flowers in my lungs -- jinhee (!hanahaki disease)
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flowers in my lungs -- jinhee (!hanahaki disease) | Dim 23 Sep - 14:56 Citer EditerSupprimer
flowers in my lungs ★ @chu jin hee
il y a ces fleurs qui grandissent en lui. vilaines - horribles, elles ne font qu'illustrer cet amour non réciproque. son cœur bat seul lorsqu'il regarde cette personne si chère à ses yeux. mal aimé, invisible. il n'y a que lui et cette solitude pesante. ses pensées qui fusent. va t-il succomber à la maladie de hanahaki ? mourir parce qu'il n'est pas fichu d'être aimé ? junji est prêt à se résigner. à disparaître parce qu'il pense que son cœur n'est fait que pour une personne. il ignore qui pourrait l'aimer, il ignore que lui-même est la cause de la douleur d'un autre être.
un être vient vers lui. toujours ce sourire radieux mais aujourd'hui il s'estompe. il/elle tousse des pétales, les yeux de junji se posent sur elle. « si seulement on était les soulmates de nos soulmates. » triste voeu, totalement irréalisable. il la regarde. « tu ne veux toujours pas me dire qui est ton soulmate ? » à cause de qui tu souffres, qui fait pousser des fleurs dans tes poumons. jardin mortel prêt à t'étouffer, à te trahir de l'intérieur. qui a ses mains autour de ton cou sans le savoir, qui a le cœur qui bat pour un autre que toi.
« j'ai peur d'y passer. parfois quand je tousse des pétales, ils sont ensanglantés. » révélation troublante, la maladie qui avance pour l'achever. se développe sans qu'il ne puisse rien y faire. le seul moyen serait l'opération mais elle est trop risquée. junji ne veut pas perdre ses sentiments, il ne se sent pas capable de vivre sans eux. l'autre solution est de tomber amoureux mais de qui ?
(( NOTE : La maladie de Hanahaki naît chez le patient à cause d'un amour à sens unique, le forçant à cracher et à tousser des pétales et des fleurs. La maladie peut-être soignée de deux façons, soit chirurgicalement, soit naturellement. Pour la première il faut opérer afin d'enlever les fleurs internes mais la conséquence est que la personne perdra tout sentiments liés à ces fleurs. La seconde consiste à faire de cet amour non réciproque, un amour partagé. Si la maladie n'est pas soignée, elle devient rapidement mortelle. ))
flowers in my lungs ★ @chu jin hee
il y a ces fleurs qui grandissent en lui. vilaines - horribles, elles ne font qu'illustrer cet amour non réciproque. son cœur bat seul lorsqu'il regarde cette personne si chère à ses yeux. mal aimé, invisible. il n'y a que lui et cette solitude pesante. ses pensées qui fusent. va t-il succomber à la maladie de hanahaki ? mourir parce qu'il n'est pas fichu d'être aimé ? junji est prêt à se résigner. à disparaître parce qu'il pense que son cœur n'est fait que pour une personne. il ignore qui pourrait l'aimer, il ignore que lui-même est la cause de la douleur d'un autre être.
un être vient vers lui. toujours ce sourire radieux mais aujourd'hui il s'estompe. il/elle tousse des pétales, les yeux de junji se posent sur elle. « si seulement on était les soulmates de nos soulmates. » triste voeu, totalement irréalisable. il la regarde. « tu ne veux toujours pas me dire qui est ton soulmate ? » à cause de qui tu souffres, qui fait pousser des fleurs dans tes poumons. jardin mortel prêt à t'étouffer, à te trahir de l'intérieur. qui a ses mains autour de ton cou sans le savoir, qui a le cœur qui bat pour un autre que toi.
« j'ai peur d'y passer. parfois quand je tousse des pétales, ils sont ensanglantés. » révélation troublante, la maladie qui avance pour l'achever. se développe sans qu'il ne puisse rien y faire. le seul moyen serait l'opération mais elle est trop risquée. junji ne veut pas perdre ses sentiments, il ne se sent pas capable de vivre sans eux. l'autre solution est de tomber amoureux mais de qui ?
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(( NOTE : La maladie de Hanahaki naît chez le patient à cause d'un amour à sens unique, le forçant à cracher et à tousser des pétales et des fleurs. La maladie peut-être soignée de deux façons, soit chirurgicalement, soit naturellement. Pour la première il faut opérer afin d'enlever les fleurs internes mais la conséquence est que la personne perdra tout sentiments liés à ces fleurs. La seconde consiste à faire de cet amour non réciproque, un amour partagé. Si la maladie n'est pas soignée, elle devient rapidement mortelle. ))
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Re: flowers in my lungs -- jinhee (!hanahaki disease) | Dim 21 Oct - 17:28 Citer EditerSupprimer
flowers in my lungs ★ @itô junji
des larmes coulent sur ton visage alors que tu tousses et que des pétales sortent de ta bouche avec du sang. les tiges, visibles sur ton corps, se serrent à la vision de l’homme que tu aimes s’avançant vers l’autel, sa future femme attendant dans un coin que ce soit son tour. tu as du mal à respirer et pourtant, tu restes là à regarder le bonheur que tu pensais touché du doigt s’envoler et partir en fumée. il t’a aimé, quelques mois tout au plus et tu as commencé à ressentir les effets de la maladie. au début, ce n’était rien, un ou deux pétales de temps en temps. et puis au fur et à mesure, ça a finit par devenir de plus en plus régulier, jusqu’à ce qu’une fleur sorte. t’as beaucoup pleuré ce jour-là et encore aujourd’hui tu pleures en le voyant s’éloigner de toi définitivement. il n’est pas à toi et ne le sera jamais. tu pourrais essayer de le reconquérir, mais tu n’es pas comme ça. tu ne peux pas briser le couple de quelqu’un pour ton propre bien. à la place, tu acceptes juste de ne pas être celle avec qui il finira sa vie. une autre crise de toux te bloque les poumons quelques secondes alors qu’ils échangent leurs vœux et les alliances. tu te débarrasses de la fleur blanche qui est sortie ensanglantée, tandis que tu ne quittes pas des yeux le mariage. tu devrais partir et ne plus jamais revenir, mais non, tu restes. et ce jusqu’à la fin. ce n’est que lorsque tu vois tout le cortège disparaitre au loin que tu décides de quitter les lieux. tu avances sans but jusqu’à ce que tu te retrouves là où de temps en temps tu vois quelqu’un qui a la même maladie que toi. d’ordinaire, tu souris essayant de relativiser les choses, mais pas cette fois-ci. tu t’assieds et un sourire triste s’affiche sur tes lèvres. sa question te fait tourner la tête dans sa direction et tu secoues la tête. « à quoi bon ? il m’aimera jamais autant que je l’aime. » pas maintenant qu’il était marié en plus. il reprend la parole et tu détournes le regard. la mort ne te fait plus peur, depuis que tu as vu la première fleur entière sortir de ta bouche. « ça fait deux semaines que je vomis des fleurs… » tu l’informes de l’avancée de ta maladie alors que tu laisses une nouvelle fois des larmes couler le long de ton visage.
flowers in my lungs ★ @itô junji
des larmes coulent sur ton visage alors que tu tousses et que des pétales sortent de ta bouche avec du sang. les tiges, visibles sur ton corps, se serrent à la vision de l’homme que tu aimes s’avançant vers l’autel, sa future femme attendant dans un coin que ce soit son tour. tu as du mal à respirer et pourtant, tu restes là à regarder le bonheur que tu pensais touché du doigt s’envoler et partir en fumée. il t’a aimé, quelques mois tout au plus et tu as commencé à ressentir les effets de la maladie. au début, ce n’était rien, un ou deux pétales de temps en temps. et puis au fur et à mesure, ça a finit par devenir de plus en plus régulier, jusqu’à ce qu’une fleur sorte. t’as beaucoup pleuré ce jour-là et encore aujourd’hui tu pleures en le voyant s’éloigner de toi définitivement. il n’est pas à toi et ne le sera jamais. tu pourrais essayer de le reconquérir, mais tu n’es pas comme ça. tu ne peux pas briser le couple de quelqu’un pour ton propre bien. à la place, tu acceptes juste de ne pas être celle avec qui il finira sa vie. une autre crise de toux te bloque les poumons quelques secondes alors qu’ils échangent leurs vœux et les alliances. tu te débarrasses de la fleur blanche qui est sortie ensanglantée, tandis que tu ne quittes pas des yeux le mariage. tu devrais partir et ne plus jamais revenir, mais non, tu restes. et ce jusqu’à la fin. ce n’est que lorsque tu vois tout le cortège disparaitre au loin que tu décides de quitter les lieux. tu avances sans but jusqu’à ce que tu te retrouves là où de temps en temps tu vois quelqu’un qui a la même maladie que toi. d’ordinaire, tu souris essayant de relativiser les choses, mais pas cette fois-ci. tu t’assieds et un sourire triste s’affiche sur tes lèvres. sa question te fait tourner la tête dans sa direction et tu secoues la tête. « à quoi bon ? il m’aimera jamais autant que je l’aime. » pas maintenant qu’il était marié en plus. il reprend la parole et tu détournes le regard. la mort ne te fait plus peur, depuis que tu as vu la première fleur entière sortir de ta bouche. « ça fait deux semaines que je vomis des fleurs… » tu l’informes de l’avancée de ta maladie alors que tu laisses une nouvelle fois des larmes couler le long de ton visage.
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Re: flowers in my lungs -- jinhee (!hanahaki disease) | Dim 9 Déc - 11:26 Citer EditerSupprimer
flowers in my lungs ★ @itô junji
maladie terrifiante, les pétales qui s'échappent et montrent l'avancée tragique. junji qui se perd dans ses pensées, se demande si la vie aurait été plus belle avec quelqu'un qui l'aimerait en retour. la réponse est oui. oui car il ne ressentirait pas cette douleur lancinante, ne souffrirait pas comme un fou à cause d'un amour voué à l'échec. l'objet de ses désirs est déjà loin, dans les bras d'un autre. tristesse évidente. s'il ne pleure pas, son corps lui fait ressentir chaque sentiment enfoui. fleurs qui poussent, beaux et mortels pétales. il se retrouve dans le sourire triste de cette fille qui arrive. elle se dessine sur l'horizon, comme un tableau se créant sous ses yeux. il ne s'attendait pas à croiser quelqu'un; encore moins à parler de sa maladie. il essaie souvent d'éviter le sujet. les gens n'aiment pas les histoires tristes. il préfère celles des soulmates, de ceux qui réussissent à vivre ensemble - heureux. ceux qui goûtent au bonheur, les contes de fées en résumé. elle s'assoit à ses côtés. les yeux de junji dérivent sur elle. il a parlé, s'est confié. questions qui se sont échappées mais elle secoue la tête. ne veut pas. il ne peut que comprendre. « c'est probablement vrai mais peut-être que ça te ferait du bien d'en parler. » que cet amour devienne une haine, que ton cœur brûle au lieu de saigner. elle fuit son regard à ses mots. pétales couverts de sang mais sa révélation est pire. elle vomit des fleurs; tragédie qui se profile. junji s'inquiète et alors qu'il se laisse emporter par ses pensées, il voit les larmes. perles salées qui roulent sur ses joues; il n'aime pas les voir, déteste entendre les sanglots. comme naturellement, il s'approche pour l'enlacer. la serre contre sa poitrine, essaie de contenir ses larmes. douces caresses dans ses cheveux. « il existe des solutions tu sais. » l'opération; l'opération mieux que la mort. ou alors la mort de ces sentiments par la naissance d'autres; « pourquoi tu pleures ? » est-ce la peur de mourir ou bien le cœur brisé ? il se le demande réellement, n'étant même pas sûr lui-même de ce qu'il ressent. et après avoir continué à la serrer fort, un murmure s'échappe. « essaie d'aimer quelqu'un d'autre. » il voudrait qu'elle vive; que ce sourire triste s'en aille. ils ne peuvent pas tous disparaître à cause de cette maladie.
flowers in my lungs ★ @itô junji
maladie terrifiante, les pétales qui s'échappent et montrent l'avancée tragique. junji qui se perd dans ses pensées, se demande si la vie aurait été plus belle avec quelqu'un qui l'aimerait en retour. la réponse est oui. oui car il ne ressentirait pas cette douleur lancinante, ne souffrirait pas comme un fou à cause d'un amour voué à l'échec. l'objet de ses désirs est déjà loin, dans les bras d'un autre. tristesse évidente. s'il ne pleure pas, son corps lui fait ressentir chaque sentiment enfoui. fleurs qui poussent, beaux et mortels pétales. il se retrouve dans le sourire triste de cette fille qui arrive. elle se dessine sur l'horizon, comme un tableau se créant sous ses yeux. il ne s'attendait pas à croiser quelqu'un; encore moins à parler de sa maladie. il essaie souvent d'éviter le sujet. les gens n'aiment pas les histoires tristes. il préfère celles des soulmates, de ceux qui réussissent à vivre ensemble - heureux. ceux qui goûtent au bonheur, les contes de fées en résumé. elle s'assoit à ses côtés. les yeux de junji dérivent sur elle. il a parlé, s'est confié. questions qui se sont échappées mais elle secoue la tête. ne veut pas. il ne peut que comprendre. « c'est probablement vrai mais peut-être que ça te ferait du bien d'en parler. » que cet amour devienne une haine, que ton cœur brûle au lieu de saigner. elle fuit son regard à ses mots. pétales couverts de sang mais sa révélation est pire. elle vomit des fleurs; tragédie qui se profile. junji s'inquiète et alors qu'il se laisse emporter par ses pensées, il voit les larmes. perles salées qui roulent sur ses joues; il n'aime pas les voir, déteste entendre les sanglots. comme naturellement, il s'approche pour l'enlacer. la serre contre sa poitrine, essaie de contenir ses larmes. douces caresses dans ses cheveux. « il existe des solutions tu sais. » l'opération; l'opération mieux que la mort. ou alors la mort de ces sentiments par la naissance d'autres; « pourquoi tu pleures ? » est-ce la peur de mourir ou bien le cœur brisé ? il se le demande réellement, n'étant même pas sûr lui-même de ce qu'il ressent. et après avoir continué à la serrer fort, un murmure s'échappe. « essaie d'aimer quelqu'un d'autre. » il voudrait qu'elle vive; que ce sourire triste s'en aille. ils ne peuvent pas tous disparaître à cause de cette maladie.
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Re: flowers in my lungs -- jinhee (!hanahaki disease) | Ven 11 Jan - 13:29 Citer EditerSupprimer
flowers in my lungs ★ @itô junji
la maladie avait progressé peut-être un peu plus vite que la plupart des gens. parce que tu t’étais accroché à cet amour, pensant naïvement que les choses rentreraient dans l’ordre, que tu resterais sa petite amie, que ce serait toi dans cette robe de mariée. mais la réalité t’avait frappé en plein visage. son mariage avec une autre, en était la preuve et tu n’avais rien pu faire pour le retenir. tu n’avais pas voulu te faire opérer. à quoi bon ? ce n’était pas comme si tu voulais oublier la douleur de ce que tu ressentais pour recommencer à nouveau. tu ne voulais plus avoir mal, mais tu ne voulais pas oublier. alors, la solution serait de mourir. mais tu étais trop lâche pour te donner la mort et quitter cette vie qui ne voulait pas que tu sois heureuse. alors, tu cherches le réconfort là où tu peux le trouver. tu t’assieds près de lui, refusant de donner des détails sur la raison de ta maladie. à quoi bon, ça ne changera jamais ce qu’il ressent pour toi. « je ne pense pas non… » et tu le sais, en parler ne fera qu’aggraver ton cas. tu risquerais de vomir une fleur entière signe de l’avancée de ta maladie. tu pleures alors, essayant de ne pas suffoquer à cause de cette prison de feuilles qui te serrent le cœur. il te prend dans ses bras et tu entoures son corps des tiens. ça ne t’apaise pas son étreinte mais tu te sens bien avec lui. tu secoues la tête quand il reprend la parole. « j’en veux pas. » que tu dis comme une enfant bornée qui ne veut pas manger son repas. tu ne veux pas de l’opération. ce serait pire que de mourir d’oublier tout et de devoir recommencer à zéro. tu n’étais pas à l’abri que ça recommence avec un autre. tu refusais de vivre cet enfer encore une fois. sa voix te parvient à nouveau et tu n’arrives pas à répondre. tu sais pourquoi tu pleures parce que tu as mal, tu veux mourir, tu veux arrêter de souffrir. mais tu ne sais pas réellement comment le dire pour qu’il te comprenne. alors, tu te taies et secoues une nouvelle fois la tête à sa suggestion. « j’en ai marre de souffrir. je ne veux plus jamais aimer. » hors de question de revivre ça. tu ne voulais pas. tu relèves la tête vers lui. « tu pourrais aimer quelqu’un d’autre ? passer par la case opération ? et tout oublier de la personne que tu aimes ? » questions que tu lui renvoies pour jauger sa réaction mais aussi qu’il comprenne ce que toi tu ressens. tu ne peux pas et ne veux pas faire ça. jamais.
flowers in my lungs ★ @itô junji
la maladie avait progressé peut-être un peu plus vite que la plupart des gens. parce que tu t’étais accroché à cet amour, pensant naïvement que les choses rentreraient dans l’ordre, que tu resterais sa petite amie, que ce serait toi dans cette robe de mariée. mais la réalité t’avait frappé en plein visage. son mariage avec une autre, en était la preuve et tu n’avais rien pu faire pour le retenir. tu n’avais pas voulu te faire opérer. à quoi bon ? ce n’était pas comme si tu voulais oublier la douleur de ce que tu ressentais pour recommencer à nouveau. tu ne voulais plus avoir mal, mais tu ne voulais pas oublier. alors, la solution serait de mourir. mais tu étais trop lâche pour te donner la mort et quitter cette vie qui ne voulait pas que tu sois heureuse. alors, tu cherches le réconfort là où tu peux le trouver. tu t’assieds près de lui, refusant de donner des détails sur la raison de ta maladie. à quoi bon, ça ne changera jamais ce qu’il ressent pour toi. « je ne pense pas non… » et tu le sais, en parler ne fera qu’aggraver ton cas. tu risquerais de vomir une fleur entière signe de l’avancée de ta maladie. tu pleures alors, essayant de ne pas suffoquer à cause de cette prison de feuilles qui te serrent le cœur. il te prend dans ses bras et tu entoures son corps des tiens. ça ne t’apaise pas son étreinte mais tu te sens bien avec lui. tu secoues la tête quand il reprend la parole. « j’en veux pas. » que tu dis comme une enfant bornée qui ne veut pas manger son repas. tu ne veux pas de l’opération. ce serait pire que de mourir d’oublier tout et de devoir recommencer à zéro. tu n’étais pas à l’abri que ça recommence avec un autre. tu refusais de vivre cet enfer encore une fois. sa voix te parvient à nouveau et tu n’arrives pas à répondre. tu sais pourquoi tu pleures parce que tu as mal, tu veux mourir, tu veux arrêter de souffrir. mais tu ne sais pas réellement comment le dire pour qu’il te comprenne. alors, tu te taies et secoues une nouvelle fois la tête à sa suggestion. « j’en ai marre de souffrir. je ne veux plus jamais aimer. » hors de question de revivre ça. tu ne voulais pas. tu relèves la tête vers lui. « tu pourrais aimer quelqu’un d’autre ? passer par la case opération ? et tout oublier de la personne que tu aimes ? » questions que tu lui renvoies pour jauger sa réaction mais aussi qu’il comprenne ce que toi tu ressens. tu ne peux pas et ne veux pas faire ça. jamais.
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