a même le temps de passer quelques minutes, parfois même une heure au service pédiatrique. Ce n'est pas sa spécialité, mais il aime passer du temps avec les enfants, tout faire pour qu'ils oublient leur hospitalisation, qu'ils puissent sourire, peut-être même rire. Il aime tellement ça les enfants Tanjiu, reste conscient malgré tout qu'il ne pourra jamais avoir les sien, non seulement à cause de sa sexualité, mais aussi parce qu'il ne vivra pas assez longtemps pour ça. Alors il passe beaucoup de temps avec les gamins alités ici pour combler ses instincts paternels. Et c'est ce qu'il fait aujourd'hui, lisant un livre à un enfant qu'il connait bien maintenant, du moins jusqu'à ce qu'il soit appelé par ses supérieurs au service des urgences. Alors il ne perd pas de temps mais ne court quand même pas, et dès qu'il arrive son collègue lui demande d'établir un diagnostic après avoir écouté le policier qui a amené le blessé. Et Tanjiu se concentre sur ses mots, happé par sa voix basse et profonde avant de hocher la tête lorsque l'homme termine son explication et d'énumérer les étapes de soins à effectuer ainsi que les différentes hypothèses de blessures. « Bon travail Meng, on va s'occuper de lui t'as pas besoin de venir, mais reste dans les parages au cas où. » Le chinois remercie son supérieur et s'incline rapidement devant le policier pour le saluer avant de se diriger vers la machine à café non sans souffler un « Non mais c'est légal d'être aussi beau même ? » dans sa langue natale.
feat. @bae hak nyeon
gabi le loup
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Re: heartbeat ✗ hakjiu | Sam 11 Aoû - 1:08 Citer EditerSupprimer
⌁ les accidents de la route sont presque une promenade de santé pour toi. tu en vois très souvent et malgré ça, tu arrives toujours à être soufflé par les dégâts matériels et physiques que ça peut provoquer. pourtant, comme à ton habitude, tu gardes ton masque froid et distant autant pour rester professionnel que parce que c’est comme ça que tu es. tu as toujours eu du mal à exprimer ce que tu ressentais même à ta petite sœur. parce que tes parents tu crois pas leur avoir un jour dit je t’aime, ou qu’ils te l’aient dit. c’est sûrement de leur faute si tu es comme ça. mais heureusement, sojin arrive à t’adoucir et avec elle, tu laisses ton masque sans expression dans le placard. sauf que dans ce genre de situation, dans le cadre de ton métier, ça t’a toujours servi de garder ce visage froid et inaccessible. tu arrives à faire des résumés des dégâts, de ce qui s’est passé mais également tu parviens à parler aux familles calmement, sans mettre tes sentiments au cœur de la conversation. certains diront que tu es sans cœur et que tu finiras ta vie seul sans être aimé, toi tu trouves juste que c’est normal. tu ne comprends pas les gens qui s’impliquent de trop et émotionnellement dans leur travail. certes, il en faut un peu, mais trop ? ça te surprend toujours. et aujourd’hui c’est le cas. t’as une stagiaire avec toi et elle semble sur le point de pleurer face à la scène qui se déroule sous vos yeux. heureusement à part quelques blessures mineures, les enfants vont bien. tu ne t’approches pas d’eux parce qu’ils ont toujours peur de ton visage et du fait que tu ne souris jamais, mais tu es heureux de savoir qu’ils n’ont rien. du coup, tu les laisses sous la charge de la stagiaire, pendant que tu montes dans l’ambulance avec le père de famille mal en point. les ambulanciers arrivent à le maintenir en vie le temps du trajet et quand vous arrivez à l’hôpital il est presque sauvé. il doit encore faire des examens, mais le plus dur et derrière lui. tu fais un exposé clair, net et précis de ce qui s’est passé et tu ne remarques pas réellement les gens autour de toi. ce n’est que lorsque le médecin le plus vieux parle à son collègue plus jeune, que tu poses réellement les yeux sur lui et fais attention à lui. il est beau c’est indéniable et quand il s’incline dans ta direction, tu fais pareil. tu l’entends alors parler en chinois et un très léger sourire en coin s’affiche sur tes lèvres. tu comprends cette langue parce que tu l’as appris à l’école de police. mais tu n’as pas vraiment un super niveau. tu t’approches alors de la machine à café et récupère le café qu’il s’était fait. « je prends ceci. » que tu lances dans sa langue maternelle avant de le regarder dans les yeux, et d’ajouter « et le compliment aussi. merci. » et tu laisses l’espace de quelques secondes un sourire flotter sur tes lèvres avant qu’il ne s’efface. tes yeux ne quittent pas cet inconnu. tu as hâte de voir sa réaction.
feat. @meng tan jiu
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⌁ les accidents de la route sont presque une promenade de santé pour toi. tu en vois très souvent et malgré ça, tu arrives toujours à être soufflé par les dégâts matériels et physiques que ça peut provoquer. pourtant, comme à ton habitude, tu gardes ton masque froid et distant autant pour rester professionnel que parce que c’est comme ça que tu es. tu as toujours eu du mal à exprimer ce que tu ressentais même à ta petite sœur. parce que tes parents tu crois pas leur avoir un jour dit je t’aime, ou qu’ils te l’aient dit. c’est sûrement de leur faute si tu es comme ça. mais heureusement, sojin arrive à t’adoucir et avec elle, tu laisses ton masque sans expression dans le placard. sauf que dans ce genre de situation, dans le cadre de ton métier, ça t’a toujours servi de garder ce visage froid et inaccessible. tu arrives à faire des résumés des dégâts, de ce qui s’est passé mais également tu parviens à parler aux familles calmement, sans mettre tes sentiments au cœur de la conversation. certains diront que tu es sans cœur et que tu finiras ta vie seul sans être aimé, toi tu trouves juste que c’est normal. tu ne comprends pas les gens qui s’impliquent de trop et émotionnellement dans leur travail. certes, il en faut un peu, mais trop ? ça te surprend toujours. et aujourd’hui c’est le cas. t’as une stagiaire avec toi et elle semble sur le point de pleurer face à la scène qui se déroule sous vos yeux. heureusement à part quelques blessures mineures, les enfants vont bien. tu ne t’approches pas d’eux parce qu’ils ont toujours peur de ton visage et du fait que tu ne souris jamais, mais tu es heureux de savoir qu’ils n’ont rien. du coup, tu les laisses sous la charge de la stagiaire, pendant que tu montes dans l’ambulance avec le père de famille mal en point. les ambulanciers arrivent à le maintenir en vie le temps du trajet et quand vous arrivez à l’hôpital il est presque sauvé. il doit encore faire des examens, mais le plus dur et derrière lui. tu fais un exposé clair, net et précis de ce qui s’est passé et tu ne remarques pas réellement les gens autour de toi. ce n’est que lorsque le médecin le plus vieux parle à son collègue plus jeune, que tu poses réellement les yeux sur lui et fais attention à lui. il est beau c’est indéniable et quand il s’incline dans ta direction, tu fais pareil. tu l’entends alors parler en chinois et un très léger sourire en coin s’affiche sur tes lèvres. tu comprends cette langue parce que tu l’as appris à l’école de police. mais tu n’as pas vraiment un super niveau. tu t’approches alors de la machine à café et récupère le café qu’il s’était fait. « je prends ceci. » que tu lances dans sa langue maternelle avant de le regarder dans les yeux, et d’ajouter « et le compliment aussi. merci. » et tu laisses l’espace de quelques secondes un sourire flotter sur tes lèvres avant qu’il ne s’efface. tes yeux ne quittent pas cet inconnu. tu as hâte de voir sa réaction.
feat. @meng tan jiu
gabi le loup
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Re: heartbeat ✗ hakjiu | Ven 28 Sep - 13:45 Citer EditerSupprimer
⌁ Depuis combien de temps Tanjiu n'avait-il pas regardé un homme ? Depuis combien de temps ne s'était-il pas autorisé à se sentir attiré par quelqu'un ? À vrai dire il avait perdu le compte des mois, des années. Sa dernière séparation l'avait profondément blessé, le sentiment de trahison, de manipulation lui collait à la peau et plus que tout, celui de la culpabilité. Après tout, il avait passé presque un an dans une relation secrète avec un homme qui était en réalité marié et père de famille, mais ça il ne l'avait su que le jour de leur rupture. Il avait voulu prévenir la femme de son ex petit ami, l'alerter de ce que son époux faisait mais il avait finalement renoncé, pas par peur de perdre son emploi et d'avoir une mauvaise réputation, mais plus parce que, au fond, ce n'est pas à lui d'intervenir. Pas à lui de briser cette famille. Mais après cette histoire, le chinois ne s'était plus engagé dans la moindre relation, mais sa vie lui convenait comme ça. Entre les études, son boulot, ses examens médicaux récurrents et sa condition de malade incurable, il n'avait pas le temps de penser à l'amour. À quoi bon de toute façon ? Il ne lui restait plus beaucoup de temps. Oh évidemment il lui est arrivé de trouver des hommes beaux, le policier qui lui fait face aujourd'hui en est l'exemple. Seulement contrairement à lui, pour les autres il n'y avait rien de plus que le constat, l'approbation de quelque chose de joli, de plaisant à regarder. Or quelque chose semble différent avec cet officier de police. Tanjiu aime son apparence c'est une certitude, mais il aime aussi le timbre si particulier de sa voix qui a créé des frissons dans sa nuque, il aime l'obscurité de son regard qu'il trouve malgré tout étrangement chaleureux, il aime ce qu'il dégage en règle générale. Pourtant il ne tente rien, n'y pense même pas à vrai dire, c'est inutile. Il se contente d'une remarque glissée dans sa langue natale qui n'est pas destinée à être entendue, ce n'est simplement qu'une pensée exprimée à voix haute avant qu'il ne s'éclipse récupérer la précieuse boisson qui lui donne assez d'énergie pour tenir le reste de sa garde. Seulement le médecin n'a pas le temps de récupérer son gobelet qu'une main s'en empare pendant qu'il baille, et il relève immédiatement le regard vers le voleur, rougissant instantanément lorsqu'il remarque qu'il s'agit du policier, et qu'il lui parle. En chinois. « Le compliment ? Quel compl... » et soudain il comprend, ses joues rougissent plus encore et il le fixe avec horreur comme un gamin pris sur le fait pendant quelques secondes « Je..vous avez du mal comprendre, je vois pas de quoi vous parlez ! » Il rit nerveusement, se frotte la nuque, fouille ses poches en quête de monnaie pour un nouveau café mais réalise qu'il n'a pas assez. « Excusez-moi monsieur... monsieur... » Lui qui voulait fuir, le voilà bloqué à ne pas connaitre le nom de son vis à vis. Pourquoi n'est-il pas inscrit sur son uniforme, comme celui du médecin sur sa blouse ?
feat. @bae hak nyeon
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⌁ Depuis combien de temps Tanjiu n'avait-il pas regardé un homme ? Depuis combien de temps ne s'était-il pas autorisé à se sentir attiré par quelqu'un ? À vrai dire il avait perdu le compte des mois, des années. Sa dernière séparation l'avait profondément blessé, le sentiment de trahison, de manipulation lui collait à la peau et plus que tout, celui de la culpabilité. Après tout, il avait passé presque un an dans une relation secrète avec un homme qui était en réalité marié et père de famille, mais ça il ne l'avait su que le jour de leur rupture. Il avait voulu prévenir la femme de son ex petit ami, l'alerter de ce que son époux faisait mais il avait finalement renoncé, pas par peur de perdre son emploi et d'avoir une mauvaise réputation, mais plus parce que, au fond, ce n'est pas à lui d'intervenir. Pas à lui de briser cette famille. Mais après cette histoire, le chinois ne s'était plus engagé dans la moindre relation, mais sa vie lui convenait comme ça. Entre les études, son boulot, ses examens médicaux récurrents et sa condition de malade incurable, il n'avait pas le temps de penser à l'amour. À quoi bon de toute façon ? Il ne lui restait plus beaucoup de temps. Oh évidemment il lui est arrivé de trouver des hommes beaux, le policier qui lui fait face aujourd'hui en est l'exemple. Seulement contrairement à lui, pour les autres il n'y avait rien de plus que le constat, l'approbation de quelque chose de joli, de plaisant à regarder. Or quelque chose semble différent avec cet officier de police. Tanjiu aime son apparence c'est une certitude, mais il aime aussi le timbre si particulier de sa voix qui a créé des frissons dans sa nuque, il aime l'obscurité de son regard qu'il trouve malgré tout étrangement chaleureux, il aime ce qu'il dégage en règle générale. Pourtant il ne tente rien, n'y pense même pas à vrai dire, c'est inutile. Il se contente d'une remarque glissée dans sa langue natale qui n'est pas destinée à être entendue, ce n'est simplement qu'une pensée exprimée à voix haute avant qu'il ne s'éclipse récupérer la précieuse boisson qui lui donne assez d'énergie pour tenir le reste de sa garde. Seulement le médecin n'a pas le temps de récupérer son gobelet qu'une main s'en empare pendant qu'il baille, et il relève immédiatement le regard vers le voleur, rougissant instantanément lorsqu'il remarque qu'il s'agit du policier, et qu'il lui parle. En chinois. « Le compliment ? Quel compl... » et soudain il comprend, ses joues rougissent plus encore et il le fixe avec horreur comme un gamin pris sur le fait pendant quelques secondes « Je..vous avez du mal comprendre, je vois pas de quoi vous parlez ! » Il rit nerveusement, se frotte la nuque, fouille ses poches en quête de monnaie pour un nouveau café mais réalise qu'il n'a pas assez. « Excusez-moi monsieur... monsieur... » Lui qui voulait fuir, le voilà bloqué à ne pas connaitre le nom de son vis à vis. Pourquoi n'est-il pas inscrit sur son uniforme, comme celui du médecin sur sa blouse ?
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gabi le loup
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Re: heartbeat ✗ hakjiu | Ven 19 Oct - 21:49 Citer EditerSupprimer
⌁ tu fais exprès de le suivre. t’as clairement entendu ce qu’il a dit sur toi et tu as envie de voir qu’elle serait sa réaction s’il voyait que tu l’avais entendu et que tu avais compris. parce que à ton sens, tu penses qu’il n’avait pas pour intention de le dire à voix haute. c’était simplement quelque chose qui devait rester dans son esprit. pourtant, t’es content de savoir qu’il te trouve beau. il faut dire qu’il n’est lui-même pas dégueulasse à regarder. et plus que son beau visage, c’est surtout de ses réactions que tu es friand. tu veux savoir et donc, tu lui prends son gobelet avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit et tu le remercies pour ça et pour le compliment. tu remarques immédiatement le rose qui vient colorer ses joues et tu ne peux pas t’empêcher de le trouver mignon. encore plus quand il essaie de comprendre de quoi tu parles avant de s’en rendre compte. un léger sourire en coin s’affiche sur tes lèvres alors que ton regard ne se détourne pas de lui. tu n’as pas à être gêné par la façon dont tu le regardes mais t’as quand même l’impression d’être le grand méchant loup qui est prêt à manger le pauvre petit agneau. sauf que cet agneau fait presque une tête de plus que toi et ça te ferait presque sourire un peu plus franchement. il reprend la parole et tu vois ses joues devenir encore plus roses. « non mais c’est légal d’être si beau même ? vous voyez toujours pas ? » que tu répètes pour lui montrer que tu avais clairement entendu et que tu avais compris ce qu’il avait dit. mais aussi parce que ça t’amuse ses réactions de vierge effarouchée. tu en viendrais même à croire qu’il n’avait jamais eu de relation ou qu’il était puceau à cause de la façon dont il rougit. il se met à chercher de la monnaie sur lui et tu réalises qu’il n’en a pas assez. habilement, tu sors ton portemonnaie de la poche arrière de ton uniforme et tu lui donnes de quoi se payer le café que tu lui as volé. « prenez ça pour le café que je vous ai volé. » bon, tu ne l’as pas vraiment volé puisque maintenant tu lui rembourses mais c’était l’intention au départ. « bae, officier bae. » tu ne lui donnes que ton nom de famille parce qu’il n’a pas à savoir ton prénom et tu te penches légèrement pour lire le sien. « docteur meng. enchanté. » ça t’arrange bien que son nom soit sur sa blouse, tu n’as pas à passer par l’attente qu’il te le donne. bon, tu aurais attendu mais au moins comme ça c’est plus rapide. « vous êtes spécialisé en quoi docteur meng ? » demandes-tu tandis que ton sourire peut se voir dans tes yeux mais est absent de ton visage. t’as jamais été quelqu’un qui montrait énormément ses réactions et ses émotions alors qu’il ait eu en si peu de temps quelques légers sourires de ta part était quelque chose d’exceptionnel que tu ne réservais qu’à ta petite sœur pour le moment. il devrait presque se sentir honoré que ce soit le cas.
feat. @meng tan jiu
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⌁ tu fais exprès de le suivre. t’as clairement entendu ce qu’il a dit sur toi et tu as envie de voir qu’elle serait sa réaction s’il voyait que tu l’avais entendu et que tu avais compris. parce que à ton sens, tu penses qu’il n’avait pas pour intention de le dire à voix haute. c’était simplement quelque chose qui devait rester dans son esprit. pourtant, t’es content de savoir qu’il te trouve beau. il faut dire qu’il n’est lui-même pas dégueulasse à regarder. et plus que son beau visage, c’est surtout de ses réactions que tu es friand. tu veux savoir et donc, tu lui prends son gobelet avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit et tu le remercies pour ça et pour le compliment. tu remarques immédiatement le rose qui vient colorer ses joues et tu ne peux pas t’empêcher de le trouver mignon. encore plus quand il essaie de comprendre de quoi tu parles avant de s’en rendre compte. un léger sourire en coin s’affiche sur tes lèvres alors que ton regard ne se détourne pas de lui. tu n’as pas à être gêné par la façon dont tu le regardes mais t’as quand même l’impression d’être le grand méchant loup qui est prêt à manger le pauvre petit agneau. sauf que cet agneau fait presque une tête de plus que toi et ça te ferait presque sourire un peu plus franchement. il reprend la parole et tu vois ses joues devenir encore plus roses. « non mais c’est légal d’être si beau même ? vous voyez toujours pas ? » que tu répètes pour lui montrer que tu avais clairement entendu et que tu avais compris ce qu’il avait dit. mais aussi parce que ça t’amuse ses réactions de vierge effarouchée. tu en viendrais même à croire qu’il n’avait jamais eu de relation ou qu’il était puceau à cause de la façon dont il rougit. il se met à chercher de la monnaie sur lui et tu réalises qu’il n’en a pas assez. habilement, tu sors ton portemonnaie de la poche arrière de ton uniforme et tu lui donnes de quoi se payer le café que tu lui as volé. « prenez ça pour le café que je vous ai volé. » bon, tu ne l’as pas vraiment volé puisque maintenant tu lui rembourses mais c’était l’intention au départ. « bae, officier bae. » tu ne lui donnes que ton nom de famille parce qu’il n’a pas à savoir ton prénom et tu te penches légèrement pour lire le sien. « docteur meng. enchanté. » ça t’arrange bien que son nom soit sur sa blouse, tu n’as pas à passer par l’attente qu’il te le donne. bon, tu aurais attendu mais au moins comme ça c’est plus rapide. « vous êtes spécialisé en quoi docteur meng ? » demandes-tu tandis que ton sourire peut se voir dans tes yeux mais est absent de ton visage. t’as jamais été quelqu’un qui montrait énormément ses réactions et ses émotions alors qu’il ait eu en si peu de temps quelques légers sourires de ta part était quelque chose d’exceptionnel que tu ne réservais qu’à ta petite sœur pour le moment. il devrait presque se sentir honoré que ce soit le cas.
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gabi le loup
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Re: heartbeat ✗ hakjiu | Lun 21 Jan - 21:53 Citer EditerSupprimer
⌁ Évidemment qu'il regrette sa maladresse Tanjiu, évidemment qu'il aurait aimé que ses pensées ne passent pas la barrière de ses lèvres et soient comprises, qui plus est par le principal intéressé. C'est qu'il n'aime pas vraiment attirer l'attention sur lui, préfère de loin se fondre dans la masse, n'être personne. Alors oui, avec sa grande taille il passe difficilement inaperçu, mais sa personnalité elle au moins est discrète et il est très bien comme ça. Et c'est sans doute parce qu'il n'a pas été attiré par quelqu'un depuis une éternité qu'il ne sait pas vraiment comment réagir, qu'il a exprimé à voix haute un avis qui ne concerne que lui. De quoi a-t-il l'air maintenant ? Si Tanjiu est très expressif et que l'on peut lire en lui comme dans un livre ouvert, il n'en est rien de l'homme qui lui face face. Même en cherchant, l'étudiant n'arrive absolument pas à déceler le moindre indice de ce qu'il pense au travers des traits de son visage ou même de ses expressions. Alors la seule option restante pour lui serait la fuite, pourtant le voilà bloqué après quelques excuses nerveusement balbutiées, tout ça parce qu'il ne sait pas comment l'appeler. Pire encore, lorsqu'il ose relever le regard vers le policier, il aperçoit son sourire qui le fait un peu plus rougir, accélère encore un peu son rythme cardiaque. Il est si beau. Pourtant son admiration est vite interrompue par les mots de son interlocuteur, ou plutôt, par les mots qu'il répète, ceux que lui avait dit quelques instants plus tôt. Un petit gémissement plaintif lui échappe et le voilà qui baisse à nouveau les yeux, surpris lorsque celui qui pourrait s'apparenter à un bourreau lui tend de la monnaie avant de finalement se présenter très brièvement. Le chinois s'incline alors plusieurs fois, autant pour le remercier pour la monnaie que pour le saluer et éviter son regard perçant. « Tanjiu » souffle-t-il, non pas qu'il soit dérangé par le fait qu'on ne l'appelle par son nom de famille, mais dans cet hôpital, Docteur Meng c'est son père. Rapidement il insère la monnaie dans la machine pour concentrer son attention sur autre chose, fixant le café qui s'écoule dans le gobelet avec un léger sourire suite à la question de l'officier. « Je... je ne suis pas médecin. Enfin, pas encore. Je suis encore étudiant, mais j'aimerais me spécialiser en neurologie pédiatrique » Il récupère sa boisson, boit une gorgée et trouve le courage de refaire face au policier pour s'incliner une fois de plus « Je suis désolé pour ce que j'ai dit tout à l'heure, c'était déplacé et... pardon » Maintenant que tout est dit et mis à plat, Tanjiu pensait pouvoir finalement s'éloigner et ne plus jamais revoir cet homme. Seulement voilà, le destin ne semble pas de cet avis puisqu'un collègue du chinois s'approche pour lui demander d'emmener l'officier en salle de repos en attendant que leurs supérieurs respectifs terminent de débriefer. Et là toute la panique du monde peut se lire sur le visage du médecin qui accepte malgré tout d'un signe de la tête, sirotant son café pour penser à autre chose alors qu'il commence à le guider. « Suivez moi » les quelques mètres qui les séparent de la pièce aménagée semblent interminables et il ouvre enfin la porte pour laisser entrer le policier avant de le suivre, fermant derrière lui par obligation. « Voilà... c'est ici »
feat. @bae hak nyeon
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⌁ Évidemment qu'il regrette sa maladresse Tanjiu, évidemment qu'il aurait aimé que ses pensées ne passent pas la barrière de ses lèvres et soient comprises, qui plus est par le principal intéressé. C'est qu'il n'aime pas vraiment attirer l'attention sur lui, préfère de loin se fondre dans la masse, n'être personne. Alors oui, avec sa grande taille il passe difficilement inaperçu, mais sa personnalité elle au moins est discrète et il est très bien comme ça. Et c'est sans doute parce qu'il n'a pas été attiré par quelqu'un depuis une éternité qu'il ne sait pas vraiment comment réagir, qu'il a exprimé à voix haute un avis qui ne concerne que lui. De quoi a-t-il l'air maintenant ? Si Tanjiu est très expressif et que l'on peut lire en lui comme dans un livre ouvert, il n'en est rien de l'homme qui lui face face. Même en cherchant, l'étudiant n'arrive absolument pas à déceler le moindre indice de ce qu'il pense au travers des traits de son visage ou même de ses expressions. Alors la seule option restante pour lui serait la fuite, pourtant le voilà bloqué après quelques excuses nerveusement balbutiées, tout ça parce qu'il ne sait pas comment l'appeler. Pire encore, lorsqu'il ose relever le regard vers le policier, il aperçoit son sourire qui le fait un peu plus rougir, accélère encore un peu son rythme cardiaque. Il est si beau. Pourtant son admiration est vite interrompue par les mots de son interlocuteur, ou plutôt, par les mots qu'il répète, ceux que lui avait dit quelques instants plus tôt. Un petit gémissement plaintif lui échappe et le voilà qui baisse à nouveau les yeux, surpris lorsque celui qui pourrait s'apparenter à un bourreau lui tend de la monnaie avant de finalement se présenter très brièvement. Le chinois s'incline alors plusieurs fois, autant pour le remercier pour la monnaie que pour le saluer et éviter son regard perçant. « Tanjiu » souffle-t-il, non pas qu'il soit dérangé par le fait qu'on ne l'appelle par son nom de famille, mais dans cet hôpital, Docteur Meng c'est son père. Rapidement il insère la monnaie dans la machine pour concentrer son attention sur autre chose, fixant le café qui s'écoule dans le gobelet avec un léger sourire suite à la question de l'officier. « Je... je ne suis pas médecin. Enfin, pas encore. Je suis encore étudiant, mais j'aimerais me spécialiser en neurologie pédiatrique » Il récupère sa boisson, boit une gorgée et trouve le courage de refaire face au policier pour s'incliner une fois de plus « Je suis désolé pour ce que j'ai dit tout à l'heure, c'était déplacé et... pardon » Maintenant que tout est dit et mis à plat, Tanjiu pensait pouvoir finalement s'éloigner et ne plus jamais revoir cet homme. Seulement voilà, le destin ne semble pas de cet avis puisqu'un collègue du chinois s'approche pour lui demander d'emmener l'officier en salle de repos en attendant que leurs supérieurs respectifs terminent de débriefer. Et là toute la panique du monde peut se lire sur le visage du médecin qui accepte malgré tout d'un signe de la tête, sirotant son café pour penser à autre chose alors qu'il commence à le guider. « Suivez moi » les quelques mètres qui les séparent de la pièce aménagée semblent interminables et il ouvre enfin la porte pour laisser entrer le policier avant de le suivre, fermant derrière lui par obligation. « Voilà... c'est ici »
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gabi le loup
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Re: heartbeat ✗ hakjiu | Ven 8 Mar - 20:21 Citer EditerSupprimer
⌁ ce médecin te plait bien. physiquement c’est totalement ton style mais en plus ses réactions de vierge effarouchée t’évitent de trop t’ennuyer en attendant ton supérieur pour partir de cet hôpital. il est mignon et tu t’amuses bien à observer l’effet que ses mots que tu répètes ont sur lui. cette légère couleur rouge sur ses joues, ce gémissement plaintif, tu te délectes de tout ça, un discret sourire satisfait sur tes lèvres. tu le vois que ce n’est pas un dominant ce garçon. de prime abord on aurait pu le prendre pour quelqu’un sûr de lui et à l’aise, mais sans même le connaitre davantage que ce que tu as vu là, tu le sais qu’il pliera au moindre de tes désirs et qu’est-ce que ça te plait. tu lui tends de la monnaie pour son café volé, qui n’est plus si volé maintenant que tu lui en as payé un et il te reprend quand tu l’appelles docteur meng. « enchanté tanjiu. » que tu lances, faisant rouler son prénom sur ta langue comme une sucrerie, alors que ton petit sourire ne s’efface pas de tes lèvres. il est vraiment mignon à se concentrer sur le café qui coule dans le gobelet. tu en profites pour le questionner sur sa spécialité dans la médecin et tu apprends qu’il est encore étudiant. « oh vous aimez les enfants ? » toi tu les aimes aussi, c’est eux qui ne t’aiment pas. tu es trop inexpressif pour eux. tu leur fais peur. tu ne peux pas leur en vouloir, parce que c’est vrai. tu n’as pas souvent, pour ne pas dire jamais, d’expression sur ton visage. c’est rare qu’un sourire s’affiche sur tes lèvres et aujourd’hui est une exception même s’il est infime. d’ailleurs, il se fane quand tanjiu s’incline à nouveau et s’excuse. tu hausses les épaules tout en avalant une gorgée de café. « pas la peine d’être désolé. c’est très flatteur qu’on me trouve beau. vous êtes pas mal non plus dans votre genre. » tu penses que c’est la fin de votre échange parce qu’un nouvel homme en blouse s’approche de vous et tu entends les brides de leur conversation. vos supérieurs sont encore en train de débriefer sur l’accident. tu relèves les yeux vers tanjiu et hoche la tête pour le suivre dans la salle de repos. le silence s’installe entre vous et tu ne cherches pas à le briser. tu vois la tension dans les épaules de l’étudiant et quand il ouvre la porte, tu croises son regard. il semble totalement paniqué et tu espères que c’est à cause de toi. tu entres et te tournes vers le plus grand quand il reprend la parole. tu hoches une nouvelle fois la tête avant de prendre place sur une chaise autour de la table. « c’est une vocation pour vous la médecine ou un choix que vous avez fait plus tard ? » demandes-tu, reprenant la parole en chinois. tu n’es pas vraiment bilingue mais tu te débrouilles pas mal dans cette langue parce que tu l’as appris à l’école de police. fallait que tu prennes une autre langue et c’est celle-là qui t’avait plus. « vous vous plaisez dans ce que vous faites ? » t’es pas bavard d’ordinaire, mais là tu veux revoir ses joues rouges et entendre encore une fois ce petit gémissement plaintif. tu te plais à imaginer les sons qui pourraient s’échapper de ses lèvres quand tu viendrais titiller sa peau des tiennes. tu t’imagines lui faire beaucoup de bien et ton regard intense se plante dans le sien et tu le regardes sans ciller.
feat. @meng tan jiu
the moment I saw you, I fell in deep
⌁ ce médecin te plait bien. physiquement c’est totalement ton style mais en plus ses réactions de vierge effarouchée t’évitent de trop t’ennuyer en attendant ton supérieur pour partir de cet hôpital. il est mignon et tu t’amuses bien à observer l’effet que ses mots que tu répètes ont sur lui. cette légère couleur rouge sur ses joues, ce gémissement plaintif, tu te délectes de tout ça, un discret sourire satisfait sur tes lèvres. tu le vois que ce n’est pas un dominant ce garçon. de prime abord on aurait pu le prendre pour quelqu’un sûr de lui et à l’aise, mais sans même le connaitre davantage que ce que tu as vu là, tu le sais qu’il pliera au moindre de tes désirs et qu’est-ce que ça te plait. tu lui tends de la monnaie pour son café volé, qui n’est plus si volé maintenant que tu lui en as payé un et il te reprend quand tu l’appelles docteur meng. « enchanté tanjiu. » que tu lances, faisant rouler son prénom sur ta langue comme une sucrerie, alors que ton petit sourire ne s’efface pas de tes lèvres. il est vraiment mignon à se concentrer sur le café qui coule dans le gobelet. tu en profites pour le questionner sur sa spécialité dans la médecin et tu apprends qu’il est encore étudiant. « oh vous aimez les enfants ? » toi tu les aimes aussi, c’est eux qui ne t’aiment pas. tu es trop inexpressif pour eux. tu leur fais peur. tu ne peux pas leur en vouloir, parce que c’est vrai. tu n’as pas souvent, pour ne pas dire jamais, d’expression sur ton visage. c’est rare qu’un sourire s’affiche sur tes lèvres et aujourd’hui est une exception même s’il est infime. d’ailleurs, il se fane quand tanjiu s’incline à nouveau et s’excuse. tu hausses les épaules tout en avalant une gorgée de café. « pas la peine d’être désolé. c’est très flatteur qu’on me trouve beau. vous êtes pas mal non plus dans votre genre. » tu penses que c’est la fin de votre échange parce qu’un nouvel homme en blouse s’approche de vous et tu entends les brides de leur conversation. vos supérieurs sont encore en train de débriefer sur l’accident. tu relèves les yeux vers tanjiu et hoche la tête pour le suivre dans la salle de repos. le silence s’installe entre vous et tu ne cherches pas à le briser. tu vois la tension dans les épaules de l’étudiant et quand il ouvre la porte, tu croises son regard. il semble totalement paniqué et tu espères que c’est à cause de toi. tu entres et te tournes vers le plus grand quand il reprend la parole. tu hoches une nouvelle fois la tête avant de prendre place sur une chaise autour de la table. « c’est une vocation pour vous la médecine ou un choix que vous avez fait plus tard ? » demandes-tu, reprenant la parole en chinois. tu n’es pas vraiment bilingue mais tu te débrouilles pas mal dans cette langue parce que tu l’as appris à l’école de police. fallait que tu prennes une autre langue et c’est celle-là qui t’avait plus. « vous vous plaisez dans ce que vous faites ? » t’es pas bavard d’ordinaire, mais là tu veux revoir ses joues rouges et entendre encore une fois ce petit gémissement plaintif. tu te plais à imaginer les sons qui pourraient s’échapper de ses lèvres quand tu viendrais titiller sa peau des tiennes. tu t’imagines lui faire beaucoup de bien et ton regard intense se plante dans le sien et tu le regardes sans ciller.
feat. @meng tan jiu
gabi le loup
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Re: heartbeat ✗ hakjiu | Lun 27 Mai - 16:52 Citer EditerSupprimer
⌁ Bien qu'il ne soit pas encore officiellement médecin, Tanjiu fait toujours de son mieux pour être aussi irréprochable que possible sur son futur lieu de travail. Bien qu'il ait encore énormément de mal à ne pas s'investir personnellement dans les problèmes de ses patients tant il est empathique, il tente au mieux d'être professionnel. C'est qu'il prend ses études très à coeur, qu'au delà de son simple projet d'avenir, devenir chirurgien est pour lui un véritable rêve, un objectif dont il ne se détourne jamais. Mais aujourd'hui il peine à rester professionnel, concentré sur son éducation et apprentissage de son futur métier. Tout ça à cause de cet agent de police qu'il ne connaissait même pas il y a quelques instants. Certes Tanjiu est connu pour être maladroit, mais depuis quand est-il devenu aussi facilement perturbable, absorbé par quelqu'un ? C'est bien la première fois qu'une telle chose lui arrive, et il blâme le regard hypnotisant de l'officier pour ça. Et puis sa voix, et le moindre de ses gestes. Son rythme cardiaque accélère brutalement lorsque son vis-à-vis répète son prénom avec une prononciation parfaite, et heureusement il parvient à se distraire en expliquant qu'il n'est pas vraiment médecin, pas encore. Est-ce qu'il aime les enfants ? Évidemment, il voudrait pouvoir protéger leur innocence à tous, ne jamais laisser la moindre maladie effacer leurs sourires candides. «Oui... en médecine on nous apprend que toutes les vies sont équivalentes mais... les enfants malades n'ont pas le temps de vivre, c'est pour ça que je voudrais me spécialiser en pédiatrie, pour leur donner une chance de vivre» Et comme à l'accoutumée, Tanjiu parle trop lorsqu'il s'agit de médecine, se perd dans des développements inutiles. Alors il s'interrompt, prend enfin la peine de s'excuser pour sa remarque totalement déplacée qui le fait sans doute passer pour un pervers aux yeux de l'agent. Mais il ne s'attendait certainement pas à ce que son vis à vis lui retourne le compliment, et s'il avait encore été en train de boire, le chinois se serait sans doute étouffé avec son café tant la surprise est grande. Il rougit encore plus, détourne nerveusement les yeux et se croit maudit lorsque son supérieur lui demande d'accompagner l'officier Bae en salle de repos. Pourtant il obéit, et lorsqu'ils sont à l'intérieur, Tanjiu reste nerveusement debout près de la porte tandis que le policier s'installe plus confortablement. « Hein ? » Il est tiré hors de ses rêveries par sa question qui le laisse un peu perdu. Pourquoi s'intéresserait-il à lui, à sa vie ? « Euh je... » Il hésite, ne sait pas quoi répondre, ignore même si c'est une vraie question intéressée ou simplement un moyen de briser le silence « Je dirais que c'est une vocation, mon père est cardiologue alors... c'est un peu de famille, j'ai toujours voulu faire ça » Il est si nerveux que sa voix tremble, qu'il ne pense même pas à lui retourner la question, lui répond en coréen même si l'officier s'est adressé à lui en chinois. Et il fixe son café comme s'il était la chose la plus intéressante au monde, ose relever son regard lorsque le plus petit lui pose une nouvelle question, regrette immédiatement après. Il est là, à le fixer avec un calme absolu qui fait totalement perdre pied à l'étudiant qui reste figé l'espace d'une fraction de seconde avant de détourner une fois de plus le regard, les joues encore plus pourpres, les lèvres entrouvertes pour gérer sa respiration saccadée. Bon sang, comment ce garçon peut-il lui faire un tel effet ? « Je... j'ai quelque chose sur le visage ? Pourquoi vous me regardez... comme ça ? »
feat. @bae hak nyeon
the moment I saw you, I fell in deep
⌁ Bien qu'il ne soit pas encore officiellement médecin, Tanjiu fait toujours de son mieux pour être aussi irréprochable que possible sur son futur lieu de travail. Bien qu'il ait encore énormément de mal à ne pas s'investir personnellement dans les problèmes de ses patients tant il est empathique, il tente au mieux d'être professionnel. C'est qu'il prend ses études très à coeur, qu'au delà de son simple projet d'avenir, devenir chirurgien est pour lui un véritable rêve, un objectif dont il ne se détourne jamais. Mais aujourd'hui il peine à rester professionnel, concentré sur son éducation et apprentissage de son futur métier. Tout ça à cause de cet agent de police qu'il ne connaissait même pas il y a quelques instants. Certes Tanjiu est connu pour être maladroit, mais depuis quand est-il devenu aussi facilement perturbable, absorbé par quelqu'un ? C'est bien la première fois qu'une telle chose lui arrive, et il blâme le regard hypnotisant de l'officier pour ça. Et puis sa voix, et le moindre de ses gestes. Son rythme cardiaque accélère brutalement lorsque son vis-à-vis répète son prénom avec une prononciation parfaite, et heureusement il parvient à se distraire en expliquant qu'il n'est pas vraiment médecin, pas encore. Est-ce qu'il aime les enfants ? Évidemment, il voudrait pouvoir protéger leur innocence à tous, ne jamais laisser la moindre maladie effacer leurs sourires candides. «Oui... en médecine on nous apprend que toutes les vies sont équivalentes mais... les enfants malades n'ont pas le temps de vivre, c'est pour ça que je voudrais me spécialiser en pédiatrie, pour leur donner une chance de vivre» Et comme à l'accoutumée, Tanjiu parle trop lorsqu'il s'agit de médecine, se perd dans des développements inutiles. Alors il s'interrompt, prend enfin la peine de s'excuser pour sa remarque totalement déplacée qui le fait sans doute passer pour un pervers aux yeux de l'agent. Mais il ne s'attendait certainement pas à ce que son vis à vis lui retourne le compliment, et s'il avait encore été en train de boire, le chinois se serait sans doute étouffé avec son café tant la surprise est grande. Il rougit encore plus, détourne nerveusement les yeux et se croit maudit lorsque son supérieur lui demande d'accompagner l'officier Bae en salle de repos. Pourtant il obéit, et lorsqu'ils sont à l'intérieur, Tanjiu reste nerveusement debout près de la porte tandis que le policier s'installe plus confortablement. « Hein ? » Il est tiré hors de ses rêveries par sa question qui le laisse un peu perdu. Pourquoi s'intéresserait-il à lui, à sa vie ? « Euh je... » Il hésite, ne sait pas quoi répondre, ignore même si c'est une vraie question intéressée ou simplement un moyen de briser le silence « Je dirais que c'est une vocation, mon père est cardiologue alors... c'est un peu de famille, j'ai toujours voulu faire ça » Il est si nerveux que sa voix tremble, qu'il ne pense même pas à lui retourner la question, lui répond en coréen même si l'officier s'est adressé à lui en chinois. Et il fixe son café comme s'il était la chose la plus intéressante au monde, ose relever son regard lorsque le plus petit lui pose une nouvelle question, regrette immédiatement après. Il est là, à le fixer avec un calme absolu qui fait totalement perdre pied à l'étudiant qui reste figé l'espace d'une fraction de seconde avant de détourner une fois de plus le regard, les joues encore plus pourpres, les lèvres entrouvertes pour gérer sa respiration saccadée. Bon sang, comment ce garçon peut-il lui faire un tel effet ? « Je... j'ai quelque chose sur le visage ? Pourquoi vous me regardez... comme ça ? »
feat. @bae hak nyeon
gabi le loup
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Re: heartbeat ✗ hakjiu | Sam 2 Nov - 23:01 Citer EditerSupprimer
⌁ hak avait bien compris que son visage, son regard et sa voix grave étaient des choses qui l’aiderait à avoir les personnes qu’il voulait dans son lit. il s’en servait assez régulièrement et avait eu toutes sortes de réactions. mais celle du médecin en face de lui est inédite. c’est le premier à avoir dit à voix haute qu’il était beau. heureusement pour lui, il l’avait dit en chinois, ce qui faisait que personne autour de lui n’avait compris. mais malheureusement, haknyeon avait suivi des cours de chinois à l’école de police et sans dire qu’il avait un excellent niveau, il se débrouillait pas mal pour comprendre et se faire comprendre de tanjiu. il écoute attentivement ce qu’il lui raconte et apprend que la médecine est quelque chose qu’il aime vraiment. ça se voit à la façon dont il a d’en parler et à ses yeux qui s’illuminent à chaque fois qu’il dit une nouvelle phrase. observant minutieusement l’étudiant, le policier en vient à penser que c’est ce genre de personnes qui feraient de très bon médecin. il est donc persuadé qu’il fera un très bon docteur. un discret sourire moqueur s’affiche sur les lèvres du plus petit quand il remarque l’air paniqué qui prend place sur le visage du plus grand. il le suit dans la salle de repos et prend place comme s’il était le propriétaire des lieux. il se rend compte que tanjiu est nerveux en sa présence et cela ne le rend que plus intriguant pour haknyeon. il reste bloqué contre la porte et semble perdu dans ses pensées jusqu’à ce que le policier reprenne la parole. il lui parle en chinois mais sa réponse est en coréen et ça pourrait presque faire sourire plus franchement hak. à la place il l’écoute encore une fois parler et hoche la tête, ne le quittant pas du regard une seule fois. ses yeux restent bien ancré sur son visage, le fixant pour observer ses réactions. il est content de voir l’effet qu’il lui fait quand il tourne la tête, les joues roses à cause de l’embarrassement. il lui semble même entendre une respiration un peu fouillis, comme si le simple fait de le regarder lui donner des bouffées de chaleur. « il n’y a rien sur votre visage. » commence-t-il tandis qu’il ne le quitte pas des yeux, ses pupilles essayant de capter son regard. « je vous trouve juste beau. j’observe toujours longuement ce que je trouve beau. » ce n’était pas totalement vrai. certes, il le regardait parce qu’il le trouvait beau, mais si c’était aussi longuement, c’était simplement parce que ses réactions le fascinaient. est-ce qu’il était puceau ? est-ce qu’il n’avait pas l’habitude d’être le centre de l’attention ? est-ce que c’était réellement lui qui lui faisait de l’effet comme ça ? accepterait-il de coucher avec lui ? tant de question qui se bousculaient dans la tête de haknyeon alors qu’il continue de fixer le pauvre médecin. « vous avez des soirées de libre tanjiu ? » finit-il par demander alors qu’il décide de détourner le regard pour chercher une poubelle. il a fini son café et veut jeter son gobelet. il se lève dès qu’il la trouve et en profite pour se laver les mains au passage. hak se sèche les mains une fois qu’elles sont propres et se tourne vers le jeune homme. « alors ? » il le relance parce qu’il n’est pas très patient quand on ne répond pas à ses questions. c’est pour cette raison qu’il n’aime pas diriger d’interrogatoire parce que les gens ne sont pas assez rapides à lui répondre et il finit toujours par s’énerver.
feat. @meng tan jiu
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⌁ hak avait bien compris que son visage, son regard et sa voix grave étaient des choses qui l’aiderait à avoir les personnes qu’il voulait dans son lit. il s’en servait assez régulièrement et avait eu toutes sortes de réactions. mais celle du médecin en face de lui est inédite. c’est le premier à avoir dit à voix haute qu’il était beau. heureusement pour lui, il l’avait dit en chinois, ce qui faisait que personne autour de lui n’avait compris. mais malheureusement, haknyeon avait suivi des cours de chinois à l’école de police et sans dire qu’il avait un excellent niveau, il se débrouillait pas mal pour comprendre et se faire comprendre de tanjiu. il écoute attentivement ce qu’il lui raconte et apprend que la médecine est quelque chose qu’il aime vraiment. ça se voit à la façon dont il a d’en parler et à ses yeux qui s’illuminent à chaque fois qu’il dit une nouvelle phrase. observant minutieusement l’étudiant, le policier en vient à penser que c’est ce genre de personnes qui feraient de très bon médecin. il est donc persuadé qu’il fera un très bon docteur. un discret sourire moqueur s’affiche sur les lèvres du plus petit quand il remarque l’air paniqué qui prend place sur le visage du plus grand. il le suit dans la salle de repos et prend place comme s’il était le propriétaire des lieux. il se rend compte que tanjiu est nerveux en sa présence et cela ne le rend que plus intriguant pour haknyeon. il reste bloqué contre la porte et semble perdu dans ses pensées jusqu’à ce que le policier reprenne la parole. il lui parle en chinois mais sa réponse est en coréen et ça pourrait presque faire sourire plus franchement hak. à la place il l’écoute encore une fois parler et hoche la tête, ne le quittant pas du regard une seule fois. ses yeux restent bien ancré sur son visage, le fixant pour observer ses réactions. il est content de voir l’effet qu’il lui fait quand il tourne la tête, les joues roses à cause de l’embarrassement. il lui semble même entendre une respiration un peu fouillis, comme si le simple fait de le regarder lui donner des bouffées de chaleur. « il n’y a rien sur votre visage. » commence-t-il tandis qu’il ne le quitte pas des yeux, ses pupilles essayant de capter son regard. « je vous trouve juste beau. j’observe toujours longuement ce que je trouve beau. » ce n’était pas totalement vrai. certes, il le regardait parce qu’il le trouvait beau, mais si c’était aussi longuement, c’était simplement parce que ses réactions le fascinaient. est-ce qu’il était puceau ? est-ce qu’il n’avait pas l’habitude d’être le centre de l’attention ? est-ce que c’était réellement lui qui lui faisait de l’effet comme ça ? accepterait-il de coucher avec lui ? tant de question qui se bousculaient dans la tête de haknyeon alors qu’il continue de fixer le pauvre médecin. « vous avez des soirées de libre tanjiu ? » finit-il par demander alors qu’il décide de détourner le regard pour chercher une poubelle. il a fini son café et veut jeter son gobelet. il se lève dès qu’il la trouve et en profite pour se laver les mains au passage. hak se sèche les mains une fois qu’elles sont propres et se tourne vers le jeune homme. « alors ? » il le relance parce qu’il n’est pas très patient quand on ne répond pas à ses questions. c’est pour cette raison qu’il n’aime pas diriger d’interrogatoire parce que les gens ne sont pas assez rapides à lui répondre et il finit toujours par s’énerver.
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