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Gokongwei Lumina
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Gokongwei Lumina | Dim 12 Aoû - 15:05 Citer EditerSupprimer
Gokongwei Hariri Lumina
et là une petite citation...
. | IDENTITY CARD |
Il parait que... Ici, tu peux lister quelques anecdotes et rumeurs concernant ton personnage. Alors parle nous un peu de ses habitudes, des petits trucs que tu voudrais que l'on sache ou des quelques détails croustillants dont tu voudrais nous faire part. | Dis nous qui tu es ! Voici le petit coin pour nous parler du caractère de ton personnage. On ne te demande bien évidemment pas de nous écrire un roman de 1000 pages mais assure toi tout de même de le développer suffisamment pour qu'on sache à qui on a à faire. Après tout, le caractère, c'est quand même l'une des étapes les plus importantes de la création d'un personnage. |
TON PSEUDO Cette fois c'est au drôle de loustic caché derrière l'avatar qu'on s'intéresse. Fais tomber le masque, déballe ton bail. Quoi, t'as du mal ? Allez, quelques idées d'infos à nous fournir pour te débloquer : T'as quel âge ? Tu viens d'où ? C'est quoi tes passions dans la life ? Tu rp depuis longtemps ? Comment t'as connu STW ? Btw tu t'es lavé sous les bras ? ♡
ps; supprimez le code inutile. |
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Re: Gokongwei Lumina | Dim 12 Aoû - 15:06 Citer EditerSupprimer
Je me pose souvent la question sur mon existence. J'ai la drôle d'impression d'être une simple poupée sans vie. Une petite figurine diriger par des bouts de ficelles invisibles. Si, on m'ordonne...j'obéis. Il est dit que nous sommes maîtres de notre destin. Je ne suis pas le maître de la mienne alors ! Pourtant avec un peu de courage et de force, je serais capable de devenir cette personne. Je me dis qu'il serait si simple de devenir cette reine incontournable. La beauté même de cette enveloppe charnelle qui renferme mon âme. Mais, les paroles qui m'ont accompagnée tout le long de ma vie disent le contraire. Triste ! Ennuyeux ! On se demande pourquoi les gens déposent sur moi un regard de dégout ou même de mépris. Ils croient surement que le rat de bibliothèque que je suis est une sainte. Pur oui, saint non !
Je me suis tellement efforcée de ne pas être amère et d'atteindre le difficile point d'équilibre, la mince frontière qui sépare la lucidité de la vie. Ce n'est jamais facile. Il y a un certain nombre de choses qui arrivent quand notre routine habituelle vient à être bouleversée. Ce qui est ridicule, quand on y pense, parce que tout le monde connait cette émotion. Cette sensation d'être perdu face à l'inconnu. Lorsqu'on se demande quel chemin devrons-nous prendre. Cette difficulté qui nous fait hésiter. Celle de ne plus comprendre qui nous sommes. Je fais face à celle-ci. Je me balade de droite à gauche. Cherchant une réponse qui ne vient pas. Tendant les mains devant moi en ayant espoir d’y déposer mes paumes pour la renfermer au creux de mes mains.
Je n’ai jamais voulu être la fille unique de cette famille bourgeoise. J’ai toujours été celle voulant m’éloigner de cet enfer. Laisser mon image derrière un rideau. Mais, j’ai bien beau vouloir, mais je ne pouvais pas. Mes discutions et mon désires passaient toujours dernier !
L'entrée à l'université est un moment crucial, important, essentiel pour un avenir. Elle permes a une personnalité vagabonde de se retrouver pour y construire un cheminement durable. Dans notre société d'aujourd'hui, a première question qu'on vous pose lors d'entrevus est votre prénom. La seconde n'aborde aucunement votre âge ni vos origines. Il s'agit de : quelles études, avez-vous fait ? La troisième sera quelle Université avez-vous fréquenté et pourquoi ce choix ? C'est pour cette raison que depuis mon plus jeune âge, on m'a préparée, je pourrai même dire oublier. Je devais être parfaite en tout. La petite fille de bonne famille devait avoir : de bonnes manières, des paroles bien formuler, ne jamais aborder une attitude du bas monde. Ma famille n'a jamais voulu que je baisse les bras. À leurs yeux, il fallait que je sois parfaite. Alors dès mes premiers pas dans un établissement scolaire, mes options, mes activités hors écoles ont toutes été choisies pour le jour de mon examen d'entrée à l'université ainsi que pour un futur mari combler. Entres les cours privés et les cours de ‘’comment être une future femme au foyer sans tâche’’, ma vie sociale n’existait pas. Au travers de leurs yeux, je suis après vivre la vie que ma mère rêvait de vivre. La preuve, elle avait que j'irais à cette université tout comme celle qu'elle avait fréquentée avant de rencontrer mon père. Mon futur époux avait été choisi alors que je grandissais dans son ventre. Mais je ne réalisais pas que ses choix allaient être aussi complexes. J’aurais pourtant aimé tout choisir par moi-même. Malgé qu'il ne m’a jamais vu. Sans cuivres une route . Alors, ma maîtrise et mes études mineures avaient toutes été calculées. Hors de question de faire autrement... Au moins...j’allais pouvoir vivre à Séoul.
Toutefois, je lui aurais tout donné si elle avait demandé. Mais, contrairement à ceux qui espérait me voir dévier de sa cage dont je suis prisonnière, je restais assise en l'observer. Cette femme m'ayant donné naissance a tout laissé tomber pour les yeux d'un homme. Sa vie ordinaire comme américaine. Mais, cet homme n'aurait jamais dû la croiser. Ses belles paroles, son apparence de la haute société n'ont été qu'une partie de son charme. Elle est devenue la femme d'un héritier important de l'économie de la Philipine. Avec honneur. Dès ma naissance, il m'offrit tout son amour.... l'amour qui partageais avec mes quatre autres frères. Sauf, que derrière l'image de la famille royale parfaite, il s'amusait à visiter le lit d'autres femmes. Ma mère avait tout renié y compris sa famille ! Se laissant apporter par les lois de la richesse. Voilà la récompense. Elle avait marié un beau parleur, un homme appréciant les femmes, le pouvoir et la dictature. Un roi pire que César et son égal et une reine très avare d’argent. Dieu merci ! Séoul est ma porte de sorties de ce cercle remplies de mensonges et fausses images.
Cinq longues années, mes 18 ans à mes 22 ans avaient été dignes d’un conte de fées ! Avant que la roue tourne
_____
À mon réveil, l’autre côté du lit est froid. Je tâtonne à la recherche d’une présence inconnue. Cette fâcheuse habitude ne m’a pas quittée depuis près de deux ans. Je recherchais toujours cette source de chaleur et d’amour m’ayant arraché d’une main féroce mon cœur battant. Je serais entre ma main froide le drap refroidi par la fenêtre légèrement ouverte. J’ouvris doucement les yeux en réalisant que mes rêveries étaient purement fantaisie. Un simple rêve qui me hantait lorsque ma solitude se faisait ressentir. Je me redresse sur un coude en regardant au coin de ma chambre. Il y a suffisamment de lumière dans cette chambre pour éclairer le petit visage endormi de cet ange. Je l’observais dormir telle une fée marraine. Cette source de bonheur me fit sourire dans la péninsule de la pièce. Je l’observais dormir pelotonné contre son renard en peluche. Collant sa petite joue contre le nez du jouet. Le visage de Nenita frais comme le rosé. L’innocence et la paix se dessinaient sur son visage. Il était là dormant comme si rien pouvait le blesser ni le déranger. Cependant, si seulement, s’il savait que ce petit monde au goût de la royauté allait changer, et tout cela, par la cause de son grand-père. Cet homme avare ! Estimant qu’une bonne image valait mieux que les sentiments de sa fille. Il n’aurait jamais dû ! Jamais ne durent me menacer en prenant mon enfant, mon diamant comme négociation. Un échange pour échange. Je me laissais retomber contre mon oreiller. Mon regard se posa sur le plafond qui accueillait depuis peu les premières lueurs du soleil. Je soupirais. Allais-je vraiment faire un tel acte ? Je recouvrais mes yeux de mon bras. Cachant ainsi toutes visions. Fermant les paupières, je laissais ma respiration devenir lente presque absente. Puis, les images me reviennent. Ses souvenirs précieux, mais douloureux.
Devrais-je me sentir coupable ? Suis-je une idiote ? Pas réellement. J’avais toujours vécu sous la surveillance offerte à la famille royale, mais à dix-huit ans, mais mon goût de l’aventure me permit de tout quitter pour vivre le rêve américain dû moins. Vivre un rêve comme étudiante. Je me rappelle d’avoir abordé le sujet délicat avec cet homme capricieux. Il avait accepté, mais je devais respecter un contrat invisible émis par lui. Vivre sous la tutelle d’une nourrice. Comment aurais-je pu dire non ? J’allais pouvoir fuir et vivre librement sous quelques conditions minimes. Cependant, moi qui désirais vivre librement et caché de tous, mais le contraire de se fit pas attendre. Entre les paparazzis qui annonçait mon arrivé à l’aéroport et ma courte tentative de fuir ma nourrisse, mon entré à l’université ne passa pas inaperçus. Je pouvais faire autrement et me laissais séduire par la popularité. Adieu espoir d’être invisible et bonjour mean girl !
Puis sans prévenir, il est apparu. Celui aux lèvres délectables. Je n’aurais pu penser une seconde qu’une amitié tel que nous partageons aurait été plus loin. Cependant, lors d’une soirée arrosée tout changea par l’intermédiaire d’un jeu. Comment s’appelait-il ? Ha ! Oui ! Action ou vérité. Un simple gage qui créa en lui tout comme en moi des palpitations. Il avait approché ses lèvres contre les miennes, les laissant se caresser doucement dans une danse sensuelle puis mes lèvres s’entrouvrent le laissant se faufiler. À cet instant, nos langues se mirent à danser. Partageant entre elles une danse sensuelle qui ne passait pas inaperçu. Dire que ce simple baiser avait eu le pouvoir de changer une amitié de longue date en relation. J’ai pu le découvrir et apprendre à le connaitre sous un autre jour. Malgré les désaccords d’une relation si impure aux yeux de mon paternel, je continuais sans relâche. Il apportait en moi cette flemme que toutes femmes désirent ressentir. Je lui offris ce qui était le plus précieux pour moi, ma pureté. Cette petite chose fragile se cachant en nous. Il brisa ce mur protecteur en me faisant connaitre le ciel. Cependant tel un archange, le sol s’écroula sous mes pieds après un an. Je croyais être la seule dont ses mains parcouraient chaque parcelle de peau, ses baisés qui m’avait parcourus. Mais, je me trompais. On avait joué au chat et à la souris en cachant notre relation à plusieurs pendant deux mois, mais le secret aurait dû rester ainsi. Moi qui avais cru à l’amour avec un grand a venais de comprendre que l’amour est le pire des sentiments.
Je me souviens encore de ton visage lorsque tu compris que j’avais découvert l’acte impardonnable que tu avais commis. Je laissais mes prunelles regarder les tiennes en te laissant lire en moi et d’une simple voix vibrante je laissais sortir faiblement « Au revoir et merci. ». Dire-je en me retournant. Je quittais le dortoir dont tu faisais partie. Je ne me retournais aucunement pour ne pas verser la moindre larme. Ma personne avait été détruite et ma fierté aussi. Je descendais la dernière marche de l’escalier et saluais mon chauffeur. Je regardais les drapeaux attacher à la voiture vaguant sous le souffle du vent. Je pris une grande respiration et embarquais dans la voiture de l’ambassade. J’enfilais la ceinture et demandais à ma surveillante d’embarquer avec le chauffeur. Je regardais la vitre noir qui me séparait d’eux et laissait ma première larme descendre contre ma joue, je me serais ma robe blanche en criant et pleurant comme jamais. Je me détestais ! Je détestais ma naïveté, ma stupidité ! Je détestais qui j’étais ! Je m’insultais de tous les noms. Je laissais ma voix remplie de rancœur parcourir la voiture. Je n’étais pas choquée contre cette femme ayant partagé son lit ! Non ! Elle était seulement celle ayant profité d’un bénéfique, mais j’étais furieuse contre lui. Je regrettais d’avoir quitté la Philiphine pour vivre ici. Je regrette d’avoir partagé son amitié, son amour, ses baisés et lui avoir tout donné. Je ne lui avais pas donné de chance de s’expliquer ni de me parler. J’étais peut-être égoïste ou lâche ! Mais, je ne pouvais vivre ici et marcher dans les couloirs qui allaient tout me rappeler. Je n’avais pas cette force. Je n’avais pas la force de mes belles-sœurs ni de ma mère. Je détestais mon père et mes frères de commettent se genre de geste, alors lui … Je restais ainsi jusqu’à l’aéroport. Je montais dans notre jet privé et quitta ce pays misérable. Assise confortablement dans le siège de l’avion, je me laissais séduire par Morphée. À bout de souffle, mes larmes décidèrent de ne plus apparaitre. Dans un dernier reniflement, je fermais mes yeux et dormis.
J’enlevais le bras qui recouvrait mes yeux. Notre relation avait été détruire par le pire sort, mais il m’avait offert quelques choses de merveilleuses. Une chose que je n’aurais pus remédier. Cette petite princesse au sourire guérisseur. Un enfant surpris ! Je n’aurais pu remédier même-ci on a bien essayé. Je me levais de mon lit et avançais vers lui. Je me laissais tomber sur le sol et le regardait entre les barreaux.
« Nous allons fuir ! Jamais, je vais laisser ton grand-père choisir un replaçant. Je suis celle qui te guidera ! Nous allons retourner vers aux Séoul, nous allons retrouver ton père. Il doit te connaitre. Mon cœur, mon enfant ! Pardonne-moi de faire des erreurs. Je ne suis pas parfaite et je ne le serais jamais. J’essaie simplement de te donner ce qu’il a de mieux et pour le moment on délaisse. Je vais chercher comme jamais ton père. »
Je me relevais et me dirigeais vers la salle de bain. Je pris le temps de me préparer. Mon grand frère m’aida à partir sans que personne ne réalise. Je pris alors Nenita et quittais ma maison pour retourner ou là à tout commencer.
--------
Il était là sur la table de cuisine se faisant remarquer par cette lumière continuelle qui clignota devant moi. Il avait répondu ! Je sais ! Il se demande qui est la personne lui ayant écrit. Mon pauvre, tu ne devais aucunement me répondre ! Mais, pourquoi ? Pourquoi me réponds-tu ? Je me penche vers la table de cuisine et prends mon téléphone. Je ris nerveusement en voyant son message.
------
Il n'y a rien de facile. La difficulté fait partie de notre existence. Il faut l'accueil bras ouvert et travailler avec elle. Mais, il faut être vigilant avec les sorts malicieux qui se trouvent avec lui. Après tout ! Depuis près d'un an, je vis à Séoul. Recherchant toujours l'ancien amour pour lui révéler le tout. Il n'est pas facile de tout laisser tomber à 22 ans pour donner naissance et revenir dans ce pays deux ans plus tard. Pour le moment, ma route allait être longue. Puis moi dans tout cela ? Je me sens comme le personnage principal d'un sop opera !
______
It's my life...
et là une petite citation...
Je me pose souvent la question sur mon existence. J'ai la drôle d'impression d'être une simple poupée sans vie. Une petite figurine diriger par des bouts de ficelles invisibles. Si, on m'ordonne...j'obéis. Il est dit que nous sommes maîtres de notre destin. Je ne suis pas le maître de la mienne alors ! Pourtant avec un peu de courage et de force, je serais capable de devenir cette personne. Je me dis qu'il serait si simple de devenir cette reine incontournable. La beauté même de cette enveloppe charnelle qui renferme mon âme. Mais, les paroles qui m'ont accompagnée tout le long de ma vie disent le contraire. Triste ! Ennuyeux ! On se demande pourquoi les gens déposent sur moi un regard de dégout ou même de mépris. Ils croient surement que le rat de bibliothèque que je suis est une sainte. Pur oui, saint non !
Je me suis tellement efforcée de ne pas être amère et d'atteindre le difficile point d'équilibre, la mince frontière qui sépare la lucidité de la vie. Ce n'est jamais facile. Il y a un certain nombre de choses qui arrivent quand notre routine habituelle vient à être bouleversée. Ce qui est ridicule, quand on y pense, parce que tout le monde connait cette émotion. Cette sensation d'être perdu face à l'inconnu. Lorsqu'on se demande quel chemin devrons-nous prendre. Cette difficulté qui nous fait hésiter. Celle de ne plus comprendre qui nous sommes. Je fais face à celle-ci. Je me balade de droite à gauche. Cherchant une réponse qui ne vient pas. Tendant les mains devant moi en ayant espoir d’y déposer mes paumes pour la renfermer au creux de mes mains.
Je n’ai jamais voulu être la fille unique de cette famille bourgeoise. J’ai toujours été celle voulant m’éloigner de cet enfer. Laisser mon image derrière un rideau. Mais, j’ai bien beau vouloir, mais je ne pouvais pas. Mes discutions et mon désires passaient toujours dernier !
L'entrée à l'université est un moment crucial, important, essentiel pour un avenir. Elle permes a une personnalité vagabonde de se retrouver pour y construire un cheminement durable. Dans notre société d'aujourd'hui, a première question qu'on vous pose lors d'entrevus est votre prénom. La seconde n'aborde aucunement votre âge ni vos origines. Il s'agit de : quelles études, avez-vous fait ? La troisième sera quelle Université avez-vous fréquenté et pourquoi ce choix ? C'est pour cette raison que depuis mon plus jeune âge, on m'a préparée, je pourrai même dire oublier. Je devais être parfaite en tout. La petite fille de bonne famille devait avoir : de bonnes manières, des paroles bien formuler, ne jamais aborder une attitude du bas monde. Ma famille n'a jamais voulu que je baisse les bras. À leurs yeux, il fallait que je sois parfaite. Alors dès mes premiers pas dans un établissement scolaire, mes options, mes activités hors écoles ont toutes été choisies pour le jour de mon examen d'entrée à l'université ainsi que pour un futur mari combler. Entres les cours privés et les cours de ‘’comment être une future femme au foyer sans tâche’’, ma vie sociale n’existait pas. Au travers de leurs yeux, je suis après vivre la vie que ma mère rêvait de vivre. La preuve, elle avait que j'irais à cette université tout comme celle qu'elle avait fréquentée avant de rencontrer mon père. Mon futur époux avait été choisi alors que je grandissais dans son ventre. Mais je ne réalisais pas que ses choix allaient être aussi complexes. J’aurais pourtant aimé tout choisir par moi-même. Malgé qu'il ne m’a jamais vu. Sans cuivres une route . Alors, ma maîtrise et mes études mineures avaient toutes été calculées. Hors de question de faire autrement... Au moins...j’allais pouvoir vivre à Séoul.
Toutefois, je lui aurais tout donné si elle avait demandé. Mais, contrairement à ceux qui espérait me voir dévier de sa cage dont je suis prisonnière, je restais assise en l'observer. Cette femme m'ayant donné naissance a tout laissé tomber pour les yeux d'un homme. Sa vie ordinaire comme américaine. Mais, cet homme n'aurait jamais dû la croiser. Ses belles paroles, son apparence de la haute société n'ont été qu'une partie de son charme. Elle est devenue la femme d'un héritier important de l'économie de la Philipine. Avec honneur. Dès ma naissance, il m'offrit tout son amour.... l'amour qui partageais avec mes quatre autres frères. Sauf, que derrière l'image de la famille royale parfaite, il s'amusait à visiter le lit d'autres femmes. Ma mère avait tout renié y compris sa famille ! Se laissant apporter par les lois de la richesse. Voilà la récompense. Elle avait marié un beau parleur, un homme appréciant les femmes, le pouvoir et la dictature. Un roi pire que César et son égal et une reine très avare d’argent. Dieu merci ! Séoul est ma porte de sorties de ce cercle remplies de mensonges et fausses images.
Cinq longues années, mes 18 ans à mes 22 ans avaient été dignes d’un conte de fées ! Avant que la roue tourne
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À mon réveil, l’autre côté du lit est froid. Je tâtonne à la recherche d’une présence inconnue. Cette fâcheuse habitude ne m’a pas quittée depuis près de deux ans. Je recherchais toujours cette source de chaleur et d’amour m’ayant arraché d’une main féroce mon cœur battant. Je serais entre ma main froide le drap refroidi par la fenêtre légèrement ouverte. J’ouvris doucement les yeux en réalisant que mes rêveries étaient purement fantaisie. Un simple rêve qui me hantait lorsque ma solitude se faisait ressentir. Je me redresse sur un coude en regardant au coin de ma chambre. Il y a suffisamment de lumière dans cette chambre pour éclairer le petit visage endormi de cet ange. Je l’observais dormir telle une fée marraine. Cette source de bonheur me fit sourire dans la péninsule de la pièce. Je l’observais dormir pelotonné contre son renard en peluche. Collant sa petite joue contre le nez du jouet. Le visage de Nenita frais comme le rosé. L’innocence et la paix se dessinaient sur son visage. Il était là dormant comme si rien pouvait le blesser ni le déranger. Cependant, si seulement, s’il savait que ce petit monde au goût de la royauté allait changer, et tout cela, par la cause de son grand-père. Cet homme avare ! Estimant qu’une bonne image valait mieux que les sentiments de sa fille. Il n’aurait jamais dû ! Jamais ne durent me menacer en prenant mon enfant, mon diamant comme négociation. Un échange pour échange. Je me laissais retomber contre mon oreiller. Mon regard se posa sur le plafond qui accueillait depuis peu les premières lueurs du soleil. Je soupirais. Allais-je vraiment faire un tel acte ? Je recouvrais mes yeux de mon bras. Cachant ainsi toutes visions. Fermant les paupières, je laissais ma respiration devenir lente presque absente. Puis, les images me reviennent. Ses souvenirs précieux, mais douloureux.
Devrais-je me sentir coupable ? Suis-je une idiote ? Pas réellement. J’avais toujours vécu sous la surveillance offerte à la famille royale, mais à dix-huit ans, mais mon goût de l’aventure me permit de tout quitter pour vivre le rêve américain dû moins. Vivre un rêve comme étudiante. Je me rappelle d’avoir abordé le sujet délicat avec cet homme capricieux. Il avait accepté, mais je devais respecter un contrat invisible émis par lui. Vivre sous la tutelle d’une nourrice. Comment aurais-je pu dire non ? J’allais pouvoir fuir et vivre librement sous quelques conditions minimes. Cependant, moi qui désirais vivre librement et caché de tous, mais le contraire de se fit pas attendre. Entre les paparazzis qui annonçait mon arrivé à l’aéroport et ma courte tentative de fuir ma nourrisse, mon entré à l’université ne passa pas inaperçus. Je pouvais faire autrement et me laissais séduire par la popularité. Adieu espoir d’être invisible et bonjour mean girl !
Puis sans prévenir, il est apparu. Celui aux lèvres délectables. Je n’aurais pu penser une seconde qu’une amitié tel que nous partageons aurait été plus loin. Cependant, lors d’une soirée arrosée tout changea par l’intermédiaire d’un jeu. Comment s’appelait-il ? Ha ! Oui ! Action ou vérité. Un simple gage qui créa en lui tout comme en moi des palpitations. Il avait approché ses lèvres contre les miennes, les laissant se caresser doucement dans une danse sensuelle puis mes lèvres s’entrouvrent le laissant se faufiler. À cet instant, nos langues se mirent à danser. Partageant entre elles une danse sensuelle qui ne passait pas inaperçu. Dire que ce simple baiser avait eu le pouvoir de changer une amitié de longue date en relation. J’ai pu le découvrir et apprendre à le connaitre sous un autre jour. Malgré les désaccords d’une relation si impure aux yeux de mon paternel, je continuais sans relâche. Il apportait en moi cette flemme que toutes femmes désirent ressentir. Je lui offris ce qui était le plus précieux pour moi, ma pureté. Cette petite chose fragile se cachant en nous. Il brisa ce mur protecteur en me faisant connaitre le ciel. Cependant tel un archange, le sol s’écroula sous mes pieds après un an. Je croyais être la seule dont ses mains parcouraient chaque parcelle de peau, ses baisés qui m’avait parcourus. Mais, je me trompais. On avait joué au chat et à la souris en cachant notre relation à plusieurs pendant deux mois, mais le secret aurait dû rester ainsi. Moi qui avais cru à l’amour avec un grand a venais de comprendre que l’amour est le pire des sentiments.
Je me souviens encore de ton visage lorsque tu compris que j’avais découvert l’acte impardonnable que tu avais commis. Je laissais mes prunelles regarder les tiennes en te laissant lire en moi et d’une simple voix vibrante je laissais sortir faiblement « Au revoir et merci. ». Dire-je en me retournant. Je quittais le dortoir dont tu faisais partie. Je ne me retournais aucunement pour ne pas verser la moindre larme. Ma personne avait été détruite et ma fierté aussi. Je descendais la dernière marche de l’escalier et saluais mon chauffeur. Je regardais les drapeaux attacher à la voiture vaguant sous le souffle du vent. Je pris une grande respiration et embarquais dans la voiture de l’ambassade. J’enfilais la ceinture et demandais à ma surveillante d’embarquer avec le chauffeur. Je regardais la vitre noir qui me séparait d’eux et laissait ma première larme descendre contre ma joue, je me serais ma robe blanche en criant et pleurant comme jamais. Je me détestais ! Je détestais ma naïveté, ma stupidité ! Je détestais qui j’étais ! Je m’insultais de tous les noms. Je laissais ma voix remplie de rancœur parcourir la voiture. Je n’étais pas choquée contre cette femme ayant partagé son lit ! Non ! Elle était seulement celle ayant profité d’un bénéfique, mais j’étais furieuse contre lui. Je regrettais d’avoir quitté la Philiphine pour vivre ici. Je regrette d’avoir partagé son amitié, son amour, ses baisés et lui avoir tout donné. Je ne lui avais pas donné de chance de s’expliquer ni de me parler. J’étais peut-être égoïste ou lâche ! Mais, je ne pouvais vivre ici et marcher dans les couloirs qui allaient tout me rappeler. Je n’avais pas cette force. Je n’avais pas la force de mes belles-sœurs ni de ma mère. Je détestais mon père et mes frères de commettent se genre de geste, alors lui … Je restais ainsi jusqu’à l’aéroport. Je montais dans notre jet privé et quitta ce pays misérable. Assise confortablement dans le siège de l’avion, je me laissais séduire par Morphée. À bout de souffle, mes larmes décidèrent de ne plus apparaitre. Dans un dernier reniflement, je fermais mes yeux et dormis.
J’enlevais le bras qui recouvrait mes yeux. Notre relation avait été détruire par le pire sort, mais il m’avait offert quelques choses de merveilleuses. Une chose que je n’aurais pus remédier. Cette petite princesse au sourire guérisseur. Un enfant surpris ! Je n’aurais pu remédier même-ci on a bien essayé. Je me levais de mon lit et avançais vers lui. Je me laissais tomber sur le sol et le regardait entre les barreaux.
« Nous allons fuir ! Jamais, je vais laisser ton grand-père choisir un replaçant. Je suis celle qui te guidera ! Nous allons retourner vers aux Séoul, nous allons retrouver ton père. Il doit te connaitre. Mon cœur, mon enfant ! Pardonne-moi de faire des erreurs. Je ne suis pas parfaite et je ne le serais jamais. J’essaie simplement de te donner ce qu’il a de mieux et pour le moment on délaisse. Je vais chercher comme jamais ton père. »
Je me relevais et me dirigeais vers la salle de bain. Je pris le temps de me préparer. Mon grand frère m’aida à partir sans que personne ne réalise. Je pris alors Nenita et quittais ma maison pour retourner ou là à tout commencer.
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Il était là sur la table de cuisine se faisant remarquer par cette lumière continuelle qui clignota devant moi. Il avait répondu ! Je sais ! Il se demande qui est la personne lui ayant écrit. Mon pauvre, tu ne devais aucunement me répondre ! Mais, pourquoi ? Pourquoi me réponds-tu ? Je me penche vers la table de cuisine et prends mon téléphone. Je ris nerveusement en voyant son message.
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Il n'y a rien de facile. La difficulté fait partie de notre existence. Il faut l'accueil bras ouvert et travailler avec elle. Mais, il faut être vigilant avec les sorts malicieux qui se trouvent avec lui. Après tout ! Depuis près d'un an, je vis à Séoul. Recherchant toujours l'ancien amour pour lui révéler le tout. Il n'est pas facile de tout laisser tomber à 22 ans pour donner naissance et revenir dans ce pays deux ans plus tard. Pour le moment, ma route allait être longue. Puis moi dans tout cela ? Je me sens comme le personnage principal d'un sop opera !
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Re: Gokongwei Lumina | Dim 12 Aoû - 15:26 Citer EditerSupprimer
Bienvenuuuue ou rebienvenuuue je vois pas depuis mon téléphone ;; Hâte de voir plus sur cette fiche
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Re: Gokongwei Lumina | Dim 12 Aoû - 16:17 Citer EditerSupprimer
ohhh vanessa
bienvenue parmi nous bon courage pour l'écriture de ta fichette
bienvenue parmi nous bon courage pour l'écriture de ta fichette
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Re: Gokongwei Lumina | Dim 12 Aoû - 16:19 Citer EditerSupprimer
hello
bienvenue par ici
c'est toujours cool de voir des occis par ici
bon courage pour ta fiche
bienvenue par ici
c'est toujours cool de voir des occis par ici
bon courage pour ta fiche
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Re: Gokongwei Lumina | Dim 12 Aoû - 16:22 Citer EditerSupprimer
olalalala vanessa mes feels !
bienvenue ma belle; j'ai hâte de voir ce que tu nous réserves avec cette beauté
bienvenue ma belle; j'ai hâte de voir ce que tu nous réserves avec cette beauté
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Re: Gokongwei Lumina | Dim 12 Aoû - 16:35 Citer EditerSupprimer
Une nouvelle occi. Bienvenue ma belle !
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Re: Gokongwei Lumina | Dim 12 Aoû - 17:30 Citer EditerSupprimer
Bienvenue a toiiii et eexcellent choix de vava <3
Hate de lire ta fiche et si tu as desdes questions n'hésite pas
Hate de lire ta fiche et si tu as desdes questions n'hésite pas
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Re: Gokongwei Lumina | Dim 12 Aoû - 18:04 Citer EditerSupprimer
Bienvenue à toi belle demoiselle
J'ai hâte d'en connaître plus sur ton perso Bon courage pour ta fiche et bien sûr si tu as la moindre question n'hésite à envoyer un message à un membre du staff
J'ai hâte d'en connaître plus sur ton perso Bon courage pour ta fiche et bien sûr si tu as la moindre question n'hésite à envoyer un message à un membre du staff
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