Fuck this shit I'm out [ft Chully]
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Fuck this shit I'm out [ft Chully] | Sam 28 Juil - 1:25 Citer EditerSupprimer
Junhee est-ce que tu peux cordialement aller te faire foutre ? Je serrais les dents après avoir dis ça. Non sérieusement il m’agaçait, ça m’avait déjà suffit qu’il me fasse la leçon de face à face, non il voulait encore continuer ça par téléphone. non parce que si je m’étais cassé en pleine discution…. c’était que d’une, j’avais pas envie de lui parler et de deux il fallait que j’aille bosser. Mais visiblement, le message n’était pas assez clair pour monsieur “Je fais ce que je veux dans mon égoïsme de monstre”. Il fallait en plus que je me farcisse un appel avant que j’aille bosser. Mais putain qu’est-ce que tu comprends dans “Je veux pas te parler Junhee” ? Oui j’étais en colère. Non j’étais même fou de rage. C’était notre habituelle dispute, il voulait que j’arrête de bosser dans des milieux rabaissant. Il avait déjà réussi à me faire arrêter de vendre mon cul à tous les vieux porcs en manque de sexe…. maintenant il voulait que j’arrête aussi le strip. Je croisais mon bras de libre sur mon torse. Pourquoi il ne voulait capter que je le faisais par nécessité ? Cet argent j’en avais besoin. Mais lui il continuait de me dire qu’il pouvait m’aider et me filer du fric. Sauf son fric, j’en voulais pas. Putain c’était trop à comprendre pour que je ne voulais pas lui être plus redevable que ce que je l’étais à l’heure actuelle. Non, monsieur dans sa bonté immense il voulait me dépanner. Pourquoi il se donnait autant de mal alors qu'il savait pertinemment que je ne pourrais plus jamais être en couple avec lui ? POURQUOI PUTAIN. Il me disait stupidement fier, moi je le trouvais ridicule au possible. Junhee. Faut que je le te dise en quelle langue bordel de cul ? Je pris une grand inspiration avant de balancer énervé. Je ne suis pas un putain de gosse et je N’AI PAS BESOIN QUE TU ME MATERNES OU QUE TU ME DONNES TON AVIS SUR MA VIE. Okay, je pétais un câble, je n’avais même plus conscience de ce que je balançais, c’était comme si si tout mon être agissait tout seul. Ety la seule chose qu’il voulait c’était que Junhee se barre très loin de moi. Il voulait qu’il fuit… mais Junhee était con. Il restait. Essaye pas de me rappeler, tu sais quoi je vais éteindre mon putain de téléphone portable. Donc tu vas te faire foutre et me laisser en paix. Je coupais l’appel sans plus de sommation. Si je m’en voulais, à l’heure actuelle non, j’étais encore beaucoup trop énervé pour calculer la portée de mes paroles. J’étais largement hors de contrôle et personne avait intérêt de me faire chier. J’éteignais mon portable comme je l’avais dit juste avant, non parce que je connaissais le loustique à force et là je voulais juste qu’il me laisse bosser en paix. Pourtant j’étais bien loin d’être en paix moi, loin de là, très très trèèèèèèès loin de là.
La mâchoire serrée. C’était comme ça que j’étais entré au Bloom Night Club pour commencer ma soirée comme je le faisais d’habitude. Sauf que voilà, Junhee m’avait vraiment foutu en vrac et je n’arrivais pas à descendre de mon état intense d’énervement. La boule au ventre et tous membres crispés, c’était comme ça que j’étais à l’heure actuelle. J’étais aussi à l’aise que on m’avait mis un manche à balai au niveau de ma colonne vertébrale, sans compter que tous les muscles de mon visages étaient crispés. Vêtu d’un haut en résille et d’un pantalon noir beaucoup trop serré pour être bienséant porté à l’extérieur, j’étais devant un client. La musique résonnait dans tout le night club, mais dans ma tête elle martelait comme un bruit de fond désagréable. Et chaque coup de faisait que décupler ma nervosité et mon état proche de la rupture totale. Pourtant je continuais d’onduler devant ce vieux gars, probablement beaucoup trop malsain pour assumer qu’il aimait regarder les jeunes homme se trémousser. Probablement un gros dégueulasse, mais à force j’avais pris l’habitude, ils étaient encore pire ceux de la Jungle. Doucement je visn m’asseoir sur les genoux de l’homme. Mais alors que je gérais à peu prêt mon état pour le moment, le type fit ce qui suffisait pour me faire péter définitivement mon cable. Sans la moindre gêne, il me passa une main à niveau beaucoup trop intime pour être touché par un client. Par réflexe je lui collais une grosse baffe dans la gueule. Il me repoussa et je finis les fesses sur le sol. PUTAIN CA VA PAS LA TETE ! Je me relevais comme une furie, j’attrapais un verre et je balançai son contenu sur le client. C’est quoi votre problème ! Espèce de porc ! Ca vous plait de toucher les jeunes garçons hein ? Vous me dégoutez, aller coucher avec votre main droite. Sans réfléchir j’allais me jeter sur lui, non mais sérieux ! On ne touchait pas ici, j’étais pas là pour me prostituer moi. J’allais lui sauter à la gorge et l’étrangler probablement pour lui écraser une bouteille sur le crâne, mais j’allais le buter pour sûr ! Mais voilà je sentis quelqu’un m’attraper dans le dos. Putain soirée de merde !
Fuck this shit I'm out.
Chully & Tsuki
Junhee est-ce que tu peux cordialement aller te faire foutre ? Je serrais les dents après avoir dis ça. Non sérieusement il m’agaçait, ça m’avait déjà suffit qu’il me fasse la leçon de face à face, non il voulait encore continuer ça par téléphone. non parce que si je m’étais cassé en pleine discution…. c’était que d’une, j’avais pas envie de lui parler et de deux il fallait que j’aille bosser. Mais visiblement, le message n’était pas assez clair pour monsieur “Je fais ce que je veux dans mon égoïsme de monstre”. Il fallait en plus que je me farcisse un appel avant que j’aille bosser. Mais putain qu’est-ce que tu comprends dans “Je veux pas te parler Junhee” ? Oui j’étais en colère. Non j’étais même fou de rage. C’était notre habituelle dispute, il voulait que j’arrête de bosser dans des milieux rabaissant. Il avait déjà réussi à me faire arrêter de vendre mon cul à tous les vieux porcs en manque de sexe…. maintenant il voulait que j’arrête aussi le strip. Je croisais mon bras de libre sur mon torse. Pourquoi il ne voulait capter que je le faisais par nécessité ? Cet argent j’en avais besoin. Mais lui il continuait de me dire qu’il pouvait m’aider et me filer du fric. Sauf son fric, j’en voulais pas. Putain c’était trop à comprendre pour que je ne voulais pas lui être plus redevable que ce que je l’étais à l’heure actuelle. Non, monsieur dans sa bonté immense il voulait me dépanner. Pourquoi il se donnait autant de mal alors qu'il savait pertinemment que je ne pourrais plus jamais être en couple avec lui ? POURQUOI PUTAIN. Il me disait stupidement fier, moi je le trouvais ridicule au possible. Junhee. Faut que je le te dise en quelle langue bordel de cul ? Je pris une grand inspiration avant de balancer énervé. Je ne suis pas un putain de gosse et je N’AI PAS BESOIN QUE TU ME MATERNES OU QUE TU ME DONNES TON AVIS SUR MA VIE. Okay, je pétais un câble, je n’avais même plus conscience de ce que je balançais, c’était comme si si tout mon être agissait tout seul. Ety la seule chose qu’il voulait c’était que Junhee se barre très loin de moi. Il voulait qu’il fuit… mais Junhee était con. Il restait. Essaye pas de me rappeler, tu sais quoi je vais éteindre mon putain de téléphone portable. Donc tu vas te faire foutre et me laisser en paix. Je coupais l’appel sans plus de sommation. Si je m’en voulais, à l’heure actuelle non, j’étais encore beaucoup trop énervé pour calculer la portée de mes paroles. J’étais largement hors de contrôle et personne avait intérêt de me faire chier. J’éteignais mon portable comme je l’avais dit juste avant, non parce que je connaissais le loustique à force et là je voulais juste qu’il me laisse bosser en paix. Pourtant j’étais bien loin d’être en paix moi, loin de là, très très trèèèèèèès loin de là.
La mâchoire serrée. C’était comme ça que j’étais entré au Bloom Night Club pour commencer ma soirée comme je le faisais d’habitude. Sauf que voilà, Junhee m’avait vraiment foutu en vrac et je n’arrivais pas à descendre de mon état intense d’énervement. La boule au ventre et tous membres crispés, c’était comme ça que j’étais à l’heure actuelle. J’étais aussi à l’aise que on m’avait mis un manche à balai au niveau de ma colonne vertébrale, sans compter que tous les muscles de mon visages étaient crispés. Vêtu d’un haut en résille et d’un pantalon noir beaucoup trop serré pour être bienséant porté à l’extérieur, j’étais devant un client. La musique résonnait dans tout le night club, mais dans ma tête elle martelait comme un bruit de fond désagréable. Et chaque coup de faisait que décupler ma nervosité et mon état proche de la rupture totale. Pourtant je continuais d’onduler devant ce vieux gars, probablement beaucoup trop malsain pour assumer qu’il aimait regarder les jeunes homme se trémousser. Probablement un gros dégueulasse, mais à force j’avais pris l’habitude, ils étaient encore pire ceux de la Jungle. Doucement je visn m’asseoir sur les genoux de l’homme. Mais alors que je gérais à peu prêt mon état pour le moment, le type fit ce qui suffisait pour me faire péter définitivement mon cable. Sans la moindre gêne, il me passa une main à niveau beaucoup trop intime pour être touché par un client. Par réflexe je lui collais une grosse baffe dans la gueule. Il me repoussa et je finis les fesses sur le sol. PUTAIN CA VA PAS LA TETE ! Je me relevais comme une furie, j’attrapais un verre et je balançai son contenu sur le client. C’est quoi votre problème ! Espèce de porc ! Ca vous plait de toucher les jeunes garçons hein ? Vous me dégoutez, aller coucher avec votre main droite. Sans réfléchir j’allais me jeter sur lui, non mais sérieux ! On ne touchait pas ici, j’étais pas là pour me prostituer moi. J’allais lui sauter à la gorge et l’étrangler probablement pour lui écraser une bouteille sur le crâne, mais j’allais le buter pour sûr ! Mais voilà je sentis quelqu’un m’attraper dans le dos. Putain soirée de merde !
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Re: Fuck this shit I'm out [ft Chully] | Mar 21 Aoû - 18:43 Citer EditerSupprimer
Fuck this shit I'm out.
Chully & Tsuki
T’es crevé aujourd’hui, t’as pas du tout envie d’aller bosser, mais c’est pas vraiment comme si t’avais le choix. Il ne va juste pas falloir te prendre la tête parce que sinon tu risque de distribuer les coups de boule à la pelle et t’as le crâne dur. Alors que tu te prépares pour aller bosser ton regard, s’arrête sur la seule photo de ta mère que tu as conservée. Elle est dans un petit cadre simple, posée sur ta table de nuit. C’est fou ce qu’elle peut te manquer, tu te sens tellement responsable de son suicide, si t’avais pas merdé à ce point rien ne serait arrivé. De quoi raviver ta mauvaise humeur tiens. Tu passes doucement ta main sur ce cadre, t’as jamais pleuré sa mort, non pas que tu n’aies pas envie, tu n’as juste jamais pu le faire. Les larmes ne sont jamais sorties et la colère à toujours dominé. C’est simple, tu te détestes, à croire que tu brises tous les gens qui te sont cher. C’est pour ça que t’es toujours seul, tu te refuses le contact avec les autres et peu sont ceux qui parviennent à briser ces défenses que tu as posées. On te reproche souvent d’être juste… Inerte, glacial et incapable de ressentir une quelconque émotion. Faux. Tu en ressens beaucoup des émotions, c’est juste qu’elles ne sont pas visibles. Tu sais plus comment les faire parvenir aux autres, tu t’es perdu toi-même et t’as jamais su comment changer ça, de plus c’est pas comme si tu en avais envie. Cette apparence froide et effrayante pour certains que tu peux dégager, elle t’arrange bien. Au moins on ne t’emmerde pas et puis au cas où certains seraient persistant, tu te gênes pas de dire que tu as buté un mec quand tu étais gamin. C’est pas vraiment un secret et si ça peut faire fuir les gens, c’est encore mieux.
Arrivé au boulot, tu traînes des pieds, il va encore falloir que tu supportes les blablas incessants de tes collègues sur les danseuses et leurs jolis fessiers. À croire qu’il n’y a que ça qui les intéresses, c’est consternant. Toi aussi, tu sais apprécier une belle paire de fesses quand t’en vois une, mais tu vas pas aller déblatérer dessus pendant des heures. C’est mieux de garder ça pour toi et d’en profiter seul. Quand tu entres dans les vestiaires pour enfiler ta tenue de videur, tu entends bien la musique résonner dans la salle. Les shows ont commencé et les sifflements peuvent en témoigner. Ici il n’y a pas que des filles, certains jeunes viennent aussi montrer leurs talents pour la déhanché histoire de se faire un peu d’argent. Tu ne juges pas le travail des gens et en plus tu n’en a rien à fiche, chacun fait ce qu’il a à faire pour vivre, t’es pas concerné par leur vie. Tu sais juste que toi t’aurais jamais été capable de faire ça, même en étant bon danseur. Alors que tu t’apprêtes à quitter la salle, enfin changé, tu entends des hurlements, d’une voix qui te semble familière. C’est quoi ce bordel ? Tu espères qu’il ne se passe rien de grave parce que t’as pas envie de commencer à t’énerver dès le début de la soirée, t’es assez crevé comme ça. En arrivant dans la salle, ce que tu vois te fait pousser un soupir ennuyé. Tsuki. Sur le point de se mettre sur la tronche avec un client. Allons bon. Qu’est-ce qu’il avait bien pu se passer pour qu’il soit aussi en colère ? Tu t’approches d’eux, toujours en soupirant et attrape rapidement le jeunot par le col avant qu’il ne saute à la gorge du client, assez surpris par sa réaction. S’il se met à tarter les clients, il risque de se faire virer et il semble clair que ça ne l'arrangera pas, il vaut donc mieux que le boss n’apprenne jamais cet incident. Tu regardes autour de toi vérifiant que personne n’ait remarqué ce qu’il venait de se passer, malheureusement, tu repères quelques regards curieux auxquels tu jettes en retour un regard plus qu’effrayant en guise d’avertissement. Tu retournes ensuite à la situation délicate t’excusant auprès de cet homme qui te semble quand même légèrement répugnant et tu tires Tsuki par le col vers la salle de repos, pour ensuite le lâcher et le laisser assis par terre. « Eh, tu joues à quoi là ? T’as envie de te faire virer ou quoi ? » Tu peines à cacher ton exaspération. Il a intérêt à avoir une bonne explication.
Arrivé au boulot, tu traînes des pieds, il va encore falloir que tu supportes les blablas incessants de tes collègues sur les danseuses et leurs jolis fessiers. À croire qu’il n’y a que ça qui les intéresses, c’est consternant. Toi aussi, tu sais apprécier une belle paire de fesses quand t’en vois une, mais tu vas pas aller déblatérer dessus pendant des heures. C’est mieux de garder ça pour toi et d’en profiter seul. Quand tu entres dans les vestiaires pour enfiler ta tenue de videur, tu entends bien la musique résonner dans la salle. Les shows ont commencé et les sifflements peuvent en témoigner. Ici il n’y a pas que des filles, certains jeunes viennent aussi montrer leurs talents pour la déhanché histoire de se faire un peu d’argent. Tu ne juges pas le travail des gens et en plus tu n’en a rien à fiche, chacun fait ce qu’il a à faire pour vivre, t’es pas concerné par leur vie. Tu sais juste que toi t’aurais jamais été capable de faire ça, même en étant bon danseur. Alors que tu t’apprêtes à quitter la salle, enfin changé, tu entends des hurlements, d’une voix qui te semble familière. C’est quoi ce bordel ? Tu espères qu’il ne se passe rien de grave parce que t’as pas envie de commencer à t’énerver dès le début de la soirée, t’es assez crevé comme ça. En arrivant dans la salle, ce que tu vois te fait pousser un soupir ennuyé. Tsuki. Sur le point de se mettre sur la tronche avec un client. Allons bon. Qu’est-ce qu’il avait bien pu se passer pour qu’il soit aussi en colère ? Tu t’approches d’eux, toujours en soupirant et attrape rapidement le jeunot par le col avant qu’il ne saute à la gorge du client, assez surpris par sa réaction. S’il se met à tarter les clients, il risque de se faire virer et il semble clair que ça ne l'arrangera pas, il vaut donc mieux que le boss n’apprenne jamais cet incident. Tu regardes autour de toi vérifiant que personne n’ait remarqué ce qu’il venait de se passer, malheureusement, tu repères quelques regards curieux auxquels tu jettes en retour un regard plus qu’effrayant en guise d’avertissement. Tu retournes ensuite à la situation délicate t’excusant auprès de cet homme qui te semble quand même légèrement répugnant et tu tires Tsuki par le col vers la salle de repos, pour ensuite le lâcher et le laisser assis par terre. « Eh, tu joues à quoi là ? T’as envie de te faire virer ou quoi ? » Tu peines à cacher ton exaspération. Il a intérêt à avoir une bonne explication.
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Re: Fuck this shit I'm out [ft Chully] | Jeu 23 Aoû - 1:37 Citer EditerSupprimer
Si j’étais dans un sale mood ? Oui ça c’était rien de le dire. J’étais de la pire humeur qu’il pouvait exister au monde. C’était ce genre de soirée où j’avais juste envie qu’on me foute la paix et qu’on me laisse déverser ma rage sur une toile ou sur n’importe quoi en fait. Il fallait dire que Junhee m’avait vraiment foutu en rogne à se mêler constamment de ma vie. Le soucis c’était qu’à ce stade là, j’avais juste l’impression qu’il voulait contrôler les moindre de mes faits et gestes et ça ne me plaisait putain de pas. Pourtant je savais que ce n’était pas le cas, mais pourtant à cet instant c’était le sentiment que j’avais et je voulais plus l’entendre causer. Je voulais juste passer ma soirée comme j’avais prévu, aller travailler, récupérer mon blé et puis c’était tout. Mais forcément, les choses avaient dérapé. Parce que les choses devaient forcément déraper en fait. Vu mon état d’énervement et vu que j’avais juste été incapable de me détendre, ça allait forcément partir au clash. Ce n’était qu’un question de temps pour que ça parte contre n’importe qui. Un client, un collègue de travail, un random, qu’importe….Sauf que voilà, ce vieux porc m’avait donné des raisons de péter un câble. Et le pire était que c’était justifié. Vu que ce dégueulasse venait de me tripoter l’entrejambe. Non mais le type il s’était cru où ? Alors ouais, j’aurais pu lui dire plus tranquillement qu’ici on ne faisait que regarder et toucher le sexe ce n’était pas autorisé - ou alors lui faire gerber encore plus de cash pour qu’il le fasse - mais non. Dans mon état c’était juste impossible d’avoir une réaction qui était logique, alors clairement réagir avec calme et tact c’était juste complètement mort ! Je lui avais balancé ma main dans sa tronche. J’avais hurlé, je lui avait vidé un verre sur le visage, bref la totale, et c’était sans compter les insultes. Et j’étais même à deux doigts de lui en mettre plus à la tronche sauf que voilà, on m’en empêcha clairement - et probablement à juste titre mais mon hystérie avait largement pris le dessus à cet instant. Je sentis qu’on me choppa pour le col et que je fus tiré en arrière pour être éloigné de l’affrontement que j’avais commencé moi-même en fait. Je commençai doucement à me débattre sans avoir pu voir de qui il s’agissait. Enfin me débattre, c’était vite dit, j’agitais plus les bras dans le vide comme un enfant qu’on avait privé de dessert. Puis je finis par tomber sur Chully et je me figeais. Ok je savais que ça ne servait à rien de s’énerver contre lui pour le coup. Il était videur dans le nightclub et clairement je n’avais pas intérêt de me débattre parce que dans tous les cas, il était plus costaud que moi. Mais quand il commença à s’excuser auprès du client, j’étais tenté de lui resauter à la gorge. Non mais comme si c’était ma faute là ! Mais de toute façon je n’eus pas le temps d’égorger cet horrible porc que Chul Hei m’entraîna dans la salle de repos sans me laisser le choix et toujours en me traînant par le col. Mais putain pourquoi on me traitait comme un gosse qui avait fait un gaffe putain ? C’était quoi le soucis là ? Ils avaient quoi à tous me voir comme un môme incapable de se gérer lui même hein ? Une fois arrivé il me lâcha alors que je finis encore sur mes fesses. Eh bien c’était un comique de répétition aujourd’hui d’arriver sur mon putain de cul ! Etrangement ça ne me faisait que moyennement rire. Mon regard se posa sur mon ami alors que je croisais les bras sur mon torse et arborait une mine boudeuse. Quand il me posa la question, je pensais devenir complètement fou. Je peux t’assurer que c’est tout sauf un jeu, parce que je suis franchement loin de me marrer en fait. j’ai la tronche du gars qui joue là ? Je haussai les sourcils. Mais rapidement je me tournai en soupirant longuement. Non je veux pas me faire virer… évidement que non putain de merde. En réaction je vins ronger nerveusement l’ongle de mon pouce recroquevillant mes jambes contre mon torse pour me protéger inconsciement. Il se passe Chully, que ce type là-bas il m’a touché la…... Ke m’arrêtais quelques instants avec mon bras libre du tendu vers le mur comme pour désigner cet immonde porc. Il m’a touché la …. VOILÀ QUOI ! Putain tu aimerais ça toi qu’on te touche la bite par un vieux porc ? J’agitais mon bras dans le vent avant de le poser sur mes genoux. Non sérieusement, je n’étais pas venu là pour vendre mon cul à nouveau. La prostitution moi j’avais déjà assez donné. Je m’étais sorti de ce milieu après plusieurs années à vendre mon corps d'adolescent et de jeune adulte, ce n’était pas pour qu’un vieux frustré tente de me tripoter parce que sa femme était une putain de frigide de merde ou qu’importe en fait. Il n’avait pas à faire ça, c’était un boîte de striptease, pas une maison close !
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Chully & Tsuki
Si j’étais dans un sale mood ? Oui ça c’était rien de le dire. J’étais de la pire humeur qu’il pouvait exister au monde. C’était ce genre de soirée où j’avais juste envie qu’on me foute la paix et qu’on me laisse déverser ma rage sur une toile ou sur n’importe quoi en fait. Il fallait dire que Junhee m’avait vraiment foutu en rogne à se mêler constamment de ma vie. Le soucis c’était qu’à ce stade là, j’avais juste l’impression qu’il voulait contrôler les moindre de mes faits et gestes et ça ne me plaisait putain de pas. Pourtant je savais que ce n’était pas le cas, mais pourtant à cet instant c’était le sentiment que j’avais et je voulais plus l’entendre causer. Je voulais juste passer ma soirée comme j’avais prévu, aller travailler, récupérer mon blé et puis c’était tout. Mais forcément, les choses avaient dérapé. Parce que les choses devaient forcément déraper en fait. Vu mon état d’énervement et vu que j’avais juste été incapable de me détendre, ça allait forcément partir au clash. Ce n’était qu’un question de temps pour que ça parte contre n’importe qui. Un client, un collègue de travail, un random, qu’importe….Sauf que voilà, ce vieux porc m’avait donné des raisons de péter un câble. Et le pire était que c’était justifié. Vu que ce dégueulasse venait de me tripoter l’entrejambe. Non mais le type il s’était cru où ? Alors ouais, j’aurais pu lui dire plus tranquillement qu’ici on ne faisait que regarder et toucher le sexe ce n’était pas autorisé - ou alors lui faire gerber encore plus de cash pour qu’il le fasse - mais non. Dans mon état c’était juste impossible d’avoir une réaction qui était logique, alors clairement réagir avec calme et tact c’était juste complètement mort ! Je lui avais balancé ma main dans sa tronche. J’avais hurlé, je lui avait vidé un verre sur le visage, bref la totale, et c’était sans compter les insultes. Et j’étais même à deux doigts de lui en mettre plus à la tronche sauf que voilà, on m’en empêcha clairement - et probablement à juste titre mais mon hystérie avait largement pris le dessus à cet instant. Je sentis qu’on me choppa pour le col et que je fus tiré en arrière pour être éloigné de l’affrontement que j’avais commencé moi-même en fait. Je commençai doucement à me débattre sans avoir pu voir de qui il s’agissait. Enfin me débattre, c’était vite dit, j’agitais plus les bras dans le vide comme un enfant qu’on avait privé de dessert. Puis je finis par tomber sur Chully et je me figeais. Ok je savais que ça ne servait à rien de s’énerver contre lui pour le coup. Il était videur dans le nightclub et clairement je n’avais pas intérêt de me débattre parce que dans tous les cas, il était plus costaud que moi. Mais quand il commença à s’excuser auprès du client, j’étais tenté de lui resauter à la gorge. Non mais comme si c’était ma faute là ! Mais de toute façon je n’eus pas le temps d’égorger cet horrible porc que Chul Hei m’entraîna dans la salle de repos sans me laisser le choix et toujours en me traînant par le col. Mais putain pourquoi on me traitait comme un gosse qui avait fait un gaffe putain ? C’était quoi le soucis là ? Ils avaient quoi à tous me voir comme un môme incapable de se gérer lui même hein ? Une fois arrivé il me lâcha alors que je finis encore sur mes fesses. Eh bien c’était un comique de répétition aujourd’hui d’arriver sur mon putain de cul ! Etrangement ça ne me faisait que moyennement rire. Mon regard se posa sur mon ami alors que je croisais les bras sur mon torse et arborait une mine boudeuse. Quand il me posa la question, je pensais devenir complètement fou. Je peux t’assurer que c’est tout sauf un jeu, parce que je suis franchement loin de me marrer en fait. j’ai la tronche du gars qui joue là ? Je haussai les sourcils. Mais rapidement je me tournai en soupirant longuement. Non je veux pas me faire virer… évidement que non putain de merde. En réaction je vins ronger nerveusement l’ongle de mon pouce recroquevillant mes jambes contre mon torse pour me protéger inconsciement. Il se passe Chully, que ce type là-bas il m’a touché la…... Ke m’arrêtais quelques instants avec mon bras libre du tendu vers le mur comme pour désigner cet immonde porc. Il m’a touché la …. VOILÀ QUOI ! Putain tu aimerais ça toi qu’on te touche la bite par un vieux porc ? J’agitais mon bras dans le vent avant de le poser sur mes genoux. Non sérieusement, je n’étais pas venu là pour vendre mon cul à nouveau. La prostitution moi j’avais déjà assez donné. Je m’étais sorti de ce milieu après plusieurs années à vendre mon corps d'adolescent et de jeune adulte, ce n’était pas pour qu’un vieux frustré tente de me tripoter parce que sa femme était une putain de frigide de merde ou qu’importe en fait. Il n’avait pas à faire ça, c’était un boîte de striptease, pas une maison close !
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