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Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play
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Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 6:11 Citer EditerSupprimer
Hohenzöllern Tatiana
Your world was on fire and no one could save me but me...
IDENTITY CARD |
Il parait que... Ici, tu peux lister quelques anecdotes et rumeurs concernant ton personnage. Alors parle nous un peu de ses habitudes, des petits trucs que tu voudrais que l'on sache ou des quelques détails croustillants dont tu voudrais nous faire part. | Dis nous qui tu es ! Enfant, j'ai eu l'habitude d'entendre la voix douce de ma mère citer une histoire romantique. Celle de deux âmes perdues se retrouvant pour s'aimer éternellement. Il ne fallait pas juger les mots qu'elle citait, car il s'agissait d'histoire. Des simples contes de fées pour enfants. Les personnages semblaient si heureux. Il ne cachait pas derrière une facette. Je savais bien au fond de moi que les fables qu'elle me rencontrait n'étaient que mensonge, car les adultes étaient faussement heureux. Ils préféraient troquer leurs valeurs. Ils étaient superficiels et ignoraient tout du coeur. C'était un monde morbide, et bien plus que ça. Je ne voulais être comme eux. Je souhaitais être la princesse du conte de fées. Celle prise sous le danger. Je rêvais d'être cendrillon, blanc neige, belle ! Je souhaitais vivre une aventure telle qu'elle. Mais, je ne faisais que rêver. Aujourd'hui, j'ai toujours ce petit rêve de gamine cacher dans un coin. Je rêve de l'amour. Celui écrit avec un grand a. Je ne veux pas dépendre d'un homme. Loin de là ! Je suis indépendante, mais je rêve de voyager parmi des histoires magiques. Je suis peut-être trop rêveuse, mais dans ce monde morbide qui nous entoure...il le faut. Je ne suis pas parfaite ! Loin de là ! En grandissant auprès d'une famille dont la droiture, le respect, l'hypocrisie, les mensonges, les excuses, la tristesse, la tromperie ont marqué ma peau. J'ai appris que les êtres humains ne sont comparables à des charognards dévorant ce dont ils les entourent. Ils se foutent de la tristesse. Il faut être superficiel. Il faut ignorer qui nous sommes pour jouer cette comédie toute tracer. Par ce que nous sommes. J'ai toujours eu l'impression de tourner dans le vide lorsque je dois les rejoindre ou même comprendre leurs côtés conservateurs. Je ne suis pas ainsi et je ne le serais jamais. Je crois que la vérité a sa place autour de nous. Je n'ose pas prendre la même route qu'eux. Je préfère tomber de haut que d'endosser leurs carapaces. Il est hors de question que mon âme soit coincer dans les yeux de ce corps que je possède. En fait, je suis le mouton noir de cette famille. Ils savent que je souhaite cette liberté que les femmes qui me précèdent refusaient. En fait, je suis celle explorant l'océan me faisant face. Je préfère avancer tranquillement pour y découvrir ce Nouveau Monde ! J'aimerais sombrer dans l'anonymat pour créer ma propre personnalité. Je veux me libérer de cette prison d'orée qui m'entourait. Il est vrai que je n'ai pas encore l'habitude ou plutôt je n’ai jamais appris à m'exprimer. J'ai toujours été l'objet sans reflet de ma famille. Alors, il faut que j'apprenne à m'ouvrir. J'ai tellement tourné dans ma tête en examinant le court-métrage de ma vie. Il a donc fallu que j'envoie cette attitude forcer au diable. Les ignorants à jamais ! Il allait pouvoir dire au revoir dire dieu à cette gamine apeurerai. Il fallait que mon côté progressiste ressorte. Si, je souhaite quelques choses...je l'obtiens. Vers l'adolescence, je compris ce que mes parents essayaient de faire avec moi. Ce fut la pire erreur. Je ne voulais pas être cette fillette idiote qui pleure sans arrêt. Il fallait que je me construise une carapace solide. Sous le regard de cette famille, je suis une femme parfaite digne à marier. Cependant, ce petit chaton cache une tigresse bien dangereuse. Non que je sois violente ! Mon caractère est imposant. Je soutiens mes idées. Lorsque j'ai une volonté d'instaurer quelques choses, elle se fait la même journée ! Bien que je me cache derrière ce sourire, mon véritable moi prend place auprès de mes amis. Il faut comprendre que je ne suis pas prude ! Ni même innocente ! À vrai dire, je déteste ce qui se cache en moi. Je suis la femme appréciant la dominance des autres sur moi, sauf que j'aime provoquer. Je veux percevoir leurs traits se crisper par la colère. Le visage assombri me ravit. J'aime jouer la carte du défi en allant souvent un peu trop loin. Je pousse un peu trop ma chance ! Je dois faire garde, car ma colère est une chose à éviter. Elle est risquée ! Il ne faut pas la trouver, car elle deviendra votre pire ennemie. Il y a tout de même la délicatesse en moi. Je suis celle voulant protéger celle qui l'entoure. Je deviens rapidement cette fausse mère. Celle les encourageant, celle qui sera d'une bonne écoute. Ce petit ange sur leurs épaules. C'est tout de même comique ! J'aime donner, mais je déteste me faire prendre. Je suis possessive, mais j'aime être libre de mes mouvements. Je suis jalouse et infernale. Je suis rancunière, mais naïve. Il faut quand même un juste milieu. Il faut simplement tendre la main et capturer le bon côté de moi. . |
TON PSEUDO Cette fois c'est au drôle de loustic caché derrière l'avatar qu'on s'intéresse. Fais tomber le masque, déballe ton bail. Quoi, t'as du mal ? Allez, quelques idées d'infos à nous fournir pour te débloquer : T'as quel âge ? Tu viens d'où ? C'est quoi tes passions dans la life ? Tu rp depuis longtemps ? Comment t'as connu STW ? Btw tu t'es lavé sous les bras ? ♡
ps; supprimez le code inutile. |
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Re: Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 6:13 Citer EditerSupprimer
Je déteste ma vie. Je déteste mon destin. Je hais ce statut qui me colle à la peau telqu'une gomme sous le soulier. Il me brûle la peau me dévorant peu à peu en ne laissant des derrières lui les traces de brûlure. Il me poursuit sans jamais me laisser. En m'offrant ainsi dans la noirceur d'un cauchemar destructeur. J'aimerais changer, mais je suis prise avec ce nom et cet héritage. Cependant, ma petite vie parfaite changea lorsqu'il apparut. Tout se transforme. Ma vie changea lorsque ses yeux croisaient les miens. Les aiguilles de l'horloge commencèrent à bouger. Moi, Tatiana-Augusta Élisabeth Hohenzöllern d'Allemagne ! Voici mon histoire.
Le soleil descend doucement sur le parc de notre demeure. Ce doux mois de mars est une vraie journée de printemps. J'ai passé mes dernières heures assises sous le grand saule pleureur de notre jardin. Le regard poser sur les pages de mon roman. Je n'avais pas bouger depuis les quatre dernières heures. Les mots savait transformer en image et les images en action puis les actions activèrent mon imagination. Les minutes passèrent si vite que j'avais oublié le lieu qui m'entourait. Ce n'était pas volé ! Il s'agit d'un temps relaxant, un moment bien mériter. Je voulais rester assise ici profitant de la tranquillité. Sans aucun brouhaha de la maison. Je voulais rêvasser et à somnoler. Pouvant m'évader du destin tout tracer que j'ai depuis ma naissance. Mais, je devais me lever. Il faut que je quitte ce lieu paradisiaque pour la tradition que ma mère et moi avant depuis des années. Nous rejoignons ses soeurs régulièrement pour le temps repas. Elles ne se perdaient pas de vus. Elles pouvaient connaitre la seule fille de la famille. C'était un évènement à la fois sacré et nécessaire auprès d'eux. Nous pouvons discuter de nos problèmes ce qui vient à nous sauvé plus d'une fois des tourments de la vie. Je ne pourrais dire que les soirées nous sauvent la vie, comme elles se plaisent à le dire. Moi, je préférais écouter leurs histoires avant de quitter les murs de briques de la maison des Hohenzollern. Ce qu'elles ignoraient encore est que cette soirée allait être la dernière. J'allais partir loin d'ici. Depuis toujours je rêve de liberté. Même que j'enviais les héros de mes romans. Je vais pouvoir enfin vivre cette aventure qu'on surnomme le rêve américain, mais version coréenne. J'avais demandé à plusieurs universités Canadienne, Sud-Coréenne, Française et Américaine d'intégrer leurs universités en rédigeant les examens et mes arguments de mon intégration. Ce fut compliqué, mais le résultat en voulait le coup. Je ferme la première couverture de mon livre pour déposer mon regard sur le sac à main noir déposer contre moi. Il cachait la lettre qui m'indiqua que l'université d'Yonsei m'approuva. L'examen d'entrée avait été si facile que j'ai osé douter de moi. Mon sourire s'élargis alors que je perçois ma mère s'approcher. Je savais qu'il était temps de partir. Le dernier repas que je vais pouvoir prendre avec eux. Ce qui allait me manquer était l'amitié que j'avais développé avec ces femmes, si différentes, les unes des autres, s'est maintenue malgré les années et les points de vus différent que j'avais elles. Elles croyaient que les femmes ne devraient pas travailler. Mais, j'étais mannequin. Je voulais créer ma ligne de vêtement voilà pourquoi je quitter L'Allemagne pour la Corée du Sud. Je voulais m'éloigner de ses règles appliquer depuis des siècles. Personne n'avait encore saisie le sens de liberté. Pour la première fois de ma vie après ce 5 à 7 en famille, je vais pouvoir respirer ! Je vais pouvoir m'imaginer libre économiquement, socialement, et je vais pouvoir fournir cette économie.
Il fallait respirer pour ne pas briser la première image que je projetais. Je déteste ce type d'homme ! Je te provoque pour mieux jouer de toi ! Il n'était pas tombé sur la bonne demoiselle. Je voulais simplement fréquenter ce lieu universitaire pour apprendre. Il était impossible pour moi de sortir. Je voulais devenir la petite fille modèle qui terminera première. Je respirais profondément en laissant mes ongles pénétrer la peau de mes paumes. Je détournais le regard avant de laisser ce troupeau de moutons. Son blabla me tomba sur les nerfs. J'allais directement vers mon dortoir ! Quel beau logement ! Je vais pouvoir afin avoir une liberté...malgré le fait que cet idiot de grand frère, que j'aime énormément, soit aussi inscrit. Le pire d'entre tous...je savais qu'il allait jouer la comédie pour venir me rendre visite.
Ayant quitté le groupe, j'ouvris enfin la porte de ma chambre et découvris deux lits. Une chambre décorer sous l'influence de cette bombe chirurgicale de Kim Kardashian. Je me mordis la lèvre du bas pour réprimer un rire. J'avançais vers mon lit en lançant les valises sur mon lit. Je me laissais tomber sur le lit et déposèrent les bras sur mon visage. Je pouvais respirer de nouveau. Libre comme l'air ! Sans ce bordel de vie royal que j'ai depuis des années
It's my life...
et là une petite citation...
Je déteste ma vie. Je déteste mon destin. Je hais ce statut qui me colle à la peau telqu'une gomme sous le soulier. Il me brûle la peau me dévorant peu à peu en ne laissant des derrières lui les traces de brûlure. Il me poursuit sans jamais me laisser. En m'offrant ainsi dans la noirceur d'un cauchemar destructeur. J'aimerais changer, mais je suis prise avec ce nom et cet héritage. Cependant, ma petite vie parfaite changea lorsqu'il apparut. Tout se transforme. Ma vie changea lorsque ses yeux croisaient les miens. Les aiguilles de l'horloge commencèrent à bouger. Moi, Tatiana-Augusta Élisabeth Hohenzöllern d'Allemagne ! Voici mon histoire.
Le soleil descend doucement sur le parc de notre demeure. Ce doux mois de mars est une vraie journée de printemps. J'ai passé mes dernières heures assises sous le grand saule pleureur de notre jardin. Le regard poser sur les pages de mon roman. Je n'avais pas bouger depuis les quatre dernières heures. Les mots savait transformer en image et les images en action puis les actions activèrent mon imagination. Les minutes passèrent si vite que j'avais oublié le lieu qui m'entourait. Ce n'était pas volé ! Il s'agit d'un temps relaxant, un moment bien mériter. Je voulais rester assise ici profitant de la tranquillité. Sans aucun brouhaha de la maison. Je voulais rêvasser et à somnoler. Pouvant m'évader du destin tout tracer que j'ai depuis ma naissance. Mais, je devais me lever. Il faut que je quitte ce lieu paradisiaque pour la tradition que ma mère et moi avant depuis des années. Nous rejoignons ses soeurs régulièrement pour le temps repas. Elles ne se perdaient pas de vus. Elles pouvaient connaitre la seule fille de la famille. C'était un évènement à la fois sacré et nécessaire auprès d'eux. Nous pouvons discuter de nos problèmes ce qui vient à nous sauvé plus d'une fois des tourments de la vie. Je ne pourrais dire que les soirées nous sauvent la vie, comme elles se plaisent à le dire. Moi, je préférais écouter leurs histoires avant de quitter les murs de briques de la maison des Hohenzollern. Ce qu'elles ignoraient encore est que cette soirée allait être la dernière. J'allais partir loin d'ici. Depuis toujours je rêve de liberté. Même que j'enviais les héros de mes romans. Je vais pouvoir enfin vivre cette aventure qu'on surnomme le rêve américain, mais version coréenne. J'avais demandé à plusieurs universités Canadienne, Sud-Coréenne, Française et Américaine d'intégrer leurs universités en rédigeant les examens et mes arguments de mon intégration. Ce fut compliqué, mais le résultat en voulait le coup. Je ferme la première couverture de mon livre pour déposer mon regard sur le sac à main noir déposer contre moi. Il cachait la lettre qui m'indiqua que l'université d'Yonsei m'approuva. L'examen d'entrée avait été si facile que j'ai osé douter de moi. Mon sourire s'élargis alors que je perçois ma mère s'approcher. Je savais qu'il était temps de partir. Le dernier repas que je vais pouvoir prendre avec eux. Ce qui allait me manquer était l'amitié que j'avais développé avec ces femmes, si différentes, les unes des autres, s'est maintenue malgré les années et les points de vus différent que j'avais elles. Elles croyaient que les femmes ne devraient pas travailler. Mais, j'étais mannequin. Je voulais créer ma ligne de vêtement voilà pourquoi je quitter L'Allemagne pour la Corée du Sud. Je voulais m'éloigner de ses règles appliquer depuis des siècles. Personne n'avait encore saisie le sens de liberté. Pour la première fois de ma vie après ce 5 à 7 en famille, je vais pouvoir respirer ! Je vais pouvoir m'imaginer libre économiquement, socialement, et je vais pouvoir fournir cette économie.
***
Il y a un certain nombre de choses qui arrivent quand on arrive dans un nouveau pays. Surtout lorsqu'on n'y a jamais mis les pieds. Il y a toujours quelqu'un pour nous faire regretter notre choix pour quelques minutes. On se questionne sur nos priorités et nos regrets. Ce qui est ridicule, quand on y pense, parce que tout le monde sait qu'une fois nos rêves entrepris, on préfère continuer.C'est ce que j'ai fait ! Le guide de l'université s'amusait à rire de mon fort accent en me provoquant. Il haussait le sourcil en m'invitant de lui répondre. En levant évoquer certain fait morbide de mon pays, ma main droite me chauffait. La petite violence en moi grimpa. Ma main voulait former un poing et lu présenter contre sa joue ou son nez.Il fallait respirer pour ne pas briser la première image que je projetais. Je déteste ce type d'homme ! Je te provoque pour mieux jouer de toi ! Il n'était pas tombé sur la bonne demoiselle. Je voulais simplement fréquenter ce lieu universitaire pour apprendre. Il était impossible pour moi de sortir. Je voulais devenir la petite fille modèle qui terminera première. Je respirais profondément en laissant mes ongles pénétrer la peau de mes paumes. Je détournais le regard avant de laisser ce troupeau de moutons. Son blabla me tomba sur les nerfs. J'allais directement vers mon dortoir ! Quel beau logement ! Je vais pouvoir afin avoir une liberté...malgré le fait que cet idiot de grand frère, que j'aime énormément, soit aussi inscrit. Le pire d'entre tous...je savais qu'il allait jouer la comédie pour venir me rendre visite.
Ayant quitté le groupe, j'ouvris enfin la porte de ma chambre et découvris deux lits. Une chambre décorer sous l'influence de cette bombe chirurgicale de Kim Kardashian. Je me mordis la lèvre du bas pour réprimer un rire. J'avançais vers mon lit en lançant les valises sur mon lit. Je me laissais tomber sur le lit et déposèrent les bras sur mon visage. Je pouvais respirer de nouveau. Libre comme l'air ! Sans ce bordel de vie royal que j'ai depuis des années
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Re: Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 6:19 Citer EditerSupprimer
sophie
bienvenue par ici
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Re: Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 6:25 Citer EditerSupprimer
houuuuuuuuuuuuu sophie
bienvenue parmi nouuuuuuuuuuuuuuuuuuus
bienvenue parmi nouuuuuuuuuuuuuuuuuuus
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Re: Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 6:26 Citer EditerSupprimer
Merci !!!
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Re: Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 6:36 Citer EditerSupprimer
SOPHIE TURNER MON AMOUR
Bienvenue parmi nous, j'espère que tu t'y plairas
Bienvenue parmi nous, j'espère que tu t'y plairas
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Re: Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 6:52 Citer EditerSupprimer
omg sophie
ce choix, c'est une déesse cette fille
bienvenue et bon courage pour ta fiche
ce choix, c'est une déesse cette fille
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Re: Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 7:23 Citer EditerSupprimer
SOPHIE
FUCKIN
TURNER
(tu débarque le soir où got me manque de fou jpp :nabilla: )
bienvenue par ici et bon courage pour ta fichette
FUCKIN
TURNER
(tu débarque le soir où got me manque de fou jpp :nabilla: )
bienvenue par ici et bon courage pour ta fichette
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Re: Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 7:30 Citer EditerSupprimer
SANSA STARK MES AÏEUX JSS EN TRANSYLVANIE
Bienvenue joli coeur et bonne chance pour ta fiche
Bienvenue joli coeur et bonne chance pour ta fiche
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Re: Hohenzöllern Tatiana • What a wicked game to play | Lun 12 Nov - 18:54 Citer EditerSupprimer
sophie turner
bienvenuuuue et bon courage pour cette fiche
bienvenuuuue et bon courage pour cette fiche
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