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I hate you I love you [pv Arizona]
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I hate you I love you [pv Arizona] | Sam 21 Juil 2018 - 0:53 Citer EditerSupprimer I hate you I love you Arizona & Kwang Min Encore une journée de merde, une de ses journées où je ne veux pas aller en cours et perdre mon temps sur des bancs de cours. Je ne veux pas traîner davantage en classe, c’est pour ça que je me suis cassé à la pause et que j’ai commencé à traîner dans les couloirs sans aucun but. Je change carrément de bâtiment et glande dans les couloirs en écoutant les musiques de mon groupe et du premier album que l’on vient de sortir. Je suis assez fier de notre groupe et depuis nos débuts, je suis de meilleure humeur, même si je reste Kwang Min, l’insupportable des deux jumeaux mais un peu moins qu’avant tout de même ! Je souris presque et me perds dans mes pensées. Il n’y a pas si longtemps, nous avons fait nos débuts sur scène et c’est tout ce que je souhaitais. J’en rêvais même et j’ai toujours du mal à me dire que ça s’est réellement passé ! Je chantonne dans les couloirs complètement vides comme la plupart des élèves sont en cours, ce qui me donne champs libre pour faire tout ce que je veux… Jusqu’à ce que la sonnerie retentisse… trop tôt à mon goût. Je rumine un peu en voyant les couloirs se remplir petit à petit de pleins d’étudiants heureux que la fin des cours soit annoncée.
J’évite la foule soudainement, j’ai pas vraiment envie de me retrouver à bousculer d’autres étudiants et me retrouver à m’excuser alors que je m’en fous complètement d’eux. Je trouve un couloir moins rempli, juste un groupe de mecs assez imposants qui forment un petit attroupement dans un coin. Je lève les yeux au ciel en m’en foutant bien de ce qu’ils peuvent bien faire là. J’avance, les mains toujours dans les poches et jette un coup d’œil vers les gars lorsque je suis à leur niveau et remarque, coincée contre le mur, une chevelure que je reconnais rapidement. Je m’arrête, surpris, et regarde ce qu’il se passe sans intervenir alors que de toute évidence, ils ne veulent aucun bien à la jeune femme. Je me demande si je veux vraiment venir, elle et moi, on s’entend pas bien, c’est plus qu’évident aux yeux de tous mais au fond, elle m’insupporte moins que je ne le montre. Je soupire et pousse les mecs avec mes coudes pour me frayer un chemin jusqu’à Arizona. Je passe mon bras autour de ses épaules et l’attire contre moi en regardant les garçons d’un œil mauvais.
-Il y a un problème ?
Je parle froidement et sèchement comme je sais particulièrement bien le faire. J’attire un peu plus la jeune femme contre moi pour faire bien comprendre aux autres cons qu’ils n’ont pas intérêt à l’approcher. Je les repousse comme je n’ai pas vraiment envie de me battre maintenant et entraîne Arizona plus loin, mon bras toujours sur ses épaules pour la forcer à me suivre. Je bifurque à un couloir pour nous éloigner définitivement du groupe d’idiots et retire enfin mon bras de ses épaules avant de la regarder sans sourire.
-Me dis pas merci surtout.
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J’évite la foule soudainement, j’ai pas vraiment envie de me retrouver à bousculer d’autres étudiants et me retrouver à m’excuser alors que je m’en fous complètement d’eux. Je trouve un couloir moins rempli, juste un groupe de mecs assez imposants qui forment un petit attroupement dans un coin. Je lève les yeux au ciel en m’en foutant bien de ce qu’ils peuvent bien faire là. J’avance, les mains toujours dans les poches et jette un coup d’œil vers les gars lorsque je suis à leur niveau et remarque, coincée contre le mur, une chevelure que je reconnais rapidement. Je m’arrête, surpris, et regarde ce qu’il se passe sans intervenir alors que de toute évidence, ils ne veulent aucun bien à la jeune femme. Je me demande si je veux vraiment venir, elle et moi, on s’entend pas bien, c’est plus qu’évident aux yeux de tous mais au fond, elle m’insupporte moins que je ne le montre. Je soupire et pousse les mecs avec mes coudes pour me frayer un chemin jusqu’à Arizona. Je passe mon bras autour de ses épaules et l’attire contre moi en regardant les garçons d’un œil mauvais.
-Il y a un problème ?
Je parle froidement et sèchement comme je sais particulièrement bien le faire. J’attire un peu plus la jeune femme contre moi pour faire bien comprendre aux autres cons qu’ils n’ont pas intérêt à l’approcher. Je les repousse comme je n’ai pas vraiment envie de me battre maintenant et entraîne Arizona plus loin, mon bras toujours sur ses épaules pour la forcer à me suivre. Je bifurque à un couloir pour nous éloigner définitivement du groupe d’idiots et retire enfin mon bras de ses épaules avant de la regarder sans sourire.
-Me dis pas merci surtout.
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Re: I hate you I love you [pv Arizona] | Dim 22 Juil 2018 - 21:46 Citer EditerSupprimer I hate you I love you Arizona & Kwang Min En se réveillant ce matin, elle avait tout de suite senti que cette journée ne serait pas bonne. Parce que son réveil n’avait pas sonné, que ses cheveux s’étaient coincés dans son élastique et qu’elle ne trouvait plus la jupe qu’elle avait prévu de porter. Arizona détestait ces matin-là. Ceux où elle devait se presser. Elle avait fini par enfiler le premier pantalon qu’elle avait trouvé et avait passé plus de quinze minutes à démêler sa tignasse blonde. Mais ce n’était que le début. Elle avait bien évidemment oublié ses pinceaux pour le cours d’arts plastiques et la remarque de son professeur n’avait fait qu’intensifier sa colère. Oui, aujourd’hui, l’américaine en voulait au monde entier et elle comptait bien le montrer. Derrière ses airs de douce princesse, il y avait un caractère tellement merdique qu’elle avait toujours un peu de mal à le dissimuler.
Arizona avait tâché sa chemise à l’heure du déjeuner et avait balancé son sandwich au milieu du parc en râlant. Dans ses mauvais jours, il valait mieux ne pas croiser son chemin. La délicatesse et la politesse s’étaient fait la malle. Elle s’était même demandé si elle ne devait pas sécher son cours de l’après-midi, mais elle ne pouvait pas se le permettre. Elle avait des comptes à rendre. A ses parents et à l’agence qui l’avait embauché. Parfois elle regrettait d’avoir accepté ce boulot. C’était toujours agréable de voir son visage sur des dizaines d’affiche, mais parfois, c’était simplement épuisant. Parce qu’elle avait l’impression qu’elle ne maitrisait plus sa vie. Alors elle avait pris des notes en essayant de se concentrer, alors qu’elle n’attendait que la sonnerie qui annoncerait la fin de cette journée de merde.
La blonde n’avait qu’une envie. Retourner se coucher. Dans ces moments-là, c’était toujours la meilleure solution, mais la vie semblait en avoir décidé autrement. Arizona savait que certains élèves de l’université la reconnaissaient, mais elle estimait avoir le droit à sa vie privée. Dans ce pays les hommes se croyaient tout permis et s’il y avait bien une chose qu’elle détestait c’était qu’on la touche sans son accord et ses garçons qui l’avaient entouré ne s’était pas gêné pour le faire. Elle était prête à se défendre, mais un bras autour de ses épaules l’empêchait de parler. Arizona reconnaissait immédiatement l’odeur du garçon. Kwang Min. Elle le trouvait insupportable et se retrouver contre lui n’avait rien d’extraordinaire. Au contraire. Mais elle se laissait entrainer loin de cette bande d’idiots. Elle se dégageait brutalement de son étreinte.
« Mais qu’est-ce que tu fous ? T’as cru qu’on avait elévé les cochons ensemble ? Tu veux jouer les héros ? Je gérais très bien la situation. »
C’était faux. Mais Arizona était incapable de lui donner raison. C’était presque maladif. Et remercier un type comme Kwang Min lui brulerait sûrement la gorge.
« Qui t’as donné le droit de me toucher ? »
Cette relation avait toujours été animé par des cris, des insultes, des gestes parfois un peu brusques mais jamais violents. Une relation que personne ne pouvait expliquer. Parce qu’ils avaient beau passer leur temps à se disputer, ils n’étaient jamais très loin l’un de l’autre.
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Arizona avait tâché sa chemise à l’heure du déjeuner et avait balancé son sandwich au milieu du parc en râlant. Dans ses mauvais jours, il valait mieux ne pas croiser son chemin. La délicatesse et la politesse s’étaient fait la malle. Elle s’était même demandé si elle ne devait pas sécher son cours de l’après-midi, mais elle ne pouvait pas se le permettre. Elle avait des comptes à rendre. A ses parents et à l’agence qui l’avait embauché. Parfois elle regrettait d’avoir accepté ce boulot. C’était toujours agréable de voir son visage sur des dizaines d’affiche, mais parfois, c’était simplement épuisant. Parce qu’elle avait l’impression qu’elle ne maitrisait plus sa vie. Alors elle avait pris des notes en essayant de se concentrer, alors qu’elle n’attendait que la sonnerie qui annoncerait la fin de cette journée de merde.
La blonde n’avait qu’une envie. Retourner se coucher. Dans ces moments-là, c’était toujours la meilleure solution, mais la vie semblait en avoir décidé autrement. Arizona savait que certains élèves de l’université la reconnaissaient, mais elle estimait avoir le droit à sa vie privée. Dans ce pays les hommes se croyaient tout permis et s’il y avait bien une chose qu’elle détestait c’était qu’on la touche sans son accord et ses garçons qui l’avaient entouré ne s’était pas gêné pour le faire. Elle était prête à se défendre, mais un bras autour de ses épaules l’empêchait de parler. Arizona reconnaissait immédiatement l’odeur du garçon. Kwang Min. Elle le trouvait insupportable et se retrouver contre lui n’avait rien d’extraordinaire. Au contraire. Mais elle se laissait entrainer loin de cette bande d’idiots. Elle se dégageait brutalement de son étreinte.
« Mais qu’est-ce que tu fous ? T’as cru qu’on avait elévé les cochons ensemble ? Tu veux jouer les héros ? Je gérais très bien la situation. »
C’était faux. Mais Arizona était incapable de lui donner raison. C’était presque maladif. Et remercier un type comme Kwang Min lui brulerait sûrement la gorge.
« Qui t’as donné le droit de me toucher ? »
Cette relation avait toujours été animé par des cris, des insultes, des gestes parfois un peu brusques mais jamais violents. Une relation que personne ne pouvait expliquer. Parce qu’ils avaient beau passer leur temps à se disputer, ils n’étaient jamais très loin l’un de l’autre.
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Re: I hate you I love you [pv Arizona] | Sam 4 Aoû 2018 - 20:42 Citer EditerSupprimer I hate you I love you Arizona & Kwang Min J’aurais peut-être dû la laisser dans sa merde, elle avait l’air d’être dans de sales draps et mon instinct chevaleresque avait pris le dessus sur le peu d’intérêt que j’accorde à la blonde. Je me suis approché, je l’ai approché de moi en l’entourant de mon bras et je crois que mon regard froid à bien refroidi la bande de cons qui l’entouraient. Je suis pas resté, j’allais pas me battre pour elle, faut pas exagérer non plus je crois avoir été suffisamment gentil comme ça. Je crois qu’ils ont pas non plus envie de me chercher des emmerdes comme ils ne nous suivent pas, j’pense qu’ils sont au courant de mon identité et faire chier Kwang Min c’est trouver les ennuis. A peine avons-nous bifurqué dans un couloir adjacent que la petite princesse se dégage brutalement de mon étreinte et je lève déjà les yeux au ciel alors qu’elle commence à râler, incapable d’être agréable une seconde.
-Ouais c’est ça, tu t’en sortais trèèès bien toute seule contre des mecs deux fois plus grands que toi.
Je secoue la tête, je sais que j’dois pas attendre de merci d’Arizona, on s’aime comme chien et chat alors elle préférerait plutôt mourir que de me remercier. C’est bon, je regrette déjà de l’avoir sortie de ses emmerdes. Je lève encore les yeux au ciel, je crois que je passe mon temps à ça lorsque je suis avec elle et je peux dire que ça arrive étrangement souvent. Je souris en coin avec un air malicieux et mon bras passe autour de ses épaules pour l’attirer contre moi en ébouriffant sa chevelure blonde qu’elle a probablement longuement coiffé ce matin.
-Je dois avoir le droit de te toucher ? Je te touche si je veux !
Je la lâche avec un sourire moqueur et taquin alors que je sais que je la fais autant chier que les mecs qui viennent de l’aborder il y a une seconde sauf que je suis bien moins dangereux et ça, elle le sait. On se déteste mais on passe quand même notre temps ensemble à se chamailler pour tout et pour rien, tout le monde s’imagine qu’on est les pires ennemis du monde et qu’on ne peut pas se voir. Moi je pense que cette façon qu’on a de ne pas s’entendre est la seule qu’on a trouvée pour se montrer qu’on s’apprécie.
-La prochaine fois, rappelle-moi de te laisser dans ta merde, putain. Je te regarderais « t’en sortir » sans t’aider.
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-Ouais c’est ça, tu t’en sortais trèèès bien toute seule contre des mecs deux fois plus grands que toi.
Je secoue la tête, je sais que j’dois pas attendre de merci d’Arizona, on s’aime comme chien et chat alors elle préférerait plutôt mourir que de me remercier. C’est bon, je regrette déjà de l’avoir sortie de ses emmerdes. Je lève encore les yeux au ciel, je crois que je passe mon temps à ça lorsque je suis avec elle et je peux dire que ça arrive étrangement souvent. Je souris en coin avec un air malicieux et mon bras passe autour de ses épaules pour l’attirer contre moi en ébouriffant sa chevelure blonde qu’elle a probablement longuement coiffé ce matin.
-Je dois avoir le droit de te toucher ? Je te touche si je veux !
Je la lâche avec un sourire moqueur et taquin alors que je sais que je la fais autant chier que les mecs qui viennent de l’aborder il y a une seconde sauf que je suis bien moins dangereux et ça, elle le sait. On se déteste mais on passe quand même notre temps ensemble à se chamailler pour tout et pour rien, tout le monde s’imagine qu’on est les pires ennemis du monde et qu’on ne peut pas se voir. Moi je pense que cette façon qu’on a de ne pas s’entendre est la seule qu’on a trouvée pour se montrer qu’on s’apprécie.
-La prochaine fois, rappelle-moi de te laisser dans ta merde, putain. Je te regarderais « t’en sortir » sans t’aider.
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Re: I hate you I love you [pv Arizona] | Sam 1 Sep 2018 - 19:03 Citer EditerSupprimer I hate you I love you Arizona & Kwang Min Elle aurait pu être reconnaissait s’il ne s’agissait pas de Kwang Min. Il faisait ressortir tous les mauvais côtés de sa personnalité et surtout sa mauvaise foi. Dans le fond, elle savait très bien qu’elle n’aurait pas pu s’en sortir sans lui, mais Arizona était incapable de prononcer le mot : merci. Ils ne se supportaient pas et elle ne comprenait pas comment ils arrivaient à passer autant de temps ensemble. Elle ne pouvait pas mentir, si elle ne le croisait pas pendant un petit moment, elle commençait à s’inquiétait et c’était extrêmement agaçant.
« C’est pas la taille qui compte. Tu devrais le savoir ! »
La blonde aurait pu s’en aller, mais elle restait même si elle lui demandait de ne pas la toucher. Ses réactions étaient contradictoires et elle ne pouvait pas les expliquer. Elle ouvrait de grands yeux affolés alors que ses cheveux se retrouvaient emmêlé. Elle essayait de le repousser mais Kwang Min l’avait déjà lâché. Elle se recoiffait rapidement. Même si elle n’était pas du genre à accorder trop d’importance au physique, ses cheveux, c’était une toute autre histoire.
« D’où tu peux me toucher ? Qu’est-ce qui t’en donne le droit ? J’aimerais beaucoup le savoir ! »
Ce n’était que des disputes complètement inutiles, mais elle aimait ça. Chacun aurait dû partir de son côté, mais ils continuaient à marcher côté à côté, comme s’il n’y avait rien de plus normal de se chamailler à longueur de journée. Arizona s’était inquiété de savoir ce que ces garçons auraient pu lui faire, mais elle n’aimait pas passer pour une fille faible, encore moins face au brun.
« Tu serais pas capable de rien faire ! Je suis trop mignonne, tu te sentirais obligé de venir m’aider... Et ça... bon... je peux le comprendre maintenant. Peut-être que t’es un peu amoureux de moi ? »
Elle lui donnait un coup de coude. Il l’emmerdait peut-être, mais elle pouvait devenir un véritable démon, même derrière son jolie sourire et ses traits fins. Arizona cachait bien son jeu et Kwang Min le savait sûrement un peu trop bien.
« Tu veux que je te paye un truc à manger puisque t’as tant besoin de reconnaissance ? »
Une façon détournée de le remercier. Elle pouvait être une peste, mais elle ne l’avait jamais détesté, il n’y avait aucune colère, ni aucune haine. Juste deux gamins qui n’étaient pas capable de se parler naturellement.
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« C’est pas la taille qui compte. Tu devrais le savoir ! »
La blonde aurait pu s’en aller, mais elle restait même si elle lui demandait de ne pas la toucher. Ses réactions étaient contradictoires et elle ne pouvait pas les expliquer. Elle ouvrait de grands yeux affolés alors que ses cheveux se retrouvaient emmêlé. Elle essayait de le repousser mais Kwang Min l’avait déjà lâché. Elle se recoiffait rapidement. Même si elle n’était pas du genre à accorder trop d’importance au physique, ses cheveux, c’était une toute autre histoire.
« D’où tu peux me toucher ? Qu’est-ce qui t’en donne le droit ? J’aimerais beaucoup le savoir ! »
Ce n’était que des disputes complètement inutiles, mais elle aimait ça. Chacun aurait dû partir de son côté, mais ils continuaient à marcher côté à côté, comme s’il n’y avait rien de plus normal de se chamailler à longueur de journée. Arizona s’était inquiété de savoir ce que ces garçons auraient pu lui faire, mais elle n’aimait pas passer pour une fille faible, encore moins face au brun.
« Tu serais pas capable de rien faire ! Je suis trop mignonne, tu te sentirais obligé de venir m’aider... Et ça... bon... je peux le comprendre maintenant. Peut-être que t’es un peu amoureux de moi ? »
Elle lui donnait un coup de coude. Il l’emmerdait peut-être, mais elle pouvait devenir un véritable démon, même derrière son jolie sourire et ses traits fins. Arizona cachait bien son jeu et Kwang Min le savait sûrement un peu trop bien.
« Tu veux que je te paye un truc à manger puisque t’as tant besoin de reconnaissance ? »
Une façon détournée de le remercier. Elle pouvait être une peste, mais elle ne l’avait jamais détesté, il n’y avait aucune colère, ni aucune haine. Juste deux gamins qui n’étaient pas capable de se parler naturellement.
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