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[fb] you were there when i needed you (ft. minho)
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[fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Mar 2 Oct - 0:00
« désolée, mais on se voit bientôt. promis. » il était certain que son amie pouvait entendre le sourire qu’elle abordait au téléphone. parce qu’elle souriait malia, alors qu’elle souffrait. elle venait de refuser une invitation à la fête prénatale d’une de ses plus proches amies. une fête qu’elle n’aurait manqué pour rien au monde, si ce n’était pas trop difficile pour elle. seulement, c’est encore trop tôt. parler bébés pendant des heures, ouvrir des cadeaux où se trouveront des tas de choses que malia possédaient déjà, mais n’avait pas encore eu le courage de s'en débarrasser. et pourtant, ça faisait deux ans. deux ans qu’elle avait subi cette perte, mais elle n’arrivait pas encore à traverser certaines choses. elle continuait de sourire, saluant son amie avant de raccrocher. lorsqu’elle appuya sur le bouton rouge, son sourire s’effaça peu à peu. laissant tomber ce masque qu’elle avait enfilé au début de cette conversation téléphonique. elle releva la tête, observant quelques personnes se diriger vers le parking. elle se trouvait à l’arrière de la boîte où elle bossait en tant que strip-teaseuse. vêtue d’un gros manteau, sa tenue légère et sexy ne l’aidait pas à se réchauffer. elle croisa ses bras contre elle comme pour se réchauffer un peu plus. elle ne voulait pas rentrer tout de suite, elle devait rentrer, se remettre au travail, mais son coeur était encore bien trop lourd. il fallait qu’elle se reprenne, et elle allait le faire, comme d’habitude, elle s’accordait juste un peu de temps pour tenir le coup. et peut-être aussi, un peu de temps pour évacuer un peu, puisque ses larmes commencèrent à rouler le long de ses joues. et si elle commençait d’abord par les essuyer, les prochaines en sortiront vainqueurs. adossée contre ce mur, elle eut le réflexe de tourner la tête, reniflant, elle essuya rapidement ses joues. il n’y avait personne, mais elle n’était pas à l’abri que quelqu’un arrive, et c’était encore trop tôt pour prendre sur elle. trop tôt. elle ne demandait que quelques minutes, le temps d’effacer ces images. les images de cette nuit où on lui avait retiré son soleil, le soir où tout avait basculé, les images de ses affaires, des petits vêtements qu’elle avait acheté pour son bébé qui ne seront jamais portés.
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minho & lili
« désolée, mais on se voit bientôt. promis. » il était certain que son amie pouvait entendre le sourire qu’elle abordait au téléphone. parce qu’elle souriait malia, alors qu’elle souffrait. elle venait de refuser une invitation à la fête prénatale d’une de ses plus proches amies. une fête qu’elle n’aurait manqué pour rien au monde, si ce n’était pas trop difficile pour elle. seulement, c’est encore trop tôt. parler bébés pendant des heures, ouvrir des cadeaux où se trouveront des tas de choses que malia possédaient déjà, mais n’avait pas encore eu le courage de s'en débarrasser. et pourtant, ça faisait deux ans. deux ans qu’elle avait subi cette perte, mais elle n’arrivait pas encore à traverser certaines choses. elle continuait de sourire, saluant son amie avant de raccrocher. lorsqu’elle appuya sur le bouton rouge, son sourire s’effaça peu à peu. laissant tomber ce masque qu’elle avait enfilé au début de cette conversation téléphonique. elle releva la tête, observant quelques personnes se diriger vers le parking. elle se trouvait à l’arrière de la boîte où elle bossait en tant que strip-teaseuse. vêtue d’un gros manteau, sa tenue légère et sexy ne l’aidait pas à se réchauffer. elle croisa ses bras contre elle comme pour se réchauffer un peu plus. elle ne voulait pas rentrer tout de suite, elle devait rentrer, se remettre au travail, mais son coeur était encore bien trop lourd. il fallait qu’elle se reprenne, et elle allait le faire, comme d’habitude, elle s’accordait juste un peu de temps pour tenir le coup. et peut-être aussi, un peu de temps pour évacuer un peu, puisque ses larmes commencèrent à rouler le long de ses joues. et si elle commençait d’abord par les essuyer, les prochaines en sortiront vainqueurs. adossée contre ce mur, elle eut le réflexe de tourner la tête, reniflant, elle essuya rapidement ses joues. il n’y avait personne, mais elle n’était pas à l’abri que quelqu’un arrive, et c’était encore trop tôt pour prendre sur elle. trop tôt. elle ne demandait que quelques minutes, le temps d’effacer ces images. les images de cette nuit où on lui avait retiré son soleil, le soir où tout avait basculé, les images de ses affaires, des petits vêtements qu’elle avait acheté pour son bébé qui ne seront jamais portés.(c) DΛNDELION
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Re: [fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Sam 6 Oct - 18:33
encore une soirée où minho devait survivre et faire le moins de dégâts possible. il était là depuis à peine quelques semaines et il ne s’en sortait pas sans faire n’importe quoi. pas une soirée ne passait sans qu’il casse quelque chose, ou qu’il renverse un verre sur un client en passant dans la salle. il avait cette impression d’être la réincarnation de charlie chaplin qui tentait d’éviter la casse à chaque fois qu’il faisait quelques choses. la situation aurait pu être comique dans un film mais pas là, c’était bien loin d’être rigolo surtout quand le boss n’était pas loin. minho faisait son possible pour ne pas se faire virer, heureusement pour lui, il était tomber sur malia qui l’aidait à couvrir ses bourdes. elle le protégeait dans ce monde qui lui était étranger. s’il travaillait encore ici, c’était grâce à elle. il lui devait beaucoup, il ne savait pas trop pourquoi elle l’aidait puisque personne ne semblait le faire à part elle mais il ne se plaignait pas. derrière le comptoir de la boite, les gens était de plus en plus nombreux à cette heure-ci et tous semblaient complètement assoiffés, faut dire que regarder ses filles qui se dénudent peut donner soif. enfin ça, minho n’en savait rien puisqu’il était tout sauf hétéro. une fille avec qui il était l’envoya jeter une caisse entière de bouteilles vides, c’était une manière de lui faire comprendre qu’il était plus doué pour ça que pour servir des verres. il en avait bien conscience. il poussa la porte qui donnait à l’extérieur de son pieds droit et alla déposer la caisse vers les poubelles. il poussa un soupire, il en avait marre de cette soirée, il voulait juste rentrer chez lui et lire des comics. il tourna les talons pour retourner à l’intérieur mais il s’arrêta net, surpris de voir malia dehors, toute seule. il lâcha un soupire de soulagement quand il prit conscience que c’était elle. « wouah, tu m’as fais peur. » souria-t-il, la main posée sur le coeur. il s’attendait pas à la trouver ici. il l’entendit renifler, il perdit quelque peu son sourire pour froncé les sourcils. « ça va? pourquoi t'es là, toute seule ? » il eut le réflexe de la regarder avec un peu plus d’attention, il avait l’impression qu’elle pleurait mais il n’en était pas certain.
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encore une soirée où minho devait survivre et faire le moins de dégâts possible. il était là depuis à peine quelques semaines et il ne s’en sortait pas sans faire n’importe quoi. pas une soirée ne passait sans qu’il casse quelque chose, ou qu’il renverse un verre sur un client en passant dans la salle. il avait cette impression d’être la réincarnation de charlie chaplin qui tentait d’éviter la casse à chaque fois qu’il faisait quelques choses. la situation aurait pu être comique dans un film mais pas là, c’était bien loin d’être rigolo surtout quand le boss n’était pas loin. minho faisait son possible pour ne pas se faire virer, heureusement pour lui, il était tomber sur malia qui l’aidait à couvrir ses bourdes. elle le protégeait dans ce monde qui lui était étranger. s’il travaillait encore ici, c’était grâce à elle. il lui devait beaucoup, il ne savait pas trop pourquoi elle l’aidait puisque personne ne semblait le faire à part elle mais il ne se plaignait pas. derrière le comptoir de la boite, les gens était de plus en plus nombreux à cette heure-ci et tous semblaient complètement assoiffés, faut dire que regarder ses filles qui se dénudent peut donner soif. enfin ça, minho n’en savait rien puisqu’il était tout sauf hétéro. une fille avec qui il était l’envoya jeter une caisse entière de bouteilles vides, c’était une manière de lui faire comprendre qu’il était plus doué pour ça que pour servir des verres. il en avait bien conscience. il poussa la porte qui donnait à l’extérieur de son pieds droit et alla déposer la caisse vers les poubelles. il poussa un soupire, il en avait marre de cette soirée, il voulait juste rentrer chez lui et lire des comics. il tourna les talons pour retourner à l’intérieur mais il s’arrêta net, surpris de voir malia dehors, toute seule. il lâcha un soupire de soulagement quand il prit conscience que c’était elle. « wouah, tu m’as fais peur. » souria-t-il, la main posée sur le coeur. il s’attendait pas à la trouver ici. il l’entendit renifler, il perdit quelque peu son sourire pour froncé les sourcils. « ça va? pourquoi t'es là, toute seule ? » il eut le réflexe de la regarder avec un peu plus d’attention, il avait l’impression qu’elle pleurait mais il n’en était pas certain. (c) DΛNDELION
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Re: [fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Mer 7 Nov - 0:48
elle s'accorda que quelques minutes pour relâcher ses larmes. ce n'était pas simple pour la jeune femme, c'était encore trop tôt, et puis, elle n'était pas surhumaine. elle pouvait prétendre, faire semblant, tenir le coup, mais pour cela, il fallait qu'elle craque, ne serait-ce que quelques minutes. après ça, lili saura retrouver du courage et de la force, comme elle l'avait toujours fait. cependant, une voix lui fit relever la tête. entendant minho, elle s'empressa d'essuyer discrètement ses joues humides, retrouvant alors ce sourire chaleureux, qui se voulait rassurant même s'il débordait de tristesse. « excuse-moi, je n'voulais pas t'faire peur. » reprit-elle, toujours en efforçant de garder ce sourire. elle avait tant l'habitude de cacher ses maux, c'en était devenu une habitude pour elle. minho, c'était le petit nouveau ici, lili l'appréciait énormément, elle tentait même de prendre soin de lui du mieux possible, il avait l'air si.. fragile, et elle savait pertinemment qu'ici n'était pas un endroit pour lui, alors elle veillait sur lui, comme elle le pouvait. c'est aussi pour cette raison qu'elle garda ce sourire rassurant, elle voulait rassurer minho, ne pas qu'il s'inquiète. alors à sa question, elle regarda autour d'elle, hésitante. « oui, je.. euh.. » reprit-elle d'une voix faible, dû aux larmes qu'elle avait versées. « j'ai dû prendre un coup de fil, alors je suis sortie. » elle serra les bras, cherchant la chaleur que ce gros manteau pouvait lui procurer. « et toi, ça va ? » lui demanda t-elle par réflexe. elle changea de sujet, en espérant qu'il ne remarquerait rien, malgré ce reniflement qu'elle effectua. altruiste de nature, elle ne pouvait s'en empêcher. « le patron ne t'embête pas trop ? » elle se doutait qu'il l'avait envoyé sortir les poubelles, d'ailleurs, elle jeta un regard vers ces dernières.
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elle s'accorda que quelques minutes pour relâcher ses larmes. ce n'était pas simple pour la jeune femme, c'était encore trop tôt, et puis, elle n'était pas surhumaine. elle pouvait prétendre, faire semblant, tenir le coup, mais pour cela, il fallait qu'elle craque, ne serait-ce que quelques minutes. après ça, lili saura retrouver du courage et de la force, comme elle l'avait toujours fait. cependant, une voix lui fit relever la tête. entendant minho, elle s'empressa d'essuyer discrètement ses joues humides, retrouvant alors ce sourire chaleureux, qui se voulait rassurant même s'il débordait de tristesse. « excuse-moi, je n'voulais pas t'faire peur. » reprit-elle, toujours en efforçant de garder ce sourire. elle avait tant l'habitude de cacher ses maux, c'en était devenu une habitude pour elle. minho, c'était le petit nouveau ici, lili l'appréciait énormément, elle tentait même de prendre soin de lui du mieux possible, il avait l'air si.. fragile, et elle savait pertinemment qu'ici n'était pas un endroit pour lui, alors elle veillait sur lui, comme elle le pouvait. c'est aussi pour cette raison qu'elle garda ce sourire rassurant, elle voulait rassurer minho, ne pas qu'il s'inquiète. alors à sa question, elle regarda autour d'elle, hésitante. « oui, je.. euh.. » reprit-elle d'une voix faible, dû aux larmes qu'elle avait versées. « j'ai dû prendre un coup de fil, alors je suis sortie. » elle serra les bras, cherchant la chaleur que ce gros manteau pouvait lui procurer. « et toi, ça va ? » lui demanda t-elle par réflexe. elle changea de sujet, en espérant qu'il ne remarquerait rien, malgré ce reniflement qu'elle effectua. altruiste de nature, elle ne pouvait s'en empêcher. « le patron ne t'embête pas trop ? » elle se doutait qu'il l'avait envoyé sortir les poubelles, d'ailleurs, elle jeta un regard vers ces dernières.(c) DΛNDELION
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Re: [fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Sam 8 Déc - 21:37
des amis, ici, minho n'en avait que très peu. l'endroit n'était pas fait pour lui et on aimait bien lui rappeler. ils les entendaient les gens dans les vestiaires entrain de parler de lui sans savoir qu'ils les écoutaient. ce n'est qu'un boulet, il m'empêche de faire mon service. c'est ce que certains disaient et puis d'autres pouvaient dire bien pire. minho ne voulait pas en tenir compte néanmoins, leurs paroles restaient coincé dans un coin de sa tête et ressortaient à chaque fois qu'il faisait une bourde. il était maladroit, oui, mais au moins il essayait, malgré tout, essayer ne suffisait pas. en tout cas pas dans cet endroit. pourtant, au milieu de tout ça, il avait trouver lili qui le guidait et le couvrait quand il pouvait faire quelque chose de trop grave. la plupart du temps, il se demandait pourquoi elle s'embêtait avec lui alors qu'il s’efforçait de tout faire de travers. elle était si gentille, si patiente avec lui, non pas que minho se méfiait de sa gentillesse, il était bien trop naïf pour se méfier des autres, seulement il ne comprenait pas toujours. heureusement qu'elle était là pour lui, sans quoi ça ferait bien longtemps qu'il aurait été mit dehors. après avoir déposer la caisse de bouteilles vides et avoir sursauté de peur en voyant malia dehors toute seule, il s'approcha d'elle la main sur le cœur. la jeune femme s'excusa, minho ne pu s'empêcher de sourire gêné. « oh non, c'est pas grave. » répondit-il, simplement en la fixant peut-être un peu trop. la lumière extérieur l'empêchait de voir son visage mais il avait l'impression d'y voir des larmes. minho l'écouta parler fronçant les sourcils ne comprenant pas pourquoi, d'un coup, elle semblait si peu sûre d'elle. elle ramena le sujet sur lui obligeant minho à répondre à ses questions. « le patron, non, mais les serveuses, un peu... » un reniflement coupa le plus jeune dans sa réponse, il approcha un peu plus son visage comme un animal un peu trop curieux. peut-être qu'il se mêlait de ce qui ne le regardait pas. peut-être que s'il lui demandait il allait dépasser la limite à ne pas franchir. « je veux pas paraître indiscret, mais tu pleures ? » il lui demanda d'une voix soudainement plus enfantine que précédemment, une façon pour lui de rendre la question plus innocente. cette fille l'aidait toujours, et c'était bien la première fois qu'il sentait une différence. soudainement, il la trouvait plus vulnérable et il ne l'avait jamais connu comme ça. enfin, peut-être qu'il se trompait, peut-être qu'elle allait très bien. et c'est ce qu'il espérait, au fond, se tromper.
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des amis, ici, minho n'en avait que très peu. l'endroit n'était pas fait pour lui et on aimait bien lui rappeler. ils les entendaient les gens dans les vestiaires entrain de parler de lui sans savoir qu'ils les écoutaient. ce n'est qu'un boulet, il m'empêche de faire mon service. c'est ce que certains disaient et puis d'autres pouvaient dire bien pire. minho ne voulait pas en tenir compte néanmoins, leurs paroles restaient coincé dans un coin de sa tête et ressortaient à chaque fois qu'il faisait une bourde. il était maladroit, oui, mais au moins il essayait, malgré tout, essayer ne suffisait pas. en tout cas pas dans cet endroit. pourtant, au milieu de tout ça, il avait trouver lili qui le guidait et le couvrait quand il pouvait faire quelque chose de trop grave. la plupart du temps, il se demandait pourquoi elle s'embêtait avec lui alors qu'il s’efforçait de tout faire de travers. elle était si gentille, si patiente avec lui, non pas que minho se méfiait de sa gentillesse, il était bien trop naïf pour se méfier des autres, seulement il ne comprenait pas toujours. heureusement qu'elle était là pour lui, sans quoi ça ferait bien longtemps qu'il aurait été mit dehors. après avoir déposer la caisse de bouteilles vides et avoir sursauté de peur en voyant malia dehors toute seule, il s'approcha d'elle la main sur le cœur. la jeune femme s'excusa, minho ne pu s'empêcher de sourire gêné. « oh non, c'est pas grave. » répondit-il, simplement en la fixant peut-être un peu trop. la lumière extérieur l'empêchait de voir son visage mais il avait l'impression d'y voir des larmes. minho l'écouta parler fronçant les sourcils ne comprenant pas pourquoi, d'un coup, elle semblait si peu sûre d'elle. elle ramena le sujet sur lui obligeant minho à répondre à ses questions. « le patron, non, mais les serveuses, un peu... » un reniflement coupa le plus jeune dans sa réponse, il approcha un peu plus son visage comme un animal un peu trop curieux. peut-être qu'il se mêlait de ce qui ne le regardait pas. peut-être que s'il lui demandait il allait dépasser la limite à ne pas franchir. « je veux pas paraître indiscret, mais tu pleures ? » il lui demanda d'une voix soudainement plus enfantine que précédemment, une façon pour lui de rendre la question plus innocente. cette fille l'aidait toujours, et c'était bien la première fois qu'il sentait une différence. soudainement, il la trouvait plus vulnérable et il ne l'avait jamais connu comme ça. enfin, peut-être qu'il se trompait, peut-être qu'elle allait très bien. et c'est ce qu'il espérait, au fond, se tromper. (c) DΛNDELION
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Re: [fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Jeu 3 Jan - 3:43
elle se sentait mal, lili. le pire dans cette histoire ? il fallait qu'elle ravale ses larmes, qu'elle se remaquille, pour plaire aux clients, masquer sa peine, parce qu'elle était au travail. évidemment, qu'elle allait y parvenir, c'était malia, et elle était forte malgré tout, seulement, y parvenir n'était pas synonyme de facilité, et ce soir, c'était difficile pour elle. mais ce qui était encore plus difficile, c'était la présence de minho. elle ne le connaissait pas à merveille, mais elle l'adorait, seulement, il était présent. ce qui voulait dire qu'elle devait encore une fois, faire semblant, prétendre, ne se laissant même pas l'opportunité de craquer un bon coup parce qu'elle était comme ça. elle garda son mince sourire, qui se voulait rassurant mais qui était malgré tout, attristé. elle essaya de sujet de sujet, en parlant du patron mais elle perdit rapidement son sourire. l'habitude qu'elle avait prise, de couver minho, refaisait surface. « j'irai leur parler... je leur ai déjà dit d'être patiente avec toi. » répondit-elle aussitôt, un pique envers les serveuses se camouflant dans ses paroles, elle termina sa phrase par un reniflement qui venait de la trahir. elle releva la tête à sa question, elle aurait pu lui mentir, mais minho n'était pas idiot. malia ne voulait pas qu'il s'inquiète pour elle, alors elle retrouva son fin sourire. « oui m-mais.. c'est pas grave, rien.. de grave. » son sourire s'agrandit, un sourire forcé mais c'était bien plus fort qu'elle, elle voulait le rassurer. cela dit, elle finit par baisser la tête, fixant le sol alors que ses bras étaient toujours croisés contre elle, dans le but de se réchauffer un minimum. elle lui lança quelques regards, du coin de l'oeil, elle était hésitante. malia n'était pas habitué à parler d'elle, ni de ses soucis, seulement, minho lui inspirait grandement confiance. « je... » elle se coupa dans sa phrase. ils étaient comme coupés du monde, peut-être qu'elle pouvait se le permettre? « je repense juste à certaines choses... que j'ai vécu... et.. ça me rend triste. »
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elle se sentait mal, lili. le pire dans cette histoire ? il fallait qu'elle ravale ses larmes, qu'elle se remaquille, pour plaire aux clients, masquer sa peine, parce qu'elle était au travail. évidemment, qu'elle allait y parvenir, c'était malia, et elle était forte malgré tout, seulement, y parvenir n'était pas synonyme de facilité, et ce soir, c'était difficile pour elle. mais ce qui était encore plus difficile, c'était la présence de minho. elle ne le connaissait pas à merveille, mais elle l'adorait, seulement, il était présent. ce qui voulait dire qu'elle devait encore une fois, faire semblant, prétendre, ne se laissant même pas l'opportunité de craquer un bon coup parce qu'elle était comme ça. elle garda son mince sourire, qui se voulait rassurant mais qui était malgré tout, attristé. elle essaya de sujet de sujet, en parlant du patron mais elle perdit rapidement son sourire. l'habitude qu'elle avait prise, de couver minho, refaisait surface. « j'irai leur parler... je leur ai déjà dit d'être patiente avec toi. » répondit-elle aussitôt, un pique envers les serveuses se camouflant dans ses paroles, elle termina sa phrase par un reniflement qui venait de la trahir. elle releva la tête à sa question, elle aurait pu lui mentir, mais minho n'était pas idiot. malia ne voulait pas qu'il s'inquiète pour elle, alors elle retrouva son fin sourire. « oui m-mais.. c'est pas grave, rien.. de grave. » son sourire s'agrandit, un sourire forcé mais c'était bien plus fort qu'elle, elle voulait le rassurer. cela dit, elle finit par baisser la tête, fixant le sol alors que ses bras étaient toujours croisés contre elle, dans le but de se réchauffer un minimum. elle lui lança quelques regards, du coin de l'oeil, elle était hésitante. malia n'était pas habitué à parler d'elle, ni de ses soucis, seulement, minho lui inspirait grandement confiance. « je... » elle se coupa dans sa phrase. ils étaient comme coupés du monde, peut-être qu'elle pouvait se le permettre? « je repense juste à certaines choses... que j'ai vécu... et.. ça me rend triste. »(c) DΛNDELION
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Re: [fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Dim 13 Jan - 17:18
être un boulet. ne pas savoir quoi faire de ses mains. être un bon à rien. c’était le quotidien de minho. on lui rappelait souvent ces mots. des fois, c’était les serveuses dans les vestiaires, des fois c’était son père qui hurlait dessus. ça avait toujours fait parti de son quotidien et il avait finit par s’y faire et se mettre en tête que c’était la vérité. alors quand on était derrière son dos derrière le bar, il acceptait les réflexions sans broncher. de toute façon, que pouvait-il dire? il savait bien qu’il était parfois maladroit, qu’il avait tendance à laisser ses tocs mettre le bazar dans sa vie. il lui arrivait de se demander comment il n’était pas encore mit à la porte, mais la réponse était simple, il avait malia qui l’aidait. il ne savait pas trop pourquoi, mais elle n’avait rien à voir avec les autres employés. elle était patiente, gentille et toujours prête à lui venir en aide. elle était précieuse à ses yeux, un guide dans ce monde qu’il trouvait hostile. minho ne pouvait lui mentir, le patron de la boite ne disait rien, du moins pas ce soir, mais les serveuses, elles, ne loupaient pas une occasion pour lui rappeler à quel point il était incapable de faire quoique ce soit. la réponse de lili dissimulait un pique contre ses collègues, minho eut la soudaine impression d’avoir fait une connerie et d’être coupable de la mauvaise ambiance qu’il pouvait régner quand il était là. il baissa les yeux un instant, frottant le sol du bout des pieds. et puis, il y eut se reniflement qui attisa sa curiosité, il se permit de dévisager sa collègue avec --sûrement-- trop d'indiscrétion. il lui posa la question qui lui brûlait les lèvres, est-ce qu’elle pleurait? ou était-ce lui qui s’imaginait des choses? elle afficha un grand sourire qui sonnait faux, comme une façade pour cacher la tristesse. il lui répondit en plissant les lèvres, il ne voulait pas qu’elle se cache, ou fasse semblant même si tout donnait l’impression qu’elle n’avait pas d’autre choix. d’une voix hésitante, lili répondit buttant sur les mots sûrement pour ne pas inquiéter le plus jeune. ce dernier n’était pas du genre à poser des questions indiscrètes mais la savoir dans cet état l’inquiétait. certes, minho et malia n’étaient que des collègues mais le jeune homme s’attachait vite aux personnes qui lui montrait un semblant de gentillesse. pour lui, malia n’était plus qu’une collègue, c’était devenue une amie. un silence prit place, un silence gênant. qu’est-ce qu’il devait faire maintenant? s’en aller? la laisser toute seule? il resta muet en attendant que quelque chose se passe et puis, lili brisa le silence pour lui dire qu’elle avait repenser à des choses qu’elle avait vécu qui l’a rendait triste, encore aujourd’hui. minho acquiesça un sourire timide, s’approchant d’elle tout doucement en faisant attention à garder une certaine distance pour ne pas la brusquer. il ressentit le besoin de réduire la distance qu’il y avait entre eux pour créer une certaine intimité. sans savoir trop quoi répondre, il jouait avec ses doigts tandis qu’il la fixait. « tu veux un bonbon? » demanda-t-il, soudainement sortant de sa poche une friandise. il en avait toujours dans ses poches pour les manger ou simplement les compter quand il avait besoin de calmer son stresse. il vint s’appuyer contre le mur regardant cette fois devant lui. « je suis pas le meilleur pour les conseils, mais je sais écouter, alors si tu veux parler, vider ton sac, je peux t’aider. » il haussa légèrement les épaules avant de tourner la tête vers elle lui offrant un sourire sincère.
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être un boulet. ne pas savoir quoi faire de ses mains. être un bon à rien. c’était le quotidien de minho. on lui rappelait souvent ces mots. des fois, c’était les serveuses dans les vestiaires, des fois c’était son père qui hurlait dessus. ça avait toujours fait parti de son quotidien et il avait finit par s’y faire et se mettre en tête que c’était la vérité. alors quand on était derrière son dos derrière le bar, il acceptait les réflexions sans broncher. de toute façon, que pouvait-il dire? il savait bien qu’il était parfois maladroit, qu’il avait tendance à laisser ses tocs mettre le bazar dans sa vie. il lui arrivait de se demander comment il n’était pas encore mit à la porte, mais la réponse était simple, il avait malia qui l’aidait. il ne savait pas trop pourquoi, mais elle n’avait rien à voir avec les autres employés. elle était patiente, gentille et toujours prête à lui venir en aide. elle était précieuse à ses yeux, un guide dans ce monde qu’il trouvait hostile. minho ne pouvait lui mentir, le patron de la boite ne disait rien, du moins pas ce soir, mais les serveuses, elles, ne loupaient pas une occasion pour lui rappeler à quel point il était incapable de faire quoique ce soit. la réponse de lili dissimulait un pique contre ses collègues, minho eut la soudaine impression d’avoir fait une connerie et d’être coupable de la mauvaise ambiance qu’il pouvait régner quand il était là. il baissa les yeux un instant, frottant le sol du bout des pieds. et puis, il y eut se reniflement qui attisa sa curiosité, il se permit de dévisager sa collègue avec --sûrement-- trop d'indiscrétion. il lui posa la question qui lui brûlait les lèvres, est-ce qu’elle pleurait? ou était-ce lui qui s’imaginait des choses? elle afficha un grand sourire qui sonnait faux, comme une façade pour cacher la tristesse. il lui répondit en plissant les lèvres, il ne voulait pas qu’elle se cache, ou fasse semblant même si tout donnait l’impression qu’elle n’avait pas d’autre choix. d’une voix hésitante, lili répondit buttant sur les mots sûrement pour ne pas inquiéter le plus jeune. ce dernier n’était pas du genre à poser des questions indiscrètes mais la savoir dans cet état l’inquiétait. certes, minho et malia n’étaient que des collègues mais le jeune homme s’attachait vite aux personnes qui lui montrait un semblant de gentillesse. pour lui, malia n’était plus qu’une collègue, c’était devenue une amie. un silence prit place, un silence gênant. qu’est-ce qu’il devait faire maintenant? s’en aller? la laisser toute seule? il resta muet en attendant que quelque chose se passe et puis, lili brisa le silence pour lui dire qu’elle avait repenser à des choses qu’elle avait vécu qui l’a rendait triste, encore aujourd’hui. minho acquiesça un sourire timide, s’approchant d’elle tout doucement en faisant attention à garder une certaine distance pour ne pas la brusquer. il ressentit le besoin de réduire la distance qu’il y avait entre eux pour créer une certaine intimité. sans savoir trop quoi répondre, il jouait avec ses doigts tandis qu’il la fixait. « tu veux un bonbon? » demanda-t-il, soudainement sortant de sa poche une friandise. il en avait toujours dans ses poches pour les manger ou simplement les compter quand il avait besoin de calmer son stresse. il vint s’appuyer contre le mur regardant cette fois devant lui. « je suis pas le meilleur pour les conseils, mais je sais écouter, alors si tu veux parler, vider ton sac, je peux t’aider. » il haussa légèrement les épaules avant de tourner la tête vers elle lui offrant un sourire sincère.(c) DΛNDELION
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Re: [fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Jeu 14 Mar - 16:37
une maman poule, répondant toujours présente pour prendre soin et s'occuper des autres, lili a rapidement pris minho sous son aile. elle ne le connait pas si bien que ça, en réalité, elle ne le connaissait même pas, il y a quelques semaines de cela, mais la jeune femme a rapidement cerné le genre de garçon qu'il était. s'il a besoin de lili ? elle n'aurait jamais la prétention de dire ça, seulement, elle sait que cet environnement n'est pas fait pour lui ─ il n'est déjà pas fait pour elle, une nouvelle fois, elle tente de le préserver, tentant en vain de ravaler ses larmes. elle n'est pas du genre à étaler ses problèmes, lili, ni à se plaindre. les autres avant elle, c'est une règle d'or mais soyons honnête, se laisser toujours en retrait n'est pas une solution. alors elle tente, avouant à minho qu'elle avait simplement repensé à des choses qu'elle avait vécu, qui avait le don de la rendre triste. mais malia, c'est malia, elle s'efforce de sourire une nouvelle fois, tentant de le rassurer alors qu'elle vient clairement de lui avouer être triste. elle l'observe se rapprocher, et à sa question, malgré cette tristesse qui submerge son être, lili ne peut s'empêcher de lâcher prise, ricanant quelque peu, non sans renifler. si elle s'attendait à cette question ? pas vraiment, mais elle le trouve d'autant plus mignon. « je veux bien... merci. » répond t-elle, attrapant le bonbon qu'il tend dans sa direction. elle le retire rapidement du petit sachet, le larguant dans sa bouche alors qu'un silence s'installe. à nouveau, elle resserre ses bras autour d'elle comme pour se réchauffer, alors que minho reprend la parole. elle répond à son sourire, d'un sourire tout aussi sincère, débordant quelque peu sur une certaine nostalgie, et souffrance. « c'est juste que... » elle marque une courte pause, le temps pour elle de réussir à trouver les mots qu'il faut pour ne pas se faire trop de mal. elle baisse les yeux quelques secondes. « il y a un peu plus d'un an.. j'ai fait une fausse couche. » avoue t-elle, avant de reprendre: « et je m'en suis pas encore réellement remise... » elle relève son regard vers minho, les lèvres plissées alors que ses yeux sont toujours remplies de larmes. « j'y ai repensé, ce soir... et j’ai craqué. »
you were there
when i needed you
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minho & lili
une maman poule, répondant toujours présente pour prendre soin et s'occuper des autres, lili a rapidement pris minho sous son aile. elle ne le connait pas si bien que ça, en réalité, elle ne le connaissait même pas, il y a quelques semaines de cela, mais la jeune femme a rapidement cerné le genre de garçon qu'il était. s'il a besoin de lili ? elle n'aurait jamais la prétention de dire ça, seulement, elle sait que cet environnement n'est pas fait pour lui ─ il n'est déjà pas fait pour elle, une nouvelle fois, elle tente de le préserver, tentant en vain de ravaler ses larmes. elle n'est pas du genre à étaler ses problèmes, lili, ni à se plaindre. les autres avant elle, c'est une règle d'or mais soyons honnête, se laisser toujours en retrait n'est pas une solution. alors elle tente, avouant à minho qu'elle avait simplement repensé à des choses qu'elle avait vécu, qui avait le don de la rendre triste. mais malia, c'est malia, elle s'efforce de sourire une nouvelle fois, tentant de le rassurer alors qu'elle vient clairement de lui avouer être triste. elle l'observe se rapprocher, et à sa question, malgré cette tristesse qui submerge son être, lili ne peut s'empêcher de lâcher prise, ricanant quelque peu, non sans renifler. si elle s'attendait à cette question ? pas vraiment, mais elle le trouve d'autant plus mignon. « je veux bien... merci. » répond t-elle, attrapant le bonbon qu'il tend dans sa direction. elle le retire rapidement du petit sachet, le larguant dans sa bouche alors qu'un silence s'installe. à nouveau, elle resserre ses bras autour d'elle comme pour se réchauffer, alors que minho reprend la parole. elle répond à son sourire, d'un sourire tout aussi sincère, débordant quelque peu sur une certaine nostalgie, et souffrance. « c'est juste que... » elle marque une courte pause, le temps pour elle de réussir à trouver les mots qu'il faut pour ne pas se faire trop de mal. elle baisse les yeux quelques secondes. « il y a un peu plus d'un an.. j'ai fait une fausse couche. » avoue t-elle, avant de reprendre: « et je m'en suis pas encore réellement remise... » elle relève son regard vers minho, les lèvres plissées alors que ses yeux sont toujours remplies de larmes. « j'y ai repensé, ce soir... et j’ai craqué. »(c) DΛNDELION
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Re: [fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Sam 20 Avr - 1:17
minho n’était peut-être pas le plus doué pour aider les autres, il avait sans cesse la peur de faire une bourde, de dire quelque chose qui ne ferait qu’empirer la situation. son manque de confiance le poussait à croire qu’il ne pouvait rien faire à part être à l’écoute, que ses conseils n'apporteront jamais réconfort à celui qui les reçoit. pourtant, il a le mérite d’essayer, de toujours vouloir faire son possible pour que les gens qui l’entourent aillent mieux. alors quand il comprend la détresse de lili, il lui fait comprendre qu’il peut être une épaule sur laquelle elle peut se reposer si besoin. comme toujours, son amie lui répond d’un sourire que minho a appris à différencier de tous ceux qu’il reçoit de la part des autres filles de la boîte. lili a toujours débordé de sincérité à son égard contrairement aux autres. le jeune garçon répond par le même sourire sans vraiment s’attendre à ce qu’elle le prenne aux mots. mais voilà que la jeune femme se livre sous le ciel étoilé qui les surplombe. hésitante, elle révèle à minho qu’elle a fait une fausse couche il y a quelque mois et qu’elle a du mal à s’en remettre. la lumière faiblarde laisse apparaître le visage surpris du jeune homme qui ne s’attendait pas à un secret aussi lourd. il se sent pris au dépourvu sans savoir quoi dire… « oh… » laisse-t-il échapper baissant légèrement les yeux. il se sent bête à ne pas savoir quoi lui répondre. son cerveau cherche quelque chose à dire, ne serait-ce qu’un petit quelque chose qui pourrait combler le silence qui commence à devenir gênant. « je… je suis désolé… je pensais pas que… que c’était si grave. » il bafouille, fuit un peu le regard de la jeune femme prit pas la honte de ne pas savoir lui apporter plus de réconfort que cela. « je… je me sens un peu nul, j’ai pas les mots qu’il faut… » voilà, maintenant, il se sent con. con de ne pas savoir être là pour elle, comme elle l’est pour lui. ne trouvant rien d’assez fort pour soulager sa peine, il fonce dans ses bras parce que, pour ça, minho est doué. c’est un jeune homme tactile qui a manqué de tendresse et qui en a à revendre alors il se colle à lili, la sert dans ses bras frêles et lui lâche simplement: « j’aimerais pouvoir t’aider… »
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minho n’était peut-être pas le plus doué pour aider les autres, il avait sans cesse la peur de faire une bourde, de dire quelque chose qui ne ferait qu’empirer la situation. son manque de confiance le poussait à croire qu’il ne pouvait rien faire à part être à l’écoute, que ses conseils n'apporteront jamais réconfort à celui qui les reçoit. pourtant, il a le mérite d’essayer, de toujours vouloir faire son possible pour que les gens qui l’entourent aillent mieux. alors quand il comprend la détresse de lili, il lui fait comprendre qu’il peut être une épaule sur laquelle elle peut se reposer si besoin. comme toujours, son amie lui répond d’un sourire que minho a appris à différencier de tous ceux qu’il reçoit de la part des autres filles de la boîte. lili a toujours débordé de sincérité à son égard contrairement aux autres. le jeune garçon répond par le même sourire sans vraiment s’attendre à ce qu’elle le prenne aux mots. mais voilà que la jeune femme se livre sous le ciel étoilé qui les surplombe. hésitante, elle révèle à minho qu’elle a fait une fausse couche il y a quelque mois et qu’elle a du mal à s’en remettre. la lumière faiblarde laisse apparaître le visage surpris du jeune homme qui ne s’attendait pas à un secret aussi lourd. il se sent pris au dépourvu sans savoir quoi dire… « oh… » laisse-t-il échapper baissant légèrement les yeux. il se sent bête à ne pas savoir quoi lui répondre. son cerveau cherche quelque chose à dire, ne serait-ce qu’un petit quelque chose qui pourrait combler le silence qui commence à devenir gênant. « je… je suis désolé… je pensais pas que… que c’était si grave. » il bafouille, fuit un peu le regard de la jeune femme prit pas la honte de ne pas savoir lui apporter plus de réconfort que cela. « je… je me sens un peu nul, j’ai pas les mots qu’il faut… » voilà, maintenant, il se sent con. con de ne pas savoir être là pour elle, comme elle l’est pour lui. ne trouvant rien d’assez fort pour soulager sa peine, il fonce dans ses bras parce que, pour ça, minho est doué. c’est un jeune homme tactile qui a manqué de tendresse et qui en a à revendre alors il se colle à lili, la sert dans ses bras frêles et lui lâche simplement: « j’aimerais pouvoir t’aider… » (c) DΛNDELION
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Re: [fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Dim 7 Juil - 22:35
que peut-il répondre à une telle annonce, de toute façon ? lili ne veut pas le mettre mal à l'aise, qu'il se sente mal, et bien, on dirait que c'est raté. il s'excuse même auprès d'elle, pourquoi s'excuse t-il ? ce n'est pas de sa faute, et il ne pouvait pas le savoir. difficilement, malia affiche un sourire défensif, repoussant tant bien que mal toutes ces mauvaises pensées, tous ces mauvais ressentis. elle est forte, lili, et ce n'est pas aujourd'hui qu'elle baissera les bras, encore moins en voyant l'état de minho. même dans une situation pareil, son naturel prend rapidement le dessus : être là pour lui, le rassurer, en espérant que son sourire ainsi que ses paroles, seront suffisantes. « ne t'en fait pas, ce.. ce n'est pas de ta faute, tu ne pouvais pas le savoir. » lui assure t-elle, aussitôt, alors que les mots du jeune homme lui vont droit au cœur. hors de question qu'il se sente si mal, et qu'il réfléchisse ainsi. elle s'apprête d'ailleurs à reprendre la parole, mais le plus jeune agit bien rapidement, en fonçant dans ses bras. ils ont beau être très proche, c'est la première fois que ce genre de contact les relie l'un à l'autre. un geste plus réchauffant, que ce pauvre gros manteau qu'elle porte sur les épaules et qui couvre sa fine tenue de strip-teaseuse. ainsi, elle passe ses bras autour de lui, le serrant fort contre elle. « tu m'aides... tu sais? beaucoup plus que tu ne l'imagines. ne te sens pas nul. » si si, soyez-en sûrs. elle resserre quelque peu son emprise sur lui, comme pour imager ses paroles, avant de s'écarter quelque peu de lui, cherchant son regard, sans pour autant décoller son corps du sien. elle vient essuyer une larme qui roule le long de sa joue froide. « t-tu vois quelqu'un d'autre ici, toi ? » demande t-elle, lançant un rapide regard autour d'eux, étant certaine de n'y trouver personne. d'ailleurs, elle reprend rapidement, avant de lui laisser le temps de répondre: « non, personne. personne ne se demande où je suis, personne ne s'inquiète. et pourtant, toi, tu es là. » lili a l'habitude de la solitude, ça ne l'effraie guère, cependant, pouvoir se reposer dans les bras de quelqu'un n'est pas quelque chose qu'on lui a souvent offert. un sourire plus sincère, malgré la tristesse de ce rictus, son regard reste planté dans le sien un instant, alors qu'elle vient le reprendre dans ses bras et le serrer tout aussi fort qu'il y a quelques secondes. « merci. ça me fait un bien fou de t'avoir ici. » lui avoue t-elle, sincèrement. à défaut de bosser dans un endroit peu toxique, lili a la chance d'avoir fait la rencontre de minho.
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que peut-il répondre à une telle annonce, de toute façon ? lili ne veut pas le mettre mal à l'aise, qu'il se sente mal, et bien, on dirait que c'est raté. il s'excuse même auprès d'elle, pourquoi s'excuse t-il ? ce n'est pas de sa faute, et il ne pouvait pas le savoir. difficilement, malia affiche un sourire défensif, repoussant tant bien que mal toutes ces mauvaises pensées, tous ces mauvais ressentis. elle est forte, lili, et ce n'est pas aujourd'hui qu'elle baissera les bras, encore moins en voyant l'état de minho. même dans une situation pareil, son naturel prend rapidement le dessus : être là pour lui, le rassurer, en espérant que son sourire ainsi que ses paroles, seront suffisantes. « ne t'en fait pas, ce.. ce n'est pas de ta faute, tu ne pouvais pas le savoir. » lui assure t-elle, aussitôt, alors que les mots du jeune homme lui vont droit au cœur. hors de question qu'il se sente si mal, et qu'il réfléchisse ainsi. elle s'apprête d'ailleurs à reprendre la parole, mais le plus jeune agit bien rapidement, en fonçant dans ses bras. ils ont beau être très proche, c'est la première fois que ce genre de contact les relie l'un à l'autre. un geste plus réchauffant, que ce pauvre gros manteau qu'elle porte sur les épaules et qui couvre sa fine tenue de strip-teaseuse. ainsi, elle passe ses bras autour de lui, le serrant fort contre elle. « tu m'aides... tu sais? beaucoup plus que tu ne l'imagines. ne te sens pas nul. » si si, soyez-en sûrs. elle resserre quelque peu son emprise sur lui, comme pour imager ses paroles, avant de s'écarter quelque peu de lui, cherchant son regard, sans pour autant décoller son corps du sien. elle vient essuyer une larme qui roule le long de sa joue froide. « t-tu vois quelqu'un d'autre ici, toi ? » demande t-elle, lançant un rapide regard autour d'eux, étant certaine de n'y trouver personne. d'ailleurs, elle reprend rapidement, avant de lui laisser le temps de répondre: « non, personne. personne ne se demande où je suis, personne ne s'inquiète. et pourtant, toi, tu es là. » lili a l'habitude de la solitude, ça ne l'effraie guère, cependant, pouvoir se reposer dans les bras de quelqu'un n'est pas quelque chose qu'on lui a souvent offert. un sourire plus sincère, malgré la tristesse de ce rictus, son regard reste planté dans le sien un instant, alors qu'elle vient le reprendre dans ses bras et le serrer tout aussi fort qu'il y a quelques secondes. « merci. ça me fait un bien fou de t'avoir ici. » lui avoue t-elle, sincèrement. à défaut de bosser dans un endroit peu toxique, lili a la chance d'avoir fait la rencontre de minho.(c) DΛNDELION
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Re: [fb] you were there when i needed you (ft. minho) | Ven 12 Juil - 21:04
il pouvait pas savoir, minho, ouais. il se doutait même pas que c’était un problème si grave. lui, il est dans son monde, toujours trop loin de la réalité. c’est bien ça le souci, la vérité le frappe toujours plus fort. dans sa bulle, le mal existe pas, les problèmes non plus. il se dit que tout le monde vit les choses comme lui. mais non, les autres vivent des choses horribles qui peut les briser, leur faire perdre une partie d’eux même. ça il l’oublie trop vite. ne trouvant pas de mots réconfortants à lui dire, il la prend dans ses bras et la serre fort pour lui faire comprendre qu’il est là. un soutien comme un autre. comme toujours la belle lui dit des mots rassurants. toujours positive, malia, même si le monde s’effondre, elle trouvera un moyen d’y voir du positif. ça fait du bien à minho. il se sent moins nul comme ça. presque utile quand elle lui dit qu’il l’aide. il pourrait se dire que non, mais il boit ses paroles. oreilles attentives quand il s’agit d’écouter les douces paroles de la blonde. il lève les yeux vers elle, balaye l’horizon des yeux quand elle lui demande s’il y a quelqu’un d’autre. pas une âme qui vive. que eux deux sous le ciel étoilés. ses yeux se reposent sur son visage. toujours aussi attentif, il écoute. minho est là, oui parce qu’il est comme ça. il s’inquiète pour les autres, même ceux qui ne l’apprécient pas. c’est plus fort que lui. lili le remercie d’être là ajoutant que ça lui fait du bien de le savoir à ses côtés. un fin sourire qui s’affiche sur son visage. minho se voit être rassuré par la jeune femme alors qu’il aurait dû le faire. « t’es la seule amie que j’ai ici, j’allais pas te laisser tomber. » le jeune homme s’écarte un peu d’elle mais garde son sourire enfantin. « si t’as besoin de quelqu’un, je serais toujours là, ok? » minho est peut-être maladroit par moment, peut être un peu trop angoissé et bourré de tocs mais ça ne l’empêche pas d’être un ami fiable. il ne manque pas de volonté quand il s’agit d’aider les autres. ensuite, il se tourne vers la porte de service. il devrait rentrer, on l’attend sûrement ou peut-être pas mais il devrait reprendre son service. « peut-être qu'on devrait rentrés, non? » dit-il un peu hésitant avant de reculer vers la porte et rentrer à nouveau dans la boîte accompagné de lili.
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il pouvait pas savoir, minho, ouais. il se doutait même pas que c’était un problème si grave. lui, il est dans son monde, toujours trop loin de la réalité. c’est bien ça le souci, la vérité le frappe toujours plus fort. dans sa bulle, le mal existe pas, les problèmes non plus. il se dit que tout le monde vit les choses comme lui. mais non, les autres vivent des choses horribles qui peut les briser, leur faire perdre une partie d’eux même. ça il l’oublie trop vite. ne trouvant pas de mots réconfortants à lui dire, il la prend dans ses bras et la serre fort pour lui faire comprendre qu’il est là. un soutien comme un autre. comme toujours la belle lui dit des mots rassurants. toujours positive, malia, même si le monde s’effondre, elle trouvera un moyen d’y voir du positif. ça fait du bien à minho. il se sent moins nul comme ça. presque utile quand elle lui dit qu’il l’aide. il pourrait se dire que non, mais il boit ses paroles. oreilles attentives quand il s’agit d’écouter les douces paroles de la blonde. il lève les yeux vers elle, balaye l’horizon des yeux quand elle lui demande s’il y a quelqu’un d’autre. pas une âme qui vive. que eux deux sous le ciel étoilés. ses yeux se reposent sur son visage. toujours aussi attentif, il écoute. minho est là, oui parce qu’il est comme ça. il s’inquiète pour les autres, même ceux qui ne l’apprécient pas. c’est plus fort que lui. lili le remercie d’être là ajoutant que ça lui fait du bien de le savoir à ses côtés. un fin sourire qui s’affiche sur son visage. minho se voit être rassuré par la jeune femme alors qu’il aurait dû le faire. « t’es la seule amie que j’ai ici, j’allais pas te laisser tomber. » le jeune homme s’écarte un peu d’elle mais garde son sourire enfantin. « si t’as besoin de quelqu’un, je serais toujours là, ok? » minho est peut-être maladroit par moment, peut être un peu trop angoissé et bourré de tocs mais ça ne l’empêche pas d’être un ami fiable. il ne manque pas de volonté quand il s’agit d’aider les autres. ensuite, il se tourne vers la porte de service. il devrait rentrer, on l’attend sûrement ou peut-être pas mais il devrait reprendre son service. « peut-être qu'on devrait rentrés, non? » dit-il un peu hésitant avant de reculer vers la porte et rentrer à nouveau dans la boîte accompagné de lili.(c) DΛNDELION
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