Everything for my baby brother ★ WenMin
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   MOVE I’M GAY, c’était un peu mon mood ce jour-là. En tout cas c’était de la manière dont j’avais débarqué au dortoir de Pyobeom. Pourquoi je débarquais tel le plus fabuleux des êtres humains ? La raison était simple, c’était que j’avais entendu quelques rumeurs. Oui, en peu de temps à Yonsei j’étais déjà arriver à être assez bien informés des potins qui couraient à travers la fac - le tout c’était de savoir s’adresser au bonnes personnes et de potentiellement se les mettre dans la poche, stratégie baby. Mais le fait était que j’avais entendu une rumeur qui avait manqué me faire sauter au plafond, et clairement pas de joie. J’avais entendu que le  petit nouveau de Pyobeom pleurait très souvent et qu’il demandait à rentrer chez lui, en Chine. La description était assez claire pour que je comprenne de qui on parlait là. Je savais bien qu’il s'agissait de Wenjun. C’était pour ça que je m’étais incrusté chez la fraternité des roses pour venir le chercher et m’occuper de lui. Quand bien même j’avais un emploi du temps chargé, je m’arrangeais toujours pour tout débloquer dès que Junnie avait le moindre soucis. Parce qu’il était mon bébé, parce qu’il était comme un petit frère pour moi. Je m’étais donc précipité vers sa chambre - parce que selon les personnes que j’avais croisé, c’était là qu’il était -, avant de toquer à la porte. N’entendant rien, je décidais de rentrer. Trouvant mon petit bébé sur son lit, je m'asseyais à ses côtés et enroula les bras autour de son petit torse  pour l’attirer contre moi. Avoue-le que j’arrive au bon moment Junnie, avais-je dit en utilisant sa langue natale. Je lui adressais un sourire rassurant tout en passant ma main dans ses cheveux pour le rassurer. Tu sais quoi ? Aujourd’hui j’ai réservé ma journée exclusivement pour toi, avais-je tout en le berçant dans mes bras comme aurait pu faire une mère avec son gamin. Alors tu prends tes affaires, je vais te payer une glace, une peluche et tout ce que tu veux. On fera tout ce que tu veux, ok Junnie ? Je vins poser une bise dans ses cheveux avant de m’éloigner de lui, tout en restant assis sur le bord de son lit. Junnie était encore un enfant et pour le sortir de cette phase de tristesse il fallait l’occuper et je comptais bien l’amener s’amuser un peu pour qu’il puisse un peu se changer les idées. Mais je savais déjà qu’en ayant parlé de sucrerie et peluche, j’avais probablement capté son attention. J’attendis sa réponse avant que nous puissions partir dans les rues de Digital City.
   

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    assis sur ton lit, tes yeux se posent instinctivement sur celui de taeyi. il est parti tôt ce matin et tu n’as encore une fois pas oser lui parler. qu’est-ce que tu lui dirais après tout ? « hey salut, je m’appelle wenjun et tu me plais » y avait meilleure technique d’approche que ça, on était d’accord. et puis surtout, t’as pas réellement la tête à lui parler. tu sais que tu risquerais de te mettre à pleurer devant lui et c’est pas la peine qu’il te voit comme un bébé. déjà que tu dois l’être à ses yeux parce que tu as un doudou. mais c’est pas ta faute, tu en as besoin pour ne pas craquer. t’essaies cependant de ne pas montrer que tu suces ton pouce. être à la fac et sucer son pouce c’est pas très bien vu. tu serais facilement moquer et ou harceler à cause de ça. du coup, tu t’enfouis souvent dans tes draps quand tu dors. ça te permet aussi d’éviter d’être surpris en train de pleurer. parce que tu pleures énormément en ce moment, plus que tu n’as jamais pleuré de toute ta vie parce que ta vie en chine te manque et surtout parce que tu ne comprends pas ce qu’on te dit ici. heureusement il y a quelques chinois que tu as croisé dans le dortoir mais tu n’es pas assez proche d’eux pour leur parler de ce qu’il ne veut pas. et il y a elle aussi, cette fille qui est entrée dans la laverie sans que tu ne t’y attendes et qui t’a bercé et aidé à te calmer. elle avait la même odeur que ta mère et ses bras étaient aussi rassurants que les siens. tu sens tes yeux s’embuer à la pensée de ta mère et tu es prêt à pleurer encore une fois si tu n’étais pas coupé dans ton élan par minsang. tu ne te rends compte de sa présence près de toi que lorsqu’il entoure ton corps de ses bras et t’attire à lui. hochant la tête à ses mots tu ne dis rien de plus. bien sûr qu’il arrive au bon moment. t’allais te mettre encore une fois à pleurer. tu essaies de sourire parce qu’il te parle dans sa langue maternelle et que ça te fait plaisir de l’entendre. tu passes tes bras dans son dos et tu le serres un peu plus contre toi alors qu’il te donne un aperçu du programme de la journée qu’il a réservé pour toi. tu sens de suite ton cœur se réchauffer et quand il s’éloigne de toi, un sourire s’est affiché sur tes lèvres. « je peux choisir n’importe quelle peluche ? n’importe quel parfum de glace ? » tu réfléchis quelques secondes avant de reprendre. « je peux avoir des bonbons aussi, s’il te plait ? » parce que toi et les bonbons c’est une grande histoire d’amour. tu adores les bonbons et tu en mangerais tout le temps si tu le pouvais. rien que de savoir ce que tu vas faire et manger, arrive à te redonner le sourire. tu es vraiment un enfant et tu ne le nies même pas.
   

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   Wenjun, c’était encore un gamin, c’était encore un bébé et qu’il soit en Corée, ben c’était dur. Je savais bien que ces parents avaient leurs raisons de l’envoyer ici, mais d’une certaine manière, c’était cruel d’envoyer un môme seul dans un pays inconnu. Junnie il avait le mal de son pays, je n’osais pas imaginer si mes parents m’avaient un truc pareil à son âge…. bon okay on n’avait qu’une année de différence, mais Junnie était plus jeune. Alors je l’attirais dans mes bras, le câlinant tendrement pour le rassurer. Je savais qu’il avait besoin d’une présence en ce moment et moi forcément, dès qu’il était dans cet état je craquais. Je n’étais pas le genre de type qui débordait d’affection, les câlins, les trucs comme ça… ben clairement, c’était pas mon délire. Je n’avais jamais eu de telles attentions au long de mon enfance, normalement, les parents les donnaient, mais pas les miens.. En fait, il n’y avait qu’avec ma cadette Min Ji que j’arrivais à montrer ce côté très tendre… et Wenjun. Je vins même doucement lui caresser la tête alors que je lui annonçais que j’avais gardé ma journée pour m’occuper exclusivement de lui et que je comptais bien l’emmener faire tout ce qu’il aimait faire. Des peluches, des glaces, tout ce qu’un gosse pouvait adorer dans le fond et je savais bien que parler sucre et peluche, c'était un moyen de redonner le sourire à mon “petit frère”. Alors que je m’écartais de lui, je pus voir un grand sourire sincère sur son visage enfantin. Qu’il était adorable ce petit. A ses questions je ne pus m’empêcher de passer affectueusement la main dans sa tignasse. Tout ce que tu veux Junnie, n’importe quelle peluche, n'importe quel parfum de glace et même des bonbons, il me vint à l’esprit pendant quelques secondes que de ce n’était pas topissime pour ses dents, mais …. et puis zut, une fois de temps en temps ça ne faisait pas de mal et puis il était trop triste en ce moment pour que je vienne plomber l’ambiance. Aujourd’hui tu es mon petit prince pour toute la journée, d’accord ? Et même que je mangerai avec toi. Je souris doucement en me levant du lit, oui bon je n’allais pas abuser non plus, parce qu’autant de sucre ça allait clairement tuer ma diet, mais bon…. au diable la diet pour aujourd’hui, je voulais surtout faire plaisir à Wenjun et puis c’était tout. Quitte à faire chauffer ma carte bancaire pour des trucs de gamins…. ouais pour une fois je n’allais pas dépenser sans compter en fringue. Tu viens Junnie ? Avais-je lancé en le regardant. Notre journée de “folie” pouvait commencer et c’était certains demain j’allais devoir passer la journée à la salle pour tout éliminer.
   

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depuis que tu es en corée, tu as souvent le mal du pays. mais récemment, tu as beaucoup pleuré, dans les bras de kelea. tu ne sais pas pourquoi c’est elle et pas quelqu’un d’autre. mais l’odeur qui se dégageait d’elle, ressemblait à celle de ta mère et tu l’as laissé faire alors que tu étais souvent effrayé et mal à l’aise avec des personnes âgées et des femmes. mais elle, c’était le contraire, elle t’avait rassuré et avait pris soin de toi. et maintenant, c’était minsang qui le faisait. t’as l’impression qu’il a un radar pour savoir quand tu allais mal ou non. ou alors il avait entendu parler du fait que tu avais pleuré. tu ne sais pas. tout ce que tu sais c’est que ton moral remonte en flèche dès l’instant où il te dit qu’il a réservé sa journée pour la passer avec toi. tu pourrais presque pleurer de joie encore plus en l’entendant parler ta langue natale. ça te fait tellement de bien parce que le coréen, tu as beau le comprendre de plus en plus et le parler de plus en plus, rien ne vaudra le fait de parler chinois. ton regard s’illumine encore plus alors que si tu pouvais étirer tes lèvres encore plus tu le ferais à ses mots. « t’es le meilleur minmin hyung. » parce que tu n’oublies pas qu’il est coréen et donc qu’il faut que tu utilises le hyung. ça ne te dérange pas du tout mais ça sonne bizarre à ton oreille mélangé à ta langue natale. tu allais avoir une peluche, une glace et même des bonbons. tu ne savais pas pour lequel des trois tu étais le plus excité. mais le fait de passer ta journée avec minsang plus tout ça, ça te donnait envie de sauter de joie et de courir partout. tu pourrais même oublier pendant quelques temps le fait que tes parents, tes chiens et ta maison te manquaient. « tu vas vraiment manger avec moi ?? » lances-tu les yeux remplis d’étoiles. parce que souvent, il n’y avait que toi qui mangeait et minsang se contentait de te regarder. mais tu n’aimais pas ça, parce que tu n’aimais pas qu’il ait l’air de se priver. toi, tu ne te privais de rien et encore moins de bonbons. c’était trop bon pour que tu n’en manges plus. tu pourrais même ne manger que ça à tout les repas. la voix de minsang te sort de tes pensées et tu poses ton regard sur le plus grand qui est déjà debout et tu hoches la tête frénétiquement. « j’arrive ! » tu replaces ton doudou sous ton oreiller pour ne pas qu’on se moque de toi si jamais quelqu’un vient dans votre chambre et ne sait pas que tu dors avec un chiffon blanc depuis ta plus tendre enfance. « merci minmin hyung. » dis-tu en le prenant dans tes bras, entourant sa taille et le serrant contre toi. tu as besoin de chaleur humaine et celle de minsang est parfaite pour le moment. « on commence par quoi ? » que tu lances, levant la tête vers lui pour que vos regards se croisent alors qu’un sourire s’affiche sur tes lèvres.

   

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Je n’arrivais pas à dissimuler mon sourire attendri dès que j’étais avec ce gosse. C’était plus fort que moi. Il était comme ce petit frère que je n’avais jamais eu, puis sans compter qu’il traversait des choses pas faciles pour lui et je savais à quel point il avait besoin d’un soutien moral. Junnie, c’était encore un gosse, un bébé. Ce n’était pas juste pour lui de se retrouver dans cette situation. Je comprenais qu’il pouvait être triste, ses parents lui en demandaient beaucoup, ils le mettaient sur un piédestal et ce n’était pas facile de rester en équilibre dans cette situation, je le savais bien. Mes parents avaient toujours des exigences très hautes me concernant moi…. et c’était pareil pour ma soeur. J'avais appris à vivre comme ça, mais je me doutais que ce n’était pas le cas de mon frère de coeur. Alors je lui proposais ce que tout gamin adorait: des bonbons, des peluches, des glaces, tout un tas de trucs pour lesquels des parents normalement constitués auraient hurlés. Sauf que je n’étais pas les parents de Wenjun. Alors je lui promettais de le laisser choisir tout ce qu’il voulait manger. Il avait le choix aujourd’hui parce que je comptais bien tout faire pour qu’il soit heureux. Au moins pendant un journée il penserait à autre chose qu’à la mélancolie qui le minait le moral. Et visiblement ça marchait du tonnerre, surtout vu sa réaction. Même qu’il m’avait appelé hyung, et c’était tellement adorable quand il disait ça dans sa langue natale. Je lui avais même dit qu’aujourd’hui, j’allais manger toutes ces sucreries avec lui, preuve que c’était une journée très importante et surtout spéciales. Et ça lui ferait plaisir. Il fallait dire qu’en temps normal, c’était des plaisirs que je me refusais catégoriquement, j’avais un régime strict après tout. Les sucreries je n’y avais pas le droit de prêt et même de loin. Oui mon Junnie, je vais manger des bonbons et des glaces avec toi, je souriais, son regard était radieux et je n’avais pas besoin de plus pour me permettre cette journée d’excès. Déjà debout, j’étais prêt à emmener mon cadet pour une journée de tous les plaisirs sucrés. Alors qu’il ne tardait pas à me suivre, bien après qu’il ait rangé son doudou son oreiller - le truc le plus adorable du monde-. Alors qu’il vint vers moi, il m’enroula de ses bras et se serra fort contre moi. Je ne pus contrôler mon sourire gaga. Je passais mes bras autour de ses épaules pour lui rendre son accolade tendre. Je n’étais pas très tactile comme personne, sauf avec ces quelques personnages que j’adorais. Et Junnie faisait partie de ces personnes que j’adorais câliner plus que tout. Minmin-hyung sera toujours là pour toi Junnie, ajoutai-je en et le serrant un peu plus dans mes bras. Et qu’il avait l’air minuscule comme ça, ça donnait à mon ami chinois un air encore plus mignon et ça renforçait en moi mon envie de le protéger. Je finis par poser ma main au sommet de sa sa tête alors qu’il levait son minois, je souris en même temps que lui. Je te propose d’aller se chercher une bonne glace pour se redonner de l’énergie, et on mettra des bonbon dessus, je lui accordais un clin d’oeil complice parce que je savais qu’il allait adorer l’idée. Je commençais à me décoller de mon petit frère de coeur puis à faire quelques pas avant de me retourner et de dire avec une voix amusée. Grimpe sur mon dos, je te porte jusque là bas, je souris, clairement amusé, je retrouvais une âme d’enfant dès que j’étais avec Junnie et ce n’était pas plus mal des fois.

   

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voir minsang te faisait du bien. toi qui avait le moral dans les chaussettes depuis plusieurs jours, tu retrouves le moral et le sourire au moment où il passe l’encadrement de la porte de ta chambre. tu es vraiment heureux de passer du temps avec lui et tu le serres fort dans tes bras. parce qu’en plus de ne pas avoir le moral, tu as aussi un manque affectif. alors, tu as besoin de ta dose de contact et minmin hyung t’en donne assez pour que tu puisses être à nouveau bien. alors, tu souris un peu plus, lui demandant même s’il allait réellement manger avec toi. tu le sais qu’il a un régime strict à cause de son futur métier, mais ça n’allait pas le tuer de manger quelques sucreries de temps en temps. quand il te confirme que c’est le cas et qu’il allait se sustenter avec toi, tu ne peux pas t’empêcher de pousser un cri de joie. tu es vraiment content que ce soit le cas, parce que d’ordinaire, tu dégustes toutes ces choses tout seul. c’est triste et ennuyant. mais là, il allait le faire avec toi. tu pourrais presque pleurer de bonheur. « c’est vraiment trop bien. je suis trop content. » et tu l’étais vraiment. ça te faisait plaisir qu’il veuille bien mettre de côté sa diète pour se régaler à tes côtés. tu te lèves donc à ton tour pour rejoindre minsang, après avoir cacher ton doudou sous ton oreiller. tu ne pouvais malheureusement pas le prendre avec toi. ce serait source de moquerie et il était hors de question que tu en prennes. du coup, tu le laisses dans la chambre, un peu triste de l’abandonner. mais cette tristesse s’efface rapidement quand tu te retournes pour faire un câlin au plus grand. tu le serres fort contre toi tandis que tu le remercies. tu le remercies d’être là pour toi, d’arriver à te redonner le sourire et de ne pas juger tes comportements de gamin. ton cœur bat un peu plus rapidement à ses mots tandis qu’un sourire s’affiche sur tes lèvres. il sera toujours là pour toi et tu pourrais presque en pleurer. tu relèves la tête, les yeux larmoyant, vers minsang. ton sourire s’agrandit quand il te donne le début du programme de votre journée en tête à tête. « je suis tout à fait d’accord ! je veux plein plein de bonbons dessus. » tu pourrais vivre en ne mangeant que des bonbons que ça ne te dérangerait pas. tu aimes tellement ça que tu te goinfrerais que de ça pendant des jours et des jours sans n’avoir une seule carie. d’ailleurs, tu n’en avais jamais eu de ta vie. minsang finit par se décoller de toi et se retournes en te présentant son dos. tu le regardes sans comprendre où il voulait en venir. ce n’est que lorsqu’il te dit qu’il va te porter jusque là-bas que tu t’exécutes, sautant doucement sur son dos pour ne pas lui faire mal. « je vais faire du dada sur minmin hyung. » que tu lâches alors que vous sortez de la chambre. tu n’as pas honte et salues même les gens autour de vous comme si tu étais quelqu’un d’important. ça te fait rire tout ça et une fois dehors, tu tapotes légèrement l’épaule du plus vieux avant de te pencher contre son oreille. « minmin hyung, je pourrai ramener une peluche pour taeyi s’il te plait ? » tu rougis en prononçant son prénom tandis que ton cœur bat la chamade dans ta cage thoracique. tu ne crois pas avoir un jour parler de taeyi à minsang, ou du moins peut-être mais sans jamais mentionner le fait qu’il te plaisait et que tu avais l’impression que ce serait à jamais que d’un côté. et puis si tu en parlait, c’est que tu voulais aussi l’avis du gumiho par rapport à toute ça.

   

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   Je souris doucement en regarde Wenjun être tout joyeux. Décidément j’adorais vraiment ce gamin. Il était adorable comme tout.Pui j’arrivais à être un peu plus innocent à ses côtés. C’était comme si j’arrivais à retrouver mon âme d’enfant. Un âme que je n’avais jamais vraiment eu en soi. Il fallait dire que ce n’était pas avec mes parents que j’avais pu m’amuser comme un enfant normal en tout cas. Mais avec Junnie, j’avais l’impression d’être ce gosse que je n’avais pas pu être. Son innocence était vraiment rafraîchissante. Alors même si je devais faire un écart à ma diet… et bien je le ferai. Il fallait dire que je m’étais toujours imposé un régime très strict pour garder mon physique parfait. La danse m’avait toujours permis de me maintenir en forme et d’avoir un physique particulièrement avantageux, mais depuis que j’étais devenu trainee, la musculation m’avait permis d’avoir des muscles saillants. Mais aujourd’hui, je me fichais bien de ce régime, parce que je voulais avant tout partager un moment avec celui que je considérais comme mon petit frère. Alors que je lui parlais du début du programme. La glace pour commencer par se redonner de l’énergie, après tout il avait dû dépenser de l’énergie dans sa tristesse, alors autant commencer par y aller fort. En tout cas le programme avait l’air de l’enchanter et de lui donner une joie de vivre débordante. Ma mission était accomplie. Je finis par me décoller de mon cadet avant de me pencher pour lui présenter mon dos et qu’il vienne me grimper dessus comme un cheval. Quand je le sentis sauter en douceur sur mon dos je ne pus m’empêcher de sourire. Ce gosse était un amour à vouloir faire attention à ne pas me faire mal, mais il était si léger que je ne le sentais presque pas sur mon dos. Attention décollage, prévins-je avant de me redresser pour soulever le gamin. Il fallait dire qu’avec ma grande taille, ça le faisait grandir d’un coup d’un seul. Mes mains s’étaient automatiquement posées au niveau des genoux de mon cadet pour vérifier qu’il se glissait de son perchoir. Nous sortîmes de la chambre tous les deux alors que le cadet saluais tous les autres pyobeom. J’aurais pu avoir honte, mais je m’en foutais royalement. Aujourd’hui Wenjun était mon prince, je l’accompagnais même dans ces rires cristallins. Il s’amusait, c’était le plus important pour moi. Ca va bien là haut Junnie ? Demandai-je sur un ton amusé. Puis alors qu’il tapotait mon épaule je tournais mon visage vers lui. Quand il me souffla son secret à l’oreille, je ne pus m’empêcher d’avoir un grand sourire taquin. Taeyi ? Il voulait lui ramener une peluche ? J’ignorais qui était Taeyi, mais si Wenjun tenait à lui ramener un cadeau et pas n’importe quoi, une peluche, ça devait donc être une personne important pour le gosse. Tu ne m’as jamais parlé d’un Taeyi mon petit Junnie. je souris doucement en tentant le regarder par dessus mon épaule. Et je crus personne la rougeur de ses joues. Ce qui me fait sourire encore plus. Alors je me prêtais aux jeux, allant jusqu’à baisser la voix pour la confession. C’est un garçon que tu aimes bien ? Je souris. Bien sur que je m’étais douté de la préférence de Wenjun pour les garçons. C’était une évidence même, il avait peur des filles et bien d’autres choses qu’i n’avaient fait que confirmer ma supposition. Mais l’existence de ce Taeyi confirmait ce que je pensais depuis le début. Mon petit frère de coeur était aussi gay que moi. Et ça me faisait particulièrement plaisir. Ca nous faisait quelque chose en commun. Tu me parles de ce garçon ? Tu sais Junnie, Minmin-hyung peut te donner des conseils, il s’y connait bien en matière de garçon, je souris doucement, oui et clairement pas qu’un peu d’ailleurs. Sans pour autant être un queutard, on pouvait dire que je m'y connaissais.

   

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tu oubliais tous tes tracas quand on te parlait de nourriture que tu aimais telle que les bonbons ou les glaces et qu’on te parlait de s’amuser. tu étais comme un enfant et ça ne te faisait rien d’être comparer à un enfant parce que tu en étais un. tu avais beau aller sur tes dix-huit ans, tu restais un gamin dans l’âme. alors, quand minmin hyung te propose de sortir, tu sèches rapidement tes larmes et tu montes sur son dos avec un grand sourire. tu vas faire du dada sur le plus grand et ça te fait vraiment plaisir. tu devenais grand d’un coup et tu te sentais définitivement mieux. il fallait dire qu’avec minmin hyung, tu pouvais parler chinois et tu ne galérais pas à trouver tes mots. ça te donnait également de suite l’air moins con parce que tu ne butais pas sur chaque mot. tu te sens bien avec le gumiho et quand il te demande si tu vas bien, tu hoches énergiquement la tête. « trop bien. je suis grand ! » ça ne te dérange pas d’être petit, tu aimes même bien ça, mais là tu étais vraiment grand et tu aimais aussi ça. tu finis par te glisser à son oreille pour lui parler de taeyi et du fait que tu voulais lui ramener une peluche. tu piques son intérêt parce qu’il rebondit direct sur tes paroles et cette fois-ci tu secoues la tête de droite à gauche. tu sens également tes joues reprendre une couleur rouge alors que minmin met des mots sur ce que tu ressens et en parle tout haut. il a peut-être chuchoté mais t’as l’impression que tout le monde entend. tu jettes un coup d’œil paniqué autour de toi et tu remarques que vous êtes seuls, il n’y a pas de soucis à se faire. « j’en ai jamais parlé. et euh… oui, je crois. » tu n’avais jamais caché le fait que tu étais attiré par les garçons. tu n’en avais pas honte, même si tu ne le criais pas sous tous les toits. minmin hyung reprend la parole et tu ouvres la bouche choqué. il s’y connait en garçon ? « tu aimes les garçons minmin hyung ? » que tu demandes bêtement alors que tu as eu la réponse quelques secondes plus tôt. mais ça te semble presque impossible que ce soit le cas. enfin, tu n’as jamais vu ou même ressenti ça. peut-être que si tu étais moins concentré sur ta petite personne, peut-être que tu l’aurais vu, mais pour ça faudrait que tu grandisses un peu. t’en viens donc à parler de taeyi, lui disant qui il était. « c’est un garçon de mon dortoir. il a mon âge, enfin il est plus âgé de quelques mois. il m’a plu dès que je l’ai vu… » tu ne saurais pas réellement comment expliquer ce que tu ressens quand tu le vois. tu as des papillons dans le ventre et son sourire te donne envie de sourire. si d’autres se moqueraient de ses bagues, toi tu trouves que ça lui donne du charme. tu n’es sûrement pas objectif parce qu’il te plait, mais tu t’en moques. « il est très gentil aussi… » enfin, ça c’est ce que tu as vu quand il est avec les autres. vous vous parlez pas vraiment, enfin vous avez échangés quelques mots par-ci par-là mais sans plus. « tu crois que c’est bizarre si je lui offre une peluche alors qu’on se connait pas vraiment ? » t’as pas envie de passer pour un fou ou qu’il pense que tu veux lui sauter dessus ou un truc du genre. t’es, du coup, pas vraiment rassuré par rapport à tout ça. t’as besoin que minmin hyung t’éclaire de sa lanterne.

   

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   Je souriais alors que Wenjun était sur mon dos. A cet instant je me fichais bien si les gens nous regardaient de travers ou pas. Je m’en fichais complètement. Il fallait dire que dès que je fréquentais mon cadet, j’avais le sentiment de retrouver mon âme d’enfant…. que je n’avais jamais vraiment au final. Son innocence était vraiment rafraîchissante. C’était pour cela que je l'adorais, même si en soi, Junnie était un gamin. Il était comme ce petit frère que je n’avais pas, alors dès eu j’avais du temps auprès de lui, toute mon attention était pour lui et il était comme mon petit prince. Et quand il commence à me parler d’un certains Taeyi, mon sourire s'agrandit. Taeyi ? Je ne savais pas qui s’était, mais la manière dont il en parlait, je sentais que c’était un garçon pour qui avait le gringue. Bien sûr que je savais que Wenjun était gay, parce que pour moi, ça crevait les yeux. Il n’avait pas eu besoin de m’en parler directement pour que je me fasse cette conclusion. Et très rapidement j’eus la confirmation que Taeyi était son crush. C’était si adorable que le chinois me parle comme ça du garçon qui lui plaisait, il le faisait avec tellement d’innocence, c’était trop chou. Mais quand il me demande surpris si jamais les garçons, j’aimais les garçons les sourcils. Surpris. Enfin il fallait dire que je ne faisais pas étalage de mon homosexualité, sur les conseils de mon agence, mais je ne faisais pas non plus étalage d’une potentielle hétérosexualité. Ce n’était pas comme si je m’affichais aux bras d’une demoiselle tous les jours. Je dis avec un rire léger. Je peux t’assurer mon petit Junnie que ton hyung est tout ce qu’il y a plus gay. Et clairement je pouvais lui parler des garçons, parce que ce que j’avais eu quelques relations avec des hommes. Et c’est bien un fait pour lequel je ne m’étais pas posé la moindre question. Jamais les formes de femmes de m’avaient attiré. Il n’y avait que les mâchoires carré et la virilité qui me plaisaient. Alors que mon ami commence à me parler de ce fameux garçon, je ne pus m’empêcher sourire attendri. Il me faisait pas penser à moi la première fois que j’avais rencontré Hiro. Excepté que le japonais avait une année de plus que moi et doucement mon coeur se serra. Probablement encore touché par cette relation que j’avais arrêté. Mais ce Taeyi me faisait pensé à Hiro quand j’étais sorti avec lui, il m’avait toujours plu mon aîné et il avait cette gentillesse et cette timidité, un garçon adorable. Si seulement il n’avait pas brutalement changé. Je devenais terriblement mélancolique alors je me collais une bonne claque mentale pour ne pas trop y penser. Tu ne lui as jamais parlé ? Je réfléchis avant de commencer: Je pense que c’est une attention adorable puis, c’est une manière de commencer à lui parler et faire connaissance. Par contre si Taeyi ne parlais pas le mandarin ça risquait d’être compliqué. Mais Wen Jun arrivait à se faire comprendre en coréen, même si pour le coup, c’était pas encore ça. Mais je savais que le jeune garçon faisait beaucoup d’effort pour s’améliorer. Mais alors une question me brûla les lèvres. Mais Junnie… excuse de te demander c’est un peu personnel mais... Je pris le temps de réfléchir pour trouver les mots qu’un enfant comme lui pouvait comprendre. Tu as déjà fait des choses avec un autre garçon ? Des choses très intimes qu’on ne fait qu’avec son amoureux ? J’attendis sa réponse avant de commencer à voir le centre commercial. Tu veux descendre ou je continue à te porter Junnie ? Il fallait dire que continuer à la porter ne me dérangeait pas vraiment, en soit, ça me faisait faire du sport même si pour le coup Wenjun n’était pas le type le plus lourd du monde alors le porté était assez simple pour moi.

   

   Everything for my baby brother ★ WenMin
   (outfit)
    parler de taeyi fait apparaitre un sourire sur tes lèvres. c’est le mec que tu aimes bien depuis que tu es arrivé en corée. il est dans ta chambre au dortoir et tu as flashé directement sur lui. tu ne sais pas réellement pourquoi c’était lui et pas un autre. mais c’était lui et pas un autre. du coup, tu le mentionnes avec un sourire avant d’être surpris de la révélation du plus grand. il est gay ! tu n’aurais jamais pensé que ça puisse être le cas et en même temps si tu t’intéressais plus aux autres et moins qu’à toi et que ton attention n’était pas si peu focalisée sur autre chose que ce qui t’entourait à la seconde où ça se passait, tu l’aurais peut-être vu ou compris. « je savais pas… » que tu lances avec une petite voix, regrettant de ne pas avoir fait attention. puis ce regret disparait quand tu continues de parler de ton colocataire, des étoiles dans les yeux et un sourire débile sur les lèvres. taeyi, tu l’aimes bien, sûrement plus que bien et c’est le premier garçon qui te fait te sentir comme ça. tu viens quand même demander à minsang si ce n’était pas bizarre de lui ramener une peluche alors que vous ne vous étiez jamais parlé. le plus vieux reprend la parole et tu l’écoutes attentivement avant de lui répondre. « on a déjà parlé… mais c’était juste pour se dire bonjour et au revoir. » et quelques autres petits trucs, mais ce n’était que des discussions qui n’amenaient pas sur des sujets plus important comme le fait que tu avais un crush sur lui. et puis c’était compliqué pour toi de lui parler parce que tu ne connaissais pas très bien le coréen et lui ne parlait pas du tout le mandarin. alors, vous ne pouviez pas réellement bien communiquer ensemble. ça t’embêtait et tu faisais tout pour essayer de mieux parler même si ce n’était pas trop ça encore. ça s’arrangerait avec le temps, tu le savais ou du moins tu l’espérais. tu ne pouvais pas rester avec ce niveau merdique en coréen. sauf que tu comprenais que parler mandarin avec les gens qui t’entourait n’était pas une bonne idée. mais tu t’en foutais, tu étais plus à l’aise de cette manière. minmin hyung reprend alors la parole pour te parler d’un truc personnel et tu penches la tête de côté pour écouter ce qu’il dit. tu rougis aussitôt et tu caches ton visage dans son cou en répondant. « non j’ai jamais rien fait minmin hyung. j’ai jamais été amoureux. » et c’était vrai, jamais personne n’avait réussi à entrer dans ton corps comme taeyi l’avait fait pour le moment. tu n’avais jamais ressenti de l’amour pour quelqu’un d’autre que tes chiens et le pyobeom était le premier. « mais j’ai déjà fait des choses tout seul… quand mon zizi est tout dur. je vais sous la douche et bah euh… » tu tousses pour cacher ta gêne avant de reprendre, le visage encore plus dans le cou du plus grand, les joues toujours plus rouges. « je me touche. » tu ne l’as jamais fait dans la chambre parce que tu ne veux pas être surpris, mais surtout passer pour un pervers parce que vous êtes quatre mecs dans la chambre. tu préfères aller dans la salle de bain pour faire ton affaire avant de retourner dans la chambre. tu as encore des rougeurs sur les joues quand minsang te demande si tu veux descendre ou rester sur son dos et tu optes pour la première option. « laisse moi descendre s’il te plait. » tu attends qu’il se baisse pour retrouver tes pieds sur le sol avant d’attraper sa main. « ça te dérange pas ? j’ai peur de te perdre… » puis surtout tu as peur de ne pas être capable de communiquer en corée pour retrouver le plus grand.