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Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥
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Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 0:39 Citer EditerSupprimer
Wu Guo Wei
sick of playing at hide and seek
IDENTITY CARD |
Il parait que... Guowei est à la recherche de son petit frère vendu par manque d'argent ↝ Il a fait la promesse à sa mère malade de retrouver ce second fils qu'elle a du abandonner faute de pouvoir payer l'amende et la taxe d'avoir mis au monde un deuxième enfant ... ↝ Il a toujours aimé l'aviation, il n'a pourtant jamais voulu être pilote, mais stewart semble être un très bon compromis. Sociable et chaleureux, il aime le contact avec les gens et adore plus que tout voyager. ↝ Guo assume clairement sa bisexualité et se dit que le monde est bien trop vaste pour se contenter de n'en goûter qu'une partie ↝ On ne compte plus ses conquêtes bien qu'il reste un amant respectueux et un ami fidèle ↝ Il collectionne les bouteilles de coca, celles avec des styles différents. Ca a commencé avec les bouteilles Jean Paul Gauthier ↝ Il fait des mixetapes et quelques sons de rap qu'il post sur son soundcloud. Il s'est d'ailleurs fait une petite communauté de fans fidèles. Il ne dévoile cependant jamais son identité, ni son visage, se faisant connaitre sous le pseudo de Razy ↝ Il dort souvent avec un vieux linge qu'il a depuis sa naissance. (ok, appelez ça un doudou si tu veux, lui vous dira qu'il s'agit juste... d'un tissu.) ↝ Il est tatoué sur les bras. ↝ Il raffole des soirées ciné, qu'elles soient improvisées dans son salon, ou dans une salle de cinéma. ↝ Il a une très forte allergie aux fruits exotique alors qu'il adorait ça plus jeune, mais après avoir faillit en mourir, il préfère s'en passer. ↝ Il aime particulièrement le sexe, bien qu'il puisse s'en passer. ↝ Il fait régulièrement du jogging pour se maintenir en forme ↝ Il ne s'endort que sur le ventre, il n'a jamais réussi à trouver le sommeil dans d'autres positions bien qu'il puisse se tourner dans la nuit. | Dis nous qui tu es ! Guowei est quelqu'un de naturellement charmant. Pourtant, il n'en profite pas vraiment de manière volontaire en général. Le jeune chinois est plutôt un être cérébral qui préfère convaincre par son intellect plutôt que séduire par ses paroles ou son attitude, bien qu’il lui arrive de lier les deux. Guowei n'aime pas trop parler de lui-même, ce qui renforce la part de mystère dans sa personnalité, d’autant plus qu’il garde lui quelques secrets qu’il se refuse de dévoiler. Autant pour mener à bien sa promesse que pour protéger son identité et sa situation illégale. Guowei est également un leader en puissance, un homme né pour mener et pour décider. Il n'apprécie donc que très peu les situations où il n'est que simple exécutant. Il peine grandement à tenir ses petits boulots en simple subalterne à qui on manque souvent cruellement de respect. Mais le jeune homme sait prendre sur lui car il sait qu’il cherche quelque chose de plus important que son intégrité et son égo. Bien qu'il n'apprécie guère les contraintes, il ne fuira jamais ses responsabilités. Il fait preuve d'une énergie et d'une endurance remarquable et ceux le plus souvent dans la bonne humeur. Guowei est avant tout curieux, et on apprend énormément en sa compagnie, il n’étale jamais sa science de façon présomptueuse mais a toujours une anecdote à raconter. L'intellect et la culture l'accompagnent bien souvent. On ne cessera de s'enrichir aux côtés de cet être fascinant et créatif. Bien qu’il soit sociable et que discuter avec lui semble chose aisée, il n’en reste pas moins difficile de le connaitre. Alors pour en apprendre plus sur lui, il faudra percer son armure et révéler le sentimental qui sommeille en lui. Au-delà de cette part de mystère que Guowei entretient malgré lui, le jeune homme est un aventurier. Chaque jour, il se lève espérant que sa journée ne sera faite que de surprises. Enthousiaste, il sait communiquer à son entourage sa joie de vivre. Gai, un peu insaisissable, il apportera un peu de bonheur à son entourage. D’un soutien sans faille pour ses proches, il mettra un point d’honneur à leur transmettre son courage et sa motivation. D’un naturel chaleureux il affichera un sourire sans faille et ne se plaindra que très rarement. Son goût prononcé pour les voyages et l’aventure, le pousse le plus souvent à parcourir le monde, notamment grâce à son métier de Stewart qu’il a dû mettre de côté pour venir retrouver son petit frère. La liberté lui étant vitale, Guowei a su cultiver son indépendance et acquérir son autonomie dès son plus jeune âge. Guowei, de nature sensible et romantique, a fortement besoin d'affection et d'attaches. Il accorde beaucoup d'importance aux valeurs familiales et se retrouve capable de se dévouer entièrement par amour. Guo est une âme sensible et curieuse, d’un calme apparent, de ce qu’on considère comme une force tranquille. Guowei est un être dotée d’une patience limité et lors de conflits aura d’abord tendance à se renfermer sur lui-même et afficher un mutisme agaçant avant de peser ses mots et de communiquer avec les autres. Il lui faudra apprendre patience et empathie pour que son histoire fonctionne pleinement … |
Poupou Coucou c'est poupou :harhar: KESTUVAFER En plus aujourd'hui j'ai le droit c'est mon anniversaire
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Re: Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 0:40 Citer EditerSupprimer
It's my life...
et là une petite citation...
« Guowei … voici ton petit frère. Yibo. » Souffle son père avec une fierté qu’il avait du mal à dissimuler. Yibo venait à peine de naitre et hurlait à plein poumon sa soif de vivre. Guo fixait ce bébé avec un mélange d’appréhension et de fascination. « C’est mon petit frère ! » souffle-t-il osant à peine toucher ce bébé si menu et déjà si bruyant. « Mais … il va crier comme ça tout le temps ? » demande-t-il avec une innocence teinté d’une crainte qui arrache un rire à son père qui secoue la tête tout en lui disant « Que si tu ne t’occupes pas de lui … mais pour aujourd’hui je vais m’en occuper. Tu es le grand frère maintenant … » Parce qu’il était important pour ce père de famille que son aîné comprenne la force qui le liait à ce bébé. Un frère était une chose bien rare dans leur pays, un luxe qu’il ne pouvait malheureusement pas se payer, mais un risque qu’ils avaient pris … Alors Monsieur Wu tenait absolument à ce que Guowei puisse protéger son frère contre tous les périples qu’ils pourront protéger et du haut de ses 5 ans le jeune garçon avait acquiescé sans réellement saisir tout ce que cela impliquerait, mais il était d’accord. D’accord pour protéger son frère, d’accord pour l’aider à grandir, d’accord pour le faire rire, d’accord pour le nourrir, d’accord pour le bercer … d’accord, d’accord pour tout à commencer par partager sa chambre, ses vêtements. D’accord pour lui faire une place dans son univers. Guowei était un petit garçon plein d’énergie, curieux et remplie d’une joie de vivre contagieuse.
Encore aujourd’hui il n’arrivait toujours pas à pardonner ses parents mais comprends leur choix. Sait qu’ils n’auraient pas supporté de vivre dans la pauvreté avec ces deux enfants qui souffraient malgré leur complicité … mais il n’arrivait toujours pas à supporter l’absence de Yibo et dès qu’il eut 18 ans il se mit en quête de parcourir le monde pour retrouver cet enfant qui devait très certainement avoir besoin de lui. Il avait promis de toujours veillé sur lui. Ce n’est pas ce qu’il avait fait. Il avait finalement atterrit chez une tante en Angleterre où il avait passé son concours de Stewart, bien moins difficile que celui de pilote, ce qui lui permettrait de voler de pays en pays et de trouver un moyen de retrouver Yibo. Malgré les années qui passent et ses impasses, Guowei ne se décourage pas. Avec cette seule photo qu’il avait de son frère du haut de ses trois ans il parcourt les villages, les villes susceptibles de lui donner des indices. Et il montre ce visage enfantin à qui veut le voir pour être sûr de ne manquer aucune occasion de retrouver son petit frère.
Ils avaient repris le cours de leur vie, quand on les questionnait sur ce nouveau-né il n’était que fils de ma sœur … comme répétait si souvent sa mère, à tel point que parfois Guowei finissait par la croire, tout du moins il aurait pu s’il n’avait pas vu ce ventre arrondie qu’il avait si souvent embrassé et touché quand sa mère ne le cachait pas. Et de tous les souvenirs qu’il il avait réussi à garder, Guowei n’avait jamais pu oublier ce jour de pluie. Le jeune garçon à peine 5 ans, peut-être 6 ans, son père avait débarqué en courant dans le couloir en annonçant que la police fouillait les maisons. Ils avaient rapidement caché les vêtements de bébés de Yibo qui n’en avait, fort heureusement pour le moment, fort peu. D’un geste habituelle la mère se précipite pour placer Yibo dans une malle qu’ils avaient insonorisée pour l’occasion mais son mari l’arrête, l’air aussi coupable qu’inquiet à l’idée qu’on puisse retourner cette malle et trouver leur fils âgé de quelques mois. L’idée n’avait fait qu’un tour dans sa tête et dans un élan presque grotesque pour la survie de son enfant il avait placé Yibo dans les bras de Guowei en lui soufflant « tu cours … tu cours aussi loin que tu peux et tu te caches … »
Guowei se souvient encore de l’expression sur le visage de son père et la façon qu’il avait de parler vite, le poussant déjà vers l’arrière cours de leur maison. « Guowei j’ai besoin que tu écoutes papa et que tu comprennes … si on te trouve on te prendra ton petit frère … tu n’as pas envie que quelqu’un te vole Yibo pas vrai ? » Guo secoue la tête les larmes aux yeux et serre le bébé endormi dans ces bras. Ce bébé plus précieux que tous les trésors du monde. « Alors cours mon fils … cours sans jamais t’arrêter et trouve la meilleure cachette que tu n’aies jamais trouvé … » Oh ça oui, ils avaient si souvent joué à cache-cache et Guo se vantait de toujours de ne jamais être trouvé … « Cours ! » répète-t-il comme s’il était soudain fâché, remplie de colère et pousse son fils ainée dans la ruelle où une pluie torrentielle s’abattait sur la ville comme depuis deux jours.
Il faut l’avouer, à cet instant il n’était pas certain de revoir aucun de ses fils.
Alors Guowei avait couru. Plus vite encore que ses petites jambes ne le permettaient. Il avait couru, grimpé, il avait glissé parfois, mais s’écorchait toujours les genoux pour tenir fermement entre ses bras son petit frère. Il avait quitté la ville discrètement pour s’enfoncer dans la campagne qui longeait les vieilles maisons. Il avait peur, si peur qu’on lui vole son précieux trésor. Il n’avait pas eu le temps de pleurer, il devait courir, courir jusqu’à ce que sa poitrine le brûle. Sans but, si ce n’est celui qu’on ne le trouve jamais … Il ne savait pas ce qu’il devait faire, s’il devait attendre qu’on le trouve, ou s’il devait rentrer … Alors il avait tout simplement couru, couru plus vite, plus loin. Jusqu’à tomber de fatigue et s’écrouler au détour d’une vieille bâtisse. « Pleure pas dìdì ... » gémit-il entre deux souffles, « Je te porterais jusqu’au bout du monde ... » assure-t-il en caressant la tête du bébé. Guowei se mit à ramper pour se mettre à l’abri, sa tête lui tournait, ses yeux voyaient flou et pourtant ses bras ne se détachaient jamais de ce colis qu’on lui avait confié. Il suffoque, prend du temps pour retrouver son souffle et berce maladroitement son petit frère qui s’était mis à pleurer contrarié de cette course effrénée et inattendu. Guowei lui avait supplié de ce taire, mais le bébé hurlait à plein poumon … Guo réfléchissait, il était le grand frère … Yibo ne pleurait que parce qu’il ne s’occupait pas de lui correctement … alors le plus vieux glisse dans la bouche du bébé son doigt que le jeune frère se met à téter avidement. « Tu as faim. » souffle-t-il effaré en reconnaissant les signes après les avoir tant vu faire par sa mère. Il n’avait rien à lui donné … rien qui puisse nourrir le bébé. Il l’avait alors bercé, il avait chanté, il avait glissé son doigt dans la bouche de Yibo chaque fois qu’il se mettait à pleurer. On ne doit jamais te trouver, ou on te volera ton frère. Ce n’est pas ce que tu veux, pas vrai ? Non bien sûr que non ! Mais c’était dur d’être un grand frère du haut de ses quelques années de vie …
Le bébé avait hurlé pendant des heures et des heures avant de s’endormir épuisé. Ce n’est qu’à la tombée de la nuit que son père réussit enfin à les trouver … Guowei qui s’était imaginer courir des kilomètres et des kilomètres avait finalement trouvé refuge à la sortie de la ville, dans cette vieille ferme devant laquelle son père passait tous les jours pour aller travailler. Dès l’instant où il avait entendu les voix et vu la lumière, le jeune garçon s’était faufilé entre les tonneaux. Il s’était tu, serrant contre lui ce bébé qu’il protégerait de ses petits poings s’il le fallait. Il ne sortit pas, pas même en entendant la voix de son père, bien trop inquiet qu’on puisse lui faire un mauvais tour. Son père avait cherché, et cherché, suivant les traces bien trop visibles laissées par son ainé. Il l’avait finalement sorti et après un soupir de soulagement attire ses garçons contre lui, les mains tremblantes et la gorge sèche. Après un sursaut et la peur collée au ventre Guowei lâche un long sanglot avant de sauter au cou de son père. L’enfant effrayé, effrayé d’avoir été découvert puis soulagé de voir qu’il s’agissait de son père sentit que la pression sur ses frêles épaules se relâcher d’un coup. Il pleura si longtemps contre son père qu’il ne sentit pas sa mère lui retirer son petit frère – avec difficulté tant les doigts tétanisé de Guowei sur le tissu refusait de se déplier – et mis plusieurs dizaines de minutes avant de pouvoir se calmer. Son père lui avait parlé d’une voix douce et rassurante tout le temps du trajet retour … marchant vers un avenir incertain …
Guowei avait mis plusieurs semaines à se remettre du choc, il refusait de se séparer de Yibo craignant qu’il ne disparaisse. Peu de temps avant ses 7 ans Guo débarqua dans la cuisine de sa petite maison en hurlant « IL MARCHE ! » comme s’il n’avait finalement attendu que ça pour pouvoir pleinement jouer avec son petit frère. L’amour qu’il portait à Yibo n’avait d’égal que l’amour que ses parents leur portaient. Il passait le plus claire de son temps à jouer avec lui, à lui parler. Il lui apprenait la lecture, lui montrait des images pour lui apprendre les animaux, les objets. Il le faisait jouer avec la vie et tout ce qui les entouraient. Il savait Guo que son petit frère n’aurait le droit de ne vivre que s’il restait ignorant et ignoré du reste du monde et c’était une peine si lourde qu’il portait dans son cœur qu’il se refusait de laisser Yibo ainsi traité. Alors tout le savoir qu’il avait pu retenir il lui transmettait. Marcher, courir, compter, lire, parler … Guowei s’évertuait de tout apprendre à son frère malgré son jeune âge. Plus encore malgré l’âge de Yibo. Partout où Guowei se trouvait, il y avait son ombre. Alors quand Yibo se faisait mal Guowei était le premier à intervenir. Il le soignait et le consolait. Il l’aimait plus encore qu’on le lui avait demandé.
Alors quand ses parents lui ont annoncé, peu avant ses 9 ans que Yibo, atteignant bientôt ses 3 ans et parlant beaucoup trop bien, qu’il faudrait l’envoyer chez une tante Guowei s’y était fermement opposé. Pleurant des nuits entières pour supplier ses parents de les laisser ensemble. Il ne comprenait ni l’enjeu de la situation, ni la vérité qui se tramait réellement. Et un matin qu’il se réveillait comme tous les matins il avait aperçu le lit vide de son frère. Il avait compris, il ne restait que son linge blanc dans lequel ses parents emmaillotaient Yibo bébé. Il s’était précipité dehors mais c’était déjà trop tard. Quel coup de traite, quel éclat de colère dans le regard de cet enfant ravagé de chagrin. Il s’était effondré et avait refusé de se nourrir et de sortir de sa chambre des jours entiers. Puis il avait supplié, supplié et crié, il avait menacé et insulté ses parents qui refusaient de l’emmener chez cette tante. C’est ce soir-là que Guowei avait reçu sa première et dernière gifle de la part de son père. Mais la situation était claire, on ne parlerait plus de Yibo. Plus jamais.
Quand Guowei eu 12 ans il tenta de faire plusieurs fugues, tentant de fouiller n’importe où pour dénicher l’adresse de cette tante. Il lui était impossible de comprendre, de trouver. Ce n’est qu’à l’aube de ses 13 ans que ses parents finirent par lui dire la vérité. Yibo avait été vendu pour lui offrir un avenir meilleur. Guowei avait mis de longues semaines, mois, à comprendre.
Encore aujourd’hui il n’arrivait toujours pas à pardonner ses parents mais comprends leur choix. Sait qu’ils n’auraient pas supporté de vivre dans la pauvreté avec ces deux enfants qui souffraient malgré leur complicité … mais il n’arrivait toujours pas à supporter l’absence de Yibo et dès qu’il eut 18 ans il se mit en quête de parcourir le monde pour retrouver cet enfant qui devait très certainement avoir besoin de lui. Il avait promis de toujours veillé sur lui. Ce n’est pas ce qu’il avait fait. Il avait finalement atterrit chez une tante en Angleterre où il avait passé son concours de Stewart, bien moins difficile que celui de pilote, ce qui lui permettrait de voler de pays en pays et de trouver un moyen de retrouver Yibo. Malgré les années qui passent et ses impasses, Guowei ne se décourage pas. Avec cette seule photo qu’il avait de son frère du haut de ses trois ans il parcourt les villages, les villes susceptibles de lui donner des indices. Et il montre ce visage enfantin à qui veut le voir pour être sûr de ne manquer aucune occasion de retrouver son petit frère.
Ce n’est qu’après de longues recherches et une très longue discussion avec ses parents que Guo foule le sol coréen à 27 ans pour retrouver Yibo. Il avait promis à sa mère de lui ramener son fils avant qu’elle ne pousse son dernier soupire. Et s’il n’a pas revu ses parents depuis plus d’un an, c’est parce qu’il consacre son temps et son énergie à sillonner les rues à la recherche de cet enfant … il ne sait même pas s’il est en vie, s’il souhaite même être retrouvé mais … Guo ne peut abandonner tant qu’il ne sera pas certain qu’au moins pour son frère … ça va.
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Re: Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 0:40 Citer EditerSupprimer
MON HOMME.
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Re: Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 0:41 Citer EditerSupprimer
MON FRÈRE.
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Re: Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 0:41 Citer EditerSupprimer
Coucou toi :tentate: :tentate: :tentate:
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Re: Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 0:42 Citer EditerSupprimer
MON BB. JE TAIME DAMOUR. :pixi: :blink: :sunmi: :inu: :pixi: :blink: :sunmi: :inu: :pixi: :blink: :sunmi: :inu: :pixi: :blink: :sunmi: :inu: :pixi: :blink: :sunmi: :inu: :pixi: :blink: :sunmi: :inu: :pixi: :blink: :sunmi: :inu: VIENS LA QUE JE TE FASSE LAMOUR .... ah bah non .... :guh: :nawei: ANYWAY JE TAIME NO MATTER WHAT
MON FRERE. ATTENDS MOI DORA MAMMENE A TOI. TOO MUCH INFO JE TAIME PTN. PETIT FRERE TT
MON ... SALUT
MON FRERE. ATTENDS MOI DORA MAMMENE A TOI. TOO MUCH INFO JE TAIME PTN. PETIT FRERE TT
MON ... SALUT
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Re: Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 0:48 Citer EditerSupprimer
À la place de faire l'amour je peux éventuellement te proposer une petite bise sensuelle (pardon je t'aime MDRRRRRRRHJETGUIKRJDN)
ET TON PETIT FRÈRE T'ATTEND YIDA DE MA VIE
- ta carotte est là :
À la place de faire l'amour je peux éventuellement te proposer une petite bise sensuelle (pardon je t'aime MDRRRRRRRHJETGUIKRJDN)
ET TON PETIT FRÈRE T'ATTEND YIDA DE MA VIE
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Re: Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 4:25 Citer EditerSupprimer
T’arrêtes avec tes avatars trop beaux là! Tu m’énerves !
Mais je t’aime et rebienvenue avec ce bébé et joyeux anniversaire mon amour
Mais je t’aime et rebienvenue avec ce bébé et joyeux anniversaire mon amour
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Re: Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 7:37 Citer EditerSupprimer
MAIS C’EST LA DÉCADENCE EN CE MOMENT
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Re: Wu Guo Wei - Elle est où ma petit carotte ? :plz: ♥ | Lun 27 Aoû - 7:40 Citer EditerSupprimer
PK T’ES AUSSI FAIBLE LA?
Ah mais c’est ton anniversaire c’est vrai
REBIENVENUE BB ET JOYEUX ANNIVERSAIRE
Ah mais c’est ton anniversaire c’est vrai
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