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Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur.
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Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:29 Citer EditerSupprimer
Wang Natthy
Tu n'es qu'un appareil à soupirs
avec cet air que tu as de sourire.
avec cet air que tu as de sourire.
Quelques mois plus tard, il dépoussière son diplôme de littérature et de psychologie et offre sa candidature à l'université pour enseigner. | IDENTITY CARD |
Il parait que... Natthy aime la musique française, il a ramené quelques CD de Paris pour écouter Serge Gainsbourg chanter. Il parle en français avec sa mère, il parle en coréen avec son père et quand ses deux parents sont dans la même pièce, ils ne parlent qu'en coréen. Il ne retire aucun plaisir à faire mal aux femmes mais c'est plus fort que lui, quand elles sont séduites ça ne l'amuse plus et il se lasse. Mais il est honnête dès le départ, "tu ne dois rien attendre de moi" L'amour l'obligerait à perdre le contrôle et ça l'angoisse terriblement alors il part toujours avant de se casser la gueule. Il a des nuits très agitées même quand il s'endort avec quelques calmants. Quand il est en colère il est grossier et irrespectueux, sa fierté lui fait dire n'importe quoi, même ce qu'il ne pense pas. Il largue avant d'être largué, parce qu'il a très peur (c'est viscéral) d'être abandonné. Natthy est sous tranquillisants à cause de son tspt mais il ne prend jamais sérieusement son traitement. Il n'est pas tactile et les gens qui le sont le mettent très mal à l'aise. Ses parents vivent avec ses grands-parents paternels, il voit pratiquement jamais son grand-père et sa grand-mère maternelle parce qu'ils sont toujours en France. La plupart du temps, il est dans un costume bien taillé, une cravate autour du cou et des chemises cintrées mais le week-end, il aime mettre des jeans avec des trous dedans et des t-shirts moches. Il a eu une aventure avec un garçon qui est plus jeune que lui, ils se sont fréquentés tous les deux pendant des mois mais ça n'allait nulle part alors il y a mis un terme du jour au lendemain. | Dis nous qui tu es ! Un trentenaire à la personnalité dominante, il aime avoir le contrôle de la situation, des autres et de lui-même, sûrement une déformation professionnelle ou une connerie pendant son éducation. Sa mère lui a dit de ne jamais être arrogant parce que ça rend un homme laid cependant son père lui a appris à être terriblement fier, il disait "tu n'auras jamais besoin des autres mon fils, c'est eux qui auront besoin de toi" et il lui répétait qu'il n'avait pas besoin d'être un bon époux, seulement de devenir un bon père, "fait des fils" disait-il "parce qu'ils feront voyager notre nom" et il souriait toujours mais il ne sourit plus maintenant, son gamin à déjà trente ans et il n'est pas encore marié alors il dit à la mère de son fils "ça c'est un truc de français, il veut s'amuser avant d'aimer" et ça l'énerve terriblement, cet homme coréen. Alors le père et le fils se disputent, le ton monte et le môme de trente ans s'agenouille devant son père parce qu'il n'est pas politiquement correct d'avoir le dessus sur un homme de cet âge. La maman continue d'avoir le cœur derrière les dents quand elle regarde son enfant se soumettre à son père, "tu l'élèves trop sévèrement" rabâche-t-elle quand ils ne sont que tous les deux mais en Corée la femme n'est pas le roi, alors elle ne gagne jamais à ce jeu-là. Il dira quand même "on élève nos filles, on dresse nos fils" pour conclure la conversation et cet homme-là il a plus de cinquante ans, tu ne peux pas lui apprendre à vivre autrement. Finalement, le fils ressemble beaucoup au père, ne dit-on pas que la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre ? |
cocory Plutôt Seigneur des anneaux et Star Wars quand je ne regarde pas Retour vers le futur ou Edouard aux mains d'argent, quelques livres d'Agatha Christie et de Stephen King, les films angoissants d'Alfred Hitchcock et les histoires d'amour qui finissent mal sur Netflix, bientôt vingt-trois ans et je me planque dans une grande ville universitaire en France. Je ne suis plus étudiante, mon métier c'est ma passion. Un beau mois de décembre pour la neige sur la route et un joli mois d'octobre pour des fêtes d'Halloween comme au Mexique.
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Re: Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:29 Citer EditerSupprimer
douze secondes
Cette journée avait commencé comme celle d’hier et celle d’avant aussi, il avait laissé tomber quelques gouttes de parfum sur son cou et la veille il avait décidé qu’il mettrait ce matin-là cette chemise qu’il n’aime pas forcément parce que ça à l’air facile d’avoir demain, nous oublions tout le temps que nous pouvons mourir avant.
Cette journée était supposée être seulement entre celle d’hier et celle de demain, alors il n’avait pas envoyé récemment d’sms à sa mère et ça faisait longtemps qu’il avait appelé son père car tu penses que tu auras le temps tout à l’heure puisque que tu ne connais pas le jour de ta mort parce qu’il peut ressembler au jour d’avant, il n’est pas différent sous prétexte qu’il est le dernier.
C’est peut-être aujourd’hui pour n’importe qui alors pense à dire « je t’aime, je pense à toi et j’espère que ça va » juste au cas où, sait-on jamais.
Sa main effleure son arme mais il n’a pas le temps de la saisir, elle tombe par terre et lui aussi, à côté d’elle. Un coup de feu résonne, la balle rentre en dessous de sa clavicule, déchire son muscle, s’enfonce dans sa chair et sort de l’autre côté, au-dessus de son omoplate. Ça ne fait pas encore mal parce que le cerveau se focalise sur l’excitation pour que nous ne sentions pas la douleur tout de suite. L’arrière de son crâne vient de heurter le sol, ça ne l’assomme pas alors il ouvre les yeux.
Au moment où il s’est fait tirer dessus et maintenant, huit secondes sont déjà passées, il ne respirait plus, l’air se coince dans sa gorge, il entrouvre pourtant la bouche.
Quelqu’un s’approche de lui, il lève péniblement le menton pour regarder en l’air et il ne reconnaît pas ce visage, l’homme lève le poing, l’arme à la main. À ce moment-là il s’en veut de ne pas avoir écrit à sa mère pour lui dire qu’il avait acheté le livre dont elle lui parlait depuis si longtemps, elle aurait été simplement heureuse s’il lui avait dit qu’il allait enfin le lire. Simplement heureuse, c’est ce qu’il voudrait qu’elle soit, pense-t-il pendant qu’il ferme les yeux pour s’épargner le dernier souvenir de ce visage qu’il ne connaît pas et penser plutôt à celui de sa mère.
Un deuxième coup de feu par-dessus un troisième et cette fois ça fait mal. Une balle vient de s’enfoncer dans sa cuisse, elle se coince entre ses chairs et elle ne bouge plus. Le sang imbibe son pantalon, comme s’il se pissait dessus. Son muscle se tétanise et sa jambe frémit puis le reste de son corps tremble discrètement parce que le cerveau lui demande de frissonner, c’est une réaction normale du corps pour se tenir un peu plus chaud quand nous nous vidons de notre sang.
Ça fait douze secondes, soit quatre secondes de plus et il respire à nouveau. Alors il n’est pas encore mort ? Il ouvre les yeux, son coéquipier se jette à côté de lui et écrase sa paume sur sa cuisse pour arrêter l’hémorragie mais l’autre blessure continue de saigner.
Son coéquipier lui dit « garde les yeux ouverts Natthy » mais le son de sa voix semble loin, c’est à cause des bourdonnements près de ses tympans. Il penche la tête sur le côté et il regarde la carcasse de l’autre homme à côté de lui, il est étendu à plat ventre, il est sûrement mort. Sûrement... se répète-t-il en fermant les yeux et son collègue hausse le ton « reste avec moi Natthy » mais quand la douleur est trop forte nous nous évanouissons parce que notre cerveau trouve ça plus facile d’ignorer la douleur de cette façon-là.
Mercredi 5, il est 13:27, c’est le premier rendez-vous.
« J’avais l’impression d’être à côté de mon corps, comme si j’étais déjà mort. Je n’avais pas peur de mourir, même pas à ce moment-là. Quand j’ai fermé les yeux je me suis répété la dernière chose que j’avais écrit à ma mère, « dors bien, je t’aime » et j’avais regret, celui de ne pas avoir dit la même chose à mon père parce que je pensais que j’allais mourir, je veux qu’il entende aussi je t’aime avant que je meurs, car c’est le cas, je l’aime lui aussi. »
Mercredi 12, il est 13:30, c’est le deuxième rendez-vous.
« La dernière fois j’ai dit que je n’avais pas peur de mourir, comment l’avez-vous interprété ? Cela ne signifiait pas que j’avais envie de mourir. J’y pense parce que mon psychiatre m’a prescrit des antidépresseurs, je le dis à vous, je n’ai pas l’intention de les prendre. »
Mercredi 19, il est 13:30 aussi, c’est le troisième rendez-vous.
« Je me suis engueulé avec mon psychiatre parce que je lui ai dit que je n’avais pas besoin de médicaments, je ne me trouve pas malade même si j’ai mal. Il a pensé qu’il devait m’expliquer que je n’avais pas besoin d’avoir honte, il m’a aussi parlé du pourcentage de gens sous anxiolytiques et j’ai haussé le ton, je connais les chiffres, j’ai essayé de lui faire comprendre que je pouvais encore être heureux tout seul, je n’ai pas besoin qu’un comprimé m’aide. »
Mercredi 26, il est 13:29, c'est le quatrième rendez-vous.
« Je n’ai pas envie de discuter aujourd’hui. »
Mercredi 17, il est 13:31, c'est le septième rendez-vous.
« A quoi ça sert ? Qu’est-ce qu’on est en train de faire ? Je suis en train de perdre mon temps alors donnez-moi seulement une bonne raison de revenir mercredi prochain, parce que je n’ai pas besoin d’aide. »
Mercredi 24, il est 13:30, c’est le huitième rendez-vous.
« Vous aviez peut-être raison, je crois que j’ai un problème. »
Cette journée était supposée être seulement entre celle d’hier et celle de demain, alors il n’avait pas envoyé récemment d’sms à sa mère et ça faisait longtemps qu’il avait appelé son père car tu penses que tu auras le temps tout à l’heure puisque que tu ne connais pas le jour de ta mort parce qu’il peut ressembler au jour d’avant, il n’est pas différent sous prétexte qu’il est le dernier.
C’est peut-être aujourd’hui pour n’importe qui alors pense à dire « je t’aime, je pense à toi et j’espère que ça va » juste au cas où, sait-on jamais.
Sa main effleure son arme mais il n’a pas le temps de la saisir, elle tombe par terre et lui aussi, à côté d’elle. Un coup de feu résonne, la balle rentre en dessous de sa clavicule, déchire son muscle, s’enfonce dans sa chair et sort de l’autre côté, au-dessus de son omoplate. Ça ne fait pas encore mal parce que le cerveau se focalise sur l’excitation pour que nous ne sentions pas la douleur tout de suite. L’arrière de son crâne vient de heurter le sol, ça ne l’assomme pas alors il ouvre les yeux.
Au moment où il s’est fait tirer dessus et maintenant, huit secondes sont déjà passées, il ne respirait plus, l’air se coince dans sa gorge, il entrouvre pourtant la bouche.
Quelqu’un s’approche de lui, il lève péniblement le menton pour regarder en l’air et il ne reconnaît pas ce visage, l’homme lève le poing, l’arme à la main. À ce moment-là il s’en veut de ne pas avoir écrit à sa mère pour lui dire qu’il avait acheté le livre dont elle lui parlait depuis si longtemps, elle aurait été simplement heureuse s’il lui avait dit qu’il allait enfin le lire. Simplement heureuse, c’est ce qu’il voudrait qu’elle soit, pense-t-il pendant qu’il ferme les yeux pour s’épargner le dernier souvenir de ce visage qu’il ne connaît pas et penser plutôt à celui de sa mère.
Un deuxième coup de feu par-dessus un troisième et cette fois ça fait mal. Une balle vient de s’enfoncer dans sa cuisse, elle se coince entre ses chairs et elle ne bouge plus. Le sang imbibe son pantalon, comme s’il se pissait dessus. Son muscle se tétanise et sa jambe frémit puis le reste de son corps tremble discrètement parce que le cerveau lui demande de frissonner, c’est une réaction normale du corps pour se tenir un peu plus chaud quand nous nous vidons de notre sang.
Ça fait douze secondes, soit quatre secondes de plus et il respire à nouveau. Alors il n’est pas encore mort ? Il ouvre les yeux, son coéquipier se jette à côté de lui et écrase sa paume sur sa cuisse pour arrêter l’hémorragie mais l’autre blessure continue de saigner.
Son coéquipier lui dit « garde les yeux ouverts Natthy » mais le son de sa voix semble loin, c’est à cause des bourdonnements près de ses tympans. Il penche la tête sur le côté et il regarde la carcasse de l’autre homme à côté de lui, il est étendu à plat ventre, il est sûrement mort. Sûrement... se répète-t-il en fermant les yeux et son collègue hausse le ton « reste avec moi Natthy » mais quand la douleur est trop forte nous nous évanouissons parce que notre cerveau trouve ça plus facile d’ignorer la douleur de cette façon-là.
Mercredi 5, il est 13:27, c’est le premier rendez-vous.
« J’avais l’impression d’être à côté de mon corps, comme si j’étais déjà mort. Je n’avais pas peur de mourir, même pas à ce moment-là. Quand j’ai fermé les yeux je me suis répété la dernière chose que j’avais écrit à ma mère, « dors bien, je t’aime » et j’avais regret, celui de ne pas avoir dit la même chose à mon père parce que je pensais que j’allais mourir, je veux qu’il entende aussi je t’aime avant que je meurs, car c’est le cas, je l’aime lui aussi. »
Mercredi 12, il est 13:30, c’est le deuxième rendez-vous.
« La dernière fois j’ai dit que je n’avais pas peur de mourir, comment l’avez-vous interprété ? Cela ne signifiait pas que j’avais envie de mourir. J’y pense parce que mon psychiatre m’a prescrit des antidépresseurs, je le dis à vous, je n’ai pas l’intention de les prendre. »
Mercredi 19, il est 13:30 aussi, c’est le troisième rendez-vous.
« Je me suis engueulé avec mon psychiatre parce que je lui ai dit que je n’avais pas besoin de médicaments, je ne me trouve pas malade même si j’ai mal. Il a pensé qu’il devait m’expliquer que je n’avais pas besoin d’avoir honte, il m’a aussi parlé du pourcentage de gens sous anxiolytiques et j’ai haussé le ton, je connais les chiffres, j’ai essayé de lui faire comprendre que je pouvais encore être heureux tout seul, je n’ai pas besoin qu’un comprimé m’aide. »
Mercredi 26, il est 13:29, c'est le quatrième rendez-vous.
« Je n’ai pas envie de discuter aujourd’hui. »
Mercredi 17, il est 13:31, c'est le septième rendez-vous.
« A quoi ça sert ? Qu’est-ce qu’on est en train de faire ? Je suis en train de perdre mon temps alors donnez-moi seulement une bonne raison de revenir mercredi prochain, parce que je n’ai pas besoin d’aide. »
Mercredi 24, il est 13:30, c’est le huitième rendez-vous.
« Vous aviez peut-être raison, je crois que j’ai un problème. »
Kong Yeong Hun
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (ADMIN)
Pseudo : Helvia
Célébrité : Lee Ju Yeon (THE BOYZ)
Messages : 26401
Âge : 26
Re: Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:30 Citer EditerSupprimer
bienvenue
bon courage pour ta fiche
________________________________
bon courage pour ta fiche
head in the dust ♒︎ Feeling used but I'm still missing you and I can't see the end of this. Just wanna feel your kiss against my lips and now all this time is passing by but I still can't seem to tell you why. ©️ endlesslove.
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Re: Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:31 Citer EditerSupprimer
Merci beaucoup !
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Re: Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:31 Citer EditerSupprimer
houuuuu ça sent l'homme viril
hâte de voir ce que tu nous réserves avec ce personnage
bienvenuuue parmi nous
hâte de voir ce que tu nous réserves avec ce personnage
bienvenuuue parmi nous
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Re: Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:32 Citer EditerSupprimer
Bienvenue parmi nous ! :05: :05:
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Re: Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:33 Citer EditerSupprimer
J'espère que je vais être à la hauteur de tes attentes en tout cas !
Merci à vous deux !
jeon han yul a écrit:ouuuuu ça sent l'homme viril
hâte de voir ce que tu nous réserves avec ce personnage
J'espère que je vais être à la hauteur de tes attentes en tout cas !
Merci à vous deux !
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Re: Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:35 Citer EditerSupprimer
j'attends, j'observe
fais attention, sinon... la punition sera horrible
fais attention, sinon... la punition sera horrible
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Re: Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:36 Citer EditerSupprimer
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA //se prend une porte en courant//
Oh. Mon. Dieu. Non mais Lee Soo-Hyuk quoi.
Bienvenuuuue~
Je reviendrais pour t'encourager dans l'avancement de ta fiche, j'ai hâte de voir ce que ça va donner !
SeeU~
Oh. Mon. Dieu. Non mais Lee Soo-Hyuk quoi.
Bienvenuuuue~
Je reviendrais pour t'encourager dans l'avancement de ta fiche, j'ai hâte de voir ce que ça va donner !
SeeU~
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Re: Wang Natthy ☾ Ramasse mon coeur. | Lun 5 Nov 2018 - 20:37 Citer EditerSupprimer
est-ce que tu es un sugar daddy ? parce que j'ai les fesses qui frétillent
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