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relai poodle nain (meekyung)
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relai poodle nain (meekyung) | Lun 8 Oct - 22:28 
« J’aime les animaux. Le chien est l’ami de l’Homme. Les animaux en peluche méritent aussi notre respect. » C’est un chant, un psaume, une prière à peine chuchotée. Woof. Woof. Je vais craquer. Je me range sur le côté et gare la voiture devant le bâtiment. Ça me fait ni chaud ni froid de voir que je suis à cheval sur deux places de stationnement et que j’ai mangé la moitié du trottoir sous la carrosserie. Je tire la laisse sur le siège passager et j’entends un gros boum suivi d’un aboiement ; un de plus. Je vous jure que mes nerfs vont lâcher. Et comme si c’était pas déjà assez de devoir faire des tours de quartier avec un poodle mécanique qui fait ses besoins sur les prises électriques (because why not après tout), voilà que maintenant le truc veut plus avancer et moi, j’adore les animaux mais là, je l’attrape par le collier et heureusement que la société protectrice des animaux mécaniques n’existe pas parce que sinon je l’aurais déjà refourgué là-bas et je les aurais même payé pour qu'ils me le prennent – ironie du sort, l’acronyme donne SPAM.
Je m’excuse par avance aux panthères que j’ai du terrifier sur mon chemin. J’ai pas dormi de la nuit et mes cernes se baladent sur l’autoroute A6 entre Paris et Marseille, d’une distance à peu près équivalente d’ailleurs. Instant dramatique, je me plante trois fois de chambre avant de trouver celle de Mee Kyung et refermer la porte dans la foulée. « Je vais changer de cursus. C’est pas fait pour moi tout ça, t’en penses quoi de l’ASMR ? Paraît qu’il y a de l’avenir là-dedans. » J’ai des palpitations et les cheveux dans tous les sens. J’avance dans la pièce et tire sur la laisse dans un nouveau bruit assourdissant, avant de comprendre que chaque fois que je tire, le jouet cogne de l’autre côté de la porte. Et quand je l’ouvre, le suppôt de Satan est là. Il attend avec sa langue toute rose à moitié sortie et son air un peu idiot. « Je vais craquer Meeki tu m'entends ? Prends-le. Garde-le. Fais en ce que tu veux, ok ? » Je dis en motionnant la laisse dans sa direction. Bien sûr que je veux m’en débarrasser ! Comme elle l’a fait en me le refilant le jour d’avant. Et comme elle le refera en me le refilant le jour suivant. CQFD.
☆☆☆ Beerus
relai poodle-nain
« J’aime les animaux. Le chien est l’ami de l’Homme. Les animaux en peluche méritent aussi notre respect. » C’est un chant, un psaume, une prière à peine chuchotée. Woof. Woof. Je vais craquer. Je me range sur le côté et gare la voiture devant le bâtiment. Ça me fait ni chaud ni froid de voir que je suis à cheval sur deux places de stationnement et que j’ai mangé la moitié du trottoir sous la carrosserie. Je tire la laisse sur le siège passager et j’entends un gros boum suivi d’un aboiement ; un de plus. Je vous jure que mes nerfs vont lâcher. Et comme si c’était pas déjà assez de devoir faire des tours de quartier avec un poodle mécanique qui fait ses besoins sur les prises électriques (because why not après tout), voilà que maintenant le truc veut plus avancer et moi, j’adore les animaux mais là, je l’attrape par le collier et heureusement que la société protectrice des animaux mécaniques n’existe pas parce que sinon je l’aurais déjà refourgué là-bas et je les aurais même payé pour qu'ils me le prennent – ironie du sort, l’acronyme donne SPAM.
Je m’excuse par avance aux panthères que j’ai du terrifier sur mon chemin. J’ai pas dormi de la nuit et mes cernes se baladent sur l’autoroute A6 entre Paris et Marseille, d’une distance à peu près équivalente d’ailleurs. Instant dramatique, je me plante trois fois de chambre avant de trouver celle de Mee Kyung et refermer la porte dans la foulée. « Je vais changer de cursus. C’est pas fait pour moi tout ça, t’en penses quoi de l’ASMR ? Paraît qu’il y a de l’avenir là-dedans. » J’ai des palpitations et les cheveux dans tous les sens. J’avance dans la pièce et tire sur la laisse dans un nouveau bruit assourdissant, avant de comprendre que chaque fois que je tire, le jouet cogne de l’autre côté de la porte. Et quand je l’ouvre, le suppôt de Satan est là. Il attend avec sa langue toute rose à moitié sortie et son air un peu idiot. « Je vais craquer Meeki tu m'entends ? Prends-le. Garde-le. Fais en ce que tu veux, ok ? » Je dis en motionnant la laisse dans sa direction. Bien sûr que je veux m’en débarrasser ! Comme elle l’a fait en me le refilant le jour d’avant. Et comme elle le refera en me le refilant le jour suivant. CQFD.
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Re: relai poodle nain (meekyung) | Mar 30 Oct - 16:36 
le stylo dans la bouche, tu essaies de comprendre un exercice de mathématiques. enfin, ce n’est pas que tu ne le comprends pas, c’est que tu n’arrives pas à savoir où tu t’es trompée. tu as tout fait bien comme il faut et le résultat n’est pas celui que tu devrais avoir. tu as beau refaire encore et encore les calculs, tu retombes toujours sur le même résultat, faux bien entendu. ça te stresse et en même temps te frustre parce que tu n’arrives pas à trouver la bonne réponse. tu laisses échapper un petit râle de désespoir alors que tu lances ton stylo sur ton bureau. « ça me saoule. » que tu dis alors que tu es seule. te levant pour aller sur ton lit et te reposer un peu, tu ne peux pas t’empêcher de revenir ranger ton stylo dans le pot des stylos noirs. parce que oui, tu as un pot à crayons pour chaque couleur même si tu n’as qu’un ou deux stylos par pot. mais tu es comme ça, c’est un toc que tu as. tu ranges tout par couleur et par ordre alphabétique, et c’est très contraignant en fait, même si ça ne t’angoisses pas vraiment si tu ne le fais pas. tu souris satisfaite avant de te coucher sur ton lit pour te reposer quelques instants. c’était sans compter sur ta porte qui s’ouvre et une seah qui entre dans ta chambre au bout du rouleau. elle commence à parler et tu laisses un nouveau sourire s’afficher sur tes lèvres tandis que tu te redresses sur le lit et que tu observes son manège. tu as remarqué que le chien mécanique dont vous vous occupez était coincé dehors, mais tu ne dis rien, attendant de voir combien de temps elle mettra avant de s’en rendre compte. « ta voix est sexy seah, je suis sûre que tu perceras dans le métier. » sa voix est douce, la plupart du temps. mais pas là parce que tu vois qu’elle s’agace et quand elle rouvre la porte pour laisser passer le chien, tu vois bien qu’elle est vraiment à bout. tu ris à ses mots avant de tendre la main pour récupérer la laisse. « allez donne moi le seah. je peux voir que tu as besoin de repos. » tu tapotes ton lit pour qu’elle vienne s’asseoir à tes côtés. « et si tu me disais ce qu’il a fait pour te taper sur le système comme ça ? » et tu laisses un soupir s’afficher sur tes lèvres attendant sa réponse.
☆☆☆ Beerus
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le stylo dans la bouche, tu essaies de comprendre un exercice de mathématiques. enfin, ce n’est pas que tu ne le comprends pas, c’est que tu n’arrives pas à savoir où tu t’es trompée. tu as tout fait bien comme il faut et le résultat n’est pas celui que tu devrais avoir. tu as beau refaire encore et encore les calculs, tu retombes toujours sur le même résultat, faux bien entendu. ça te stresse et en même temps te frustre parce que tu n’arrives pas à trouver la bonne réponse. tu laisses échapper un petit râle de désespoir alors que tu lances ton stylo sur ton bureau. « ça me saoule. » que tu dis alors que tu es seule. te levant pour aller sur ton lit et te reposer un peu, tu ne peux pas t’empêcher de revenir ranger ton stylo dans le pot des stylos noirs. parce que oui, tu as un pot à crayons pour chaque couleur même si tu n’as qu’un ou deux stylos par pot. mais tu es comme ça, c’est un toc que tu as. tu ranges tout par couleur et par ordre alphabétique, et c’est très contraignant en fait, même si ça ne t’angoisses pas vraiment si tu ne le fais pas. tu souris satisfaite avant de te coucher sur ton lit pour te reposer quelques instants. c’était sans compter sur ta porte qui s’ouvre et une seah qui entre dans ta chambre au bout du rouleau. elle commence à parler et tu laisses un nouveau sourire s’afficher sur tes lèvres tandis que tu te redresses sur le lit et que tu observes son manège. tu as remarqué que le chien mécanique dont vous vous occupez était coincé dehors, mais tu ne dis rien, attendant de voir combien de temps elle mettra avant de s’en rendre compte. « ta voix est sexy seah, je suis sûre que tu perceras dans le métier. » sa voix est douce, la plupart du temps. mais pas là parce que tu vois qu’elle s’agace et quand elle rouvre la porte pour laisser passer le chien, tu vois bien qu’elle est vraiment à bout. tu ris à ses mots avant de tendre la main pour récupérer la laisse. « allez donne moi le seah. je peux voir que tu as besoin de repos. » tu tapotes ton lit pour qu’elle vienne s’asseoir à tes côtés. « et si tu me disais ce qu’il a fait pour te taper sur le système comme ça ? » et tu laisses un soupir s’afficher sur tes lèvres attendant sa réponse.
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Re: relai poodle nain (meekyung) | Sam 12 Jan - 11:55
J'oublie ma passion, j'oublie mes études. Jour sacro-saint de la remise en question, l'heure est fatidique : objectif nouveaux horizons. "Je sais ! Qu'est-ce que je perds mon temps à m'occuper d'un poodle nain en plastique capricieux et-- sérieux mais pour l'amour de dieu, il est en plastique ! Est-ce que tout ça a un sens ?!" J'ai déjà lâché prise sur la laisse depuis une éternité quand je viens me crasher sur son lit. "Tu veux pas être mon cobaye ? T'as dis toi même que j'avais une voix sexy et tu sais pas encore ce que ces ongles-là peuvent faire sur des surfaces planes !" Je tapote le bout de mes doigts sur un coin de son mur avant de réaliser que je n'y connais rien ni à la rythmique ni au silence et mon bras retombe mollement sur le matelas dans un soupir. "Il couine, il sait pas s'arrêter ! Je l'ai mis dehors pour qu'il aille prendre l'air mais tu sais ce qu'il y a de sadique là-dedans ? Je suis quasi sûre que le prof a du y truffer un détecteur de mouvement parce qu'il s'est pas arrêté de couiner tant que je le baladais pas d'un bout à l'autre du dortoir. J'ai fait soixante-huit, tu m'entends ? SOIXANTE-HUIT aller-retour dans le couloir avec ce truc en laisse avant que monsieur soit satisfait de sa balade. Et pour info, j'espère qu'il a apprécié les escaliers parce que j'ai pas signé pour des squats en choisissant ce cours." Je pourrais m'arrêter là. JE POURRAIS. "Je l'ai déplacé quinze fois avant qu'il soit satisfait de l'endroit où il voulait dormir -c'est-à-dire sur mon bureau, au passage. Et je te jure que je voyais son regard malicieux et démoniaque me fixer toute la nuit. Et ce matin quand je me suis réveillée, il s'était lâché sur les cours que j'avais imprimé il y a deux jours... Maintenant, est-ce que c'est un examen qu'on passe ou un genre de test pour une nouvelle méthode de torture encore non-autorisée par le gouvernement ?" Je ne sais pas si mes questions attendent réellement une réponse mais je fixe le plafond comme si j'allais trouver la solution quelque part dans cette zone-là. Un silence. For fuck's sake, ENFIN. "Est-ce que je sur-réagis ?" Ma voix est redevenue calme et ma tête pivote doucement sur les couvertures, opinant avec curiosité en direction de Mee Kyung.
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J'oublie ma passion, j'oublie mes études. Jour sacro-saint de la remise en question, l'heure est fatidique : objectif nouveaux horizons. "Je sais ! Qu'est-ce que je perds mon temps à m'occuper d'un poodle nain en plastique capricieux et-- sérieux mais pour l'amour de dieu, il est en plastique ! Est-ce que tout ça a un sens ?!" J'ai déjà lâché prise sur la laisse depuis une éternité quand je viens me crasher sur son lit. "Tu veux pas être mon cobaye ? T'as dis toi même que j'avais une voix sexy et tu sais pas encore ce que ces ongles-là peuvent faire sur des surfaces planes !" Je tapote le bout de mes doigts sur un coin de son mur avant de réaliser que je n'y connais rien ni à la rythmique ni au silence et mon bras retombe mollement sur le matelas dans un soupir. "Il couine, il sait pas s'arrêter ! Je l'ai mis dehors pour qu'il aille prendre l'air mais tu sais ce qu'il y a de sadique là-dedans ? Je suis quasi sûre que le prof a du y truffer un détecteur de mouvement parce qu'il s'est pas arrêté de couiner tant que je le baladais pas d'un bout à l'autre du dortoir. J'ai fait soixante-huit, tu m'entends ? SOIXANTE-HUIT aller-retour dans le couloir avec ce truc en laisse avant que monsieur soit satisfait de sa balade. Et pour info, j'espère qu'il a apprécié les escaliers parce que j'ai pas signé pour des squats en choisissant ce cours." Je pourrais m'arrêter là. JE POURRAIS. "Je l'ai déplacé quinze fois avant qu'il soit satisfait de l'endroit où il voulait dormir -c'est-à-dire sur mon bureau, au passage. Et je te jure que je voyais son regard malicieux et démoniaque me fixer toute la nuit. Et ce matin quand je me suis réveillée, il s'était lâché sur les cours que j'avais imprimé il y a deux jours... Maintenant, est-ce que c'est un examen qu'on passe ou un genre de test pour une nouvelle méthode de torture encore non-autorisée par le gouvernement ?" Je ne sais pas si mes questions attendent réellement une réponse mais je fixe le plafond comme si j'allais trouver la solution quelque part dans cette zone-là. Un silence. For fuck's sake, ENFIN. "Est-ce que je sur-réagis ?" Ma voix est redevenue calme et ma tête pivote doucement sur les couvertures, opinant avec curiosité en direction de Mee Kyung.
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Re: relai poodle nain (meekyung) | Dim 20 Jan - 11:39
tu ne t’attendais pas du tout à voir seah arrivée de la sorte dans ta chambre. tu es surprise et en même temps pas tellement. c’était aujourd’hui que tu récupérais le chiot en plastique dont vous vous occupez. mais c’était quand même plus tôt que prévu. ça ne te dérangeait absolument pas. après tout, tu n’arrivais pas à bosser et ça te ferait une coupure dans tes révisions et tes devoirs. tu l’écoutes se plaindre et un sourire s’affiche sur tes lèvres alors qu’elle continue de parler d’échanger son cursus pour faire de l’asmr. elle s’essaie même sur le mur faisant claquer ses ongles sur la surface dure et tu te retiens d’éclater de rire devant sa mine. « si tu enregistres une vidéo, je te servirai de cobaye. je suis curieuse de voir ce que ça donne en vrai. » et tu le pensais réellement. tu ne savais pas si elle serait douée, mais tu étais curieuse. vous finissez par délaisser le sujet des études de seah pour parler de ce que le poodle nain lui a fait subir. elle t’explique en détail ce qu’elle a vécu avec lui et tu retiens plusieurs fois ton rire parce qu’elle surréagit. tu ne penses pas que c’était si terrible mais tu ne dis rien, l’écoutant jusqu’à la fin. seah continue de te décrire l’enfer dans lequel elle a vécu pendant quelques temps avec ce chiot mécanique et quand elle s’arrête de parler, tu n’oses pas dire quelque chose. parce que tu ne sais pas si elle a fini et tu n’as pas tellement envie de la couper dans son élan. elle semblait bien partie pour lui reprocher tous les maux de la terre. finalement, elle redevient calme alors qu’elle tourne la tête dans ta direction. sa question t’arrache un sourire et tu mines un écart entre l’index et le pouce de ta main droite avant de lui répondre. « un peu. je suis pas sûre que la partie sur son regard malicieux et démoniaque était nécessaire. » tu te lèves pour aller chercher la bouteille d’eau sur ton bureau avant de lui tendre. « bois un peu ça te fera du bien après tout ce que tu viens de me dire. » tu t’accroupis ensuite vers le chien pour lui enlever sa laisse et il se met à déambuler dans ta chambre et tu reviens prendre place près de seah, le dos contre le mur. « pourquoi t’as pas enlevé sa batterie s’il te faisait tant de misère ? » tu l’avais déjà fait une fois parce que tu voulais dormir et que tu n’avais pas envie de passer ta nuit à le sortir pour qu’il soit satisfait. « de toute façon, encore deux semaines et on en a fini avec lui… » tu tournes ta tête vers seah un léger sourire sur les lèvres. « tu arriveras à tenir ? »
☆☆☆ Beerus
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tu ne t’attendais pas du tout à voir seah arrivée de la sorte dans ta chambre. tu es surprise et en même temps pas tellement. c’était aujourd’hui que tu récupérais le chiot en plastique dont vous vous occupez. mais c’était quand même plus tôt que prévu. ça ne te dérangeait absolument pas. après tout, tu n’arrivais pas à bosser et ça te ferait une coupure dans tes révisions et tes devoirs. tu l’écoutes se plaindre et un sourire s’affiche sur tes lèvres alors qu’elle continue de parler d’échanger son cursus pour faire de l’asmr. elle s’essaie même sur le mur faisant claquer ses ongles sur la surface dure et tu te retiens d’éclater de rire devant sa mine. « si tu enregistres une vidéo, je te servirai de cobaye. je suis curieuse de voir ce que ça donne en vrai. » et tu le pensais réellement. tu ne savais pas si elle serait douée, mais tu étais curieuse. vous finissez par délaisser le sujet des études de seah pour parler de ce que le poodle nain lui a fait subir. elle t’explique en détail ce qu’elle a vécu avec lui et tu retiens plusieurs fois ton rire parce qu’elle surréagit. tu ne penses pas que c’était si terrible mais tu ne dis rien, l’écoutant jusqu’à la fin. seah continue de te décrire l’enfer dans lequel elle a vécu pendant quelques temps avec ce chiot mécanique et quand elle s’arrête de parler, tu n’oses pas dire quelque chose. parce que tu ne sais pas si elle a fini et tu n’as pas tellement envie de la couper dans son élan. elle semblait bien partie pour lui reprocher tous les maux de la terre. finalement, elle redevient calme alors qu’elle tourne la tête dans ta direction. sa question t’arrache un sourire et tu mines un écart entre l’index et le pouce de ta main droite avant de lui répondre. « un peu. je suis pas sûre que la partie sur son regard malicieux et démoniaque était nécessaire. » tu te lèves pour aller chercher la bouteille d’eau sur ton bureau avant de lui tendre. « bois un peu ça te fera du bien après tout ce que tu viens de me dire. » tu t’accroupis ensuite vers le chien pour lui enlever sa laisse et il se met à déambuler dans ta chambre et tu reviens prendre place près de seah, le dos contre le mur. « pourquoi t’as pas enlevé sa batterie s’il te faisait tant de misère ? » tu l’avais déjà fait une fois parce que tu voulais dormir et que tu n’avais pas envie de passer ta nuit à le sortir pour qu’il soit satisfait. « de toute façon, encore deux semaines et on en a fini avec lui… » tu tournes ta tête vers seah un léger sourire sur les lèvres. « tu arriveras à tenir ? »
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