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is it too late to say that i'm sorry ...? ft KeSun

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is it too late to say that i'm sorry ...? ft KeSun | Mar 21 Aoû - 23:13
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Kelea était nerveuse. Cela faisait des mois et des mois qu’elle fuyait Kwan Sun. Autant pour sa maladie que pour sa dépression. Elle avait du mal à lui faire face parce qu’il lui rappelait beaucoup trop la jeune femme qu’elle était dans le passé, la femme qu’elle était quand elle était la femme de Kouji. La femme de Kouji qu’elle est toujours … Non aujourd’hui elle est veuve. Assise dans son canapé elle ravale ses larmes en faisant tourner son alliance à son doigt. Ça faisait un tout petit peu moins mal qu’avant … mais c’était … non c’était toujours aussi douloureux. Elle respire un grand coup pour ravaler ses larmes. La douleur qui se réveillait dans son cœur semblait s’offusquer d’avoir été oublié si longtemps. C’est vrai Kelea avait égoïstement choisie de reprendre sa vie en main et d’avancer. Elle n’avait certainement pas oublié Kouji. Ni son amour pour lui, ni leurs années passées ensemble, encore moins leur mariage qu’elle avait organisé pour lui … Elle l’avait épousé parce qu’elle l’aimait, et parce qu’elle lui promettait ainsi de se battre pour la vie. Quoiqu’il advienne … elle lui avait promis elle ne laisserait jamais tomber alors elle s'efforçait jours après jours de tenir sa promesse. ce n'était ni évident, ni facile, elle n'en avait d'ailleurs la plus part du temps pas envie ... elle, elle ce qu'elle voulait, où ce qu'elle avait plutôt longtemps voulu, c'était retrouver sa vie d'avant. celle avec son mari. elle était malade, c'était elle qui aurait du mourir la première, pourquoi le destins était-il si cruelle avec elle ? Elle avait pleuré toutes les larmes de son corps à l'annonce de la mort de Kouji. c'était si soudain, si irréel. il ne pouvait pas être mort, pas lui. il était ... le soleil, l'air et le bonheur à lui tout seul. il était la force de Kelea et on lui arrachait ? Qu'avait-elle fait pour mériter ça ? Et lui ... si jeune et si robuste. il était ... il était fait pour vivre. il était la lumière de son obscurité. elle avait du apprendre à vivre seule, pire encore, à vivre sans lui. Ses jours passés à s'enfermer dans sa tristesse, Kelea en avait oublié tout ce qu'elle avait traversé. Quand ses jours se transformait en nuit et que ses nuits étaient interminable ... elle avait oublié à quel point elle avait pu blesser les autres, elle les avait ignoré, les avait fuit. elle prenait parfois une chambre d’hôtel, elle s'allongeait dans le lit et disparaît des semaines entières aux yeux des autres. elle avait suivit un psychologue, celui de l'hôpital, il lui assurait qu'elle fuyait les autres parce qu'elle se sentait coupable de vivre et qu'elle ne pensait pas le mériter. elle lui avait rit au nez, les larmes aux yeux. Il avait raison mais Kelea avait longtemps refusé de l'admettre. Elle joue encore nerveusement avec sa bague en serrant contre elle une photo de Kouji. elle n'avait pas pu empêcher les larmes de couler. aujourd'hui était un jour où Kouji lui manquait. Elle aimait pourtant Caden, mais elle n'avait pu se résoudre à oublier Kouji, pas comme ça ... Elle renifle et caresse le verre du cadre pour frôler ce visage si souriant qu'elle avait tant aimé. "Je fais n'importe quoi depuis que t'es plus là ..." souffle-t-elle l'air désolé. "J'espère que tu ne m'en veux pas ..." d'avoir aimé un autre homme, d'avoir tourné le dos à tous leurs amis ... Elle sèche ses larmes, ravale son chagrin et décide qu'aujourd'hui elle devra réparer ça ... Elle se lève, lisse sa robe et ajuste ses cheveux avant de prendre son sac et de sortir. sur un coup de tête, qu'elle espérait ne pas être ... trop douloureux à vivre. Elle soupire et serre la sangle de son sac dans ses mains en s'avançant vers les Gumiho le coeur totalement fou. elle toque à la porte avant de lancer "Je.. je viens voir Kwan Sun, c'est ... dites lui que c'est Kelea."
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Re: is it too late to say that i'm sorry ...? ft KeSun | Sam 25 Aoû - 2:24
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   Is it too late to say that i'm sorry ...? ★ KeSun
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    Installé sur mon lit, j’étais bien loin de notre petit monde. J’avais un peu de temps de libre dans mon emploi du temps, aujourd’hui, pas un cours de prévu avec mes chers élèves lycéens. De plus il n’y avait personne dans ma chambre, Nao avait un truc de prévu et je ne savais pas du tout où était Kin aussi. Mais quoi qu’il en soit, j’avais bien prévu de passer ce temps à me prélasser un peu. Alors aujourd’hui, je n’avais strictement rien de prévu. Ou du moins si, mais, ça ne se passait pas à Yonsei. Ca se passait même très loin de la  Corée. Depuis ce matin, j’avais commencé un voyage sauvage jusqu’en Ecosse. Comment ça j’étais toujours dans ma chambre. Non je ne voyais pas physiquement, je voyageais par mon imaginaire. Parce que je m’étais plongé dans les derniers bouquins j’avais acheté. Et actuellement j’étais en train de lire les passionnantes aventures d’un petit sorcier à lunettes dénommé Harry Potter. Oui, okay, ce livre n’était pas tout jeune. Mais j’étais tombé que très tardivement dessus et comme on disait, il valait mieux tard que jamais ! Puis j’avais lu beaucoup d’autres livres à côté. Mais j’avouais que j’avais déjà lu le premier tome et je m’étais laissé séduire par cette histoire de sorciers en Angleterre et j’avais particulièrement hâte de me dévorer la série ! Puis ce n’était comme s’il y avait plein de bouquins à lire en plus. Bref, j’allais avoir de quoi m’occuper pendant un petit moment et de quoi encore remplir la bibliothèque de ma chambre dans la maison familiale. A force peut-être que j’allais demander à mon de me payer une vraie bibliothèque, non parce qu’on était quand même pas mal de fervent lecteur dans la famille. Par contre, pris dans mon univers peuplé de magie et de créatures surnaturelles, je m’étais collé des bouchons d’oreilles. Non parce que j’adorais les Gumiho, mais ce n’était clairement pas la frat la plus calme de l'histoire. Loin de là même ! Il y avait tellement d’allées et venues que c’était presque impossible de connaître un vrai moment de calme. mais c’était comme ça. Alors j’avais décidé de m’offrir un peu de tranquillité de cette manière là. Je m’étais déjà plongé dans le second tome. Une aventure fantastique avec une voiture volante, un elfe de maison, et messages écrit avec du sang du les murs et c’était sans compter sur les élèves pétrifiés. OMG QUOI ! Mais je n’eus pas le temps de continuer que je sentis une main se poser sur mon épaule, me faisant sursauter. Je me tournais vers la personne qui m’avait interpellé un autre membre de la fraternité. Je retirai doucement un de mes bouchons d’oreille avec une expression interrogative sur le visage. Yo Kwan, y’a une nana qui veut te parler. ”Une nana” ? Avais-je répété en fronçant les sourcils. Ouais elle a dit qu’elle s’appelait Se Leo… euh non Ke Lei… ah non c’est pas ça. Kelea ? Ouais c’est ça ! Je vins pousser une long soupire. Si je voulais aller la voir…. non j’en étais pas vraiment sûr. J’avais voulu lui parler, je l’avais harcelé de messages. Je m’étais profondément inquiété pour elle, je pensais que nous étions proches, assez pour qu’elle puisse se confier à moi. Je pensais que… qu’elle n’allait pas aussi facilement m’effacer de sa vie. Et pourtant, elle m’avait si facilement ghosté. Okay, dis lui que j’suis pas là. Avais-je dit en reprenant ma place dans mon lit, alors que j’allais remettre mon bouchon dans mon oreille. Non je me sentais pas de lui parler, je ne voulais pas. Et même savoir qu’elle revenait comme ça, ma mâchoire s’était serrée. Puis qu’est-ce qu’elle voulait ? Elle pensait vraiment qu’elle pouvait jouer aux abonnés absents et revenir plus tard ? Mes yeux se posèrent une nouvelle fois sur mon bouquin quand le type ajouta. Ecoute mec, j’sais pas ce qu’il se passe entre vous... Mais OMG dis pas ça comme si on était sortis ensemble ! Whatever c’est pas mes oignons ! Mais elle avait pas l’air d’aller bien. Je crois qu’elle a pleuré. Je me figeais une nouvelle fois. Pris dans un dilemme que j’étais parfaitement incapable de résoudre. Elle avait pleuré, juste ça suffit pour que je sente mon coeur se serrer dans mon torse. Je n’aimais la savoir mal. Je n’aimais pas la voir triste. Et pourtant… c’était elle qui avait refusé de me répondre pendant tant de temps. Des mois à m’éviter, à jouer à celle qui ne me connaissait pas. Alors ouais, ça n’avait pas été agréable de voir une personne qui comptait tant à mes yeux me fuir comme la peste. Je portais un de mes pouces à ma bouche, rongeant machinalement mon ongle. J’avais déjà ma réponse, mais ça me faisait chier d’être aussi faible au final. Je posais précipitamment mon bouquin sur mon lit et me levais non sans lâcher un petit: Fais chier, dans ma barbe. Elle est où ? Alors qu’il me répondit, je me dirigeais naturellement vers les parties communes. Il y avait déjà un groupe de gumiho qui s’était formé et non loin, elle était là. Ma mâchoire se ressera. Est-ce que je lui en voulais ? Oui je lui en voulais beaucoup. Mais Kelea… je la connaissais depuis si longtemps. Tellement que malgré toute cette amertume, j’avais toujours cette volonté de la protéger. Ce qui me mettait royalement le cul entre deux chaises. Je soupirais avant de m’approcher d’elle, non sans que le groupes de renards commencent à murmurer, ah les gens et les potins, je te jure ! Une fois à sa hauteur, je pris un ton le plus neutre possible. Tu… voulais me voir Kelea ? Même si j’avouais que pendant un instant, ma voix m’avait semblé beaucoup trop froide, beaucoup plus froide qu’à l’accoutumée. Mes iris se levèrent vers le groupe de Gumi avant de se reposer sur la demoiselle. C’était vrai qu’il me semblait que ses yeux étaient rougi, elle avait pleuré, oui. ce qui ne me rassura pas le moins du monde. Mais bon sang pourquoi je continuais toujours de m’inquiéter pour elle comme ça moi ? Viens, on va dans ma chambre, on sera loin des OREILLES INDISCRÈTES, je l’avais dit non sans fusiller le petit groupe qui se dispersa juste après. Je passais mon bras autour des épaules de Kelea alors que je la dirigeais jusqu’à ma chambre, pas trop loin par chance. Le trajet vite fait, je pris le soin de fermer la porte derrière nous. On moins ici on évitera les commérage, avais-je commenté en soupirant. Je regardais Kelea avant de rajouter les bras croisés sur mon torse. Alors comme ça, tu t’es rappelé que j’existais ? Tu as besoin de moi je suppose non ? C’était parti tout, ça avait été plus fort que moi, je devais l’avouer. Je levais les sourcils. Il ne manquait plus que ça qu’elle vienne par intérêt. Ça aurait été le pompom.       
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Re: is it too late to say that i'm sorry ...? ft KeSun | Dim 30 Sep - 14:14
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is it too late ?
KwanSun & Kelea

« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do.  »
Elle s’était préparée à ça. A cette - pseudo - ironie teinté de colère, et pire encore, de déception. Elle le fixait l’air désolé bien qu’affichant un air défiant. Elle était toujours ainsi un paradoxe troublant, comme si la jeune femme était deux entités distinctes et opposées. Elle était à la fois la douceur et l’agressivité. Elle était le pardon et l’accusation. Elle se perdait dans ses émotions sans savoir laquelle dominait réellement.  Elle s’en voulait d’avoir ainsi mis une distance entre elle et Kwan Sun mais elle savait aussi,  au fond d’elle, que c’était seul qui lui avait fallu traverser ce désert … Elle aurait dû lui expliquer il y a des mois mais elle était si détruite que cela lui avait été impossible de prendre soin des autres. Il lui avait fallu mourir dans son coin pour renaitre dans ses cendres. Elle n’avait ni supporté l’absence de ses proches, ni leur inquiétudes. Elle avait appris à vivre seule, parce que sans ça elle n’aurait jamais pu se remettre de la mort de Kouji. Ça lui aura pris un peu plus d’un an pour réellement réussir à se remettre sur pieds. Elle savait aussi que les sentiments qu’elle éprouvait pour Caden avait été le coup de trop, mais aussi ce qui lui avait permis de se remettre debout plus facilement. Elle s’était longuement concentrée sur ses études,  ses projets professionnels. Elle avait d’abord pensé à elle, à ce qu’elle voulait dans la vie. Un but. Un rêve auquel s’accrocher, quelques choses qui la fasse continuer d’avancer. Puis elle avait doucement réappris à sortir, voir la lumière du jour. Elle avait décidé de combattre à nouveau se maladie. Les traitements lourds, ceux qui l’assommaient, et qui la faisait dormir en la rendant si malade qu’elle passait des nuits entières sur le sol froid de ses toilettes. Kelea s’était infligé ça comme une punition et un test. Si elle arrivait à se sortir de son enfer elle pourrait faire face à la vie et l’accepter … accepter de vivre à son tour. C’était seule qu’elle avait tenu à se redresser et si Kwan Sun avait été là les premiers moi, fier allié qui ne lui lâchait jamais la main, Kelea s’était sentie obligé de lui demander de partir. Elle n’ose imaginer l’inquiétude qu’elle lui avait causée, lui qui l’avait veillé quand les médecins étaient réticents sur l’état santé de Kelea, lui qui avait pris le temps de la faire manger et parfois même de la baigner pour qu’elle soit propre. Kelea ne pouvait être que plus reconnaissante de l’ami fidèle qu’il avait été. Elle réalisait aujourd’hui le mal qu’elle avait dû lui faire ... Elle ne savait même pas par où commencer alors qu’elle lui faisait face en triturant ses manches. « Kwan Sun je … » elle baisse les yeux, les ferme une seconde pour se donner du courage et fini par murmurer en le fixant sans ciller « Je suis désolée … » Sa voix se casse dans un souffle coincé alors que les larmes lui montent aux yeux. Se maudissant de sa faiblesse elle sort de sa poche un papier sur lequel elle avait écrit ce qu’elle voulait lui dire. Les mains tremblantes elle fixe son papier qu’elle tâche de larmes avant de lui lire, quand même bien elle connaissait ses lignes par cœur « Je n’ai pas d’excuse pour t’avoir demandé de sortir de ma vie quand j’avais pourtant le plus besoin de toi et je … » elle étouffe un sanglot avec le dos de sa main qu’elle plaque sur ses lèvres et gémit « fallait que je fasse ça seule … » sa voix était tremblante, cassée, pourtant elle tenait à finir, à tout lui dire avant qu’il ne prenne la parole. Sa voix se faisait de plus en plus basse alors qu’elle ajouta « Je ne te demande pas de me pardonner … ni même de comprendre mais … c’était important que tu le saches et … » elle n’arrive plus à formuler aucune phrase de façon cohérente alors elle se force à sortir un « merci … » qui peine à franchir ses lèvres mais qui est pourtant remplie de sincérité. Elle avait assez de respect pour Kwan Sun pour qu’il sache la vérité et qu’il comprenne – elle l’espérait – et ne lui en veuille pas plus. 

(c) DΛNDELION
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Re: is it too late to say that i'm sorry ...? ft KeSun | Dim 7 Oct - 0:31
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   Is it too late to say that i'm sorry ...? ★ KeSun
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    La voire débarquer comme ça ? Non je ne m’y étais pas vraiment attendu. Et c’était plus fort que moi j’avais du lui lancer cette remarque sarcastique. Parce que je lui en voulais. J’avais voulu l’aider j’étais resté auprès d’elle, je m’était inquiété pour elle, mais elle m’avait rejeté. Elle me l’avait bien fait comprendre. Elle était mon amie depuis si longtemps, elle était presque comme une autre soeur pour moi. J’aurais pu clairement tout lui donner pour la voir sourire à nouveau. Mais elle, elle m’avait rejeté et même si je m’étais muré derrière un sourire. J’avais fait comme si ça ne m’avait pas affecté, mais pourtant comme ça m’avait fait du mal. J’avais voulu être là pour elle, l’aider. Je lui en avais clairement voulu et je lui en voulais toujours d’avoir eu ce comportement que je n’avais pas su comprendre. Et j’étais de ce genre de personne qui était rancunière. Alors maintenant oui, je continuais d’avoir ce ressenti avec elle. Parce qu’elle m’avait balayé si facilement de sa vie, comme si toutes ces années n’avaient pas compté. Je me souvenais encore quand ma famille avait commencé à partir en morceau, j’étais allé la trouver, j’avais pleuré si longtemps dans ses bras alors que personne ne m’avait vu versé la moindre larme. Tout ce qu’on avait vécu ensemble, comme si tout cela n’avait jamais existé. Comme si je n’avais jamais été important pour elle et oui…. ça faisait foutrement mal de me dire de telles choses. Alors toujours les bras croisés, je l’écoutais. Elle s’excusa et déjà ce paroles je sentais mon masque doucement s’effriter. Mais je restais neutre, sans rien montrer et dans le fond, je voyais tout le mal qu’elle avait à parlé et mon coeur se tordait de douleur. Parce que je me rendais compte que malgré toute ma rancune, j’avais surtout profondément envie de la prendre dans mes bras pour la serrer contre moi. Elle finit par sortir un petit bout de papier et la lecture commença. Et ce fut la pire chose au moins. Alors que les confessions avançaient et que je la voyais sangloter de plus en plus, je savais je ne pouvais pas résister. Plus elle parlait et plus je sentais mon coeur se serrer douloureusement dans ma poitrine. Mes sentiments étaient si contraire que je ne savais pas quoi dire ou faire, alors je restais sans rien faire, sans réaction, toujours la fixant. Elle reparla de tout ce qui m’avait fait souffrir, mais je me rendais compte qu’elle avait probablement plus souffert de nous deux. Et sa voix tremblante, secouée de pleurs le prouvait bien. Elle était venue s’expliquer, tirer la situation au clair. A peine son remerciement final prononcé, je l’avais attiré dans mes bras. C’était plus fort que moi, je ne pouvais pas résister, mon corps avait presque bougé tout seul pour combler cet espace entre nous. Mon étreinte se resserra doucement autour de son corps Tu sais que je déteste te voir pleurer, avais-je dis en calant mon menton au sommet de crâne. Je soupirais doucement, elle m’avait manqué, terriblement. Et je savais que j’étais bien faible face à elle. Tu as beaucoup souffert, beaucoup plus que moi hein ? Je finis par poser une bise dans ses cheveux avant de m’éloigner pour prendre son visage entre mes mains et la regarder avec un fin sourire. J’aurais aimé sécher ces larmes avant. Je l’avais dis tout en passant mon pouce sur ses joues, si je lui en voulais encore ? Oui, j’étais encore amer, mais la voir dans cet état me déstabilisait beaucoup plus que je ne l’aurai pensé et ça suffisait à faire dégager tous ces principes pour moi.       
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Re: is it too late to say that i'm sorry ...? ft KeSun | 
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