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if these walls could talk ✗ koople | Mar 14 Aoû - 14:44
✻✻✻Les journées se ressemblaient toutes ces derniers temps. Gérer les affaires, mener une vie de vrai petit roi entouré de gens qui obéissent au moindre de ses caprices de gosse pourri gâté depuis l'enfance, pouvoir tout faire, tout acheter, tout obtenir, et s'ennuyer. Fils héritier d'une famille de l'élite des chaebols, Soonyoung n'a jamais manqué de rien, il a grandi en apprenant que le monde lui appartenait, qu'il était plus riche, plus puissant et plus important que presque tout le pays dans lequel il vit. Son dressing est rempli de vêtements de luxe, sa vitrine renferme des dizaines de Rolex, il n'a jamais eu à cuisiner, faire le ménage ou n'importe quelle autre corvée. Et tout ça est devenu ennuyant. Lorsqu'on a tout, la vie devient lassante, répétitive. Et puis il y a Sangjae, l'un de ses majordomes. Soonyoung a tout de suite su qu'il s'amuserait avec lui. Il voyait dans son regard qu'il n'obéissait que parce qu'il avait de l'argent à la clé, alors le gosse s'amuse, enchaine les ordres, lui fait tout faire, le traite presque comme son esclave. Parce qu'il sait que lorsqu'ils ne sont plus que tous les deux, Sangjae lui fait découvrir un univers qu'il ne connaissait pas. Il le fait descendre de son trône, lui montre que peu importe l'argent et l'influence, ce n'est pas lui qui a le pouvoir. Alors aujourd'hui l'héritier ne l'a pas ménagé, assis dans son fauteuil en cuir il ne bouge pas d'un millimètre. « Eh, apporte moi une sucette. À la cerise. » et lorsque son ainé la lui amène, Soonyoung hausse un sourcil « Elle va pas se téléporter toute seule dans ma bouche, tu sais. »
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✻✻✻Les journées se ressemblaient toutes ces derniers temps. Gérer les affaires, mener une vie de vrai petit roi entouré de gens qui obéissent au moindre de ses caprices de gosse pourri gâté depuis l'enfance, pouvoir tout faire, tout acheter, tout obtenir, et s'ennuyer. Fils héritier d'une famille de l'élite des chaebols, Soonyoung n'a jamais manqué de rien, il a grandi en apprenant que le monde lui appartenait, qu'il était plus riche, plus puissant et plus important que presque tout le pays dans lequel il vit. Son dressing est rempli de vêtements de luxe, sa vitrine renferme des dizaines de Rolex, il n'a jamais eu à cuisiner, faire le ménage ou n'importe quelle autre corvée. Et tout ça est devenu ennuyant. Lorsqu'on a tout, la vie devient lassante, répétitive. Et puis il y a Sangjae, l'un de ses majordomes. Soonyoung a tout de suite su qu'il s'amuserait avec lui. Il voyait dans son regard qu'il n'obéissait que parce qu'il avait de l'argent à la clé, alors le gosse s'amuse, enchaine les ordres, lui fait tout faire, le traite presque comme son esclave. Parce qu'il sait que lorsqu'ils ne sont plus que tous les deux, Sangjae lui fait découvrir un univers qu'il ne connaissait pas. Il le fait descendre de son trône, lui montre que peu importe l'argent et l'influence, ce n'est pas lui qui a le pouvoir. Alors aujourd'hui l'héritier ne l'a pas ménagé, assis dans son fauteuil en cuir il ne bouge pas d'un millimètre. « Eh, apporte moi une sucette. À la cerise. » et lorsque son ainé la lui amène, Soonyoung hausse un sourcil « Elle va pas se téléporter toute seule dans ma bouche, tu sais. »© LOYALS.
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Re: if these walls could talk ✗ koople | Jeu 23 Aoû - 11:59
✻✻✻ Sang Jae en avait cumulé des petits boulots pour arrondir ses fins de mois. Il en avait passé du temps sur les chantiers ou à livrer des plats. Il n’aimait aucun de ses métiers mais il avait fait les mauvais choix et c’était maintenant difficile pour lui de se sortir de cet engrenage qu’était devenu la vie. Bosser, avoir de l’argent pour manger et se payer un toit. Pour avoir le peu de dignité humaine et la décence qui convient à sa race. Bosser pour pouvoir être un humain, quelle ironie du sort quand on le voit aujourd’hui, lui qui bosse pour des gens qui s’amusent avec l’argent comme on jouerait avec quelque chose de quelconque. De vulgaire bout de papier qu’ils pourraient tout aussi bien utiliser pour se torcher le cul, pensait régulièrement le jeune homme. C’était un vieil ami à lui des chantiers qui lui avait trouvé cette place. Logé et nourri 5 jours par semaine, Sang Jae avait une paye confortable bien que déraisonnable face au travail qu’il fournissait. Il passait son temps de 7h à 23h à servir ce gosse qui lui tapait sur le système avec ses ordres et son arrogance. Il pensait que tout lui était dû et réclamait sans politesse qu’on le serve. Fort heureusement Jae avait su trouver un terrain de jeu, des plus indécents qui soit, avec l'héritier et pouvait ainsi laisser libre cours à son caractère. Il le remettait à sa place et le trainait même plus bas que terre quand il se logeait entre ses draps, entre ses reins. Sang Jae se souviendra toujours de la première fois qu’il avait mis Soon Young à genou. Au détour d’un couloir, après un énième ordre dépourvu de respect, Sang Jae avait craqué. Il l’avait plaqué au mur à l’insu de tous et lui avait sifflé de son regard noir et de sa voix basse « pour qui te prends tu ?! tu n’es qu’un gosse. » et pour faire taire ce gosse offusqué, aussi apeuré qu’excité, il l’avait embrassé avec une telle fougue et une telle passion que le plus vieux était persuadé que Soon Young n’avait jamais connu ça. Alors pendant quelques secondes Sang Jae avait eu le dessus, il l’avait dominé, corps et âme, savourant ce baiser auquel il avait mis fin comme une torture. L’attirance entre eux était évidente à leurs yeux bien qu’ils prenaient soin de ne pas le montrer. Sang Jae n’avait jamais eu de mal à cerner les pensées du gosse quand son regard se posait sur lui et plus Soon Young lui manquait de respect, plus il cherchait son attention. Serrant les dents et prenant sur lui malgré tout, sang Jae s’approche de lui avec cette sucette qu’il maudissait. Il la lui tend, encore emballée et croise son regard. Il veut jouer. Oh, il veut jouer. Le regard de Sang Jae s’assombrit, remplie de promesses que le plus jeune se languissait de subir. Il défait très lentement le papier et le glisse entre ses lèvres moqueuses. D'abord doucement, avant de lui retirer, juste pour voir sa lèvre supérieure se gonfler sur le bonbon. C’est son sexe qu’il avait pour habitude de mettre ici et étrangement pour une fois il aurait aimé que tout le monde le sache. Ca le grisait, Sang Jae, de voir qu'il pouvait souiller ce prince quand il le voulait. C'est donc un rictus aux lèvres qu'il lui remet la sucette en place, un peu trop loin cette fois et son regard noir lui intime l’ordre de ne pas s’en plaindre. Après quelques secondes à le torturer discrètement Sang Jae relâche la pression d’un sourire en coin mauvais et reprends son air impassible avant de retourner se positionner à sa place, debout près du gosse, les mains jointes devant lui. Les autres hommes présents leur jettent un regard en biais sans vraiment chercher à comprendre. Sang Jae n’a aucune peine à ravaler son sourire fière et soulage son esprit fulminant en imaginant quel genre de punition il infligera au plus jeune.
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✻✻✻ Sang Jae en avait cumulé des petits boulots pour arrondir ses fins de mois. Il en avait passé du temps sur les chantiers ou à livrer des plats. Il n’aimait aucun de ses métiers mais il avait fait les mauvais choix et c’était maintenant difficile pour lui de se sortir de cet engrenage qu’était devenu la vie. Bosser, avoir de l’argent pour manger et se payer un toit. Pour avoir le peu de dignité humaine et la décence qui convient à sa race. Bosser pour pouvoir être un humain, quelle ironie du sort quand on le voit aujourd’hui, lui qui bosse pour des gens qui s’amusent avec l’argent comme on jouerait avec quelque chose de quelconque. De vulgaire bout de papier qu’ils pourraient tout aussi bien utiliser pour se torcher le cul, pensait régulièrement le jeune homme. C’était un vieil ami à lui des chantiers qui lui avait trouvé cette place. Logé et nourri 5 jours par semaine, Sang Jae avait une paye confortable bien que déraisonnable face au travail qu’il fournissait. Il passait son temps de 7h à 23h à servir ce gosse qui lui tapait sur le système avec ses ordres et son arrogance. Il pensait que tout lui était dû et réclamait sans politesse qu’on le serve. Fort heureusement Jae avait su trouver un terrain de jeu, des plus indécents qui soit, avec l'héritier et pouvait ainsi laisser libre cours à son caractère. Il le remettait à sa place et le trainait même plus bas que terre quand il se logeait entre ses draps, entre ses reins. Sang Jae se souviendra toujours de la première fois qu’il avait mis Soon Young à genou. Au détour d’un couloir, après un énième ordre dépourvu de respect, Sang Jae avait craqué. Il l’avait plaqué au mur à l’insu de tous et lui avait sifflé de son regard noir et de sa voix basse « pour qui te prends tu ?! tu n’es qu’un gosse. » et pour faire taire ce gosse offusqué, aussi apeuré qu’excité, il l’avait embrassé avec une telle fougue et une telle passion que le plus vieux était persuadé que Soon Young n’avait jamais connu ça. Alors pendant quelques secondes Sang Jae avait eu le dessus, il l’avait dominé, corps et âme, savourant ce baiser auquel il avait mis fin comme une torture. L’attirance entre eux était évidente à leurs yeux bien qu’ils prenaient soin de ne pas le montrer. Sang Jae n’avait jamais eu de mal à cerner les pensées du gosse quand son regard se posait sur lui et plus Soon Young lui manquait de respect, plus il cherchait son attention. Serrant les dents et prenant sur lui malgré tout, sang Jae s’approche de lui avec cette sucette qu’il maudissait. Il la lui tend, encore emballée et croise son regard. Il veut jouer. Oh, il veut jouer. Le regard de Sang Jae s’assombrit, remplie de promesses que le plus jeune se languissait de subir. Il défait très lentement le papier et le glisse entre ses lèvres moqueuses. D'abord doucement, avant de lui retirer, juste pour voir sa lèvre supérieure se gonfler sur le bonbon. C’est son sexe qu’il avait pour habitude de mettre ici et étrangement pour une fois il aurait aimé que tout le monde le sache. Ca le grisait, Sang Jae, de voir qu'il pouvait souiller ce prince quand il le voulait. C'est donc un rictus aux lèvres qu'il lui remet la sucette en place, un peu trop loin cette fois et son regard noir lui intime l’ordre de ne pas s’en plaindre. Après quelques secondes à le torturer discrètement Sang Jae relâche la pression d’un sourire en coin mauvais et reprends son air impassible avant de retourner se positionner à sa place, debout près du gosse, les mains jointes devant lui. Les autres hommes présents leur jettent un regard en biais sans vraiment chercher à comprendre. Sang Jae n’a aucune peine à ravaler son sourire fière et soulage son esprit fulminant en imaginant quel genre de punition il infligera au plus jeune.© LOYALS.
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Re: if these walls could talk ✗ koople | Jeu 23 Aoû - 14:31
✻✻✻ Avant que Sangjae ne soit à son service, Soonyoung se lassait de tout. Même le sexe l'ennuyait. Il avait toujours trop de contrôle sur tout, et même s'il n'échangerait pour rien au monde son rang d'héritier et la fortune qu'il possède depuis la naissance, il avait besoin parfois d'un virage drastique dans sa vie, de quelque chose de nouveau, de différent. Et c'est exactement ce que ce majordome lui offrait. Les premières semaines il avait attisé sa curiosité, le gosse voyait parfaitement dans son regard qu'il n'obéissait que parce qu'il était payé pour, mais que jamais il ne lui serait soumis comme les autres qui suivaient tous ses ordres comme des chiens dressés à l'obéissance. Et puis il est beau Sangjae, encore plus lorsque son regard s'assombrit, que sa mâchoire et ses poings se crispent au fil des ordres. Alors Soonyoung avait tout fait pour le pousser à bout, le traitant comme un véritable esclave, enchainant les ordres prononcés sans la moindre forme de respect ou de politesse. Il voulait savoir que son son ainé était capable, et il avait fini par obtenir ce qu'il désirait. Et à vrai dire, ce qui s'était passé entre eux dépassait de loin tout ce que le gosse avait pu imaginer. Jamais il ne s'était senti aussi rabaissé, aussi faible, aussi dépourvu de pouvoir. Et il avait adoré ça. C'était bien trop grisant d'enfin connaitre quelqu'un qui lui tient tête, et même plus que ça qui n'a pas peur de le soumettre à toutes ses volontés. Parce que lorsqu'ils sont seuls les rôles s'inversent, Sangjae prend le pouvoir et encre dans la peau et dans la mémoire du gosse qui d'eux deux a vraiment l'ascendant sur l'autre. Aujourd'hui Soonyoung cherche à retrouver cette sensation, alors il ne cesse de le provoquer même s'ils ne sont pas seuls. Il ne demande rien aux autres majordomes présents, c'est à Sangjae de tout faire. Et lorsqu'il lui ordonne de lui donner sa sucette son sourire s'étire, son regard se plante dans celui de son ainé dans lequel il peut lire tout ce qu'il lui fera plus tard pour se venger. Il tire légèrement la langue, accueille la sucrerie avec un regard qui en dit long et le laisse la retirer sans protester. Et lorsqu'elle retourne se loger dans sa bouche, plus profondément cette fois, Soonyoung se crispe légèrement par réflexe mais ne brise en aucun cas le contact visuel et aspire sa salive bruyamment lorsque Sangjae s'écarte finalement avant de lécher le bonbon, un sourire aux lèvres. Il joue quelques minutes avec la perle sucrée en remplissant les documents devant lui avant de se redresser, prendre la sucette entre ses doigts et tendre le bras au dessus du vide. Il tourne la tête vers Sangjae avec un sourire mauvais et laisse tomber la sucrerie qui se brise au sol. « Ramasse, et je veux pas voir la moindre trace c'est compris ? » dit-il avec autant d'autorité que de malice. Puis il s'étire et se remet au travail, ne calculant même pas son majordome qui s'affaire à nettoyer le sol près de lui. Le simple fait de le savoir agenouillé au sol suffisait à le faire frémir, car il savait qu'il allait lourdement payer pour avoir fait ça, si bien que l'excitation se faisait déjà ressentir. « Apporte moi une autre sucette, plus vite que ça. » Puis, conscient qu'ils ne pourront pas continuer ce petit jeu éternellement avec du public, il ajoute « Les autres vous pouvez sortir, je prend une pause. Mais toi tu restes ici, j'attend ma sucette. »
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✻✻✻ Avant que Sangjae ne soit à son service, Soonyoung se lassait de tout. Même le sexe l'ennuyait. Il avait toujours trop de contrôle sur tout, et même s'il n'échangerait pour rien au monde son rang d'héritier et la fortune qu'il possède depuis la naissance, il avait besoin parfois d'un virage drastique dans sa vie, de quelque chose de nouveau, de différent. Et c'est exactement ce que ce majordome lui offrait. Les premières semaines il avait attisé sa curiosité, le gosse voyait parfaitement dans son regard qu'il n'obéissait que parce qu'il était payé pour, mais que jamais il ne lui serait soumis comme les autres qui suivaient tous ses ordres comme des chiens dressés à l'obéissance. Et puis il est beau Sangjae, encore plus lorsque son regard s'assombrit, que sa mâchoire et ses poings se crispent au fil des ordres. Alors Soonyoung avait tout fait pour le pousser à bout, le traitant comme un véritable esclave, enchainant les ordres prononcés sans la moindre forme de respect ou de politesse. Il voulait savoir que son son ainé était capable, et il avait fini par obtenir ce qu'il désirait. Et à vrai dire, ce qui s'était passé entre eux dépassait de loin tout ce que le gosse avait pu imaginer. Jamais il ne s'était senti aussi rabaissé, aussi faible, aussi dépourvu de pouvoir. Et il avait adoré ça. C'était bien trop grisant d'enfin connaitre quelqu'un qui lui tient tête, et même plus que ça qui n'a pas peur de le soumettre à toutes ses volontés. Parce que lorsqu'ils sont seuls les rôles s'inversent, Sangjae prend le pouvoir et encre dans la peau et dans la mémoire du gosse qui d'eux deux a vraiment l'ascendant sur l'autre. Aujourd'hui Soonyoung cherche à retrouver cette sensation, alors il ne cesse de le provoquer même s'ils ne sont pas seuls. Il ne demande rien aux autres majordomes présents, c'est à Sangjae de tout faire. Et lorsqu'il lui ordonne de lui donner sa sucette son sourire s'étire, son regard se plante dans celui de son ainé dans lequel il peut lire tout ce qu'il lui fera plus tard pour se venger. Il tire légèrement la langue, accueille la sucrerie avec un regard qui en dit long et le laisse la retirer sans protester. Et lorsqu'elle retourne se loger dans sa bouche, plus profondément cette fois, Soonyoung se crispe légèrement par réflexe mais ne brise en aucun cas le contact visuel et aspire sa salive bruyamment lorsque Sangjae s'écarte finalement avant de lécher le bonbon, un sourire aux lèvres. Il joue quelques minutes avec la perle sucrée en remplissant les documents devant lui avant de se redresser, prendre la sucette entre ses doigts et tendre le bras au dessus du vide. Il tourne la tête vers Sangjae avec un sourire mauvais et laisse tomber la sucrerie qui se brise au sol. « Ramasse, et je veux pas voir la moindre trace c'est compris ? » dit-il avec autant d'autorité que de malice. Puis il s'étire et se remet au travail, ne calculant même pas son majordome qui s'affaire à nettoyer le sol près de lui. Le simple fait de le savoir agenouillé au sol suffisait à le faire frémir, car il savait qu'il allait lourdement payer pour avoir fait ça, si bien que l'excitation se faisait déjà ressentir. « Apporte moi une autre sucette, plus vite que ça. » Puis, conscient qu'ils ne pourront pas continuer ce petit jeu éternellement avec du public, il ajoute « Les autres vous pouvez sortir, je prend une pause. Mais toi tu restes ici, j'attend ma sucette. »© LOYALS.
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Re: if these walls could talk ✗ koople | Mer 12 Sep - 23:03
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Re: if these walls could talk ✗ koople | Jeu 11 Oct - 23:30
✻✻✻ À la base, leur relation secrète n'était qu'un divertissement, une occupation destinée à l'amuser dans son quotidien, mais bien vite Soonyoung s'est retrouvé piégé, totalement dépendant de son aîné. Comme une addiction, il a besoin de passer ces moments avec lui, de le sentir lui faire du mal, de voir sa colère, son pouvoir. C'est pour cette raison qu'il le provoque de plus en plus souvent, qu'il enchaine les ordres et l'insolence. Il en veut plus, il a besoin de plus. Le gosse est totalement sous l'influence de son majordome, est prêt à tout pour mériter son attention, se fiche bien de subir sa colère (après tout, c'est ce qu'il cherche). Il ne veut pas de tendresse, pas de douceur, toutes ces choses l'ennuient. Jamais aucun de ses partenaires n'a réussi à lui faire ressentir ce que Sangjae lui fait vivre. Jamais personne d'ailleurs, que ce soit sur le plan sexuel ou n'importe quoi d'autre. Il a bien essayé avant, cherché quelqu'un qui, au delà de lui tenir tête, serait capable de le dominer. Il a fréquenté les pires personnes, comme les meilleures. Mais jamais il n'a obtenu ce qu'il désirait. Et avant son amant secret il a même eu cette attitude avec ses autres majordomes, les traitant comme des moins que rien, les rabaissant continuellement, enchainent les ordres ingrats, frappant directement en plein dans leur ego pour les faire craquer, mais rien. Tous ceux sous ses ordres ont des années d'expérience, sont entrainés pour suivre chaque ordre sans ciller. Mais pas Sangjae, et ça le môme l'a su dès leur première rencontre. Et son aîné ne l'a pas déçu, oh ça non. Mais ça ne suffit pas à Soonyoung, ça ne lui suffit jamais. Gamin qui en veut toujours plus, qui ne se contente jamais de ce qu'il a, qui exige une intensité croissante. Et si un jour celui de qui il devient de plus en plus accro finissait par ne plus le surprendre, alors il perdrait tout intérêt à ses yeux, mais il est convaincu que ce jour n'arrivera jamais. Sangjae a trop de rage dans son regard, trop d'adrénaline et de plaisir à lui faire tout ça, alors il ne le décevra pas. Et dans le fond, il n'est pour Soonyoung qu'un jouet entre ses mains manipulatrices. Le plus précieux et le plus beau de ses jouets, mais il reste un pantin. Même s'il a l'ascendant évident sur lui, ce n'est que parce que le gosse le veut bien. Au final, c'est comme si l'héritier lui ordonnait sans le dire de le divertir. Et sa patience s'amoindrit, c'est pour cette raison qu'il coupe court aux provocations pour passer aux choses sérieuses en donnant l'ordre aux autres de partir. C'est une des règles à leur petit jeu : personne ne doit savoir quel genre de relation ils entretiennent. Alors lorsque son amant raccompagne les autres à la porte, Soonyoung range ses documents dans le tiroir de son bureau pour ne pas les abîmer et leur laisser de l'espace pour jouer, un sourire satisfait sur les lèvres comme un gamin fier d'avoir obtenu le cadeau qu'il voulait à force de caprices. Il observe son ainé avec envie, conservant son sourire narquois en parfaite opposition avec l'expression fermée de son vis à vis qui suffisait à le faire frissonner. Il le laisse s'avancer en savourant la vue de son torse sans un mot, sans bouger, c'est à Sangjae de venir le chercher. Et il ne brise pas le contact visuel un seul instant lorsque la large main se presse contre sa gorge, seules ses lèvres s'entrouvrent par réflexe et il le laisse le mettre à genoux sur le bureau sans broncher, ses muscles se crispant malgré tout à cause du manque d'air qui devient de moins en moins tolérable, mais aussi de plus en plus excitant. Il reprend malgré tout avidement sa respiration lorsque Sangjae le relâche, restant encore docile, gémissant bruyamment contre le tissu de la cravate qui obstrue sa bouche lorsque celle de son majordome se perd contre son cou. Mais le calme a assez duré, et le plus grand est, aux yeux de Soonyoung, encore beaucoup trop doux. Alors il retire la cravate de sa bouche d'une main pendant que l'autre se glisse dans son propre pantalon pour le provoquer et lui désobéir dans un grognement. « C'est pas avec le feu que je joue, c'est avec toi, Sangjae » souffle-t-il comme un enfant taquin « J'ai adoré te voir à genoux tout à l'heure, c'est là qu'est ta place après tout, pas vrai ? T'es rien d'autre que mon jouet »
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✻✻✻ À la base, leur relation secrète n'était qu'un divertissement, une occupation destinée à l'amuser dans son quotidien, mais bien vite Soonyoung s'est retrouvé piégé, totalement dépendant de son aîné. Comme une addiction, il a besoin de passer ces moments avec lui, de le sentir lui faire du mal, de voir sa colère, son pouvoir. C'est pour cette raison qu'il le provoque de plus en plus souvent, qu'il enchaine les ordres et l'insolence. Il en veut plus, il a besoin de plus. Le gosse est totalement sous l'influence de son majordome, est prêt à tout pour mériter son attention, se fiche bien de subir sa colère (après tout, c'est ce qu'il cherche). Il ne veut pas de tendresse, pas de douceur, toutes ces choses l'ennuient. Jamais aucun de ses partenaires n'a réussi à lui faire ressentir ce que Sangjae lui fait vivre. Jamais personne d'ailleurs, que ce soit sur le plan sexuel ou n'importe quoi d'autre. Il a bien essayé avant, cherché quelqu'un qui, au delà de lui tenir tête, serait capable de le dominer. Il a fréquenté les pires personnes, comme les meilleures. Mais jamais il n'a obtenu ce qu'il désirait. Et avant son amant secret il a même eu cette attitude avec ses autres majordomes, les traitant comme des moins que rien, les rabaissant continuellement, enchainent les ordres ingrats, frappant directement en plein dans leur ego pour les faire craquer, mais rien. Tous ceux sous ses ordres ont des années d'expérience, sont entrainés pour suivre chaque ordre sans ciller. Mais pas Sangjae, et ça le môme l'a su dès leur première rencontre. Et son aîné ne l'a pas déçu, oh ça non. Mais ça ne suffit pas à Soonyoung, ça ne lui suffit jamais. Gamin qui en veut toujours plus, qui ne se contente jamais de ce qu'il a, qui exige une intensité croissante. Et si un jour celui de qui il devient de plus en plus accro finissait par ne plus le surprendre, alors il perdrait tout intérêt à ses yeux, mais il est convaincu que ce jour n'arrivera jamais. Sangjae a trop de rage dans son regard, trop d'adrénaline et de plaisir à lui faire tout ça, alors il ne le décevra pas. Et dans le fond, il n'est pour Soonyoung qu'un jouet entre ses mains manipulatrices. Le plus précieux et le plus beau de ses jouets, mais il reste un pantin. Même s'il a l'ascendant évident sur lui, ce n'est que parce que le gosse le veut bien. Au final, c'est comme si l'héritier lui ordonnait sans le dire de le divertir. Et sa patience s'amoindrit, c'est pour cette raison qu'il coupe court aux provocations pour passer aux choses sérieuses en donnant l'ordre aux autres de partir. C'est une des règles à leur petit jeu : personne ne doit savoir quel genre de relation ils entretiennent. Alors lorsque son amant raccompagne les autres à la porte, Soonyoung range ses documents dans le tiroir de son bureau pour ne pas les abîmer et leur laisser de l'espace pour jouer, un sourire satisfait sur les lèvres comme un gamin fier d'avoir obtenu le cadeau qu'il voulait à force de caprices. Il observe son ainé avec envie, conservant son sourire narquois en parfaite opposition avec l'expression fermée de son vis à vis qui suffisait à le faire frissonner. Il le laisse s'avancer en savourant la vue de son torse sans un mot, sans bouger, c'est à Sangjae de venir le chercher. Et il ne brise pas le contact visuel un seul instant lorsque la large main se presse contre sa gorge, seules ses lèvres s'entrouvrent par réflexe et il le laisse le mettre à genoux sur le bureau sans broncher, ses muscles se crispant malgré tout à cause du manque d'air qui devient de moins en moins tolérable, mais aussi de plus en plus excitant. Il reprend malgré tout avidement sa respiration lorsque Sangjae le relâche, restant encore docile, gémissant bruyamment contre le tissu de la cravate qui obstrue sa bouche lorsque celle de son majordome se perd contre son cou. Mais le calme a assez duré, et le plus grand est, aux yeux de Soonyoung, encore beaucoup trop doux. Alors il retire la cravate de sa bouche d'une main pendant que l'autre se glisse dans son propre pantalon pour le provoquer et lui désobéir dans un grognement. « C'est pas avec le feu que je joue, c'est avec toi, Sangjae » souffle-t-il comme un enfant taquin « J'ai adoré te voir à genoux tout à l'heure, c'est là qu'est ta place après tout, pas vrai ? T'es rien d'autre que mon jouet »© LOYALS.
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