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Min Sang • We were born to shine
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Min Sang • We were born to shine | Dim 26 Aoû - 0:11 Citer EditerSupprimer
Kim Min Sang
Qui parle dans mon dos, parle à mon cul.
IDENTITY CARD |
Il parait que... C’est une vrai fashionista. Son père est un des directeurs commerciaux de Gucci et il a souvent le droit à quelques exclusivités de la marque. • De manière générale son allure/look sont toujours très soignés. Que ça soit sa manière de s’habiller, de prendre soin de lui et de se maquiller. Tout doit être méticuleusement parfait. • Lowkey maniaque du contrôle et beaucoup trop tatillon. • A besoin d’avoir les dernières collections de vêtements dans son placard sinon ça ne va pas du tout. • Workholic qui ne se cache pas…. mais seulement pour ce qui l’intéresse. Les maths ? Très peu pour lui. En revanche il peut passer des journées à apprendre une chorégraphie pour qu’elle soit parfaite. • Il a déjà passé une journée sans manger parce qu’il était occupé à s'entraîner à la YG. • Il a déjà d’ailleurs passé la nuit dans les bâtiments pour pouvoir plus s'entraîner. • “Si tu ne fais pas parfaitement les choses, autant de pas les faire du tout.” Serait sa devise. Modjo qu’il applique à lui, mais surtout aux autres. • Il a attrapé le virus de la danse par sa mère - ancienne danseuse étoile - qui lui a transmit - bien qu’il n’ait vraiment eu le choix sur ça. Il a donc une formation de danse classique à la base. • C’est sa mère qui l’a forcé à passer ses auditions pour devenir trainee et futurement idol. • Il serait déjà dit qu’il serait danseur principal de son futur groupe - et probablement visuel aussi. • Il jure beaucoup trop, mais jamais devant ses parents. • Il a l’air doux et adorable, mais ce n’est qu’une apparence, il manipule le sarcasme comme personne, expert de la passivité-agressivité et des mots acides sans qu’ils ne le soient vraiment. En gros il peut t'insulter et au final, ben tu irais le remercier pour ça. • A un fond très manipulateur aussi. Il obtient toujours ce qu’il veut et sait tourner la tête des gens pour qu’ils marchent dans son sens. • A l’inverse, il a un caractère particulièrement fort et un esprit d’acier, vous ne le verrez pas faiblir… de toute façon il est beaucoup trop fier pour ça. • Il n’est pas enfant unique, il a une cadette qui s’appelle Min Ji et qui a le même don pour la danse que lui. Elle est sa fierté. • Il connaît toutes les danses de girl group par coeur. • Parle anglais… très mal, c’est à dire avec l’accent coréen le plus dégueux de l’histoire. • En revanche il parle excellemment bien le mandarin, une des rares matières où il avait de bonnes notes. • A très peu de vrais amis, mais les rares sont des gens lesquels il peut compter et des personnes pour qu’il tient en estime. • Il est particulièrement friand de potins. Mais à l’inverse, il est muet comme une tombe pour protéger les confidences de ses amis. Par contre si une bitch vient se confesser à lui on peut-être sûr que ça sera déformé, répété et amplifié. • Langue de pute sur les bords. • Fanboy de Zeus mais est jaloux car il aimerait bien débuter lui aussi. • Suit constamment un régime alimentaire très strict pour garder la santé, autant dire que manger avec lui ça peut être un vrai casse-tête. | Dis nous qui tu es ! Minnie, c’est l’exemple parfait de cet être que tu vas détester, ou adorer, mais le juste milieu. Ce n’est pas possible. A l’image de ce jeune homme qui saurait faire les choses à moitié. Tout ou rien, jamais de demie-mesure. Minsang c’est avant tout une personne qu’on remarque. Charismatique, la démarche assurée. Il est loin de faire partie des personnes introverties, très loin de là. Il est à l’aise dans toutes les situations. Il suffirait de le laisser dans un endroit inconnu pour qu’il finisse par s’y sentir à son aise. Il est sociable, il discute. Laissez-le dans une soirée remplis d’inconnus et il aura probablement sympathisé avec une partie de ceux-là, pendant que l’autre partie sera probablement en train de rager sur lui. Oui, parce que MinMin aurait tendance à avoir une personnalité…. désagréable pour le commun des mortels. Insolent, impertinent, ce n’est pas le dernier pour servir du sarcasme dès qu’il en a l’occasion. Ne flanchez pas devant lui, il s’amusera à pointer du doigt le moindre de vos défauts à appuyer aux endroits qui font bien mal. Ne tentez pas d’avoir le dernier, c’est impossible avec lui. Une conversation terminée pour lui, c’est une conversation qui se termine uniquement avec l’amertume de sa cible et rien d’autre. Il est acide, il critique, mais il le fait unique parce qu’il est lui-même un bourreau de travail, il attend juste des autrtes qu’ils soient aussi impliqués dans ce qu’ils font. Si tu le fais mal, alors autant ne rien faire du tout. Il attendra toujours de vous que vous tireriez le meilleur de vos capacités et si ce n’est pas le cas, autant passer votre chemin, vous n’êtes pas assez bien pour lui. Mais ceux qui resteront pour lui parler pourront témoigner de ses bons côtés. Car oui Min Sang n’est pas qu’une grosse bitch. Ceux qui le connaissent savent que c’est une personne passionnée. Et plus que tout il aime partager sa passion, il n’est pas rare de le voir avec Eunae ou Wenjun au building de YG pour qu’ils assistent à ses répétition. Mais plus que tout, il aime prendre soin de ses proches. Il n’a jamais reçu de réelle affection de ses parents et a toujours compensé ce déficit en couvrant d’amour ses proches. Surtout sa petite soeur Minji. Un vrai soutien, présent, à l’écoute. Le genre à vous prendre dans ses bras sans prévenir, à jouer avec vos cheveux, il montre son affection, pour ne pas dire que des fois il la montre trop. mais surtout Minnie est d’une fidélité sans failles. Ses amis ? Jamais il ne les trahira. Il est ce genre d’homme à ne pas aller voir ailleurs quand il sort avec quelqu’un. Ce n’est pas le genre à aller raconter des rumeurs sur ces quelques personnes qu’il tient en estime. Alors n’essayez pas de lui faire le coup, vous pourriez le regretter amèrement. Car si Minnie est particulièrement persévérant et obstiné, dites que c’est aussi la même chose pour la vengeance. En bref Minnie c’est quelqu’un qu’il vaut mieux l’avoir en ami, qu’en ennemi. |
Lightfury C’est toujours moi. Toujours Aude. Toujours 27 ans. Toujours étudiante en arts. Toujours ma crinière de licorne. Toujours aussi timbrée. Ne me jugez pas please. Merci.BIG FAT UWU
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Re: Min Sang • We were born to shine | Dim 26 Aoû - 0:11 Citer EditerSupprimer
It's my life...
et là une petite citation...
La douleur. J’en connaissais un rayon sur la douleur. A force de l’avoir côtoyer elle était devenue une amie très intime. J’avais observé toutes ses nuances et ses facettes. Douleur, je la connaissais comme si elle était ma propre soeur. Un membre de ma famille, une ennemie, une amante, une confidente. Autant aimée que détestée, voire même désirée pour certains. Elle qui nous faisait douloureusement nous rappeler qu’en la ressentant, on était encore en vie. Et qu’on avait encore les tripes pour se battre. Ne plus ressentir de douleur, c’était probablement être mort à l’intérieur. Mais si on en croyaient certains, je faisais partie de ces gens morts en leur for intérieur. Ne faites pas genre. Je savais très bien ce que les gens disaient de moi. Les potins, les rumeurs, j’en avais probablement propagé une très grosse partie. Alors je savais très comment fonctionnait ce milieu de langues de putes et des coups de couteaux dans le dos. Je savais très bien que la plupart des gens disaient que rien ne pouvait m’atteindre. Que la vie m’avait épargné, moi petit prince sur son piédestal. Probablement pistonné dans le fond. Celui qui n’avait jamais dû se battre pour en arriver là où j’en étais à l’heure actuelle. Qu’ils racontent. Je me fichais bien de tout ce qu’ils pouvaient cracher, ils n’étaient pas importants. Des grains de sable perdus dans une immensité, masse difforme de populace ignare. Seul moi savais comme j’avais laissé de la sueur et du sang pour grimper sur ce piédestal. Personne ne m’avait fait la courte échelle, j’y étais arrivé uniquement à la force de mes bras et rien ne garantissait que cette position ne pouvait pas s'effondrer à tout instant. Un jeu dangereux, un résultat qui en valait la chandelle n’est-ce pas ? Des heures de travail acharné qui ne finiraient pas dans l’oubli.
Les dernières notes de la musiques finirent par s’achever. Je me stoppais au sol, respiration et une légère pellicule de sueur qui couvrait mon front. Quelques secondes après la musique repris au début. Mais je restais au sol, cherchant à retrouver mon souffle. Cela faisait combien de temps que je répétais cette chorégraphie au juste ? Je n’en savais foutrement rien, la seule chose que je savais, c’était que je la répétais depuis assez longtemps pour perdre la notion du temps et je n’avais rien dans la salle de répétition qui me permettait de m’indiquer l’heure. Doucement je finis par me lever pour me diriger vers mon téléphone qui continuait de cracher les notes de musique par le biais d’une enceinte bluetooth. J’attrapai une bouteille d’eau de mon sac de sport tout en mettant pause sur la lecture en cours. J’en profitais en même temps pour regarder si je n’avais pas reçu de messages. Moultes notifications sur mes réseaux sociaux, habituel. Un message de Junnie qui ne manqua pas de m’arracher un sourire amusé, et un autre de Minji. Mon sourire se fit plus tendre, ah ces deux bébés ! Qu’est-ce que je ferai sans eux ? Je me désaltérais tout en lisant le contenu de ces deux sms quand je me rendis compte de l’heure qu’il était. Oh putain ! Je serrai les dents. Chié, j’avais encore zappé de manger en plus. Je soupirais avant d’attraper une barre énergétique que j’avais foutu dans mon sac avant de partir histoire de - non parce que j’avais pas forcément envie de m'évanouir. Putain, je faisais quoi ? Il était trop tard pour retourner à la fraternité, donc j’évinsai cette idée. Rentrer dans la maison familiale ? Non impossible. A tous les coups les parents allaient même pas m’ouvrir. Je soupirais longuement. Ma relation avec mes parents. Le plus gros problème de ma vie. Sous cette image qui semblait parfaite, famille unie, tout ça n’était que façade et mensonge. Cela faisait longtemps qu’il n’y avait pas eu d’affection dans cette famille. Ou du moins y’en avait-il eu une fois seulement ? Probablement pas. Preuve était que je vivais dans les rêves que ma mère n’avait pas pu achever. Impossible d’être idole quand sa famille avait fait pression pour qu’elle devienne une danseuse étoile. Des fois j’avais ce sentiment que je n’avais été mis au monde que pour satisfaire ce besoin inassouvi de ma mère. Et ça me rendait malade. Pas d’affection. Rien du tout. Pas d’histoires lues au coin du lit ou de câlins réconfortants après un cauchemar. Que dalle. Toujours cette froideur, cette distance. Naturellement quand ma soeur cadette était venue au monde, je l’avais couverte d’attention, d’amour. Tout ce que je n’avais pas eu, tout ce qu’elle n’aurait pas. Nous étions devenus inséparables. En revanche le manque d’attention était comblé par les coups de cannes que notre mère avaient pu nous donner. Un pas mouvement raté ? Un coup de canne. Et quelle canne de merde. Maltraités ? Non disciplinés selon elle. Et qui pouvait voir les bleus à l’arrière de nos jambes. Pour nos parents, il n’y avait que la réussite qui comptait. Le reste n’avait pas d’importance. Réussir, briller en société, être parfait. Réussie et tu méritais l’heure attention. Rate et tu devenais la pire des merdes. Encore aujourd’hui je frissonais en passant dans cette maison où la gloire était si importante qu’elle aurait pu devenir une religion. Je n’aimais pas aller à la maison. Ce foyer froid me rebutait. Mais pourtant je continuais de venir, pour deux raisons principales: ma soeur et le fait que je ne voulais pas que les parents me coupent les vivres -et clairement c’était impossible pour moi-, alors il fallait continuer à sauver cette image de famille parfaite, unie. Les apparences toujours les apparences.
Foutues apparences. Je soupirais une seconde fois avant de retirer mes chaussures et de les balancer dans un coin, rapidement suivi par mes chaussettes. Je finis par sortir mes chaussons de danses, parfaitement adaptés à mon pied. La danse hiphop était peut-être ce que je pratiquais le plus à l’heure actuelle, mais ma formation classique restait profondément ancrés en moi. Je ne pourrai pas m’en séparer, je le savais. Ca resterait toujours gravé en moi, mes terreurs d’enfance, mes colères, tout ce que j’avais subi…. mais aussi mon moyen d’exprimer tout ça. Parler sans mots, juste par son corps. Être libre. Je lançai une nouvelle musique. Pas de musique synthétique, ma un orchestre classique. Le piano, les instruments à cordes. Encore un son qui m’habitait. Une chorégraphie qui était inscrite en moi dans l’encre noire, dans chaque de mes cellules. Claquée à l’arrière de mes mollets par cette terrible canne. Elle était devenue comme une seconde nature. Mon corps s’expriment alors même que je ne pensais plus à mes mouvements. Fermé dans ma bulle, rien ne semblait m’atteindre. J’étais loin dans cet univers qui n’appartenait qu’à moi. Mais je n’eus pas eu le temps de venir à la fin de chorégraphie que les notes classique se stoppèrent et furent remplacées par celle de ma sonnerie de téléphone. En cessant net de bouger, je lâchai un gros: Merde, qui résonna dans toute la pièce. Je me redressai et couru jusqu’à mon téléphone en triple vitesse. Je déconnectai rapidement l’enceinte qui continuait de sonner et décrochai mon téléphone. J’eus un grand sourire alors que je reconnus la voix d’Eunae. C’est vrai que je n’étais pas au dortoir Gumiho et elle avait dû s'inquiéter, décidément c’était un amour comme on en faisait plus dans ce monde. Eunnie chérie, je suis vivant ne t’inquiète pas. Je répétais une choré chez Daddy YG. En disant cela je ne pus m’empêcher de pouffer de rire. Bien sûr que je répète ENCORE, on devient pas aussi parfait que moi en ne versant pas un peu sueur ma chérie. Tout en disant cela j’avais sorti une serviette pour m’éponger le front. T’inquiète pas ma belle, je vais dormir en dehors de Yonsei ce soir, je vais m’arranger. Tu sais que je suis plein de ressource. Je souris légèrement j’adorais Eunnie, il n’y avait pas plus adorable que cette princesse. Et il était clair qu’en temps que prince, je méritais d’avoir une princesse comme amie… Oui non parce que désolée, je préférais coucher avec d’autres prince moi. Mais au moins, son appel m’avait donné du baume au coeur. Quelqu’un s’était inquiété pour moi. Je souris légèrement avant de lui souhaiter bonne nuit… oui après tout, ce n’était pas encore maintenant que j’allais me coucher moi. Le sommeil attendrait un autre jour.
Les dernières notes de la musiques finirent par s’achever. Je me stoppais au sol, respiration et une légère pellicule de sueur qui couvrait mon front. Quelques secondes après la musique repris au début. Mais je restais au sol, cherchant à retrouver mon souffle. Cela faisait combien de temps que je répétais cette chorégraphie au juste ? Je n’en savais foutrement rien, la seule chose que je savais, c’était que je la répétais depuis assez longtemps pour perdre la notion du temps et je n’avais rien dans la salle de répétition qui me permettait de m’indiquer l’heure. Doucement je finis par me lever pour me diriger vers mon téléphone qui continuait de cracher les notes de musique par le biais d’une enceinte bluetooth. J’attrapai une bouteille d’eau de mon sac de sport tout en mettant pause sur la lecture en cours. J’en profitais en même temps pour regarder si je n’avais pas reçu de messages. Moultes notifications sur mes réseaux sociaux, habituel. Un message de Junnie qui ne manqua pas de m’arracher un sourire amusé, et un autre de Minji. Mon sourire se fit plus tendre, ah ces deux bébés ! Qu’est-ce que je ferai sans eux ? Je me désaltérais tout en lisant le contenu de ces deux sms quand je me rendis compte de l’heure qu’il était. Oh putain ! Je serrai les dents. Chié, j’avais encore zappé de manger en plus. Je soupirais avant d’attraper une barre énergétique que j’avais foutu dans mon sac avant de partir histoire de - non parce que j’avais pas forcément envie de m'évanouir. Putain, je faisais quoi ? Il était trop tard pour retourner à la fraternité, donc j’évinsai cette idée. Rentrer dans la maison familiale ? Non impossible. A tous les coups les parents allaient même pas m’ouvrir. Je soupirais longuement. Ma relation avec mes parents. Le plus gros problème de ma vie. Sous cette image qui semblait parfaite, famille unie, tout ça n’était que façade et mensonge. Cela faisait longtemps qu’il n’y avait pas eu d’affection dans cette famille. Ou du moins y’en avait-il eu une fois seulement ? Probablement pas. Preuve était que je vivais dans les rêves que ma mère n’avait pas pu achever. Impossible d’être idole quand sa famille avait fait pression pour qu’elle devienne une danseuse étoile. Des fois j’avais ce sentiment que je n’avais été mis au monde que pour satisfaire ce besoin inassouvi de ma mère. Et ça me rendait malade. Pas d’affection. Rien du tout. Pas d’histoires lues au coin du lit ou de câlins réconfortants après un cauchemar. Que dalle. Toujours cette froideur, cette distance. Naturellement quand ma soeur cadette était venue au monde, je l’avais couverte d’attention, d’amour. Tout ce que je n’avais pas eu, tout ce qu’elle n’aurait pas. Nous étions devenus inséparables. En revanche le manque d’attention était comblé par les coups de cannes que notre mère avaient pu nous donner. Un pas mouvement raté ? Un coup de canne. Et quelle canne de merde. Maltraités ? Non disciplinés selon elle. Et qui pouvait voir les bleus à l’arrière de nos jambes. Pour nos parents, il n’y avait que la réussite qui comptait. Le reste n’avait pas d’importance. Réussir, briller en société, être parfait. Réussie et tu méritais l’heure attention. Rate et tu devenais la pire des merdes. Encore aujourd’hui je frissonais en passant dans cette maison où la gloire était si importante qu’elle aurait pu devenir une religion. Je n’aimais pas aller à la maison. Ce foyer froid me rebutait. Mais pourtant je continuais de venir, pour deux raisons principales: ma soeur et le fait que je ne voulais pas que les parents me coupent les vivres -et clairement c’était impossible pour moi-, alors il fallait continuer à sauver cette image de famille parfaite, unie. Les apparences toujours les apparences.
Foutues apparences. Je soupirais une seconde fois avant de retirer mes chaussures et de les balancer dans un coin, rapidement suivi par mes chaussettes. Je finis par sortir mes chaussons de danses, parfaitement adaptés à mon pied. La danse hiphop était peut-être ce que je pratiquais le plus à l’heure actuelle, mais ma formation classique restait profondément ancrés en moi. Je ne pourrai pas m’en séparer, je le savais. Ca resterait toujours gravé en moi, mes terreurs d’enfance, mes colères, tout ce que j’avais subi…. mais aussi mon moyen d’exprimer tout ça. Parler sans mots, juste par son corps. Être libre. Je lançai une nouvelle musique. Pas de musique synthétique, ma un orchestre classique. Le piano, les instruments à cordes. Encore un son qui m’habitait. Une chorégraphie qui était inscrite en moi dans l’encre noire, dans chaque de mes cellules. Claquée à l’arrière de mes mollets par cette terrible canne. Elle était devenue comme une seconde nature. Mon corps s’expriment alors même que je ne pensais plus à mes mouvements. Fermé dans ma bulle, rien ne semblait m’atteindre. J’étais loin dans cet univers qui n’appartenait qu’à moi. Mais je n’eus pas eu le temps de venir à la fin de chorégraphie que les notes classique se stoppèrent et furent remplacées par celle de ma sonnerie de téléphone. En cessant net de bouger, je lâchai un gros: Merde, qui résonna dans toute la pièce. Je me redressai et couru jusqu’à mon téléphone en triple vitesse. Je déconnectai rapidement l’enceinte qui continuait de sonner et décrochai mon téléphone. J’eus un grand sourire alors que je reconnus la voix d’Eunae. C’est vrai que je n’étais pas au dortoir Gumiho et elle avait dû s'inquiéter, décidément c’était un amour comme on en faisait plus dans ce monde. Eunnie chérie, je suis vivant ne t’inquiète pas. Je répétais une choré chez Daddy YG. En disant cela je ne pus m’empêcher de pouffer de rire. Bien sûr que je répète ENCORE, on devient pas aussi parfait que moi en ne versant pas un peu sueur ma chérie. Tout en disant cela j’avais sorti une serviette pour m’éponger le front. T’inquiète pas ma belle, je vais dormir en dehors de Yonsei ce soir, je vais m’arranger. Tu sais que je suis plein de ressource. Je souris légèrement j’adorais Eunnie, il n’y avait pas plus adorable que cette princesse. Et il était clair qu’en temps que prince, je méritais d’avoir une princesse comme amie… Oui non parce que désolée, je préférais coucher avec d’autres prince moi. Mais au moins, son appel m’avait donné du baume au coeur. Quelqu’un s’était inquiété pour moi. Je souris légèrement avant de lui souhaiter bonne nuit… oui après tout, ce n’était pas encore maintenant que j’allais me coucher moi. Le sommeil attendrait un autre jour.
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Re: Min Sang • We were born to shine | Dim 26 Aoû - 0:16 Citer EditerSupprimer
PREMS PCQ JSUIS LA QUEEN
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Re: Min Sang • We were born to shine | Dim 26 Aoû - 0:23 Citer EditerSupprimer
Mais quel baby chou adorable que voilà je suis toute émue
BBPHOQUE IS HERE
BBPHOQUE IS HERE
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Re: Min Sang • We were born to shine | Dim 26 Aoû - 0:35 Citer EditerSupprimer
oooh qu'il est mignon lui
cc toi
cc toi
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Re: Min Sang • We were born to shine | Dim 26 Aoû - 0:51 Citer EditerSupprimer
Je vous tous très forts
Et je m'autovalide
Coucou toi et bienvenue chez les gumiho !
Si tu lis ce message de love c'est que ta fiche m'a fait tourner dans le vide . Ta première mission, si tu l'acceptes, c'est dePOSTER TON ACTIVITÉ RP afin que l'on puisse bien s'assurer que tu bootyshakes avec nous suffisamment régulièrement, sinon on risque de se sentir trop paro sans toi... Ensuite t'auras le droit d'aller te chercher quelques potos ICI mais n'attends pas que les gens viennent te proposer de faire boum boum boum. Si tu viens à eux c'est encore mieux ! Vaut mieux que tu passes PAR LÀ aussi, c'est pour ton bien ! Et tu peux aussi nous montrer ta vie sur ton GNS avec les photos que t'as prises sur ton TÉLÉPHONE trop stylé. Et si t'es trop timide pour demander le numéro du canon qui était juste en face de toi en cours, tu peux le faire anonymement sur TWITTER ! Maintenant que t'es en règle, tu peux aller FLOODER comme le fifou que tu es ♡
Et je m'autovalide
Ta fiche est validée !
Si tu lis ce message de love c'est que ta fiche m'a fait tourner dans le vide . Ta première mission, si tu l'acceptes, c'est de
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Re: Min Sang • We were born to shine | Dim 26 Aoû - 1:10 Citer EditerSupprimer
Cassez vous il est à moi
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