Lucy in the Sky with Diamonds [ft Yohan]
Invité
Invité
Lucy in the Sky with Diamonds [ft Yohan] | Lun 30 Juil - 18:51 Citer EditerSupprimer
Tsuki ? Hey Tsuki?! Mes iris se détachèrent de ma feuille que le patron était en train d’agiter la main fébrilement devant moi pour attirer mon attention. Je me contentais d'acquiescer d’une signe de tête pour prouver que je l’avais bien entendu. Ca faisait juste quatre fois qu’il me répétait la même chose. A force j’avais enregistré quand même. mais c’était plus fort que lui. Je posai mon coude sur le comptoir et menton trouva une place sur la paume de ma main alors que je lui donnais mon attention encore une fois. Je pars plus tôt et tu oublies pas de fermer la boutique comme il faut. Vérifie plusieurs fois s’il le faut. Non je n’arrivais pas à lui en vouloir parce que d’habitude, il tenait toujours à le faire lui-même. le patron c’était le genre de personne à considérer sa boutique comme son propre gamin. Il ne comptait pas ses heures et je savais qu’il finissait horriblement tard des fois. Mais comment lui en vouloir d’être une personne si passionnée par son travail. Peu de personnes pouvaient se vanter d’être comme le patron du Bl’Ink. Mais pour une fois, il devait s’absenter, une affaire familiale prévue depuis quelques temps. Patron, c’est la quatrième fois que vous me le dites, je vais croire que vous êtes sénile à force, avais-je dit avec un sourire aux lèvres. Depuis le temps que j’avais que la taquinerie de le gênait pas, autant j’étais hésitant avec les nouvelles personnes, de peur de les froisser et de ne pas le comprendre. Mais Le patron ce n’était pas le cas. Puis je pense que je vais rester ici pour la nuit pour travailler, je n’ai pas trop de rentrer chez moi, je vais me sentir seul, dis-je en prenant une petite moue boudeuse comme un enfant aurait pu le faire. Je soupirais longuement en baissant mes yeux sur ma feuille et continuais à griffonner sans vraiment chercher à dessiner quelque chose de beau. Je me vidais surtout le crâne. Tu sais ce que tu devrais faire ? Appeler ton petit japonais. Je manquais m’étouffer alors qu’il avait dit ça avec son habituelle expression que je ne pouvais pas comprendre. Non mais vraiment, quel gosse ! Je me levais précipitamment, les joues rougies par la honte. Allez zou patron, laissez moi le bébé, vous allez être en retard à force. Et c’est pas bien d’être en retard, olalalala ! Bonne soirée hein. J’avais commencé à parler très vite en posant mes mains sur les épaules du trentenaire pour gentiment le conduire jusqu’à la sortie. A peine fut-il à l’extérieur que je laissais mon dos se poser contre la porte. Non mais vraiment. Pourquoi il ramenait Nao sur le tapis ? Sérieusement. C’était quoi le message dans le fond ? Je soupirais une nouvelle fois avant de sortir mon téléphone. Je passais un appel histoire de me commander une pizza. Ouais, je n’allais pas rentrer chez moi, encore une fois. Junhee allait probablement salement m’engueuler demain soir, mais je m’en foutais… puis ce n’était pas très grave, dans le fond je passais juste une nuit au travail pour travailler…. comme un honnête travailleur. Est-ce qu’il pouvait m’engueuler d’être bosseur ? Je secouai la tête laissant l’image de mon ex-petit ami s’éloigner bien loin de mon esprit. Je n’avais pas besoin qu’il vienne me perturber l’esprit, Naoya suffisait déjà me l’embrumer suffisamment. Et non, je ne voulais pas penser à lui. Toujours mon portable j’envoyais un message un message à Yohan.
Clair simple et concis. Je me retournai et passais un tour de clé à la boutique. Je retournai derrière le comptoir et retourna griffonner quelques motifs au hasard que me venaient en tête tout en me laissant porter par la musique ambiante. L’air de rien on se rapprochait des vingt deux heures mais je ne me rendais pas vraiment compte de l’heure, trop plongé dans ce que je faisais. Je manquais d’ailleurs sursauter quand j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Je sautai sur mes pieds. Tiens. C’était la pizza ou Yohan ? En m’approchant je pu voir qu’il s’agissait de mon ami. J’affichai un grand sourire sourire alors que je lui ouvris la porte. Même si je travaillais plus pour lui, on avait gardé des bons liens et je savais que dès qu’il avait besoin d’être dépanné questions substances pas très légales, j’étais là. Il fallait dire que pendant un temps il m’avait permit de gagner ma croûte donc bon… Mais regardez-moi, ne serait-ce pas le séduisant Yohan à la recherche de la pizza perdue. Je me décalais sur le côté sur le côté pour laisser passer celui qui était mon ancien patron. D’ailleurs elle ne devrait plus tarder, mais entre en attendant.
Lucy in the Sky with Diamonds
Yohan & Tsuki
Tsuki ? Hey Tsuki?! Mes iris se détachèrent de ma feuille que le patron était en train d’agiter la main fébrilement devant moi pour attirer mon attention. Je me contentais d'acquiescer d’une signe de tête pour prouver que je l’avais bien entendu. Ca faisait juste quatre fois qu’il me répétait la même chose. A force j’avais enregistré quand même. mais c’était plus fort que lui. Je posai mon coude sur le comptoir et menton trouva une place sur la paume de ma main alors que je lui donnais mon attention encore une fois. Je pars plus tôt et tu oublies pas de fermer la boutique comme il faut. Vérifie plusieurs fois s’il le faut. Non je n’arrivais pas à lui en vouloir parce que d’habitude, il tenait toujours à le faire lui-même. le patron c’était le genre de personne à considérer sa boutique comme son propre gamin. Il ne comptait pas ses heures et je savais qu’il finissait horriblement tard des fois. Mais comment lui en vouloir d’être une personne si passionnée par son travail. Peu de personnes pouvaient se vanter d’être comme le patron du Bl’Ink. Mais pour une fois, il devait s’absenter, une affaire familiale prévue depuis quelques temps. Patron, c’est la quatrième fois que vous me le dites, je vais croire que vous êtes sénile à force, avais-je dit avec un sourire aux lèvres. Depuis le temps que j’avais que la taquinerie de le gênait pas, autant j’étais hésitant avec les nouvelles personnes, de peur de les froisser et de ne pas le comprendre. Mais Le patron ce n’était pas le cas. Puis je pense que je vais rester ici pour la nuit pour travailler, je n’ai pas trop de rentrer chez moi, je vais me sentir seul, dis-je en prenant une petite moue boudeuse comme un enfant aurait pu le faire. Je soupirais longuement en baissant mes yeux sur ma feuille et continuais à griffonner sans vraiment chercher à dessiner quelque chose de beau. Je me vidais surtout le crâne. Tu sais ce que tu devrais faire ? Appeler ton petit japonais. Je manquais m’étouffer alors qu’il avait dit ça avec son habituelle expression que je ne pouvais pas comprendre. Non mais vraiment, quel gosse ! Je me levais précipitamment, les joues rougies par la honte. Allez zou patron, laissez moi le bébé, vous allez être en retard à force. Et c’est pas bien d’être en retard, olalalala ! Bonne soirée hein. J’avais commencé à parler très vite en posant mes mains sur les épaules du trentenaire pour gentiment le conduire jusqu’à la sortie. A peine fut-il à l’extérieur que je laissais mon dos se poser contre la porte. Non mais vraiment. Pourquoi il ramenait Nao sur le tapis ? Sérieusement. C’était quoi le message dans le fond ? Je soupirais une nouvelle fois avant de sortir mon téléphone. Je passais un appel histoire de me commander une pizza. Ouais, je n’allais pas rentrer chez moi, encore une fois. Junhee allait probablement salement m’engueuler demain soir, mais je m’en foutais… puis ce n’était pas très grave, dans le fond je passais juste une nuit au travail pour travailler…. comme un honnête travailleur. Est-ce qu’il pouvait m’engueuler d’être bosseur ? Je secouai la tête laissant l’image de mon ex-petit ami s’éloigner bien loin de mon esprit. Je n’avais pas besoin qu’il vienne me perturber l’esprit, Naoya suffisait déjà me l’embrumer suffisamment. Et non, je ne voulais pas penser à lui. Toujours mon portable j’envoyais un message un message à Yohan.
”Tsuki” a écrit:Hey Yo, j’ai de la pizza, de la blanche, des petites pilules magiques et le salon pour moi tout seul. Ca te dirait de passer ?
Clair simple et concis. Je me retournai et passais un tour de clé à la boutique. Je retournai derrière le comptoir et retourna griffonner quelques motifs au hasard que me venaient en tête tout en me laissant porter par la musique ambiante. L’air de rien on se rapprochait des vingt deux heures mais je ne me rendais pas vraiment compte de l’heure, trop plongé dans ce que je faisais. Je manquais d’ailleurs sursauter quand j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Je sautai sur mes pieds. Tiens. C’était la pizza ou Yohan ? En m’approchant je pu voir qu’il s’agissait de mon ami. J’affichai un grand sourire sourire alors que je lui ouvris la porte. Même si je travaillais plus pour lui, on avait gardé des bons liens et je savais que dès qu’il avait besoin d’être dépanné questions substances pas très légales, j’étais là. Il fallait dire que pendant un temps il m’avait permit de gagner ma croûte donc bon… Mais regardez-moi, ne serait-ce pas le séduisant Yohan à la recherche de la pizza perdue. Je me décalais sur le côté sur le côté pour laisser passer celui qui était mon ancien patron. D’ailleurs elle ne devrait plus tarder, mais entre en attendant.
made by black arrow
Invité
Invité
Re: Lucy in the Sky with Diamonds [ft Yohan] | Mar 21 Aoû - 19:07 Citer EditerSupprimer
Le penchant à la solitude provient d'abord du besoin de fuir tout ce que nous haïssons dans le tumulte du monde, puis du besoin de recouvrer le calme et l'indépendance, puis ensuite, pour un esprit sensé, du besoin de goûter le bonheur non envié que l'on trouve en soi-même. dénudé, allongé sur son lit, il observe le plafond de sa chambre, ses doigts dessinant des formes invisibles sur celui-ci. il n’avait jamais pris le temps de s’attarder sur celui-ci, il n’avait jamais pris le temps de s’attarder sur quoique ce soit. il vivait à deux cent à l’heure, l’esprit constamment occupé de sorte à oublier ce mal être qui le rongeait. il avait réussis à survivre, de nombreuses années, à éloigner tout ce qui faisait de lui-même un être humain, les émotions et leur manifestation, les sentiments et leur émanation. mais il n’avait su écarter l’intelligence et sa faculté de penser, sa dignité et sa faculté de choisir, autant de caractéristiques qui n’avaient eu d’autres choix de le guider indubitablement sur le chemin de l’affectivité. il avait beau avoir tenté de la repousser, de les repousser, il n’avait finis par n’être que témoin de sa propre humanité. tombant éperdument amoureux d’une femme qu’il n’avait eu de cesse de piétiner, maltraiter, désappointer et tromper. il observe le plafond de sa chambre se demandant combien de temps cela lui prendrait de se laisser mourir, combien de temps cela leur prendrait de découvrir son corps, combien de temps cela leur prendrait de faire leur deuil. pourquoi n’était-ce pas aussi simple qu’un claquement de doigts ? ce n’était pourtant pas à défaut d’avoir essayer, à croire qu’il n’avait pas suffisamment essayé. levant son bras gauche devant ses yeux, il observe les marques blanches et profondes qui y sont ancrés. cela n’avait pas suffisamment était profond, pourquoi fallait-il qu’il craigne autant la douleur?
il sursaute brusquement lorsque son téléphone vibre, laissant ses bras chuter contre le matelas de son lit avant de ne finalement s’emparer de l’appareil. tsuki. il soupire. encore une chose qui le culpabilisait. le proxénète larmoyant sans aucune considération pour les employés, bien en dessous de lui, qui passaient leur journée à faire de leur corps un objet lucratif. Ne pouvait-il donc pas se contenter de ce qu’il avait et voir dans le malheur d’autrui, la chance qu’il possédait de ne pas avoir à tomber aussi bas.
aujourd’hui ne sonnait guère son heure. il se relève de son lit, chancèle le temps d’une fraction de seconde puis enfile un caleçon suivis d’un short et d’un t-shirt légèrement froissé. il n’y allait guère pour faire bonne impression. il ne lui fallut d’ailleurs pas plus d’une dizaine de minutes pour arriver devant le studio tattoo de son ancien employé. Au fond ça le soulageait de voir que le jeune homme avait réussis à se soustraire à la prostitution, yohan n’aurait su lui offrir mieux, il n’avait jamais su aider autrui, comment aurait-il su lorsqu’il n’était même pas capable de se venir en aide à lui-même. « mec je te jure que si t’as commandé une pizza avec de l’ananas je te la fais bouffer par l’arrière train. » lâche t-il en pénétrant dans les lieux, un sourire étirant ses lèvres. quand avait eu lieu la dernière fois qu’il avait souris sincèrement ? « ça a encore changé ici, tu ne t’arrête plus dis-donc. » il observe les alentours, curieux. les lieux avaient-ils réellement changés ou était-ce lui qui y prêté pour la première fois attention? « d’ailleurs j’attend encore mon tatouage. » lâche t-il à moitié sérieux. il n’était pas bien sûr de vouloir se faire tatouer, peut-être n’était-ce que la douleur de l’acte qui l’attirait autant. souffrir pour se sentir un peu plus vivant. graver son prénom dans sa chair pour ne jamais oublié ce qu’il avait lamentablement perdu. « t’as commandé des frites aussi ? » parcequ’il aurait forcément la dalle une fois défoncé, toujours dans l’excès et ce qu’importe le domaine.
Lucy in the Sky with Diamonds
Yohan & Tsuki
Le penchant à la solitude provient d'abord du besoin de fuir tout ce que nous haïssons dans le tumulte du monde, puis du besoin de recouvrer le calme et l'indépendance, puis ensuite, pour un esprit sensé, du besoin de goûter le bonheur non envié que l'on trouve en soi-même. dénudé, allongé sur son lit, il observe le plafond de sa chambre, ses doigts dessinant des formes invisibles sur celui-ci. il n’avait jamais pris le temps de s’attarder sur celui-ci, il n’avait jamais pris le temps de s’attarder sur quoique ce soit. il vivait à deux cent à l’heure, l’esprit constamment occupé de sorte à oublier ce mal être qui le rongeait. il avait réussis à survivre, de nombreuses années, à éloigner tout ce qui faisait de lui-même un être humain, les émotions et leur manifestation, les sentiments et leur émanation. mais il n’avait su écarter l’intelligence et sa faculté de penser, sa dignité et sa faculté de choisir, autant de caractéristiques qui n’avaient eu d’autres choix de le guider indubitablement sur le chemin de l’affectivité. il avait beau avoir tenté de la repousser, de les repousser, il n’avait finis par n’être que témoin de sa propre humanité. tombant éperdument amoureux d’une femme qu’il n’avait eu de cesse de piétiner, maltraiter, désappointer et tromper. il observe le plafond de sa chambre se demandant combien de temps cela lui prendrait de se laisser mourir, combien de temps cela leur prendrait de découvrir son corps, combien de temps cela leur prendrait de faire leur deuil. pourquoi n’était-ce pas aussi simple qu’un claquement de doigts ? ce n’était pourtant pas à défaut d’avoir essayer, à croire qu’il n’avait pas suffisamment essayé. levant son bras gauche devant ses yeux, il observe les marques blanches et profondes qui y sont ancrés. cela n’avait pas suffisamment était profond, pourquoi fallait-il qu’il craigne autant la douleur?
il sursaute brusquement lorsque son téléphone vibre, laissant ses bras chuter contre le matelas de son lit avant de ne finalement s’emparer de l’appareil. tsuki. il soupire. encore une chose qui le culpabilisait. le proxénète larmoyant sans aucune considération pour les employés, bien en dessous de lui, qui passaient leur journée à faire de leur corps un objet lucratif. Ne pouvait-il donc pas se contenter de ce qu’il avait et voir dans le malheur d’autrui, la chance qu’il possédait de ne pas avoir à tomber aussi bas.
yohan a écrit:La pizza sans ananas, les pilules avec du bourbon. je suis là d’ici dix minutes.
aujourd’hui ne sonnait guère son heure. il se relève de son lit, chancèle le temps d’une fraction de seconde puis enfile un caleçon suivis d’un short et d’un t-shirt légèrement froissé. il n’y allait guère pour faire bonne impression. il ne lui fallut d’ailleurs pas plus d’une dizaine de minutes pour arriver devant le studio tattoo de son ancien employé. Au fond ça le soulageait de voir que le jeune homme avait réussis à se soustraire à la prostitution, yohan n’aurait su lui offrir mieux, il n’avait jamais su aider autrui, comment aurait-il su lorsqu’il n’était même pas capable de se venir en aide à lui-même. « mec je te jure que si t’as commandé une pizza avec de l’ananas je te la fais bouffer par l’arrière train. » lâche t-il en pénétrant dans les lieux, un sourire étirant ses lèvres. quand avait eu lieu la dernière fois qu’il avait souris sincèrement ? « ça a encore changé ici, tu ne t’arrête plus dis-donc. » il observe les alentours, curieux. les lieux avaient-ils réellement changés ou était-ce lui qui y prêté pour la première fois attention? « d’ailleurs j’attend encore mon tatouage. » lâche t-il à moitié sérieux. il n’était pas bien sûr de vouloir se faire tatouer, peut-être n’était-ce que la douleur de l’acte qui l’attirait autant. souffrir pour se sentir un peu plus vivant. graver son prénom dans sa chair pour ne jamais oublié ce qu’il avait lamentablement perdu. « t’as commandé des frites aussi ? » parcequ’il aurait forcément la dalle une fois défoncé, toujours dans l’excès et ce qu’importe le domaine.
made by black arrow
Invité
Invité
Re: Lucy in the Sky with Diamonds [ft Yohan] | Jeu 23 Aoû - 1:35 Citer EditerSupprimer
Alors que Yo Han apparu dans l’embrasure de la porte je ne pus m’empêcher de sourire franchement. Je m'écartai pour le laisser entrer en prévenant que la pizza ne devrait plus trop tarder à arriver. Sa remarque ne manqua pas de m'arracher un sourire amusé. Je pris un air faussement offusqué avant de répondre pour le taquiner. Ya, t’abuse, j’ai une âme quand même ! Jamais d’ananas sur la pizza, tu m’as pris pour une sous race ou bien ? Je finis par rire légèrement avant de préciser avec un grand sourire et presque des lumière dans les yeux. Une quatre fromages j’ai commandé mon gars, du gras, rien de bien pour se qu’on se prendre dans la tronche. Oui clairement, si il était venu ici à la base c’était bien pour passer sa soirée avec moi et ce n’était pas pour parler chiffon pour sûr, c’était clairement pour planer et s’échapper l’espace d’une nuit à notre monde pourri. Je fermais rapidement la porte derrière lui. Je me retournais quand j’entendis sa question. Ah ouais, le patron m’a dit d’apporter un peu plus ma touche personnelle, mais si je lui laissais faire toute la déco ça serait un truc de vieux, avais-je dit sur un ton hilare. Quoi que, je disais ça, mais Blink avait un certain bon goût, mais j’aimais beaucoup trop le taquiner sur son âge dès que j’en avais l’occasion. Après tout mon patron restait un petit vieux qui avait dépassé la trentaine. Je m’approchai du comptoir pour commencer à sortir mon porte-feuille qui était dans ma veste et à préparer la somme pour le vendeur qui n’allait probablement plus tarder. Je relevai la tête quand je l’entendis parler de son tatouage. Je levai un sourcil. C’était vrai qu’il m’en avait parlé. C’était vrai que je lui avais dit que c’était quelque chose que je lui avais dit que je lui ferai. Et il me semble aussi que je t’avais aussi dit que tu pouvais ramener ton joli p’tit cul quand tu voulais à la boutique pour que je te le fasse. Je levais un peu plus les sourcils avant de noter. Mais vu que t’es là, on pourrait faire ça, ça te tenterait de faire ça avant que je sois trop défoncé pour tenir mon dermographe ? J’eus un sourire provocateur, oui, j’étais largement capable de lui faire tatouage la maintenant tout de suite. Surtout qu’en plus il voulait se faire tatouer un prénom il me semblait, ce n’était pas le genre de trucs qui prenait beaucoup de temps en fait. Je n’attendais que son feu vert, le tout était de savoir s’il allait avoir les couilles pour se faire tatouer sur un coup de tête. Frites, oignons rings et un chimaek pour toi qui mange dans la viande encore. Ouais, tu m’as coûté une petite fortune en bouffe ce soir. T’as de la chance que je t’aime bien Yohan. Oui parce que clairement je savais bien que mon ancien boss avait la dalle dès qu’il était défoncé, enfin c’était un truc que tout le monde avait dans cet état. J’avouais que même moi qui était du genre à ne pas avoir un gros appétit, je m’étais retrouvé à bouffer comme quatre. Par chance, je me fais bien payer pour me désaper, avais-je dit en haussant les épaules. Avant même d’avoir pu dire autre chose, on frappa à la porte. La bouffe ! Je choppai le pognon que j’avais préparé et courus jusqu’à l’entrée du salon. J’ouvris rapidement la porte. Après avoir salué rapidement le livreur, je lui tendis l’argent. J’en ressortis avec un carton à pizza et un énorme sac en plastique. Clairement on aurait de quoi bouffer. Non sans difficultés je fermais la porte à la volé et posa toute cette bouffe sur le comptoir de l'accueil. Bon alors t’as pensé à cette histoire de tatouage mec ? Moi je suis déter, je te fais un dessin en quelques minutes là maintenant si ça te tente.
Lucy in the Sky with Diamonds
Yohan & Tsuki
Alors que Yo Han apparu dans l’embrasure de la porte je ne pus m’empêcher de sourire franchement. Je m'écartai pour le laisser entrer en prévenant que la pizza ne devrait plus trop tarder à arriver. Sa remarque ne manqua pas de m'arracher un sourire amusé. Je pris un air faussement offusqué avant de répondre pour le taquiner. Ya, t’abuse, j’ai une âme quand même ! Jamais d’ananas sur la pizza, tu m’as pris pour une sous race ou bien ? Je finis par rire légèrement avant de préciser avec un grand sourire et presque des lumière dans les yeux. Une quatre fromages j’ai commandé mon gars, du gras, rien de bien pour se qu’on se prendre dans la tronche. Oui clairement, si il était venu ici à la base c’était bien pour passer sa soirée avec moi et ce n’était pas pour parler chiffon pour sûr, c’était clairement pour planer et s’échapper l’espace d’une nuit à notre monde pourri. Je fermais rapidement la porte derrière lui. Je me retournais quand j’entendis sa question. Ah ouais, le patron m’a dit d’apporter un peu plus ma touche personnelle, mais si je lui laissais faire toute la déco ça serait un truc de vieux, avais-je dit sur un ton hilare. Quoi que, je disais ça, mais Blink avait un certain bon goût, mais j’aimais beaucoup trop le taquiner sur son âge dès que j’en avais l’occasion. Après tout mon patron restait un petit vieux qui avait dépassé la trentaine. Je m’approchai du comptoir pour commencer à sortir mon porte-feuille qui était dans ma veste et à préparer la somme pour le vendeur qui n’allait probablement plus tarder. Je relevai la tête quand je l’entendis parler de son tatouage. Je levai un sourcil. C’était vrai qu’il m’en avait parlé. C’était vrai que je lui avais dit que c’était quelque chose que je lui avais dit que je lui ferai. Et il me semble aussi que je t’avais aussi dit que tu pouvais ramener ton joli p’tit cul quand tu voulais à la boutique pour que je te le fasse. Je levais un peu plus les sourcils avant de noter. Mais vu que t’es là, on pourrait faire ça, ça te tenterait de faire ça avant que je sois trop défoncé pour tenir mon dermographe ? J’eus un sourire provocateur, oui, j’étais largement capable de lui faire tatouage la maintenant tout de suite. Surtout qu’en plus il voulait se faire tatouer un prénom il me semblait, ce n’était pas le genre de trucs qui prenait beaucoup de temps en fait. Je n’attendais que son feu vert, le tout était de savoir s’il allait avoir les couilles pour se faire tatouer sur un coup de tête. Frites, oignons rings et un chimaek pour toi qui mange dans la viande encore. Ouais, tu m’as coûté une petite fortune en bouffe ce soir. T’as de la chance que je t’aime bien Yohan. Oui parce que clairement je savais bien que mon ancien boss avait la dalle dès qu’il était défoncé, enfin c’était un truc que tout le monde avait dans cet état. J’avouais que même moi qui était du genre à ne pas avoir un gros appétit, je m’étais retrouvé à bouffer comme quatre. Par chance, je me fais bien payer pour me désaper, avais-je dit en haussant les épaules. Avant même d’avoir pu dire autre chose, on frappa à la porte. La bouffe ! Je choppai le pognon que j’avais préparé et courus jusqu’à l’entrée du salon. J’ouvris rapidement la porte. Après avoir salué rapidement le livreur, je lui tendis l’argent. J’en ressortis avec un carton à pizza et un énorme sac en plastique. Clairement on aurait de quoi bouffer. Non sans difficultés je fermais la porte à la volé et posa toute cette bouffe sur le comptoir de l'accueil. Bon alors t’as pensé à cette histoire de tatouage mec ? Moi je suis déter, je te fais un dessin en quelques minutes là maintenant si ça te tente.
made by black arrow
Contenu sponsorisé