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boo ! (mimi & joonie)
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boo ! (mimi & joonie) | Ven 9 Nov - 23:23
J'ai encore un peu le vertige en descendant du manège. Mes idées claires s'embrouillent avec des idées un peu moins claires mais quand je réussis à tenir la grippe sur quelque chose d'un peu cohérent, j'inspire profondément et me tourne vers Olympe... qui a disparu elle aussi. C'est quoi leur problème à tous ? J'en trouve un puis je perds l'autre. L'autre ? L'autre... Ah ! Jae Joon ! Je claque la paume de ma main contre l'arrondi de ma joue. C'est pas non plus un crime d'oublier l'existence de son propre frère l'espace de quoi, allez... une petite heure ? Si ça se trouve il a été dévoré par une horde de zombies affamés entre temps. Mais ça m'arrangerait pas tellement en vrai parce que c'est lui qui a les clés de la voiture et que sans ça, mes chances de rentrer au dortoir en un seul morceau avant le lever du soleil sont largement entamées. Il commence à faire un peu frais et ma doudoune est restée dans la voiture ; ce qui me fait me demander quelle est la logique dans ma logique justement.
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Je surgis de nulle part, un cri de guerre et les réflexes d'un bébé koala grippé au dos de sa mère. "Des bonbons ou un sort ?" Je le secoue comme un cocotier et coince mon bras sous sa gorge avant de glisser ma petite tête à côté de la sienne. "Boo. Hé bah t'étais passé où ? Je t'ai déjà dit qu'on se débarrasse pas de moi comme ça, pourquoi t'essayes encore. J'ai des instincts de petite sœur, tu te souviens pas ?" Pffft. Bon je lui aurais bien dis que je l'avais cherché partout mais j'ai aussi très souvent été distraite et puis, je sais très bien qu'il ne m'croirait pas.
Il faut sauver le soldat JJ !
MIMI & JOONIE
J'ai encore un peu le vertige en descendant du manège. Mes idées claires s'embrouillent avec des idées un peu moins claires mais quand je réussis à tenir la grippe sur quelque chose d'un peu cohérent, j'inspire profondément et me tourne vers Olympe... qui a disparu elle aussi. C'est quoi leur problème à tous ? J'en trouve un puis je perds l'autre. L'autre ? L'autre... Ah ! Jae Joon ! Je claque la paume de ma main contre l'arrondi de ma joue. C'est pas non plus un crime d'oublier l'existence de son propre frère l'espace de quoi, allez... une petite heure ? Si ça se trouve il a été dévoré par une horde de zombies affamés entre temps. Mais ça m'arrangerait pas tellement en vrai parce que c'est lui qui a les clés de la voiture et que sans ça, mes chances de rentrer au dortoir en un seul morceau avant le lever du soleil sont largement entamées. Il commence à faire un peu frais et ma doudoune est restée dans la voiture ; ce qui me fait me demander quelle est la logique dans ma logique justement.-
Je surgis de nulle part, un cri de guerre et les réflexes d'un bébé koala grippé au dos de sa mère. "Des bonbons ou un sort ?" Je le secoue comme un cocotier et coince mon bras sous sa gorge avant de glisser ma petite tête à côté de la sienne. "Boo. Hé bah t'étais passé où ? Je t'ai déjà dit qu'on se débarrasse pas de moi comme ça, pourquoi t'essayes encore. J'ai des instincts de petite sœur, tu te souviens pas ?" Pffft. Bon je lui aurais bien dis que je l'avais cherché partout mais j'ai aussi très souvent été distraite et puis, je sais très bien qu'il ne m'croirait pas.
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Re: boo ! (mimi & joonie) | Sam 10 Nov - 17:29
Décidément ce n’était pas ma soirée, alors qu’Ha Rin avait eu la gentillesse de m’aider à chercher Mi Ran, je l’ai elle aussi perdue. A croire que le sort s’acharne contre moi ce soir, déjà que j’ai du mal à marcher droit et à garder les idées claires, maintenant ma seule alliée pour ne pas sombrer sur le bitume a elle aussi disparue. Tout ça c’est de la faute de Mi Ran, je ne sais pas depuis combien de temps je l’ai perdu, ni depuis quand je la cherche, mais j’ai l’impression d’y avoir passé la nuit. J’aperçois enfin ma voiture et j’ai juste envie de hurler pour exprimer mon sentiment soulagement, ce que je n’ai pas le temps de faire puisque l’on tente de m’assassiner en plein rue. Je manque de m’étrangler et de me casser la figure par terre, alors qu’un ouistiti sauvage essayer de me grimper dessus en me confondant avec un bananier. Cette sale peste daigne enfin se montrer alors que je la cherche depuis des heures et elle ne manque pas une occasion pour me martyriser. « Me débarrasser ? MAIS C’EST TOI QUI A DISPARU SANS PREVENIR JE TE CHERCHE DEPUIS DES HEURES ESPECE DE… » Je ne continue pas ma phrase que j’avais hurlé de colère, malgré mon état, mon instinct reprend vite le dessus. Je soupire longuement avant de continuer « T’étais passé où ? » Je retire ses bras de mon coup et me tourne pour lui faire face, examinant chaque partie de son corps pour voir si elle n’est pas blessée. A mon grand soulagement, elle semble plus en forme que jamais. Je la prends alors dans mes bras, c’est un câlin dont j’ai réellement besoin après toutes ces frayeurs. Evidemment après quelques secondes, je ne manque pas de venir lui pincer les deux jours pour lui faire avouer ses crimes. « D’où tu drogues ton grand-frère pour t’évader en douce ? »
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Décidément ce n’était pas ma soirée, alors qu’Ha Rin avait eu la gentillesse de m’aider à chercher Mi Ran, je l’ai elle aussi perdue. A croire que le sort s’acharne contre moi ce soir, déjà que j’ai du mal à marcher droit et à garder les idées claires, maintenant ma seule alliée pour ne pas sombrer sur le bitume a elle aussi disparue. Tout ça c’est de la faute de Mi Ran, je ne sais pas depuis combien de temps je l’ai perdu, ni depuis quand je la cherche, mais j’ai l’impression d’y avoir passé la nuit. J’aperçois enfin ma voiture et j’ai juste envie de hurler pour exprimer mon sentiment soulagement, ce que je n’ai pas le temps de faire puisque l’on tente de m’assassiner en plein rue. Je manque de m’étrangler et de me casser la figure par terre, alors qu’un ouistiti sauvage essayer de me grimper dessus en me confondant avec un bananier. Cette sale peste daigne enfin se montrer alors que je la cherche depuis des heures et elle ne manque pas une occasion pour me martyriser. « Me débarrasser ? MAIS C’EST TOI QUI A DISPARU SANS PREVENIR JE TE CHERCHE DEPUIS DES HEURES ESPECE DE… » Je ne continue pas ma phrase que j’avais hurlé de colère, malgré mon état, mon instinct reprend vite le dessus. Je soupire longuement avant de continuer « T’étais passé où ? » Je retire ses bras de mon coup et me tourne pour lui faire face, examinant chaque partie de son corps pour voir si elle n’est pas blessée. A mon grand soulagement, elle semble plus en forme que jamais. Je la prends alors dans mes bras, c’est un câlin dont j’ai réellement besoin après toutes ces frayeurs. Evidemment après quelques secondes, je ne manque pas de venir lui pincer les deux jours pour lui faire avouer ses crimes. « D’où tu drogues ton grand-frère pour t’évader en douce ? » Invité
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Re: boo ! (mimi & joonie) | Sam 24 Nov - 1:37
Mes doigts se crispent au niveau de son épaule. Je ne m'attendais à ce qu'il gronde si fort que les gens partout autour de nous s'arrêtent et se retournent. Et franchement, ma main est tentée de venir se plaquer comme un scotch contre sa bouche pour qu'il cesse enfin d'en placer une ; hurler serait le mot exact. Quand je touche à nouveau le sol, je m'attends à passer un sale quart d'heure alors que soyons honnête, je ne vois pas ce qu'il a pu faire de moins que moi pour être exempté du même sermon. "J'étais là-haut sur les montagnes russes." J'indique en pointant du doigt l'attraction. Je fais en sorte que mes mots soient les plus simples et les plus innocents possible mais mes lèvres elles, font la moue. Je veux bien qu'il se soit inquiété mais quand je pleurais gamine parce que je voulais rester la plus mignonne, la plus jolie et la préférée des filles de la famille, ce n'était certainement pas une invitation à me surveiller de si près encore à mon âge. "Tu sais qu'on dirait maman ? Je vais bien. J'ai rien !" Je m'apprête à le lui prouver. Bras en l'air, saut en extension, c'est comme de prouver à ses amis qu'on n'a rien bu après une soirée folle sauf que mon compte se règle à coup de câlin et pour m'étouffer, il est vraiment très, très fort... "Oppa. T'es tombé sur la tête ?" Je lui adresse un regard suspect, surprise tant par ses accusations que par ses gestes qui me font passer pour une vulgaire poupée dont les joues se modèlent à l'infini. "HEIN ? Aïe-aaaa...aïe !" Je me défile sous la torture et utilise le plat de la fourche qui vient avec mon costume pour lui taper le haut de la tête. "Premièrement !... ce serait le PIRE plan d'évasion au monde, t'en es conscient ? Je suis bien plus intelligente que ça." Je m'exclame, agacée, presque ahurie en levant mon index qui illustre clairement le compte de mes reproches juste sous son nez. "Et deuxièmement," je suis le compte avec véhémence avant de me rendre compte que j'ai rien compris à son histoire "de quoi tu parles ?" Cette fois-ci, je le regarde avec plus d'insistance. Son teint pâle. Ses pupilles dilatées. Halloween devrait soulager ma conscience mais je peux pas m'empêcher de m'inquiéter. "Pourquoi t'es pâle comme ça ?"
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Mes doigts se crispent au niveau de son épaule. Je ne m'attendais à ce qu'il gronde si fort que les gens partout autour de nous s'arrêtent et se retournent. Et franchement, ma main est tentée de venir se plaquer comme un scotch contre sa bouche pour qu'il cesse enfin d'en placer une ; hurler serait le mot exact. Quand je touche à nouveau le sol, je m'attends à passer un sale quart d'heure alors que soyons honnête, je ne vois pas ce qu'il a pu faire de moins que moi pour être exempté du même sermon. "J'étais là-haut sur les montagnes russes." J'indique en pointant du doigt l'attraction. Je fais en sorte que mes mots soient les plus simples et les plus innocents possible mais mes lèvres elles, font la moue. Je veux bien qu'il se soit inquiété mais quand je pleurais gamine parce que je voulais rester la plus mignonne, la plus jolie et la préférée des filles de la famille, ce n'était certainement pas une invitation à me surveiller de si près encore à mon âge. "Tu sais qu'on dirait maman ? Je vais bien. J'ai rien !" Je m'apprête à le lui prouver. Bras en l'air, saut en extension, c'est comme de prouver à ses amis qu'on n'a rien bu après une soirée folle sauf que mon compte se règle à coup de câlin et pour m'étouffer, il est vraiment très, très fort... "Oppa. T'es tombé sur la tête ?" Je lui adresse un regard suspect, surprise tant par ses accusations que par ses gestes qui me font passer pour une vulgaire poupée dont les joues se modèlent à l'infini. "HEIN ? Aïe-aaaa...aïe !" Je me défile sous la torture et utilise le plat de la fourche qui vient avec mon costume pour lui taper le haut de la tête. "Premièrement !... ce serait le PIRE plan d'évasion au monde, t'en es conscient ? Je suis bien plus intelligente que ça." Je m'exclame, agacée, presque ahurie en levant mon index qui illustre clairement le compte de mes reproches juste sous son nez. "Et deuxièmement," je suis le compte avec véhémence avant de me rendre compte que j'ai rien compris à son histoire "de quoi tu parles ?" Cette fois-ci, je le regarde avec plus d'insistance. Son teint pâle. Ses pupilles dilatées. Halloween devrait soulager ma conscience mais je peux pas m'empêcher de m'inquiéter. "Pourquoi t'es pâle comme ça ?"Invité
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Re: boo ! (mimi & joonie) | Dim 13 Jan - 20:40
Pourquoi est ce que j’étais comme ça ? C’est une question à laquelle je n’ai pas de réponse et ce n’est pas l’envie qui me manque de comprendre ce qui m’arrive. J’ai pourtant bu quelques bières et du soju avec Jun avant de partir ave Miran, mais ce n’était pas au point de finir dans un état pareil. Puis il y a eu ce verre qu’elle m’a tendu à l’entrée du labyrinthe. Depuis, mes pensées ont vrillé, ma vision s’est troublée et j’ai carrément l’impression de marcher sur un nuage, c’est une drôle de sensation d’ailleurs. J’en était même arriver à confondre Ha Rin avec ma propre sœur. Le seul point positif, c’est que je commençais à me sentir légèrement mieux, mon état de délire était passé et je me rends compte, au fur et à mesure que les souvenirs me reviennent, à quel point Ha Rin a dû me pendre pour un psychopathe, le simple fait d’y penser me file une honte qui me donne envie de me cacher dans les draps de mon lit jusqu’à la nuit des temps. « Je ne sais pas, c’est à toi de me le dire, depuis que j’ai bu ton verre j’ai fait un blackout, j’ai confondu Ha Rin avec toi et je ne voulais pas la croire quand elle tentait désespérément de me faire comprendre qu’elle n’était pas ma sœur. Mes hallucinations ont l’air d’avoir cessé, mais j’ai un mal de crâne. » Je soupire en me massant les tempes « Et toi pendant tous ce temps tu as disparu et je t’ai cherché partout, j’ai finalement perdu Ha Rin et je t’ai retrouvé à l’instant. Mais entre le moment où je t'ai perdu et le moment où j'ai rencontré Ha Rin, je ne sais plus ce qui s'est passé» J'ai beau essayé de faire fonctionner ma mémoire, mais tous ce que cela me donne, c'est un mal de tête encore plus intense.
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Pourquoi est ce que j’étais comme ça ? C’est une question à laquelle je n’ai pas de réponse et ce n’est pas l’envie qui me manque de comprendre ce qui m’arrive. J’ai pourtant bu quelques bières et du soju avec Jun avant de partir ave Miran, mais ce n’était pas au point de finir dans un état pareil. Puis il y a eu ce verre qu’elle m’a tendu à l’entrée du labyrinthe. Depuis, mes pensées ont vrillé, ma vision s’est troublée et j’ai carrément l’impression de marcher sur un nuage, c’est une drôle de sensation d’ailleurs. J’en était même arriver à confondre Ha Rin avec ma propre sœur. Le seul point positif, c’est que je commençais à me sentir légèrement mieux, mon état de délire était passé et je me rends compte, au fur et à mesure que les souvenirs me reviennent, à quel point Ha Rin a dû me pendre pour un psychopathe, le simple fait d’y penser me file une honte qui me donne envie de me cacher dans les draps de mon lit jusqu’à la nuit des temps. « Je ne sais pas, c’est à toi de me le dire, depuis que j’ai bu ton verre j’ai fait un blackout, j’ai confondu Ha Rin avec toi et je ne voulais pas la croire quand elle tentait désespérément de me faire comprendre qu’elle n’était pas ma sœur. Mes hallucinations ont l’air d’avoir cessé, mais j’ai un mal de crâne. » Je soupire en me massant les tempes « Et toi pendant tous ce temps tu as disparu et je t’ai cherché partout, j’ai finalement perdu Ha Rin et je t’ai retrouvé à l’instant. Mais entre le moment où je t'ai perdu et le moment où j'ai rencontré Ha Rin, je ne sais plus ce qui s'est passé» J'ai beau essayé de faire fonctionner ma mémoire, mais tous ce que cela me donne, c'est un mal de tête encore plus intense.Invité
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Re: boo ! (mimi & joonie) | Jeu 14 Fév - 0:33
Je le regarde en silence, imperturbable pendant qu'il s'emmêle les pinceaux dans ce qui semble être le grand récit de sa soirée. Quand je parle enfin, c'est d'une voix inquiétante et je le toise avec un peu trop de sérieux. "Tu m'as confondue avec Harin ?" Je ne sais pas exactement comment je dois le prendre, j'ai mes humeurs et mon caractère mais je suis loin de ressembler à la dictatrice du mauvais temps. Je le laisse continuer avant que son épopée fantastique arrive à son terme. A nouveau, un silence pesant s'installe entre nous avant que je ne traduise l'oeuvre de sa vie en langage courant. "En gros... t'étais juste bourré, non ?" Je me montre particulièrement non-impressionnée même si je dois avouer qu'il a fait fort ce soir. "Moi j'étais avec Olympe. Je sais pas si c'est forcément mieux, j'ai plus touché une goutte d'alcool depuis le début de la soirée et pourtant j'ai la tête comme ça..." J'illustre en plaçant mes mains à bonne distance de mon crâne. "Tu te sens mieux ?" Je demande finalement en venant croiser mes bras sous ma poitrine. "T'as vraiment une sale tête" je conclue en venant tapoter ses joues avec mes doigts "c'est Harin qui t'a traumatisé comme ça ?" Je le tire jusqu'à une petite roulotte et tire un gobelet sous la fontaine à eau. "Tiens." Je pourrais passer pour la gentille petite soeur qui aide son grand frère à se remettre de ses émotions en compatissant à son malheur. Mais vu le sourire mesquin qui apparaît sur mes lèvres, je dirais plutôt que c'est un épisode de sa vie que je me plairais beaucoup à lui rappeler dans les moments les plus gênants de sa vie.
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Je le regarde en silence, imperturbable pendant qu'il s'emmêle les pinceaux dans ce qui semble être le grand récit de sa soirée. Quand je parle enfin, c'est d'une voix inquiétante et je le toise avec un peu trop de sérieux. "Tu m'as confondue avec Harin ?" Je ne sais pas exactement comment je dois le prendre, j'ai mes humeurs et mon caractère mais je suis loin de ressembler à la dictatrice du mauvais temps. Je le laisse continuer avant que son épopée fantastique arrive à son terme. A nouveau, un silence pesant s'installe entre nous avant que je ne traduise l'oeuvre de sa vie en langage courant. "En gros... t'étais juste bourré, non ?" Je me montre particulièrement non-impressionnée même si je dois avouer qu'il a fait fort ce soir. "Moi j'étais avec Olympe. Je sais pas si c'est forcément mieux, j'ai plus touché une goutte d'alcool depuis le début de la soirée et pourtant j'ai la tête comme ça..." J'illustre en plaçant mes mains à bonne distance de mon crâne. "Tu te sens mieux ?" Je demande finalement en venant croiser mes bras sous ma poitrine. "T'as vraiment une sale tête" je conclue en venant tapoter ses joues avec mes doigts "c'est Harin qui t'a traumatisé comme ça ?" Je le tire jusqu'à une petite roulotte et tire un gobelet sous la fontaine à eau. "Tiens." Je pourrais passer pour la gentille petite soeur qui aide son grand frère à se remettre de ses émotions en compatissant à son malheur. Mais vu le sourire mesquin qui apparaît sur mes lèvres, je dirais plutôt que c'est un épisode de sa vie que je me plairais beaucoup à lui rappeler dans les moments les plus gênants de sa vie.Invité
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Re: boo ! (mimi & joonie) | Jeu 14 Mar - 10:47
Je ne sais pas ce qui est le pire entre mon mal de crâne ou Mi Ran qui me regarde comme si j’étais devenu fou et que j’étais bon pour l’asile. A quel moment peut-elle croire que simplement de l’alcool peut me faire confondre deux personnes ? Et tout me semblait avoir été si réel et en même temps irréel, comme un rêve un peu trop réaliste. Sauf que là, impossible de me réveiller. « Alors oui je sais, vous ne vous ressemblez pas du tout, ne commence pas à t’offusquer. Commence par réfléchir à ou tu as pris ce verre si ce n’est pas toi qui ait cherché à te débarrasser de ma présence. » Elle n’aurait eu aucune raison de le faire si c’était juste pour aller faire mumuse avec Olympe et on avait beau se charrier j’imaginai mal Mi Ran me droguer juste pour s’amuser ou avoir la paix. « Oh je dirais plutôt que c’est moi qui ai dû la traumatiser » répondis-je en me massant les tempes pour essayer de faire passer ce mal de crâne insoutenable. J’accepte le verre de ma sœur que je bois d’une traite, même si son petite sourire sadique que j’aperçois me fait dire que risque d’entendre parler de cette histoire encore longtemps. « Rentrons, je vais appeler un taxi, je ne suis pas en état de conduire pour le moment. » Dis-je en empoignant ma petite sœur par les épaules et en sortant mon téléphone pour nous trouver un taxi.
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Je ne sais pas ce qui est le pire entre mon mal de crâne ou Mi Ran qui me regarde comme si j’étais devenu fou et que j’étais bon pour l’asile. A quel moment peut-elle croire que simplement de l’alcool peut me faire confondre deux personnes ? Et tout me semblait avoir été si réel et en même temps irréel, comme un rêve un peu trop réaliste. Sauf que là, impossible de me réveiller. « Alors oui je sais, vous ne vous ressemblez pas du tout, ne commence pas à t’offusquer. Commence par réfléchir à ou tu as pris ce verre si ce n’est pas toi qui ait cherché à te débarrasser de ma présence. » Elle n’aurait eu aucune raison de le faire si c’était juste pour aller faire mumuse avec Olympe et on avait beau se charrier j’imaginai mal Mi Ran me droguer juste pour s’amuser ou avoir la paix. « Oh je dirais plutôt que c’est moi qui ai dû la traumatiser » répondis-je en me massant les tempes pour essayer de faire passer ce mal de crâne insoutenable. J’accepte le verre de ma sœur que je bois d’une traite, même si son petite sourire sadique que j’aperçois me fait dire que risque d’entendre parler de cette histoire encore longtemps. « Rentrons, je vais appeler un taxi, je ne suis pas en état de conduire pour le moment. » Dis-je en empoignant ma petite sœur par les épaules et en sortant mon téléphone pour nous trouver un taxi. Contenu sponsorisé