don't make my brother cry (harin)
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don't make my brother cry (harin) | Lun 17 Sep - 21:44 Citer EditerSupprimer
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harin & akiko
don't ever again make my baby brother cry or you'll regret it for the rest of your life.
tu craques tes doigts alors que tu te diriges comme une furie vers ton ancien lieu d’études, la yonsei. tu ne pensais pas remettre les pieds ici, sauf pour aller voir tes petits frères, ton jumeau et soony dans leurs fraternités. le soucis c’était que tu ne revenais pas pour eux, ou du moins que partiellement. kota était venu te voir en pleurs parce que la fille pour laquelle il avait eu un crush l’avait envoyé chier. en soit tu pouvais comprendre que si la fille ne voulait pas de lui, même si elle devait avoir de la merde devant les yeux parce que les jumeaux étaient les êtres les plus beaux du monde, elle n’était pas obligée de parler aussi mal à ton petit frère. kota t’avait raconté les atrocités qu’elle lui avait sorti, alors que les larmes coulaient le long de ses joues. tu ne pouvais pas concevoir que quelqu’un parle si mal à ta famille et encore moins qu’on la fasse pleurer. il n’avait pas fallu longtemps avant que tu ne prennes ta voiture et que tu conduises aussi vite que tu pouvais pour rejoindre le bâtiment des sciences et sport. juste le temps de consoler ton frère, en attendant le retour de shiro et une fois que c’était fait tu n’avais plus qu’à aller voir cette demoiselle. tu savais à quoi elle ressemblait, ce qu’elle faisait dans la vie, parce que kota te l’avait dit. un sourire mauvais s’affiche sur tes lèvres. encore quelqu’un qui était dans le bâtiment des sciences et sports. à croire que tu avais quelque chose contre ces gens-là. à force, c’était ce qu’on allait penser parce que jaesang avait déjà été l’objet de ta haine, colère juste pour une histoire de crush. mais là, ce n’était pas de toi dont il s’agissait mais de ton petit frère. tu pouvais tout faire pour ta famille, et t’énerver contre une gamine plus jeune que toi ne te faisait pas peur. au pire, qu’est-ce qu’elle pourrait te faire ? tu pousses un soupir alors que tu attends la fin des cours. tu n’es pas non plus trop mal élevée. tu ne veux pas que les profs s’en prennent à tes frères si jamais tu déranges leur cours. alors tu attends patiemment que tout le monde sorte et que tu aperçoives sa tignasse brune. après seulement quelques minutes à resasser tout ça, tu la vois sortir. « seo harin ? » l’interpelles-tu alors que tu te diriges vers elle et que ton regard se bloque dans le sien. tu n’as pas une allure bien accueillante, certains diraient même que tu faisais peur, mais tu t’en moquais. « on peut discuter ? » pas de s’il te plait, pas de présentation. juste quelques mots froids lancés comme ça sans aucune explication.
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Re: don't make my brother cry (harin) | Jeu 27 Sep - 20:10 Citer EditerSupprimer
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Je poussai un grossier bâillement sans même mettre ma main devant ma bouche alors que le prof nous racontait un baratin inintéressant. Je pouvais bien comprendre qu'étant étudiante, je devais suivre des cours, mais j'avais pris ce cursus pour faire du sport moi, pas rester assise sur une chaise à écouter un prof parler des muscles dans nos corps ! C'était super intéressant d'apprendre tous les muscles de mes jambes, super, j'étais pas en médecine non plus. Peut-être que c'était utile de savoir ce qu'on utilisait quand on courrait, quand on s'étirait et à quoi on devait faire attention mais moi je n'en avais rien à faire. Ouais, sûrement que les quelques élèves concentrés dans la classe devaient y faire attention et aimer particulièrement le sujet, mais pas moi. Tout ce qui m'importait, c'était de faire du sport. J'aurais peut-être dû directement arrêter l'université et me trouver un job tout pété. Enfin, mon père ne m'aurait sûrement pas laissée faire, comment pourrait-il laisser sa fille ne pas aller à l'université et faire un job de bas classe ? Le simple fait qu'il me laisse totalement libre était déjà un exploit. Je revenais très peu chez moi, la famille, je ne comprenais pas ce que c'était. Ça n'avait aucun sens à mes yeux. Les liens fraternels, les liens de sang, non, je ne comprenais définitivement pas. Parce qu'un individu partageait un sang plus proche du nôtre, on devait être plus proche de lui ? Sûrement pas. Peut-être qu'on choisissait nos amis, mais pas notre famille. Et c'était le pire dans tout ça. Je détestais ma famille et j'étais obligée de la subir parce que je ne l'avais pas choisie. Ils avaient voulu de moi une petite fille sage et pourtant, j'étais devenue tout l'inverse. Une fille grossière, rebelle et dangereuse, c'était moi. Ma sacrée belle-mère avait bien tenté de me faire entendre raison, mais ce fut impossible. Je crois que je ne pourrais jamais croire au mot famille. Certains en avaient bien une, cependant, à mon niveau, je n'en étais même pas jalouse. Comment est-ce que je pourrais être jalouse de quelque chose dont je ne voulais même pas ? Les liens familiaux ce n'était que superficiel. Alors la famille, je la balançais bien par-dessus mon épaule comme ce que je venais de faire avec mon sac de cours, quand la cloche sonna. Enfin, c'était enfin la fin des cours. Tranquille, je quittai la pièce, contente d'avoir terminé la journée. Je rentrerai pour poser mes affaires puis je ressortirai pour faire un peu de sport, j'avais envie de bouger là. Sauf qu'apparemment, ça n'allait pas être mon corps qui allait bouger, tout de suite. Je m'arrêtai brusquement quand une fille m'arrêta en m'appelant d'une façon pas très agréable. Son regard se planta dans le mien, et je pouvais déjà voir la rage dans ses pupilles. Elle n'avait pas l'air très accueillante. Allez, qu'est-ce que j'avais fait encore ? Je lui avais piqué son petit-ami ? Son petit-ami avait craqué pour moi ? Eh bah voyons. La pauvre. Je lâchai un petit sourire sarcastique. « T'es qui, d'abord ? » demandai-je sur un ton insolent. « On a rien à se dire du tout, j'ai pas le temps pour ça chérie. » Sur ces mots, je croisai mes bras. J'étais certaine qu'elle était mon aînée, mais le respect, je le mangeais.
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Re: don't make my brother cry (harin) | Mar 23 Oct - 22:17 Citer EditerSupprimer
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s’il y avait bien un truc que tu ne supportais pas, c’était qu’on fasse du mal à ta famille et encore moins à tes bébés frères. alors voir kota revenir de la fac en pleurs avait réussi à te faire sortir de tes gongs. qui était le pauvre con qui avait fait pleurer ton frère ? tu étais prête à le frapper malgré ta petite taille. pourtant ce n’est pas un mec qui a fait couler les larmes sur le visage de ton frère. c’est une fille. elle a été cruelle et injuste avec kota juste parce qu’elle ne voulait pas sortir avec lui et ne voulait pas de son amour. tu pouvais comprendre qu’elle n’en voulait pas, mais était-elle obligée de se comporter de la sorte avec ton frère ? alors après avoir consoler kota, tu avais pris le chemin de la yonsei. ça faisait longtemps que tu n’avais pas mis les pieds sur le campus et tu t’étais dit qu’après avoir résolu cette affaire, tu pourrais aller retrouver tes anciens camarades roses, et peut-être passer du temps avec soony, s’il n’était pas trop occupé. mais avant, il fallait que tu t’occupes de cette jeune fille. ton petit frère t’avait montré une photo d’elle et t’avait dit où la trouver et quand tu la vois, tu sens la colère augmenter encore un peu. tu te rapproches d’elle comme une furie et tu l’interpelles. on pouvait sentir toute ta colère transpirer par tous tes pores et encore plus dans ton regard. tu vois bien qu’elle n’est pas intimidée pour deux sous et ça te met encore plus hors de toi. non mais elle se prend pour qui cette gamine. quand elle prend la parole, tu sens encore plus tes muscles se bander et tu te retiens de lui foutre ton poing dans la gueule. c’est qui qu’elle appelle chérie ? un sourire pas tellement bienveillant s’affiche sur tes lèvres alors que tu la regardes des pieds à la tête dans un mouvement de dédain. « chérie ? t’as cru qu’on était pote ? on a pas élevé les cochons ensemble. » t’as envie de lui faire bouffer son insolence mais tu te calmes légèrement et te contiens. ce serait con que tu te retrouves au commissariat parce que t’as pas apprécié la façon dont on t’a parlé. pourtant son rire sarcastique résonne encore à tes oreilles et tu dardes sur elle un regard encore plus noir que celui que tu lui as lancé au début. « tu vas te calmer rapidement et arrêter de manquer de respect aux plus âgés que toi. » non mais c’est quoi cette génération qui manque de respect à ses aînés ? elle a jamais appris la politesse chez elle ? encore une gamine laissée dans le monde sans réelle éducation ? ils foutent quoi ses parents pour avoir une gamine aussi peu éduquée ? y a des claques qui se perdent et tu serais heureuse de les mettre. « tu connais matsuda kota ? » autant allez droit au but. t’es déjà énervée alors un peu plus ou un peu moins, c’est pas très grave. tu ne lui demandes rien de plus attendant qu’elle veuille bien te dire si elle le connait ou non. t’espères qu’elle ne va pas faire celle qui ne sait pas qui il est parce que sinon, tu risques très grandement de t’énerver pour de bon et là, tu ne te retiendras pas de la frapper et tu n’aurais même aucun scrupule à lui remettre les idées en place. tu pourrais presque faire craquer tes articulations pour préparer tes mains avant de lui sauter dessus pour la défoncer.
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Re: don't make my brother cry (harin) | Sam 27 Oct - 17:37 Citer EditerSupprimer
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Je crois bien qu'il n'arrivait pas une seule journée sans qu'on ne cherche la merde avec moi. Évidemment, c'était parce que je la cherchais, cette merde, parce que je provoquais tout le monde, parce que je n'avais aucune honte et parce que je me foutais de ceux qui ne m'importaient pas. Et en général, c'était le cas de pas mal de personnes. Surtout les filles. Ah elles étaient insupportables, certaines. Elles comméraient sur tout le monde, alors forcément, moi, je détestais ça, je leur disais de la fermer. Et boum, quatre ennemies en plus ! Des ennemis, des gens qui ne m'aimaient pas, qui me haïssaient, j'en avais à gogo. Surtout les mecs, quand j'y pensais. Ils craquaient pour ma bouille, parce que j'étais jolie et fine et que j'étais douée au sport. Mais moi, je n'étais pas intéressée en eux, je n'avais pas du tout envie de rencontrer l'amour ou un prince charmant qui n'existait pas. Alors plus je les rejetais, plus je créais des manières inventives de le faire. Ah bah à un moment, il le fallait bien, sinon, on se faisait bien chier ! Et puis parfois, ça m'énervait tellement que je mettais un gros mur parce que j'avais juste pas envie de m'ennuyer à trouver une fausse raison. « Han désolée chéri mais t'es pas très beau », « T'as pas d'argent bébé désolée », « Tes notes sont trop pourries pour moi pardon », « Mon cœur il est déjà pris poussin », bref, toutes les excuses au monde elles marchaient. Et ça se sentait bien que je me foutais de leur gueule. Alors ils s'énervaient, je m'énervais, et hop ! nouvel ennemi. Je n'étais pas très aimée et ma réputation était pauvre, mais qu'importe. Je n'en avais rien à faire. J'étais déjà très bien entourée et je vivais bien ma vie, les gens qui se disaient amoureux de moi alors qu'ils ne me connaissaient pas, je n'en avais rien à cirer. Et donc, je n'étais pas surprise qu'une énième fille se présente à moi pour me parler. Qu'est-ce que j'avais fait cette fois ? J'avais brisé son couple ? Son mec s'était déclaré à moi et je l'avais jeté comme une vieille chaussette, il avait cassé avec elle pour moi ? Je lui avais piqué son mec ? Elle était jalouse ? J'avais fait du mal à sa meilleure amie pour toujours, bff en or ? Il y avait plein de raisons pour m'en vouloir, à force, ça se comprenait. Je pouvais vraiment être une connasse parfois, mais ce n'était pas comme si j'en avais quelque chose à faire. Ces gens, je ne les connaissais pas, et ils ne me connaissaient pas non plus. Alors les inconnus, on s'en fichait. Je me moquais alors complètement de cette inconnue qui semblait être mon aînée, la provoquant sans aucune gêne. Ça avait l'air de marcher. « J'appelle qui je veux « chérie », chérie. » répliquai-je avec ce sourire sarcastique. Elle avait l'air tellement énervée, c'était si drôle. Elle avait bien de la chance que j'étais de bonne humeur, elle aurait pris bien plus cher sinon. Je revêtis une mine faussement surprise à sa révélation. « Oh, tu es plus âgée ? Mes excuses, je pensais avoir affaire à une gamine de quatre ans. Tu veux que je te vouvoie, que je te parle à genoux et que je ne te regarde pas dans les yeux maintenant, ahjumma ? » Je papillonnai des yeux avec une moue innocente, qui laissa place à une moue pensive. Matsuda Kota. Matsuda Kota ? Je fis mine de réfléchir. Je ne retenais pas du tout les noms des garçons moi, est-ce que j'étais censée le connaître ? Remarque, ça me disait peut-être quelque chose. « Ah... » laissai-je échapper alors que de vagues souvenirs remontaient. « Celui à qui j'avais balancé ses quatre vérités dans la gueule ? Ouais, je me souviens. Pourquoi ? Tu veux te venger ? C'est mignooon ! » Je lançai un rire amusé. Allez, on allait voir combien de temps elle allait tenir.
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Re: don't make my brother cry (harin) | Dim 4 Nov - 10:35 Citer EditerSupprimer
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il y a deux choses que tu ne supportes pas dans la vie : qu’on s’en prenne à ta famille et qu’en plus on se foute de ta gueule. et cette gamine en face de toi fais les deux. mais qu’est-ce qu’elle est détestable. putain, tu ne sais pas ce qui te retiens de la frapper. en plus d’avoir fait du mal à ton petit frère maintenant elle se fout ouvertement de toi. tu as besoin de tout ton self control, et c’est vraiment pas beaucoup, elle devrait s’estimer heureuse, pour ne pas lui foutre ton poing dans la gueule au fur et à mesure qu’elle parle, te répondant sur un ton insolent. elle croit qu’elle est qui cette gamine ? non parce qu’elle veut vraiment se mesurer à toi. elle risque de tomber très haut. tu n’es pas connue pour faire dans la dentelle. tes mots font aussi mal que tes poings et là tu te retiens parce que tu ne veux pas paraitre rude mais tu ne pourras pas te retenir bien longtemps. elle joue avec ta patience et tes nerfs et ça fonctionne bien trop. harin se délecte même de ce spectacle et ça t’énerve encore plus. putain mais t’as qu’une envie c’était lui faire ravaler ce sourire, jusqu’à ce qu’il lui ressorte par le cul. tu ne réponds rien quand elle te provoque encore une fois. tu respires fortement pour te calmer mais ça ne fonctionne pas du tout. alors que tu essaies de faire en sorte que ta colère parte, la jeune femme fait tout pour t’enrager. un sourire insolent s’affiche tes lèvres. « si ça peut t’apprendre le respect, vas-y mets-toi à genoux et lèches moi les pieds. ça sera quelque chose à ton niveau. » tu as décidé de laisser le respect au placard toi aussi. okay, t’étais peut-être pas arrivée avec les meilleures intentions du monde, mais jusqu’à maintenant, tu n’avais pas réellement manqué de respect à la plus jeune. mais là, c’est clairement trop pour toi. tu ne peux pas accepter son comportement. c’est bon, t’as plus l’âge pour qu’on te traite de la sorte et que la personne s’en sorte sans rien. du coup, tu demandes directement ce pourquoi tu es venu, en parlant de ton petit frère. elle ne semble pas s’en souvenir mais elle cherche quand même dans sa mémoire. mais est-ce qu’elle a un cerveau fonctionnel même ? parce qu’à part de la merde, doit pas y avoir grand-chose. et quand elle reprend la parole, tu serres une nouvelle fois poings et dents. un sourire crispé apparait sur tes lèvres et tu pousses un soupir. « oui celui-là même. » tu te souviens exactement de tout ce qu’elle a dit à ton petit frère parce que tu l’as forcé à t’en parler et ça t’emmerde réellement qu’il ait été victime de cette pauvre merde que tu as sous les yeux. un rire sarcastique s’échappe de ta bouche tandis que tu viens taper amicalement son épaule comme si elle était ta pote. « moi me venger ? » tu réagis comme si c’était totalement absurde cette idée alors que c’est clairement pour ça que tu es venue. pour que ton petit frère se sente mieux. « non pas du tout. je suis juste venue féliciter la jeune femme qui a écrasé mon petit frère. c’était vraiment très intelligent et altruiste de ta part. pour un peu je n’aurais même pas l’impression de faire face à une merde. » tu continues de sourire tandis que tes mots sont toujours autant ironique et sarcastique. « c’est vrai que ça fait du bien de s’en prendre à quelqu’un de plus faible que soit, encore plus quand il a un crush sur nous. putain, ça a tellement du booster ton estime de toi et ton égo. » t’as de plus en plus de mal à jouer à ce jeu parce que tu n’as qu’une seule envie, lui en foutre une. mais tu ne le fais pas. tu ne veux pas lui donner cette satisfaction. « alors, ça fait quoi de s’élever de rang de merde à sous-merde ? t’as bien célébrer ça j’espère ? » tu sais que tu ne devrais pas réagir comme ça, mais c’est plus fort que toi. elle t’énerve et c’est tout ce que tu peux faire pour ne pas la frapper.
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Re: don't make my brother cry (harin) | Mer 7 Nov - 21:53 Citer EditerSupprimer
[quote="Seo Ha Rin"]
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En cette journée privée d'emmerdements, il fallait évidemment qu'une emmerdeuse pointe le bout de son nez. Pourquoi n'étais-je pas surprise ? J'avais l'habitude de provoquer tant de mal autour de moi, les gens finissaient toujours par vouloir me détester. Ou bien, ils commençaient à m'aimer. Il n'y avait pas de juste milieu avec moi : soit on m'aimait, soit on ne m'aimait pas. Et la plupart ne m'aimaient pas. Je les comprenais, moi-même, je ne me serais pas aimée si j'avais été quelqu'un d'autre. J'étais la fille avec un caractère violent, un langage vulgaire, voire trop franc pour les autres qui avaient peur de se couper avec le couteau de ma bouche, rebelle et qui n'obéissait jamais. Qui voulait faire ami-ami avec une fille pareille, franchement ? La moi plus petite avait toujours détesté les autres et aujourd'hui, ça n'avait pas changé. Je gardais mon cercle d'amis, mes proches, et puis, c'était tout. J'avais pas besoin des autres, qu'ils aillent se faire voir. Alors bien sûr, cette emmerdeuse pouvait bien aller se faire voir aussi. Et encore, je restais très polie. Je pourrais devenir bien plus vulgaire mais pour ma santé mentale, je préférais rester un peu plus polie. Enfin, ma politesse commençait à partir, je sentais que le respect avait aussi disparu depuis longtemps. Mais qu'est-ce que j'en avais à foutre du respect quand je n'avais jamais respecté personne ? Voir cette fille se crisper était tellement drôle en plus, j'adorais assister à ça. J'éclatai de rire à sa réponse. C'était un rire cynique, il ne fallait pas croire que je la trouvais drôle non plus. Non parce que pour la trouver drôle, il fallait le faire... « Je crois que c'est trop tard pour moi, le respect on me l'apprend plus. Et puis, même les fétichistes des pieds ne voudraient pas de tes pieds, alors moi... L'horreur ! » Je fis une grimace en me pinçant le nez avant de sourire, me moquant très ouvertement d'elle. Je me moquais depuis le départ et je voyais bien que ça ne lui plaisait pas du tout. Tant mieux ! Moins ça lui plaisait, mieux c'était. Elle en vint finalement au vif du sujet en mentionnant le nom d'un garçon. Matsuda Kota, ça me disait peut-être quelque chose... Je dus chercher dans ma mémoire pour enfin mettre un souvenir sur ce nom, et fus pleinement satisfaite quand je me rappelai de la scène avec lui. Je lui avais bien dit qu'il n'était pas du tout fait pour moi et qu'il n'avait aucune chance avec moi. Et maintenant, ça allait pleurer dans les jupes de sa mère ? Pauvre gosse. Ça envoyait même quelqu'un pour se venger. J'aurais dû être plus délicate avec lui ? Désolée, la délicatesse, je ne connaissais pas. Mon sourire ironique s'agrandit alors qu'elle m'insultait de sous-merde. Se faire insulter de sous-merde par quelqu'un qui était pire qu'une sous-merde, ça ne faisait pas plaisir, ça voulait dire que j'étais à son niveau et ce n'était pas top. « Merci beaucoup pour ton attention alors ! » m'exclamai-je avec le plus d'ironie possible. « Hé, je l'ai pas martyrisé, je lui ai juste appris où est sa place, qui n'est sûrement pas à mes côtés. Ton Gota là, il peut bien se trouver une autre fille, il y en a des milliards ! Il faut juste pas qu'il vise trop haut, apprends-lui ça, hm ? Toi qui es encore plus bas qu'une sous-merde, je crois que tu es à son niveau. Mes félicitations ! » Je me mis à l'applaudir avec un sourire qui méritait dix mille baffes. J'étais détestable et alors ? On me cherchait : on me trouvait.
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Re: don't make my brother cry (harin) | Lun 10 Déc - 18:23 Citer EditerSupprimer
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s’il y avait bien quelque chose que tu ne supportais pas, c’était qu’on s’en prenne à ta famille et cette gamine avait fait ce qu’il fallait pas. elle avait fait pleurer ton petit frère et ça tu ne le pardonnerais jamais. alors, tu essaies de te contenir, de ne pas la frapper de suite malgré l’envie qui est bien présente et qui augmente au fur et à mesure. elle te cherche, elle joue avec tes nerfs, sauf qu’elle ne te connait pas. tu n’auras pas la patience et le self contrôle nécessaire pour résister à lui écraser ton poing sur le visage, qu’importe qu’elle soit une fille ou non. tu as bien compris que le respect pour elle est une notion abstraite et tu serres dents et poings quand elle te répond de plus en plus insolemment. « t’en fais pas, même si tu étais la dernière personne sur terre, je te laisserai pas toucher mes pieds. ta bouche a du traîner dans pas mal d’endroits sales. » t’insinues qu’elle ouvre sa bouche et ses cuisses à n’importe qui. si elle, elle ne veut pas te respecter, tu n’as aucune raison de le faire. pourtant, tu ne voulais pas réellement t’engueuler avec elle, juste avoir des explications sur son comportement. sauf qu’elle avait lancé les hostilités après t’avoir vu arriver avec tes grands sabots. tu pars donc dans un grand discours, la félicitant pour sa prouesse et la traitant sarcastiquement de sous-merde. tu savais que ce n’était pas la bonne méthode et que tu n’étais pas plus intelligente qu’elle en agissant de la sorte. mais tu n’étais pas connue pour être intelligente. tu frappais avant de parler et tu réfléchissais après. c’était bizarre que tu ne l’aies pas encore fait d’ailleurs. ça n’allait pas tarder à arriver, tu le savais. il suffisait qu’elle dise quelque chose qui te déplaise et tu partirais au quart de tour. la jeune femme reprend la parole et quand tu entends qu’elle traite kota de sous-merde, tu ne résistes plus. ton poing vient s’aplatir contre son nez. tu entends un craquement et tu la regardes satisfaite de ce que tu viens de faire. « oh putain que ça défoule. » ça t’a fait du bien de la frapper mais tu n’étais pas pleinement satisfaite parce que tu n’y avais pas été aussi fort que si elle avait été un mec et que tu avais été à ton cours de boxe thaï. tu ne l’aurais pas frappé si elle n’avait pas insinué que kota était une sous-merde. qu’elle te traite toi comme ça, tu n’en avais rien à foutre. certes, ça t’avait énervé et que tu avais voulu la remettre à sa place mais tu aurais quand même réussi à te retenir. mais quand ça touchait ta famille et plus particulièrement tes petits frères, tu ne pouvais pas laisser passer. tu reportes ton attention vers la jeune femme. « oh désolée, je sais pas ce qui m’a pris. » commences-tu te moquant clairement d’elle. « j’espère que j’aurai pas cassé ton nez. je m’en voudrais que tu passes sur la table pour le refaire. » tu l’observes avec un grand sourire satisfait avant de reprendre une nouvelle fois. « tu me remercieras plus tard. parce qu’honnêtement ça ressemblait à rien ce truc que tu avais en plein milieu de la figure. » elle voulait être détestable et infecte, tu serais pire qu’elle. bon, tu ne disais pas que c’était bien mature ce que tu faisais, mais elle n’avait qu’à pas s’en prendre à la prunelle de tes yeux. et si elle voulait porter plainte contre toi, qu’elle le fasse. tu n’avais pas peur d’une merdeuse pareille.
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Re: don't make my brother cry (harin) | Mer 26 Déc - 21:42 Citer EditerSupprimer
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Lâchant un rire, je regardai cette « aînée » en plantant mes pupilles dans les siennes, comme si je souhaitais la rendre aveugle rien qu'en la fixant. Pleine de confiance, ce n'était pas elle qui allait me la briser. Si j'avais fait pleurer son pauvre petit Kota ? Qu'est-ce que j'en avais à faire ! Il s'en remettra, je n'étais pas la femme de sa vie. Les mecs, ils disaient tous ça, que j'étais la seule à leurs yeux, et puis, deux jours plus tard, ça s'était trouvé la nouvelle pupille de leur vie... Génial. J'avais envie de devenir lesbienne rien que pour dire fuck à tous ces gars, mais malheureusement, il semblerait que mon corps ne soit pas d'accord avec moi. Et puis, soyons honnêtes, si c'était pour me taper des meufs comme celle que j'avais en face de moi... Ouais, en fait, valait mieux être asexuelle. « Si ma bouche a traîné dans des endroits sales alors toi, c'est ton corps entier qui est sale... » dis-je avec un petit sourire moqueur. En échangeant ainsi des mots violents avec elle, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Pour le moment, j'avais juste envie de m'amuser un peu, parce qu'il fallait bien que quelque chose arrive dans cette journée plate. Autant nourrir un peu le feu. Elle m'avait l'air parfaite à provoquer en plus, c'était typiquement le genre de meuf qui avait une fierté mal placée et qui se sentait outrée à une seule remarque. J'adorais me foutre de leur gueule, ça blessait tellement leur pauvre petite fierté et ça me faisait hurler de rire. Je crois qu'en plus, j'avais bien réussi à l'énerver, elle semblait tellement hors d'elle. Son Gota ou Kota là, il fallait qu'il apprenne à aimer les filles de son rang. Moi, j'étais trop bien pour lui. Les excuses qu'on balançait en mode « han désolée bébé mais je pense que je dois te quitter, tu es trop bien pour moi... », eh bien pour moi, ça n'avait jamais été une excuse, puisque c'était vrai. Personne ne me correspondait, alors cela ne voulait-il pas dire que j'étais trop bien pour les autres ? Tant pis, c'étaient eux qui rataient quelque chose, moi, j'attendais encore la personne qui sera mon égale. Nourrissant bien le feu, la flamme finit par empester toute ma vision puisque avec un seul coup, mon visage vit le ciel et mon corps fut obligé de reculer de quelques pas. Une vive douleur s'empara de mon nez alors que je le touchai par simple réaction de défense. Oh la pute. Elle avait même fait craquer mon nez. Grimaçant car elle n'avait pas été légère sur son poing, je massai mon nez comme si quelque chose puait dans la salle. Oh, tiens, j'avais trouvé ce qui puait : elle. Se moquant clairement de moi pour cette ouverture de combat, elle avait rêvé pour penser que je me laisserais faire. Ce n'était pas un coup de poing dans le nez qui allait me faire peur et me faire m'excuser pour ce que j'avais fait à son petit Kota. Même à terre, en sang, je ne m'excuserais pas. Pourquoi m'excuser quand je n'avais rien fait de mal ? « Oh... Dans ce cas, toi, on doit te refaire ton visage entier. Il ressemble vraiment à rien... » Sans crier gare, je m'avançai soudainement vers elle pour lui mettre un coup de poing dans la joue. Je m'engageais dans une piste dangereuse, je m'en foutais. C'était elle qui avait commencé. Et, comme une gamine, je dirais que je m'étais simplement défendue. Bah quoi ? Il fallait bien s'abaisser au niveau de l'autre pour se faire comprendre, non ? Souriant d'un air complètement insolent, je fis craquer les os de ma main. « Hm, c'est un peux mieux mais... il faut que je le défigure encore plus pour que tu ressembles à quelque chose. » Eh ouais, dans son cas, se faire défigurer la fera ressembler à quelque chose. Ce sera elle qui me remerciera, une fois passée par le bistouri !
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Re: don't make my brother cry (harin) | Dim 3 Mar - 18:12 Citer EditerSupprimer
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harin & akiko
don't ever again make my baby brother cry or you'll regret it for the rest of your life.
cette discussion devenait clairement n’importe quoi. aucune de vous deux ne voulait lâcher le morceau et vous en étiez arrivés à un point où vous vous lanciez la balle avec des vacheries à chaque fois. c’était toi la plus vieille, c’était toi qui aurait du être la plus intelligente et arrêter tout ça. or, tu ne pouvais pas, parce que ton petit frère était en jeu. certes, kota n’avait pas demandé à ce que tu le défendes, mais tu ne le faisais quand même parce que la jeune femme avait eu le culot de faire pleurer la prunelle de tes yeux. et personne ne faisait de mal à tes petits frères. tu ris à sa remarque sur ton corps sale et tu la fusilles du regard ne renchérissant pas. dans un sens elle n’avait pas totalement tort. sans dire que tu couchais avec n’importe qui, il arrivait que tu aies des relations d’un soir sans lendemain que tu ne rappelait pas. alors, tu ne te considérais pas tellement comme quelqu’un de sale, mais tu n’étais pas non plus une sainte nitouche. elle par contre, même avec un bâton, les mecs ne devaient pas la toucher. tu ne comprenais pas ce que ton petit frère pouvait bien lui trouver. certes, elle n’était pas trop dégueu à regarder, mais c’était tout. il n’y avait rien de plus qui pourrait la faire être attirante. tu pousses un soupir avant de sentir la colère recommencer à monter à nouveau. elle s’en prenait une nouvelle fois à ton petit frère et tu ne pouvais pas la laisser faire. cette connasse allait payer et sans prévenir, tu viens écraser ton poing sur son nez. tu n’y mets pas assez de force pour réellement la foutre au tapis, mais assez pour sûrement le casser. tu souris satisfaite du bruit qu’il fait et tu continues de l’attaquer. une vraie gamine mais tu te rabaisses à son niveau pour pouvoir lui parler et lui faire comprendre que c’est mal ce qu’elle a fait. harin reprend et sa remarque te fait juste ricaner encore un peu plus. elle croit vraiment que ce genre de chose t’atteint ? non parce qu’elle serait presque cute de penser que c’est le cas. tu n’as pas le temps de rire plus longtemps qu’elle vient te foutre un poing à son tour. il s’écrase sur ta joue et tu ne bouges pas de beaucoup parce qu’honnêtement t’as reçu pire comme coup, mais il n’empêche qu’elle t’a clairement et totalement énervé. tu souris mauvaise alors que tu fais craquer ton cou et tes phalanges. elle va déguster et ça te ferait presque rire. « c’est tout ce que t’as gamine ? » que tu lances la cherchant. mais bon, ce n’était pas avec sa force que ça allait te faire quelque chose. après tout, tu te battais souvent dans la rue, donc ce n’était pas son petit coup qui allait te faire grand mal. tu te rapproches alors d’elle, enfonçant ton poing dans son ventre avec toute la force que tu as. elle t’a cherché, elle te trouve. tu voulais y aller doucement avec elle parce qu’elle ne faisait pas de boxe et qu’elle semblait un poil fragile. sauf que maintenant qu’elle t’a rendu le coup, tu n’as plus envie de te contrôler. tu as donc mis autant de force que si tu frappais un mec et tu souris encore plus satisfaite par le résultat. « j’espère que je ne t’ai pas fait trop mal… » demandes-tu avec un sourire mauvais sur les lèvres. « t’apprendras à rester à ta place la prochaine fois. » t’as pas réellement envie qu’elle continue de la ramener et de te frapper parce que tu pourrais réellement lui faire mal. mais si elle le fait et qu’elle te cherche, tu pourrais la mettre au tapis définitivement. t’envisagerais même de lui briser quelques os pour qu’elle comprenne. tu la regardes complètement satisfaite de toi. certes, ce n’était pas la meilleure méthode mais c’était comme ça que tu fonctionnais.
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Re: don't make my brother cry (harin) | Sam 16 Mar - 23:16 Citer EditerSupprimer
don't make my brother cry
harin & akiko
guys like me, guys love me, but i don't care. i don't love them, so why should i be loveable ?
Insolente était le mot qui me définissait le mieux. Le respect ? Je n'en avais pour personne, et certainement pas pour la meuf qui se tenait devant moi. Elle me cherchait, elle me trouvait, c'était simple ! Si on se contentait de petites piques moqueuses pour faire monter la tension, ça voulait bien dire que tout allait exploser à un moment donné. Et moi, ce moment, je l'attendais si fort ! J'avais si hâte de me battre avec elle, de lui montrer de quoi je me chauffais et de lui apprendre une bonne leçon. Qu'elle soit mon aînée ou pas, je m'en tapais clairement. Elle avait réveillé ma colère, elle la trouvait, c'était tout. Je n'étais pas la meilleure pour me battre, mais je savais me battre. Les petits combats de rue, je connaissais ça. Je m'étais déjà fait expulser de mon lycée temporairement parce que j'avais mis la raclée de sa vie à une fille. Pft, elle le méritait bien ! Et je pensais clairement que cette connasse-là, en face de moi, elle le mériterait bien aussi ! Je jubilais rien qu'à l'idée de la voir défigurée. Qu'est-ce qu'elle le méritait ! Alors, la tension atteignit enfin la limite cruciale et ce fut son poing qui s'écrasa sur mon nez. Sentant un craquage désagréable, je compris rapidement qu'elle venait de me le casser. Si elle pensait que j'allais me laisser faire... Elle se trompait sur toute la ligne. Un nez cassé, c'était pas la première fois que j'en avais un. J'étais pas faite de porcelaine, désolée chérie. T'avais cherché la mauvaise personne. Ne la laissant pas rester satisfaite de son poing, je le lui retournai. D'une façon pas aussi violente, je n'y étais pas allée de toutes mes forces non plus. Mon culot et ma fierté m'empêchaient de penser qu'ici, ce n'était pas moi la lionne. Je ne m'en rendrais sûrement jamais compte. Craquant les os de ma main, j'étais clairement contente de lui avoir assené ce coup de poing qu'elle méritait amplement. Son presque cadavre ferait si plaisir à voir... J'avais hâte de lui défoncer tout ce corps sale qu'elle possédait. Enfin, est-ce qu'on pourrait encore appeler ça un corps ? J'en rigolerais presque, si elle ne faisait pas craquer son cou et ses phalanges comme si je l'avais simplement effleurée du poing. Pff, elle faisait juste semblant de ne pas avoir mal. Je souris, bien trop fière pour m'admettre défaite. « Absolument pas, connasse. » Et puis, vint le coup de poing dans mon ventre. Je me fis propulser en arrière violemment, et je reculai de quelques pas, me tenant en deux dû à la soudaine douleur. Putain. C'était qu'elle y allait vraiment pas de main morte, cette meuf. Je grimaçai, claquant ma langue contre mon palais tout en taisant la douleur de mon ventre. « On va voir qui va rester à sa place ! » m'écriai-je, utilisant ma jambe pour lui rendre le coup en bas de son ventre : presque à l'endroit où il ne faudrait pas, en fait. Je me demandais même ce qui m'en empêchait ? Alors je voulus lui donner un deuxième coup, mais franchement Harin. Utiliser sa jambe, c'était en général pas une bonne idée.
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